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Voie(s) d'administration : |
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Forme(s) pharmaceutique(s) : |
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Solution injectable en seringue préremplie. |
Référence(s) bibliographique(s) : |
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Excipient(s) |
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Précision(s) composition : |
1 seringue pré-remplie de 0,9 ml de solution injectable contient 3000 unités internationales (UI) d'époétine zêta (*) (érythropoïétine humaine recombinante). La solution contient 3333 UI d'époétine zêta par ml. (*) Produit par la technique de l'ADN recombinant dans une lignée cellulaire d'ovaire de hamster chinois (CHO). - Excipients à effet notoire : Chaque seringue préremplie contient 0,45 mg de phénylalanine. |
Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM européenne 16/09/2016
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Classe pharmacothérapeutique : AUTRES PRODUITS ANTIANEMIQUES, ERYTHROPOIETINE Code ATC : B03XA01 Ce médicament est un médicament biosimilaire. Des informations détaillées sont disponibles sur le site internet de l'Agence Européenne du Médicament http://www.ema.europa.eu. * Effets pharmacodynamiques L'érythropoïétine est une glycoprotéine qui stimule, en tant que facteurs de stimulation des mitoses et hormone de différenciation, la formation d'érythrocytes de précurseurs du compartiment cellulaire. Le poids moléculaire apparent de l'érythropoïétine est de 32000 - 40000 daltons. La section protéinique de la molécule représente environ 58% du poids moléculaire total et se compose de 165 acides aminés. Les quatre chaînes glucidiques sont fixées via trois liaisons N-glycosidiques et une liaison O-glycosidique à la protéine. L'époétine zêta est identique en terme de séquence d'acides aminés et similaire en terme de composition glucidique à l'érythropoïétine humaine endogène humaine isolée dans l'urine de patients anémiques. L'efficacité biologique de l'érythropoïétine a été prouvée chez plusieurs modèles animaux in vivo (rats normaux et anémiques, souris polycythémiques). Après administration d'érythropoïétine, le nombre d'érythrocytes, les taux d'Hb et les taux de réticulocytes augmentent, ainsi que le taux d'incorporation de 59Fe. Une incorporation accrue de 3H-thymidine (tritiée) dans les cellules spléniques nuclés érythroïdes a été observée in vitro (culture de cellules spléniques de souris) après incubation avec l'érythropoïétine. Les cultures cellulaires de cellules osseuses humaines pourraient permettre de démontrer que l'érythropoïétine stimule spécifiquement l'érythropoïèse et n'affecte pas la leucopoïèse. Aucune action cytotoxique de l'érythropoïétine sur les cellules osseuses n'a été détectée. À l'instar d'autres facteurs de croissance hématopoïétiques, l'érythropoïétine a révélé des propriétés de stimulation in vitro sur les cellules endothéliales humaines. * Patients adultes insuffisants rénaux non encore dialysés Dans deux études au cours desquelles l'érythropoïétine était administrée à différents intervalles (3 fois par semaine, une fois par semaine, une fois toutes les deux semaines et une fois toutes les 4 semaines), certains des patients traités avec des intervalles d'administration prolongés n'ont pas maintenu un taux d'hémoglobine approprié et ont atteint le taux limite d'hémoglobine défini dans le protocole comme critère de sortie d'étude (0 % dans le groupe une fois par semaine, 3,7 % dans le groupe une fois toutes les 2 semaines et 3,3 % dans le groupe une fois toutes les 4 semaines). * Efficacité et sécurité clinique 721 patients cancéreux recevant une chimiothérapie sans cisplatine ont été inclus dans trois études contrôlées par placebo, 389 patients atteints de malignités hématologiques (221 myélomes multiples, 144 lymphomes non hodgkiniens et 24 autres malignités hématologiques) et 332 atteints de tumeurs solides (172 tumeurs du sein, 64 tumeurs gynécologiques, 23 tumeurs pulmonaires, 22 tumeurs de la prostate, 21 tumeurs gastro-intestinales et 30 autres types de tumeur). Dans deux études ouvertes de grande envergure, 2 697 patients cancéreux recevant une chimiothérapie sans cisplatine, 1895 patients atteints de tumeurs solides (683 tumeurs du sein, 260 tumeurs pulmonaires, 174 tumeurs gynécologiques, 300 tumeurs gastro-intestinales et 478 autres tumeurs) et 802 patients atteints de malignités hématologiques. Dans une étude prospective, randomisée, à double insu, contrôlée par placebo menée auprès de 375 patients anémiques atteints de diverses malignités non myéloïdes et recevant une chimiothérapie sans cisplatine, une réduction significative des séquelles associées à l'anémie (par ex. fatigue, baisse de l'énergie et réduction de l'activité) a été observée, telle que mesurée par les instruments et échelles ci-après : Echelle générale d'évaluation fonctionnelle du traitement de l'anémie du cancer FACT-an, échelle de fatigue FACT-an, et échelle analogue linéaire du cancer (CLAS). Deux autres études, randomisées, contrôlées par placebo, d'effectif plus réduit n'ont pas permis de montrer une amélioration significative des paramètres de qualité de vie sur les échelles EORTC-QLQ-C30 et CLAS respectivement. L'érythropoïétine est un facteur de croissance qui stimule principalement la production de globules rouges. Des récepteurs de l'érythropoïétine peuvent se manifester à la surface de différents types de cellules tumorales. La survie et la progression tumorale ont été étudiées dans le cadre de cinq vastes essais cliniques contrôlés portant au total sur 2833 patients, dont quatre essais en double aveugle contrôlés versus placebo et un essai ouvert. Les études ont inclus des patients traités par chimiothérapie (deux études) où se sont basées sur des populations de patients chez lesquels l'utilisation d'agents stimulants l'érythropoïèse n'est pas indiquée : anémie touchant des patients cancéreux non traités par chimiothérapie et patients atteints de cancers de la tête et du cou traités par radiothérapie. Dans deux des études, le taux d'hémoglobine cible était de > 13 g/dl ; dans les trois autres études, il était de 12 à 14 g/dl. Dans l'essai ouvert, aucune différence n'a été notée en terme de survie globale entre les patients traités par l'érythropoïétine humaine recombinante et les sujets témoins. Dans les quatre essais contrôlés versus placebo, les rapports de risque pour la survie globale ont été compris entre 1,25 et 2,47 en faveur des groupes témoins. Ces études ont fait apparaître de façon cohérente une différence statistiquement significative et inexpliquée de mortalité chez les patients atteints d'anémie associée à divers cancers courants et recevant une érythropoïétine humaine recombinante par comparaison avec les sujets témoins. Les différences d'incidence des thromboses et complications associées entre les sujets recevant l'érythropoïétine humaine recombinante et les sujets du groupe témoin ne suffisent pas à expliquer de façon satisfaisante les résultats des essais concernant la survie globale. Une revue systématique a également été réalisée sur plus de 9000 patients cancéreux participant à 57 essais cliniques. La méta-analyse des données de survie globale a montré un rapport de risque estimé ponctuellement à 1,08 en faveur des sujets témoins (IC à 95 % : 0,99 -1,18 ; 42 essais et 8167 patients). Un risque relatif accru d'événements thrombo-emboliques (RR = 1,67 ; IC à 95 % : 1,35 - 2,06 ; 35 essais et 6769 patients) a été observé chez les patients traités par une érythropoïétine humaine recombinante. Il existe un risque accru d'accident thromboembolique chez les patients cancéreux traités par une érythropoïétine humaine recombinante et l'on ne saurait exclure la possibilité d'un impact négatif sur la survie globale. Il est difficile de savoir dans quelle mesure ces résultats peuvent s'appliquer à l'administration d'une érythropoïétine humaine recombinante chez les patients cancéreux traités par chimiothérapie avec pour objectif un taux d'hémoglobine inférieur à 13 g/dl car les données passées en revue incluaient peu de patients réunissant ces caractéristiques. Une analyse des données-patient a également été réalisée sur plus de 13900 patients cancéreux (ayant reçu une chimiothérapie, une radiothérapie, une chimio-radiothérapie ou pas de traitement) inclus dans 53 essais cliniques contrôlés impliquant plusieurs époétines. La méta-analyse des données de survie globale a montré un rapport de risque estimé ponctuellement à 1,06 en faveur des sujets témoins (IC à 95 % : 1,00 - 1,12 ; 53 essais et 13933 patients) et chez les patients cancéreux recevant une chimiothérapie, la survie globale présentait un rapport de risque de 1,04 (IC à 95 % : 0,97 - 1,11 ; 38 essais et 10441 patients). En outre, les méta-analyses indiquent constamment une augmentation significative du risque relatif d'accident thrombo-embolique chez les patients cancéreux recevant une érythropoïétine humaine recombinante (Cf. rubrique "Mises en garde spéciales et précautions d'emploi"). Dans une étude randomisée, en double aveugle, contrôlée versus placebo menée chez 4038 patients atteints d'insuffisance rénale chronique non dialysés, ayant un diabète de type 2 et un taux d'hémoglobine < ou = 11 g/dl, les patients ont reçu soit un traitement par darbépoétine alfa pour cibler un taux d'hémoglobine de 13 g/dl, soit un placebo (Cf. rubrique "Mises en garde spéciales et précautions d'emploi"). L'étude n'a pas atteint son objectif primaire visant à démontrer une réduction du risque de la mortalité toutes causes confondues, de la morbidité cardiovasculaire ou de la progression en insuffisance rénale terminale (IRT). Une analyse des composants individuels des critères composites a montré le risque relatif suivant (IC à 95%) : décès 1,05 (0,92 - 1,21), accident vasculaire cérébral 1,92 (1,38 - 2,68), insuffisance cardiaque congestive (ICC) 0,89 (0,74 - 1,08), infarctus du myocarde (IM) 0,96 (0,75 - 1,23), hospitalisation pour ischémie myocardique 0,84 (0,55 - 1,27), IRT 1,02 (0,87 - 1,18). Des analyses post-hoc groupées des études cliniques sur les époétines ont été réalisées chez les patients atteints d'insuffisance rénale chronique (dialysés, non dialysés, diabétiques et non diabétiques). Il a été observé que le plus souvent, les estimations du risque de mortalité toutes causes confondues et d'événements cardiovasculaires et cérébrovasculaires associées à des doses cumulées d'époétine plus élevées étaient accrues, indépendamment du statut vis-à-vis du diabète ou de la dialyse (Cf. rubriques "Posologie et mode d'administration" et "Mises en garde et précautions d'emploi"). |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 |
* Absorption Après injection sous-cutanée, les taux sériques d'érythropoïétine atteignent leur valeur maximale entre 12 et 18 heures après administration. Il n'y a pas eu d'accumulation du produit après administration répétée de 600 UI/kg par semaine par voie sous-cutanée. La biodisponibilité absolue de l'érythropoïétine injectable par voie sous-cutanée est d'environ 20 % chez les sujets sains. * Distribution Le volume de distribution moyen a été de 49,3 ml/kg après l'administration intraveineuse de doses de 50 et 100 UI/kg chez des sujets sains. Après administration intraveineuse d'érythropoïétine chez des sujets atteints d'insuffisance rénale chronique, le volume de distribution a été compris respectivement entre 57 et 107 ml/kg après administration unique (12 UI/kg) et entre 42 et 64 ml/kg après administration répétée (48 à 192 UI/kg). Par conséquent, le volume de distribution est légèrement plus important que le compartiment plasmatique. * Elimination La demi-vie de de l'érythropoïétine après administration intraveineuse répétée est de 4 heures environ chez les sujets sains. La demi-vie pour la voie sous-cutanée est estimée à environ 24 heures chez les sujets sains. La CL/F moyenne pour les schémas posologiques de 150 UI/kg 3 fois par semaine et 40000 UI une fois par semaine chez les sujets sains a été respectivement de 31,2 et 12,6 ml/heure/kg. La CL/F moyenne pour les schémas posologiques de 150 UI/kg 3 fois par semaine et 40000 UI une fois par semaine chez les sujets anémiques atteints d'un cancer a été respectivement de 45,8 et 11,3 ml/heure/kg. Chez la plupart des sujets anémiques atteints d'un cancer recevant une chimiothérapie cyclique, la CL/F après l'administration sous-cutanée de doses de 40000 UI une fois par semaine et de 150 UI/kg 3 fois par semaine a été inférieure aux valeurs obtenues chez les sujets sains. * Linéarité/non-linéarité Chez les sujets sains, une augmentation proportionnelle à la dose des concentrations sériques d'érythropoïétine a été observée après l'administration intraveineuse de 150 et 300 UI/kg 3 fois par semaine. L'administration de doses uniques de 300 à 2400 UI/kg d'érythropoïétine par voie souscutanée a abouti à un rapport linéaire entre la Cmax moyenne et la dose et entre l'ASC moyenne et la dose. Un rapport inverse entre la clairance apparente et la dose a été constaté chez les sujets sains. Dans les études menées pour examiner la prolongation de l'intervalle entre les doses (40000 UI une fois par semaine et 80000, 100000 et 120000 UI toutes les 2 semaines), une relation linéaire mais non proportionnelle à la dose a été observée entre la Cmax moyenne et la dose et entre l'ASC moyenne et la dose à l'état d'équilibre. * Relations pharmacocinétique/pharmacodynamique L'érythropoïétine présente un effet lié à la dose sur les paramètres hématologiques, indépendamment de la voie d'administration. * Population pédiatrique Une demi-vie d'environ 6,2 à 8,7 heures a été rapportée chez les sujets pédiatriques atteints d'insuffisance rénale chronique après administration intraveineuse répétée d'érythropoïétine. Le profil pharmacocinétique de l'érythropoïétine chez les enfants et les adolescents semble être similaire à celui des adultes. Les données pharmacocinétiques sont limitées chez les nouveau-nés. Une étude menée chez 7 nouveau-nés prématurés présentant un très faible poids à la naissance et 10 adultes en bonne santé recevant de l'érythropoïétine par voie IV laisse penser que le volume de distribution est environ 1,5 à 2 fois plus élevé chez les nouveau-nés prématurés que chez les adultes en bonne santé et que la clairance est environ 3 fois plus élevée chez les nouveau-nés prématurés que chez les adultes en bonne santé. * Insuffisance rénale Chez les patients atteints d'insuffisance rénale chronique, la demi-vie de l'érythropoïétine administrée par voie intraveineuse est légèrement prolongée, atteignant environ 5 heures, par rapport aux sujets sains. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 |
Lors d'études de toxicologie en administration répétée chez le chien et le rat, mais pas chez le singe, le traitement par époétine alfa a été associé à une fibrose infra-clinique de la moelle osseuse. La fibrose de la moelle osseuse est une complication connue de l'insuffisance rénale chronique chez l'homme et serait liée à une hyper-parathyroïdie secondaire ou à des facteurs encore inconnus. La fréquence de la fibrose médullaire n'a pas été augmentée lors d'une étude chez des patients sous hémodialyse traités par époétine alfa pendant 3 ans, par rapport à un groupe témoin apparié de patients sous dialyse qui n'ont pas été traités par l'époétine alfa). L'époétine alfa n'induit pas de mutations dans les gènes chez les bactéries (test d'Ames), d'aberrations chromosomiques dans des cellules de mammifères, de micronoyaux chez la souris, ni de mutations génétiques au locus HGPRT. Les études de cancérogénicité à long terme n'ont pas été réalisées. Des rapports contradictoires dans la littérature, fondés sur des observations in vitro portant sur des échantillons de tumeurs humaines, semblent indiquer que les érythropoïétines pourraient jouer un rôle dans la prolifération tumorale. Leur pertinence en pratique clinique est incertaine. Dans les cultures de cellules de moelle osseuse humaine, l'époétine alfa stimule spécifiquement l'érythropoïèse sans avoir d'effets sur la leucopoïèse. Les actions cytotoxiques de l'époétine alfa sur les cellules de moelle osseuse humaine n'ont pas pu être détectées. Chez l'animal, il a été démontré que l'époétine alfa, à une dose hebdomadaire d'environ 20 fois supérieure à la dose hebdomadaire conseillée chez l'homme, diminuait le poids foetal, retardait l'ossification et augmentait la mortalité fœtale. Ces modifications seraient secondaires à la diminution de la prise de poids chez la mère et leur pertinence chez l'homme n'est pas connue aux doses thérapeutiques administrées. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 |
Ce médicament est d'origine recombinante et ne peut donc pas être prescrit en dénomination commune.
Spécialité(s) génériques Thériaque | Type | Prix |
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RETACRIT 3000UI/0,9ML INJ SER NSFP | ||
RETACRIT 3000UI/0,9ML INJ SER SEC | ||
Comparer prix |
Groupe générique(s) : Néant |
Spécialité(s) générique(s) ansm et date(s) d'application : Néant |
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RETACRIT (EPAR) 2011 |
LISTE REFERENCE BIOSIMILAIRE 2024 | |
BIOSIMILAIRE - FICHE BON USAGE HAS | |
EPOETINES REACTIONS CUTANEES LETTRE 2017 | |
ANEMIE IR (BON USAGE DU MEDICAMENT) | |
RETACRIT CONDITIONS D'UTILISATION | |
ERYTHROPOIETINES HORS AMM / VHC 2007 | |
EPOETINES | |
ANEMIE ET INSUFFISANCE RENALE |
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* Conditions de prescription et de délivrance Liste I. Prescription initiale hospitalière annuelle. Prescription initiale par un médecin exerçant dans un service de dialyse à domicile. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 | |
Code UCD13 : | 3400893156568 |
Code UCD7 : | 9315656 |
Code identifiant spécialité : | 6 595 350 9 |
Laboratoire(s) titulaire(s) AMM: |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 | |
Laboratoire(s) exploitant(s) : |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 | |
6 seringue(s) préremplie(s) en verre de 0,9 ml
Code CIP13 | 3400938628548 |
Code CIP7 | 3862854 |
Commercialisation | Supprimé le 13/12/2017 |
Agrément collectivités/date JO | Oui le 02/12/2008 |
Présentation réservée à l'hôpital | Non |
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD) |
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Conditionnement primaire | 6 SERINGUE(S) PREREMPLIE(S) contenant 0,9 ML (1) |
Matériau(x) |
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Caractéristique(s) du conditionnement primaire |
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* Nature et contenu de l'emballage extérieur |
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Présentation unitaire | OUI |
Référence(s) bibliographique(s) | |
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Conditions de délivrance |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 |
Statut de la présentation |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 |
1. Prix en officine ville | |
Prix de cette présentation (CIP)/date JO | Prix libre |
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) | Non concerné |
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur) | |
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) | Non concerné |
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) | 0 euros HT le 01/03/2014 |
1. Ville | |
Taux de remboursement/date JO |
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2. Hôpital (Rétrocession - vente au public) | |
Taux de remboursement |
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* Journal Officiel du 02 Mai 2012 |
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Statut(s) du remboursement |
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* Ancien médicament facturable hors GHS - Arrêté du 13 février 2014 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge en sus des prestations d'hospitalisation mentionnée à l'article L. 162-22-7 du code de la sécurité sociale : radiation à compter du 1er mars 2014 (JO du 20/02/2014) - Arrêté du 3 décembre 2008 pris en application de l'article L.162-22-7 du code de la sécurité sociale et fixant la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge par l'assurance maladie en sus des prestations d'hospitalisation (JO du 12/12/2008). |
SMR spécifique de cette présentation | NON |
Modalité(s) de dispensation |
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Durée(s) et condition(s) de conservation |
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* Durée de conservation |
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Référence(s) officielles(s) : Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 |
ANEMIE
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Ce médicament est indiqué dans le traitement de l'anémie symptomatique associée à l'insuffisance rénale chronique (IRC) : . chez les adultes et les enfants âgés de 1 à 18 ans hémodialysés et chez les patients adultes en dialyse péritonéale (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). |
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SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 18/09/2013 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
ANEMIE
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Ce médicament est indiqué dans le traitement de l'anémie symptomatique associée à l'insuffisance rénale chronique (IRC) chez l'adulte : . chez les adultes insuffisants rénaux non encore dialysés pour le traitement de l'anémie sévère d'origine rénale accompagnée de symptômes cliniques chez les patients (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). |
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SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 18/09/2013 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
ANEMIE
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Ce médicament est indiqué chez les adultes recevant une chimiothérapie pour des tumeurs solides, un lymphome malin ou un myélome multiple, et à risque de transfusion tel qu'évalué par l'état général du patient (par ex. statut cardiovasculaire, anémie préexistante au début de la chimiothérapie) pour le traitement de l'anémie et la réduction des besoins transfusionnels. |
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SMR de l'indication | NIVEAU MODERE 18/09/2013 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
REDUCTION BESOIN TRANSFUSIONNEL
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Ce médicament est indiqué chez les adultes recevant une chimiothérapie pour des tumeurs solides, un lymphome malin ou un myélome multiple, et à risque de transfusion tel qu'évalué par l'état général du patient (par ex. statut cardiovasculaire, anémie préexistante au début de la chimiothérapie) pour le traitement de l'anémie et la réduction des besoins transfusionnels. |
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SMR de l'indication | NIVEAU MODERE 18/09/2013 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
DON DE SANG AUTOLOGUE
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Ce médicament est indiqué chez les adultes inclus dans un programme pré-transfusion pour augmenter la production de sang autologue. Le traitement ne doit être administré qu'aux patients souffrant d'anémie modérée (intervalle des concentrations en hémoglobine [Hb] compris entre 10 et 13 grammes/dl [entre 6,2 et 8,1 mmol/litre], absence de carence en fer) si les procédures d'économie de sang ne sont pas disponibles ou insuffisantes lorsque l'intervention chirurgicale majeure programmée requiert un volume élevé de sang (4 unités ou plus de sang pour les femmes et 5 unités ou plus pour les hommes). |
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SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 18/09/2013 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
REDUCTION BESOIN TRANSFUSIONNEL
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Ce médicament est indiqué chez les adultes, sans carence martiale, devant subir une intervention chirurgicale orthopédique majeure programmée et présentant un risque présumé important de complications transfusionnelles pour réduire l'exposition aux transfusions de sang homologue. L'utilisation devra être réservée aux patients ayant une anémie modérée (par ex., intervalle des concentrations en hémoglobine compris entre 10 et 13 grammes/dl ou entre 6,2 et 8,1 mmol/litre) qui n'ont pas bénéficié d'une programmation de prélèvement autologue et chez lesquels on s'attend à des pertes de sang modérées (900 à 1800 ml). |
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SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 18/09/2013 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
ANEMIE
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Ce médicament est indiqué dans le traitement de l'anémie symptomatique (concentration d'hémoglobine < ou = 10 grammes/dl) chez les adultes atteints de syndromes myélodysplasiques (SMD) primitifs de risque faible ou intermédiaire 1, présentant un taux sérique d'érythropoïétine faible (< 200 mU/ml). |
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SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
Terrain N° 1 | ANEMIE
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Niveau(x) |
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Une diminution paradoxale de l'hémoglobine et le développement d'une anémie sévère associée à un faible nombre de réticulocytes doit conduire à l'arrêt du traitement par une époétine et à un contrôle des anticorps anti-érythropoïétine. Des cas ont été rapportés chez des patients atteints d'hépatite C traités par l'interféron et la ribavirine, avec utilusation concomitante d'une époétine. Les époétines ne sont pas indiquées dans le traitement de l'anémie associée à l'hépatite C. | |
Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | TUMEUR
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Niveau(x) |
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Lors des essais cliniques contrôlés de l'époétine alfa et d'autres agents stimulant l'érythropoïèse (ESA), les résultats suivants ont été mis en évidence : . augmentation du risque de décès lorsque l'administration visait un taux d'hémoglobine de 12 g/dl (7,5 mmol/l) chez des patients atteints de tumeurs actives et ne recevant ni chimiothérapie ni radiothérapie. L'utilisation des ESA n'est pas indiquée chez cette population de patients. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie INITIALE | |
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Dose | 50 UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 3 /SEMAINE |
Durée de traitement min | 4 SEMAINE(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Posologie INITIALE | |
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Dose | ADAPTER UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 3 /SEMAINE |
Durée de traitement |
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Posologie ENTRETIEN | |
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Dose | de 75 UI/KG/SEMAINE à 300 UI/KG/SEMAINE |
Fréquence maximale | 3 /SEMAINE |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Recommandation(s) |
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Le traitement doit être initié sous le contrôle de médecins expérimentés dans le traitement de malades avec les indications ci-dessus. * Posologie Toutes les autres causes d'anémie (carence en fer, en acide folique ou en vitamine B12, intoxication à l'aluminium, infection ou inflammation, hémorragie, hémolyse et fibrose médullaire de quelque origine qu'elle soit) doivent être examinées et traitées avant d'initier le traitement par époétine zêta et au moment de décider d'augmenter la dose. Afin d'assurer une réponse optimale au traitement par époétine zêta, il convient de s'assurer que les réserves en fer sont suffisantes et un apport complémentaire en fer doit être administré si besoin (Cf. rubrique "Mises en garde spéciales et précautions d'emploi"). - Traitement de l'anémie symptomatique chez l'adulte en insuffisance rénale chronique Les symptômes et séquelles de l'anémie peuvent varier selon l'âge, le sexe et les comorbidités ; une évaluation par le médecin de l'état de santé et de l'évolution clinique de chaque patient est nécessaire. L'intervalle recommandé des concentrations en hémoglobine souhaitées est compris entre 10 g/dl et 12 g/dl (entre 6,2 et 7,5 mmol/l). Ce médicament doit être administré afin que le taux d'hémoglobine n'augmente pas au-delà de 12 g/dl (7,5 mmol/l). Toute élévation de la concentration en hémoglobine de plus de 2 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de quatre semaines doit être évitée. Si une telle élévation se produit, un ajustement posologique approprié devra être effectué comme indiqué. En raison de la variabilité intra-patient, il peut arriver occasionnellement que des concentrations en hémoglobine supérieures ou inférieures à l'intervalle des concentrations souhaitées soient observées. Cette variabilité du taux d'hémoglobine doit être gérée en ajustant la dose de façon à le maintenir dans un intervalle des concentrations compris entre 10 g/dl (6,2 mmol/l) et 12 g/dl (7,5 mmol/l). Un taux d'hémoglobine supérieur à 12 g/dl (7,5 mmol/l) doit être évité sur une période prolongée. Si le taux d'hémoglobine augmente de plus de 2 g/dl (1,25 mmol/l) par mois, ou si le taux d'hémoglobine dépasse 12 g/dl (7,5 mmol/l) sur une période prolongée, il convient de réduire la dose de ce médicament de 25 %. Si le taux d'hémoglobine dépasse 13 g/dl (8,1 mmol/l), le traitement doit être interrompu jusqu'à ce que ce taux redescende en dessous de 12 g/dl (7,5 mmol/l), après quoi le traitement par ce médicament pourra être réinstauré à une dose 25 % inférieure à la dose précédente. Les patients doivent faire l'objet d'une surveillance étroite afin de s'assurer que la dose efficace la plus faible approuvée de ce médicament est utilisée pour permettre un contrôle satisfaisant de l'anémie et des symptômes de l'anémie en maintenant le taux d'hémoglobine inférieur ou égal à 12 g/dl (7,5 mmol/l). La prudence s'impose en cas d'augmentation des doses d'un agent stimulant l'érythropoïèse (ASE) chez les patients atteints d'insuffisance rénale chronique. Chez les patients ayant une réponse faible aux ASE en matière d'hémoglobine d'autres facteurs expliquant la faible réponse devront être considérés (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Propriétés pharmacodynamiques"). Le traitement par ce médicament se divise en deux phases : une phase de correction et une phase d'entretien: - Patients adultes sous hémodialyse Chez les patients sous hémodialyse chez qui l'accès intraveineux est facilement disponible, l'administration par voie intraveineuse est préférable. . Phase de correction La posologie initiale est de 50 UI/kg, 3 fois par semaine. Si nécessaire, la dose doit être augmentée ou diminuée de 25 UI/kg (3 fois par semaine) jusqu'à ce que la concentration en hémoglobine souhaitée soit comprise dans l'intervalle de 10 g/dl à 12 g/dl (6,2 à 7,5 mmol/l) (cet ajustement de la dose doit être effectué par paliers d'au moins quatre semaines). . Phase d'entretien La dose hebdomadaire totale recommandée est comprise entre 75 UI/kg et 300 UI/kg. Un ajustement approprié de la posologie doit être effectué de façon à maintenir les valeurs d'hémoglobine dans l'intervalle des concentrations souhaitées compris entre 10 g/dl et 12 g/dl (entre 6,2 et 7,5 mmol/l). Les patients ayant un taux d'hémoglobine initial très faible (< 6 g/dl ou < 3,75 mmol/l) peuvent nécessiter des doses d'entretien plus élevées que les patients ayant une anémie initiale moins sévère (> 8 g/dl ou > 5 mmol/l). |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie INITIALE | |
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Dose | 50 UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 3 /SEMAINE |
Durée de traitement min | 4 SEMAINE(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Posologie INITIALE | |
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Dose | ADAPTER UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 3 /SEMAINE |
Durée de traitement |
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Posologie ENTRETIEN | |
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Dose | de 75 UI/KG/ADMINISTRATION à 150 UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 3 /SEMAINE |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Recommandation(s) |
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Le traitement doit être initié sous le contrôle de médecins expérimentés dans le traitement de malades avec les indications ci-dessus. * Posologie Toutes les autres causes d'anémie (carence en fer, en acide folique ou en vitamine B12, intoxication à l'aluminium, infection ou inflammation, hémorragie, hémolyse et fibrose médullaire de quelque origine qu'elle soit) doivent être examinées et traitées avant d'initier le traitement par époétine zêta et au moment de décider d'augmenter la dose. Afin d'assurer une réponse optimale au traitement par époétine zêta, il convient de s'assurer que les réserves en fer sont suffisantes et un apport complémentaire en fer doit être administré si besoin (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). - Population pédiatrique . Traitement de l'anémie symptomatique chez les patients en insuffisance rénale chronique hémodialysés Les symptômes et les séquelles de l'anémie peuvent varier en fonction de l'âge, du sexe et des comorbidités. Une évaluation individuelle de l'état du patient et du traitement par le médecin est nécessaire. Chez les patients pédiatriques, les concentrations en hémoglobine recommandées sont comprises dans un intervalle allant de 9,5 g/dl à 11 g/dl (5,9 à 6,8 mmol/l). Ce médicament doit être administré en vue d'augmenter la concentration en hémoglobine jusqu'à un maximum de 11 g/dl (6,8 mmol/l). Toute élévation de la concentration en hémoglobine de plus de 2 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de quatre semaines doit être évitée. Si une telle élévation se produit, un ajustement posologique approprié devra être effectué comme indiqué. Les patients doivent faire l'objet d'une surveillance étroite pour s'assurer que la plus faible dose de ce médicament est utilisée afin de permettre le contrôle de façon adéquate de l'anémie et des symptômes de l'anémie. Le traitement par ce médicament se divise en deux phases : une phase de correction et une phase d'entretien. Chez les patients pédiatriques sous hémodialyse chez qui l'accès intraveineux est facilement disponible, l'administration par voie intraveineuse est préférable. . Phase de correction La posologie initiale est de 50 UI/kg par voie intraveineuse, 3 fois par semaine. Si nécessaire, la dose doit être augmentée ou diminuée de 25 UI/kg (3 fois par semaine) jusqu'à atteindre la concentration en hémoglobine souhaitée dans l'intervalle allant de 9,5 g/dl à 11 g/dl (5,9 à 6,8 mmol/l) (il est recommandé de procéder par paliers d'au moins quatre semaines). . Phase d'entretien Un ajustement approprié de la posologie doit être effectué de façon à maintenir les concentrations en hémoglobine dans l'intervalle des concentrations souhaitées comprises entre 9,5 g/dl et 11 g/dl (entre 5,9 et 6,8 mmol/l). Généralement, les enfants de moins de 30 kg nécessitent des doses d'entretien plus importantes que les enfants de plus de 30 kg et que les adultes. Les doses d'entretien suivantes ont été observées au cours d'essais cliniques après 6 mois de traitement: - Poids < 10 kg . Dose moyenne : 100 UI/kg administrés 3 x par semaine . Dose d'entretien habituelle : 75 - 150 UI/kg administrés 3 x par semaine Les patients pédiatriques dont la concentration en hémoglobine initiale est très faible (< 6,8 g/dl ou < 4,25 mmol/l) peuvent avoir besoin de doses d'entretien plus importantes que les patients dont la concentration en hémoglobine initiale est plus élevée (> 6,8 g/dl ou > 4,25 mmol/l). - Anémie chez les patients en insuffisance rénale chronique non encore dialysés ou en dialyse péritonéale La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les patients en insuffisance rénale chronique atteints d'anémie non encore dialysés ou en dialyse péritonéale n'ont pas été établies. Les données actuellement disponibles sur l'administration par voie sous-cutanée de l'époétine alfa dans ces populations sont décrites à la rubrique "Propriétés pharmacodynamiques" mais aucune recommandation sur la posologie ne peut être donnée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie INITIALE | |
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Dose | 50 UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 3 /SEMAINE |
Durée de traitement min | 4 SEMAINE(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Posologie INITIALE | |
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Dose | ADAPTER UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 3 /SEMAINE |
Durée de traitement |
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Posologie ENTRETIEN | |
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Dose | de 60 UI/KG/ADMINISTRATION à 150 UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 3 /SEMAINE |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Recommandation(s) |
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Le traitement doit être initié sous le contrôle de médecins expérimentés dans le traitement de malades avec les indications ci-dessus. * Posologie Toutes les autres causes d'anémie (carence en fer, en acide folique ou en vitamine B12, intoxication à l'aluminium, infection ou inflammation, hémorragie, hémolyse et fibrose médullaire de quelque origine qu'elle soit) doivent être examinées et traitées avant d'initier le traitement par époétine zêta et au moment de décider d'augmenter la dose. Afin d'assurer une réponse optimale au traitement par époétine zêta, il convient de s'assurer que les réserves en fer sont suffisantes et un apport complémentaire en fer doit être administré si besoin (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). - Population pédiatrique . Traitement de l'anémie symptomatique chez les patients en insuffisance rénale chronique hémodialysés Les symptômes et les séquelles de l'anémie peuvent varier en fonction de l'âge, du sexe et des comorbidités. Une évaluation individuelle de l'état du patient et du traitement par le médecin est nécessaire. Chez les patients pédiatriques, les concentrations en hémoglobine recommandées sont comprises dans un intervalle allant de 9,5 g/dl à 11 g/dl (5,9 à 6,8 mmol/l). Ce médicament doit être administré en vue d'augmenter la concentration en hémoglobine jusqu'à un maximum de 11 g/dl (6,8 mmol/l). Toute élévation de la concentration en hémoglobine de plus de 2 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de quatre semaines doit être évitée. Si une telle élévation se produit, un ajustement posologique approprié devra être effectué comme indiqué. Les patients doivent faire l'objet d'une surveillance étroite pour s'assurer que la plus faible dose de ce médicament est utilisée afin de permettre le contrôle de façon adéquate de l'anémie et des symptômes de l'anémie. Le traitement par ce médicament se divise en deux phases : une phase de correction et une phase d'entretien. Chez les patients pédiatriques sous hémodialyse chez qui l'accès intraveineux est facilement disponible, l'administration par voie intraveineuse est préférable. . Phase de correction La posologie initiale est de 50 UI/kg par voie intraveineuse, 3 fois par semaine. Si nécessaire, la dose doit être augmentée ou diminuée de 25 UI/kg (3 fois par semaine) jusqu'à atteindre la concentration en hémoglobine souhaitée dans l'intervalle allant de 9,5 g/dl à 11 g/dl (5,9 à 6,8 mmol/l) (il est recommandé de procéder par paliers d'au moins quatre semaines). . Phase d'entretien Un ajustement approprié de la posologie doit être effectué de façon à maintenir les concentrations en hémoglobine dans l'intervalle des concentrations souhaitées comprises entre 9,5 g/dl et 11 g/dl (entre 5,9 et 6,8 mmol/l). Généralement, les enfants de moins de 30 kg nécessitent des doses d'entretien plus importantes que les enfants de plus de 30 kg et que les adultes. Les doses d'entretien suivantes ont été observées au cours d'essais cliniques après 6 mois de traitement: - Poids 10-30 kg . Dose moyenne : 75 UI/kg administrés 3 x par semaine . Dose d'entretien habituelle : 60 - 150 UI/kg administrés 3 x par semaine Les patients pédiatriques dont la concentration en hémoglobine initiale est très faible (< 6,8 g/dl ou < 4,25 mmol/l) peuvent avoir besoin de doses d'entretien plus importantes que les patients dont la concentration en hémoglobine initiale est plus élevée (> 6,8 g/dl ou > 4,25 mmol/l). - Anémie chez les patients en insuffisance rénale chronique non encore dialysés ou en dialyse péritonéale La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les patients en insuffisance rénale chronique atteints d'anémie non encore dialysés ou en dialyse péritonéale n'ont pas été établies. Les données actuellement disponibles sur l'administration par voie sous-cutanée de l'époétine alfa dans ces populations sont décrites à la rubrique "Propriétés pharmacodynamiques" mais aucune recommandation sur la posologie ne peut être donnée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie INITIALE | |
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Dose | 50 UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 3 /SEMAINE |
Durée de traitement min | 4 SEMAINE(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Posologie INITIALE | |
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Dose | ADAPTER UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 3 /SEMAINE |
Durée de traitement |
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Posologie ENTRETIEN | |
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Dose | de 30 UI/KG/ADMINISTRATION à 100 UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 3 /SEMAINE |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Recommandation(s) |
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Le traitement doit être initié sous le contrôle de médecins expérimentés dans le traitement de malades avec les indications ci-dessus. * Posologie Toutes les autres causes d'anémie (carence en fer, en acide folique ou en vitamine B12, intoxication à l'aluminium, infection ou inflammation, hémorragie, hémolyse et fibrose médullaire de quelque origine qu'elle soit) doivent être examinées et traitées avant d'initier le traitement par époétine zêta et au moment de décider d'augmenter la dose. Afin d'assurer une réponse optimale au traitement par époétine zêta, il convient de s'assurer que les réserves en fer sont suffisantes et un apport complémentaire en fer doit être administré si besoin (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). - Population pédiatrique . Traitement de l'anémie symptomatique chez les patients en insuffisance rénale chronique hémodialysés Les symptômes et les séquelles de l'anémie peuvent varier en fonction de l'âge, du sexe et des comorbidités. Une évaluation individuelle de l'état du patient et du traitement par le médecin est nécessaire. Chez les patients pédiatriques, les concentrations en hémoglobine recommandées sont comprises dans un intervalle allant de 9,5 g/dl à 11 g/dl (5,9 à 6,8 mmol/l). Ce médicament doit être administré en vue d'augmenter la concentration en hémoglobine jusqu'à un maximum de 11 g/dl (6,8 mmol/l). Toute élévation de la concentration en hémoglobine de plus de 2 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de quatre semaines doit être évitée. Si une telle élévation se produit, un ajustement posologique approprié devra être effectué comme indiqué. Les patients doivent faire l'objet d'une surveillance étroite pour s'assurer que la plus faible dose de ce médicament est utilisée afin de permettre le contrôle de façon adéquate de l'anémie et des symptômes de l'anémie. Le traitement par ce médicament se divise en deux phases : une phase de correction et une phase d'entretien. Chez les patients pédiatriques sous hémodialyse chez qui l'accès intraveineux est facilement disponible, l'administration par voie intraveineuse est préférable. . Phase de correction La posologie initiale est de 50 UI/kg par voie intraveineuse, 3 fois par semaine. Si nécessaire, la dose doit être augmentée ou diminuée de 25 UI/kg (3 fois par semaine) jusqu'à atteindre la concentration en hémoglobine souhaitée dans l'intervalle allant de 9,5 g/dl à 11 g/dl (5,9 à 6,8 mmol/l) (il est recommandé de procéder par paliers d'au moins quatre semaines). . Phase d'entretien Un ajustement approprié de la posologie doit être effectué de façon à maintenir les concentrations en hémoglobine dans l'intervalle des concentrations souhaitées comprises entre 9,5 g/dl et 11 g/dl (entre 5,9 et 6,8 mmol/l). Généralement, les enfants de moins de 30 kg nécessitent des doses d'entretien plus importantes que les enfants de plus de 30 kg et que les adultes. Les doses d'entretien suivantes ont été observées au cours d'essais cliniques après 6 mois de traitement: - Poids > 30 kg . Dose moyenne : 33 UI/kg administrés 3 x par semaine . Dose d'entretien habituelle : 30 - 100 UI/kg administrés 3 x par semaine Les patients pédiatriques dont la concentration en hémoglobine initiale est très faible (< 6,8 g/dl ou < 4,25 mmol/l) peuvent avoir besoin de doses d'entretien plus importantes que les patients dont la concentration en hémoglobine initiale est plus élevée (> 6,8 g/dl ou > 4,25 mmol/l). - Anémie chez les patients en insuffisance rénale chronique non encore dialysés ou en dialyse péritonéale La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les patients en insuffisance rénale chronique atteints d'anémie non encore dialysés ou en dialyse péritonéale n'ont pas été établies. Les données actuellement disponibles sur l'administration par voie sous-cutanée de l'époétine alfa dans ces populations sont décrites à la rubrique "Propriétés pharmacodynamiques" mais aucune recommandation sur la posologie ne peut être donnée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie INITIALE | |
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Dose | 50 UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 2 /SEMAINE |
Durée de traitement |
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Posologie USUELLE | |
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Dose | de 25 UI/KG/ADMINISTRATION à 50 UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 2 /SEMAINE |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Recommandation(s) |
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Le traitement doit être initié sous le contrôle de médecins expérimentés dans le traitement de malades avec les indications ci-dessus. * Posologie Toutes les autres causes d'anémie (carence en fer, en acide folique ou en vitamine B12, intoxication à l'aluminium, infection ou inflammation, hémorragie, hémolyse et fibrose médullaire de quelque origine qu'elle soit) doivent être examinées et traitées avant d'initier le traitement par époétine zêta et au moment de décider d'augmenter la dose. Afin d'assurer une réponse optimale au traitement par époétine zêta, il convient de s'assurer que les réserves en fer sont suffisantes et un apport complémentaire en fer doit être administré si besoin (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). - Traitement de l'anémie symptomatique chez l'adulte en insuffisance rénale chronique Les symptômes et séquelles de l'anémie peuvent varier selon l'âge, le sexe et les comorbidités ; une évaluation par le médecin de l'état de santé et de l'évolution clinique de chaque patient est nécessaire. L'intervalle recommandé des concentrations en hémoglobine souhaitées est compris entre 10 g/dl et 12 g/dl (entre 6,2 et 7,5 mmol/l). Ce médicament doit être administré afin que le taux d'hémoglobine n'augmente pas au-delà de 12 g/dl (7,5 mmol/l). Toute élévation de la concentration en hémoglobine de plus de 2 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de quatre semaines doit être évitée. Si une telle élévation se produit, un ajustement posologique approprié devra être effectué comme indiqué. En raison de la variabilité intra-patient, il peut arriver occasionnellement que des concentrations en hémoglobine supérieures ou inférieures à l'intervalle des concentrations souhaitées soient observées. Cette variabilité du taux d'hémoglobine doit être gérée en ajustant la dose de façon à le maintenir dans un intervalle des concentrations compris entre 10 g/dl (6,2 mmol/l) et 12 g/dl (7,5 mmol/l). Un taux d'hémoglobine supérieur à 12 g/dl (7,5 mmol/l) doit être évité sur une période prolongée. Si le taux d'hémoglobine augmente de plus de 2 g/dl (1,25 mmol/l) par mois, ou si le taux d'hémoglobine dépasse 12 g/dl (7,5 mmol/l) sur une période prolongée, il convient de réduire la dose de ce médicament de 25 %. Si le taux d'hémoglobine dépasse 13 g/dl (8,1 mmol/l), le traitement doit être interrompu jusqu'à ce que ce taux redescende en dessous de 12 g/dl (7,5 mmol/l), après quoi le traitement par ce médicament pourra être réinstauré à une dose 25 % inférieure à la dose précédente. Les patients doivent faire l'objet d'une surveillance étroite afin de s'assurer que la dose efficace la plus faible approuvée de ce médicament est utilisée pour permettre un contrôle satisfaisant de l'anémie et des symptômes de l'anémie en maintenant le taux d'hémoglobine inférieur ou égal à 12 g/dl (7,5 mmol/l). La prudence s'impose en cas d'augmentation des doses d'un agent stimulant l'érythropoïèse (ASE) chez les patients atteints d'insuffisance rénale chronique. Chez les patients ayant une réponse faible aux ASE en matière d'hémoglobine d'autres facteurs expliquant la faible réponse devront être considérés (Cf. rubriques "Mises en garde spéciales et précautions d'emploi" et "Propriétés pharmacodynamiques"). Le traitement par ce médicament se divise en deux phases : une phase de correction et une phase d'entretien: - Patients adultes sous dialyse péritonéale Lorsque l'accès intraveineux n'est pas facilement disponible, Retacrit peut être administré par voie sous-cutanée. . Phase de correction La posologie initiale est de 50 UI/kg, 2 fois par semaine. . Phase d'entretien La dose d'entretien recommandée est comprise entre 25 UI/kg et 50 UI/kg, 2 fois par semaine à raison de 2 injections égales. Un ajustement approprié de la dose doit être effectué de façon à maintenir les concentrations en hémoglobine au niveau souhaité, entre 10 g/dl et 12 g/dl (entre 6,2 et 7,5 mmol/l). |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie INITIALE | |
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Dose | 50 UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 3 /SEMAINE |
Durée de traitement min | 4 SEMAINE(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Posologie INITIALE | |
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Dose | ADAPTER UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 3 /SEMAINE |
Durée de traitement min | 4 SEMAINE(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Posologie ENTRETIEN | |
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Dose | ADAPTER UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 3 /SEMAINE |
Durée de traitement |
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Posologie ENTRETIEN | |
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Dose | ADAPTER UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence | de 1 /2 SEMAINES à 1 /SEMAINE |
Durée de traitement |
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Posologie MAXIMALE | |
Dose | 150 UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 3 /SEMAINE |
Durée de traitement | |
Posologie MAXIMALE | |
Dose | 20000 UI/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /SEMAINE |
Durée de traitement | |
Posologie MAXIMALE | |
Dose | 40000 UI/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /2 SEMAINES |
Durée de traitement | |
Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Recommandation(s) |
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Le traitement doit être initié sous le contrôle de médecins expérimentés dans le traitement de malades avec les indications ci-dessus. * Posologie Toutes les autres causes d'anémie (carence en fer, en acide folique ou en vitamine B12, intoxication à l'aluminium, infection ou inflammation, hémorragie, hémolyse et fibrose médullaire de quelque origine qu'elle soit) doivent être examinées et traitées avant d'initier le traitement par époétine zêta et au moment de décider d'augmenter la dose. Afin d'assurer une réponse optimale au traitement par époétine zêta, il convient de s'assurer que les réserves en fer sont suffisantes et un apport complémentaire en fer doit être administré si besoin (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). - Traitement de l'anémie symptomatique chez l'adulte en insuffisance rénale chronique Les symptômes et séquelles de l'anémie peuvent varier selon l'âge, le sexe et les comorbidités ; une évaluation par le médecin de l'état de santé et de l'évolution clinique de chaque patient est nécessaire. L'intervalle recommandé des concentrations en hémoglobine souhaitées est compris entre 10 g/dl et 12 g/dl (entre 6,2 et 7,5 mmol/l). Ce médicament doit être administré afin que le taux d'hémoglobine n'augmente pas au-delà de 12 g/dl (7,5 mmol/l). Toute élévation de la concentration en hémoglobine de plus de 2 g/dl (1,25 mmol/l) sur une période de quatre semaines doit être évitée. Si une telle élévation se produit, un ajustement posologique approprié devra être effectué comme indiqué. En raison de la variabilité intra-patient, il peut arriver occasionnellement que des concentrations en hémoglobine supérieures ou inférieures à l'intervalle des concentrations souhaitées soient observées. Cette variabilité du taux d'hémoglobine doit être gérée en ajustant la dose de façon à le maintenir dans un intervalle des concentrations compris entre 10 g/dl (6,2 mmol/l) et 12 g/dl (7,5 mmol/l). Un taux d'hémoglobine supérieur à 12 g/dl (7,5 mmol/l) doit être évité sur une période prolongée. Si le taux d'hémoglobine augmente de plus de 2 g/dl (1,25 mmol/l) par mois, ou si le taux d'hémoglobine dépasse 12 g/dl (7,5 mmol/l) sur une période prolongée, il convient de réduire la dose de ce médicament de 25 %. Si le taux d'hémoglobine dépasse 13 g/dl (8,1 mmol/l), le traitement doit être interrompu jusqu'à ce que ce taux redescende en dessous de 12 g/dl (7,5 mmol/l), après quoi le traitement par ce médicament pourra être réinstauré à une dose 25 % inférieure à la dose précédente. Les patients doivent faire l'objet d'une surveillance étroite afin de s'assurer que la dose efficace la plus faible approuvée de ce médicament est utilisée pour permettre un contrôle satisfaisant de l'anémie et des symptômes de l'anémie en maintenant le taux d'hémoglobine inférieur ou égal à 12 g/dl (7,5 mmol/l). La prudence s'impose en cas d'augmentation des doses d'un agent stimulant l'érythropoïèse (ASE) chez les patients atteints d'insuffisance rénale chronique. Chez les patients ayant une réponse faible aux ASE en matière d'hémoglobine d'autres facteurs expliquant la faible réponse devront être considérés (Cf. rubriques "Mises en garde spéciales et précautions d'emploi" et "Propriétés pharmacodynamiques"). Le traitement par ce médicament se divise en deux phases : une phase de correction et une phase d'entretien: - Patients adultes insuffisants rénaux non encore dialysés Lorsque l'accès intraveineux n'est pas facilement disponible, Ce médicament peut être administré par voie sous-cutanée. . Phase de correction La posologie initiale est de 50 UI/kg, 3 fois par semaine, suivie si nécessaire d'une augmentation de la posologie par paliers de 25 UI/kg (3 fois par semaine) jusqu'à atteindre le but souhaité (par palier d'au moins quatre semaines). . Phase d'entretien Au cours de la phase d'entretien, ce médicament peut être administré soit 3 fois par semaine, soit, dans le cas d'une administration sous-cutanée, une fois par semaine ou une fois toutes les 2 semaines. Un ajustement approprié de la dose et des intervalles entre les doses doit être effectué de façon à maintenir l'hémoglobine à la concentration souhaitée : hémoglobine comprise entre 10 g/dl et 12 g/dl (entre 6,2 et 7,5 mmol/l). En cas d'allongement de l'intervalle entre les doses, une augmentation de la dose peut être nécessaire. La posologie maximale ne doit pas excéder 150 UI/kg, 3 fois par semaine, 240 UI/kg (jusqu'à un maximum de 20 000 UI) une fois par semaine, ou 480 UI/kg (jusqu'à un maximum de 40 000 UI) une fois toutes les 2 semaines. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie INITIALE | |
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Dose | 150 UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 3 /SEMAINE |
Durée de traitement |
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Posologie INITIALE | |
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Dose | 450 UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /SEMAINE |
Durée de traitement |
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Posologie ENTRETIEN | |
Dose | ADAPTER UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 3 /SEMAINE |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Recommandation(s) |
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Le traitement doit être initié sous le contrôle de médecins expérimentés dans le traitement de malades avec les indications ci-dessus. * Posologie Toutes les autres causes d'anémie (carence en fer, en acide folique ou en vitamine B12, intoxication à l'aluminium, infection ou inflammation, hémorragie, hémolyse et fibrose médullaire de quelque origine qu'elle soit) doivent être examinées et traitées avant d'initier le traitement par époétine zêta et au moment de décider d'augmenter la dose. Afin d'assurer une réponse optimale au traitement par époétine zêta, il convient de s'assurer que les réserves en fer sont suffisantes et un apport complémentaire en fer doit être administré si besoin (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). - Traitement des patients adultes présentant une anémie induite par la chimiothérapie Les symptômes et séquelles de l'anémie peuvent varier selon l'âge, le sexe et l'impact global de la maladie ; une évaluation par le médecin de l'état de santé et de l'évolution clinique de chaque patient est nécessaire. Retacrit doit être administré aux patients atteints d'anémie (p. ex., concentration en hémoglobine = 10 g/dl [6,2 mmol/l]). La posologie initiale est de 150 UI/kg, par voie sous-cutanée, 3 fois par semaine. Il est également possible d'administrer ce médicament à une posologie initiale de 450 UI/kg, par voie souscutanée, une fois par semaine. Un ajustement approprié de la dose doit être effectué de façon à maintenir les concentrations en hémoglobine dans l'intervalle des concentrations souhaitées compris entre 10 g/dl et 12 g/dl (entre 6,2 et 7,5 mmol/l). En raison de la variabilité intra-patient, il peut arriver occasionnellement que des concentrations en hémoglobine supérieures ou inférieures à l'intervalle des concentrations souhaitées soient observées. Cette variabilité du taux d'hémoglobine doit être gérée en ajustant la dose de façon à le maintenir dans un intervalle des concentrations souhaitées compris entre 10 g/dl (6,2 mmol/l) et 12 g/dl (7,5 mmol/l). Une concentration en hémoglobine supérieure à 12 g/dl (7,5 mmol/l) doit être évitée sur une période prolongée ; les recommandations relatives à l'adaptation posologique appropriée lorsque les concentrations en hémoglobine sont supérieures à 12 g/dl (7,5 mmol/l) sont décrites ci-dessous (Cf. RCP, schéma posologique non reproduit ici) : - Si la concentration en hémoglobine a augmenté d'au moins 1 g/dl (0,62 mmol/l) ou que le taux de réticulocytes a augmenté à = 40 000 cellules/µL au-dessus des valeurs initiales au bout de 4 semaines de traitement, la dose doit rester de 150 UI/kg 3 fois par semaine ou de 450 UI/kg une fois par semaine. - Si la hausse de la concentration en hémoglobine est < 1 g/dl (< 0,62 mmol/l) et que le taux de réticulocytes a augmenté < 40 000 cellules/µl au-dessus des valeurs initiales, il convient d'augmenter la dose à 300 UI/kg 3 fois par semaine. Si après 4 semaines de traitement supplémentaires à raison de 300 UI/kg 3 fois par semaine, la concentration en hémoglobine a augmenté = 1 g/dl (= 0,62 mmol/l) ou que le taux de réticulocytes a augmenté à = 40 000 cellules/µl, la dose doit rester de 300 UI/kg 3 fois par semaine. - Si la concentration en hémoglobine a augmenté de < 1 g/dl (< 0,62 mmol/l) et que le taux de réticulocytes a augmenté < 40 000 cellules/µl au-dessus des valeurs initiales, la réponse est peu probable et le traitement doit être arrêté. Ajustement posologique pour maintenir la concentration en hémoglobine entre 10 g/dl et 12 g/dl (entre 6,2 et 7,5 mmol/l) : - Si la concentration en hémoglobine augmente de plus de 2 g/dl (1,25 mmol/l) par mois ou si la concentration en hémoglobine dépasse 12 g/dl (7,5 mmol/l), réduire la dose de ce médicament d'environ 25 à 50 %. - Si la concentration en hémoglobine dépasse 13 g/dl (8,1 mmol/l), le traitement doit être arrêté jusqu'à ce que cette concentration redescende en dessous de 12 g/dl (7,5 mmol/l) après quoi le traitement par ce médicament pourra être réinstauré à une dose 25 % inférieure à la dose précédente. Les patients doivent faire l'objet d'une surveillance étroite pour s'assurer que la plus faible dose d'ASE est utilisée afin de permettre le contrôle de façon adéquate des symptômes de l'anémie. Le traitement par ce médicament doit être poursuivi pendant encore un mois après la fin de la chimiothérapie. * Traitement des patients pédiatriques présentant une anémie induite par la chimiothérapie La sécurité et l'efficacité de l'époétine alfa chez les patients pédiatriques recevant une chimiothérapie n'ont pas été établies (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | 600 UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 2 /SEMAINE |
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Durée de traitement max | 3 SEMAINE(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Recommandation(s) |
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Le traitement doit être initié sous le contrôle de médecins expérimentés dans le traitement de malades avec les indications ci-dessus. * Posologie Toutes les autres causes d'anémie (carence en fer, en acide folique ou en vitamine B12, intoxication à l'aluminium, infection ou inflammation, hémorragie, hémolyse et fibrose médullaire de quelque origine qu'elle soit) doivent être examinées et traitées avant d'initier le traitement par époétine zêta et au moment de décider d'augmenter la dose. Afin d'assurer une réponse optimale au traitement par époétine zêta, il convient de s'assurer que les réserves en fer sont suffisantes et un apport complémentaire en fer doit être administré si besoin (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). -Traitement des patients adultes devant subir une intervention chirurgicale inclus dans des programmes de transfusion autologue Les patients légèrement anémiques (hématocrite de 33 à 39 %) nécessitant un pré-dépôt de > ou = 4 unités de sang doivent être traités par ce médicament à la dose de 600 UI/kg par voie intraveineuse, 2 fois par semaine pendant 3 semaines avant l'intervention. ce médicament doit être administré une fois la procédure de don sanguin terminée. - Traitement des patients pédiatriques devant subir une intervention chirurgicale inclus dans un programme de transfusion autologue programmée La sécurité et l'efficacité de l'époétine alfa chez les patients pédiatriques n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
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Dose | 600 UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /SEMAINE |
Durée de traitement max | 3 SEMAINE(S) LE 21EME JOUR DU TRAITEMENT LE 14EME JOUR DU TRAITEMENT LE 7EME JOUR DU TRAITEMENT LE JOUR DE L'INTERVENTION AVANT L'INTERVENTION |
Posologie USUELLE | |
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Dose | 600 UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 FOIS |
Durée de traitement |
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Posologie USUELLE | |
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Dose | 300 UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement max | 10 JOUR(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Posologie USUELLE | |
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Dose | 300 UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 FOIS |
Durée de traitement |
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Posologie USUELLE | |
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Dose | 300 UI/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement max | 4 JOUR(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Recommandation(s) |
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Le traitement doit être initié sous le contrôle de médecins expérimentés dans le traitement de malades avec les indications ci-dessus. * Posologie - Traitement des patients adultes devant subir une intervention chirurgicale orthopédique majeure programmée La posologie recommandée est de 600 UI/kg de ce médicament, administré par voie sous-cutanée, une fois par semaine pendant trois semaines (les jours -21, -14 et -7) avant l'intervention, ainsi que le jour de l'intervention. Dans le cas où le délai avant l'intervention chirurgicale doit être réduit pour des raisons médicales à moins de trois semaines, ce médicament à la dose de 300 UI/kg devra être administré par voie sous-cutanée, tous les jours pendant 10 jours consécutifs avant l'intervention, le jour de l'intervention et pendant les 4 jours suivant l'intervention. Si le taux d'hémoglobine atteint 15 g/dl (9,38 mmol/l) ou plus pendant la période préopératoire, l'administration de ce médicament doit être interrompue et les doses ultérieures initialement prévues ne doivent pas être administrées. - Traitement des patients pédiatriques devant subir une intervention chirurgicale orthopédique majeure programmée La sécurité et l'efficacité de l'époétine alfa chez les patients pédiatriques n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie INITIALE | |
Dose | 40000 UI/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /SEMAINE |
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Durée de traitement | |
Posologie MAXIMALE | |
Dose | 80000 UI/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /SEMAINE |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Recommandation(s) |
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Le traitement doit être initié sous le contrôle de médecins expérimentés dans le traitement de malades avec les indications ci-dessus. * Posologie - Traitement des patients adultes atteints d'un SMD de risque faible ou intermédiaire 1 Ce médicament doit être administré aux patients présentant une anémie symptomatique (c-à-d. taux d'hémoglobine < ou= 10 g/dl (6,2 mmol/l)). La dose initiale recommandée est de 450 UI/kg de ce médicament (la dose totale maximale est de 40 000 UI) administrée par voie sous-cutanée une fois par semaine, à intervalles d'au moins 5 jours entre les doses. Des adaptations posologiques appropriées doivent être instaurées afin de maintenir des concentrations d'hémoglobine comprises dans l'intervalle cible de 10 g/dl à 12 g/dl (6,2 à 7,5 mmol/l). Il est recommandé d'évaluer la réponse érythroïde initiale 8 à 12 semaines suivant l'initiation du traitement. Les augmentations et diminutions de dose doivent être effectuées par paliers de dose successifs (voir le diagramme du RCP, non reproduit ici). Une concentration en hémoglobine supérieure à 12 g/dl (7,5 mmol/l) doit être évitée. . Augmentation de dose La dose ne doit pas être augmentée au-delà de 1 050 UI/kg (dose totale de 80 000 UI) par semaine. Si le patient perd la réponse ou que la concentration en hémoglobine chute de = 1 g/dl après la réduction de dose, celle-ci doit être augmentée d'un palier de dose. Un délai minimum de 4 semaines doit être respecté entre les augmentations de dose. . Suspension et diminution de dose L'époétine zéta doit être suspendue lorsque la concentration d'hémoglobine dépasse 12 g/dl (7,5 mmol/l). Une fois que le taux d'hémoglobine est < 11 g/dl, la dose peut être redémarrée sur le même palier de dose ou sur un palier inférieur selon l'évaluation du médecin. Une diminution d'un palier de dose peut être envisagée en cas d'augmentation rapide du taux d'hémoglobine (> 2 g/dl sur 4 semaines). |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Modalité(s) |
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* Voie et mode d'administration - Précautions à prendre avant la manipulation ou l'administration du médicament. Avant utilisation, laisser reposer la seringue de ce médicament jusqu'à ce qu'elle atteigne la température ambiante. Cela prend habituellement 15 à 30 minutes. - Traitement de l'anémie symptomatique chez l'adulte en insuffisance rénale chronique Chez les patients atteints d'insuffisance rénale chronique chez qui l'accès intraveineux est couramment disponible (patients sous hémodialyse), l'administration de ce médicament par voie intraveineuse est préférable. Lorsque l'accès intraveineux n'est pas facilement disponible (patients non encore dialysés et patients en dialyse péritonéale), ce médicament peut être administré par injection sous-cutanée. - Traitement des patients adultes présentant une anémie induite par la chimiothérapie Ce médicamentt doit être administré par injection sous-cutanée. - Traitement des patients adultes devant subir une intervention chirurgicale inclus dans un programme de transfusion autologue Ce médicament doit être administré par voie intraveineuse. - Traitement des patients adultes devant subir une intervention chirurgicale orthopédique majeure programmée Ce médicament doit être administré par injection sous-cutanée. - Traitement des patients adultes atteints d'un SMD de risque faible ou intermédiaire 1 Ce médicament doit être administré par injection sous-cutanée. - Traitement de l'anémie symptomatique chez les patients pédiatriques en insuffisance rénale chronique hémodialysés Chez les patients pédiatriques en insuffisance rénale chronique chez lesquels l'accès intraveineux est couramment disponible (patients sous hémodialyse), l'administration de ce médicament par voie intraveineuse est préférable. * Administration par voie intraveineuse Administrer en 1 à 5 minutes au moins, selon la dose totale. Chez les patients sous hémodialyse, l'injection d'un bolus peut être pratiquée pendant la séance de dialyse via un port veineux adapté sur la ligne de dialyse. Sinon, l'injection peut être pratiquée à l'issue de la séance de dialyse via la tubulure d'une aiguille à fistule, suivie de 10 mL de soluté isotonique pour rincer la tubulure et garantir l'injection satisfaisante du produit dans le flux sanguin (voir Posologie, Patients adultes sous hémodialyse). Une administration plus lente est préférable chez les patients qui réagissent au traitement par des symptômes pseudo-grippaux (Cf. rubrique "Effets indérisables"). Ne pas administrer ce médicament par perfusion intraveineuse ou concomitamment à d'autres solutions médicamenteuses (veuillez vous reporter à la rubrique "Précautions particulières d'élimination et de manipulation" pour plus d'informations). * Administration par voie sous-cutanée Un volume maximal de 1 mL ne doit généralement pas être dépassé à un site d'injection. En cas de volumes plus importants, il convient de choisir plusieurs sites pour l'injection. Les injections doivent être administrées au niveau des membres ou de la paroi abdominale antérieure. Dans les cas où le médecin estime qu'un patient ou son aidant peut administrer lui-même ce médicament par voie sous-cutanée en toute sécurité et avec efficacité, des instructions sur la posologie et l'administration appropriées doivent être fournies. Comme avec tout autre produit injectable, vérifier que la solution ne contient pas de particules et n'a pas changé de couleur. Les "instructions pour pratiquer soi-même les injections" se trouvent à la fin de la notice. * Information sur le mode d'administration (Cf. Notice) - Instructions pour pratiquer soi-même les injections de ce médicament Au début du traitement, ce médicament est en général injecté par un professionnel médical ou un(e) infirmier/ère. Par la suite, votre médecin peut suggérer que vous ou votre aidant appreniez comment injecter ce médicament sous la peau (par voie sous-cutanée). Si ce médicament est injecté sous la peau (par voie sous-cutanée), la quantité injectée n'est habituellement pas supérieure à un millilitre (1 ml) pour une seule injection. - Comment vous auto-injecter le produit en utilisant une seringue préremplie si votre seringue préremplie est équipée d'un dispositif de sécurité de l'aiguille attaché à la seringue afin de se protéger des piqûres : . Sortez une seringue du réfrigérateur. Le liquide doit revenir à température ambiante. Ne retirez pas le capuchon de l'aiguille tant que le produit n'a pas atteint la température ambiante. . Vérifiez la seringue afin de vous assurer que la dose est la bonne, que la date de péremption n'est pas dépassée, que la seringue n'est pas abîmée et que le liquide est limpide et non congelé. . Choisissez un site d'injection. Les sites d'injection appropriés se situent en haut de la cuisse et sur le ventre (abdomen), mais loin du nombril. Changez de site d'un jour à l'autre. . Lavez-vous les mains. Désinfectez le site d'injection avec une compresse imbibée d'antiseptique. . Tenez la seringue préremplie par le corps de la seringue avec l'aiguille recouverte du capuchon dirigée vers le haut. . Ne tenez pas la seringue par le piston ni par le capuchon de l'aiguille. . Ne manipulez pas le piston, à aucun moment. . Ne retirez pas le capuchon de l'aiguille de la seringue préremplie tant que vous n'êtes pas prêt à injecter le médicament. . Enlevez le capuchon de l'aiguille en tenant la seringue, tout en tirant le capuchon avec précaution sans le tourner. Ne poussez pas le piston, ne touchez pas l'aiguille et ne secouez pas la seringue. . Pincez la peau entre votre pouce et votre index afin de créer un pli, sans l'écraser. . Piquez l'aiguille complètement. Votre médecin ou votre infirmier/ère vous a montré comment procéder. . Appuyez sur le piston, en tenant la collerette entre vos doigts, jusqu'à ce que toute la dose soit injectée. Le dispositif de sécurité de l'aiguille NE s'activera PAS tant que TOUTE la dose n'aura pas été injectée. . Retirez l'aiguille de votre peau, puis relâchez le piston et laissez remonter la seringue jusqu'à ce que l'aiguille soit entièrement protégée. . La seringue se bloque dans cette position. . Quand l'aiguille est retirée de votre peau, il se peut que vous saigniez. Ceci est normal. Vous pourrez alors presser dessus un coton imbibé d'antiseptique pendant quelques secondes. . Jetez votre seringue usagée dans un conteneur conçu à cet effet. N'essayez pas de remettre le capuchon protecteur de l'aiguille. . Ne jetez jamais vos seringues usagées à la poubelle. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Terrain N° 1 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | ERYTHROBLASTOPENIE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | APLASIE MEDULLAIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | HYPERTENSION ARTERIELLE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Les patients développant une érythroblastopénie ou aplasie érythrocytaire pure acquise (AEPA) et sous traitement par une érythropoïétine ne doivent pas recevoir ce médicament ou une autre érythropoïétine (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi") |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | INFARCTUS DU MYOCARDE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | ANGOR
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | MALADIE THROMBOEMBOLIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | PATHOLOGIE CORONARIENNE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | INSUFFISANCE CORONARIENNE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | CARDIOPATHIE ISCHEMIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | TROUBLE ARTERIEL PERIPHERIQUE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | ACCIDENT VASCULAIRE CEREBRAL |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | PATHOLOGIE CEREBRALE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | MALADIE CEREBROVASCULAIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 16 | TERRAIN CI PROPHYLAXIE ANTITHROMBOTIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 17 | MODE D'ADMINISTRATION PARTICULIER
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Niveau(x) |
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Ce médicament ne doit pas être administré par perfusion intraveineuse. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 18 | TERRAIN CI PROGRAMME DON SANG AUTOLOGUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 19 | ALLAITEMENT |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Ce médicament est contre-indiqué dans les situations suivantes: - Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique "Composition" - Les patients développant une érythroblastopénie ou aplasie érythrocytaire pure acquise (AEPA) et sous traitement par une érythropoïétine ne doivent pas recevoir ce médicament ou une autre érythropoïétine (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). - Hypertension non contrôlée. - Toutes les contre-indications associées aux programmes de transfusion autologue programmée doivent être respectées chez les patients recevant une supplémentation par ce médicament. - Chez les patients devant subir une intervention chirurgicale orthopédique majeure programmée et ne participant pas à un programme de transfusion autologue programmée, l'utilisation de ce médicament est contre-indiquée chez les patients présentant une pathologie vasculaire sévère coronarienne, artérielle périphérique, carotidienne ou cérébrale, incluant les patients ayant des antécédents récents d'infarctus du myocarde ou d'accident vasculaire cérébral. - Les patients en chirurgie qui, pour quelle que raison que ce soit, ne peuvent pas recevoir de prophylaxie adéquate par antithrombotiques. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 |
Terrain N° 20 | PHENYLCETONURIE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient de la phénylalanine comme excipient. - Voie d'administration : Toutes - Seuil : Zéro - Information pour la notice Ce médicament contient x mg de phénylalanine par <dose><volume unitaire> <équivalent à x mg/<poids><volume>>. La phénylalanine peut être dangereuse pour les personnes atteintes de phénylcétonurie (PCU), une maladie génétique rare caractérisée par l'accumulation de phénylalanine ne pouvant être éliminée correctement. Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 21 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Ce médicament contient de la phénylalanine comme excipient. - Voie d'administration : Toutes - Seuil : Zéro - Information pour la notice Ce médicament contient x mg de phénylalanine par <dose><volume unitaire> <équivalent à x mg/<poids><volume>>. La phénylalanine peut être dangereuse pour les personnes atteintes de phénylcétonurie (PCU), une maladie génétique rare caractérisée par l'accumulation de phénylalanine ne pouvant être éliminée correctement. Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 1 | HYPERTENSION ARTERIELLE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | EPILEPSIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | CONVULSIONS |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | INSUFFISANCE HEPATIQUE
|
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | CARENCE EN FER |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | ANEMIE HEMOLYTIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | SYNDROME HEMORRAGIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | MALADIE HEMORRAGIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | TROUBLE DE LA COAGULATION |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | TROUBLE DE L'HEMOSTASE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | HEMOPHILIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | SAIGNEMENT VEINEUX OU ARTERIEL IMPORTANT |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | CARENCE EN VITAMINE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | INTERVENTION CHIRURGICALE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 16 | MODE D'ADMINISTRATION PARTICULIER
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 17 | INTOXICATION MEDICAMENTEUSE OU CHIMIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 18 | INFECTION |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 19 | SYNDROME INFLAMMATOIRE CHRONIQUE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 20 | LESION INFLAMMATOIRE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 21 | TRAUMATISME |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 22 | MYELOFIBROSE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 23 | IMMUNISATION
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 24 | HYPERKALIEMIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 25 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
|
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 26 | OBESITE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 27 | THROMBOSE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 28 | EMBOLIE PULMONAIRE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 29 | TUMEUR
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 30 | AFFECTION MALIGNE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 31 | PHENYLCETONURIE |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 32 | GROSSESSE |
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Par conséquent, l'érythropoïétine doit être généralement utilisée pendant la grossesse uniquement si le bénéfice potentiel l'emporte sur le risque potentiel pour le foetus. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 33 | ERYTHROBLASTOPENIE |
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Terrain N° 34 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 35 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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- Traçabilité Afin d'améliorer la traçabilité des médicaments biologiques, le nom et le numéro de lot du produit administré doivent être clairement enregistrés. - Informations générales Chez tous les patients recevant de l'époétine zêta, la tension artérielle doit être étroitement surveillée et contrôlée au besoin. L'époétine zêta doit être utilisée avec précaution en présence d'une hypertension non traitée, insuffisamment traitée ou difficilement contrôlable. Il peut être nécessaire d'ajouter ou d'augmenter le traitement anti-hypertenseur. Si la pression artérielle ne peut être contrôlée, le traitement par époétine zêta doit être arrêté. Des crises hypertensives avec encéphalopathie et convulsions, nécessitant un traitement médical immédiat et une prise en charge en soins intensifs, sont également survenues pendant le traitement par l'époétine zêta chez des patients dont la pression artérielle était précédemment normale ou basse. Une attention particulière doit être accordée aux céphalées violentes pseudo-migraineuses d'apparition brutale, comme un possible signal d'alarme (Cf. rubrique "Effets indésirables"). L'époétine zêta doit être utilisée avec prudence chez les patients épileptiques ayant des antécédents de convulsions ou ayant des pathologies associées à une prédisposition aux convulsions, comme les infections du SNC et les métastases cérébrales. L'époétine zêta doit être utilisée avec précaution chez les patients présentant une insuffisance hépatique chronique. La sécurité de l'époétine zêta n'a pas été établie chez les patients ayant un dysfonctionnement hépatique. Une augmentation de l'incidence des événements vasculaires thrombotiques (EVT) a été observée chez les patients recevant des ASE (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Ces événements incluent les thromboses veineuses et artérielles et les embolies (dont certaines d'issue fatale), telles que thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire, thrombose rétinienne et infarctus du myocarde. Par ailleurs, des accidents vasculaires cérébraux (incluant infarctus cérébral, hémorragie cérébrale et accidents ischémiques transitoires) ont été rapportés. Le risque rapporté d'EVT doit être soigneusement évalué au regard du bénéfice du traitement par époétine zêta, en particulier chez les patients ayant des facteurs de risque préexistants d'EVT, incluant obésité et antécédents d'EVT (p. ex., thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire et accident vasculaire cérébral). Les taux d'hémoglobine doivent être étroitement surveillés chez l'ensemble des patients en raison du risque potentiellement accru d'événements thromboemboliques et d'issue fatale lorsque le traitement est administré en présence de taux d'hémoglobine supérieurs à l'intervalle de concentration correspondant à l'indication utilisée. Une hausse modérée du taux de plaquettes, dépendante de la dose, au-delà des limites normales peut être observée pendant le traitement par époétine zêta. Celle-ci régresse pendant le cours du traitement. En outre, une thrombocytémie supérieure aux limites de la normale a été rapportée. Il est conseillé de surveiller régulièrement le taux de plaquettes pendant les 8 premières semaines de traitement. Toutes les autres causes d'anémie (carence en fer, en acide folique ou en vitamine B12, intoxication à l'aluminium, infection ou inflammation, hémorragie, hémolyse et fibrose médullaire de quelque origine qu'elle soit) doivent être examinées et traitées avant l'initiation du traitement par époétine zêta et lors de la décision d'augmenter la posologie. Dans la plupart des cas, les concentrations sériques en ferritine chutent simultanément à la hausse de la valeur d'hématocrites. Pour garantir une réponse optimale à l'époétine zêta, des réserves en fer adéquates doivent être assurées et une supplémentation en fer doit être administrée si besoin (Cf. rubrique "Posologie") : . Pour les patients ayant une insuffisance rénale chronique, une supplémentation en fer (200 à 300 mg/jour de fer élémentaire par voie orale chez les adultes et 100 à 200 mg/jour par voie orale chez les enfants) est recommandée si les valeurs de ferritine sont inférieures à 100 ng/ml. . Pour les patients atteints d'un cancer, une supplémentation en fer (200 à 300 mg/jour de fer élémentaire par voie orale) est recommandée si la saturation en transferrine est inférieure à 20 %. . Pour les patients participant à un programme de transfusion autologue programmée, une supplémentation en fer (200 mg/jour de fer élémentaire par voie orale) doit être administrée plusieurs semaines en amont de l'instauration du prélèvement autologue afin de constituer des réserves en fer élevées avant d'instaurer le traitement par époétine zêta, et pendant toute la durée du traitement par époétine zêta. . Chez les patients devant subir une intervention chirurgicale orthopédique majeure programmée, une supplémentation en fer (200 mg/jour de fer élémentaire par voie orale) doit être administrée pendant toute la durée du traitement par l'époétine zêta. Si possible, la supplémentation en fer doit être instaurée avant le début du traitement par époétine zêta afin de constituer des réserves en fer suffisantes. Dans de très rares cas, l'apparition ou l'exacerbation d'une porphyrie a été observée chez des patients traités par époétine zêta. L'époétine zêta doit être utilisée avec précaution chez les patients atteints de porphyrie. Des réactions indésirables cutanées sévères (SCAR), dont le syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et le syndrome de Lyell, pouvant engager le pronostic vital ou être fatales ont été signalées dans le cadre de traitements à base d'époétine. Des cas plus graves ont été observés lors de l'utilisation d'époétines à longue durée d'action. Au moment de la prescription, les patients doivent être informés des signes et symptômes et faire l'objet d'une surveillance étroite des réactions cutanées. Si des signes ou symptômes évoquant l'une de ces réactions apparaissent, ce médicament doit être arrêté immédiatement et un traitement de substitution doit être envisagé. Si le patient a développé une réaction cutanée sévère telle que le SSJ ou le syndrome de Lyell en raison de l'utilisation de ce médicament, il ne faut jamais réintroduire un traitement à base de ce médicament chez ce patient. Un changement d'ASE chez un patient doit être effectué exclusivement sous surveillance appropriée. - Erythroblastopénies (aplasie érythrocytaire pure acquise, AEPA) Des érythroblastopénies médiées par des anticorps ont été rapportées après plusieurs mois ou années de traitement par époétine. Des cas ont également été rapportés chez des patients atteints d'hépatite C traités par interféron et ribavirine lors de l'utilisation concomitante d'ASE. L'époétine zêta n'a pas été approuvée dans le cadre de la prise en charge de l'anémie associée à l'hépatite C. Chez les patients présentant une perte soudaine de l'efficacité définie par une baisse de l'hémoglobine (de 1 à 2 grammes/dl par mois) avec augmentation des besoins transfusionnels, une numération des réticulocytes devra être réalisée et les causes habituelles de non-réponse (p. ex., carence en fer, en acide folique ou en vitamine B12, intoxication à l'aluminium, infection ou inflammation, hémorragie, hémolyse et fibrose médullaire quelle qu'en soit l'origine) devront être recherchées. L'apparition d'une diminution paradoxale de la concentration en hémoglobine et d'une anémie sévère associée à de faibles numérations des réticulocytes impose l'interruption du traitement par époétine zêta et la recherche d'anticorps anti-érythropoïétine. Un examen de la moelle osseuse devra également être envisagé pour le diagnostic d'une éventuelle érythroblastopénie. Aucun autre traitement par ASE ne doit être initié en raison du risque de réaction croisée. - Traitement de l'anémie symptomatique chez les patients adultes et pédiatriques présentant une insuffisance rénale chronique Chez les patients présentant une insuffisance rénale chronique traités par époétine zêta, les taux d'hémoglobine doivent être mesurés régulièrement jusqu'à ce qu'une concentration stable soit atteinte, et de façon périodique par la suite. Chez les patients présentant une insuffisance rénale chronique, le taux d'hémoglobine doit augmenter d'environ 1 gramme/dl (0,62 mmol/litre) par mois et ne pas dépasser 2 grammes/dl (1,25 mmol/litre) par mois afin de minorer les risques d'aggravation d'une hypertension. Chez les patients présentant une insuffisance rénale chronique, la concentration en hémoglobine à la dose d'entretien ne doit pas dépasser la limite supérieure de l'intervalle des concentrations en hémoglobine recommandé dans la rubrique "Posologie". Lors des essais cliniques, un risque accru de décès et d'événements cardiovasculaires graves a été observé lorsque des ASE ont été administrés en vue d'atteindre une concentration en hémoglobine supérieure à 12 grammes/dl (7,5 mmol/litre). Les essais cliniques contrôlés n'ont pas montré d'effets bénéfiques significatifs attribuables à l'administration des époétines lorsque la concentration en hémoglobine dépassait le niveau nécessaire au contrôle des symptômes de l'anémie et pour éviter une transfusion sanguine. La prudence s'impose en cas d'escalade de doses de ce médicament chez les patients présentant une insuffisance rénale chronique car des doses cumulées d'époétine élevées peuvent être associées à un risque accru de mortalité et d'événements graves cardiovasculaires et cérébrovasculaires. Chez les patients ayant une réponse faible aux époétines en matière d'hémoglobine, d'autres facteurs expliquant cette faible réponse devront être considérés (Cf. rubriques "Posologie" et "Propriétés pharmacodynamiques"). Les patients en insuffisance rénale chronique traités par époétine zêta par voie sous-cutanée doivent être surveillés régulièrement pour détecter une perte d'efficacité définie par une absence ou une diminution de la réponse au traitement par époétine zêta chez des patients ayant préalablement répondu à un tel traitement. Cela se traduit par une diminution prolongée du taux d'hémoglobine malgré une augmentation de la dose d'époétine zêta (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Certains patients ayant un intervalle d'administration d'époétine zêta plus long (supérieur à une semaine) peuvent ne pas maintenir un taux d'hémoglobine approprié (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques") et peuvent nécessiter une augmentation de la dose d'époétine zêta. Les taux d'hémoglobine doivent être surveillés régulièrement. Des thromboses du shunt se sont produites chez des patients sous hémodialyse, en particulier chez les patients ayant tendance à l'hypotension ou présentant des complications au niveau de leur fistule artérioveineuse (p. ex., sténoses, anévrismes, etc...). Une révision anticipée du shunt et une prophylaxie anti-thrombotique par administration d'acide acétylsalicylique, par exemple, est conseillée chez ces patients. Une hyperkaliémie a été observée dans des cas isolés, bien que le lien de causalité n'ait pas été établi. La mesure des électrolytes sériques doit être réalisée chez les patients présentant une insuffisance rénale chronique. En cas d'hyperkaliémie ou d'augmentation de la kaliémie, en plus du traitement approprié de l'hyperkaliémie, l'arrêt de l'administration d'époétine zêta doit être envisagé jusqu'à correction de l'hyperkaliémie. Lors d'un traitement par époétine zêta, l'augmentation de l'hématocrite rend souvent nécessaire d'augmenter les doses d'héparine pendant l'hémodialyse. Une obstruction du système de dialyse peut survenir si l'héparinisation n'est pas optimale. D'après les données disponibles à ce jour, la correction de l'anémie par époétine zêta chez les patients insuffisants rénaux non encore dialysés n'accélère pas l'évolution de l'insuffisance rénale. - Traitement des patients présentant une anémie induite par la chimiothérapie Chez les patients atteints d'un cancer traités par époétine zêta, les taux d'hémoglobine doivent être mesurés régulièrement jusqu'à ce qu'ils se stabilisent, et de façon périodique par la suite. Les époétines sont des facteurs de croissance qui stimulent essentiellement la production de globules rouges. Des récepteurs à l'érythropoïétine peuvent être exprimés à la surface de diverses cellules tumorales. Comme pour tout facteur de croissance, il n'est pas exclu que les époétines puissent stimuler la croissance des tumeurs. Le rôle des ASE sur la progression tumorale ou sur la réduction de la survie sans progression ne peut être exclu. Lors des essais cliniques contrôlés, l'utilisation d'époétine zêta et d'autres ASE a été associée à une réduction du contrôle locorégional de la tumeur ou à un raccourcissement de la durée de survie globale : . réduction du contrôle locorégional chez des patients atteints d'un cancer de la tête et du cou traités par radiothérapie lorsque l'administration visait une concentration en hémoglobine supérieure à 14 grammes/dl (8,7 mmol/litre) ; . raccourcissement de la durée de survie globale et augmentation des décès imputables à la progression de la maladie à 4 mois chez des patients atteints d'un cancer du sein métastatique traités par chimiothérapie lorsque l'administration visait un intervalle de concentrations en hémoglobine entre 12 et 14 grammes/dl (7,5 à 8,7 mmol/litre) ; . augmentation du risque de décès lorsque l'administration visait une concentration en hémoglobine de 12 grammes/dl (7,5 mmol/litre) chez des patients atteints de tumeurs actives et ne recevant ni chimiothérapie ni radiothérapie. L'utilisation des ASE n'est pas indiquée chez cette population de patients ; . observation d'une augmentation de 9 % du risque de progression de la maladie ou de décès dans le groupe époétine zêta plus traitement de référence lors d'une analyse primaire et augmentation de 15 % du risque ne pouvant être écartée statistiquement chez des patients atteints d'un cancer du sein métastatique traités par chimiothérapie lorsque l'administration visait un intervalle de concentrations en hémoglobine entre 10 et 12 grammes/dl (6,2 à 7,5 mmol/litre). Au vu des informations ci-dessus, dans certaines situations cliniques, la transfusion sanguine doit être le traitement privilégié de l'anémie chez les patients atteints d'un cancer. La décision d'administrer le traitement par érythropoïétine recombinante doit être déterminée sur la base d'une évaluation du rapport bénéfice/risque prenant en compte l'avis du patient dans son contexte clinique spécifique. Les facteurs à considérer dans cette évaluation doivent inclure le type de tumeur et son stade, le degré de l'anémie, l'espérance de vie, l'environnement dans lequel le patient est traité et la préférence du patient (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). Lors de l'évaluation du caractère approprié d'un traitement par époétine zêta chez les patients atteints d'un cancer traités par chimiothérapie (patients à risque d'être transfusés), il faut tenir compte du fait que l'apparition des globules rouges induits par l'érythropoïétine suit l'administration de l'ASE avec un délai de 2 à 3 semaines. - Transfusions autologues programmées chez les patients devant subir une intervention chirurgicale Toutes les mises en garde et précautions d'emploi particulières associées aux transfusions autologues programmées, en particulier celles liées au remplissage vasculaire de routine, doivent être respectées. - Patients adultes devant subir une intervention chirurgicale orthopédique majeure programmée Les bonnes pratiques de gestion du sang doivent toujours être pratiquées dans le cadre périchirurgical. Les patients devant subir une intervention chirurgicale orthopédique majeure programmée doivent recevoir une prophylaxie antithrombotique appropriée, dans la mesure où des événements thromboemboliques peuvent survenir en chirurgie, particulièrement chez ceux présentant une pathologie cardiovasculaire sous-jacente. En outre, des précautions particulières doivent être prises chez les patients à risque de développer des thromboses veineuses profondes (TVP). De plus, chez les patients dont le taux d'hémoglobine initial est > 13 grammes/dl (> 8,1 mmol/litre), la possibilité que le traitement par époétine zêta puisse être associé à un risque accru d'événements thromboemboliques postopératoires ne peut être exclue. En conséquence, l'époétine zêta ne doit pas être utilisée chez les patients dont le taux d'hémoglobine initial est > 13 grammes/dl (> 8,1 mmol/litre). - Excipients Ce médicament contient de la phénylalanine susceptible d'être nocive pour les personnes souffrant de phénylcétonurie. Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par dose, c'est à dire essentiellement "sans sodium". |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 |
Terrain N° 36 | SPORTIF / DOPAGE |
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Journal officiel du 30 décembre 2023 Ministère de l'europe et des affaires étrangères. Décret no 2023-1334 du 29 décembre 2023 portant publication de l'amendement à l'annexe I de la convention internationale contre le dopage dans le sport, adopté à Paris le 15 novembre 2023 (1) CODE MONDIAL ANTIDOPAGE LISTE DES INTERDICTIONS 2024 - STANDARD INTERNATIONAL Entrée en vigueur le 1er janvier 2024 Le texte officiel de la Liste des interdictions est maintenu par l'AMA et sera publié en anglais et en français. En cas de conflit entre les versions anglaise et française, la version anglaise prévaudra. Voici quelques termes utilisés dans cette Liste des substances et des méthodes interdites : INTERDITE EN COMPÉTITION Sous réserve d'une période différente ayant été approuvée par l'AMA pour un sport donné, la période En compétition est en principe la période commençant juste avant minuit (à 23 h 59) la veille d'une compétition à laquelle le sportif doit participer jusqu'à la fin de la compétition et le processus de collecte des échantillons. INTERDITE EN PERMANENCE Cela signifie que la substance ou la méthode est interdite en tout temps tel que défini dans le Code. SPÉCIFIÉE ET NON-SPÉCIFIÉE Conformément à l'article 4.2.2 du Code mondial antidopage, "aux fins de l'application de l'article 10, toutes les substances interdites sont des substances spécifiées sauf mention contraire dans la Liste des interdictions. Aucune méthode interdite ne sera considérée comme une méthode spécifiée si elle n'est pas identifiée comme telle dans la Liste des interdictions". Selon le commentaire de l'article, "les substances et méthodes spécifiées identifiées à l'article 4.2.2 ne devraient en aucune manière être considérées comme moins importantes ou moins dangereuses que d'autres substances ou méthodes dopantes. Au contraire, ce sont simplement des substances et des méthodes qui ont plus de probabilité d'avoir été consommées ou utilisées par un sportif dans un but autre que l'amélioration des performances sportives." SUBSTANCES D'ABUS Conformément à l'article 4.2.3 du Code, les substances d'abus sont "les substances interdites qui sont spécifiquement identifiées comme des substances d'abus dans la Liste des interdictions parce qu'elles donnent souvent lieu à des abus dans la société en dehors du contexte sportif". Ce qui suit sont désignées Substances d'abus : cocaïne, diamorphine (héroïne), méthylènedioxyméthamphétamine (MDMA/"ecstasy"), tétrahydrocannabinol (THC). SUBSTANCES ET METHODES INTERDITES EN PERMANENCE (EN ET HORS COMPETITION) SUBSTANCES INTERDITES * S0. SUBSTANCES NON APPROUVEES Toutes les substances de cette classe sont interdites en permanence (en et hors compétition). Toutes les substances interdites de cette classe sont des substances spécifiées. Toute substance pharmacologique non incluse dans une section de la Liste ci-dessous et qui n'est pas actuellement approuvée pour une utilisation thérapeutique chez l'Homme par une autorité gouvernementale réglementaire de la santé (par ex. médicaments en développement préclinique ou clinique ou médicaments discontinués, médicaments à façon, substances approuvées seulement pour usage vétérinaire) est interdite en permanence. Cette classe couvre de nombreuses substances différentes, y compris, mais sans s'y limiter, le BPC-157, le 2,4- dinitrophénol (DNP) et les activateurs de la troponine (par ex. le reldesemtiv et le tirasemtiv). * S2. HORMONES PEPTIDIQUES, FACTEURS DE CROISSANCE, SUBSTANCES APPARENTEES ET MIMETIQUES Toutes les substances interdites de cette classe sont des substances non-spécifiées. Certaines de ces substances peuvent être trouvées, sans limitation, dans les médicaments utilisés pour le traitement par ex. de l'anémie, de l'hypogonadisme (mâle), de la déficience en hormone de croissance. Les substances qui suivent, et les autres substances possédant une structure chimique similaire ou un (des) effet(s) biologique(s) similaire(s), sont interdites : S2.1. Erythropoïétines (EPO) et agents affectant l'érythropoïèse, incluant sans s'y limiter : S2.1.1 Agonistes du récepteur de l'érythropoïétine, par ex. darbépoétine (dEPO) ; érythropoïétines (EPO) ; dérivés d'EPO [par ex. EPO-Fc, méthoxy polyéthylène glycol-époétine béta (CERA)] ; agents mimétiques de l'EPO et leurs dérivés par ex. CNTO–530 et péginesatide. S2.1.2 Agents activants du facteur inductible par l'hypoxie (HIF) par ex. cobalt ; daprodustat (GSK1278863) ; molidustat (BAY 85-3934) ; roxadustat (FG-4592) ; vadadustat (AKB-6548) ; xénon. S2.1.3 Inhibiteurs de GATA, par ex. K-11706. S2.1.4 Inhibiteurs de la signalisation du facteur transformateur de croissance-bêta (TGFbêta), par ex. luspatercept ; sotatercept. S2.1.5 Agonistes du récepteur de réparation innée, par ex. asialo-EPO ; EPO carbamylée (CEPO). S2.2. Hormones peptidiques et leurs facteurs de libération. S2.2.1 Peptides stimulant la testostérone interdits chez le sportif de sexe masculin, incluant sans s'y limiter : – gonadotrophine chorionique (CG) – hormone lutéinisante (LH) – hormone de libération des gonadotrophines hypophysaires (GnRH, gonadoréline) et ses analogues agonistes (par ex. buséréline, desloréline, goséréline, histréline, leuproréline, nafaréline et triptoréline) ; – kisspeptine et ses analogues agonistes. S2.2.2 Corticotrophines et leurs facteurs de libération par ex. corticoréline et tétracosactide. S2. 2.3 Hormone de croissance (GH), ses analogues et ses fragments sans s'y limiter : les analogues de l'hormone de croissance, par ex. lonapegsomatropine, somapacitan et somatrogon ; les fragments de l'hormone de croissance, par ex. AOD–9604 et hGH176-191 ; S2. 2.4 Les facteurs de libération de l'hormone de croissance, incluant sans s'y limiter : - l'hormone de libération de l'hormone de croissance (GHRH) et ses analogues, (par ex. CJC-1293, CJC-1295, sermoréline et tésamoréline) ; - les sécrétagogues de l'hormone de croissance (GHS) et leurs mimétiques, [par ex. anamoréline, capromoréline, ibutamoren (MK-677), ipamoréline, lénomoréline (ghréline), macimoréline et tabimoréline] ; - les peptides libérateurs de l'hormone de croissance (GHRPs), [par ex. alexamoréline, examoréline (hexaréline), GHRP-1, GHRP-2 (pralmoréline), GHRP-3, GHRP-4, GHRP-5 et GHRP-6]. 3. Facteurs de croissance et modulateurs de facteurs de croissance, incluant sans s'y limiter : - Facteur de croissance dérivé des plaquettes (PDGF) ; - Facteur de croissance endothélial vasculaire (VEGF) ; - Facteur de croissance analogue à l'insuline-1 (IGF-1, mécasermine) et ses analogues ; - Facteur de croissance des hépatocytes (HGF) ; - Facteurs de croissance fibroblastiques (FGF) ; - Facteurs de croissance mécaniques (MGF) ; - Thymosine-bêta4 et ses dérivés, par ex. TB-500 et autres facteurs de croissance ou modulateur de facteur(s) de croissance influençant le muscle, le tendon ou le ligament, la synthèse/dégradation protéique, la vascularisation, l'utilisation de l'énergie, la capacité régénératrice ou le changement du type de fibre musculaire. |
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CIM 10 |
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Terrain N° 37 | EXPOSITION A UNE TEMPERATURE EXTREME |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 1 |
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Niveau(x) |
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La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques. La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes. Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement. Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés. Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets. Le médicament de première intention pour un porteur de porphyrie hépatique aigüe est toujours celui classé comme autorisé. En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries. |
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CIM10 |
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Terrain N° 2 |
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La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques. La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes. Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement. Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés. Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets. Le médicament de première intention pour un porteur de porphyrie hépatique aigüe est toujours celui classé comme autorisé. En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries. |
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CIM10 |
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Il n'existe aucune preuve indiquant que le traitement par époétine zêta altère le métabolisme d'autres médicaments. Les médicaments qui réduisent l'érythropoïèse peuvent entraîner une diminution de la réponse à l'époétine zêta. Comme la ciclosporine se lie aux globules rouges, il existe un potentiel d'interactions médicamenteuses. Si l'époétine zêta est administrée en concomitance avec la ciclosporine, les concentrations sériques en ciclosporine doivent être contrôlées et la dose de ciclosporine doit être ajustée au fur et à mesure que les valeurs d'hématocrite augmentent. Il n'existe aucune donnée indiquant une interaction entre le G-CSF ou le GM-CSF et l'époétine zêta en ce qui concerne la différentiation ou la prolifération hématologique des échantillons de biopsies tumorales in vitro. Chez les patientes adultes atteintes d'un cancer du sein métastatique, l'administration concomitante de 40000 UI/ml d'époétine alfa par voie sous-cutanée et de 6 mg/kg de trastuzumab n'a eu aucun effet sur la pharmacocinétique du trastuzumab. |
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Référence(s) officielle(s):  Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 |
Effet spécialité |
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Niveau(x) de risque |
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* Grossesse Il n'existe pas de données ou il existe des données limitées sur l'utilisation d'époétine zêta chez la femme enceinte. Des études chez l'animal ont indiqué une toxicité sur la reproduction (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). Par conséquent, l'époétine zêta doit être utilisée pendant la grossesse uniquement si le bénéfice potentiel l'emporte sur le risque potentiel pour le fœtus. L'utilisation d'époétine zêta n'est pas recommandée en cas de grossesse chez des patientes devant subir une intervention chirurgicale avec transfusion autologue programmée. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 |
Recommandations |
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* Fertilité Aucune étude n'a évalué l'effet potentiel de l'époétine zêta sur la fertillité masculine ou féminine. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 |
Passage dans le lait | Pas d'information |
Fixation protéique | Pas d'information |
Rapport concentration lait/plasma maternels | Pas d'information |
Concentration dans 100 ml de lait maternel | Pas d'information |
Recommandations |
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* Allaitement On ne sait pas si l'époétine zêta exogène est excrétée dans le lait maternel. L'époétine zêta doit être utilisée avec précaution chez les femmes qui allaitent. Une décision doit être prise soit d'interrompre l'allaitement soit d'interrompre/de s'abstenir du traitement par ce médicament en prenant en compte le bénéfice de l'allaitement pour l'enfant au regard du bénéfice du traitement pour la femme. L'utilisation d'époétine zêta n'est pas recommandée en cas d'allaitement chez des patientes devant subir une intervention chirurgicale avec un programme de transfusion autologue programmée. |
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Référence(s) officielle(s): | Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 |
Recommandations |
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Les effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n'ont pas été étudiés. Ce médicament n'a aucun effet ou qu'un effet négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 16/09/2016 |
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
Site internet: www.ansm.sante.fr.
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