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Voie(s) d'administration : |
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Forme(s) pharmaceutique(s) : |
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Solution injectable. |
Référence(s) bibliographique(s) : |
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Excipient(s) |
pH de la spécialité : 5,0 A 5,6 |
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Précision(s) composition : |
Immunoglobuline humaine de l'hépatite B Un ml contient : Immunoglobuline humaine de l'hépatite B 500 UI (pureté d'au moins 96 % d'IgG). Chaque seringue préremplie de 1 ml de solution contient 150 mg de protéine humaine, avec une teneur en anticorps dirigés contre l'antigène de surface du virus de l'hépatite B (HBs) de 500 UI. Répartition des sous–classes d'IgG (valeurs approximatives) : IgG1 : 59 % IgG2 : 35 % IgG3 : 3 % IgG4 : 3 % La teneur maximale en IgA est de 6000 microgrammes/ml. Produit à partir de plasma de donneurs humains. * Liste des excipients Glycine Eau pour préparations injectables |
Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM européenne 04/03/2022
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Aucune DDD attribuée |
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Classe pharmacothérapeutique : immunsérums et immunoglobulines, immunoglobulines spécifiques, immunoglobuline de l'hépatite B, code ATC : J06BB04 L'immunoglobuline de l'hépatite B contient principalement des immunoglobulines G (IgG) avec une teneur élevée en anticorps spécifiques dirigés contre l'antigène de surface du virus de l'hépatite B (HBs). * Efficacité et sécurité clinique L'essai clinique prospectif, ouvert, à 1 bras a inclus 23 receveurs de greffes du foie qui avaient reçu une prophylaxie par administration intraveineuse d'immunoglubuline de l'hépatite B et qui sont passés ensuite à l'administration sous-cutanée de ce médicament. La dose sous-cutanée hebdomadaire était de 500 UI pour les patients ayant un poids corporel < 75 kg (une augmentation de la dose jusqu'à 1000 UI était autorisée si celle-ci était nécessaire sur le plan médical afin de maintenir un taux de sécurité > 100 UI) et de 1000 UI pour les patients ayant un poids corporel > ou = 75 kg. 2 patients ont reçu une dose supérieure et 2 autres patients ont reçu une dose inférieure à celles recommandées par le schéma posologique basé sur le poids corporel. Des taux sériques minimaux d'anti-HBs de 100 UI/litre et plus (critère principal d'efficacité) ont été maintenus chez tous les patients pendant les 18 à 24 semaines de l'essai. La marge de sécurité de > 100 UI/litre est le taux généralement admis pour une prévention efficace de la réinfection par le VHB chez les patients transplantés hépatiques à risque. Aucun patient n'a présenté de réinfection par le VHB. L'auto-administration était réalisable pour la plupart des patients. Les taux moyens sériques d'anti-HBs avant le changement étaient de 393 +/- 139 UI/litre. Tous les patients ont reçu un médicament antiviral. En utilisant la méthode de Clopper et Pearson, le taux d'échec obtenu après 18 semaines a été de 0 % pour les patients de la population en intention de traiter (IC à 95 % : 0-14,8 %). Un taux d'échec de 0 % a également été constaté pour la phase d'extension facultative (semaine 24) (IC à 95 % : 0-20,6 %). L'essai clinique ouvert, prospectif, à bras unique avait pour objectif d'évaluer la faisabilité de l'auto-administration à domicile (y compris l'observance), l'efficacité et la sécurité de l'administration sous-cutanée de ce médicament au sein d'une population de patients stables au cours d'un traitement à long terme pour la prévention de la réinfection d'un foie transplanté chez 66 patients. Tous les patients inclus dans cette étude devait suivre une période de formation d'au moins 29 jours et l'auto-administration à domicile pouvait débuter au plus tôt au 36ème jour. A l'exception de 6 patients qui se sont retirés avant le 36ème jour, tous les patients ont réussi à pratiquer l'auto-administration à l'hôpital et à domicile jusqu'au terme de la période de traitement. Aucun patient n'a quitté prématurément l'étude en raison d'un manque de faisabilité de l'auto-administration à domicile. Pendant les 48 semaines de la phase de traitement, des taux sériques constants d'anticorps anti-HBs > ou = 100 UI/litre ont été mesurés chez tous les patients à chaque évaluation, avec des valeurs moyennes de 312,0 +/- 103,5 UI/litre à la fin de la période de traitement. Au total, 53/66 patients (80,3 %) ont reçu un traitement antiviral et 13 patients ont reçu une monothérapie par ce médicament pendant cette étude. Aucune réinfection par l'hépatite B n'a été signalée et aucun patient n'a été testé positif à l'AgHBs pendant la période de traitement de 48 semaines. Aucun effet indésirable grave n'a été signalé en lien avec le traitement de l'étude. Aucun décès n'a été observé au cours de l'étude. L'objectif de l'étude clinique réalisée en ouvert, prospective, à bras unique, était d'évaluer l'efficacité et la sécurité de ce médicament pour la prévention d'une réinfection par le virus de l'hépatite B (VHB) survenant au moins une semaine après une transplantation hépatique orthotopique chez des patients négatifs pour l'Ag HBs et l'ADN du VHB. Au moment de la transplantation, 21 patients (42,9 %) ont présenté un test positif pour le VHD, les patients positifs pour le VIH ou le VHC étant exclus de l'étude. Quarante-neuf (49) patients ont reçu des injections sous-cutanées de ce médicament de 500 UI (1 ml) ou 1000 UI (2 ml) (dans des cas exceptionnels, adaptation de la dose jusqu'à 1500 UI) chaque semaine ou toutes les deux semaines, en fonction des taux sériques résiduels d'anti-HBs. La durée du traitement individuel par patient était prévue pour être de maximum 24 semaines après la transplantation. Aucun échec du traitement n'a été relevé pendant les 6 mois de l'étude. Des concentrations sériques d'anticorps HBs supérieures aux taux résiduels minimaux de sécurité (c.-à-d. taux > ou = 100 UI/litre) ont été mesurées chez tous les patients à tous les points temporels, indépendamment du type d'administration (par l'investigateur, le soignant ou en auto-injection), du schéma posologique (500 UI, 1000 UI, 1500 UI) ou des intervalles entre les administrations. Aucun signe clinique de réinfection par le virus de l'hépatite B n'a été observé et aucun patient n'a présenté un test positif pour l'Ag HBs ou l'ADN du VHB au cours de l'étude, ce qui confirme qu'une protection efficace contre la réinfection par le virus de l'hépatite B était conférée par l'administration sous-cutanée de ce médicament dans le cadre du traitement combiné par agents virostatiques contre le VHB, 8 à 18 jours après la transplantation hépatique orthotopique. Un effet indésirable non grave a été signalé et associé au traitement par ce médicament (hématome au site d'injection). Aucun cas fatal n'a été observé pendant l'étude. L'étude de sécurité post-AMM non interventionnelle (PASS 978) a recruté 61 patients adultes ayant béneficié, 6 mois auparavant, d'une transplantation de foie due à une insuffisance hépatique induite par l'hépatite B. L'étude avait pour objectif d'évaluer le niveau d'observance chez des patients utilisant ce médicament par voie sous-cutanée en auto-administration à domicile dans le cadre d'une prévention de la réinfection par l'hépatite B. Les patients devaient être traités par ce médicament conformément aux informations et à la posologie indiquées dans le RCP. L'observance a pu être établie sur la base des taux sériques d'anti-HBs mesurés chez 57 patients (sur 61) (93 %) pour lesquels aucune valeur n'a été inférieure à 100 UI/litre avec un taux sérique moyen d'anti-HBs mesuré à la dernière visite de 254,3 UI/litre. Au total, 42/61 patients (68,9 %) ont reçu un traitement antiviral et 19 patients ont reçu une monothérapie par ce médicament pendant cette étude. Aucun échec thérapeutique, défini sur la base de taux positifs d'ADN du VHB et d'AgHBs, n'a été observé sur l'ensemble de la période d'étude. Aucune réinfection n'a été observée. Aucun effet indésirable grave n'a été signalé. Aucun décès n'a été observé au cours de l'étude. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 04/03/2022 |
Virus | Résistance |
VIRUS HEPATITE B |
Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 04/03/2022
* Distribution Ce médicament est absorbé lentement dans la circulation du receveur et atteint sa concentration maximum au bout de 2 à 7 jours. * Biotransformation Les IgG et les complexes IgG sont dégradés dans le système réticulo-endothélial. * Elimination Ce médicament a une demi-vie d'environ 3 à 4 semaines. Cette demi-vie peut varier d'un patient à l'autre. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 04/03/2022 |
Les immunoglobulines sont des constituants naturellement présents dans le corps humain. Par conséquent, les études de toxicité réalisées sur des espèces hétérologues ne sont pas pertinentes. Dans un essai de tolérance locale mené sur des lapins, aucune irritation attribuable à ce médicament n'a été mise en évidence. Aucun autre essai non-clinique n'a été réalisé. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 04/03/2022 |
Ce médicament est d'origine biologique et ne peut donc pas être prescrit en dénomination commune.
Spécialité(s) génériques Thériaque | Type | Prix |
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ZUTECTRA 500UI/1ML INJ SER 1ML SC | ||
Comparer prix |
Groupe générique(s) : Néant |
Spécialité(s) générique(s) ansm et date(s) d'application : Néant |
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ZUTECTRA (EPAR) 2015 |
MDS TENSION APPROV ALTERNATIVES 2018 | |
GUIDE IMMUNISATION POST EXPO HCSP 2016 | |
ZUTECTRA RUPTURE 2015 | |
ZUTECTRA SYNTHESE D'AVIS 2011 |
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* Conditions de prescription et de délivrance Liste I. Médicament soumis à prescription hospitalière. * Rétrocession - Arrêté du 29 juillet 2011 modifiant l'arrêté du 17 décembre 2004 modifié fixant la liste prévue à l'article L. 5126-4 du code de la santé publique (JO du 05/08/2011). |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 04/03/2022 | |
Code UCD13 : | 3400893736715 |
Code UCD7 : | 9373671 |
Code identifiant spécialité : | 6 552 707 1 |
Laboratoire(s) titulaire(s) AMM: |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 04/03/2022 | |
Laboratoire(s) exploitant(s) : |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 04/03/2022 | |
Code CIP13 | 3400957875718 |
Code CIP7 | 5787571 |
Commercialisation | Disponible : OUI depuis le 01/06/2012 |
Agrément collectivités/date JO | Oui le 03/01/2012 |
Radiation collectivités/date JO | Non |
Présentation réservée à l'hôpital | Oui |
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD) |
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Conditionnement primaire | 5 SERINGUE(S) PREREMPLIE(S) contenant 1 ML (1) |
Matériau(x) |
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Caractéristique(s) du conditionnement primaire |
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* Nature et contenu de l'emballage extérieur |
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Présentation unitaire | OUI |
Référence(s) bibliographique(s) | |
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Conditions de délivrance |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 04/03/2022 |
Statut de la présentation |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 04/03/2022 |
1. Prix en officine ville | |
Prix de cette présentation (CIP)/date JO | non concerné |
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) | Non concerné |
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur) | |
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) | 200 euros HT le 04/01/2012 |
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) | Non concerné |
1. Ville | |
Taux de remboursement |
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2. Hôpital (Rétrocession - vente au public) | |
Taux de remboursement |
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- Arrêté du 29 décembre 2011 relatif aux conditions de prise en charge de spécialités pharmaceutiques disposant d'une autorisation de mise sur la marché inscrites sur la liste visée à l'article L. 5126-4 du code de la santé publique (JO du 03 janvier 2012). |
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Statut(s) du remboursement |
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SMR spécifique de cette présentation | NON |
Modalité(s) de dispensation |
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* Rétrocession |
Durée(s) et condition(s) de conservation |
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* Durée de conservation |
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Conditions de conservation après reconstitution, dilution ou ouverture
* Durée de conservation |
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Référence(s) officielles(s) : Rectificatif AMM européenne 04/03/2022 |
HEPATITE VIRALE B
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Ce médicament est indiqué dans la prévention de la réinfection par le virus de l'hépatite B (VHB) chez les patients adultes négatifs pour l'Ag HBs et l'ADN du VHB au moins une semaine après transplantation hépatique en raison d'une insuffisance hépatique induite par une hépatite B. Les résultats de tests effectués au moins 3 mois avant la THO doivent avoir confirmé que les patients sont négatifs pour l'ADN du VHB, et ces patients doivent être négatifs pour l'Ag HBs avant le début du traitement. L'utilisation concomitante d'agents virostatiques adéquats doit être envisagée comme prophylaxie standard de la réinfection par le virus de l'hépatite B. |
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SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 16/11/2011 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 04/03/2022 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | de 500 UI/ADMINISTRATION à 1000 UI/ADMINISTRATION |
Fréquence | de 1 /2 SEMAINES à 1 /SEMAINE |
Durée de traitement |
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Posologie MAXIMALE | |
Dose | 1500 UI/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /SEMAINE |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Chez les adultes négatifs pour l'ADN du VHB au moins une semaine après la transplantation hépatique, injections sous-cutanées de ce médicament, chaque semaine ou toutes les deux semaines, en fonction des taux sériques résiduels d'anti-HBs. Avant l'instauration du traitement sous-cutané par ce médicament, les taux sériques d'anti-HBs doivent être stabilisés à un niveau adéquat par une immunoglobuline de l'hépatite B administrée par voie intraveineuse jusqu'à atteindre un taux supérieur ou égal à 300–500 UI/litre afin d'assurer la couverture en anti-HBs adéquate pendant la transition de l'administration intraveineuse à l'administration sous-cutanée. Les taux d'anticorps doivent être maintenus > 100 UI/litre chez les patients négatifs pour l'ADN du VHB et l'Ag HBs. La dose peut être déterminée de manière individuelle et adaptée à partir d'injections sous-cutanées de 500 UI et jusqu'à 1000 UI/semaine (dans des cas exceptionnels, jusqu'à 1500 UI), administrées chaque semaine ou toutes les deux semaines, en fonction des concentrations sériques d'anti–HBs et selon l'estimation du médecin responsable du traitement. Des taux d'anticorps > 100 UI/litre doivent être maintenus. Les taux sériques d'anticorps anti-HBs des patients doivent être surveillés régulièrement. Les taux sériques d'anticorps anti-HBs doivent être mesurés au moins toutes les 2 à 4 semaines, selon l'estimation du médecin responsable du traitement, pendant au moins six mois. * Population pédiatrique Il n'y a pas d'indication spécifique pour l'utilisation de ce médicament chez les enfants âgés de moins de 18 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Modalité(s) |
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* Mode d'administration Voie sous-cutanée exclusivement. Précautions à prendre avant la manipulation ou l'administration du médicament L'injection du médicament par le patient ou par un soignant dans le cadre d'un traitement à domicile nécessite un apprentissage assuré par un médecin expérimenté dans la formation des patients pour le traitement à domicile. Le patient ou le soignant recevra des instructions sur les techniques d'injection, la manière de remplir le journal de traitement et les mesures à prendre en cas d'événements indésirables graves. Une période de surveillance suffisante avec des taux sériques minimaux stables d'anti-HBs > 100 UI/litre, ainsi qu'un schéma posologique fixe sont nécessaires : le schéma de contrôle des taux sériques d'anti-HBs des patients (voir rubrique "Posologie") doit être scrupuleusement respecté. En outre, le patient ou le soignant doit respecter la technique d'injection et le schéma posologique afin d'assurer des taux sériques minimaux d'anti-HBs > 100 UI/litre après des périodes prolongées entre les contrôles des taux. * Comment utiliser ce médicament ? (notice) Ce médicament est destiné à l'injection sous-cutanée (sous la peau). Le contenu de chaque seringue est à usage unique strict. Ne l'injectez pas dans un vaisseau sanguin. Dans la plupart des cas, l'injection vous sera administrée par votre médecin ou votre infirmier. Cependant, si vos taux d'anticorps sont suffisants et si vous recevez le traitement à dose fixe, vous ou la personne qui vous soigne pourrez être formé(e) pour effectuer l'injection à domicile (voir ci–dessous). Pour tenir le compte de vos injections de ce médicament, il est fortement recommandé d'utiliser le journal de traitement. Votre médecin vous expliquera comment l'utiliser. La dose peut être déterminée de manière individuelle et adaptée de 500 UI à 1000 UI (dans des cas exceptionnels, jusqu'à 1500 UI), administrée chaque semaine ou toutes les deux semaines. La dose utilisée dépendra de votre état de santé. Votre médecin contrôlera régulièrement votre état de santé et vous dira la quantité et la fréquence auxquelles vous devrez utiliser ce médicament. - Auto-injection ou injection par un soignant Vous pouvez procéder à l'auto-injection de ce médicament sans l'aide de votre médecin si vous avez reçu la formation nécessaire. Si vous procédez à l'auto-injection de ce médicament, veuillez lire attentivement les instructions de la rubrique "Comment procéder à l'auto-injection de ce médicament ou le faire injecter par un soignant". Ce médicament doit être amené à température ambiante (approximativement 23°C-27°C) avant utilisation. - Si vous avez utilisé plus de ce médicament que vous n'auriez dû Les conséquences d'un surdosage ne sont pas connues. Cependant, si vous avez dépassé la dose prescrite de ce médicament, demandez immédiatement conseil à votre médecin, un professionnel de santé ou à votre pharmacien. - Si vous oubliez d'utiliser ce médicament Ne prenez pas de dose double pour compenser l'injection que vous avez oubliée. Consultez votre médecin afin de régler le problème de dose. Votre médecin vous dira la quantité et la fréquence auxquelles vous devrez utiliser ce médicament. Respectez toujours la posologie de ce médicament indiquée par votre médecin et ses instructions afin d'éviter le risque de réinfection par l'hépatite B. * Comment procéder à l'auto-injection de ce médicament ou le faire injecter par un soignant (notice) Les instructions suivantes sont destinées à vous expliquer comment procéder à l'injection de ce médicament. Veuillez lire attentivement les instructions et suivre chaque étape l'une après l'autre. Le médecin ou son assistant(e) vous apprendra comment procéder à l'administration. N'essayez pas de procéder à l'injection de ce médicament avant d'être sûr(e) d'avoir compris comment préparer la solution injectable et comment procéder à l'administration de l'injection. - Informations générales . Tenez les seringues et le récipient d'élimination des seringues hors de portée des enfants ; si possible, gardez le matériel sous clef. . Essayez de procéder à l'injection à heure fixe chaque jour. Il vous sera plus facile de vous en souvenir. . Vérifiez toujours la dose par deux fois. . La solution doit être amenée à température ambiante avant utilisation. . N'ouvrez chaque seringue que lorsque vous êtes prêt(e) pour l'injection. Vous devez administrer l'injection immédiatement après ouverture de la seringue. . La couleur de la solution peut varier d'incolore à jaune pâle, et jusqu'à brun clair. N'utilisez pas la solution si elle est trouble ou contient des particules. . Ce médicament ne doit pas être mélangé à d'autres médicaments. - Avant l'injection 1. Lavez-vous les mains. Il est important que vos mains et le matériel utilisé soient aussi propres que possible. 2. Préparez tout ce dont vous avez besoin à l'avance. Choisissez une surface propre où vous pouvez déposer tout le matériel que vous allez employer : . deux tampons imbibés d'alcool, . une seringue de ce médicament, . une aiguille pour injection sous-cutanée. Attention : les tampons imbibés d'alcool et les aiguilles ne sont pas fournis dans la boîte, vous devez vous les procurer vous-même. 3. Avant de préparer l'injection, choisissez un site d'injection. Vous devez injecter ce médicament dans la couche graisseuse située entre la peau et le muscle (environ 8 à 12 mm sous la surface de la peau). Les zones les mieux adaptées à l'injection sont celles où la peau est détendue et molle, à distance des articulations, des nerfs et des os, comme par exemple le ventre, le bras, la cuisse ou la fesse. Important : ne faites pas l'injection sur une zone où vous sentez une grosseur, une boule, de petites masses dures, une douleur, ou sur une zone de peau décolorée, présentant des éraflures, des croûtes ou des plaies ouvertes. Si vous remarquez ce genre d'anomalies, parlez-en au médecin ou à un professionnel de santé. Changez de site d'injection à chaque injection. Si vous avez de la peine à atteindre l'une ou l'autre de ces régions, demandez l'aide d'un soignant pour effectuer l'injection. 4. Préparez la seringue de ce médicament . Sortez la seringue de la boîte. . Examinez soigneusement la solution. Elle doit être limpide et exempte de particules. Si la solution est décolorée, trouble ou si elle contient des particules, jetez-la et répétez l'opération avec une nouvelle seringue. . Enlevez le capuchon protecteur de la seringue. . Sortez l'aiguille de son emballage stérile et mettez l'aiguille en place sur la seringue. 5. Eliminez toute bulle d'air éventuellement présente dans la seringue. . Tenez la seringue avec la pointe de l'aiguille dirigée vers le haut et tapotez doucement sur la seringue jusqu'à ce que tout l'air monte à la surface de la solution. Enfoncez le piston avec précaution jusqu'à ce que les bulles d'air aient disparu. - Injection 1. Choisissez le site d'injection et notez-le dans le journal de traitement. Abdomen (ventre) : ne faites pas l'injection à moins de 2,5 cm du nombril. Evitez la région de la ceinture, car le frottement peut irriter le site d'injection. Evitez les cicatrices chirurgicales. Le ventre est probablement l'endroit le plus facile à atteindre si vous procédez à l'injection vous-même. Cuisses : utilisez la face antérieure et externe où vous pouvez pincer la peau. Plus vous vous approchez de la anche (plus vous vous éloignez du genou), plus vous avez de chance de trouver du tissu adipeux. Bras : la face postérieure (arrière) du haut du bras doit être utilisée. Il est difficile de saisir le tissu et de procéder vous-même à l'injection de ce médicament en utilisant ce site. Si vous choisissez tout de même de procéder vous-même à l'injection dans votre bras, essayez de pincer la peau en appuyant le haut de votre bras contre le dos d'une chaise ou contre un mur. Il est beaucoup plus facile pour quelqu'un d'autre d'utiliser ce site si vous avez besoin d'aide. Fesses : utilisez toute région où vous pouvez pincer la peau. Il est plus difficile de procéder vous-même à l'injection dans cette région. En vous plaçant devant un miroir, essayez de localiser le site ou bien demandez à la personne qui vous donne des soins de faire l'injection. Il est important d'alterner les sites d'injection (rotation). Cette rotation contribuera au maintien d'une peau souple et à l'absorption uniforme du médicament. Un cycle de rotation consiste à commencer par un certain site puis à utiliser tous les autres sites avant de revenir au premier site utilisé. Ensuite, vous recommencez un cycle de rotation. Afin d'éviter tout problème, il peut être utile de noter le site où vous avez procédé à la dernière injection. L'administration dans la cuisse est montrée ci-dessous à titre d'exemple: 2. Désinfectez le site d'injection choisi avec un tampon imbibé d'alcool. Laissez sécher la peau à l'air. 3. Pincez délicatement la peau entourant le site d'injection désinfecté (afin de la surélever un peu) et, d'un mouvement rapide et assuré, enfoncez l'aiguille dans la peau avec un angle de 45 à 90 degrés. Injectez le médicament sous la peau comme vous l'a montré le médecin ou l'infirmier. 4. Injectez le liquide en appuyant délicatement sur le piston. Prenez tout le temps nécessaire pour injecter la solution jusqu'à ce que la seringue soit vide. 5. Ensuite, retirez l'aiguille de la peau immédiatement et relâchez la peau. 6. Massez le site d'injection avec un tampon imbibé d'alcool en effectuant un mouvement circulaire. - Elimination du matériel utilisé Lorsque l'injection est terminée, jetez sans attendre toutes les aiguilles et tous les récipients en verre vides dans le récipient destiné à recevoir les déchets pointus. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Terrain N° 1 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | IMMUNISATION
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | MODE D'ADMINISTRATION PARTICULIER
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | ADULTE JEUNE (15-17 ANS)
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Niveau(x) |
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Il n'y a pas d'indication spécifique pour l'utilisation de ce médicament chez les enfants âgés de moins de 18 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | ENFANT |
Niveau(x) |
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Il n'y a pas d'indication spécifique pour l'utilisation de ce médicament chez les enfants âgés de moins de 18 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | NOURRISSON |
Niveau(x) |
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Il n'y a pas d'indication spécifique pour l'utilisation de ce médicament chez les enfants âgés de moins de 18 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | NOUVEAU-NE |
Niveau(x) |
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Il n'y a pas d'indication spécifique pour l'utilisation de ce médicament chez les enfants âgés de moins de 18 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique "Composition" ou aux immunoglobulines humaines. En particulier, dans les très rares cas de déficit en IgA lorsque le patient devant recevoir le traitement présente des anticorps anti-IgA. Ce médicament ne doit pas être administré par voie intravasculaire. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 04/03/2022 |
Terrain N° 1 | DEFICIT IMMUNITAIRE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | EXAMEN LABORATOIRE INTERFERENCE
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Niveau(x) |
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Après l'injection d'immunoglobuline, l'élévation transitoire des taux de divers anticorps transférés passivement dans le sang du patient peut entraîner des résultats faux positifs aux tests sérologiques. La transmission passive d'anticorps dirigés contre les antigènes érythrocytaires, p. ex. A, B, D, peut interférer avec certains tests sérologiques ciblant les anticorps érythrocytaires, par exemple le test direct à l'antiglobuline (TDA, test de Coombs direct). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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- Traçabilité Afin d'améliorer la traçabilité des médicaments biologiques, le nom et le numéro de lot du produit administré doivent être clairement enregistrés. Cette recommandation s'applique également à la consignation des informations dans le journal du traitement pendant l'auto-administration du médicament dans le cadre d'un traitement à domicile. Il convient de s'assurer que ce médicament n'est pas administré dans un vaisseau sanguin, à cause du risque de choc. Si le receveur est porteur d'AgHBs, l'administration de ce médicament n'apportera aucun bénéfice. Il n'existe pas de données concernant l'efficacité de la prophylaxie post-exposition. - Hypersensibilité Les réactions d'hypersensibilité réelle sont rares. Ce médicament contient une petite quantité d'IgA (voir rubrique "Composition"). Les personnes qui présentent un déficit en IgA peuvent potentiellement développer des anticorps anti-IgA et présenter des réactions anaphylactiques après administration de composants sanguins contenant des IgA. Le médecin doit par conséquent soupeser les bénéfices du traitement par ce médicament en regard du risque potentiel de réaction d'hypersensibilité. Dans de rares cas, l'immunoglobuline humaine contre l'hépatite B peut induire une baisse de la pression artérielle accompagnée d'une réaction anaphylactique, même chez les patients ayant toléré un traitement antérieur par immunoglobuline humaine. Les complications potentielles peuvent souvent être évitées si l'on s'assure que les patients : . ne sont pas sensibles à l'immunoglobuline humaine normale en injectant lentement le produit au début ; . sont étroitement surveillés afin de déceler tout symptôme durant l'injection. En particulier, les patients n'ayant jamais reçu d'immunoglobulines humaines normales (patients naïfs), les patients traités auparavant par un autre produit ou ayant reçu leur injection précédente depuis un long moment, doivent être placés sous surveillance pendant la première injection et pendant la première heure suivant la première injection afin de déceler tout signe potentiel de réaction indésirable. Tous les autres patients doivent être surveillés durant au moins les 20 minutes suivant l'administration. La suspicion de réactions de type allergique ou anaphylactique impose l'arrêt immédiat de l'injection. En cas de choc, un traitement médical standard du choc doit être instauré. - Interférence avec les tests sérologiques Après l'injection d'immunoglobuline, l'élévation transitoire des taux de divers anticorps transférés passivement dans le sang du patient peut entraîner des résultats faux positifs aux tests sérologiques. La transmission passive d'anticorps dirigés contre les antigènes érythrocytaires, p. ex. A, B, D, peut interférer avec certains tests sérologiques ciblant les anticorps érythrocytaires, par exemple le test direct à l'antiglobuline (TDA, test de Coombs direct). - Agents transmissibles Les mesures standard de prévention des infections résultant de l'utilisation de médicaments préparés à partir de sang ou de plasma humains comprennent la sélection des donneurs, la recherche des marqueurs spécifiques d'infection sur chaque don et sur les pools de plasma et l'inclusion dans le procédé de fabrication d'étapes efficaces d'inactivation/d'élimination virale. Cependant, l'éventualité de la transmission d'agents infectieux ne peut être entièrement exclue dans le cas de l'administration de médicaments issus de sang ou de plasma humains. Ceci s'applique également aux virus inconnus ou émergents et à d'autres types d'agents pathogènes. Les mesures prises sont considérées comme efficaces contre des virus enveloppés tels que le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), le virus de l'hépatite B (VHB) et le virus de l'hépatite C (VHC) et contre le virus de l'hépatite A non enveloppé. Les mesures prises peuvent être d'une efficacité limitée contre des virus non enveloppés tels que le parvovirus B19. Une expérience clinique rassurante tend à confirmer que le virus de l'hépatite A ou le parvovirus B19 ne sont pas transmis avec les immunoglobulines et il semble également que la teneur en anticorps contribue largement à la sécurité virale. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 04/03/2022 |
Terrain N° 4 | EXPOSITION A UNE TEMPERATURE EXTREME |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 1 |
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Niveau(x) |
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La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques. La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes. Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement. Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés. Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets. Le médicament de première intention pour un porteur de porphyrie hépatique aigüe est toujours celui classé comme autorisé. En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries. |
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CIM10 |
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Terrain N° 2 |
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Niveau(x) |
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La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques. La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes. Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement. Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés. Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets. Le médicament de première intention pour un porteur de porphyrie hépatique aigüe est toujours celui classé comme autorisé. En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries. |
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CIM10 |
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+ Vaccins à base de virus vivants atténués L'administration d'immunoglobulines peut interférer avec le développement d'une réponse immunitaire aux vaccins à base de virus vivants atténués, tels que la rubéole, les oreillons, la rougeole et la varicelle, durant une période de 3 mois. Après administration de ce médicament, un délai d'au moins 3 mois doit être respecté avant la vaccination par des vaccins à base de virus vivants atténués. L'immunoglobuline humaine anti-hépatite B doit être administrée trois à quatre semaines après la vaccination par un vaccin à base de virus vivants atténués ; au cas où l'administration d'immunoglobuline humaine anti-hépatite B serait indispensable dans les trois à quatre semaines qui suivent la vaccination, une revaccination doit être effectuée trois mois après administration de l'immunoglobuline humaine anti-hépatite B. |
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Référence(s) officielle(s):  Rectificatif AMM européenne 04/03/2022 |
Effet spécialité |
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Niveau(x) de risque |
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* Grossesse La sécurité d'emploi de ce médicament durant la grossesse chez la femme n'a pas été établie par des études cliniques contrôlées et le produit ne doit donc être administré qu'avec précaution aux femmes enceintes. L'expérience clinique acquise concernant les immunoglobulines suggère qu'aucun effet préjudiciable n'est à craindre sur le déroulement de la grossesse, le foetus ou le nouveau-né. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 04/03/2022 |
Recommandations |
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* Fertilité Aucune étude n'a été menée concernant la fertilité (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 04/03/2022 |
Passage dans le lait | Oui |
Fixation protéique | Pas d'information |
Rapport concentration lait/plasma maternels | Pas d'information |
Concentration dans 100 ml de lait maternel | Pas d'information |
Recommandations |
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* Allaitement La sécurité d'emploi de ce médicament durant l'allaitement n'a pas été établie par des études cliniques contrôlées et le produit ne doit donc être administré qu'avec précaution aux femmes allaitantes. |
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Référence(s) officielle(s): | Rectificatif AMM européenne 04/03/2022 |
Recommandations |
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L'immunoglobuline de l'hépatite B n'a aucun effet ou qu'un effet négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 04/03/2022 |
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
Site internet: www.ansm.sante.fr.
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