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Voie(s) d'administration : |
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Forme(s) pharmaceutique(s) : |
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Comprimé. |
Référence(s) bibliographique(s) : |
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Excipient(s) |
Précision(s) composition : |
Pour un comprimé. |
Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM française 24/10/2005
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Nomenclature du code des marchés publics :
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HYPNOTIQUES ET SEDATIFS Code ATC : N05CD07 (N : système nerveux central) Le témazépam appartient à la classe des 1-4 benzodiazépines et a une activité pharmacodynamique qualitativement semblable à celle des autres composés de cette classe : - myorelaxante, - anxiolytique, - sédative, - hypnotique, - anticonvulsivante, - amnésiante. Ces effets sont liés à une action agoniste spécifique sur un récepteur central faisant partie du complexe "récepteurs macromoléculaires GABA-OMEGA", également appelés BZ1 et BZ2 et modulant l'ouverture du canal chlore. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 24/10/2005 |
* Absorption La résorption du témazépam est rapide, avec un Tmax compris entre 45 minutes et 4 heures. La biodisponibilité est élevée, de l'ordre de 80 %. * Distribution La liaison aux protéines est élevée, supérieure à 95 %. La demi-vie d'élimination plasmatique est comprise entre 5 et 8 heures. Une relation concentration-effet n'a pu être établie pour cette classe de produits, en raison de l'intensité de leur métabolisme et du développement d'une tolérance. Les benzodiazépines passent la barrière hémato-encéphalique ainsi que dans le placenta et le lait maternel. * Métabolisme et élimination Le foie joue un rôle majeur dans le processus de métabolisation des benzodiazépines, ce qui explique le très faible pourcentage (1,5 %) de témazépam inchangé retrouvé au niveau urinaire. Le métabolite du témazépam est le dérivé déméthylé, c'est-à-dire l'oxazépam, pharmacologiquement actif mais présent en faible proportion (5 %). L'élimination se fait sous forme de dérivés glycuroconjugués, hydrosolubles, dans les urines. * Populations à risque - Sujet âgé Le métabolisme hépatique diminue ainsi que la clairance totale avec augmentation des concentrations à l'équilibre de la fraction libre et des demi-vies. Il importe alors de diminuer les doses. - Insuffisance rénale On note une augmentation de la fraction libre (et donc du volume de distribution) ainsi que de la demi-vie. - Femme enceinte Le volume de distribution et la demi-vie du témazépam sont augmentés. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 24/10/2005 |
Attention : il n'existe plus de médicament commercialisé correspondant à ce médicament virtuel.
Spécialité(s) génériques Thériaque | Type | Prix |
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NORMISON 10MG CPR NSFP | ||
Comparer prix |
Groupe générique(s) : Néant |
Spécialité(s) générique(s) ansm et date(s) d'application : Néant |
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BENZODIAZEPINES ET INSOMNIE (BON USAGE) | |
BENZODIAZEPINES POINT D'INFO 2017 | |
MODIF PICTOGRAMME CONDUCTEUR 2017 | |
BENZODIAZEPINE BUM INSOMNIE 2015 | |
BENZODIAZEPINES 2012 | |
REPRISE DISTRIBUTION PRIMIUS | |
SUSPENSION GENOPHARM ET ALKOPHARM | |
SUJET AGE ET PSYCHOTROPES |
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* Conditions de prescription et de délivrance Liste I. La durée de prescription de ce médicament ne peut pas dépasser 4 semaines. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 24/10/2005 | |
Code UCD13 : | 3400892564456 |
Code UCD7 : | 9256445 |
Code identifiant spécialité : | 6 847 850 5 |
Laboratoire(s) titulaire(s) AMM: |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 31/01/2011 | |
Laboratoire(s) exploitant(s) : |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 31/01/2011 | |
1 pilulier(s) polypropylène de 14 comprimé(s)
Code CIP13 | 3400936085701 |
Code CIP7 | 3608570 |
Commercialisation | Supprimé le 15/03/2016 |
Agrément collectivités/date JO | Oui le 26/11/2003 |
Présentation réservée à l'hôpital | Non |
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD) |
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Conditionnement primaire | 1 PILULIER(S) (1) |
Nb unités de prise par conditionnement primaire | 14 COMPRIME(S) par PILULIER(S) |
Matériau(x) |
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Caractéristique(s) du conditionnement primaire |
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Caractéristique(s) de l'emballage |
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* Nature et contenu de l'emballage extérieur |
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Présentation unitaire | NON |
Référence(s) bibliographique(s) | |
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Conditions de délivrance |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 24/10/2005 |
Statut de la présentation |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 24/10/2005 |
1. Prix en officine ville | |
Prix de cette présentation (CIP)/date JO | 1,58 euros TTC le 01/01/2019 |
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) | Non concerné |
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur) | |
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) | Non concerné |
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) | Non concerné |
1. Ville | |
Taux de remboursement/date JO |
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2. Hôpital (Rétrocession - vente au public) | |
Taux de remboursement |
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Statut(s) du remboursement |
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SMR spécifique de cette présentation | NON |
Modalité(s) de dispensation |
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Durée(s) et condition(s) de conservation |
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* Durée de conservation |
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Référence(s) officielles(s) : Rectificatif AMM française 24/10/2005 |
INSOMNIE
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Les indications sont limitées aux troubles sévères du sommeil dans les cas suivants : - insomnie occasionnelle, - insomnie transitoire. |
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SMR de l'indication | NIVEAU FAIBLE 25/06/2014 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 24/10/2005 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
Terrain N° 1 | DEPRESSION |
Niveau(x) |
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Les benzodiazépines et apparentés ne doivent pas être prescrits seuls car ils laissent la dépression évoluer pour son propre compte avec persistance ou majoration du risque suicidaire. | |
Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | 20 MG/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
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Durée de traitement | de 2 JOUR(S) à 5 JOUR(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Posologie MAXIMALE | |
Dose | 20 MG/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
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Durée de traitement | de 2 JOUR(S) à 5 JOUR(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Adaptation posologique |
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L'utilisation du témazépam n'est pas recommandée chez l'enfant en l'absence d'étude. De plus, le comprimé n'est pas une forme adaptée à l'enfant de moins de 6 ans. * Dose Dans tous les cas, le traitement sera initié à la dose efficace la plus faible et la dose maximale de 20 mg par jour ne sera pas dépassée. La posologie habituelle chez l'adulte est de 20 mg par jour à prendre immédiatement avant le coucher. Sujet âgé, insuffisant rénal ou hépatique Il est recommandé de réduire la posologie, de moitié par exemple. Cette présentation n'est pas adaptée à l'utilisation dans ces populations particulières. * Durée Le traitement doit être aussi bref que possible, de quelques jours à 4 semaines, y compris la période de réduction de la posologie (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). La durée du traitement doit être présentée au patient : - 2 à 5 jours en cas d'insomnie occasionnelle (comme par exemple lors d'un voyage). Dans certains cas, il pourra être nécessaire de prolonger le traitement au-delà des périodes préconisées. Ceci suppose des évaluations précises et répétées de l'état du patient. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | 20 MG/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
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Durée de traitement max | 4 SEMAINE(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Posologie MAXIMALE | |
Dose | 20 MG/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
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Durée de traitement max | 4 SEMAINE(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Adaptation posologique |
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L'utilisation du témazépam n'est pas recommandée chez l'enfant en l'absence d'étude. De plus, le comprimé n'est pas une forme adaptée à l'enfant de moins de 6 ans. * Dose Dans tous les cas, le traitement sera initié à la dose efficace la plus faible et la dose maximale de 20 mg par jour ne sera pas dépassée. La posologie habituelle chez l'adulte est de 20 mg par jour à prendre immédiatement avant le coucher. Sujet âgé, insuffisant rénal ou hépatique Il est recommandé de réduire la posologie, de moitié par exemple. Cette présentation n'est pas adaptée à l'utilisation dans ces populations particulières. * Durée Le traitement doit être aussi bref que possible, de quelques jours à 4 semaines, y compris la période de réduction de la posologie (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). La durée du traitement doit être présentée au patient : - 2 à 3 semaines en cas d'insomnie transitoire (comme lors de la survenue d'un événement grave). Dans certains cas, il pourra être nécessaire de prolonger le traitement au-delà des périodes préconisées. Ceci suppose des évaluations précises et répétées de l'état du patient. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Recommandation(s) |
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* Précautions particulières d'élimination et de manipulation Pas d'exigences particulières. * Incompatibilités Sans objet. |
Voie(s) d'administration |
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Modalité(s) |
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* Mode et voie d'administration (notice) Voie orale. Avalez ce médicament avec un verre d'eau. Une prise par jour le soir juste avant le coucher. * Instructions en cas d'omission d'une ou de plusieurs doses (notice) Si vous oubliez de prendre ce médicament : prenez la dose suivante (le lendemain) à l'heure habituelle. Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose simple que vous avez oublié de prendre. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Terrain N° 1 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | APNEE DU SOMMEIL SYNDROME |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | INSUFFISANCE HEPATIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | MYASTHENIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | ENFANT
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Niveau(x) |
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L'utilisation du témazépam n'est pas recommandée chez l'enfant en l'absence d'étude. De plus, le comprimé n'est pas une forme adaptée à l'enfant de moins de 6 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | NOURRISSON |
Niveau(x) |
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L'utilisation du témazépam n'est pas recommandée chez l'enfant en l'absence d'étude. De plus, le comprimé n'est pas une forme adaptée à l'enfant de moins de 6 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | NOUVEAU-NE |
Niveau(x) |
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L'utilisation du témazépam n'est pas recommandée chez l'enfant en l'absence d'étude. De plus, le comprimé n'est pas une forme adaptée à l'enfant de moins de 6 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Ce médicament ne doit jamais être utilisé dans les situations suivantes : - hypersensibilité au principe actif ou à l'un des autres constituants, - insuffisance respiratoire sévère, - syndrome d'apnée du sommeil, - insuffisance hépatique sévère, aiguë ou chronique (risque de survenue d'une encéphalopathie), - myasthénie. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 24/10/2005 |
Terrain N° 9 | ANOMALIE METABOLISME GALACTOSE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient du lactose comme excipient. - Voie d'administration : Orale - Seuil : Zéro - Informations Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. - Commentaires Proposition de RCP : Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | DEFICIT EN LACTASE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient du lactose comme excipient. - Voie d'administration : Orale - Seuil : Zéro - Informations Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. - Commentaires Proposition de RCP : Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | SYNDROME DE MALABSORPTION / INTOLERANCE DIGESTIVE
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Niveau(x) |
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Ce médicament contient du lactose comme excipient. - Voie d'administration : Orale - Seuil : Zéro - Informations Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. - Commentaires Proposition de RCP : Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | REGIME SANS GALACTOSE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient du lactose comme excipient. - Voie d'administration : Orale - Seuil : Zéro - Informations Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. - Commentaires Proposition de RCP : Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Ce médicament contient du lactose comme excipient. - Voie d'administration : Orale - Seuil : Zéro - Informations Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. - Commentaires Proposition de RCP : Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | PORPHYRIE HEPATIQUE
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Niveau(x) |
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La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques. La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes. Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement. Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés. Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets. Il ne faut pas prescrire ou administrer un médicament interdit sans une forte indication médicale et bien évaluer le rapport bénéfice/risque pour le patient. En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries. |
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Référence(s) officielle(s) | |
CIM 10 |
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Terrain N° 15 | PORPHYRIE CUTANEE |
Niveau(x) |
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La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques. La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes. Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement. Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés. Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets. Il ne faut pas prescrire ou administrer un médicament interdit sans une forte indication médicale et bien évaluer le rapport bénéfice/risque pour le patient. En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries. |
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Référence(s) officielle(s) | |
CIM 10 |
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Terrain N° 16 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Ce médicament ne doit jamais être utilisé dans les situations suivantes : hypersensibilité à d'autres benzodiazépines Réf. : Rectificatif AMM française du 04/09/2017 de ALPRAZOLAM TVC 0,50MG CPR |
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CIM 10 |
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Terrain N° 1 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | DEPENDANCE A UNE SUBSTANCE PSYCHOACTIVE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | ALCOOLISME CHRONIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | ENFANT
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | SUJET AGE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | INSUFFISANCE HEPATIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | ENFANT
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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* Mises en garde En raison de la présence de lactose, ce médicament est contre-indiqué en cas de galactosémie congénitale, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en lactase. - Tolérance pharmacologique L'effet sédatif ou hypnotique des benzodiazépines et apparentés peut diminuer progressivement malgré l'utilisation de la même dose en cas d'administration durant plusieurs semaines. - Dépendance Tout traitement par les benzodiazépines et apparentés, et plus particulièrement en cas d'utilisation prolongée, peut entraîner un état de pharmacodépendance physique et psychique. Divers facteurs semblent favoriser la survenue de la dépendance : . durée du traitement, . dose, . antécédents d'autres dépendances médicamenteuses ou non, y compris alcoolique. Une pharmacodépendance peut survenir à doses thérapeutiques et/ou chez des patients sans facteur de risque individualisé. Cet état peut entraîner à l'arrêt du traitement un phénomène de sevrage. Certains symptômes sont fréquents et d'apparence banale : insomnie, céphalées, anxiété importante, myalgies, tension musculaire, irritabilité. D'autres symptômes sont plus rares : agitation voire épisode confusionnel, paresthésies des extrémités, hyperréactivité à la lumière, au bruit, et au contact physique, dépersonnalisation, déréalisation, phénomènes hallucinatoires, convulsions. Les symptômes du sevrage peuvent se manifester dans les jours qui suivent l'arrêt du traitement. Pour les benzodiazépines à durée d'action brève, et surtout si elles sont données à doses élevées, les symptômes peuvent même se manifester dans l'intervalle qui sépare deux prises. L'association de plusieurs benzodiazépines risque, quelle qu'en soit l'indication anxiolytique ou hypnotique, d'accroître le risque de pharmacodépendance. Des cas d'abus ont également été rapportés. - Phénomène de rebond Ce syndrome transitoire peut se manifester sous la forme d'une exacerbation de l'insomnie qui avait motivé le traitement par les benzodiazépines et apparentés. - Amnésie et altérations des fonctions psychomotrices Une amnésie antérograde ainsi que des altérations des fonctions psychomotrices sont susceptibles d'apparaître dans les heures qui suivent la prise. Pour diminuer ces risques, il est conseillé de prendre le médicament immédiatement avant le coucher (Cf. rubrique "Posologie et mode d'administration") et de se mettre dans les conditions les plus favorables pour une durée de sommeil ininterrompue de plusieurs heures. - Troubles du comportement Chez certains sujets, les benzodiazépines et produits apparentés peuvent entraîner un syndrome associant à des degrés divers une altération de l'état de conscience et des troubles du comportement et de la mémoire : Peuvent être observés : . aggravation de l'insomnie, cauchemars, agitation, nervosité, . idées délirantes, hallucinations, état confuso-onirique, symptômes de type psychotique, . désinhibition avec impulsivité, . euphorie, irritabilité, . amnésie antérograde, . suggestibilité. Ce syndrome peut s'accompagner de troubles potentiellement dangereux pour le patient ou pour autrui, à type de : . comportement inhabituel pour le patient, . comportement auto- ou hétéro-agressif, notamment si l'entourage tente d'entraver l'activité du patient, . conduites automatiques avec amnésie post-événementielle. Ces manifestations imposent l'arrêt du traitement. - Risque d'accumulation Les benzodiazépines et apparentés (comme tous les médicaments) persistent dans l'organisme pour une période de l'ordre de 5 demi-vies (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). Chez des personnes âgées ou souffrant d'insuffisance rénale ou hépatique, la demi-vie peut s'allonger considérablement. Lors de prises répétées, le médicament ou ses métabolites atteignent le plateau d'équilibre beaucoup plus tard et à un niveau beaucoup plus élevé. Ce n'est qu'après l'obtention d'un plateau d'équilibre qu'il est possible d'évaluer à la fois l'efficacité et la sécurité du médicament. Une adaptation posologique peut être nécessaire (Cf. rubrique "Posologie et mode d'administration"). - Sujet âgé Les benzodiazépines et produits apparentés doivent être utilisés avec prudence chez le sujet âgé, en raison du risque de sédation et/ou d'effet myorelaxant qui peuvent favoriser les chutes, avec des conséquences souvent graves dans cette population. * Précautions d'emploi La plus grande prudence est recommandée en cas d'antécédents d'alcoolisme ou d'autres dépendances, médicamenteuses ou non (Cf. rubrique "Interactions"). Une insomnie peut révéler un trouble physique ou psychiatrique sous-jacent. La persistance ou l'aggravation de l'insomnie après une période courte de traitement rend nécessaire une réévaluation du diagnostic clinique. - Durée de traitement Elle doit être clairement énoncée au patient, en fonction du type de l'insomnie (Cf. rubrique "Posologie et mode d'administration"). - Chez le sujet présentant un épisode dépressif majeur Les benzodiazépines et apparentés ne doivent pas être prescrits seuls car ils laissent la dépression évoluer pour son propre compte avec persistance ou majoration du risque suicidaire. - Modalités d'arrêt progressif du traitement Elles doivent être énoncées au patient de façon précise. Outre la nécessité de décroissance progressive des doses, les patients devront être avertis de la possibilité d'un phénomène de rebond, afin de minimiser l'insomnie qui pourrait découler des symptômes liés à cette interruption, même progressive. Le patient doit être prévenu du caractère éventuellement inconfortable de cette phase. - Enfant Plus encore que chez l'adulte, le rapport bénéfice/risque sera scrupuleusement évalué et la durée du traitement aussi brève que possible. Aucune étude clinique n'a été conduite chez l'enfant avec le témazépam. - Insuffisant respiratoire Chez l'insuffisant respiratoire, il convient de prendre en compte l'effet dépresseur des benzodiazépines et apparentés (d'autant que l'anxiété et l'agitation peuvent constituer des signes d'appel d'une décompensation de la fonction respiratoire qui justifie le passage en unité de soins intensifs). - Sujet âgé, insuffisant rénal ou hépatique Le risque d'accumulation conduit à réduire la posologie, de moitié par exemple (Cf. rubrique "Mise en garde"). Cette présentation n'est pas adaptée à l'utilisation dans ces populations particulières. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 24/10/2005 |
Terrain N° 11 | EXPOSITION A UNE TEMPERATURE EXTREME |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | EXPOSITION A UNE TEMPERATURE EXTREME |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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* Association déconseillée + Alcool Majoration par l'alcool de l'effet sédatif des benzodiazépines et apparentés. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool. * Associations à prendre en compte + Autres dépresseurs du système nerveux central : dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution autres que buprénorphine) ; neuroleptiques ; barbituriques ; anxiolytiques ; autres hypnotiques ; antidépresseurs sédatifs ; antihistaminiques H1 sédatifs ; antihypertenseurs centraux ; baclofène ; thalidomide ; pizotifène. Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. De plus, pour les dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution), barbituriques : risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas de surdosage. + Buprénorphine Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale. Evaluer attentivement le rapport bénéfice/risque de cette association. Informer le patient de la nécessité de respecter les doses prescrites. |
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Référence(s) officielle(s):  Rectificatif AMM française 24/10/2005 |
Effet spécialité |
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Niveau(x) de risque |
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A ce jour, aucun effet malformatif n'est attribué à l'exposition aux benzodiazépines au cours du 1er trimestre de la grossesse, cependant pour le témazépam les données cliniques sont encore insuffisantes. En cas de prise de benzodiazépines à fortes doses aux 2ème et/ou 3ème trimestres de grossesse une diminution des mouvements actifs foetaux et de la variabilité du rythme cardiaque foetal ont été décrits. Un traitement en fin de grossesse par benzodiazépine même à faibles doses, peut être responsable chez le nouveau-né de signes d'imprégnation tels qu'hypotonie axiale, troubles de la succion entraînant une mauvaise prise de poids. Ces signes sont réversibles, mais peuvent durer 1 à 3 semaines en fonction de la demi-vie de la benzodiazépine prescrite. A doses élevées, une dépression respiratoire ou des apnées, et une hypothermie réversibles peuvent apparaître chez le nouveau-né. Par ailleurs, un syndrome de sevrage néonatal est possible, même en l'absence de signes d'imprégnation. Il est caractérisé notamment par une hyperexcitabilité, une agitation et des trémulations du nouveau-né survenant à distance de l'accouchement. Le délai de survenue dépend de la demi-vie d'élimination du médicament et peut être important quand celle-ci est longue. Compte tenu de ces données, il est préférable, par mesure de prudence, d'éviter d'utiliser le témazépam au cours de la grossesse quel qu'en soit le terme. En fin de grossesse, s'il s'avère nécessaire d'instaurer un traitement par témazépam, éviter de prescrire des doses élevées et tenir compte, pour la surveillance du nouveau-né, des effets précédemment décrits. |
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Conduite à tenir chez la femme enceinte |
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En fin de grossesse, s'il s'avère nécessaire d'instaurer un traitement par témazépam, éviter de prescrire des doses élevées et tenir compte, pour la surveillance du nouveau-né, des effets précédemment décrits. |
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Conduite à tenir chez le nouveau-né |
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Un traitement en fin de grossesse par benzodiazépine même à faibles doses, peut être responsable chez le nouveau-né de signes d'imprégnation tels qu'hypotonie axiale, troubles de la succion entraînant une mauvaise prise de poids. Ces signes sont réversibles, mais peuvent durer 1 à 3 semaines en fonction de la demi-vie de la benzodiazépine prescrite. A doses élevées, une dépression respiratoire ou des apnées, et une hypothermie réversibles peuvent apparaître chez le nouveau-né. Par ailleurs, un syndrome de sevrage néonatal est possible, même en l'absence de signes d'imprégnation. Il est caractérisé notamment par une hyperexcitabilité, une agitation et des trémulations du nouveau-né survenant à distance de l'accouchement. Le délai de survenue dépend de la demi-vie d'élimination du médicament et peut être important quand celle-ci est longue. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM française 24/10/2005 |
Recommandations |
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Aucune information recensée. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM française 24/10/2005 |
Passage dans le lait | Pas d'information |
Fixation protéique | Pas d'information |
Rapport concentration lait/plasma maternels | Pas d'information |
Concentration dans 100 ml de lait maternel | Pas d'information |
Recommandations |
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L'utilisation de ce médicament pendant l'allaitement est déconseillée. |
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Référence(s) officielle(s): | Rectificatif AMM française 24/10/2005 |
Recommandations |
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Prévenir les conducteurs de véhicules et utilisateurs de machines du risque possible de somnolence. L'association avec d'autres médicaments sédatifs doit être déconseillée ou prise en compte en cas de conduite automobile ou d'utilisation de machines (Cf. rubrique "Interactions"). Si la durée de sommeil est insuffisante, le risque d'altération de la vigilance est encore accru. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 24/10/2005 |
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
Site internet: www.ansm.sante.fr.
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