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Voie(s) d'administration : |
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Forme(s) pharmaceutique(s) : |
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Solution à diluer pour perfusion (solution à diluer stérile) |
Référence(s) bibliographique(s) : |
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Excipient(s) |
Précision(s) composition : |
Un ml de ce médicament contient 2 mg de chlorhydrate de doxorubicine sous une forme liposomale pégylée. Ce médicament, une formulation liposomale, est composé de chlorhydrate de doxorubicine encapsulé dans des liposomes comprenant en surface du méthoxypolyéthylène glycol (MPEG). Ce procédé est connu sous le nom de pégylation et protège les liposomes d'une détection par le système phagocytaire mononucléaire (SPM), ce qui augmente leur durée de présence dans le sang. - Excipients à effet notoire: Contient phosphatidylcholine intégralement hydrogénée de soja (à partir de soja), Cf. rubrique "Contre-indications". |
Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM européenne 20/08/2021
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Aucune DDD attribuée |
Nomenclature du code des marchés publics :
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Classe pharmacothérapeutique : agents cytotoxiques (anthracyclines et substances apparentées), Code ATC : L01DB01. * Mécanisme d'action La substance active de ce médicament est le chlorhydrate de doxorubicine, un antibiotique cytotoxique anthracyclinique, obtenu à partir de Streptomyces peucetius var. caesius. Le mécanisme exact de l'activité anti-tumorale de la doxorubicine n'est pas connu. On pense généralement que c'est l'inhibition de l'ADN, de l'ARN et de la synthèse protéique qui est responsable du principal effet cytotoxique. C'est probablement le résultat de l'intercalation de l'anthracycline entre les paires de bases adjacentes de l'ADN dans la double hélice, ce qui empêche son déroulement en vue de sa réplication. * Efficacité et sécurité cliniques Une étude de phase III randomisée comparant le chlorhydrate de doxorubicine à la doxorubicine chez des patients présentant un cancer du sein métastatique a été conduite chez 509 patients. L'objectif du protocole de démontrer la non infériorité entre le chlorhydrate de doxorubicine et la doxorubicine a été atteint, la valeur de l'Hazard Ratio (HR) pour la survie sans progression (SSP) était de 1,0 (IC à 95 % pour le HR = 0,82 - 1,22). Les valeurs de l'HR pour la SSP après ajustement sur les facteurs de pronostic étaient similaires à celles observées pour la population en intention de traiter (ITT). L'analyse de la cardiotoxicité prenant en compte la dose cumulée d'anthracycline a montré que le risque de développer un effet cardiaque était significativement plus faible avec le chlorhydrate de doxorubicine qu'avec la doxorubicine (HR=3,16, p < 0,001). A des doses cumulées supérieures à 450 mg/m2 aucun effet cardiaque n'a été rapporté avec le chlorhydrate de doxorubicine. Une étude de phase III comparant le chlorhydrate de doxorubicine au topotécan chez des patients présentant un carcinome épithélial de l'ovaire en échec après une chimiothérapie de première ligne à base de platine a été conduite chez 474 patients. Une augmentation de la survie globale (SG) a été notée pour les patients traités par le chlorhydrate de doxorubicine comparativement aux patients traités par le topotécan, comme l'indique le hasard ratio (HR) de 1,216 (IC à 95 % : 1,000 ; 1,478), p=0,050. Les taux de survie à 1, 2 et 3 ans étaient de 56,3 %, 34,7 % et 20,2 % respectivement pour le chlorhydrate de doxorubicine , et de 54,0 %, 23,6 % et 13,2 % pour le topotécan. Dans le sous-groupe de patients dont la maladie était sensible au platine, la différence était plus importante : HR de 1,432 (IC à 95 % : 1,066 ; 1,923), p=0,017. Les taux de survie à 1, 2 et 3 ans étaient respectivement de 74,1 %, 51,2 % et 28,4 % pour le chlorhydrate de doxorubicine et de 66,2 %, 31,0 % et 17,5 % pour le topotécan. Les traitements étaient comparables dans le sous-groupe de patients dont la maladie était résistante au platine : HR de 1,069 (IC à 95 % : 0,823 ; 1,387), p=0,618. Les taux de survie à 1, 2 et 3 ans étaient respectivement de 41,5 %, 21,1 % et 13,8 % pour le chlorhydrate de doxorubicine et de 43,2 %, 17,2 % et 9,5 % pour le topotécan. Une étude de phase III randomisée, en groupes parallèles, ouverte, multicentrique, comparant la tolérance et l'efficacité de l'association chlorhydrate de doxorubicine + bortézomib versus bortézomib en monothérapie chez des patients atteints de myélome multiple qui avaient reçu au moins un traitement antérieur et qui n'avaient pas progressé pendant le traitement à base d'anthracycline, a été conduite chez 646 patients. Une amélioration significative du critère principal temps avant progression (TTP) a été observée pour les patients ayant reçu l'association chlorhydrate de doxorubicine + bortézomib comparativement aux patients ayant reçu le bortézomib en monothérapie, amélioration indiquée par une réduction du risque (RR) de 35 % (IC à 95 % : 21-47 %), p < 0,0001, basée sur 407 événements TTP. Le TTP médian était de 6,9 mois pour les patients sous bortézomib en monothérapie, contre 8,9 mois pour les patients sous chlorhydrate de doxorubicine + bortézomib. Une analyse intermédiaire définie par le protocole (basée sur 249 événements TTP) a entraîné un arrêt précoce de l'étude, l'efficacité étant démontrée. Cette analyse intermédiaire a montré une réduction du risque de 45 % (IC à 95 % : 29-57 %), p < 0,0001. Le TTP médian était de 6,5 mois dans le groupe bortézomib en monothérapie, contre 9,3 mois dans le groupe chlorhydrate de doxorubicine + bortézomib. Ces résultats, quoique précoces, constituaient l'analyse finale définie par le protocole. L'analyse finale de la survie globale réalisée après une durée médiane de suivi de 8,6 ans n'a montré aucune différence significative en termes de survie globale entre les deux bras de traitement. La médiane de survie globale était de 30,8 mois (IC à 95% ; 25,2-36,5 mois) chez les patients traités par bortézomib en monothérapie et de 33,0 mois (IC à 95% ; 28,9-37,1 mois) chez les patients traités par l'association chlorhydrate de doxorubicine + bortézomib. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 20/08/2021 |
Ce médicament est une formulation liposomale pégylée de chlorhydrate de doxorubicine, ayant une longue durée de circulation sanguine. Les liposomes pégylés contiennent des segments greffés en surface par le polymère hydrophile de méthoxypolyéthylène glycol (MPEG). Ces groupements linéaires de MPEG sont étalés sur la surface du liposome créant ainsi une pellicule protectrice qui réduit les interactions entre la double membrane lipidique et les composés plasmatiques. Cette disposition permet aux liposomes de ce médicament de se maintenir pendant des périodes prolongées dans la circulation sanguine. Les liposomes pégylés sont suffisamment petits (diamètre moyen approximatif 100 nm) pour passer intacts (extravasation) à travers les vaisseaux tumoraux altérés qui irriguent la tumeur. La preuve de la pénétration et de l'accumulation dans les tumeurs des liposomes pégylés à partir des vaisseaux sanguins a été établie dans les carcinomes coliques C-26 de la souris et chez la souris transgénique porteuse de lésions de type sarcome de Kaposi. Les liposomes pégylés ont également une matrice lipidique de faible perméabilité et un système tampon aqueux qui permet de maintenir le chlorhydrate de doxorubicine sous forme encapsulée pendant le temps où le liposome reste dans la circulation. La pharmacocinétique plasmatique de ce médicament chez l'homme diffère significativement de celle rapportée dans la littérature pour les préparations conventionnelles de chlorhydrate de doxorubicine. A faibles doses (10 mg/m2 - 20 mg/m2) ce médicament présente une pharmacocinétique linéaire. Sur l'intervalle de dose de 10 mg/m2 - 60 mg/m2, ce médicament présente une pharmacocinétique non-linéaire. Le chlorhydrate de doxorubcine conventionnel présente une distribution tissulaire étendue (volume de distribution de 700 à 1100 l/m2) et une clairance d'élimination rapide (24 à 73 l/h/m2). Au contraire, le profil pharmacocinétique de ce médicament montre que ce médicament est surtout confiné dans le volume vasculaire et que la clairance de la doxorubicine à partir du sang dépend du véhicule liposomal. La doxorubicine devient disponible lorsque les liposomes s'extravasent et pénètrent dans le compartiment tissulaire. A doses équivalentes, les valeurs de la concentration plasmatique et les valeurs de l'ASC de ce médicament qui représentent surtout le chlorhydrate de doxorubicine liposomal pégylé (contenant 90 % à 95 % de la doxorubicine mesurée) sont significativement plus élevées que celles observées avec les préparations conventionnelles de chlorhydrate de doxorubicine. Ce médicament ne doit pas être remplacé par d'autres formulations à base de chlorhydrate de doxorubicine. * Pharmacocinétique de population Les paramètres pharmacocinétiques de ce médicament ont été évalués chez 120 patients issus de 10 études cliniques différentes en utilisant une analyse pharmacocinétique de population. Les paramètres pharmacocinétiques de ce médicament sur l'intervalle de doses de 10 mg/m2 à 60 mg/m2 étaient bien décrits par un modèle bi-compartimental non-linéaire d'ordre zéro et une élimination type Michaelis-Menten. La clairance intrinsèque moyenne de ce médicament était de 0,030 l/h/m2 (intervalle 0,008 à 0,152 l/h/m2) et le volume de distribution moyen était de 1,93 l/m2 (intervalle 0,96 - 3,85 l/m2) proche du volume plasmatique, La demi-vie apparente s'étalait entre 24 et 231 heures, avec une moyenne de 73,9 heures. * Patients avec cancer du sein Les paramètres pharmacocinétiques de ce médicament déterminés sur 18 patients avec cancer du sein étaient similaires aux paramètres pharmacocinétiques déterminés sur une population plus grande de 120 patients avec différents cancers. La clairance intrinsèque moyenne était de 0,016 l/h/m2 (intervalle 0,008 - 0,027 l/h/m2), le volume de distribution moyen était de 1,46 l/m2 (intervalle 1,10 - 1,64 l/m2). La demi-vie apparente moyenne était de 71,5 heures (intervalle 45,2 - 98,5 heures). * Patients avec cancer ovarien Les paramètres pharmacocinétiques de ce médicament déterminés sur 11 patients avec carcinome ovarien étaient similaires aux paramètres pharmacocinétiques déterminés sur une population plus grande de 120 patients avec différents cancers. La clairance intrinsèque moyenne était de 0,021 l/h/m2 (intervalle 0,009 - 0,041 l/h/m2), le volume de distribution moyen était de 1,95 l/m2 (intervalle 1,67 - 2,40 l/m2). La demi-vie apparente moyenne était de 75,0 heures (intervalle 36,1 - 125 heures). * Patients sarcome de Kaposi-SIDA Les paramètres pharmacocinétiques plasmatiques de ce médicament ont été évalués chez 23 patients avec sarcome de Kaposi qui avaient reçu des doses uniques de 20 mg/m2 administrées par perfusion de 30 minutes. Les paramètres pharmacocinétiques de ce médicament (représentant principalement le chlorhydrate de doxorubicine liposomal pégylé et de faibles doses de chlorhydrate de doxorubicine non-encapsulé) observés après des doses de 20 mg/m2 sont indiqués ci-dessous : - Paramètres pharmacocinétiques (Moyenne +/- déviation standard) chez des patients avec sarcome de Kaposi-SIDA traités par ce médicament à 20 mg/m2 (n = 23) : . concentration plasmatique maximale mesurée à la fin d'une perfusion de 30 minutes = 8,34 +/- 0,49 microgrammes/ml . clairance plasmatique = 0,041 +/- 0,004 l/h/m2 . Volume de distribution = 2,72 +/- 0,12 l/m2 . ASC = 590 +/- 58,7 microgrammes/ml.h . Demi-vie lambda 1 = 5,2 +/- 1,4 heures . Demi-vie lambda 2 = 55,0 +/- 4,8 heures. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 20/08/2021 |
D'après les études de toxicité par administration réitérée conduites chez l'animal, le profil toxicologique de ce médicament est semblable à celui observé chez l'homme pour les traitements par perfusion au long cours de chlorhydrate de doxorubicine conventionnel. Avec ce médicament, l'encapsulage du chlorhydrate de doxorubicine dans des liposomes pégylés conduit à modifier l'intensité de ces effets de la façon suivante. * Toxicité cardiaque Des études chez le lapin ont démontré une cardiotoxicité plus faible de ce médicament par rapport aux préparations conventionnelles de chlorhydrate de doxorubicine. * Toxicité dermatologique Au cours d'études de toxicité par administration réitérée de ce médicament chez le rat et le chien, des lésions dermiques inflammatoires sévères avec ulcération ont été observées à des doses thérapeutiques. Dans l'étude chez le chien, l'incidence et la sévérité de ces lésions ont été réduites en diminuant les doses ou en espaçant les cycles. Des lésions identiques à celles connues sous le nom d'érythyodysesthésie palmo-plantaire ont également été observées chez des malades traités par des perfusions au long cours (cf. "Effets indésirables"). * Réponse anaphylactique Au cours d'études de toxicité par administration réitérée chez le chien, une réponse aiguë caractérisée par hypotension, pâleur des muqueuses, sialorrhée, vomissement, périodes d'hyperactivité suivies d'hypoactivité et de léthargie, a été observée après administration de liposomes pégylés (placebo). Une réponse similaire, mais moins sévère, a également été observée chez les chiens traités par ce médicament et le chlorhydrate de doxorubicine conventionnel. L'hypotension a pu être réduite par un traitement préalable par antihistaminiques. Quoi qu'il en soit, les réponses obtenues n'ont jamais mis en cause le pronostic vital et les chiens se sont rapidement rétablis après arrêt du traitement. * Toxicité locale Les études de tolérance sous-cutanée suggèrent une diminution du risque de lésion de la peau et des tissus adjacents par ce médicament par rapport au chlorhydrate de doxorubicine conventionnel en cas d'extravasation. * Mutagenèse et cancérogenèse Bien qu'aucune étude n'ait été conduite avec ce médicament, le chlorhydrate de doxorubicine, substance pharmacologiquement active de ce médicament, est mutagène et cancérogène. Les liposomes pégylés placebo ne sont ni mutagènes ni génotoxiques. * Action sur la reproduction Après administration d'une dose unique de 36 mg/kg, ce médicament a provoqué des atrophies ovariennes et testiculaires faibles et modérées chez la souris. Chez le rat, après administration réitérée de doses supérieures ou égales à 0,25 mg/kg/jour, on a observé une diminution du poids des testicules et une hypospermie ; chez le chien, après administration réitérée de doses de 1 mg/kg/jour, on a observé une dégénération diffuse des tubes séminifères et une diminution notable de la spermatogenèse (cf. "Grossesse et allaitement"). * Néphrotoxicité Une étude a montré que ce médicament administré en intraveineux, à une dose unique, de plus de deux fois la dose clinique, produit une toxicité rénale chez les singes. La toxicité rénale a d'ailleurs été observée avec le chlorhydrate de doxorubicine chez les rats et les lapins avec des doses uniques inférieures. L'analyse des données de tolérance de ce médicament chez les patients depuis la mise sur le marché n'a pas suggéré un lien significatif entre néphrotoxicité et ce médicament, par conséquent ces observations chez les singes peuvent ne pas être pertinentes dans l'évaluation des risques pour le patient. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 20/08/2021 |
Attention : "Les spécialités correspondant à ce médicament virtuel présentent des propriétés pharmacocinétiques spécifiques et ne doivent pas être remplacé par d'autres formulations de chlorhydrate de doxorubicine".
Spécialité(s) génériques Thériaque | Type | Prix |
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CAELYX 2MG/ML SUSP INJ FL 10ML | ||
CAELYX 2MG/ML SUSP INJ FL 25ML | ||
Comparer prix |
Groupe générique(s) : Néant |
Spécialité(s) générique(s) ansm et date(s) d'application : Néant |
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CAELYX (EPAR) 2019 |
CAELYX FL 10ML TENSION APPROV 2023 | |
CAELYX SYNTHESE D'AVIS 2016 | |
CAELYX OVAIRE SYNTHESE D'AVIS 2016 | |
MYELOME MULTIPLE - GUIDE PATIENT | |
RBU 2011 CANCERS HEMATO. : DOXORUB. PEG. | |
RBU 2011 CANCER SEIN : DOXORUBICINE PEG. | |
RBU 2011 CANC. GYNECO. : DOXORUB. PEG. | |
RBU 2011 CARC. EPID. : DOXORUB. PEG. | |
MYELOME MULTIPLE - GUIDE MEDECIN | |
CANCER DE L'OVAIRE - GUIDE PATIENT | |
CANCER DU SEIN - GUIDE PATIENT | |
CANCER DE L'OVAIRE - GUIDE MEDECIN | |
CANCER DU SEIN - GUIDE MEDECIN | |
ANTICANCEREUX ACCESSIBLES VETERINAIRES | |
CAELYX SYNTHESE D'AVIS 2009 | |
CONDITIONS UTILISATION ANTICANCEREUX INJ |
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* Conditions de prescription et de délivrance Liste I. Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription réservée aux spécialistes en oncologie ou en hématologie ou aux médecins compétents en cancérologie. Médicament nécessitant une surveillance particulière pendant le traitement. * Rétrocession - Arrêté du 22 septembre 2021 modifiant l'arrêté du 17 décembre 2004 modifié fixant la liste prévue à l'article L. 5126-4 du code de la santé publique (JO du 28/09/2021) : radiation - Arrêté du 14 avril 2006 modifiant l'arrêté du 17 décembre 2004 fixant la liste des spécialités pharmaceutiques autorisées à la rétrocession (JO du 05/05/2006). - Arrêté du 22 juillet 2005 modifiant l'arrêté du 17 décembre 2004 fixant la liste des spécialités pharmaceutiques autorisées à la rétrocession (JO du 06/09/2005). - Arrêté du 20 décembre 2004 fixant les conditions d'utilisation des anticancéreux injectables inscrits sur la liste des médicaments autorisés à être vendus au public par les pharmacies à usage intérieur des établissements de santé (JO du 23/12/2004). - Arrêté du 17 décembre 2004 fixant la liste prévue à l'article L. 5126-4 du code de la santé publique (JO du 26/12/2004. * Médicament anticancéreux accessible aux vétérinaires - Arrêté du 8 août 2012 modifiant l'arrêté du 29 octobre 2009 relatif aux médicaments à usage humain classés dans l'une des catégories de prescription restreinte pour l'application de l'article R. 5141-122 du code de la santé publique (JO du 18/08/2012) - Arrêté du 29 octobre 2009 relatif aux médicaments à usage humain classés dans l'une des catégories de prescription restreinte pour l'application de l'article R. 5141-122 du code de la santé publique (JO du 06/11/2009). |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 20/08/2021 | |
Code UCD13 : | 3400891944600 |
Code UCD7 : | 9194460 |
Code identifiant spécialité : | 6 236 236 9 |
Laboratoire(s) titulaire(s) AMM: |
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Référence(s) officielle(s): Journal Officiel 03/12/2021 | |
Laboratoire(s) exploitant(s) : |
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Référence(s) officielle(s): Journal Officiel 03/12/2021 | |
Code CIP13 | 3400956036196 |
Code CIP7 | 5603619 |
Commercialisation | Disponible : OUI depuis le 01/01/1998 |
Agrément collectivités/date JO | Oui le 08/08/1997 |
Radiation collectivités/date JO | Non |
Présentation réservée à l'hôpital | Oui |
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD) |
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Conditionnement primaire | 1 FLACON(S) contenant 10 ML (1) |
Matériau(x) |
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Caractéristique(s) du conditionnement primaire |
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Caractéristique(s) de l'emballage |
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* Nature et contenu de l'emballage extérieur |
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Présentation unitaire | OUI |
Référence(s) bibliographique(s) | |
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Conditions de délivrance |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 20/08/2021 |
Statut de la présentation |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 20/08/2021 |
1. Prix en officine ville | |
Prix de cette présentation (CIP)/date JO | non concerné |
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) | Non concerné |
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur) | |
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) | Prix libre |
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) | 188,629 euros HT le 12/01/2024 |
1. Ville | |
Taux de remboursement |
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2. Hôpital (Rétrocession - vente au public) | |
Taux de remboursement/date JO |
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* Arrêté du 17 février 2015 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge en sus des prestations d'hospitalisation mentionnée à l'article L. 162-22-7 du code de la sécurité sociale |
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Statut(s) du remboursement |
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* Arrêté du 29 juillet 2016 portant radiation de la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge en sus des prestations d'hospitalisation mentionnée à l'article L. 162-22-7 du code de la sécurité sociale A compter du 1er septembre 2016, les indications considérées sont radiées de la liste des spécialités pharmaceutiques facturables en sus des prestations d'hospitalisation visée à l'article L. 162-22-7 du code de la sécurité sociale : "En association avec le bortézomib pour le traitement du myélome multiple en progression chez les patients qui ont reçu au moins un traitement antérieur et qui ont déjà subi ou qui sont inéligibles pour une greffe de moelle osseuse." (JO du 03/08/2016) * Arrêté du 4 avril 2005 pris en application de l'article L.162-22-7 du code de la sécurité sociale et fixant la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge par l'assurance maladie en sus des prestations d'hospitalisation. * Circulaire DHOS-F-O/DSS-1A/2005/n°119 du 1er mars 2005. * Circulaire DHOS-F2-O/DSS-1A/2004/n°36 du 2 février 2004. |
SMR spécifique de cette présentation | NON |
Modalité(s) de dispensation |
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* Rétrocession |
Durée(s) et condition(s) de conservation |
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* Durée de conservation |
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Conditions de conservation après reconstitution, dilution ou ouverture
* Durée de conservation |
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Référence(s) officielles(s) : Rectificatif AMM européenne 20/08/2021 |
SARCOME DE KAPOSI
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Ce médicament est indiqué dans le sarcome de Kaposi associé au SIDA chez des patients ayant un faible taux de CD4 (< 200 lymphocytes CD4/mm3) et présentant des lésions cutanéo-muqueuses ou viscérales étendues. Ce médicament peut être utilisé en tant que chimiothérapie systémique de première intention, ou comme chimiothérapie de seconde intention chez des patients présentant un sarcome de Kaposi associé au SIDA dont la maladie a progressé malgré une chimiothérapie préalable comprenant au moins deux des agents suivants : alcaloïdes de la pervenche, bléomycine et doxorubicine conventionnelle (ou autre anthracycline), ou chez des patients qui y furent intolérants. Ce médicament ne doit pas être utilisé pour traiter le sarcome de Kaposi associé au SIDA qui pourrait être traité efficacement par un traitement local ou systémique par l'interféron alpha (cf. "Contre-indications"). |
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SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 25/05/2016 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 20/08/2021 |
CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : Sarcome de Kaposi |
Kaposi, maladie de |
CANCER OVAIRE
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Ce médicament est indiqué dans le traitement d'un cancer ovarien à un stade avancé chez les femmes après l'échec d'une chimiothérapie de première intention à base de platine. |
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SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 20/04/2016 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 20/08/2021 Guide affection longue durée (ALD) Médecin CANCER DE L'OVAIRE - GUIDE MEDECIN Guide affection longue durée (ALD) Patient CANCER DE L'OVAIRE - GUIDE PATIENT |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
CANCER DU SEIN
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Ce médicament est indiqué en monothérapie chez les patients ayant un cancer du sein métastatique, avec un risqe cardiaque augmenté. |
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SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 25/05/2016 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 20/08/2021 Guide affection longue durée (ALD) Médecin CANCER DU SEIN - GUIDE MEDECIN Guide affection longue durée (ALD) Patient CANCER DU SEIN - GUIDE PATIENT |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
MYELOME MULTIPLE
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Ce médicament est indiqué en association avec le bortézomib pour le traitement du myélome multiple en progression chez les patients qui ont reçu au moins un traitement antérieur et qui ont déjà subi ou qui sont inéligibles pour une greffe de moelle osseuse. |
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SMR de l'indication | NIVEAU INSUFFISANT 02/03/2016 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 20/08/2021 Guide affection longue durée (ALD) Médecin MYELOME MULTIPLE - GUIDE MEDECIN Guide affection longue durée (ALD) Patient MYELOME MULTIPLE - GUIDE PATIENT |
CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : Myélome multiple |
Kahler, maladie de |
Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | 20 MG/M2/ADMINISTRATION |
Fréquence | de 1 /3 SEMAINES à 1 /2 SEMAINES |
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Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Ce médicament doit uniquement être administré sous le contrôle d'un médecin qualifié dans l'administration d'agents cytotoxiques. Ce médicament présente des propriétés pharmacocinétiques spécifiques et ne doit pas être remplacé par d'autres formulations de chlorhydrate de doxorubicine. * SK associé au SIDA Ce médicament est administré à la dose de 20 mg/m2 toutes les deux à trois semaines. Eviter les intervalles inférieurs à 10 jours car on ne peut écarter le risque d'accumulation du médicament et de toxicité accrue. Le traitement des patients pendant deux à trois mois est recommandé afin d'obtenir une réponse thérapeutique. Poursuivre le traitement autant qu'il est nécessaire pour maintenir une réponse thérapeutique. * Pour tous les patients Si le patient présente des symptômes ou signes précoces de réactions à la perfusion (cf. "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Effets indésirables"), interrompre immédiatement la perfusion, donner des prémédications appropriées (antihistaminique et/ou corticoïde à action immédiate) et recommencer à une vitesse plus faible. Pour prendre en charge les effets indésirables tels que l'érythrodysesthésie palmo-plantaire (EPP), la stomatite ou la toxicité hématologique, la dose peut être réduite ou retardée. Des recommandations pour la modification de dose secondaires à ces effets indésirables sont fournies ci-dessous. Le grade de toxicité est défini selon l'échelle du National Cancer Institute Common Toxicity Criteria (NCI-CTC). Pour l'EPP et la stomatite, le schéma thérapeutique suivi pour la modification de dose lors des essais cliniques dans le traitement du cancer du sein ou du cancer de l'ovaire (modification du cycle de traitement recommandé de 4 semaines) est indiqué ci-dessous : si ces toxicités surviennent chez les patients ayant un sarcome de Kaposi associé au SIDA, le cycle de traitement recommandé de 2 à 3 semaines peut être modifié d'une manière similaire. - Erythrodysesthésie palmo-plantaire : Grade de la toxicité / Recommandations pour la modification de dose de ce médicament (semaine après la précédente dose de ce médicament) : . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 1 (érythème modéré, gonflement, ou desquamation n'interférant pas avec les activités quotidiennes) Semaine 4 : Réadministrer sauf quand le patient a présenté précédemment une toxicité cutanée de Grade 3 ou 4, dans ce cas attendre une semaine supplémentaire . Semaine 5 : Réadministrer sauf quand le patient a présenté précédemment une toxicité cutanée de Grade 3 ou 4, dans ce cas attendre une semaine supplémentaire . Semaine 6 : Diminuer la dose de 25 % ; revenir à un intervalle de 4 semaines . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 2 (érythème, desquamation, ou gonflement, interférant avec, mais sans empêcher les activités physiques normales ; petites ampoules ou ulcérations de moins de 2 cm de diamètre) Semaine 4 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 5 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 6 : Diminuer la dose de 25 % ; revenir à un intervalle de 4 semaines . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 3 (ampoule, ulcération, ou gonflement interférant avec la marche ou les activités quotidiennes normales ; ne peut pas porter des vêtements habituels) Semaine 4 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 5 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 6 : Exclure le patient . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 4 (processus diffus ou local entraînant des complications infectieuses, ou un alitement ou une hospitalisation) Semaine 4 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 5 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 6 : Exclure le patient - Stomatite : Grade de la toxicité / Recommandations pour la modification de dose de ce médicament (semaine après la précédente dose de ce médicament) : . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 1 (ulcères non douloureux, érythème, ou douleur faible) Semaine 4 : Réadministrer sauf quand le patient a présenté précédemment une stomatite de Grade 3 ou 4, dans ce cas attendre une semaine supplémentaire Semaine 5 : Réadministrer sauf quand le patient a présenté précédemment une stomatite de Grade 3 ou 4, dans ce cas attendre une semaine supplémentaire Semaine 6 : Diminuer la dose de 25 % ; revenir à un intervalle de 4 semaines ou exclure le patient selon l'évaluation du médecin . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 2 (érythème douloureux, oedème, ou ulcères, mais peut manger) Semaine 4 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 5 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 6 : Diminuer la dose de 25 % ; revenir à un intervalle de 4 semaines ou exclure le patient selon l'évaluation du médecin . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 3 (érythème douloureux, oedème, ou ulcères, mais ne peut pas manger) Semaine 4 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 5 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 6 : Exclure le patient . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 4 (nécessite une alimentation parentérale ou entérale) Semaine 4 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 5 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 6 : Exclure le patient - Toxicité hématologique : Pour les patients avec SK- SIDA traités par ce médicament, la toxicité hématologique peut imposer une réduction des doses ou l'arrêt ou le report du traitement. Interrompre temporairement le traitement par ce médicament chez les patients dont le taux de polynucléaires neutrophiles est < 1 000/mm3 et/ou le taux des plaquettes < 50 000/mm3. Des facteurs de croissance GCSF (ou GM-CSF) peuvent être prescrits comme traitement concomitant pour améliorer la numération lorsque le taux des polynucléaires neutrophiles est < 1 000/mm3 lors des cycles suivants. * Insuffisance rénale La doxorubicine étant métabolisée par le foie et excrétée dans la bile, aucune modification de la posologie n'est nécessaire. Les données pharmacocinétiques de population (clairance de la créatinine testée sur l'intervalle de 30-156 ml/min) démontrent que la clairance de ce médicament n'est pas influencée par la fonction rénale. Aucune donnée pharmacocinétique n'est disponible chez les patients dont la clairance de la créatinine est inférieure à 30 ml/min. * Patients splénectomisés avec un sarcome de Kaposi associé au SIDA En l'absence d'expérience clinique chez les patients splénectomisés, la traitement par ce médicament n'est pas recommandé. * Population pédiatrique L'expérience chez les enfants est limitée. L'utilisation de ce médicament n'est pas recommandée chez les patients de moins de 18 ans. * Personnes âgées L'analyse de population démontre que l'âge sur l'intervalle testé (21 - 75 ans) n'altère pas significativement les paramètres pharmacocinétique de ce médicament. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | ADAPTER MG/M2/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | ADAPTER |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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* Insuffisance hépatique Les paramètres pharmacocinétiques de ce médicament déterminés chez un faible nombre de patients avec des taux de bilirubine totale élevés ne diffèrent pas de ceux des patients avec une bilirubine totale normale. Cependant, tant que plus d'expérience n'a pas été recueillie, la posologie de ce médicament chez des patients ayant une fonction hépatique altérée doit être diminuée, basé sur l'expérience des études cliniques dans le cancer du sein et de l'ovaire : à l'initiation du traitement, si la bilirubine est entre 1,2 et 3 mg/dl, la première dose est de diminuée de 25 %. Si la bilirubine est > 3 mg/dl, la première dose est diminuée de 50 %. Si le patient tolère la première dose sans augmentation de la bilirubine sérique ou des enzymes hépatiques, la dose du cycle 2 peut ête augmentée au niveau de dose suivant, c'est à dire, si elle était réduite de 25 % pour la première dose, augmenter à une dose complète pour le cycle 2 ; si elle était réduite de 50 % pour la première dose, augmenter à 75 % de la dose complète pour le cycle 2. La posologie peut être augmentée à la dose complète pour les cycles suivants si elle est tolérée. Ce médicament peut être administré chez les patients avec des métastases hépatiques et une élévation associée de la bilirubine et des enzymes hépatiques jusqu'à 4 fois la limite supérieure normale. Avant administration de ce médicament, évaluer la fonction hépatique en utilisant des tests de laboratoire cliniques conventiuonnels tels que ASAT/ALAT, phosphatase alcaline, et bilirubine. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | 50 MG/M2/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /4 SEMAINES |
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Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Ce médicament doit uniquement être administré sous le contrôle d'un médecin qualifié dans l'administration d'agents cytotoxiques. Ce médicament présente des propriétés pharmacocinétiques spécifiques et ne doit pas être remplacé par d'autres formulations de chlorhydrate de doxorubicine. * Cancer du sein/Cancer de l'ovaire Ce médicament est administré par voie intraveineuse à la dose de 50 mg/m2 une fois toutes les 4 semaines tant qu'il n'y a pas de progression de la maladie et que le traitement est bien toléré par le patient. * Pour tous les patients Si le patient présente des symptômes ou signes précoces de réactions à la perfusion (cf. "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Effets indésirables"), interrompre immédiatement la perfusion, donner des prémédications appropriées (antihistaminique et/ou corticoïde à action immédiate) et recommencer à une vitesse plus faible. Pour prendre en charge les effets indésirables tels que l'érythrodysesthésie palmo-plantaire (EPP), la stomatite ou la toxicité hématologique, la dose peut être réduite ou retardée. Des recommandations pour la modification de dose secondaires à ces effets indésirables sont fournies ci-dessous. Le grade de toxicité est défini selon l'échelle du National Cancer Institute Common Toxicity Criteria (NCI-CTC). Pour l'EPP et la stomatite, le schéma thérapeutique suivi pour la modification de dose lors des essais cliniques dans le traitement du cancer du sein ou du cancer de l'ovaire (modification du cycle de traitement recommandé de 4 semaines) est indiqué ci-dessous : si ces toxicités surviennent chez les patients ayant un sarcome de Kaposi associé au SIDA, le cycle de traitement recommandé de 2 à 3 semaines peut être modifié d'une manière similaire. Les données de la toxicité hématologique fournissent le schéma thérapeutique suivi pour la modification de dose lors des études cliniques uniquement dans le traitement du cancer du sein ou de l'ovaire. - Erythrodysesthésie palmo-plantaire : Grade de la toxicité / Recommandations pour la modification de dose de ce médicament (semaine après la précédente dose de ce médicament) : . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 1 (érythème modéré, gonflement, ou desquamation n'interférant pas avec les activités quotidiennes) Semaine 4 : Réadministrer sauf quand le patient a présenté précédemment une toxicité cutanée de Grade 3 ou 4, dans ce cas attendre une semaine supplémentaire . Semaine 5 : Réadministrer sauf quand le patient a présenté précédemment une toxicité cutanée de Grade 3 ou 4, dans ce cas attendre une semaine supplémentaire . Semaine 6 : Diminuer la dose de 25 % ; revenir à un intervalle de 4 semaines . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 2 (érythème, desquamation, ou gonflement, interférant avec, mais sans empêcher les activités physiques normales ; petites ampoules ou ulcérations de moins de 2 cm de diamètre) Semaine 4 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 5 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 6 : Diminuer la dose de 25 % ; revenir à un intervalle de 4 semaines . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 3 (ampoule, ulcération, ou gonflement interférant avec la marche ou les activités quotidiennes normales ; ne peut pas porter des vêtements habituels) Semaine 4 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 5 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 6 : Exclure le patient . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 4 (processus diffus ou local entraînant des complications infectieuses, ou un alitement ou une hospitalisation) Semaine 4 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 5 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 6 : Exclure le patient - Stomatite : Grade de la toxicité / Recommandations pour la modification de dose de ce médicament (semaine après la précédente dose de ce médicament) : . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 1 (ulcères non douloureux, érythème, ou douleur faible) Semaine 4 : Réadministrer sauf quand le patient a présenté précédemment une stomatite de Grade 3 ou 4, dans ce cas attendre une semaine supplémentaire Semaine 5 : Réadministrer sauf quand le patient a présenté précédemment une stomatite de Grade 3 ou 4, dans ce cas attendre une semaine supplémentaire Semaine 6 : Diminuer la dose de 25 % ; revenir à un intervalle de 4 semaines ou exclure le patient selon l'évaluation du médecin . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 2 (érythème douloureux, oedème, ou ulcères, mais peut manger) Semaine 4 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 5 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 6 : Diminuer la dose de 25 % ; revenir à un intervalle de 4 semaines ou exclure le patient selon l'évaluation du médecin . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 3 (érythème douloureux, oedème, ou ulcères, mais ne peut pas manger) Semaine 4 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 5 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 6 : Exclure le patient . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 4 (nécessite une alimentation parentérale ou entérale) Semaine 4 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 5 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 6 : Exclure le patient - Toxicité hématologique : Toxicité hématologique (PN ou plaquettes) - Prise en charge des patients avec cancer du sein ou de l'ovaire . Grade 1 PN 1500 - 1900 Plaquettes 75000 - 150000 Modification : Poursuivre le traitement sans diminution de dose. . Grade 2 PN 1000 - < 1500 Plaquettes 50000 - < 75000 Modification : Attendre jusqu'à NPC > ou = 1500 et plaquettes > ou = 75000 ; réadministrer sans diminution de dose. . Grade 3 PN 500 - < 1000 Plaquettes 25000 - < 50000 Modification : Attendre jusqu'à NPC > ou = 1500 et plaquettes > ou = 75000 ; réadministrer sans diminution de dose. . Grade 4 PN < 500 Plaquettes < 25000 Modification : Attendre jusqu'à NPC > ou = 1500 et plaquettes > ou = 75000 ; diminuer la dose de 25 % ou continuer la dose complète avec un apport en facteur de croissance. * Insuffisance rénale La doxorubicine étant métabolisée par le foie et excrétée dans la bile, aucune modification de la posologie n'est nécessaire. Les données pharmacocinétiques de population (clairance de la créatinine testée sur l'intervalle de 30-156 ml/min) démontrent que la clairance de ce médicament n'est pas influencée par la fonction rénale. Aucune donnée pharmacocinétique n'est disponible chez les patients dont la clairance de la créatinine est inférieure à 30 ml/min. * Population pédiatrique L'expérience chez les enfants est limitée. L'utilisation de ce médicament n'est pas recommandée chez les patients de moins de 18 ans. * Personnes âgées L'analyse de population démontre que l'âge sur l'intervalle testé (21 - 75 ans) n'altère pas significativement les paramètres pharmacocinétique de ce médicament. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | 30 MG/M2/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /3 SEMAINES |
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Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Ce médicament doit uniquement être administré sous le contrôle d'un médecin qualifié dans l'administration d'agents cytotoxiques. Ce médicament présente des propriétés pharmacocinétiques spécifiques et ne doit pas être remplacé par d'autres formulations de chlorhydrate de doxorubicine. * Myélome multiple Ce médicament est administré à 30 mg/m2 au 4ème jour du traitement, lors d'un cycle de 3 semaines par bortézomib, en perfusion de 1 heure administrée immédiatement après la perfusion de bortézomib. Le traitement par bortézomib consiste en une dose de 1,3 mg/m2 à J1, J4, J8 et J11 toutes les 3 semaines. L'administration doit être répétée aussi longtemps que les patients présentent une réponse satisfaisante et une bonne tolérance au traitement. L'administration à J4 des deux produits peut être retardée jusqu'à 48 heures si médicalement nécessaire. Les doses de bortézomib devront être espacées d'au moins 72 heures. * Pour tous les patients Si le patient présente des symptômes ou signes précoces de réactions à la perfusion (cf. "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Effets indésirables"), interrompre immédiatement la perfusion, donner des prémédications appropriées (antihistaminique et/ou corticoïde à action immédiate) et recommencer à une vitesse plus faible. Pour prendre en charge les effets indésirables tels que l'érythrodysesthésie palmo-plantaire (EPP), la stomatite ou la toxicité hématologique, la dose peut être réduite ou retardée. Des recommandations pour la modification de dose secondaires à ces effets indésirables sont fournies ci-dessous. Le grade de toxicité est défini selon l'échelle du National Cancer Institute Common Toxicity Criteria (NCI-CTC). Pour l'EPP et la stomatite, le schéma thérapeutique suivi pour la modification de dose lors des essais cliniques dans le traitement du cancer du sein ou du cancer de l'ovaire (modification du cycle de traitement recommandé de 4 semaines) est indiqué ci-dessous : si ces toxicités surviennent chez les patients ayant un sarcome de Kaposi associé au SIDA, le cycle de traitement recommandé de 2 à 3 semaines peut être modifié d'une manière similaire. Les données de la toxicité hématologique fournissent le schéma thérapeutique suivi pour la modification de dose lors des études cliniques uniquement dans le traitement du cancer du sein ou de l'ovaire. - Erythrodysesthésie palmo-plantaire : Grade de la toxicité / Recommandations pour la modification de dose de ce médicament (semaine après la précédente dose de ce médicament) : . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 1 (érythème modéré, gonflement, ou desquamation n'interférant pas avec les activités quotidiennes) Semaine 4 : Réadministrer sauf quand le patient a présenté précédemment une toxicité cutanée de Grade 3 ou 4, dans ce cas attendre une semaine supplémentaire . Semaine 5 : Réadministrer sauf quand le patient a présenté précédemment une toxicité cutanée de Grade 3 ou 4, dans ce cas attendre une semaine supplémentaire . Semaine 6 : Diminuer la dose de 25 % ; revenir à un intervalle de 4 semaines . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 2 (érythème, desquamation, ou gonflement, interférant avec, mais sans empêcher les activités physiques normales ; petites ampoules ou ulcérations de moins de 2 cm de diamètre) Semaine 4 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 5 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 6 : Diminuer la dose de 25 % ; revenir à un intervalle de 4 semaines . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 3 (ampoule, ulcération, ou gonflement interférant avec la marche ou les activités quotidiennes normales ; ne peut pas porter des vêtements habituels) Semaine 4 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 5 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 6 : Exclure le patient . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 4 (processus diffus ou local entraînant des complications infectieuses, ou un alitement ou une hospitalisation) Semaine 4 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 5 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 6 : Exclure le patient - Stomatite : Grade de la toxicité / Recommandations pour la modification de dose de ce médicament (semaine après la précédente dose de ce médicament) : . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 1 (ulcères non douloureux, érythème, ou douleur faible) Semaine 4 : Réadministrer sauf quand le patient a présenté précédemment une stomatite de Grade 3 ou 4, dans ce cas attendre une semaine supplémentaire Semaine 5 : Réadministrer sauf quand le patient a présenté précédemment une stomatite de Grade 3 ou 4, dans ce cas attendre une semaine supplémentaire Semaine 6 : Diminuer la dose de 25 % ; revenir à un intervalle de 4 semaines ou exclure le patient selon l'évaluation du médecin . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 2 (érythème douloureux, oedème, ou ulcères, mais peut manger) Semaine 4 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 5 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 6 : Diminuer la dose de 25 % ; revenir à un intervalle de 4 semaines ou exclure le patient selon l'évaluation du médecin . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 3 (érythème douloureux, oedème, ou ulcères, mais ne peut pas manger) Semaine 4 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 5 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 6 : Exclure le patient . Grade de la toxicité lors de l'évaluation : Grade 4 (nécessite une alimentation parentérale ou entérale) Semaine 4 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 5 : Attendre une semaine supplémentaire Semaine 6 : Exclure le patient Pour les patients atteints de myélome multiple traités par ce médicament en association avec le bortézomib qui présentent une EPP ou une stomatite, la dose de ce médicament doit être modifiée comme décrit dans les données ci-dessus. Les données ci-dessous fournissent le schéma thérapeutique suivi pour les autres modifications de dose lors des études cliniques dans le traitement du myélome multiple chez les patients recevant ce médicament en association avec le bortézomib. Pour plus de détails sur le mode d'administration et les ajustements de dose du bortézomib, voir le RCP du bortézomib. - Fièvre > ou = 38°C et taux PNN < 1000/mm3 . Doxorubicine : ne pas administrer dans ce cycle si avant J4 ; si après J4, réduire la prochaine de dose de 25%. . Bortézomib : réduire la prochaine dose de 25%. - Quel que soit le jour d'administration du traitement après le 1er jour (J1) de chaque cycle : plaquettes < 25000/mm3 ; hémoglobine < 8 g/dl ; PNN < 500/mm3 . Doxorubicine : ne pas administrer dans ce cycle si avant J4 ; si après J4, réduire la prochaine de dose de 25% dasn les cycles suivants si le bortézomib est réduit pour toxicité hématologique (*). . Bortézomib : ne pas administrer ; si 2 doses ou plus sont omises dans un cycle, réduire la dose de 25% dans les cycles suivants. - Toxicité non hématologique de grade 3 ou 4 liée au traitement . Doxorubicine : ne pas administrer jusqu'au retour à un grade < 2 et réduire le dose de 25% pour toutes les administrations suivantes. . Bortézomib : ne pas administrer jusqu'au retour à un grade < 2 et réduire le dose de 25% pour toutes les administrations suivantes. - Douleur neuropathique ou neuropathie périphérique . Doxorubicine : ne pas ajuster la dose. . Bortézomib : voir le RCP du bortézomib. (*) Pour plus d'informations sur l'administration et les ajustements de dose du bortézomib, voir le RCP du bortézomib. * Insuffisance rénale La doxorubicine étant métabolisée par le foie et excrétée dans la bile, aucune modification de la posologie n'est nécessaire. Les données pharmacocinétiques de population (clairance de la créatinine testée sur l'intervalle de 30-156 ml/min) démontrent que la clairance de ce médicament n'est pas influencée par la fonction rénale. Aucune donnée pharmacocinétique n'est disponible chez les patients dont la clairance de la créatinine est inférieure à 30 ml/min. * Population pédiatrique L'expérience chez les enfants est limitée. L'utilisation de ce médicament n'est pas recommandée chez les patients de moins de 18 ans. * Personnes âgées L'analyse de population démontre que l'âge sur l'intervalle testé (21 - 75 ans) n'altère pas significativement les paramètres pharmacocinétique de ce médicament. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Modalité(s) |
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* Mode d'adminsitration Ce médicament est administré par perfusion intraveineuse. Pour toute instruction supplémentaire concernant la préparation et les précautions particulières lors de la manipulation. Ne jamais administrer ce médicament sous forme de bolus ou de solution non diluée. Il est recommandé de brancher en Y la perfusion de ce médicament sur une perfusion intraveineuse de glucose à 5 % (50 mg/ml) afin d'obtenir une meilleure dilution et de minimiser le risque de thrombose et d'extravasation. La perfusion peut être faite par une veine périphérique. Ne pas utiliser de filtres en ligne. Ce médicament ne doit pas être administré par voie sous-cutanée ou intramusculaire. - Pour des doses < 90 mg : diluer ce médicament dans 250 ml de glucose à 5 % (50 mg/ml) solution pour perfusion. - Pour des doses < ou = 90 mg : diluer ce médicament dans 500 ml de glucose à 5 % (50 mg/ml) solution pour perfusion. - Cancer du sein/Cancer de l'ovaire/Myélome multiple Afin de minimiser le risque de réactions à la perfusion, la dose initiale est administrée à une vitesse inférieure à 1 mg/minute. Si aucune réaction à la perfusion n'est observée, les perfusions ultérieures de Caelyx peuvent être administrées sur une période de 60 minutes. Chez les patients présentant une réaction à la perfusion, le schéma de perfusion doit être modifié de la façon suivante : 5 % de la dose totale doit être perfusée lentement pendant les 15 premières minutes. Si la perfusion est tolérée sans réaction, la vitesse de perfusion peut alors être doublée pour les 15 minutes suivantes. Si elle est bien tolérée, la perfusion de la quantité restante peut être alors poursuivie pendant les 60 minutes suivantes, soit une durée totale de perfusion de 90 minutes. - SK associé au SIDA La dose de ce médicament est diluée dans 250 ml de glucose à 5 % (50 mg/ml) solution pour perfusion et administrée en perfusion intraveineuse sur 30 minutes. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Terrain N° 1 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | MODE D'ADMINISTRATION PARTICULIER
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Niveau(x) |
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Ne jamais administrer ce médicament sous forme de bolus ou de solution non diluée. Ce médicament ne doit pas être administré par voie intramusculaire, ni par voie souscutanée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | GROSSESSE |
Niveau(x) |
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Le chlorhydrate de doxorubicine est susceptible d'être à l'origine de malformations graves pour l'enfant lorsqu'il est administré pendant la grossesse. Par conséquent, ce médicament ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, à moins d'une nécessité absolue. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | ALLAITEMENT |
Niveau(x) |
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Du fait que de nombreux médicaments, comprenant les anthracyclines, sont excrétés dans le lait maternel, et en raison de la potentialité d'effets indésirables sérieux chez l'enfant allaité, les femmes doivent donc interrompre l'allaitement avant de débuter le traitement par ce médicament |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | NOUVEAU-NE |
Niveau(x) |
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L'expérience chez les enfants est limitée. L'utilisation de ce médicament n'est pas recommandée chez les patients de moins de 18 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | NOURRISSON |
Niveau(x) |
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L'expérience chez les enfants est limitée. L'utilisation de ce médicament n'est pas recommandée chez les patients de moins de 18 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | ENFANT |
Niveau(x) |
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L'expérience chez les enfants est limitée. L'utilisation de ce médicament n'est pas recommandée chez les patients de moins de 18 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | ADULTE JEUNE (15-17 ANS)
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Niveau(x) |
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L'expérience chez les enfants est limitée. L'utilisation de ce médicament n'est pas recommandée chez les patients de moins de 18 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | HOMME
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Niveau(x) |
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Les femmes doivent éviter une grossesse si elles, ou leur partenaire, sont traitées par ce médicament et dans les six mois suivant la fin du traitement par celui-ci |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | FEMME EN AGE DE PROCREER
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Niveau(x) |
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Les femmes doivent éviter une grossesse si elles, ou leur partenaire, sont traitées par ce médicament et dans les six mois suivant la fin du traitement par celui-ci |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Hypersensibilité à la substance active, à l'arachide ou soja, ou à l'un des excipients. Ce médicament ne doit pas être utilisé pour traiter le SK associé au SIDA qui pourrait être traité efficacement par un traitement local ou systémique par l'interféron alpha. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 20/08/2021 |
Terrain N° 11 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Ce médicament est contre-indiqué en cas d'hypersensibilité à un produit de la classe des anthracyclines. Réf. : Rectificatif AMM française du 16/06/2011 d'IDARUBICINE MYL 5MG/5ML SOL INJ FV |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Ce médicament contient de l'huile de soja ou de l'huile de soja hydrogénée comme excipient. - Voie d'administration : Toutes - Seuil : Zéro - Informations Ce médicament contient de l'huile de soja. Si vous êtes allergique à l'arachide ou au soja, ne pas utiliser ce médicament. - Commentaires Conforme à Huile d'arachide. RCP : mention en contre-indication. Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 1 | ATTEINTE CARDIOVASCULAIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | INSUFFISANCE CARDIAQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | CARDIOMYOPATHIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | TRAITEMENT ANTERIEUR
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | RADIOTHERAPIE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | APLASIE MEDULLAIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | AGRANULOCYTOSE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | INSUFFISANCE MEDULLAIRE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | TYPE PARTICULIER DE TRAITEMENT
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | DIABETE TYPE I |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | DIABETE TYPE II |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | DIABETE AUTRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | FEMME EN AGE DE PROCREER
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Niveau(x) |
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Les femmes doivent éviter une grossesse si elles sont traitées par ce médicament et dans les six mois suivant la fin du traitement. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 16 | HOMME
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Niveau(x) |
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Les femmes doivent éviter une grossesse si leur partenaire sont traités par ce médicament et dans les six mois suivant la fin du traitement. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 17 | INSUFFISANCE HEPATIQUE |
Niveau(x) |
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Cependant, tant que plus d'expérience n'a pas été recueillie, la posologie de doxorubicine chez des patients ayant une fonction hépatique altérée doit être diminuée, basé sur l'expérience des études cliniques dans le cancer du sein et de l'ovaire. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 18 | ATTEINTE HEPATIQUE |
Niveau(x) |
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Cependant, tant que plus d'expérience n'a pas été recueillie, la posologie de doxorubicine chez des patients ayant une fonction hépatique altérée doit être diminuée, basé sur l'expérience des études cliniques dans le cancer du sein et de l'ovaire. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 19 | ATTEINTE CUTANEE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 20 | PERSONNEL SOIGNANT |
Niveau(x) |
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Comme pour tout cytotoxique, la préparation et la manipulation de ce produit nécessitent un ensemble de précautions permettant d'assurer la protection du manipulateur et de son environnement, dans les conditions de sécurité requises pour le patient. En plus des précautions usuelles pour préserver la stérilité des préparations injectables, il faut : - mettre une blouse à manches longues et poignets serrés afin d'éviter toute projection de solution sur la peau, - porter également un masque chirurgical à usage unique et des lunettes enveloppantes, - mettre des gants à usage unique en PVC, et non en latex, après lavage aseptique des mains, - préparer la solution sur un champ de travail, - arrêter la perfusion, en cas d'injection hors de la veine, - éliminer tout matériel ayant servi à la préparation de la solution (seringues, compresses, champs, flacon) dans un conteneur réservé à cet effet, - détruire les déchets toxiques, - manipuler les excreta et vomissures avec précaution. Ces dispositions peuvent être envisagées dans le cadre du réseau cancérologie (circulaire DGS/DH/98 N°98/188 du 24 mars 1998) en collaboration avec toute structure adaptée et remplissant les conditions requises. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 21 | PERSONNEL SOIGNANT FEMININ |
Niveau(x) |
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Les femmes enceintes doivent être averties et éviter la manipulation des cytotoxiques. Ces dispositions peuvent être envisagées dans le cadre du réseau cancérologie (circulaire DGS/DH/98 N°98/188 du 24 mars 1998) en collaboration avec toute structure adaptée et remplissant les conditions requises. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Compte tenu des différences entre le profil pharmacocinétique et les schémas de doses, l'utilisation de ce médicament ne doit pas être interchangeable avec d'autres formulations à base de chlorhydrate de doxorubicine. * Toxicité cardiaque Il est recommandé que tous les patients traités par ce médicament soient soumis à une surveillance de l'ECG de façon régulière et fréquente. Des modifications transitoires de l'ECG telles un aplatissement de l'onde T, un sous-décalage du segment S-T et des arythmies bénignes, ne justifient pas l'interruption du traitement par ce médicament. En revanche, une réduction du complexe QRS est considérée comme plus significative d'une cardiotoxicité. Dans ce cas, le test de référence des atteintes myocardiques par les anthracyclines, c'est-à-dire la biopsie endomyocardique, doit être envisagé. De manière plus spécifique que par l'ECG, la fonction cardiaque peut être évaluée et surveillée par la mesure de la fraction d'éjection systolique du ventricule gauche par échographie ou, de préférence, par angiographie multiplane (MUGA). Ces tests doivent être pratiqués régulièrement avant le début du traitement par ce médicament et répétés périodiquement pendant le traitement. L'évaluation de la fonction ventriculaire gauche est requise avant chaque nouvelle administration de ce médicament lorsque la dose cumulée individuelle d'anthracycline excède 450 mg/m2. Les tests et méthodes de surveillance de la fonction cardiaque mentionnés ci-dessus relatifs au suivi d'un traitement par les anthracyclines doivent être utilisés dans l'ordre suivant : ECG, mesure de la fraction d'éjection du ventricule gauche, biopsie endomyocardique. Si l'un de ces tests révèle une atteinte cardiaque possible par ce médicament, il convient de mettre soigneusement en balance le bénéfice de la poursuite du traitement et le risque d'une atteinte myocardique. Chez les patients ayant une pathologie cardiaque nécessitant un traitement, n'administrer ce médicament que lorsque le bénéfice du traitement l'emporte sur le risque encouru. Prendre des précautions chez les patients souffrant d'une insuffisance cardiaque et traités par ce médicament. Lorsqu'une cardiomyopathie est suspectée, c'est-à-dire que la fraction d'éjection ventriculaire gauche a diminué de façon substantielle par rapport aux valeurs de pré-traitement, et/ou que la fraction d'éjection ventriculaire gauche est plus basse que la valeur pronostique attendue (par exemple < 45 %), une biopsie endomyocardique est à envisager et il convient de mettre soigneusement en balance le bénéfice de la poursuite du traitement et le risque de provoquer une lésion cardiaque irréversible. Une insuffisance cardiaque congestive due à une cardiomyopathie peut survenir brutalement, sans modification préalable de l'ECG, et peut aussi s'observer plusieurs semaines après l'arrêt du traitement. Des précautions doivent être prises chez les patients ayant déjà reçu d'autres anthracyclines. La dose totale de chlorhydrate de doxorubicine doit également prendre en compte tout traitement préalable (ou concomitant) par des composés cardiotoxiques tels que d'autres anthracyclines/anthraquinones ou par exemple le 5-fluorouracile. La toxicité cardiaque peut également survenir pour des doses cumulées d'anthracycline inférieures à 450 mg/m2 chez les patients avec une irradiation médiastinale préalable ou chez ceux recevant un traitement concomitant par cyclophosphamide. Le profil de tolérance cardiaque du dosage recommandé dans le cancer du sein et de l'ovaire (50 mg/m2) est similaire au profil du dosage de 20 mg/m2 chez les patients ayant un SK-SIDA (cf. "Effets indésirables"). * Myélosuppression De nombreux patients traités par ce médicament présentent une myélosuppression avant traitement due à des facteurs tels que leur infection préexistante par le VIH ou les nombreux traitements associés ou préalables, ou des tumeurs impliquant la moelle osseuse. Dans une étude clinique pivot chez des patients avec un cancer ovarien traité avec une dose de 50 mg/m2, la myélosuppression était généralement faible à modérée, réversible, et n'était pas associée à des épisodes d'infection neutropénique ou de complication septique. De plus, dans une étude clinique contrôlée de ce médicament vs. topotécan, l'incidence de la complication septique liée au traitement était substantiellement plus faible chez les patients avec cancer ovarien traités par ce médicament comparée au groupe de traitement topotécan. De même chez les patients atteints d'un cancer du sein métastatique recevant ce médicament en première ligne, une faible incidence de myélosuppression a été observée. Contrairement à l'expérience chez les patients avec cancer du sein ou de l'ovaire, la myélosuppression semble être l'effet indésirable dose-limitant chez les patients avec SK-SIDA (cf. "Effets indésirables"). En raison du risque potentiel de myélosuppression, des numérations formule sanguine/plaquettes doivent être pratiquées fréquemment pendant la durée du traitement par ce médicament et, au minimum, avant chaque administration de ce médicament. Une myélosuppression sévère et persistante peut entraîner une surinfection ou des hémorragies. D'après les études cliniques contrôlées chez les patients avec SK-SIDA versus l'association bléomycine/vincristine, il semble que les infections opportunistes soient plus fréquentes lors du traitement par ce médicament. Patients et médecins doivent être informés de cette plus grande incidence et prendre les mesures nécessaires. * Hémopathies malignes secondaires Comme avec d'autres agents anticancéreux altérant l'ADN, des syndromes myélodysplasiques et des leucémies aiguës myéloïdes ont été observés après traitement combiné incluant la doxorubicine. En conséquence, tout patient traité par de la doxorubicine devrait faire l'objet d'un suivi hématologique. * Tumeurs secondaires de la cavité buccale De très rares cas de cancers secondaires de la cavité buccale ont été observés chez les patients exposés à la doxorubicine durant une longue période (supérieure à un an) ou ayant reçu une dose cumulée de doxorubicine supérieure à 720 mg/m2. Des cas de cancers secondaires de la cavité buccale ont été diagnostiqués à la fois en cours de traitement par doxorubicine et jusqu'à 6 ans après la dernière dose. Les patients doivent être examinés à intervalles réguliers à la recherche d'ulcération de la cavité buccale ou de toute gêne buccale qui pourrait indiquer un cancer secondaire de la cavité buccale. * Réactions liées à la perfusion Des réactions sérieuses et engageant parfois le pronostic vital liées à la perfusion, caractérisées par des réactions de type allergique ou anaphylactoïde, avec des symptômes tels que asthme, bouffée de chaleur, rash urticarien, douleur thoracique, fièvre, hypertension, tachycardie, prurit, sueurs, souffle court, oedème de la face, frissons, douleur dorsale, oppression thoracique et de la gorge et/ou hypotension pouvant survenir dans les minutes qui suivent le début de la perfusion de ce médicament. Des convulsions liées aux réactions à la perfusion ont été très rarement observées. Un arrêt temporaire de la perfusion sans traitement additionnel résout habituellement ces symptômes. Cependant, les médicaments traitant ces symptômes (par exemple anti-histaminiques, corticoïdes, adrénaline et anticonvulsivants), ainsi qu'un équipement d'urgence doivent être disponibles pour une utilisation immédiate. Chez la plupart des patients le traitement peut être poursuivi après la disparition de tous les symptômes, sans réapparition. Les réactions liées à la perfusion réapparaissent rarement après le premier cycle de traitement. Afin de minimiser le risque de réactions liées à la perfusion, la dose initiale doit être administrée à une vitesse inférieure ou égale à 1 mg/minute (Cf. rubrique "Posologie"). * Syndrome d'érythrodysesthésie palmo-plantaire (EPP) L'EPP se caractérise par une éruption cutanée douloureuse maculo-érythémateuse. Chez les patients qui présentent cet événement, il survient généralement après deux ou trois cycles de traitement. Généralement, on observe une amélioration après 1 à 2 semaines et dans certains cas, la résolution complète peut nécessiter 4 semaines ou plus. La pyridoxine à une dose de 50 à 150 mg par jour et des corticoïdes ont été utilisés pour la prophylaxie et le traitement de l'EPP, toutefois ces thérapies n'ont pas été évaluées dans les essais de phase III. D'autres stratégies visant à prévenir et traiter l'EPP comprennent le refroidissement des mains et des pieds en les exposant à de l'eau froide (immersion, bain), la prévention du contact avec de l'eau chaude/bouillante et des frottements (pas de chaussettes, ni de gants ou de chaussures serrées). L'EPP semble être principalement liée au schéma thérapeutique et peut être réduite en prolongeant l'intervalle d'administration de 1 à 2 semaines (Cf. rubrique "Posologie"). Toutefois, cette réaction peut être grave et invalidante chez certains patients et peut nécessiter l'arrêt du traitement (Cf. rubrique "Effets indésirables"). * Extravasation Bien qu'une nécrose locale suite à une extravasation n'ait été que très rarement signalée, on considère que ce médicament est irritant. Les études animales montrent que l'administration du chlorhydrate de doxorubicine sous forme d'une formulation liposomale réduit le risque de lésion par extravasation. En présence de signes ou symptômes d'extravasation (par exemple, picotements, érythème), arrêtez immédiatement la perfusion et réinitiez-la dans une autre veine. L'application de glace au site de l'extravasation pendant environ 30 minutes peut aider à soulager la réaction locale. Ce médicament ne doit pas être administré par voie intramusculaire, ni par voie souscutanée. * Patients diabétiques A noter que chaque flacon de ce médicament contient du saccharose et est administré dans du glucose à 5 % (50 mg/ml) solution pour perfusion. * Excipients Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose, c'est-à-dire qu'il est essentiellement "sans sodium". Pour les événements indésirables fréquents ayant nécessité une modification des doses ou un arrêt de l'administration, Cf. rubrique "Effets indésirables". |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 20/08/2021 |
Terrain N° 1 |
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Niveau(x) |
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La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques. La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes. Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement. Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés. Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets. Le médicament de première intention pour un porteur de porphyrie hépatique aigüe est toujours celui classé comme autorisé. En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries. |
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CIM10 |
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Terrain N° 2 |
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Niveau(x) |
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La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques. La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes. Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement. Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés. Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets. Le médicament de première intention pour un porteur de porphyrie hépatique aigüe est toujours celui classé comme autorisé. En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries. |
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CIM10 |
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Aucune étude formelle d'interaction médicamenteuse n'a été réalisée avec ce médicament, bien que des études de phase II en association avec des agents de chimiothérapie conventionnels ont été conduites chez des patientes avec des tumeurs gynécologiques. Prendre des précautions lors de l'utilisation concomitante de médicaments connus pour leur interaction avec le chlorhydrate de doxorubicine conventionnel. Ce médicament, comme d'autres spécialités à base de chlorhydrate de doxorubicine, peut potentialiser la toxicité d'autres médicaments anticancéreux. Pendant les essais cliniques chez les patientes avec tumeur solide (comprenant les sous-groupes cancer du sein et de l'ovaire) qui ont reçu simultanément du cyclophosphamide ou des taxanes, aucune nouvelle toxicité additive n'a été notée. Chez les patients avec SIDA une aggravation des cystites hémorragiques induites par le cyclophosphamide et une augmentation de l'hépatoxicité de la 6-mercaptopurine ont été rapportées avec le chlorhydrate de doxorubicine conventionnel. Toute association avec d'autres agents cytotoxiques, en particulier les agents myélotoxiques, doit faire l'objet d'une surveillance attentive. | |
Référence(s) officielle(s):  Rectificatif AMM européenne 20/08/2021 |
Effet spécialité |
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Niveau(x) de risque |
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Le chlorhydrate de doxorubicine est susceptible d'être à l'origine de malformations graves pour l'enfant lorsqu'il est administré pendant la grossesse. Par conséquent, ce médicament ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, à moins d'une nécessité absolue. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 20/08/2021 |
Recommandations |
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Les femmes doivent éviter une grossesse si elles, ou leur partenaire, sont traitées par ce médicament et dans les six mois suivant la fin du traitement par celui-ci (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). - Fertilité L'effet du chlorhydrate de doxorubicine sur la fertilité humaine n'a pas été évalué (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 20/08/2021 |
Passage dans le lait | Pas d'information |
Fixation protéique | Pas d'information |
Rapport concentration lait/plasma maternels | Pas d'information |
Concentration dans 100 ml de lait maternel | Pas d'information |
Recommandations |
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On ne dispose pas de données sur l'excrétion de ce médicament dans le lait maternel. Du fait que de nombreux médicaments, comprenant les anthracyclines, sont excrétés dans le lait maternel, et en raison de la potentialité d'effets indésirables sérieux chez l'enfant allaité, les femmes doivent donc interrompre l'allaitement avant de débuter le traitement par ce médicament. Il est recommandé aux femmes infectées par le VIH de ne pas allaiter leur enfant afin d'éviter le risque de transmission postnatale du VIH. |
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Référence(s) officielle(s): | Rectificatif AMM européenne 20/08/2021 |
Recommandations |
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Ce médicament n'a aucun effet ou qu'un effet négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. Cependant, lors des essais cliniques effectués à ce jour, étourdissements et somnolence ont quelquefois été associés à la prise de ce médicament (< 5 % des patients). Les patients présentant ces troubles doivent éviter de conduire des véhicules et d'utiliser des machines. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 20/08/2021 |
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
Site internet: www.ansm.sante.fr.
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