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Voie(s) d'administration : |
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Forme(s) pharmaceutique(s) : |
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Solution injectable. |
Référence(s) bibliographique(s) : |
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Excipient(s) |
pH de la spécialité : 3,2 A 4 |
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Précision(s) composition : |
Pour 10 ml de solution. |
Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM française 31/07/2018
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Nomenclature du code des marchés publics :
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Classe pharmacothérapeutique : STIMULANTS CARDIAQUES (C : système cardiovasculaire), Code ATC : C01CE02 La milrinone est une molécule originale associant des propriétés inotropes positives et une action vasodilatatrice directe. Sa structure et son mode d'action diffèrent de ceux des glucosides digitaliques et des catécholamines. Son mécanisme d'action n'est pas totalement élucidé ; les résultats expérimentaux montrent que la milrinone n'est pas un agoniste bêta-adrénergique et qu'elle n'inhibe pas l'activité de l'adénosine triphosphatase sodium-potassium ; elle inhibe l'AMPc phosphodiestérase et augmente le flux de calcium intracellulaire sans modifier les échanges transmembranaires Na+/Ca++. Chez les sujets atteints d'insuffisance cardiaque congestive, la milrinone améliore de façon rapide et significative le débit cardiaque, la pression capillaire pulmonaire, ainsi que les résistances vasculaires systémiques et pulmonaires sans augmentation significative de la fréquence cardiaque ou de la consommation d'oxygène par le myocarde. L'effet vasodilatateur de la milrinone, dû à son action myorelaxante directe sur le muscle lisse vasculaire, entraîne une diminution de la précharge et de la post charge. Dans ses conditions habituelles de prescription, la milrinone augmente le débit cardiaque de l'ordre de 25 à 40 % sans augmentation notable de la fréquence cardiaque ; la pression capillaire pulmonaire diminue dans les mêmes proportions et les résistances périphériques s'abaissent de 15 % à 30 %. Après administration intraveineuse de milrinone, l'effet thérapeutique apparaît en 5 à 15 min et l'amélioration des paramètres hémodynamiques se maintient tout au long de la perfusion intraveineuse continue. L'activité se maintient lorsqu'on répète les injections intraveineuses de milrinone et il n'a pas été mis en évidence de tachyphylaxie durant des périodes courtes (inférieures à 48 heures). La milrinone est efficace chez les sujets digitalisés et elle n'entraîne pas de signes de toxicité digitalique. En cas de flutter ou de fibrillation auriculaire, la milrinone pourrait parfois augmenter la fréquence ventriculaire en raison de la facilitation modérée de la conduction auriculo-ventriculaire qu'elle produit ; dans ce cas, un traitement préliminaire par la digitaline peut être envisagé. * Population pédiatrique Une revue de la littérature a identifié des études cliniques incluant des patients traités pour un syndrome de bas débit cardiaque après une chirurgie cardiaque, un choc septique ou une hypertension pulmonaire. Les doses usuelles étaient une dose de charge de 50 à 75 microgrammes/kg administrée sur 30 à 60 minutes suivie d'une perfusion intraveineuse continue de 0,25 à 0,75 microgramme/kg/min sur une période de temps allant jusqu'à 35 heures. Dans ces études, la milrinone a provoqué une augmentation du débit cardiaque, une diminution dans la pression de remplissage cardiaque, et une diminution dans la résistance pulmonaire systémique et pulmonaire, avec des modifications minimes au niveau de la fréquence cardiaque et la consommation d'oxygène myocardique. Les études concernant l'utilisation à long terme de milrinone ne sont pas suffisantes pour recommander une administration de la milrinone sur une période de temps de plus de 35 heures. Quelques études ont exploré l'utilisation pédiatrique de la milrinone chez des patients avec choc septique non hyperdynamique (Barton et al., 1996 ; Lindsay et al., 1998) ; l'effet de la milrinone sur l'hypertension pulmonaire post-pontage après réparation d'une tétralogie de Fallot (Chu et al., 2000) ; l'effet combiné de l'oxyde nitrique et de la milrinone sur la circulation pulmonaire après une procédure de type Fontan (Cai et al., 2008). Les résultats de ces études ne sont pas concluants. Par conséquent, l'utilisation de la milrinone dans ces indications n'est pas recommandée. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 31/07/2018 |
Après administration d'un bolus intraveineux de 12,5 à 125 microgrammes/kg chez le patient en insuffisance cardiaque congestive, le volume de distribution de la milrinone est 0,38 l/kg, la demi-vie 2,3 h et la clairance 0,13 l/kg/h. Après administration d'une perfusion de 0,20 à 0,70 microgramme/kg/min, le volume de distribution de la milrinone est d'environ 0,45 l/kg, la demi-vie d'élimination 2,4 h et la clairance 0,14 l/kg/h. 70% de la milrinone sont liés aux protéines plasmatiques. La voie principale d'élimination chez l'homme est la voie urinaire sous forme de milrinone inchangée (83% des produits d'excrétion urinaire) et de son métabolite O-glucuronide (12%). De très faibles quantités sont excrétées dans les fèces. L'excrétion urinaire chez le sujet normal est rapide, 60% de la dose sont retrouvés dans les urines de 0 à 2 heures suivant l'administration et 90% dans les urines de 0 à 8 heures. La clairance rénale de la milrinone est d'environ 0,3 l/min indiquant une sécrétion active. Insuffisance rénale : En cas d'insuffisance rénale, il y a une augmentation de la demi-vie d'élimination de la milrinone : il pourra donc être nécessaire de diminuer les doses de milrinone chez de tels sujets (Cf. rubrique "Posologie"). * Population pédiatrique La milrinone est éliminée plus rapidement chez l'enfant que chez l'adulte, mais les nourrissons ont une clairance significativement plus basse que les enfants, et les prématurés encore plus. Du fait de cette clairance plus rapide par rapport à l'adulte, les concentrations plasmatiques à l'équilibre de la milrinone sont plus basses chez l'enfant que chez l'adulte. Dans la population pédiatrique ayant une fonction rénale normale, les concentrations plasmatiques de la milrinone à l'équilibre après 6 à 12 heures de perfusion continue de 0,5 à 0,75 microgramme/kg/min sont autour de 100 à 300 ng/ml. Après une perfusion intraveineuse de 0,5 à 0,75 microgramme/kg/min chez des nouveau-nés, des nourrissons et des enfants ayant subi une chirurgie à cœur ouvert, le volume de distribution de la milrinone est de 0,35 à 0,9 litres/kg sans différence significative entre les différents groupes d'âge. Après une perfusion intraveineuse de 0,5 microgramme/kg/min chez des prématurés pour prévenir un faible écoulement systémique après la naissance, le volume de distribution de la milrinone est d'environ 0,5 litres/kg. Plusieurs études pharmacocinétiques ont montré que, dans la population pédiatrique, l'augmentation de la clairance augmente avec l'âge. Les nourrissons ont une clairance significativement plus basse que les enfants (3,4 à 3,8 ml/kg/min versus 5,9 à 6,7 ml/kg/min). La clairance de la milrinone est d'environ 1,64 ml/kg/min chez les nouveau-nés, et est même plus basse chez les prématurés (0,64 ml/kg/min). La milrinone a une demi-vie terminale moyenne de 2 à 4 heures chez les nourrissons et les enfants et une demi-vie d'élimination terminale moyenne de 10 heures chez les prématurés. On peut en conclure que la dose optimale de milrinone dans la population pédiatrique nécessaire pour obtenir des concentrations plasmatiques au-dessus du seuil d'efficacité pharmacodynamique semble plus élevée que chez les adultes, mais qu'elle semble plus basse chez les prématurés que chez les enfants. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 31/07/2018 |
- Animaux juvéniles Une étude préclinique a été réalisée pour comparer les effets vasodilatateurs des inhibiteurs de la phosphodiestérase 3 sur le canal artériel de bébés rats nés proches du terme, de foetus de rats proches du terme et de prématurés. La dilatation post-natale du canal artériel par la milrinone a été étudiée avec 3 doses (10, 1 et 0,1 mg/kg). Les effets vasodilatateurs de la milrinone sur le canal artériel foetal en vasoconstriction induite par l'indométacine ont été étudiés par administration simultanée de milrinone (10, 1 et 0,1 mg/kg) et d'indométacine (10 mg/kg) à la rate au jour 21 (proche du terme) et au jour 19 (pré terme). Cette étude in vivo a montré que la milrinone induit une dilatation dose-dépendante du canal artériel foetal et post-natal en vasoconstriction. Les effets vasodilatateurs ont été plus importants lorsque l'injection a été faite immédiatement après la naissance plutôt qu'une heure après la naissance. De plus, l'étude a montré que le canal artériel des prématurés est plus sensible à la milrinone que le canal artériel des bébés rats à terme (Cf. rubriques "Posologie", "Mises en garde et précautions d'emploi", "Effets indésirables" et "Propriétés pharmacocinétiques"). |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 31/07/2018 |
Attention
Il existe une différence entre le RCP du princeps et celui de certains de ses génériques notamment sur les points suivants :
- indications
- posologies
- modalités d'administration.
Cette situation peut être source de confusion et de mésusage.
Spécialité(s) génériques Thériaque | Type | Prix |
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COROTROPE 10MG/10ML INJ AMP 10ML | Référence | |
MILRINONE CNO 1MG/ML INJ AMP 10ML | Générique | |
MILRINONE MDC 10MG/10ML IV 10ML NSFP | Générique | |
MILRINONE PAN 1MG/ML INJ 10ML NSFP | Générique | |
MILRINONE SGN 1MG/ML INJ AMP 10ML | Générique | |
MILRINONE TLO 1MG/ML INJ FL 10ML | Générique | |
Comparer prix |
Dénomination(s) commune(s) : MILRINONE |
Voie(s) : INTRAVEINEUSE et PARENTERALE |
Groupe générique(s) : MILRINONE 10 MG/10ML - COROTROPE 10MG/10ML INJ AMP 10ML |
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Spécialité(s) de référence ansm | Code(s) CIP | Excipient(s) à effet notoire |
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COROTROPE 10MG/10ML INJ AMP 10ML
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Spécialité(s) générique(s) ansm | Code(s) CIP | Excipient(s) à effet notoire |
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MILRINONE CNO 1MG/ML INJ AMP 10ML Laboratoire titulaire AMM : CARINOPHARM GMBH |
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MILRINONE SGN 1MG/ML INJ AMP 10ML Laboratoire titulaire AMM : STRAGEN FRANCE |
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MILRINONE TLO 1MG/ML INJ FL 10ML Laboratoire titulaire AMM : TILLOMED PHARMA GMBH |
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* Conditions de prescription et de délivrance Liste I. Médicament réservé à l'usage hospitalier. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 31/07/2018 | |
Code UCD13 : | 3400891249330 |
Code UCD7 : | 9124933 |
Code identifiant spécialité : | 6 144 877 6 |
Laboratoire(s) titulaire(s) AMM: |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 30/06/2023 | |
Laboratoire(s) exploitant(s) : |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 30/06/2023 | |
Code CIP13 | 3400955602293 |
Code CIP7 | 5560229 |
Commercialisation | Disponible : OUI depuis le 01/01/1990 |
Agrément collectivités/date JO | Oui le 07/04/1988 |
Radiation collectivités/date JO | Non |
Présentation réservée à l'hôpital | Oui |
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD) |
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Conditionnement primaire | 10 AMPOULE(S) contenant 10 ML (1) |
Matériau(x) |
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* Nature et contenu de l'emballage extérieur |
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Présentation unitaire | OUI |
Référence(s) bibliographique(s) | |
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Conditions de délivrance |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 31/07/2018 |
Statut de la présentation |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 31/07/2018 |
1. Prix en officine ville | |
Prix de cette présentation (CIP)/date JO | non concerné |
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) | Non concerné |
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur) | |
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) | Non concerné |
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) | Non concerné |
1. Ville | |
Taux de remboursement |
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2. Hôpital (Rétrocession - vente au public) | |
Taux de remboursement |
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Statut(s) du remboursement |
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SMR spécifique de cette présentation | NON |
Modalité(s) de dispensation |
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Durée(s) et condition(s) de conservation |
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* Durée de conservation |
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Conditions de conservation après reconstitution, dilution ou ouverture
Après ouverture : le produit doit être utilisé immédiatement. |
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Référence(s) officielles(s) : Rectificatif AMM française 31/07/2018 |
INSUFFISANCE CARDIAQUE CONGESTIVE
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Ce médicament est indiqué dans le traitement à court terme de l'insuffisance cardiaque aiguë congestive. |
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SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 31/07/2018 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
INSUFFISANCE CARDIAQUE CONGESTIVE
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Dans la population pédiatrique, ce médicament est indiqué pour le traitement à court terme (jusqu'à 35 heures) de l'insuffisance cardiaque congestive sévère ne répondant pas aux traitements au long cours conventionnels (glucosides, diurétiques, vasodilatateurs et/ou inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (IEC)). |
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SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 31/07/2018 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
INSUFFISANCE CARDIAQUE
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Dans la population pédiatrique, ce médicament est indiqué pour le traitement à court terme (jusqu'à 35 heures) des enfants souffrant d'une insuffisance cardiaque, incluant les états de bas débit cardiaque, après une chirurgie cardiaque. |
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SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 31/07/2018 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
BAS DEBIT SYNDROME
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Dans la population pédiatrique, ce médicament est indiqué pour le traitement à court terme (jusqu'à 35 heures) des enfants souffrant d'une insuffisance cardiaque, incluant les états de bas débit cardiaque, après une chirurgie cardiaque. |
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SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 31/07/2018 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie ATTAQUE | |
Dose | 50 MICROGRAMME(S)/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 FOIS |
Durée de traitement max | 10 MINUTE(S) |
Posologie ENTRETIEN | |
Dose | de 0,375 MICROGRAMME(S)/KG/MINUTE à 0,750 MICROGRAMME(S)/KG/MINUTE |
Fréquence maximale | ADAPTER |
Durée de traitement max | 48 HEURE(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Posologie MAXIMALE | |
Dose | 1130 MICROGRAMME(S)/KG/JOUR |
Fréquence maximale | ADAPTER |
Durée de traitement max | 48 HEURE(S) |
Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Voie intraveineuse. L'utilisation de la milrinone injectable ne pourra être envisagée que chez des patients hospitalisés dans une unité de soins intensifs et soumis à un contrôle continu hémodynamique. Le traitement par la milrinone intraveineuse débutera d'abord par une dose de charge de 50 microgrammes/kg en 10 mn environ, suivie d'une perfusion continue de 0,375 à 0,750 microgrammes/kg/mn. La posologie sera ajustée de façon à obtenir un effet hémodynamique maximum sans toutefois dépasser une dose totale de 1,13 mg/kg/jour. La durée de traitement réalisée au cours des essais a été de 48 heures. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie ATTAQUE | |
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Dose | 50 MICROGRAMME(S)/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 FOIS |
Durée de traitement max | 10 MINUTE(S) |
Posologie ENTRETIEN | |
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Dose | 0,20 MICROGRAMME(S)/KG/MINUTE |
Fréquence maximale | ADAPTER |
Durée de traitement max | 48 HEURE(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Posologie ENTRETIEN | |
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Dose | 0,23 MICROGRAMME(S)/KG/MINUTE |
Fréquence maximale | ADAPTER |
Durée de traitement max | 48 HEURE(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Posologie ENTRETIEN | |
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Dose | 0,28 MICROGRAMME(S)/KG/MINUTE |
Fréquence maximale | ADAPTER |
Durée de traitement max | 48 HEURE(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Posologie ENTRETIEN | |
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Dose | 0,33 MICROGRAMME(S)/KG/MINUTE |
Fréquence maximale | ADAPTER |
Durée de traitement max | 48 HEURE(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Posologie ENTRETIEN | |
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Dose | 0,38 MICROGRAMME(S)/KG/MINUTE |
Fréquence maximale | ADAPTER |
Durée de traitement max | 48 HEURE(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Posologie ENTRETIEN | |
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Dose | 0,43 MICROGRAMME(S)/KG/MINUTE |
Fréquence maximale | ADAPTER |
Durée de traitement max | 48 HEURE(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Voie intraveineuse. L'utilisation de la milrinone injectable ne pourra être envisagée que chez des patients hospitalisés dans une unité de soins intensifs et soumis à un contrôle continu hémodynamique. Le traitement par la milrinone intraveineuse débutera d'abord par une dose de charge de 50 microgrammes/kg en 10 mn environ. La durée du traitement réalisée au cours des essais a été de 48 heures. * Ajustement posologique chez les insuffisants rénaux Un ajustement posologique est nécessaire. L'ajustement posologique chez les insuffisants rénaux est basé sur des données obtenues avec des patients présentant une insuffisance rénale, sans insuffisance cardiaque congestive, qui montrent une augmentation significative de la demi-vie d'élimination terminale de la milrinone. La dose de charge n'est pas affectée, mais une diminution de la dose d'entretien peut être nécessaire en fonction de la sévérité de l'insuffisance rénale (fonction de la clairance de la créatinine) (voir ci-dessous). Clairance de la créatinine (ml/min/1,73 m2) : Débit de perfusion (microgrammes/kg/min) 5 ml/min/1,73 m2 : 0,20 microgramme/kg/min 10 ml/min/1,73 m2 : 0,23 microgramme/kg/min 20 ml/min/1,73 m2 : 0,28 microgramme/kg/min 30 ml/min/1,73 m2 : 0,33 microgramme/kg/min 40 ml/min/1,73 m2 : 0,38 microgramme/kg/min 50 ml/min/1,73 m2 : 0,43 microgramme/kg/min |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie ATTAQUE | |
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Dose | de 50 MICROGRAMME(S)/KG/ADMINISTRATION à 75 MICROGRAMME(S)/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | ADAPTER |
Durée de traitement | de 30 MINUTE(S) à 60 MINUTE(S) |
Posologie ENTRETIEN | |
Dose | de 0,25 MICROGRAMME(S)/KG/MINUTE à 0,75 MICROGRAMME(S)/KG/MINUTE |
Fréquence maximale | ADAPTER |
Durée de traitement max | 35 HEURE(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Voie intraveineuse. L'utilisation de la milrinone injectable ne pourra être envisagée que chez des patients hospitalisés dans une unité de soins intensifs et soumis à un contrôle continu hémodynamique. * Population pédiatrique Dans les études publiées, les doses choisies pour les nourrissons et les enfants étaient : - dose de charge intraveineuse : 50 à 75 microgrammes/kg administrée sur 30 à 60 minutes. - perfusion continue intraveineuse : à initier sur la base de la réponse hémodynamique et la survenue possible d'effets indésirables entre 0,25 à 0,75 microgramme/kg/min sur une période de temps allant jusqu'à 35 heures. Les résultats des études de pharmacocinétiques (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques") ont été pris en considération. - Insuffisance rénale Du fait du manque de données, l'utilisation de ce médicament n'est pas recommandée dans la population pédiatrique souffrant d'insuffisance rénale (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi" pour plus d'informations). - Persistance du canal artériel Chez les prématurés et les enfants à terme à risque de/ou souffrant de persistance du canal artériel, il est nécessaire d'évaluer le besoin thérapeutique en fonction des risques potentiels si l'utilisation de ce médicament est envisagée (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi", "Effets indésirables", "Propriétés pharmacocinétiques" et "Sécurité préclinique"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie ATTAQUE | |
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Dose | 75 MICROGRAMME(S)/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 FOIS |
Durée de traitement max | 60 MINUTE(S) |
Posologie ENTRETIEN | |
Dose | 0,75 MICROGRAMME(S)/KG/MINUTE |
Fréquence maximale | ADAPTER |
Durée de traitement max | 35 HEURE(S) |
Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Voie intraveineuse. L'utilisation de la milrinone injectable ne pourra être envisagée que chez des patients hospitalisés dans une unité de soins intensifs et soumis à un contrôle continu hémodynamique. * Population pédiatrique Dans les études cliniques du syndrome de bas débit cardiaque chez les nourrissons et les enfants de moins de 6 ans après une chirurgie correctrice d'une maladie cardiaque congénitale, une dose de charge de 75 microgrammes/kg sur 60 minutes suivie par une perfusion de 0,75 microgramme/kg/min pendant 35 heures réduisent significativement le risque de développement de syndrome de bas débit cardiaque. Les résultats des études de pharmacocinétiques (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques") ont été pris en considération. - Insuffisance rénale Du fait du manque de données, l'utilisation de ce médicament n'est pas recommandée dans la population pédiatrique souffrant d'insuffisance rénale (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi" pour plus d'informations). - Persistance du canal artériel Chez les prématurés et les enfants à terme à risque de/ou souffrant de persistance du canal artériel, il est nécessaire d'évaluer le besoin thérapeutique en fonction des risques potentiels si l'utilisation de ce médicament est envisagée (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi", "Effets indésirables", "Propriétés pharmacocinétiques" et "Sécurité préclinique"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Modalité(s) |
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* Mode d'administration Voie intraveineuse. L'utilisation de la milrinone injectable ne pourra être envisagée que chez des patients hospitalisés dans une unité de soins intensifs et soumis à un contrôle continu hémodynamique. La perfusion de milrinone sera établie à l'aide d'une pompe à débit constant reliée à une aiguille ou à un cathéter placé dans une veine aussi grosse que possible. La milrinone intraveineuse peut être administrée pure ou diluée dans du sérum glucosé à 5 %. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Terrain N° 1 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | HYPOVOLEMIE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | CARDIOMYOPATHIE
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Niveau(x) |
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Chez les patients avec une maladie aortique obstructive grave ou une maladie des valves pulmonaires, ou une sténose hypertrophique subaortique, la milrinone ne doit pas être utilisée à la place d'une chirurgie de secours d'une obstruction. Comme avec d'autres médicaments inotropes, vasodilatateurs, la milrinone peut aggraver l'obstruction de sortie dans ces conditions (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | CARDIOMYOPATHIE HYPERTROPHIQUE
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Niveau(x) |
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Chez les patients avec une maladie aortique obstructive grave ou une maladie des valves pulmonaires, ou une sténose hypertrophique subaortique, la milrinone ne doit pas être utilisée à la place d'une chirurgie de secours d'une obstruction. Comme avec d'autres médicaments inotropes, vasodilatateurs, la milrinone peut aggraver l'obstruction de sortie dans ces conditions (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | STENOSE VASCULAIRE
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Niveau(x) |
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Chez les patients avec une maladie aortique obstructive grave ou une maladie des valves pulmonaires, ou une sténose hypertrophique subaortique, la milrinone ne doit pas être utilisée à la place d'une chirurgie de secours d'une obstruction. Comme avec d'autres médicaments inotropes, vasodilatateurs, la milrinone peut aggraver l'obstruction de sortie dans ces conditions (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | COARCTATION DE L'AORTE |
Niveau(x) |
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Chez les patients avec une maladie aortique obstructive grave ou une maladie des valves pulmonaires, ou une sténose hypertrophique subaortique, la milrinone ne doit pas être utilisée à la place d'une chirurgie de secours d'une obstruction. Comme avec d'autres médicaments inotropes, vasodilatateurs, la milrinone peut aggraver l'obstruction de sortie dans ces conditions (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | VALVULOPATHIE |
Niveau(x) |
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Chez les patients avec une maladie aortique obstructive grave ou une maladie des valves pulmonaires, ou une sténose hypertrophique subaortique, la milrinone ne doit pas être utilisée à la place d'une chirurgie de secours d'une obstruction. Comme avec d'autres médicaments inotropes, vasodilatateurs, la milrinone peut aggraver l'obstruction de sortie dans ces conditions (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | ANEVRISME VENTRICULAIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | OBSTACLE AU REMPLISSAGE OU A L'EJECTION |
Niveau(x) |
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Chez les patients avec une maladie aortique obstructive grave ou une maladie des valves pulmonaires, ou une sténose hypertrophique subaortique, la milrinone ne doit pas être utilisée à la place d'une chirurgie de secours d'une obstruction. Comme avec d'autres médicaments inotropes, vasodilatateurs, la milrinone peut aggraver l'obstruction de sortie dans ces conditions (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | INFARCTUS DU MYOCARDE
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Niveau(x) |
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L'administration de milrinone immédiatement après un infarctus du myocarde en phase aiguë n'est pas recommandée tant que l'innocuité et l'efficacité n'ont pas été établies dans cette situation. L'utilisation d'inotrope positif tel que la milrinone en phase aiguë suivant un infarctus du myocarde peut mener à une augmentation non voulue de la consommation d'oxygène myocardiale (MVO2) (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Réf. : RCP de MILRINONE PAN 1MG/ML SOL INJ 10ML |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | HYPERTHYROIDIE
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Niveau(x) |
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Ce médicament ne doit pas être utilisé chez les patients souffrant d'une insuffisance cardiaque due à une hyperthyroïdie, à une myocardite aigüe ou à une cardiomyopathie amyloïde, car les données thérapeutiques sont encore insuffisantes. Réf. : RCP de MILRINONE TLO |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | MYOCARDITE
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Niveau(x) |
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Ce médicament ne doit pas être utilisé chez les patients souffrant d'une insuffisance cardiaque due à une hyperthyroïdie, à une myocardite aigüe ou à une cardiomyopathie amyloïde, car les données thérapeutiques sont encore insuffisantes. Réf. : RCP de MILRINONE TLO |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | AMYLOSE
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Niveau(x) |
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Ce médicament ne doit pas être utilisé chez les patients souffrant d'une insuffisance cardiaque due à une hyperthyroïdie, à une myocardite aigüe ou à une cardiomyopathie amyloïde, car les données thérapeutiques sont encore insuffisantes. Réf. : RCP de MILRINONE TLO |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | TYPE PARTICULIER DE TRAITEMENT
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Niveau(x) |
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Il n'y a pas d'expérience d'essais contrôlés avec des perfusions de milrinone de plus de 48 heures (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | GROSSESSE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 16 | ENFANT
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Niveau(x) |
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Les données de la littérature ont montré que dans la population pédiatrique souffrant d'insuffisance rénale, il existe des troubles marqués de la clairance de la milrinone, et des effets indésirables cliniquement significatifs. Cependant, le niveau de clairance de la créatinine dans la population pédiatrique à partir duquel les doses doivent être ajustées n'est pas établi. Par conséquent l'utilisation de la milrinone n'est pas recommandée dans cette population (Cf. rubriques "Posologie" et "Mises en garde et précautions d'emploi"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 17 | NOURRISSON
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Niveau(x) |
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Les données de la littérature ont montré que dans la population pédiatrique souffrant d'insuffisance rénale, il existe des troubles marqués de la clairance de la milrinone, et des effets indésirables cliniquement significatifs. Cependant, le niveau de clairance de la créatinine dans la population pédiatrique à partir duquel les doses doivent être ajustées n'est pas établi. Par conséquent l'utilisation de la milrinone n'est pas recommandée dans cette population (Cf. rubriques "Posologie" et "Mises en garde et précautions d'emploi"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 18 | NOUVEAU-NE
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Niveau(x) |
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Les données de la littérature ont montré que dans la population pédiatrique souffrant d'insuffisance rénale, il existe des troubles marqués de la clairance de la milrinone, et des effets indésirables cliniquement significatifs. Cependant, le niveau de clairance de la créatinine dans la population pédiatrique à partir duquel les doses doivent être ajustées n'est pas établi. Par conséquent l'utilisation de la milrinone n'est pas recommandée dans cette population (Cf. rubriques "Posologie" et "Mises en garde et précautions d'emploi"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 19 | PREMATURE
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Niveau(x) |
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Les données de la littérature ont montré que dans la population pédiatrique souffrant d'insuffisance rénale, il existe des troubles marqués de la clairance de la milrinone, et des effets indésirables cliniquement significatifs. Cependant, le niveau de clairance de la créatinine dans la population pédiatrique à partir duquel les doses doivent être ajustées n'est pas établi. Par conséquent l'utilisation de la milrinone n'est pas recommandée dans cette population (Cf. rubriques "Posologie" et "Mises en garde et précautions d'emploi"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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La milrinone est contre-indiquée : - chez les sujets présentant une hypersensibilité à la milrinone ou à l'un des excipients, - en cas d'hypovolémie sévère. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 31/07/2018 |
Terrain N° 1 | PATIENT A RISQUE/FRAGILISE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | ARYTHMIE CARDIAQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | ARYTHMIE VENTRICULAIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | PATIENT POLYMEDIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | FLUTTER AURICULAIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | FIBRILLATION AURICULAIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | TRAITEMENT ANTERIEUR
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | TROUBLE HYDROELECTROLYTIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | HYPOKALIEMIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | HYPERKALIEMIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | HYPOTENSION ARTERIELLE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | THROMBOPENIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 16 | ANEMIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 17 | ENFANT |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 18 | NOURRISSON |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 19 | NOUVEAU-NE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 20 | NOUVEAU-NE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 21 | PREMATURE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 22 | NOUVEAU-NE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 23 | CANAL ARTERIEL PERSISTANCE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 24 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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* Mises en garde Une surveillance attentive doit être maintenue pendant le traitement par la milrinone incluant le contrôle de la pression artérielle, du rythme cardiaque, de l'état clinique, de l'électrocardiogramme, de l'équilibre hydroélectrolytique et de la fonction rénale (c'est-à-dire créatinine sérique). Chez les patients avec une maladie aortique obstructive grave ou une maladie des valves pulmonaires, ou une sténose hypertrophique subaortique, la milrinone ne doit pas être utilisée à la place d'une chirurgie de secours d'une obstruction. Comme avec d'autres médicaments inotropes, vasodilatateurs, la milrinone peut aggraver l'obstruction de sortie dans ces conditions. L'utilisation d'inotrope positif tel que la milrinone en phase aiguë suivant un infarctus du myocarde peut mener à une augmentation non voulue de la consommation d'oxygène myocardiale (MVO2). Une prudence accrue est nécessaire chez les patients en phase aiguë de l'infarctus du myocarde bien que la milrinone n'augmente pas la MVO2 chez des patients avec une insuffisance cardiaque chronique. * Précautions d'emploi L'activité vasodilatatrice de la milrinone peut provoquer une hypotension, il faut donc être prudent lorsque la milrinone est administrée à des patients souffrant d'hypotension avant le traitement. Chez les patients présentant une diminution importante de la pression artérielle pendant le traitement par la milrinone, la perfusion devra être arrêtée jusqu'au retour à la normale, puis reprise à un débit plus faible si nécessaire. - Patients à risque élevé de troubles du rythme : des arythmies supraventriculaires et ventriculaires ont été observées chez ce type de patients. Chez quelques patients, une augmentation de l'ectopie ventriculaire incluant une tachycardie ventriculaire temporaire a été rapportée. Comme le potentiel d'arythmies, déjà répandu en cas d'insuffisance cardiaque, peut être augmenté par de nombreux médicaments ou des associations de médicaments, les patients recevant de la milrinone doivent être surveillés de près pendant la perfusion. - Patients en insuffisance cardiaque : le risque d'arythmie peut être accentué par de nombreux médicaments ou associations de médicaments. - Patients avec un flutter ou une fibrillation : il y a une possibilité d'augmentation du taux de réponse ventriculaire chez les patients avec un flutter ou une fibrillation. Chez ces patients, une digitalisation antérieure ou un traitement avec d'autres agents prolongeant la conduction auriculo-ventriculaire doit être considérée puisque la milrinone produit une légère augmentation de la conduction du noeud A-V. - Patients ayant reçu un traitement diurétique intensif antérieur suspecté d'avoir diminué significativement la pression de remplissage cardiaque ou d'avoir modifié l'équilibre hydroélectrique en particulier la kaliémie : la milrinone doit être administrée avec prudence et sous contrôle continu de la pression artérielle, de la fréquence cardiaque et des symptômes cliniques. L'équilibre hydroélectrolytique et la créatininémie devront être soigneusement surveillés durant le traitement. En cas d'insuffisance rénale, une majoration de la demi-vie de la milrinone a été mise en évidence. Par suite de l'augmentation de la diurèse due à une amélioration du débit cardiaque, il pourra être nécessaire de diminuer la dose de diurétique. La perte de potassium due à une diurèse excessive peut favoriser la survenue d'arythmie chez les patients digitalisés ; il faudra donc, avant ou pendant le traitement par la milrinone injectable, corriger l'hypokaliémie par un supplément en potassium. Une diminution du taux d'hémoglobine, incluant une anémie, se produit souvent en cas d'insuffisance cardiaque. Du fait du risque de thrombocytopénie ou d'anémie sous ce médicament, une surveillance attentive des paramètres de laboratoire correspondants est nécessaire chez les patients présentant une diminution du taux de plaquettes ou de l'hémoglobine. Il n'y a pas d'expérience d'essais contrôlés avec des perfusions de milrinone de plus de 48 heures. Des cas de réactions au point d'injection ont été rapportés au cours des traitements par la milrinone IV (voir rubrique 4.8). Par conséquent, une surveillance attentive du point d'injection devra être assurée pour éviter tout risque d'extravasation. - Sujets âgés : des études de pharmacocinétique contrôlées n'ont pas montré de changement dans la pharmacocinétique de la personne âgée. - Population pédiatrique Les informations suivantes doivent être considérées en plus des mises en garde spéciales et des précautions d'emploi décrites pour les adultes : Chez les nouveau-nés, après une chirurgie à cœur ouvert pendant un traitement par ce médicament, les paramètres suivants doivent être surveillés : . fréquence et rythme cardiaques, . pression artérielle systémique par l'intermédiaire d'un cathéter artériel ombilical ou d'un cathéter périphérique, . pression veineuse centrale, . index cardiaque, . débit cardiaque, . résistance vasculaire systémique, . pression artérielle pulmonaire, . pression atriale. Les valeurs de laboratoires qui doivent être contrôlées sont le taux de plaquettes, le taux de potassium sérique, la fonction hépatique, et la fonction rénale. La fréquence de la surveillance est déterminée en fonction des valeurs de base. De plus, il est nécessaire d'évaluer la réponse du nouveau-né aux changements de traitement. Les données de la littérature ont montré que dans la population pédiatrique souffrant d'insuffisance rénale, il existe des troubles marqués de la clairance de la milrinone, et des effets indésirables cliniquement significatifs. Cependant, le niveau de clairance de la créatinine dans la population pédiatrique à partir duquel les doses doivent être ajustées n'est pas établi. Par conséquent l'utilisation de la milrinone n'est pas recommandée dans cette population (Cf. rubrique "Posologie"). Dans la population pédiatrique, la milrinone doit être initiée seulement si le patient est hémodynamiquement stable. Une attention particulière doit être portée chez les nouveau-nés présentant des facteurs de risque d'hémorragie intraventriculaire (c'est-à-dire chez les prématurés et les faibles poids de naissance) puisque la milrinone peut induire une thrombocytopénie. Dans les études cliniques réalisées dans la population pédiatrique, le risque de thrombocytopénie augmente significativement avec la durée de perfusion. Les données cliniques suggèrent que les thrombocytopénies induites par la milrinone sont plus fréquentes chez les enfants que chez les adultes (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Dans les études cliniques, la milrinone semble ralentir la fermeture du canal artériel dans la population pédiatrique. Par conséquent, chez les prématurés et les enfants à terme à risque de/ou souffrant de persistance du canal artériel, il est nécessaire d'évaluer le besoin thérapeutique en fonction des risques potentiels si l'utilisation de Corotrope est envisagée (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi", "Effets indésirables", "Propriétés pharmacocinétiques" et "Sécurité préclinique"). - Insuffisance rénale sévère : Chez les patients souffrant d'insuffisance rénale sévère, une adaptation posologique est requise (Cf. rubrique "Posologie"). Compte-tenu du mode d'administration par voie IV, l'utilisation de ce médicament n'est pas déconseillée en cas d'intolérance au glucose. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 31/07/2018 |
Terrain N° 25 | REGIME HYPOGLUCIDIQUE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient du glucose comme excipient. - Voie d'administration : Orale et parentérale - Seuil : 5 g - Informations Ce médicament contient x g de glucose par "unité de prise" dont il faut tenir compte dans la ration journalière en cas de régime pauvre en sucre ou de diabète. Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 26 | REGIME HYPOCALORIQUE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient du glucose comme excipient. - Voie d'administration : Orale et parentérale - Seuil : 5 g - Informations Ce médicament contient x g de glucose par "unité de prise" dont il faut tenir compte dans la ration journalière en cas de régime pauvre en sucre ou de diabète. Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 27 | REGIME CETOGENE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient du glucose comme excipient. - Voie d'administration : Orale et parentérale - Seuil : 5 g - Informations Ce médicament contient x g de glucose par "unité de prise" dont il faut tenir compte dans la ration journalière en cas de régime pauvre en sucre ou de diabète. Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 28 | DIABETE TYPE I |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient du glucose comme excipient. - Voie d'administration : Orale et parentérale - Seuil : 5 g - Informations Ce médicament contient x g de glucose par "unité de prise" dont il faut tenir compte dans la ration journalière en cas de régime pauvre en sucre ou de diabète. Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 29 | DIABETE TYPE II |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient du glucose comme excipient. - Voie d'administration : Orale et parentérale - Seuil : 5 g - Informations Ce médicament contient x g de glucose par "unité de prise" dont il faut tenir compte dans la ration journalière en cas de régime pauvre en sucre ou de diabète. Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 30 | DIABETE AUTRE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient du glucose comme excipient. - Voie d'administration : Orale et parentérale - Seuil : 5 g - Informations Ce médicament contient x g de glucose par "unité de prise" dont il faut tenir compte dans la ration journalière en cas de régime pauvre en sucre ou de diabète. Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 1 |
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Niveau(x) |
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La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques. La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes. Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement. Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés. Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets. Le médicament de première intention pour un porteur de porphyrie hépatique aigüe est toujours celui classé comme autorisé. En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries. |
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CIM10 |
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Terrain N° 2 |
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Niveau(x) |
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La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques. La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes. Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement. Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés. Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets. Le médicament de première intention pour un porteur de porphyrie hépatique aigüe est toujours celui classé comme autorisé. En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries. |
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CIM10 |
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Aucune interaction n'a été observée avec les thérapeutiques suivantes : glycosides digitaliques, antiarythmiques, alpha-bloquants, dérivés nitrés, diurétiques, inhibiteurs de l'enzyme de conversion, anti-coagulants, benzodiazépines, insuline, sels de potassium. | |
Référence(s) officielle(s):  Rectificatif AMM française 31/07/2018 |
Effet spécialité |
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Niveau(x) de risque |
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Il n'existe actuellement que peu ou pas d'expérience sur l'utilisation de la milrinone chez les femmes enceintes. Les études chez l'animal n'indiquent pas d'effets toxiques directs ou indirects sur la reproduction (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). Par mesure de précaution, l'utilisation de la milrinone pendant la grossesse doit être évitée. Réf. : RCP de MILRINONE TLO |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM française 31/07/2018 |
Recommandations |
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Aucune information recensée. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM française 31/07/2018 |
Passage dans le lait | Pas d'information |
Fixation protéique | Pas d'information |
Rapport concentration lait/plasma maternels | Pas d'information |
Concentration dans 100 ml de lait maternel | Pas d'information |
Recommandations |
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Nous ignorons si la milrinone ou ses métabolites sont excrétés dans le lait maternel. Un risque pour le nouveau-né/enfant ne peut être exclu. Il convient de décider si l'allaitement doit être interrompu ou si le traitement par la milrinone doit être arrêté. Il conviendra de tenir compte à la fois du bénéfice de l'allaitement pour l'enfant et des bénéfices du traitement pour la mère. |
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Référence(s) officielle(s): | Rectificatif AMM française 31/07/2018 |
Recommandations |
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La milrinone n'a aucun effet sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 31/07/2018 |
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
Site internet: www.ansm.sante.fr.
TROUBLES SYSTEMES SANGUIN ET LYMPHATIQUE |
TROUBLES HEPATO-BILIAIRES |
TROUBLES METABOLISME ET NUTRITION |
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