ZIACAINE SOL DENTAIRE PULV 36G NSFP
ZIACAINE, SOLUTION POUR USAGE DENTAIRE EN FLACON PULVERISATEUR
Fiche(s) d'identité interopérable
Historique des références officielles
  Lien vers la monographie ansm

Cette monographie a été revue le : 12/11/2013
Mises en garde et précautions d'emploi
- Résumé des Caractéristiques du Produit (RCP)
Terrain N° 1 QUEL QUE SOIT LE TERRAIN
    Niveau(x)
    • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
    • NE PAS AVALER
    • RISQUE DE MORSURES
    • NE PAS INJECTER
    • INTERFERENCE AVEC LES TESTS ANTI-DOPAGE
    • RESPECTER LES MODALITES D'ADMINISTRATION
    • RESPECTER LA POSOLOGIE
    • PRESENCE D'EXCIPIENT(S) A EFFET NOTOIRE
    • TENIR COMPTE PRESENCE PROPYLENEGLYCOL
    Référence(s) officielle(s)
    • Ampliation AMM française 08/12/1997
    CIM 10
    • Non concerné .





    - Commentaires du RCP :
    - Ne pas dépasser la dose maximale de 1,6 g de solution, soit environ 20 pressions pour une anesthésie.Tenir compte d'un risque de résorption plus rapide et plus importante de la lidocaïne en cas de muqueuse lésée.

    - Veiller à limiter l'anesthésie à la région à traiter en particulier lors des pulvérisations. L'orientation accidentelle d'anesthésiques vers la luette ou le pharynx peut déclencher une paralysie transitoire de ces derniers qui est passagèrement gênante pour le patient. Elle se résorbe rapidement.

    - Après application de l'anesthésique sur la muqueuse, veiller à ce que le patient élimine dans le crachoir l'excès de produit afin de ne pas l'avaler.

    - En raison de l'anesthésie locale, un risque de morsures (lèvres, joues, muqueuses, langue) est à prendre en compte.

    - L'attention des sportifs sera attirée sur le fait que ce médicament contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antîdopage.
    Référence(s) officielle(s) Ampliation AMM française 08/12/1997




    Autres sources d'information
    Terrain N° 2 EXPOSITION A UNE TEMPERATURE EXTREME
      Niveau(x)
      • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
      • METTRE EN BALANCE BENEFICES ET RISQUES
      • PREVENIR LE MALADE
      • BON USAGE DES MEDICAMENTS EN CAS DE VAGUE DE CHALEUR ANSM 29/06/2009
      Référence(s) officielle(s)
      CIM 10
      • Effets de la chaleur et de la lumière T67
      • Exposition à une chaleur artificielle excessive W92

      Terrain N° 3 PORPHYRIE HEPATIQUE
      • PORPHYRIE HEPATIQUE MALADIE
      Niveau(x)
      • MEDICAMENT NON CLASSE PORPHYRIES
      • INFO DU CENTRE FRANCAIS DES PORPHYRIES
      • SITE WEB HTTP://www.porphyrie.net
      La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques.

      La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes.

      Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement.

      Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés.

      Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets.

      Le médicament de première intention pour un porteur de porphyrie hépatique aigüe est toujours celui classé comme autorisé. Si l'on ne peut obtenir un médicament autorisé, il faut donner un médicament non classé.

      En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries.
      Référence(s) officielle(s)
      CIM 10
      • Autres porphyries E802
      • Anomalies du métabolisme de la porphyrine et de la bilirubine E80

      Terrain N° 4 PORPHYRIE CUTANEE
        Niveau(x)
        • MEDICAMENT NON CLASSE PORPHYRIES
        • INFO DU CENTRE FRANCAIS DES PORPHYRIES
        • SITE WEB HTTP://www.porphyrie.net
        La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques.

        La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes.

        Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement.

        Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés.

        Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets.

        Le médicament de première intention pour un porteur de porphyrie hépatique aigüe est toujours celui classé comme autorisé. Si l'on ne peut obtenir un médicament autorisé, il faut donner un médicament non classé.

        En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries.
        Référence(s) officielle(s)
        CIM 10
        • Porphyrie cutanée tardive E801

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