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Voie(s) d'administration : |
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Forme(s) pharmaceutique(s) : |
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Suspension injectable à libération prolongée. |
Référence(s) bibliographique(s) : |
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Substance(s) active(s)
Excipient(s)
SERINGUE B Substance(s) active(s)
Excipient(s)
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pH de la spécialité : 7 |
Précision(s) composition : |
Chaque seringue préremplie contient 234 mg de palmitate de palipéridone équivalent à 150 mg de palipéridone. Chaque seringue préremplie contient 156 mg de palmitate de palipéridone équivalent à 100 mg de palipéridone. |
Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM européenne 25/05/2016
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Classe pharmacothérapeutique : psycholeptiques, autres antipsychotiques. Code ATC : N05AX13 Ce médicament contient un mélange racémique de palipéridone (+) et (-). * Mécanisme d'action La palipéridone est un agent sélectif bloquant les effets des monoamines, dont les propriétés pharmacologiques sont différentes de celles des neuroleptiques conventionnels. La palipéridone se lie fortement aux récepteurs sérotoninergiques 5-HT2 et dopaminergiques D2. La palipéridone bloque également les récepteurs alpha 1-adrénergiques et à un moindre degré, les récepteurs histaminergiques H1 et alpha 2-adrénergiques. L'activité pharmacologique des énantiomères (+) et (-) de la palipéridone est qualitativement et quantitativement comparable. La palipéridone ne se lie pas aux récepteurs cholinergiques. Bien que la palipéridone soit un puissant antagoniste D2, qui est considéré comme responsable de l'effet bénéfique sur les symptômes positifs de la schizophrénie, elle entraîne moins de catalepsie et diminue moins la motricité que les neuroleptiques conventionnels. L'antagonisme sérotoninergique central dominant peut diminuer la capacité de la palipéridone à induire des effets indésirables extrapyramidaux. * Efficacité clinique - Traitement de la phase aiguë de la schizophrénie L'efficacité de ce médicament dans le traitement de la phase aiguë de la schizophrénie a été établie au cours de quatre études à court terme (une étude de 9 semaines et trois études de 13 semaines) en double aveugle, randomisées, contrôlées versus placebo, à doses fixes chez des patients adultes en rechute hospitalisés en phase aiguë et répondant aux critères DSM-IV de la schizophrénie. Les doses fixes de ce médicament dans ces études on été administrées aux jours 1, 8 et 36 dans l'étude de 9 semaines ainsi qu'au jour 64 dans les études de 13 semaines. Aucune couverture additionnelle avec un antipsychotique oral n'a été requise pendant le traitement de la phase aiguë de la schizophrénie par ce médicament. Le critère primaire d'efficacité a été défini comme la diminution des scores totaux à l'échelle PANSS (Positive and Negative Syndrome Scale) comme indiqué dans les données ci-dessous. L'échelle PANSS est un inventaire validé de plusieurs items portant sur cinq facteurs afin d'évaluer les symptômes positifs, les symptômes négatifs, les pensées désorganisées, l'hostilité/l'excitation incontrôlées et l'anxiété/la dépression. Le fonctionnement a été évalué en utilisant l'échelle PSP (Personal and Social Performance). L'échelle PSP est une échelle validée notée par les cliniciens qui mesure le fonctionnement personnel et social dans quatre domaines : les activités utiles à la société (travail et études), les relations personnelles et sociales, l'autonomie et les comportements perturbateurs et agressifs. Dans une étude de 13 semaines (n = 636) comparant trois doses fixes de ce médicament (injection initiale de 150 mg dans le muscle deltoïde suivie de 3 doses dans le muscle fessier ou deltoïde de 25 mg/4 semaines, 100 mg/4 semaines ou 150 mg mg/4 semaines) au placebo, les trois doses de ce médicament ont été supérieures au placebo dans l'amélioration du score total à l'échelle PANSS. Dans cette étude, les groupes de traitement de 100 mg/4 semaines et 150 mg/4 semaines ont montré une supériorité statistique par rapport au placebo sur l'échelle PSP, mais pas celui de 25 mg/4 semaines. Ces résultats soutiennent l'efficacité sur la durée totale du traitement et l'amélioration sur l'échelle PANSS qui a été observée dès le jour 4 avec une différence significative par rapport au placebo dans les groupes ce médicament 25 mg et 150 mg à partir du jour 8. Les résultats des autres études ont fourni des résultats statistiquement significatifs en faveur de ce médicament, excepté pour la dose de 50 mg dans une étude (Cf. données ci-dessous). -> Score total à l'échelle Positive and Negative Syndrome Scale (PANSS) pour la schizophrénie - Variations entre l'état initial et la dernière évaluation - Données en LOCF dans les études R092670-SCH-201, R092670-PSY-3003, R092670-PSY-3004 et R092670-PSY-3007 : Analyse de l'efficacité primaire - R092670-PSY-3007 (*) . Placebo (n=160) .. Moyenne à la ligne de base (ET) : 86,8 (10,31) .. Variation moyenne (ET) : -2,9 (19,26) .. Valeur de P (vs placebo) : -- . 25 mg (n=155) .. Moyenne à la ligne de base (ET) : 86,9 (11,99) .. Variation moyenne (ET) : -8,0 (19,90) .. Valeur de P (vs placebo) : 0,034 . 50 mg (n=0) .. Moyenne à la ligne de base (ET) : -- .. Variation moyenne (ET) : -- .. Valeur de P (vs placebo) : -- . 100 mg (n=161) .. Moyenne à la ligne de base (ET) : 86,2 (10,77) .. Variation moyenne (ET) : -11,6 (17,63) .. Valeur de P (vs placebo) < 0,001 . 150 mg (n=160) .. Moyenne à la ligne de base (ET) : 88,4 (11,70) .. Variation moyenne (ET) : -13,2 (18,48) .. Valeur de P (vs placebo) < 0,001 - R092670-PSY-3003 . Placebo (n=132) .. Moyenne à la ligne de base (ET) : 92,4 (12,55) .. Variation moyenne (ET) : -4,1 (21,01) .. Valeur de P (vs placebo) : -- . 25 mg (n=0) .. Moyenne à la ligne de base (ET) : -- .. Variation moyenne (ET) : -- .. Valeur de P (vs placebo) : -- . 50 mg (n=93) .. Moyenne à la ligne de base (ET) : 89,9 (10,78) .. Variation moyenne (ET) : -7,9 (18,71) .. Valeur de P (vs placebo) : 0,193 . 100 mg (n=94) .. Moyenne à la ligne de base (ET) : 90,1 (11,66) .. Variation moyenne (ET) : -11,0 (19,06) .. Valeur de P (vs placebo) : 0,019 . 150 mg (n=30) .. Moyenne à la ligne de base (ET) : 92,2 (11,72) .. Variation moyenne (ET) : -5,5 (19,78) .. Valeur de P (vs placebo) : -- - R092670-PSY-3004 . Placebo (n=125) .. Moyenne à la ligne de base (ET) : 90,7 (12,22) .. Variation moyenne (ET) : -7,0 (20,07) .. Valeur de P (vs placebo) : -- . 25 mg (n=129) .. Moyenne à la ligne de base (ET) : 90,7 (12,25) .. Variation moyenne (ET) : -13,6 (21,45) .. Valeur de P (vs placebo) : 0,015 . 50 mg (n=128) .. Moyenne à la ligne de base (ET) : 91,2 (12,02) .. Variation moyenne (ET) : -13,2 (20,14) .. Valeur de P (vs placebo) : 0,017 . 100 mg (n=131) .. Moyenne à la ligne de base (ET) : 90,8 (11,70) .. Variation moyenne (ET) : -16,1 (20,36) .. Valeur de P (vs placebo) < 0,001 . 150 mg (n=0) .. Moyenne à la ligne de base (ET) : -- .. Variation moyenne (ET) : -- .. Valeur de P (vs placebo) : -- - R092670-SCH-201 . Placebo (n=66) .. Moyenne à la ligne de base (ET) : 87,8 (13,90) .. Variation moyenne (ET) : 6,2 (18,25) .. Valeur de P (vs placebo) : -- . 25 mg (n=0) .. Moyenne à la ligne de base (ET) : -- .. Variation moyenne (ET) : -- .. Valeur de P (vs placebo) : -- . 50 mg (n=63) .. Moyenne à la ligne de base (ET) : 88,0 (12,39) .. Variation moyenne (ET) : -5,2 (21,52) .. Valeur de P (vs placebo) : 0,001 . 100 mg (n=68) .. Moyenne à la ligne de base (ET) : 85,2 (11,09) .. Variation moyenne (ET) : -7,8 (19,40) .. Valeur de P (vs placebo) < 0,0001 . 150 mg (n=0) .. Moyenne à la ligne de base (ET) : -- .. Variation moyenne (ET) : -- .. Valeur de P (vs placebo) : -- (*) Dans l'étude R092670-PSY-3007, une dose d'initiation de 150 mg a été administrée à tous les sujets des groupes de traitement par ce médicament au jour 1 suivie par la dose assignée par la suite. Note : une variation négative du score indique une amélioration. - Maintien du contrôle des symptômes et prévention des rechutes de la schizophrénie L'efficacité de ce médicament dans le maintien du contrôle des symptômes et la prévention des rechutes de la schizophrénie a été établie dans une étude à long terme en double aveugle, contrôlée versus placebo, à doses flexibles impliquant 849 patients adultes non âgés répondant aux critères DSM-IV de la schizophrénie. Cette étude incluait une phase de traitement de la phase aigüe et de stabilisation de 33 semaines en ouvert, une phase randomisée, en double aveugle et contrôlée versus placebo pour observer les rechutes et une période d'extension en ouvert de 52 semaines. Dans cette étude, ce médicament a été administré mensuellement à des doses de 25, 50, 75 et 100 mg ; la dose de 75 mg a été autorisée uniquement dans l'extension ouverte de 52 semaines. Les patients ont reçu initialement des doses flexibles (25-100 mg) de ce médicament pendant une période de transition de 9 semaines, suivie d'une période d'entretien de 24 semaines, au cours de laquelle les patients devaient avoir un score PANSS < ou = 75. Des adaptations posologiques ont été autorisées uniquement pendant les 12 premières semaines de la période d'entretien. Un total de 410 patients stabilisés ont été randomisés sous ce médicament (durée médiane de 171 jours [allant de 1 à 407 jours]) ou sous placebo (durée médiane de 105 jours [allant de 8 à 441 jours]) jusqu'à ce qu'ils présentent une recrudescence des symptômes schizophréniques dans la phase en double aveugle de durée variable. L'essai a été arrêté très tôt pour des raisons d'efficacité car un délai avant rechute significativement plus long (p < 0,0001, Figure 1) a été observé chez les patients traités par ce médicament comparativement au placebo (hazard ratio= 4,32 ; IC à 95 % : 2,4 à 7,7). - Population pédiatrique L'Agence Européenne du Médicament a accordé une dérogation à l'obligation de soumettre les résultats d'études avec ce médicament dans tous les sous-groupes de la population pédiatrique de schizophrénie. Cf. rubrique "Posologie" pour des informations concernant l'usage pédiatrique. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 25/05/2016 |
* Absorption et distribution Le palmitate de palipéridone est un ester de palmitate, prodrogue de la palipéridone. En raison de sa solubilité extrêmement faible dans l'eau, le palmitate de palipéridone se dissout lentement après une injection intramusculaire avant d'être hydrolysé en palipéridone et absorbé dans la circulation sanguine. Après administration d'une dose unique par voie intramusculaire, les concentrations plasmatiques de palipéridone augmentent graduellement pour atteindre des concentrations plasmatiques maximum à un Tmax médian de 13 jours. La libération de la substance active démarre dès le jour 1 et dure au moins 4 mois. Après l'injection intramusculaire de doses uniques (25-150 mg) dans le muscle deltoïde, une Cmax, en moyenne 28 % supérieure a été observée par rapport à l'injection dans le muscle fessier. Les deux injections intramusculaires initiales dans le muscle deltoïde de 150 mg le jour 1 et de 100 mg le jour 8 permettent d'atteindre rapidement les concentrations thérapeutiques. Le profil de libération et le schéma posologique de ce médicament aboutissent au maintien prolongé des concentrations thérapeutiques. L'exposition totale à la palipéridone après administration de ce médicament a été dose-proportionnelle dans un intervalle de doses allant de 25 à 150 mg et la Cmax a été inférieure à la dose proportionnalité pour les doses dépassant 50 mg. Le ratio moyen pic/vallée à l'état d'équilibre pour une dose de 100 mg de ce médicament était de 1,8 après l'administration dans le muscle fessier et de 2,2 après l'administration dans le muscle deltoïde. La demi-vie apparente médiane de la palipéridone après l'administration de ce médicament dans l'intervalle de doses 25-150 mg allait de 25 à 49 jours. La biodisponibilité absolue du palmitate de palipéridone après l'administration de ce médicament est de 100 %. Après l'administration du palmitate de palipéridone, les énantiomères (+) et (-) de la palipéridone s'interconvertissent atteignant un ratio d'AUC (+) sur (-) d'environ 1,6- 1,8. La liaison aux protéines plasmatiques de la palipéridone racémique est de 74 %. * Biotransformation et élimination Une semaine après l'administration d'une dose orale unique de 1 mg de 14C-palipéridone à libération immédiate, 59 % de la dose a été excrétée sous forme inchangée dans les urines, indiquant que la palipéridone n'est pas extensivement métabolisée au niveau hépatique. Environ 80 % de la radioactivité administrée a été retrouvée dans les urines et 11 % dans les fèces. Quatre voies métaboliques ont été identifiées in vivo, aucune d'entre elles ne concerne plus de 6,5 % de la dose : déalkylation, hydroxylation, déshydrogénation et coupure du noyau benzisoxazole. Bien que les études in vitro suggèrent un rôle du CYP2D6 et du CYP3A4 dans le métabolisme de la palipéridone, il n'existe pas de preuve in vivo que ces isoenzymes jouent un rôle significatif dans le métabolisme de la palipéridone. Les analyses de pharmacocinétique de population n'ont indiqué aucune différence notoire sur la clairance apparente de la palipéridone après l'administration de palipéridone orale entre les métaboliseurs rapides et les métaboliseurs lents des substrats du CYP2D6. Les études in vitro sur des microsomes hépatiques humains ont montré que la palipéridone n'inhibe pas de façon substantielle le métabolisme des médicaments métabolisés par les isoenzymes du cytochrome P450, incluant CYP1A2, CYP2A6, CYP2C8/9/10, CYP2D6, CYP2E1, CYP3A4 et CYP3A5. Des études in vitro ont montré que la palipéridone est un substrat de la P-gp et un inhibiteur faible de la P-gp à des concentrations élevées. Aucune donnée in vivo n'est disponible et la signification clinique n'est pas connue. * Injection de palmitate de palipéridone à action prolongée versus palipéridone orale à libération prolongée Ce médicament est conçu pour délivrer la palipéridone sur une période mensuelle alors que la palipéridone orale à libération prolongée est administrée quotidiennement. Le schéma initial de ce médicament (150 mg/100 mg dans le muscle deltoïde aux jour 1/jour 8) a été établi afin d'atteindre rapidement des concentrations de palipéridone à l'état d'équilibre lors de l'instauration du traitement sans utiliser de couverture orale supplémentaire. En général, les concentrations plasmatiques initiales totales de ce médicament étaient comprises dans l'intervalle d'exposition observée avec des doses de palipéridone orale à libération prolongée allant de 6 à 12 mg. L'utilisation du schéma initial de ce médicament a permis aux patients de rester dans la fenêtre d'exposition obtenue avec des doses de 6 à 12 mg de palipéridone orale à libération prolongée même les jours précédant l'administration de la dose (jour 8 et jour 36) où l'exposition est plus faible. En raison de la différence de profils pharmacocinétiques médians entre les deux médicaments, la prudence est recommandée lors d'une comparaison directe de leurs propriétés pharmacocinétiques. * Insuffisance hépatique La palipéridone n'est pas extensivement métabolisée au niveau hépatique. Bien que ce médicament n'ait pas été étudié chez les patients atteints d'insuffisance hépatique, aucune adaptation posologique n'est requise chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légère ou modérée. Dans une étude sur la palipéridone orale chez des patients présentant une insuffisance hépatique modérée (score de Child- Pugh : classe B), les concentrations plasmatiques de la palipéridone libre étaient comparables à celles des sujets sains. La palipéridone n'a pas été étudiée chez les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère. * Insuffisance rénale L'élimination d'une dose orale unique de 3 mg de palipéridone sous forme de comprimé à libération prolongée a été étudiée chez des sujets présentant différents degrés de fonction rénale. L'élimination de la palipéridone décroît avec la diminution de la clairance estimée de la créatinine. Chez les sujets avec une fonction rénale altérée, la clairance totale de la palipéridone était réduite de 32 % en moyenne lors d'une insuffisance rénale légère (ClCr = 50 à < 80 ml/min), de 64 % lors d'une insuffisance rénale modérée (ClCr = 30 à < 50 ml/min) et de 71 % lors d'une insuffisance rénale sévère (ClCr = 10 à < 30 ml/min), ce qui correspondait à une augmentation moyenne de l'exposition (ASCinf) de 1,5, 2,6 et 4,8 fois, respectivement, par rapport à des sujets sains. Sur la base d'un nombre limité d'observations de ce médicament chez les sujets atteint d'insuffisance rénale légère et de simulations pharmacocinétiques, une réduction de dose est recommandée (Cf. rubrique "Posologie"). * Sujet âgé Aucune adaptation de dose n'est recommandée du seul fait de l'âge. Toutefois, une adaptation de dose peut être requise en raison des diminutions de la clairance de la créatinine liées à l'âge (Cf. ci-dessus et rubrique "Posologie"). * Indice de masse corporelle (IMC)/poids corporel Des études pharmacocinétiques sur le palmitate de palipéridone ont montré des concentrations plasmatiques de palipéridone légèrement plus faibles (10 à 20 %) chez les patients en surpoids ou obèses par rapport aux patients présentant un poids normal (Cf. rubrique "Posologie"). * Origine ethnique Une analyse de pharmacocinétique de population sur les données d'études menées avec la palipéridone orale n'a pas mis en évidence de différences liées à l'origine ethnique sur la pharmacocinétique de la palipéridone après administration de ce médicament. * Sexe Aucune différence cliniquement significative n'a été observée entre les hommes et les femmes. * Tabagisme D'après des études in vitro utilisant des enzymes hépatiques humaines, la palipéridone n'est pas un substrat du CYP1A2 ; le tabagisme ne devrait donc pas avoir d'effet sur la pharmacocinétique de la palipéridone. Une analyse de pharmacocinétique de population basée sur des données de la palipéridone orale sous forme de comprimés à libération prolongée a montré une exposition à la palipéridone légèrement plus faible chez les fumeurs que chez les non-fumeurs. Il est peu probable que la différence soit cliniquement significative. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 25/05/2016 |
Les études toxicologiques à doses répétées réalisées avec le palmitate de palipéridone injecté par voie intramusculaire et la palipéridone administrée oralement chez le rat et le chien ont montré des effets principalement pharmacologiques, tels que la sédation et des effets sur les glandes mammaires et l'appareil génital médiés par la prolactine. Chez les animaux traités avec le palmitate de palipéridone, une réaction inflammatoire a été observée au niveau du site d'injection intramusculaire. La formation d'abcès est survenue occasionnellement. Au cours des études de reproduction chez le rat avec la rispéridone orale, qui est extensivement convertie en palipéridone chez le rat et l'Homme, des effets indésirables ont été observés sur le poids de naissance et la survie des progénitures. Aucune embryotoxicité ou malformation n'a été observée après l'administration intramusculaire du palmitate de palipéridone à des rats gravides jusqu'à la dose la plus élevée (160 mg/kg/jour), correspondant à 4,1 fois l'exposition chez l'homme à la dose maximale recommandée de 150 mg. D'autres antagonistes dopaminergiques, lorsqu'ils ont été administrés à des animaux gravides, ont entraîné des effets délétères sur les capacités d'apprentissage et le développement moteur des progénitures. Le palmitate de palipéridone et la palipéridone n'ont pas été génotoxiques. Au cours d'études de cancérogénèse orale réalisées avec la rispéridone chez le rat et la souris, des augmentations de l'incidence des adénomes hypophysaires (souris), des adénomes du pancréas endocrine (rat), et de la glande mammaire (chez les deux espèces) ont été observées. Le potentiel cancérogène du palmitate de palipéridone injecté par voie intramusculaire a été évalué chez le rat. Une augmentation statistiquement significative des adénocarcinomes des glandes mammaires chez les rats femelles à 10, 30 et 60 mg/kg/mois a été observée. Les rats mâles ont montré une augmentation statistiquement significative des adénomes et des carcinomes des glandes mammaires à 30 et 60 mg/kg/mois, ce qui correspond à 1,2 et 2,2 fois l'exposition chez l'Homme à la dose maximale recommandée. Ces tumeurs peuvent être liées à un antagonisme D2 dopaminergique prolongé et à une hyperprolactinémie. La signification de ces données tumorales chez les rongeurs en termes de risque pour l'espèce humaine est inconnue. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 25/05/2016 |
Attention : il n'existe plus de médicament commercialisé correspondant à ce médicament virtuel.
Spécialité(s) génériques Thériaque | Type | Prix |
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XEPLION LP 100/150MG SUSP INJ NSFP | ||
Comparer prix |
Groupe générique(s) : Néant |
Spécialité(s) générique(s) ansm et date(s) d'application : Néant |
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XEPLION (EPAR) 2012 |
ANTIPSYCHOTIQUES MISE AU POINT 2018 | |
MODIF PICTOGRAMME CONDUCTEUR 2017 | |
RISPERIDONE PALIPERIDONE CHIR CATARACTE | |
XEPLION SYNTHESE D'AVIS 2012 | |
ANTIPSYCHOTIQUES MISE AU POINT 2010 | |
SUJET AGE DEMENT ET ANTIPSYCHOTIQUES | |
SUJET AGE ET PSYCHOTROPES |
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* Conditions de prescription et de délivrance Liste I. prescription initiale réservée à certains spécialistes. prescription réservée aux spécialistes et services psychiatrie. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 25/05/2016 | |
Code UCD13 : | Non renseigné |
Code UCD7 : | Non renseigné |
Code identifiant spécialité : | 6 721 525 9 |
Laboratoire(s) titulaire(s) AMM: |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 25/05/2016 | |
Laboratoire(s) exploitant(s) : |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 25/05/2016 | |
1 seringue(s) préremplie(s) de 150 mg polycyclooléfine avec 2 aiguille(s)- 1 seringue(s) préremplie(s) de 100 mg polycyclooléfine avec 2 aiguille(s)
Code CIP13 | 3400941767012 |
Code CIP7 | 4176701 |
Commercialisation | Supprimé le 04/03/2011 |
Agrément collectivités/date JO | Non |
Présentation réservée à l'hôpital | Non |
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD) |
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1. SERINGUE A | |
Conditionnement primaire | 1 SERINGUE(S) PREREMPLIE(S) (1) |
Matériau(x) |
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Caractéristique(s) du conditionnement primaire |
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2. SERINGUE B | |
Conditionnement primaire | 1 SERINGUE(S) PREREMPLIE(S) (1) |
Matériau(x) |
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Caractéristique(s) du conditionnement primaire |
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Caractéristique(s) de l'emballage |
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* Nature et contenu de l'emballage extérieur |
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Présentation unitaire | OUI |
Référence(s) bibliographique(s) | |
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Conditions de délivrance |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 25/05/2016 |
Statut de la présentation |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 25/05/2016 |
1. Prix en officine ville | |
Prix de cette présentation (CIP)/date JO | non concerné |
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) | Non concerné |
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur) | |
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) | Non concerné |
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) | Non concerné |
1. Ville | |
Taux de remboursement |
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2. Hôpital (Rétrocession - vente au public) | |
Taux de remboursement |
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Statut(s) du remboursement |
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SMR spécifique de cette présentation | NON |
Modalité(s) de dispensation |
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Durée(s) et condition(s) de conservation |
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* Durée de conservation |
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Référence(s) officielles(s) : Rectificatif AMM européenne 25/05/2016 |
SCHIZOPHRENIE
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Ce médicament est indiqué dans le traitement d'entretien de la schizophrénie chez les patients adultes stabilisés par la palipéridone ou la rispéridone. |
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SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 01/02/2012 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 25/05/2016 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
SCHIZOPHRENIE
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Chez les patients adultes sélectionnés atteints de schizophrénie et ayant précédemment répondu à la palipéridone ou à la rispéridone orale, ce médicament peut être utilisé sans stabilisation préalable par un traitement oral si les symptômes psychotiques sont légers à modérés et si un traitement injectable à action prolongée est nécessaire. |
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SMR de l'indication | NIVEAU INSUFFISANT 01/02/2012 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 25/05/2016 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
Terrain N° 1 | TROUBLE PSYCHOTIQUE / PSYCHOSE
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Niveau(x) |
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Ce médicament ne doit pas être utilisé dans la prise en charge des états psychotiques graves lorsqu'un contrôle immédiat des symptômes est recherché. | |
Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | AGITATION |
Niveau(x) |
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Ce médicament ne doit pas être utilisé dans la prise en charge d'agitation aiguë lorsqu'un contrôle immédiat des symptômes est recherché. | |
Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie INITIALE | |
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Dose | 150 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement max | 1 FOIS LE 1ER JOUR DU TRAITEMENT |
Posologie INITIALE | |
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Dose | 100 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement max | 1 FOIS LE 8EME JOUR DU TRAITEMENT |
Posologie ENTRETIEN | |
Dose | de 25 MG/ADMINISTRATION à 150 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /MOIS |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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* Posologie Les doses initiales de ce médicament recommandées sont de 150 mg au jour 1 du traitement et de 100 mg une semaine plus tard (jour 8), les deux doses étant administrées dans le muscle deltoïde afin d'atteindre rapidement des concentrations thérapeutiques (Cf. rubrique "Pharmacocinétique"). La troisième dose doit être administrée un mois après la seconde dose d'initiation. La dose d'entretien mensuelle recommandée est de 75 mg ; certains patients peuvent bénéficier de doses plus faibles ou plus élevées dans l'intervalle recommandé allant de 25 à 150 mg en fonction de la tolérance individuelle du patient et/ou de l'efficacité. Les patients en surpoids ou obèses peuvent avoir besoin de doses comprises dans l'intervalle supérieur (Cf. rubrique "Pharmacocinétique"). Après la seconde dose, les doses d'entretien mensuelles peuvent être administrées soit dans le muscle deltoïde soit dans le muscle fessier. Un ajustement de la dose d'entretien peut être effectué mensuellement. Lors des ajustements de dose, les propriétés de libération prolongée de ce médicament doivent être prises en compte (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"), car l'effet complet des doses d'entretien peut ne pas être observé avant plusieurs mois. * Substitution de la palipéridone orale ou de la rispéridone orale par ce médicament Ce médicament doit être instauré comme décrit ci-dessus. Durant le traitement par dose d'entretien mensuelle de ce médicament, les patients précedemment stabilisés sous différentes doses de palipéridone orale sous forme de comprimés à libération prolongée peuvent atteindre une exposition similaire en palipéridone à l'état d'équilibre avec les injections. Les doses d'entretien de ce médicament nécessaires pour atteindre une exposition similaire à l'état d'équilibre sont indiquées dans le tableau suivant : Doses de palipéridone sous forme de comprimés à libération prolongée et de Xeplion requises pour atteindre une exposition à la palipéridone similaire à l'état d'équilibre lors d'un traitement d'entretien . Dose précédente de palipéridone sous forme de comprimés à libération prolongée : 3 mg par jour . Injection de ce médicament : 25-50 mg tous les mois . Dose précédente de palipéridone sous forme de comprimés à libération prolongée : 6 mg par jour . Injection de ce médicament : 75 mg tous les mois . Dose précédente de palipéridone sous forme de comprimés à libération prolongée : 9 mg par jour . Injection de ce médicament : 100 mg tous les mois . Dose précédente de palipéridone sous forme de comprimés à libération prolongée : 12 mg par jour . Injection de ce médicament : 150 mg tous les mois La palipéridone orale ou la rispéridone orale précédemment administrée peut être arrêtée au moment de l'instauration du traitement par ce médicament. Certains patients peuvent bénéficier d'un arrêt progressif. Certains patients passant d'une dose orale de palipéridone plus élevée (par exemple, 9-12 mg par jour) à des injections dans le muscle fessier avec ce médicament peuvent avoir une exposition plasmatique plus faible au cours des 6 premiers mois après le changement. Par conséquent, de façon alternative, il pourrait être envisagé de faire des injections dans le muscle deltoïde pendant les 6 premiers mois. * Substitution de l'injection de rispéridone à action prolongée par ce médicament Lors de la substitution de l'injection de rispéridone à action prolongée, initier le traitement par ce médicament à la place de l'injection suivante programmée. Ce médicament doit ensuite être poursuivi à intervalles mensuels. Le schéma posologique d'instauration de la première semaine incluant les injections intramusculaires (jour 1 et 8, respectivement) décrit ci-dessus n'est pas nécessaire. Les patients précédemment stabilisés par différentes doses de rispéridone injectable à action prolongée peuvent atteindre une exposition à la palipéridone similaire à l'état d'équilibre lors d'un traitement d'entretien par des doses mensuelles de ce médicament comme suit : Doses de rispéridone injectable à action prolongée et de ce médicament requises pour atteindre une exposition à la palipéridone similaire à l'état d'équilibre . Dose précédente de rispéridone injectable à action prolongée : 25 mg toutes les 2 semaines . Injection de ce médicament : 50 mg tous les mois . Dose précédente de rispéridone injectable à action prolongée : 37,5 mg toutes les 2 semaines . Injection de ce médicament :75 mg tous les mois . Dose précédente de rispéridone injectable à action prolongée : 50 mg toutes les 2 semaines . Injection de ce médicament : 100 mg tous les mois L'arrêt des médicaments antipsychotiques doit être effectué conformément aux informations de prescription associées. Si ce médicament est interrompu, ses propriétés de libération prolongée doivent être prises en compte. Comme avec les autres médicaments antipsychotiques, il est recommandé de réévaluer périodiquement la nécessité de poursuivre un traitement contre les symptômes extrapyramidaux (SE). * Oubli de doses - Evitez l'oubli de doses Il est recommandé que la seconde dose d'instauration de ce médicament soit administrée une semaine après la première dose. Afin d'éviter un oubli de dose, les patients peuvent recevoir la seconde dose 4 jours avant ou après l'échéance de la première semaine (jour 8). De même, il est recommandé que la troisième injection et les injections suivantes après le schéma d'instauration soient administrées mensuellement. Pour palier à un oubli d'une dose mensuelle, les patients peuvent recevoir l'injection jusqu'à 7 jours avant ou après l'échéance mensuelle. Si la date de la seconde injection de ce médicament (jour 8 +/- 4 jours) est oubliée, la recommandation d'instaurer à nouveau le traitement dépend de la durée qui s'est écoulée depuis la première injection reçue par le patient. - Oubli de la seconde dose d'instauration (< 4 semaines après la première injection) Si moins de 4 semaines se sont écoulées depuis la première injection, alors le patient devra recevoir la seconde injection de 100 mg dans le muscle deltoïde dès que possible. Une troisième injection de 75 mg de ce médicament dans le muscle deltoïde ou le muscle fessier devra être administrée 5 semaines après la première injection (quelle que soit la date de la seconde injection). Par la suite, le cycle mensuel normal des injections dans le muscle deltoïde ou le muscle fessier de doses allant de 25 à 150 mg, en fonction de la tolérance individuelle du patient et/ou de l'efficacité, sera poursuivi. - Oubli de la seconde dose d'instauration (4 à 7 semaines après la première injection) Si 4 à 7 semaines se sont écoulées depuis la première injection de ce médicament, reprendre le traitement par deux injections de 100 mg comme suit : 1. une injection dans le muscle deltoïde dès que possible 2. une autre injection dans le muscle deltoïde une semaine plus tard 3. reprise du cycle normal mensuel des injections dans le muscle deltoïde ou le muscle fessier de doses allant de 25 à 150 mg, en fonction de la tolérance individuelle du patient et/ou de l'efficacité. - Oubli de la seconde dose d'instauration (> 7 semaines après la première injection) Si plus de 7 semaines se sont écoulées depuis la première injection de ce médicament, recommencer le traitement comme décrit ci-dessus dans le schéma d'instauration de ce médicament. - Oubli d'une dose d'entretien mensuelle (1 mois à 6 semaines) Après l'instauration, le cycle d'injection de ce médicament recommandé est mensuel. Si moins de 6 semaines se sont écoulées depuis la dernière injection, alors la dose précédemment stabilisante devra être administrée dès que possible, suivie par des injections à intervalles mensuels. - Oubli d'une dose d'entretien mensuelle (> 6 semaines à 6 mois) Si plus de 6 semaines se sont écoulées depuis la dernière injection de ce médicament, la recommandation est la suivante : Pour les patients stabilisés par des doses allant de 25 à 100 mg : 1. une injection dans le muscle deltoïde dès que possible de la même dose que celle par laquelle le patient était précédemment stabilisé. 2. une autre injection dans le muscle deltoïde (même dose) une semaine plus tard (jour 8). 3. reprise du cycle mensuel normal des injections dans le muscle deltoïde ou dans le muscle fessier de doses allant de 25 à 150 mg, en fonction de la tolérance individuelle du patient et/ou de l'efficacité. Pour les patients stabilisés par 150 mg : 1. une injection d'une dose de 100 mg dans le muscle deltoïde dès que possible. 2. une autre injection d'une dose de 100 mg dans le muscle deltoïde une semaine plus tard (jour 8). 3. reprise du cycle normal mensuel des injections dans le muscle deltoïde ou dans le muscle fessier de doses allant de 25 à 150 mg, en fonction de la tolérance individuelle du patient et/ou de l'efficacité. - Oubli d'une dose d'entretien mensuelle (> 6 mois) Si plus de 6 mois se sont écoulés depuis la dernière injection de ce médicament, recommencez le traitement comme décrit ci-dessus dans le schéma d'instauration de ce médicament. * Populations particulières - Patient âgé L'efficacité et la sécurité chez les patients âgés de plus de 65 ans n'ont pas été établies. En général, la posologie de ce médicament recommandée pour les patients âgés présentant une fonction rénale normale est la même que celle des patients adultes plus jeunes dont la fonction rénale est normale. Toutefois, certains patients âgés pouvant avoir une fonction rénale diminuée, un ajustement posologique peut être nécessaire (Cf. Insuffisance rénale pour les recommandations posologiques chez les patients présentant une insuffisance rénale). - Insuffisance hépatique D'après l'expérience acquise avec la palipéridone orale, aucune adaptation posologique n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère ou modérée. La palipéridone n'ayant pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère, la prudence est recommandée chez ces patients. - Autres populations particulières Aucune adaptation posologique de ce médicament n'est recommandée du fait du sexe, de l'origine ethnique ou chez les fumeurs. - Population pédiatrique La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants de moins de 18 ans n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie INITIALE | |
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Dose | 100 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement max | 1 FOIS LE 1ER JOUR DU TRAITEMENT |
Posologie INITIALE | |
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Dose | 75 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement max | 1 FOIS LE 8EME JOUR DU TRAITEMENT |
Posologie ENTRETIEN | |
Dose | de 25 MG/ADMINISTRATION à 100 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /MOIS |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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* Populations particulières - Patient âgé L'efficacité et la sécurité chez les patients âgés de plus de 65 ans n'ont pas été établies. En général, la posologie de ce médicament recommandée pour les patients âgés présentant une fonction rénale normale est la même que celle des patients adultes plus jeunes dont la fonction rénale est normale. Toutefois, certains patients âgés pouvant avoir une fonction rénale diminuée, un ajustement posologique peut être nécessaire (voir Insuffisance rénale ci-dessous pour les recommandations posologique chez les patients présentant une insuffisance rénale). - Insuffisance rénale Ce médicament n'a pas été étudié de manière systématique chez les patients présentant une insuffisance rénale (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). Chez les patients présentant une insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine = 50 à < 80 ml/min), les doses initiales de ce médicament recommandées sont de 100 mg au jour 1 du traitement et 75 mg une semaine plus tard, les deux doses étant administrées dans le muscle deltoïde. La dose d'entretien mensuelle recommandée est de 50 mg dans un intervalle allant de 25 à 100 mg en fonction de la tolérance individuelle du patient et/ou l'efficacité. Ce médicament n'est pas recommandé chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée ou sévère (clairance de la créatinine < 50 ml/min) (Cf. rubrique "Mise en garde et précaution d'emploi"). - Autres populations particulières Aucune adaptation posologique de ce médicament n'est recommandée du fait du sexe, de l'origine ethnique ou chez les fumeurs. - Population pédiatrique La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants de moins de 18 ans n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Modalité(s) |
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* Mode et voie d'administration Ce médicament est destiné à l'administration intramusculaire uniquement. Il ne doit pas être administré par une autre voie. Il doit être injecté lentement, en profondeur dans le muscle deltoïde ou fessier. Chaque 6 injection doit être administrée par un professionnel de santé. L'administration doit être effectuée par une injection unique. La dose ne doit pas être administrée par des injections séparées. Les doses d'instauration des jours 1 et 8 doivent chacune être administrées dans le muscle deltoïde afin d'atteindre rapidement des concentrations thérapeutiques (voir rubrique 5.2). Après la seconde dose d'initiation, les doses d'entretien mensuelles peuvent être administrées soit dans le muscle deltoïde soit dans le muscle fessier. Un changement du muscle fessier au muscle deltoïde (et vice versa) doit être envisagé en cas de douleur au site d'injection et si la gêne associée n'est pas bien tolérée (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Il est également recommandé d'alterner entre les côtés gauche et droit (voir ci-dessous). Pour les instructions relatives à l'utilisation et la manipulation de ce médicament, cf. la notice (information destinée aux professionnels de sante). - Administration dans le muscle deltoide La taille de l'aiguille recommandée pour les administrations initiales et d'entretien de ce médicament dans le muscle deltoide est determinée par le poids du patient. Pour les patients ayant un poids > ou = 90 kg, l'aiguille de 11/2 pouce 22 Gauge (38,1 mm x 0,72 mm) est recommandée. Pour ceux ayant un poids < 90 kg, l'aiguille de 1 pouce 23 Gauge (25,4 mm x 0,64 mm) est recommandée. Les injections dans le muscle deltoide doivent être alternées entre les 2 muscles deltoides. - Administration dans le muscle fessier La taille de l'aiguille recommandée pour l'administration d'entretien de ce médicament dans le muscle fessier est l'aiguille de 1 puissance 1/2 pouce 22 Gauge (38,1 mm x 0,72 mm). L'administration doit être faite dans le quadrant supero-externe de la fesse. Les injections dans le muscle fessier doivent être alternées entre les deux muscles fessiers. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Terrain N° 1 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | ADULTE JEUNE (15-17 ANS)
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | ENFANT |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | NOURRISSON |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | NOUVEAU-NE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | MODE D'ADMINISTRATION PARTICULIER
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Niveau(x) |
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La dose ne doit pas être administrée par voie intravasculaire ou sous-cutanée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | GROSSESSE |
Niveau(x) |
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Ce médicament ne doit pas être utilisé au cours de la grossesse sauf si manifestement nécessaire. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | ALLAITEMENT |
Niveau(x) |
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Ce médicament ne doit pas être utilisé au cours de l'allaitement. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Ce médicament est contre indiqué en cas d'hypersensibilité à la substance active, à la rispéridone ou à l'un des excipients. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 25/05/2016 |
Terrain N° 9 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Ce médicament est contre-indiqué en cas d'hypersensibilité aux dérivés de la pipéridine. Réf. : Rectificatif AMM française du 14/05/2019 de ARICEPT 5MG CPR. |
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CIM 10 |
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Terrain N° 1 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | ATTEINTE CARDIOVASCULAIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | TROUBLE DE LA CONDUCTION
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | SYNDROME MALIN DES NEUROLEPTIQUES |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | HYPERTHERMIE MALIGNE DUE ANESTHESIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | DYSKINESIE TARDIVE IATROGENE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | LEUCOPENIE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | NEUTROPENIE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | TROUBLE EXTRAPYRAMIDAL |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | PRISE PONDERALE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | DIABETE TYPE I |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | POLYDIPSIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | POLYURIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 16 | ASTHENIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 17 | HYPERPROLACTINEMIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 18 | TUMEUR PROLACTINO-DEPENDANTE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 19 | INSUFFISANCE CARDIAQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 20 | INFARCTUS DU MYOCARDE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 21 | HYPOVOLEMIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 22 | DESHYDRATATION |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 23 | CARDIOPATHIE ISCHEMIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 24 | EPILEPSIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 25 | CONVULSIONS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 26 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 27 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 28 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 29 | INSUFFISANCE HEPATIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 30 | SUJET AGE |
Niveau(x) |
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Ce médicament n'a pas été étudié chez les patients âgés déments. Ce médicament doit être utilisé avec précaution chez les patients âgés déments ayant des facteurs de risque d'accident vasculaire cérébral. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 31 | DEMENCE
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Niveau(x) |
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Ce médicament n'a pas été étudié chez les patients âgés déments. Ce médicament doit être utilisé avec précaution chez les patients âgés déments ayant des facteurs de risque d'accident vasculaire cérébral. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 32 | PARKINSON MALADIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 33 | DEMENCE A CORPS DE LEWY |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 34 | FIEVRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 35 | ACTIVITE PHYSIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 36 | EXPOSITION A UNE TEMPERATURE EXTREME |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 37 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 38 | THROMBOSE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 39 | THROMBOPHLEBITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 40 | MALADIE THROMBOEMBOLIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 41 | HYPOTENSION ARTERIELLE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 42 | SYNDROME OCCLUSIF OU SUBOCCLUSIF |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 43 | TUMEUR CEREBRALE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 44 | INTERVENTION CHIRURGICALE
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Niveau(x) |
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Un syndrome de l'iris hypotonique peropératoire (SIHP) a été observé au cours d'interventions chirurgicales de la cataracte chez des patients traités par des médicaments antagonistes des récepteurs alpha1a-adrénergiques, tels que Xeplion (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Le SIHP peut augmenter le risque de complications oculaires pendant et après l'opération. L'utilisation actuelle ou antérieure de médicaments ayant un effet antagoniste des récepteurs alpha1a-adrénergiques doit être portée à la connaissance du chirurgien ophtalmologiste avant l'intervention chirurgicale. Le bénéfice potentiel de l'arrêt du traitement par alpha1-bloquant avant l'intervention chirurgicale de la cataracte n'a pas été établi et doit être mis en balance avec le risque d'arrêt du traitement antipsychotique. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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- Utilisation chez les patients dans un état d'agitation aiguë ou dans un état psychotique grave Ce médicament ne doit pas être utilisé dans la prise en charge des états psychotiques graves ou d'agitation aiguë lorsqu'un contrôle immédiat des symptômes est recherché. - Intervalle QT La prudence est recommandée lorsque la palipéridone est prescrite à des patients présentant une maladie cardiovasculaire connue ou des antécédents familiaux d'allongement de l'intervalle QT, et en cas d'utilisation concomitante de médicaments suspectés d'allonger l'intervalle QT. - Syndrome malin des neuroleptiques Le syndrome malin des neuroleptiques (SMN), caractérisé par une hyperthermie, une rigidité musculaire, une instabilité du système nerveux autonome, une altération de la conscience et une augmentation des taux sériques de créatine phosphokinase, a été rapporté avec la palipéridone. Des signes cliniques supplémentaires peuvent inclure une myoglobinurie (rhabdomyolyse) et une insuffisance rénale aiguë. Si un patient développe des signes ou des symptômes indicatifs d'un SMN, tous les antipsychotiques, dont la palipéridone, doivent être interrompus. - Dyskinésie tardive Les médicaments qui possèdent des propriétés antagonistes des récepteurs de la dopamine ont été associés à l'induction de dyskinésie tardive caractérisée par des mouvements anormaux involontaires, prédominant au niveau de la langue et/ou du visage. Si les signes et symptômes d'une dyskinésie tardive apparaissent, l'arrêt de tous les antipsychotiques, dont la palipéridone, doit être envisagé. La prudence est recommandée chez les patients recevant de façon concomitante des psychostimulants (par exemple, méthylphénidate) et la palipéridone, car des symptômes extrapyramidaux peuvent apparaitre lors de l'ajustement de l'un ou des deux médicaments. L'arrêt progressif du traitement stimulant est recommandé (Cf. rubrique "Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions"). - Leucopénie, neutropénie et agranulocytose Des cas de leucopénie, neutropénie et agranulocytose ont été rapportés avec ce médicament. Une agranulocytose a été très rarement rapportée (< 1/10000 patients) lors de la surveillance après commercialisation. Les patients ayant des antécédents cliniquement significatifs de faible numération des globules blancs (NGB) ou de leucopénie/neutropénie d'origine médicamenteuse doivent être surveillés pendant les tous premiers mois de traitement et l'arrêt de ce médicament doit être considéré au premier signe d'une baisse cliniquement significative de la NGB en l'absence d'autres facteurs causaux. Les patients ayant une neutropénie cliniquement significative doivent être attentivement surveillés pour une fièvre ou d'autres symptômes ou signes d'infection et traités rapidement si de tels symptômes ou signes apparaissent. Les patients ayant une neutropénie sévère (numération absolue de neutrophiles < 1 x 109/L) doivent arrêter ce médicament et leur NGB doit être suivie jusqu'à rétablissement. - Réactions d'hypersensibilité Des réactions anaphylactiques chez des patients ayant précédemment toléré la rispéridone orale ou la palipéridone orale ont été rarement rapportées depuis le début de la commercialisation (Cf. rubriques "Indications" et "Effets indésirables"). Si des réactions d'hypersensibilité surviennent : arrêter Xeplion ; initier des mesures générales d'accompagnement cliniquement appropriées et surveiller le patient jusqu'à ce que les signes et les symptômes disparaissent (Cf. rubriques ci-dessus et "Effets indésirables"). - Hyperglycémie et diabète Hyperglycémie, diabète et exacerbation d'un diabète préexistant ont été rapportés au cours du traitement par palipéridone. Dans certains cas, une prise de poids antérieure a été rapportée, ce qui peut être un facteur prédisposant. L'association à une acidocétose a été très rarement rapportée et l'association à un coma diabétique rarement rapportée. Une surveillance clinique adéquate est recommandée conformément aux recommandations relatives aux antipsychotiques. Les symptômes d'hyperglycémie (tels que polydipsie, polyurie, polyphagie, et fatigue) doivent être recherchés chez les patients traités par antipsychotiques atypiques, y compris ce médicament. Une surveillance régulière doit être effectuée chez les patients diabétiques afin de détecter une aggravation de la glycémie. - Prise de poids Une prise de poids significative a été rapportée avec l'utilisation de ce médicament. Le poids doit être contrôlé régulièrement. - Utilisation chez des patients présentant des tumeurs prolactine-dépendantes Des études sur des cultures de tissus suggèrent que la croissance cellulaire des tumeurs du sein chez l'Homme peut être stimulée par la prolactine. Bien qu'aucune association claire avec l'administration d'antipsychotiques n'ait été démontrée jusqu'à présent dans les études cliniques et épidémiologiques, la prudence est recommandée chez les patients présentant des antécédents médicaux significatifs. La palipéridone doit être utilisée avec précaution chez les patients présentant une tumeur préexistante potentiellement prolactine-dépendante. - Hypotension orthostatique La palipéridone peut induire une hypotension orthostatique chez certains patients par son activité alpha-bloquante. Sur la base des données poolées de 3 essais contrôlés versus placebo, de 6 semaines, à doses fixes réalisés avec la palipéridone orale sous forme de comprimés à libération prolongée (3, 6, 9 et 12 mg), une hypotension orthostatique a été rapportée chez 2,5 % des patients traités par la palipéridone orale comparé à 0,8 % des patients sous placebo. Ce médicament doit être utilisé avec précaution chez les patients présentant une maladie cardiovasculaire connue (par exemple, insuffisance cardiaque, infarctus du myocarde ou ischémie, anomalies de la conduction), une maladie cérébrovasculaire ou des situations cliniques prédisposant le patient à l'hypotension (par exemple, déshydratation et hypovolémie). - Convulsions Ce médicament doit être utilisé avec précaution chez les patients présentant des antécédents de convulsions ou d'autres situations cliniques pouvant potentiellement abaisser le seuil épileptogène. - Insuffisance rénale Les concentrations plasmatiques de palipéridone sont augmentées chez les patients présentant une insuffisance rénale et de ce fait, une adaptation posologique est recommandée chez les patients ayant une insuffisance rénale légère. Ce médicament n'est pas recommandé chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée ou sévère (clairance de la créatinine < 50 ml/min) (Cf. rubriques "Posologie" et "Propriétés pharmacocinétiques"). - Insuffisance hépatique Aucune donnée n'est disponible chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (score Child-Pugh : classe C). La prudence est recommandée si la palipéridone est utilisée chez ces patients. - Patients âgés déments Ce médicament n'a pas été étudié chez les patients âgés déments. Ce médicament doit être utilisé avec précaution chez les patients âgés déments ayant des facteurs de risque d'accident vasculaire cérébral. L'expérience acquise avec la rispéridone, citée ci-dessous, est considérée comme également valable pour la palipéridone. . Mortalité globale Dans une méta-analyse portant sur 17 essais cliniques contrôlés, des patients âgés déments traités par d'autres antipsychotiques atypiques, incluant la rispéridone, l'aripiprazole, l'olanzapine et la quétiapine ont présenté une augmentation du risque de mortalité comparé au placebo. Parmi ceux traités par la rispéridone, le taux de mortalité était de 4 % comparé à 3,1 % avec le placebo. . Effets indésirables cérébrovasculaires Une augmentation du risque d'effets indésirables cérébrovasculaires d'un facteur 3 environ a été observée dans des essais cliniques randomisés contrôlés versus placebo réalisés chez des patients déments avec certains antipsychotiques atypiques, incluant la rispéridone, l'aripiprazole et l'olanzapine. Le mécanisme de cette augmentation du risque n'est pas connu. - Maladie de Parkinson et démence à corps de Lewy Les prescripteurs doivent évaluer les risques versus les bénéfices de la prescription de ce médicament chez les patients présentant une maladie de Parkinson ou une démence à Corps de Lewy (DCL), ces deux groupes pouvant présenter une augmentation du risque de survenue de syndrome malin des neuroleptiques ainsi qu'une augmentation de la sensibilité aux antipsychotiques. Les manifestations de l'augmentation de sensibilité peuvent inclure une confusion, obnubilation, une instabilité posturale avec des chutes fréquentes, en plus des symptômes extrapyramidaux. - Priapisme La survenue d'un priapisme a été rapportée avec les médicaments antipsychotiques (dont la rispéridone) ayant des propriétés alpha-bloquantes adrénergiques. Après commercialisation, des cas de priapisme ont également été rapportés avec la palipéridone orale, qui est le métabolite actif de la rispéridone. Les patients doivent être informés d'aller consulter en urgence un médecin si le priapisme n'a pas disparu au bout de 3 à 4 heures. - Régulation de la température corporelle Une altération de la capacité corporelle à diminuer la température corporelle centrale a été rapportée avec les médicaments antipsychotiques. La prudence est recommandée lors de la prescription de ce médicament chez des patients susceptibles d'être exposés à certaines situations pouvant contribuer à une augmentation de la température corporelle centrale, par exemple, exercice physique intense, exposition à une température extrême, traitement concomitant par des médicaments ayant une activité anticholinergique ou existence d'une déshydratation. - Thromboembolie veineuse Des cas de thromboembolie veineuse (TEV) ont été rapportés avec les médicaments antipsychotiques. Les patients traités par antipsychotiques présentant souvent des facteurs de risque acquis de TEV, tout facteur de risque potentiel de TEV doit être identifié avant et pendant le traitement par ce médicament et des mesures préventives doivent être mises en oeuvre. - Effet antiémétique Un effet antiémétique a été observé au cours des études précliniques réalisées avec la palipéridone. Cet effet, lorsqu'il survient chez l'Homme, peut masquer les signes et les symptômes de surdosage de certains médicaments ou certaines situations cliniques telles qu'une obstruction intestinale, un syndrome de Reye et une tumeur cérébrale. - Administration La prudence est recommandée afin d'éviter toute injection accidentelle de ce médicament dans un vaisseau sanguin. - Syndrome de l'iris hypotonique peropératoire Un syndrome de l'iris hypotonique peropératoire (SIHP) a été observé au cours d'interventions chirurgicales de la cataracte chez des patients traités par des médicaments antagonistes des récepteurs alpha1a-adrénergiques, tels que ce médicament (Cf. "Effets indésirables"). Le SIHP peut augmenter le risque de complications oculaires pendant et après l'opération. L'utilisation actuelle ou antérieure de médicaments ayant un effet antagoniste des récepteurs alpha1a-adrénergiques doit être portée à la connaissance du chirurgien ophtalmologiste avant l'intervention chirurgicale. Le bénéfice potentiel de l'arrêt du traitement par alpha1-bloquant avant l'intervention chirurgicale de la cataracte n'a pas été établi et doit être mis en balance avec le risque d'arrêt du traitement antipsychotique. - Excipients Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par dose, c'est-à-dire qu'il est essentiellement "sans sodium". |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 25/05/2016 |
Terrain N° 45 | EXPOSITION A UNE TEMPERATURE EXTREME |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 46 | EXPOSITION A UNE TEMPERATURE EXTREME |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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La prudence est recommandée lorsque ce médicament est prescrit avec des médicaments connus pour allonger l'intervalle QT, par exemple, les antiarythmiques de classe IA (par exemple quinidine, disopyramide) et les antiarythmiques de classe III (par exemple amiodarone, sotalol), certains antihistaminiques, certains autres antipsychotiques et certains antipaludéens (par exemple, méfloquine). Cette liste est indicative et non exhaustive. - Effets potentiels de ce médicament sur d'autres médicaments La palipéridone ne devrait pas entraîner d'interactions pharmacocinétiques cliniquement importantes avec les médicaments métabolisés par les isoenzymes du cytochrome P-450. Compte tenu des effets primaires de la palipéridone sur le système nerveux central (SNC) (Cf. rubrique "Effets indésirables"), ce médicament doit être utilisé avec précaution en association avec d'autres médicaments agissant au niveau central, par exemple les anxiolytiques, la majorité des antipsychotiques, les hypnotiques, les opiacés, etc., ou avec l'alcool. La palipéridone peut antagoniser l'effet de la lévodopa et d'autres agonistes dopaminergiques. Lorsque cette association s'avère nécessaire, en particulier au stade terminal de la maladie de Parkinson, la dose efficace la plus faible de chaque traitement doit être prescrite. Du fait de son potentiel à induire une hypotension orthostatique (Cf. rubrique "Mise en garde et précautions d'emploi"), un effet additif peut être observé lorsque ce médicament est administré avec d'autres médicaments ayant ce potentiel, par exemple d'autres antipsychotiques, antidépresseurs tricycliques. La prudence est recommandée lorsque la palipéridone est associée à d'autres médicaments connus pour diminuer le seuil épileptogène (par exemple, phénothiazines ou butyrophénones, tricycliques ou IRSSs, tramadol, méfloquine, etc.). La co-administration de palipéridone orale sous forme de comprimés à libération prolongée à l'état d'équilibre (12 mg une fois par jour) avec du divalproex de sodium sous forme de comprimés à libération prolongée (500 à 2000 mg une fois par jour) n'a pas affecté la pharmacocinétique du valproate à l'état d'équilibre. Aucune étude d'interaction entre ce médicament et le lithium n'a été effectuée, toutefois, une interaction pharmacocinétique est peu probable. - Effets potentiels d'autres médicaments sur ce médicament Les études in vitro indiquent que le CYP2D6 et le CYP3A4 peuvent interférer de façon minime avec le métabolisme de la palipéridone, mais qu'il n'existe pas in vitro ni in vivo de données indiquant que ces isoenzymes jouent un rôle significatif dans le métabolisme de la palipéridone. L'administration concomitante de palipéridone orale avec la paroxétine, un puissant inhibiteur du CYP2D6, n'a pas montré d'effet cliniquement significatif sur la pharmacocinétique de la palipéridone. La co-administration de la palipéridone orale à libération prolongée une fois par jour avec de la carbamazépine 200 mg administrée 2 fois par jour a entraîné une diminution d'environ 37 % de la Cmax et de l'AUC moyennes de la palipéridone à l'état d'équilibre. Cette diminution est due, pour une large part, à une augmentation de 35 % de la clairance rénale de la palipéridone résultant probablement de l'induction de la P-gp rénale par la carbamazépine. Une diminution mineure de la quantité de substance active excrétée sous forme inchangée dans les urines suggère qu'il y a peu d'effet sur le métabolisme via le CYP ou sur la biodisponibilité de la palipéridone au cours de la co-administration avec la carbamazépine. Des diminutions plus importantes des concentrations plasmatiques de palipéridone peuvent survenir avec des doses plus élevées de carbamazépine. Lors de l'initiation de la carbamazépine, la dose de ce médicament doit être réévaluée et augmentée si nécessaire. A l'inverse, lors de l'arrêt de la carbamazépine, la dose de ce médicament doit être réévaluée et diminuée si nécessaire. La co-administration d'une dose unique de 12 mg de palipéridone orale sous forme de comprimé à libération prolongée avec le divalproex de sodium sous forme de comprimés à libération prolongée (2 comprimés de 500 mg une fois par jour) a entraîné une augmentation d'environ 50 % de la Cmax et de l'AUC de la palipéridone, résultant probablement d'une augmentation de l'absorption orale. Aucun effet sur la clairance systémique n'ayant été observé, une interaction cliniquement significative n'est pas attendue entre le divalproex de sodium sous forme de comprimés à libération prolongée et l'injection intramusculaire de ce médicament. Cette interaction n'a pas été étudiée avec ce médicament. - Utilisation concomitante de ce médicament avec la rispéridone ou la palipéridone orale La palipéridone étant le principal métabolite actif de la rispéridone, une attention particulière est nécessaire lorsque Xeplion est co-administré avec la rispéridone ou la palipéridone orale pendant des périodes prolongées. Les données de sécurité concernant l'utilisation concomitante de Xeplion avec d'autres antipsychotiques sont limitées. - Utilisation concomitante de ce médicament avec des psychostimulants L'utilisation concomitante de psychostimulants (exemple, méthylphénidate) avec la palipéridone peut entrainer des symptômes extrapyramidaux lors de l'ajustement de l'un ou des deux traitements (Cf. rubrique "Mises en garde spéciales et précautions d'emploi"). |
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Référence(s) officielle(s):  Rectificatif AMM européenne 25/05/2016 |
Effet spécialité |
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Niveau(x) de risque |
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Il n'existe pas de données adéquates sur l'utilisation de la palipéridone pendant la grossesse. Le palmitate de palipéridone injecté par voie intramusculaire et la palipéridone administrée par voie orale n'ont pas montré d'effets tératogènes au cours des études chez l'animal, mais d'autres types de toxicité sur la reproduction ont été observés (Cf. rubrique "Sécurité pré-clinique"). Les nouveau-nés exposés aux antipsychotiques (dont palipéridone) pendant le troisième trimestre de la grossesse, présentent un risque de réactions indésirables incluant des symptômes extrapyramidaux et/ou des symptômes de sevrage, pouvant varier en termes de sévérité et de durée après l'accouchement. Les réactions suivantes ont été rapportées : agitation, hypertonie, hypotonie, tremblements, somnolence, détresse respiratoire, trouble de l'alimentation. En conséquence, les nouveau-nés doivent être étroitement surveillés. Ce médicament ne doit pas être utilisé au cours de la grossesse sauf si manifestement nécessaire. |
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Conduite à tenir chez le nouveau-né |
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Les nouveau-nés doivent être étroitement surveillés. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 25/05/2016 |
Recommandations |
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Aucun effet pertinent n'a été observé dans les études non cliniques. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 25/05/2016 |
Passage dans le lait | Oui |
Fixation protéique | Pas d'information |
Rapport concentration lait/plasma maternels | Pas d'information |
Concentration dans 100 ml de lait maternel | Pas d'information |
Recommandations |
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La palipéridone est excrétée dans le lait maternel en quantités suffisantes pour que des effets sur le nourrisson allaité soient possibles lorsque des doses thérapeutiques sont administrées à la femme allaitante. Ce médicament ne doit pas être utilisé au cours de l'allaitement. |
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Référence(s) officielle(s): | Rectificatif AMM européenne 25/05/2016 |
Recommandations |
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La palipéridone peut avoir une influence mineure ou modérée sur l'aptitude à conduire et à utiliser des machines due à des effets potentiels sur le système nerveux et la vision, tels que sédation, somnolence, syncope, vision trouble (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Par conséquent, les patients doivent être informés de ne pas conduire ou utiliser de machines jusqu'à ce que leur sensibilité individuelle à ce médicament soit connue. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 25/05/2016 |
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
Site internet: www.ansm.sante.fr.
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