|
Terrain N° 1 | DIABETE TYPE I |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 2 | DIABETE TYPE II |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 3 | DIABETE AUTRE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 4 | HEPATITE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 5 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 6 | DIALYSE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 7 | CIRRHOSE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 8 | TRANSPLANTATION
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 9 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 10 | GROSSESSE |
Niveau(x) |
|
Lorsque ce médicament est utilisé en association avec la ribavirine, il convient de prendre toutes les précautions nécessaires afin d'éviter toute grossesse chez les patientes et les partenaires féminines des patients. Des effets tératogènes et/ou embryocides significatifs ont été démontrés chez toutes les espèces animales exposées à la ribavirine. Les femmes en âge de procréer ou leurs partenaires masculins doivent utiliser une méthode de contraception efficace au cours du traitement et pendant un certain temps après la fin du traitement, tel que recommandé dans le Résumé des caractéristiques du produit de la ribavirine. Consulter le Résumé des caractéristiques du produit de la ribavirine pour plus d'informations. |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 11 | FEMME EN AGE DE PROCREER |
Niveau(x) |
|
Lorsque ce médicament est utilisé en association avec la ribavirine, il convient de prendre toutes les précautions nécessaires afin d'éviter toute grossesse chez les patientes et les partenaires féminines des patients. Des effets tératogènes et/ou embryocides significatifs ont été démontrés chez toutes les espèces animales exposées à la ribavirine. Les femmes en âge de procréer ou leurs partenaires masculins doivent utiliser une méthode de contraception efficace au cours du traitement et pendant un certain temps après la fin du traitement, tel que recommandé dans le Résumé des caractéristiques du produit de la ribavirine. Consulter le Résumé des caractéristiques du produit de la ribavirine pour plus d'informations. |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 12 | PARTENAIRE : FEMME EN AGE DE PROCREER
|
Niveau(x) |
|
Lorsque ce médicament est utilisé en association avec la ribavirine, il convient de prendre toutes les précautions nécessaires afin d'éviter toute grossesse chez les patientes et les partenaires féminines des patients. Des effets tératogènes et/ou embryocides significatifs ont été démontrés chez toutes les espèces animales exposées à la ribavirine. Les femmes en âge de procréer ou leurs partenaires masculins doivent utiliser une méthode de contraception efficace au cours du traitement et pendant un certain temps après la fin du traitement, tel que recommandé dans le Résumé des caractéristiques du produit de la ribavirine. Consulter le Résumé des caractéristiques du produit de la ribavirine pour plus d'informations. |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 13 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Ce médicament ne doit pas être administré en même temps que d'autres médicaments contenant du sofosbuvir. - Activité en fonction du génotype Concernant les traitements recommandés pour les différents génotypes du VHC, voir la rubrique "Posologie et mode d'administration". Concernant l'activité virologique et clinique en fonction du génotype, voir la rubrique "Propriétés pharmacodynamiques". Les données cliniques soutenant l'utilisation de lédipasvir/sofosbuvir chez les adultes infectés par un VHC de génotype 3 sont limitées (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). L'efficacité relative d'un traitement de 12 semaines par lédipasvir/sofosbuvir + ribavirine par rapport à un traitement de 24 semaines par sofosbuvir + ribavirine, n'a pas été étudiée. Un traitement conservateur de 24 semaines est conseillé chez tous les patients de génotype 3 préalablement traités ou naïfs de tout traitement avec cirrhose (Cf. rubrique "Posologie et mode d'administration"). Dans l'infection de genotype 3, l'utilisation de lédipasvir/sofosbuvir (toujours en association avec la ribavirine) doit uniquement être envisagée our les patients dont on estime qu'ils sont à haut risque de progression clinique de la maladie et qui ne disposent pas d'options de traitement alternatives. Les données cliniques soutenant l'utilisation de lédipasvir/sofosbuvir chez les adultes infectés par un VHC de génotype 2 et 6 sont limitées (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). - Bradycardie sévère et troubles de la conduction Des cas de bradycardie sévère et de troubles de la conduction mettant en jeu le pronostic vital ont été observés avec des traitements contenant du sofosbuvir en association avec l'amiodarone. La bradycardie s'est généralement produite dans un délai de quelques heures à quelques jours, mais des cas avec un délai d'apparition plus long ont été observés, pour la plupart jusqu'à 2 semaines après l'initiation du traitement anti-VHC. L'amiodarone ne doit être utilisée chez les patients traités par lédipasvir/sofosbuvir qu'en cas d'intolérance ou de contre-indication aux autres traitements anti-arythmiques. Si l'utilisation concomitante de l'amiodarone est jugée nécessaire, il est recommandé que les patients soient soumis à une surveillance cardiaque en milieu hospitalier pendant les 48 premières heures de co-administration, à la suite de quoi une surveillance en consultation externe ou une auto-surveillance du rythme cardiaque doit être effectuée quotidiennement pendant au moins les 2 premières semaines de traitement. Compte tenu de la longue demi-vie de l'amiodarone, une surveillance cardiaque comme indiqué ci-dessus doit également être effectuée chez les patients qui ont arrêté l'amiodarone au cours des derniers mois et qui doivent débuter un traitement par lédipasvir/sofosbuvir. Tous les patients utilisant actuellement ou ayant récemment utilisé de l'amiodarone doivent être avertis des symptômes de bradycardie et de troubles de la conduction, et ils doivent être informés de la nécessité de consulter un médecin en urgence s'ils ressentent ces symptômes. - Utilisation chez les patients diabétiques Les patients diabétiques peuvent présenter une amélioration du contrôle glycémique, pouvant résulter en une hypoglycémie symptomatique, après l'instauration d'un traitement par antiviral d'action directe contre le virus de l'hépatite C. Les taux de glucose des patients diabétiques débutant un traitement par antiviral d'action directe doivent être étroitement surveillés, en particulier au cours des trois premiers mois, et leur traitement antidiabétique doit être ajusté si nécessaire. Le médecin assurant la prise en charge du diabète du patient doit être informé lorsqu'un traitement par antiviral d'action directe est instauré. - Co-infection VHC/VHB (virus de l'hépatite B) Des cas de réactivation du virus de l'hépatite B (VHB), dont certains avec issue fatale, ont été signalés pendant ou après le traitement par des agents antiviraux à action directe. Le dépistage du VHB doit être effectué chez tous les patients avant le début du traitement. Les patients co-infectés par le VHB/VHC sont à risque de réactivation du VHB et doivent donc être surveillés et pris en charge conformément aux recommandations cliniques en vigueur. - Traitement des patients préalablement traités par des antiviraux à action directe contre le VHC Chez les patients en échec de traitement par lédipasvir/sofosbuvir, une sélection de mutations de résistance dans la NS5A réduisant considérablement la sensibilité au lédipasvir est observée dans la majorité des cas (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). Des données limitées indiquent que ce type de mutations dans la NS5A n'est pas réversible lors du suivi à long terme. Chez les patients en échec d'un traitement antérieur par lédipasvir/sofosbuvir, il n'existe actuellement aucune donnée soutenant l'efficacité du retraitement par un traitement contenant un inhibiteur de la NS5A. De même, chez les patients en échec d'un traitement antérieur par un inhibiteur de protéase NS3/4A, il n'existe actuellement aucune donnée soutenant l'efficacité des inhibiteurs de protéase NS3/4A. Chez ces patients, le traitement de l'infection par le VHC pourrait donc dépendre de l'utilisation d'autres classes de médicaments. Par conséquent, il conviendra d'envisager un traitement plus long chez les patients pour lesquels les possibilités de re-traitement ultérieur sont incertaines. - Insuffisance rénale Les données de sécurité sont limitées chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère (débit de filtration glomérulaire estimé [DFGe] < 30 mL/min/1,73 m2) et d'IRT nécessitant une hémodialyse. Le lédipasvir/sofosbuvir peut être utilisé chez ces patients sans ajustement de la dose seulement lorsqu'aucune autre option de traitement appropriée n'est disponible (Cf. rubriques "Effets indésirables", "Propriétés pharmacodynamiques" et "Propriétés pharmacocinétiques"). En cas d'utilisation de lédipasvir+sofosbuvir en association avec la ribavirine, consulter également le Résumé des caractéristiques du produit de la ribavirine pour les patients présentant une clairance de la créatinine (ClCr) < 50 mL/min (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). - Adultes avec cirrhose décompensée et/ou en attente d'une transplantation hépatique ou en situation de post-transplantation hépatique L'efficacité du lédipasvir/sofosbuvir chez les patients infectés par un VHC de génotype 5 ou de génotype 6 avec cirrhose décompensée et/ou en attente d'une transplantation hépatique ou en situation de post–transplantation hépatique n'a pas été étudiée. La décision de traitement par lédipasvir/sofosbuvir doit s'appuyer sur une évaluation des bénéfices et risques potentiels pour chaque patient. - Utilisation avec des inducteurs modérés de la P-gp Les médicaments qui sont des inducteurs modérés de la P-gp dans l'intestin (comme l'oxcarbazépine) peuvent diminuer les concentrations plasmatiques du lédipasvir et du sofosbuvir, ce qui réduit l'effet thérapeutique de lédipasvir/sofosbuvir. La co-administration de ce type de médicaments avec lédipasvir/sofosbuvir n'est pas recommandée (Cf. rubrique "Interactions"). - Utilisation avec certains antirétroviraux contre le VIH Il a été montré que lédipasvir/sofosbuvir augmente l'exposition au ténofovir, en particulier lorsqu'il est utilisé en même temps qu'un traitement contre le VIH contenant du ténofovir disoproxil et un booster pharmacocinétique (ritonavir ou cobicistat). La sécurité d'emploi du ténofovir disoproxil dans le cadre d'un traitement par lédipasvir/sofosbuvir en présence d'un booster pharmacocinétique n'a pas été établie. Les risques et les bénéfices potentiels associés à la co-administration de lédipasvir/sofosbuvir avec le comprimé à dose fixe contenant l'association elvitégravir/cobicistat/emtricitabine/ténofovir disoproxil ou le ténofovir disoproxil utilisés en association avec un inhibiteur de protéase du VIH boosté (p. ex. atazanavir ou darunavir) doivent être pris en compte, en particulier chez les patients présentant un risque accru de dysfonctionnement rénal. Chez les patients recevant de façon concomitante lédipasvir/sofosbuvir avec l'association elvitégravir/cobicistat/emtricitabine/ténofovir disoproxil ou avec le ténofovir disoproxil et un inhibiteur de protéase du VIH boosté, les effets indésirables associés au ténofovir doivent être surveillés. Voir le Résumé des caractéristiques du produit du ténofovir disoproxil, de l'association emtricitabine/ténofovir disoproxil ou de l'association elvitégravir/cobicistat/emtricitabine/ténofovir disoproxil pour connaître les recommandations concernant la surveillance de la fonction rénale. - Utilisation avec des inhibiteurs de la HMG-CoA réductase La co-administration de lédipasvir/sofosbuvir et d'inhibiteurs de la HMG–CoA réductase (statines) peut augmenter significativement la concentration de la statine, ce qui augmente le risque de myopathie et de rhabdomyolyse (Cf. rubrique "Interactions"). - Population pédiatrique L'utilisation de lédipasvir/sofosbuvir n'est pas recommandée chez les enfants âgés de < 3 ans car la sécurité d'emploi et l'efficacité de ce médicament n'ont pas été établies dans cette population. - Excipients Ce médicament contient un colorant azoïque, la laque aluminique de Jaune orangé S (E110), qui peut provoquer des réactions allergiques. Il contient également du lactose. En conséquence, les patients présentant des troubles héréditaires rares d'intolérance au galactose, de déficit en lactase de Lapp ou de malabsorption du glucose/galactose ne doivent pas prendre ce médicament. |
|
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 03/07/2020 |
Page générée en 0.1063 seconde(s)