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Voie(s) d'administration : |
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Forme(s) pharmaceutique(s) : |
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Suppositoire. |
Référence(s) bibliographique(s) : |
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Excipient(s) |
Précision(s) composition : |
Pour un suppositoire. |
Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM française 27/12/2011
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Aucune DDD attribuée |
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Classe pharmacothérapeutique : AUTRES MEDICAMENTS DES DESORDRES MUSCULO-SQUELETTIQUES (M : appareil locomoteur) |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 27/12/2011 |
La quinine est rapidement et presque complètement absorbée par voie digestive : le pic de concentration plasmatique est obtenu en 1 à 3 heures. Près de 70 % de la quinine plasmatique sont liés aux protéines. La quinine est en majorité métabolisée en métabolite inactif par le foie. La quinine est éliminée dans les urines et disparaît presque totalement en 24 heures après l'arrêt du traitement. Le passage transplacentaire et les taux dans le lait sont faibles. De petites quantités pénètrent dans le liquide céphalo-rachidien. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 27/12/2011 |
Attention : il n'existe plus de médicament commercialisé correspondant à ce médicament virtuel.
Spécialité(s) génériques Thériaque | Type | Prix |
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HEXAQUINE SUPPO NSFP | ||
Comparer prix |
Groupe générique(s) : Néant |
Spécialité(s) générique(s) ansm et date(s) d'application : Néant |
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QUININE ET CRAMPES LETTRE INFO 2012 | |
HEXAQUINE OKIMUS QUININE VITCGRAND |
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* Conditions de prescription et de délivrance Liste I. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 27/12/2011 | |
Code UCD13 : | 3400890434881 |
Code UCD7 : | 9043488 |
Code identifiant spécialité : | 6 208 735 7 |
Laboratoire(s) titulaire(s) AMM: |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 27/12/2011 | |
Laboratoire(s) exploitant(s) : |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 27/12/2011 | |
plaquette(s) thermoformée(s) PVC polyéthylène de 6 suppositoire(s)
Code CIP13 | 3400930494844 |
Code CIP7 | 3049484 |
Commercialisation | Supprimé le 04/12/2014 |
Agrément collectivités/date JO | Non |
Présentation réservée à l'hôpital | Non |
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD) |
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Conditionnement primaire | PLAQUETTE(S) THERMOFORMEE(S) (1) |
Nb unités de prise par conditionnement primaire | 6 SUPPOSITOIRE(S) par PLAQUETTE(S) THERMOFORMEE(S) |
Matériau(x) |
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* Nature et contenu de l'emballage extérieur |
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Présentation unitaire | NON |
Référence(s) bibliographique(s) | |
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Conditions de délivrance |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 27/12/2011 |
Statut de la présentation |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 27/12/2011 |
1. Prix en officine ville | |
Prix de cette présentation (CIP)/date JO | Prix libre |
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) | Non concerné |
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur) | |
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) | Non concerné |
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) | Non concerné |
1. Ville | |
Taux de remboursement/date JO |
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2. Hôpital (Rétrocession - vente au public) | |
Taux de remboursement |
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SMR spécifique de cette présentation | NON |
Modalité(s) de dispensation |
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Durée(s) et condition(s) de conservation |
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* Durée de conservation |
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Référence(s) officielles(s) : Rectificatif AMM française 27/12/2011 |
CRAMPE MUSCULAIRE
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Ce médicament est indiqué dans le traitement d'appoint de la crampe idiopathique nocturne de l'adulte après échec des mesures non pharmacologiques. La décision de prescrire une spécialité contenant de la quinine doit être prise après bilan étiologique et basée sur la fréquence des crampes nocturnes, leur impact sur la qualité de vie ainsi que sur l'évaluation de l'ensemble des risques spécifiques à chaque patient (cf. rubriques "Contre-indications" et "Mises en garde et précautions d'emploi"). |
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Taux remboursement pour cette indication/date JO | 0 % le 05/10/2011 (Code CIP 3049484) |
SMR de l'indication | NIVEAU INSUFFISANT 27/04/2011 |
Référence(s) officielle(s) | Communiqué ansm 16/01/2012 Recommandations ansm - EMA QUININE ET CRAMPES LETTRE INFO 2012 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | 1 SUPPOSITOIRE(S)/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
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Durée de traitement |
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Posologie MAXIMALE | |
Dose | 1 SUPPOSITOIRE(S)/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement | |
1 suppositoire maximum par jour, le soir au coucher, soit 218 mg de quinine base par jour. Les patients doivent être surveillés pendant les premières semaines de traitement en raison des effets indésirables (cf. rubrique "Effets indésirables"). Un bénéfice doit s'observer dans les jours suivants le début du traitement. En l'absence de bénéfice après 4 semaines, le traitement par la quinine doit être définitivement interrompu. Le traitement par la quinine n'est pas un traitement à long terme des crampes idiopathiques nocturnes. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Recommandation(s) |
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* Précautions particulières d'élimination et de manipulation Pas d'exigences particulières. * Incompatibilités Sans objet. |
Voie(s) d'administration |
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Modalité(s) |
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* Mode et voie d'administration Voie rectale. Le choix de cette voie d'administration n'est déterminé que par la commodité d'administration de ce médicament. * Durée de traitement L'utilisation de cette voie d'administration doit être la plus courte possible en raison des risques de toxicité locale surajoutée aux risques de la voie générale. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Terrain N° 1 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | MYASTHENIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | TROUBLE DE LA CONDUCTION
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | INTERACTION D'ORIGINE ALIMENTAIRE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | RECTITE / RECTORRAGIE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Ce médicament est contre-indiqué dans les cas suivants : - antécédent d'hypersensibilité à la quinine ou à l'un des composants, en particulier la thiamine. - myasthénie. - troubles de la conduction intra-ventriculaire. - administration concomitante de quinine ou dérivés incluant la consommation de boissons contenant de la quinine. - contre-indication liée à la voie d'administration : antécédents de rectites ou de rectorragies. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 27/12/2011 |
Terrain N° 7 | PORPHYRIE HEPATIQUE
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Niveau(x) |
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La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques. La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes. Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement. Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés. Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets. Il ne faut pas prescrire ou administrer un médicament interdit sans une forte indication médicale et bien évaluer le rapport bénéfice/risque pour le patient. En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries. |
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Référence(s) officielle(s) | |
CIM 10 |
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Terrain N° 8 | PORPHYRIE CUTANEE |
Niveau(x) |
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La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques. La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes. Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement. Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés. Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets. Il ne faut pas prescrire ou administrer un médicament interdit sans une forte indication médicale et bien évaluer le rapport bénéfice/risque pour le patient. En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries. |
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Référence(s) officielle(s) | |
CIM 10 |
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Terrain N° 9 | DEFICIT GLUC 6 PHOSPHATE DESHYDROGENASE |
Niveau(x) |
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* Quinine (Spécialités contenant de la quinine, indiquées dans d'autres indications que le traitement du paludisme) - Niveau : Déconseillée - Recommandations particulières à l'attention des professionnels de santé Les médicaments contenant de la quinine sont susceptibles d'entraîner une hémolyse aiguë chez les sujets déficitaires en G6PD. Par principe, la prescription doit prendre en compte ce risque et le recours à une alternative thérapeutique, si elle existe, est recommandée. En l'absence d'alternative, la survenue d'une hémolyse éventuelle devra être dépistée. - Conduite à tenir à l'attention des patients déficitaires en G6PD Il est important de prévenir votre médecin si vous ou un membre de votre famille est atteint d'un déficit en G6PD car un risque d'hémolyse (destruction des globules rouges) existe avec la quinine. - Informations complémentaires L'Anses recommande de ne pas consommer de boissons à base de quinine : http://www.anses.fr/Documents/NUT2006sa0033.pdf. Ref : Référentiel Afssaps - Médicaments et déficit en Glucose-6-Phosphate Déshydrogénase (G6PD) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 1 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | THROMBOPENIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | HEPATITE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | TERRAIN ALLERGIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | REGIME ALIMENTAIRE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | ARYTHMIE CARDIAQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | BLOC AURICULO-VENTRICULAIRE FAIBLE DEGRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | BLOC AURICULO-VENTRICULAIRE HAUT DEGRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | SUJET AGE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | VERTIGE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | CEPHALEE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | NAUSEES VOMISSEMENTS |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | TROUBLE DE LA VISION |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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* Mises en garde spéciales La survenue d'accidents immuno-allergiques à type de thrombopénie, hépatite, allergie, nécessite l'arrêt immédiat et définitif de ce traitement et l'éviction ultérieure de quinine, notamment des boissons en contenant. La quinine peut entrainer la survenue d'accidents de type immuno-allergique non prévisibles et pouvant engager le pronostic vital. La quinine ne doit pas être utilisée chez les patients ayant eu des antécédents d'effets secondaires lors de son administration, sous forme de médicament ou dans les boissons en contenant. * Précautions d'emploi Avant d'utiliser la quinine dans le traitement des crampes idiopathiques nocturnes, l'ensemble des risques, (cf. rubrique "Effets indésirables") doit être attentivement envisagés en fonction du bénéfice potentiel attendu. Ces risques sont particulièrement présents chez le sujet âgé. Le traitement par la quinine ne doit être envisagé qu'en cas de crampes très douloureuses et fréquentes, quand les autres causes de crampes ont été écartées et que les mesures non pharmacologiques ont échouées. La quinine ne doit pas être utilisée dans cette indication durant la grossesse. L'administration de quinine peut conduire à l'apparition de cinchonisme, généralement plus grave en cas de surdosage, mais qui peut également apparaitre pour des doses thérapeutiques usuellement utilisées. Les patients doivent être avertis de ne pas dépasser les doses prescrites, à cause de la possibilité d'effets indésirables graves et irréversibles lors de surdosage. Tout traitement des crampes idiopathiques nocturnes par la quinine doit être interrompu en cas d'apparition de symptômes liés au cinchonisme. Ces symptômes inclus vertiges, acouphènes, maux de tête, nausées et vision trouble (cf. rubriques "Effets indésirables" et "Surdosage"). * Lettre aux professionnels de santé Afssaps 16/01/2012 - En l'absence de bénéfice après 4 semaines, le traitement par la quinine doit être arrêté. - En cas de survenue d'effets indésirables immuno-allergiques, particulièrement en début de traitement (pancytopénie, thrombopénie, choc anaphylactique, hépatite) ou de cinchonisme(1), l'arrêt immédiat du traitement est recommandé. (1) Le cinchonisme, lors des traitements par la quinine, repose sur un ensemble de symptômes incluant acouphènes et baisse aigue de l'acuité auditive, vertiges, céphalées, nausées, troubles de la vision, et risque d'anémie hémolytique compliquée ou non d'insuffisance rénale aiguë. Le mécanisme de survenue n'est pas connu. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 27/12/2011 |
La prudence est de rigueur en cas d'administration de quinine avec des médicaments qui pourraient allonger l'intervalle QT. La quinine peut entraîner une augmentation des taux de phénobarbital et de carbamazépine. Les patients doivent être étroitement surveillés en cas d'utilisation concomitante de quinine avec ces agents. |
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Référence(s) officielle(s):  Rectificatif AMM française 27/12/2011 |
Effet spécialité |
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Niveau(x) de risque |
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Durant la grossesse, la quinine doit être réservée au seul traitement des accès palustres. Ce médicament ne doit pas être prescrit chez la femme enceinte dans l'indication des crampes idiopathiques. Quelques cas d'anomalies oculaires et d'atteintes auditives ont été rapportés lors de la prise de fortes doses de quinine pendant la grossesse. Aux doses thérapeutiques, aucun incident n'a été signalé. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM française 27/12/2011 |
Recommandations |
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Aucune information recensée. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM française 27/12/2011 |
Passage dans le lait | Pas d'information |
Fixation protéique | Pas d'information |
Rapport concentration lait/plasma maternels | Pas d'information |
Concentration dans 100 ml de lait maternel | Pas d'information |
Recommandations |
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Il est conseillé d'éviter ce médicament au cours de l'allaitement. |
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Référence(s) officielle(s): | Rectificatif AMM française 27/12/2011 |
Recommandations |
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Sans objet. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 27/12/2011 |
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
Site internet: www.ansm.sante.fr.
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