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Terrain N° 1 | THROMBOPENIE
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | NEUTROPENIE
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | ANEMIE |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | TROUBLE DE LA COAGULATION |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | HEMOPHILIE |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | VON WILLEBRAND MALADIE |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | TROUBLE DE L'HEMOSTASE |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | INFECTION |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | TUBERCULOSE
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | TUBERCULOSE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | HEPATITE
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | ZONA |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | TROUBLE COGNITIF |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | TROUBLE NEUROLOGIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | TROUBLE PSYCHIATRIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 16 | TROUBLE PSYCHIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 17 | TROUBLE PSYCHOTIQUE / PSYCHOSE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 18 | LEUCOENCEPHALOPATHIE MULTIFOCALE (LEMP) |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 19 | CANCER DE LA PEAU
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 20 | DYSLIPIDEMIE / ANOMALIE METAB LIPIDE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 21 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 22 | DIALYSE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 23 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
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Chez les patients atteints d'insuffisance rénale terminale sous hémodialyse, la dose initiale doit être basée sur le taux de plaquettes. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 24 | INSUFFISANCE HEPATIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 25 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 26 | INTERACTION D'ORIGINE ALIMENTAIRE
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 27 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 28 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 29 | FEMME EN AGE DE PROCREER |
Niveau(x) |
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De ce fait, Ruxolitinib ne doit pas être utilisé pendant la grossesse et les femmes susceptibles de procréer doivent utiliser une méthode efficace de contraception pendant toute la durée du traitement. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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* Myélosuppression Le traitement par ruxolitinib peut provoquer des effets indésirables hématologiques, incluant thrombopénie, anémie et neutropénie. Un hémogramme complet, avec numération et formule leucocytaire, doit être pratiquée avant l'instauration du traitement par ruxolitinib. Le traitement doit être interrompu chez les patients atteints de MF lorsque le taux de plaquettes est inférieur à 50 000/mm3 ou le nombre absolu de neutrophiles inférieur à 500/mm3 (Cf. rubrique "Posologie"). Il a été observé que les patients atteints de MF qui ont un taux de plaquettes bas (< 200 000/mm3) lors de l'instauration du traitement sont plus susceptibles de développer une thrombopénie pendant le traitement. La thrombopénie est généralement réversible et gérée en réduisant la dose ou en interrompant temporairement le traitement par ruxolitinib (Cf. rubriques "Posologie" et "Effets indésirables"). Cependant, des transfusions de plaquettes peuvent s'avérer nécessaires si elles sont cliniquement justifiées. Des transfusions sanguines peuvent être nécessaires chez les patients qui développent une anémie. Des modifications de la dose ou une interruption du traitement peuvent également devoir être envisagées chez ces patients. Les patients avec un taux d'hémoglobine inférieur à 10,0 g/dl au début du traitement présentent un risque plus élevé de développer un taux d'hémoglobine inférieur à 8,0 g/dl au cours du traitement comparé aux patients avec un taux initial d'hémoglobine plus élevé (79,3 % versus 30,1 %). Il est recommandé de surveiller plus fréquemment les paramètres hématologiques et les signes et symptômes cliniques d'effets indésirables liés à ruxolitinib chez les patients avec un taux initial d'hémoglobine inférieur à 10,0 g/dl. La neutropénie (nombre absolu de neutrophiles < 500) a été généralement réversible et gérée en interrompant temporairement le traitement par ruxolitinib (Cf. rubriques "Posologie" et "Effets indésirables"). L'hémogramme doit être surveillé en fonction de la clinique et la posologie adaptée si nécessaire (Cf. rubriques "Posologie" et "Effets indésirables"). * Infections Des infections bactériennes, mycobactériennes, fongiques, virales ou d'autres infections opportunistes graves sont survenues chez des patients traités par ruxolitinib. Le risque de développer des infections graves doit être évalué pour chaque patient. Les médecins doivent surveiller étroitement les signes et symptômes d'infection chez les patients recevant ruxolitinib et instaurer rapidement un traitement approprié. Le traitement par ruxolitinib ne doit être instauré qu'après résolution des infections actives graves. Des cas de tuberculose ont été rapportés chez des patients traités par ruxolitinib. Avant de commencer le traitement, les patients doivent être évalués selon les recommandations locales, afin de rechercher la présence d'une tuberculose active ou inactive ("latente"). Cela peut inclure la recherche d'antécédents médicaux, d'éventuels contacts antérieurs avec la tuberculose, et/ou la réalisation des tests de dépistage appropriés tels que la radiographie pulmonaire, le test tuberculinique et/ou le test de détection de la production d'interféron gamma, le cas échéant. Il est rappelé aux prescripteurs qu'il existe un risque de résultat faussement négatif au test cutané à la tuberculine, particulièrement chez les patients gravement malades ou immunodéprimés. Des augmentations de la charge virale de l'hépatite B (titre d'ADN du VHB), avec et sans élévations associées de l'alanine aminotransférase et de l'aspartate aminotransférase, ont été rapportées chez des patients présentant des infections chroniques au VHB et prenant ce médicament. Il est recommandé de réaliser un dépistage d'une infection par le VHB avant l'instauration du traitement par ce médicament. Les patients présentant une infection chronique à VHB doivent être traités et surveillés conformément aux directives cliniques. * Zona Les médecins doivent informer les patients des signes et symptômes précoces de zona et les informer qu'un traitement doit être envisagé dès que possible. * Leucoencéphalopathie multifocale progressive Une leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP) a été rapportée lors du traitement par ce médicament. Les médecins doivent être particulièrement attentifs aux symptômes évocateurs de LEMP que les patients pourraient ne pas remarquer (ex. les symptômes ou signes cognitifs, neurologiques ou psychiatriques). Les patients doivent être surveillés quant à l'apparition ou l'aggravation de l'un de ces symptômes ou signes, et si de tels symptômes/signes surviennent, l'orientation vers un neurologue et des moyens diagnostiques appropriés pour la LEMP doivent être envisagés. Si une LEMP est suspectée, le traitement devra être suspendu jusqu'à ce que la LEMP soit écartée. * Cancer cutané non-mélanomateux Des cancers cutanés non-mélanomateux (CCNM), dont le carcinome basocellulaire, épidermoïde et le carcinome à cellules de Merkel, ont été rapportés chez des patients traités par ruxolitinib. La plupart des patients atteints de MF et de PV avaient précédemment reçu un traitement prolongé par hydroxyurée et avaient déjà eu des lésions cutanées prémalignes ou des CCNM. Un lien de causalité avec ruxolitinib n'a pas été établi. Des examens périodiques de la peau sont recommandés chez les patients présentant un risque accru de cancer cutané. * Anomalies lipidiques / élévation des lipides Le traitement par ruxolitinib a été associé à des élévations des paramètres lipidiques dont le cholestérol total, le HDL-cholestérol, le LDL-cholestérol et les triglycérides. Il est recommandé de surveiller le bilan lipidique et de traiter les dyslipidémies selon les recommandations locales. * Populations particulières - Insuffisance rénale La dose initiale de ruxolitinib doit être réduite chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère. Chez les patients présentant une insuffisance rénale terminale sous hémodialyse, la dose initiale doit être basée sur le taux de plaquettes pour les patients atteints de MF, alors que la dose initiale recommandée est une dose unique de 10 mg pour les patients atteints de PV (Cf. rubrique "Posologie"). Les doses ultérieures (dose unique de 20 mg ou deux doses de 10 mg à 12 heures d'intervalle chez les patients présentant une MF ; dose unique de 10 mg ou deux doses de 5 mg à 12 heures d'intervalle chez les patients présentant une PV) doivent être administrées uniquement les jours d'hémodialyse, après chaque séance de dialyse. Les autres modifications posologiques doivent être basées sur une surveillance étroite de la tolérance et de l'efficacité du médicament (Cf. rubriques "Posologie" et "Propriétés pharmacocinétiques"). - Insuffisance hépatique La dose initiale de ruxolitinib doit être réduite d'environ 50 % chez les patients atteints de MF et de PV présentant une insuffisance hépatique. Les autres modifications posologiques doivent être basées sur la tolérance et l'efficacité du médicament. Chez les patients atteints de GvHD présentant une insuffisance hépatique non liée à la GvHD, la dose initiale de ruxolitinib doit être diminuée d'environ 50 % (Cf. rubriques "Posologie" et "Propriétés pharmacocinétiques"). * Interactions Si ruxolitinib doit être administré avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4 ou des doubles inhibiteurs des enzymes du CYP2C9 et du CYP3A4 (par exemple le fluconazole), la dose unitaire doit être réduite d'environ 50 %, à administrer deux fois par jour (pour la fréquence de surveillance, Cf. rubriques "Posologie" et "Interactions"). L'utilisation concomitante de traitements cytoréducteurs avec ce médicament a été associée à des cytopénies maitrisables (Cf. rubrique "Posologie" pour les modifications de posologie en cas de cytopénies) * Effet rebond Après interruption ou arrêt de ce médicament, les symptômes de la MF peuvent réapparaître sur une période d'environ 1 semaine. Des patients ayant arrêté le traitement par ce médicament ont présenté des événements indésirables sévères, en particulier en présence d'une comorbidité aiguë. On ne sait pas si l'arrêt brutal du traitement par ce médicament a contribué à ces événements. A moins que l'arrêt brutal du traitement soit nécessaire, une diminution progressive de la dose de ce médicament peut être envisagée, même si l'utilité de la diminution progressive de la dose n'est pas prouvée. * Excipients Ce médicament contient du lactose. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament. Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé, c'est-à-dire qu'il est essentiellement "sans sodium". |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 29/04/2022 |
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