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Voie(s) d'administration : |
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Forme(s) pharmaceutique(s) : |
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Comprimé enrobé sécable. |
Référence(s) bibliographique(s) : |
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Substance(s) active(s)
Excipient(s)
PELLICULAGE DU COMPRIME Excipient(s)
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Précision(s) composition : |
Pour un comprimé pelliculé sécable. |
Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM française 23/09/2010
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Aucune DDD attribuée |
Nomenclature du code des marchés publics :
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Classe pharmacothérapeutique : Association d'un anxiolytique et d'un antihistaminique H1 Code ATC : N05BC51 Le méprobamate possède des propriétés anxiolytique, sédative et myorelaxante. L'acéprométazine est une phénothiazine ayant des propriétés sédative, antihistaminique et anticholinergique. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 23/09/2010 |
* Méprobamate Après prise orale, le méprobamate est rapidement absorbé par le tractus gastro-intestinal. Les concentrations sanguines sont discernables au bout de 15 minutes. Les pics plasmatiques sont atteints en 1 à 3 heures et avoisinent 6 à 8 microgrammes/ml pour une administration d'une dose unique de 400 mg. Le taux de liaison aux protéines plasmatiques est de l'ordre de 20%. La demi-vie plasmatique du méprobamate est de 6 à 16 heures. Le méprobamate subit une importante métabolisation hépatique puisque seulement 10% de la dose administrée est éliminée dans les urines sous forme inchangée et 80% sous forme d'hydroxyméprobamate et d'un glycuroconjugué. Moins de 10% de la prise orale est éliminée dans les fèces ; enfin, une fraction est excrétée dans le lait maternel. Le méprobamate franchit la barrière placentaire pour atteindre dans la veine ombilicale des taux voisins de ceux du sang maternel. Le méprobamate peut être efficacement éliminé du sang par hémodialyse ou par hémoperfusion ; la dialyse péritonéale est quasiment sans effet. * Acéprométazine Les phénothiazines, dont l'acéprométazine, sont soumises à un métabolisme important. Elles sont oxydées en sulfoxyde et déméthylées en N-desméthylsulfoxyde. Ces derniers produits peuvent ensuite subir une hydroxylation sur le noyau benzénique non encore substitué puis se conjuguer avec les acides glycuronique et sulfurique. Après administration orale, la résorption est rapide. Les produits se distribuent ensuite dans tous les tissus où leur concentration atteint une valeur supérieure à celle du plasma. Cette large diffusion tissulaire est aussi partagée par les métabolites. L'élimination se fait essentiellement par l'urine et, à un moindre degré, par les fèces. L'élimination urinaire est de l'ordre de 20 % en 24 heures, presque entièrement sous forme de métabolites, dont la proportion de conjugués et de non conjugués est variable. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 23/09/2010 |
Groupe générique(s) : Néant |
Spécialité(s) générique(s) ansm et date(s) d'application : Néant |
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MODIF PICTOGRAMME CONDUCTEUR 2017 | |
RETRAIT AMM MEPRONIZINE (08/2011) | |
RETRAIT NOCTRAN MEPRONIZINE (07/2011) | |
SUJET AGE ET PSYCHOTROPES |
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* Conditions de prescription et de délivrance Liste I. Prescription limitée à 4 semaines. * MEPRONIZINE comprimé sécable : retrait d'autorisation de mise sur le marché (AMM) à compter du 10/01/2012 - Lettre aux professionnels de santé Information destinée aux médecins généralistes, gériatres, psychiatres et pharmaciens L'Afssaps a décidé de retirer l'autorisation de mise sur le marché de la spécialité MEPRONIZINE (méprobamate, acéprométazine) indiquée dans le traitement des insomnies occasionnelles ou transitoires. Cette mesure sera effective à partir du 10 janvier 2012. L'examen des données d'efficacité et de sécurité de ce médicament a permis de conclure que le rapport bénéfice/risque du médicament est désormais défavorable. Les professionnels de santé ne doivent ainsi plus instaurer de nouveau traitement par MEPRONIZINE informer les patients que cette spécialité ne sera plus disponible à partir de cette date et organiser l'arrêt progressif du traitement des patients actuellement sous MEPRONIZINE. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 23/09/2010 | |
Code UCD13 : | 3400890579414 |
Code UCD7 : | 9057941 |
Code identifiant spécialité : | 6 283 168 1 |
Laboratoire(s) titulaire(s) AMM: |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 23/09/2010 | |
Laboratoire(s) exploitant(s) : |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 23/09/2010 | |
plaquette(s) thermoformée(s) PVC-Aluminium de 30 comprimé(s)
Code CIP13 | 3400930658567 |
Code CIP7 | 3065856 |
Commercialisation | Supprimé le 10/01/2012 |
Agrément collectivités/date JO | Non |
Présentation réservée à l'hôpital | Non |
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD) |
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Conditionnement primaire | PLAQUETTE(S) THERMOFORMEE(S) (1) |
Nb unités de prise par conditionnement primaire | 30 COMPRIME(S) par PLAQUETTE(S) THERMOFORMEE(S) |
Matériau(x) |
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Caractéristique(s) de l'emballage |
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* Nature et contenu de l'emballage extérieur |
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Présentation unitaire | PAS DE RENSEIGNEMENT |
Référence(s) bibliographique(s) | |
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Conditions de délivrance |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 23/09/2010 |
Statut de la présentation |
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AMM 16/09/1986 |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 23/09/2010 |
1. Prix en officine ville | |
Prix de cette présentation (CIP)/date JO | 3,59 euros TTC le 01/01/2012 |
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) | Non concerné |
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur) | |
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) | Non concerné |
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) | Non concerné |
1. Ville | |
Taux de remboursement/date JO |
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2. Hôpital (Rétrocession - vente au public) | |
Taux de remboursement |
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Statut(s) du remboursement |
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SMR spécifique de cette présentation | NON |
Modalité(s) de dispensation |
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plaquette(s) thermoformée(s) PVC-Aluminium de 50 comprimé(s)
Code CIP13 | 3400955900580 |
Code CIP7 | 5590058 |
Commercialisation | Supprimé le 10/01/2012 |
Agrément collectivités/date JO | Oui le 06/03/1997 |
Présentation réservée à l'hôpital | Oui |
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD) |
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Conditionnement primaire | PLAQUETTE(S) THERMOFORMEE(S) (1) |
Nb unités de prise par conditionnement primaire | 50 COMPRIME(S) par PLAQUETTE(S) THERMOFORMEE(S) |
Matériau(x) |
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Caractéristique(s) de l'emballage |
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* Nature et contenu de l'emballage extérieur |
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Présentation unitaire | PAS DE RENSEIGNEMENT |
Référence(s) bibliographique(s) | |
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Conditions de délivrance |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 23/09/2010 |
Statut de la présentation |
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AMM 16/09/1986 |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 23/09/2010 |
1. Prix en officine ville | |
Prix de cette présentation (CIP)/date JO | non concerné |
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) | Non concerné |
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur) | |
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) | Non concerné |
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) | Non concerné |
1. Ville | |
Taux de remboursement |
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2. Hôpital (Rétrocession - vente au public) | |
Taux de remboursement |
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Statut(s) du remboursement |
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SMR spécifique de cette présentation | NON |
Modalité(s) de dispensation |
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Durée(s) et condition(s) de conservation |
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* Durée de conservation |
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Référence(s) officielles(s) : Rectificatif AMM française 23/09/2010 |
Durée(s) et condition(s) de conservation |
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* Durée de conservation |
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Référence(s) officielles(s) : Rectificatif AMM française 23/09/2010 |
INSOMNIE
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Insomnie occasionnelle chez l'adulte lorsque le rapport bénéfice/risque des benzodiazépines ne paraît pas favorable. |
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SMR de l'indication | NIVEAU INSUFFISANT 27/04/2011 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 23/09/2010 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | 1 COMPRIME(S)/PRISE |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
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Durée de traitement | de 2 JOUR(S) à 5 JOUR(S) TRAITEMENT PROLONGE NON JUSTIFIE ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
* Posologie 1 comprimé par jour. * Mode d'administration Une seule prise par jour le soir, 15 à 30 minutes avant le coucher. * Durée de traitement La durée de traitement est de 2 à 5 jours. Si l'insomnie persiste plus de 5 jours, le traitement doit être réévalué. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | ADAPTER COMPRIME(S)/PRISE |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
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Durée de traitement | de 2 JOUR(S) à 5 JOUR(S) TRAITEMENT PROLONGE NON JUSTIFIE ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
* Posologie 1 comprimé par jour. Chez le sujet âgé, l'insuffisant rénal ou hépatique, il est recommandé de diminuer la posologie (Cf. "Mises en garde spéciales et précautions d'emploi"). * Mode d'administration Une seule prise par jour le soir, 15 à 30 minutes avant le coucher. * Durée de traitement La durée de traitement est de 2 à 5 jours. Si l'insomnie persiste plus de 5 jours, le traitement doit être réévalué. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Recommandation(s) |
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* Incompatibilités Aucune information recensée. * Mode d'emploi, instructions concernant la manipulation Aucune information recensée. |
Voie(s) d'administration |
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Modalité(s) |
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* Mode d'administration Une seule prise par jour le soir, 15 à 30 minutes avant le coucher. * Mode d'administration (Cf. Notice) Ce médicament s'administre par voie orale. Avalez le comprimé 15 à 30 minutes avant de vous coucher, en vous aidant au besoin d'un verre d'eau. * Symptômes et instructions en cas de surdosage (Cf. Notice) Si vous avez pris plus dece médicament que vous n'auriez dû : En cas de prise d'une dose excessive de médicament, appelez immédiatement votre médecin ou le centre anti-poisons de votre région. * Risque de syndrome de sevrage (Cf. Notice) Si vous arrêtez de prendre ce médicament : Un arrêt brutal après prise prolongée ou à forte dose peut entraîner l'apparition d'un phénomène de sevrage (insomnie, anxiété, irritabilité). |
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Référence(s) officielle(s) |
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Terrain N° 1 | ENFANT |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | NOURRISSON |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | NOUVEAU-NE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | INSUFFISANCE RESPIRATOIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | GLAUCOME A ANGLE FERME |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | TROUBLE URETROPROSTATIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | RETENTION URINAIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | AGRANULOCYTOSE
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Niveau(x) |
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Antécédent d'agranulocytose à d'autres phénothiazines. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Réservé à l'adulte. Ce médicament est contre-indiqué en cas de : - Insuffisance respiratoire. - Risque de glaucome par fermeture de l'angle. - Risque de rétentions urinaires liées à des troubles urétroprostatiques. - Hypersensibilité aux antihistaminiques, ou aux autres constituants du produit. - Antécédent d'agranulocytose à d'autres phénothiazines. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 23/09/2010 |
Terrain N° 10 | MYASTHENIE |
Niveau(x) |
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Ce médicament peut être utilisé si il est vraiment nécessaire, mais sous étroite surveillance et avec précaution chez les patients souffrant de myasthénie. Réf. : Association Française contre les Myopathies (juin 1994). Réf. : Tables d'utilisation des médicaments - 4ème éd - Edition Frison-Roche. 1998 : 396-403. |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | PORPHYRIE HEPATIQUE
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Niveau(x) |
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La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques. La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes. Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement. Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés. Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets. Il ne faut pas prescrire ou administrer un médicament interdit sans une forte indication médicale et bien évaluer le rapport bénéfice/risque pour le patient. En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries. |
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Référence(s) officielle(s) | |
CIM 10 |
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Terrain N° 12 | PORPHYRIE CUTANEE |
Niveau(x) |
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La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques. La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes. Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement. Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés. Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets. Il ne faut pas prescrire ou administrer un médicament interdit sans une forte indication médicale et bien évaluer le rapport bénéfice/risque pour le patient. En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries. |
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Référence(s) officielle(s) | |
CIM 10 |
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Terrain N° 13 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Ce médicament est contre-indiqué en cas d'hypersensibilité à un produit de la classe des phénothiazines. | |
CIM 10 |
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Terrain N° 14 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Ce médicament est contre-indiqué en cas d'hypersensibilité à un produit de la classe des carbamates. Réf. : Rectificatif AMM européenne du 14/04/2023 d'EXELON |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Ce médicament est contre-indiqué en cas d'hypersensibilité à la classe des antihistaminiques. | |
CIM 10 |
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Terrain N° 1 | APNEE DU SOMMEIL SYNDROME |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | SUJET AGE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | INSUFFISANCE HEPATIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | SYNDROME MALIN DES NEUROLEPTIQUES |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | CONSTIPATION |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | ILEUS PARALYTIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | INTERACTION D'ORIGINE ALIMENTAIRE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | MYASTHENIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | PORPHYRIE HEPATIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | PARKINSON MALADIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | INSUFFISANCE CARDIAQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | ATTEINTE CARDIOVASCULAIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | EPILEPSIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 16 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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* Mises en garde spéciales -> Liées au diagnostic L'insomnie peut avoir des causes variées ne nécessitant pas obligatoirement la prise de médicament. La cause de l'insomnie doit être si possible identifiée, et les éventuels facteurs sous-jacents traités. La persistance de l'insomnie après 5 jours de ce traitement peut indiquer une pathologie sous-jacente, et le traitement devra être réévalué. -> Syndrome d'apnée du sommeil Le méprobamate et l'acéprométazine, comme tout produit sédatif, sont susceptibles d'aggraver un syndrome d'apnée du sommeil préexistant (augmentation du nombre et de la durée des apnées). -> Risque d'accumulation Comme tous les médicaments, le méprobamate et l'acéprométazine persistent dans l'organisme pour une période de l'ordre de 5 demi-vies (Cf. "Propriétés pharmacocinétiques"). Chez des personnes âgées ou souffrant d'insuffisance rénale ou hépatique, la demi-vie peut s'allonger considérablement. Lors de prise répétées, le médicament ou ses métabolites atteignent le plateau d'équilibre beaucoup plus tard et à un niveau beaucoup plus élevé. Ce n'est qu'après l'obtention d'un plateau d'équilibre qu'il est possible d'évaluer à la fois l'efficacité et la sécurité du médicament. Une adaptation posologique peut être nécessaire (Cf. Posologies et mode d'administration"). -> Liée à la présence de méprobamate Un syndrome de sevrage peut survenir à l'arrêt brutal d'un traitement prolongé, surtout à dose élevée. Il est donc recommandé de réduire progressivement les doses ou, en cas d'arrêt brutal, de surveiller attentivement le malade. -> Liée à la présence d'acéprométazine En cas d'hyperthermie, il est impératif de suspendre le traitement ; cette hyperthermie peut en effet être l'un des éléments du syndrome malin (pâleur, hyperthermie, troubles végétatifs) qui a été décrit avec les neuroleptiques. -> Mises en garde concernant le sujet âgé Ce médicament est déconseillé chez le sujet âgé particulièrement chez le sujet de plus de 75 ans, en raison du risque de sédation et/ou de sensations vertigineuses qui peuvent favoriser les chutes (par exemple en cas de lever nocturne), avec des conséquences souvent graves dans cette population. * Précautions d'emploi -> Communes aux deux composants de l'association : - L'action sédative peut être potentialisée par l'administration de tout autre dépresseur du SNC (en particulier par l'alcool, les hypnotiques, les opiacés). - Sujet âgé, insuffisant rénal ou hépatique : On observe une augmentation des concentrations plasmatiques et une diminution de la clairance plasmatique. Il est recommandé de diminuer la posologie (risque majoré de sédation et d'hypotension). Par ailleurs, ce médicament est à utiliser avec prudence en cas de constipation chronique (risque d'iléus paralytique) - L'absorption de boissons alcoolisées est formellement déconseillée pendant la durée du traitement. -> Autres précautions d'emploi - Liées au méprobamate : . Myasthénie : une surveillance accrue sera nécessaire. . A éviter en cas de porphyrie aiguë intermittente. - Liées à l'acéprométazine : A utiliser avec prudence : . chez les parkinsoniens, . en cas d'insuffisance hépatique . l'acéprométazine doit être utilisé avec prudence chez les patients porteurs de certaines affections cardiovasculaires, en raison des effets quinidiniques, tachycardisants et hypotenseurs des phénothiazines. . la surveillance (clinique et éventuellement électrique) doit être renforcée chez les épileptiques en raison de la possibilité d'abaissement du seuil épileptogène par les phénothiazines. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 23/09/2010 |
Terrain N° 17 | EXPOSITION A UNE TEMPERATURE EXTREME |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 18 | EXPOSITION A UNE TEMPERATURE EXTREME |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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- Potentialisation des effets des dépresseurs centraux et des dépresseurs neuromusculaires (propriétés communes). - Potentialisation des effets des hypotenseurs et des antihypertenseurs. - Prendre en compte l'addition des effets atropiniques (Cf. rubrique "Effets indésirables") en cas d'association avec d'autres substances anticholinergiques (autres neuroleptiques, antihistaminiques, antiparkinsoniens, anticholinergiques, antispasmodiques atropiniques, disopyramide, antidépresseurs imipraminiques). - Consommation d'alcool : ?association déconseillée. Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool. Majoration par l'alcool de l'effet sédatif du méprobamate et de l'acéprométazine. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. |
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Référence(s) officielle(s):  Rectificatif AMM française 23/09/2010 |
Effet spécialité |
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Niveau(x) de risque |
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Compte tenu des données disponibles, il est préférable, par mesure de prudence d'éviter d'utiliser l'association acéprométazine/méprobamate au cours de la grossesse quel qu'en soit le terme. En cas de traitement en fin de grossesse, tenir compte du profil d'effets indésirables du médicament pour la surveillance du nouveau-né. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM française 23/09/2010 |
Recommandations |
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Aucune information recensée. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM française 23/09/2010 |
Passage dans le lait | Oui |
Fixation protéique | Pas d'information |
Rapport concentration lait/plasma maternels | Pas d'information |
Concentration dans 100 ml de lait maternel | Pas d'information |
Recommandations |
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A éviter en raison du passage dans le lait maternel. |
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Référence(s) officielle(s): | Rectificatif AMM française 23/09/2010 |
Recommandations |
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Prévenir les conducteurs de véhicules et utilisateurs de machines du risque possible de somnolence diurne attaché à l'emploi de ce médicament, surtout en début de traitement. Ce phénomène est accentué par la prise de boissons alcoolisées ou de médicaments contenant de l'alcool (Cf. "Intéractions avec d'autres médicaments et autres formes d'intéractions"). Si la durée du sommeil est insuffisante, le risque d'altération de la vigilance est encore accru. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 23/09/2010 |
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
Site internet: www.ansm.sante.fr.
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