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Voie(s) d'administration : |
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Référence(s) bibliographique(s) : |
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Excipient(s) |
Précision(s) composition : |
Chaque comprimé contient 5 mg d'ulipristal acétate. |
Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM européenne 27/05/2015
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Classe pharmacothérapeutique : HORMONES SEXUELLES ET MODULATEURS DE LA FONCTION GENITALE, MODULATEURS DES RECEPTEURS DE LA PROGESTERONE. Code ATC : G03XB02. L'ulipristal acétate est un modulateur synthétique sélectif des récepteurs de la progestérone actif par voie orale, caractérisé par un effet antagoniste partiel de la progestérone sur des tissus spécifiques. - Endomètre L'ulipristal acétate exerce un effet direct sur l'endomètre. Lorsque l'administration quotidienne d'une dose de 5 mg débute au cours d'un cycle menstruel, la plupart des sujets (y compris les patientes souffrant d'un myome) mèneront à terme leur première menstruation mais n'auront plus de règles jusqu'à l'arrêt du traitement. Quand le traitement par ulipristal acétate est arrêté, les cycles menstruels ré-apparaissent généralement dans les 4 semaines. L'action directe sur l'endomètre se traduit par des changements histologiques, spécifiques à la classe pharmacothérapeutique, appelés PAEC. Typiquement, l'aspect histologique est celui d'un épithélium inactif et faiblement prolifératif, associé à une asymétrie stromale et à une croissance épithéliale résultant en des glandes kystiques dilatées et proéminentes, avec des effets combinés estrogéniques (mitotiques) et progestatifs (sécrétoires) sur l'épithélium. Ce type histologique a été observé chez environ 60 % des patientes traitées par ulipristal acétate pendant 3 mois. Ces changements sont réversibles après l'arrêt du traitement. Ces changements ne doivent pas être confondus avec une hyperplasie endométriale. Environ 5 % des patientes en âge de procréer et présentant des saignements menstruels abondants ont une épaisseur d'endomètre supérieure à 16 mm. Chez environ 10 à 15 % des patientes traitées par ulipristal acétate, l'endomètre peut s'épaissir (> 16 mm) pendant le premier cycle de traitement de 3 mois. Dans le cas de cycles de traitement répétés, l'épaississement de l'endomètre a été moins fréquemment observé (4,9 % des patientes après le deuxième cycle de traitement et 3,5 % après le quatrième cycle de traitement). Cet épaississement disparaît après l'arrêt du traitement et le retour des règles. Si l'épaississement de l'endomètre persiste pendant les périodes sans traitement, après le retour des règles, ou au-delà des 3 mois suivant la fin du dernier cycle de traitement, une investigation selon les pratiques cliniques habituelles peut être nécessaire afin d'exclure d'autres pathologies sous-jacentes. - Fibromes L'ulipristal acétate exerce une action directe sur les fibromes, en réduisant leur taille par le biais de l'inhibition de la prolifération cellulaire et l'induction de l'apoptose. - Hypophyse Une dose quotidienne de 5 mg d'ulipristal acétate empêche l'ovulation chez la plupart des patientes, comme indiqué par le taux de progestérone maintenu à environ 0,3 ng/ml. Une dose quotidienne de 5 mg d'ulipristal acétate supprime partiellement les taux de FSH mais les taux sériques d'estradiol sont maintenus dans les limites du milieu de la phase folliculaire chez la plupart des patientes et sont comparables aux taux relevés chez les patientes sous placebo. L'ulipristal acétate n'affecte pas les taux sériques de TSH, d'ACTH ou de prolactine. - Efficacité et sécurité clinique . Utilisation pré-opératoire L'efficacité de doses fixes de 5 mg et 10 mg d'ulipristal acétate, une fois par jour, a été évaluée dans deux études de phase III, de 13 semaines, randomisées, en double aveugle, incluant des patientes avec des saignements menstruels très abondants associés à des fibromes utérins. L'étude 1 était en double aveugle et contrôlée versus placebo. Les patientes de cette étude devaient être anémiques lors de leur admission dans l'étude (Hb < 10,2 grammes/dl) et toutes les patientes étaient appelées à recevoir 80 mg de fer (Fe2+) par voie orale, en plus du produit testé. L'étude 2 était versus un comparateur actif, la leuproréline 3,75 mg, administré une fois par mois par injection intramusculaire. Dans l'étude 2, une méthode avec double placebo a été utilisée pour évaluer de manière aveugle les deux traitements. Dans les deux études, la perte de sang menstruel a été évaluée à l'aide de l'échelle d'évaluation des saignements PBAC (Pictorial Bleeding Assessment Chart). On estime qu'un score PBAC > 100 dans les 8 premiers jours des règles représente une perte excessive de sang menstruel. Dans l'étude 1, une différence statistiquement significative a été observée en faveur de l'ulipristal acétate en ce qui concerne la diminution de la perte de sang menstruel chez les patientes traitées par rapport à celles sous placebo (voir ci-dessous), ce qui s'est traduit par une correction plus rapide et plus efficace de l'anémie qu'avec le fer seul. De même, les patientes traitées par ulipristal acétate présentaient une diminution plus importante de la taille du myome, évaluée par IRM. Dans l'étude 2, la diminution de la perte de sang menstruel était comparable chez les patientes traitées par ulipristal acétate et par agoniste de la GnRH (leuproréline). La plupart des patientes traitées par ulipristal acétate ont arrêté de saigner au cours de la première semaine du traitement (aménorrhée). La taille des trois plus grands myomes a été évaluée par échographie à la fin du traitement (semaine 13) et pendant encore 25 semaines sans traitement pour les patientes n'ayant pas subi d'hystérectomie ou de myomectomie. La diminution de la taille du myome s'est généralement maintenue pendant cette période de suivi chez les patientes préalablement traitées par ulipristal acétate alors qu'une reprise de la croissance a été observée chez les patientes traitées par leuproréline. Résultats obtenus sur les critères primaires et sur une partie des critères secondaires d'efficacité dans les études de Phase III Paramètre : saignements menstruels : score PBAC médian avant traitement Etude 1 placebo N = 48 : 376 Etude 1 ulipristal acétate 5 mg/jour N = 95 : 386 Etude 1 ulipristal acétate 10 mg/jour N = 94 : 330 Etude 2 leuproréline 3,75 mg/ mois N = 93 : 297 Etude 2 ulipristal acétate 5 mg/jour N = 93 : 286 Etude 2 ulipristal acétate 10 mg/jour N = 95 : 271 Paramètre : saignements menstruels : changement médian à la semaine 13 Etude 1 placebo N = 48 : -59 Etude 1 ulipristal acétate 5 mg/jour N = 95 : -329 (*) Etude 1 ulipristal acétate 10 mg/jour N = 94 : -326 (*) Etude 2 leuproréline 3,75 mg/ mois N = 93 : -274 Etude 2 ulipristal acétate 5 mg/jour N = 93 : -268 Etude 2 ulipristal acétate 10 mg/jour N = 95 : -268 Paramètre : patientes en aménorrhée à la semaine 13 Etude 1 placebo N = 48 : 3 (6,3 %) Etude 1 ulipristal acétate 5 mg/jour N = 95 : 69 (73,4 %) (1) (*) Etude 1 ulipristal acétate 10 mg/jour N = 94 : 76 (81,7 %) (2) (*) Etude 2 leuproréline 3,75 mg/ mois N = 93 : 74 (80,4 %) Etude 2 ulipristal acétate 5 mg/jour N = 93 : 70 (75,3 %) Etude 2 ulipristal acétate 10 mg/jour N = 95 : 85 (89,5 %) Paramètre : patientes dont les saignements menstruels se sont normalisés (score PBAC < 75) en semaine 13 Etude 1 placebo N = 48 : 9 (18,8 %) Etude 1 ulipristal acétate 5 mg/jour N = 95 : 86 (91,5 %) (1) (*) Etude 1 ulipristal acétate 10 mg/jour N = 94 : 86 (92,5 %) (1) (*) Etude 2 leuproréline 3,75 mg/ mois N = 93 : 82 (89,1 %) Etude 2 ulipristal acétate 5 mg/jour N = 93 : 84 (90,3 %) Etude 2 ulipristal acétate 10 mg/jour N = 95 : 93 (97,9 %) Paramètre : changement médian du volume du myome à la semaine 13 (a) (par rapport à la valeur de base) Etude 1 placebo N = 48 : +3,0 % Etude 1 ulipristal acétate 5 mg/jour N = 95 : -21,2 % (3) (*) Etude 1 ulipristal acétate 10 mg/jour N = 94 : -12,3 % (4) (*) Etude 2 leuproréline 3,75 mg/ mois N = 93 : -53,5 % Etude 2 ulipristal acétate 5 mg/jour N = 93 : -35,6 % Etude 2 ulipristal acétate 10 mg/jour N = 95 : -42,1 % (a) Dans l'étude 1, le changement du volume total du myome, par rapport à la valeur de base, a été mesuré par IRM. Dans l'étude 2, le changement du volume des trois plus grands myomes a été mesuré par ultrasons. Les valeurs marquées (*) indiquent qu'il y a une différence significative dans les comparaisons entre l'acétate d'ulipristal et le contrôle. Celles-ci étaient toujours en faveur de l'ulipristal acétate. Valeurs p : (1) = ou < 0,001, (2) = 0,037, (3) = ou < 0,002, (4) = ou < 0,006. . Utilisation répétée séquentielle L'efficacité des cycles de traitement répétés de doses fixes de 5 mg et 10 mg d'ulipristal acétate une fois par jour a été évaluée dans deux études de phase III, comprenant jusqu'à 4 cycles de traitement séquentiel de 3 mois chez des patientes présentant des saignements menstruels très abondants associés à des fibromes utérins. L'étude 3 était une étude en ouvert évaluant l'ulipristal acétate 10 mg, au cours de laquelle chacun des cycles de traitement de 3 mois était suivi d'un traitement de 10 jours en double aveugle par progestatif ou placebo. L'étude 4 était une étude clinique randomisée en double aveugle évaluant l'ulipristal acétate 5 ou 10 mg. Les études 3 et 4 ont démontré l'efficacité de l'ulipristal acétate sur le contrôle des symptômes des fibromes utérins (par exemple, saignements utérins) et la réduction de la taille des fibromes après 2 et 4 cycles de traitement. Dans l'étude 3, l'efficacité du traitement a été démontrée sur plus de 18 mois de traitement séquentiel répété (4 cycles de traitement, à 10 mg une fois par jour) ; 89,7 % des patientes étaient en aménorrhée à la fin du quatrième cycle de traitement. Dans l'étude 4, 61,9 % et 72,7 % des patientes étaient en aménorrhée à la fois à la fin du premier et du second cycle de traitement (respectivement à la dose de 5 mg et de 10 mg, p = 0,032) ; 48,7 % et 60,5 % étaient en aménorrhée à la fin de chacun des quatre cycles de traitement combinés (respectivement à la dose de 5 mg et de 10 mg, p = 0,027). A la fin du quatrième cycle de traitement, 158 (69,6 %) patientes et 164 (74,5 %) patientes étaient en aménorrhée, respectivement à la dose de 5 mg et de 10 mg (p = 0,290). Résultats obtenus sur les critères principaux et sur une sélection de critères secondaires d'efficacité dans les études de Phase III au long cours Paramètre : patientes commençant le cycle de traitement (second ou quatrième cycle) Après le second cycle de traitement (2 fois 3 mois de traitement) étude 3 (a) 10 mg/jour : N = 132 Après le second cycle de traitement (2 fois 3 mois de traitement) étude 4 5 mg/jour : N = 213 Après le second cycle de traitement (2 fois 3 mois de traitement) étude 4 10 mg/jour : N = 207 Après le quatrième cycle de traitement (4 fois 3 mois de traitement) étude 3 10 mg/jour : 10 mg/jour N = 107 Après le quatrième cycle de traitement (4 fois 3 mois de traitement) étude 5 10 mg/jour : 5 mg/jour N = 178 Après le quatrième cycle de traitement (4 fois 3 mois de traitement) étude 4 10 mg/jour : 10 mg/jour N = 176 Paramètre : patientes en aménorrhée (b, c) Après le second cycle de traitement (2 fois 3 mois de traitement) étude 3 (a) 10 mg/jour : N = 131 ; 116 (88,5 %) Après le second cycle de traitement (2 fois 3 mois de traitement) étude 4 5 mg/jour : N = 205 ; 152 (74,1 %) Après le second cycle de traitement (2 fois 3 mois de traitement) étude 4 10 mg/jour : N = 197 ; 162 (82,2 %) Après le quatrième cycle de traitement (4 fois 3 mois de traitement) étude 3 10 mg/jour : N = 107 ; 96 (89,7 %) Après le quatrième cycle de traitement (4 fois 3 mois de traitement) étude 5 10 mg/jour : N = 227; 158 (69,6 %) Après le quatrième cycle de traitement (4 fois 3 mois de traitement) étude 4 10 mg/jour : N = 220 ; 164 (74,5 %) Paramètre : patientes dont les saignements sont contrôlés (b, c, d) Après le second cycle de traitement (2 fois 3 mois de traitement) étude 3 (a) 10 mg/jour : NA Après le second cycle de traitement (2 fois 3 mois de traitement) étude 4 5 mg/jour : N = 199 ; 175 (87,9 %) Après le second cycle de traitement (2 fois 3 mois de traitement) étude 4 10 mg/jour : N = 191 ; 168 (88,0 %) Après le quatrième cycle de traitement (4 fois 3 mois de traitement) étude 3 10 mg/jour : NA Après le quatrième cycle de traitement (4 fois 3 mois de traitement) étude 5 10 mg/jour : N = 202 ; 148 (73,3 %) Après le quatrième cycle de traitement (4 fois 3 mois de traitement) étude 4 10 mg/jour : N = 192 ; 144 (75,0 %) Paramètre : changement médian du volume du myome (par rapport à la valeur de base) Après le second cycle de traitement (2 fois 3 mois de traitement) étude 3 (a) 10 mg/jour : -63,2 % Après le second cycle de traitement (2 fois 3 mois de traitement) étude 4 5 mg/jour : -54,1 % Après le second cycle de traitement (2 fois 3 mois de traitement) étude 4 10 mg/jour : -58,0 % Après le quatrième cycle de traitement (4 fois 3 mois de traitement) étude 3 10 mg/jour : -72,1 % Après le quatrième cycle de traitement (4 fois 3 mois de traitement) étude 5 10 mg/jour : -71,8 % Après le quatrième cycle de traitement (4 fois 3 mois de traitement) étude 4 10 mg/jour : -72,7 % (a) L'évaluation du second cycle de traitement a été réalisée après le second cycle de traitement plus un cycle menstruel. (b) Les patientes avec des valeurs manquantes ont été exclues de l'analyse. (c) Les Nombres et % ages de patientes incluent les patientes sorties d'étude. (d) Les “saignements contrôlés” ont été définis comme une absence d'épisode de saignements abondants et un maximum de 8 jours de saignements (ne comprenant pas les jours de spotting) au cours des 2 derniers mois d'une période de traitement. - Observations endométriales Dans toutes les études de Phase III y compris les études de traitement répété sequentiel, 7 cas d'hyperplasie ont été observés au total sur 789 patientes ayant des biopsies évaluables (0,89 %). La vaste majorité est revenue spontanément à un endomètre normal après le retour des règles pendant les périodes sans traitement. L'incidence des hyperplasies n'a pas été augmentée avec des cycles répétés de traitement. La fréquence observée est en ligne avec les groupes contrôle ainsi que la prévalence rapportée dans la littérature pour les femmes pré-ménopausées symptomatiques de cette tranche d'âge (moyenne de 40 ans). L'Agence européenne des médicaments a accordé une dérogation à l'obligation de soumettre les résultats d'études réalisées avec ce médicament dans tous les sous-groupes de la population pédiatrique dans le traitement symptomatique du léiomyome utérin (voir rubrique "Posologie et mode d'administration" pour les informations concernant l'usage pédiatrique). |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 27/05/2015 |
* Absorption Après administration orale d'une dose unique de 5 ou de 10 mg, l'ulipristal acétate est rapidement absorbé, avec une Cmax de 23,5 +/- 14,2 ng/ml et de 50,0 +/- 34,4 ng/ml qui est atteinte approximativement 1 heure après l'ingestion, et avec une ASC0-infini de 61,3 +/- 31,7 ng x heure/ml et 134,0 +/- 83,8 ng x heure/ml, respectivement. L'ulipristal acétate est rapidement transformé en un métabolite pharmacologiquement actif avec une Cmax de 9,0 +/- 4,4 ng/ml et 20,6 +/- 10,9 ng/ml qui est atteinte approximativement 1 heure après l'ingestion, et avec une ASC0-infini de 26,0 +/- 12,0 ng x heure/ml et 63,6 +/- 30,1 ng x heure/ml, respectivement. L'administration d'ulipristal acétate (comprimé de 30 mg) avec un petit déjeuner riche en lipides a entraîné une baisse d'environ 45 % de la Cmax moyen, un Tmax retardé (temps médian passant de 0,75 heure à 3 heures) et une ASC0-infini moyenne 25 % plus élevée, en comparaison avec une administration à jeun. Des résultats similaires ont été obtenus pour le métabolite actif mono-N-déméthylé. Un effet cliniquement pertinent de la prise d'aliments sur la cinétique de l'ulipristal acétate n'est pas attendu dans le cadre de l'administration quotidienne de comprimés d'ulipristal acétate. * Distribution L'ulipristal acétate est en grande partie (> 98 %) lié aux protéines plasmatiques, notamment à l'albumine, à l'alpha-l-glycoprotéine acide et aux lipoprotéines de haute et de basse densité. L'ulipristal acétate et son métabolite actif mono-N-déméthylé sont excrétés dans le lait maternel selon un rapport moyen ASCtau lait/plasma de 0,74 +/- 0,32 pour l'ulipristal acétate. * Biotransformation/Elimination L'ulipristal acétate est largement métabolisé en métabolites mono-N-déméthylés et, par la suite, en métabolites di-N-déméthylés. Les résultats d'études in vitro indiquent que ce métabolisme se fait essentiellement par l'intermédiaire de l'isoenzyme CYP3A4 du cytochrome P450 (CYP3A4). La principale voie d'élimination est par les matières fécales et moins de 10 % sont excrétés dans les urines. La demi-vie terminale de l'ulipristal acétate dans le plasma à la suite d'une administration unique de 5 ou de 10 mg est estimée à environ 38 heures, avec une clairance orale moyenne (CL/F) d'environ 100 litres/heure. Les résultats d'études in vitro indiquent que l'ulipristal acétate et son métabolite actif n'inhibent pas les CYP1A2, 2A6, 2C9, 2C19, 2D6, 2E1 et 3A4 ou n'induisent pas le CYP1A2 à des concentrations cliniquement pertinentes. Il est donc peu probable que l'administration d'ulipristal acétate modifie la clairance des médicaments qui sont métabolisés par ces enzymes. Les données in vitro indiquent que l'ulipristal acétate et son métabolite actif ne sont pas des substrats de la P-gp (ABCB1). * Populations particulières Aucune étude pharmacocinétique avec l'ulipristal acétate n'a été effectuée chez des femmes présentant une altération de la fonction rénale ou hépatique. En raison du métabolisme par le CYP, une modification de l'élimination de l'ulipristal acétate en cas d'insuffisance hépatique est attendue, entraînant une exposition plus importante (voir rubriques "Posologie et mode d'administration" et "Mises en garde et précautions d'emploi") |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 27/05/2015 |
Les données non cliniques issues des études conventionnelles de pharmacologie de sécurité, de toxicologie en administration répétée et de génotoxicité n'ont pas révélé de risque particulier pour les femmes. La plupart des observations provenant des études de toxicité générale étaient liées à son mécanisme d'action sur les récepteurs de la progestérone (et à des concentrations plus élevées, sur les récepteurs des glucocorticoïdes), une activité antiprogestérone étant observée à des expositions similaires aux niveaux thérapeutiques. Dans une étude de 39 semaines sur des singes cynomolgus, des changements histologiques ressemblant aux PAEC ont été observés à de faibles doses. En raison de son mécanisme d'action, l'ulipristal acétate a un effet embryolétal sur le rat, le lapin (à des doses répétées supérieures à 1 mg/kg), les cobayes et le singe. La sécurité pour un embryon humain est inconnue. Chez l'animal, à des doses suffisamment faibles pour maintenir la gestation, aucun potentiel tératogène n'a été observé. Des études sur la reproduction, réalisées sur le rat, à des doses dont l'exposition était du même ordre que la dose utilisée chez l'homme, n'ont révélé aucun trouble de la fécondité dû à l'ulipristal acétate chez les animaux traités ou chez les jeunes des femelles traitées. Les études de carcinogénicité (chez le rat et la souris) ont démontré que l'ulipristal acétate n'était pas carcinogène. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 27/05/2015 |
Attention : il n'existe plus de médicament commercialisé correspondant à ce médicament virtuel.
Spécialité(s) génériques Thériaque | Type | Prix |
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ESMYA 5MG CPR NSFP | Référence | |
Comparer prix |
Dénomination(s) commune(s) : ULIPRISTAL ACETATE |
Voie(s) : ORALE |
Groupe générique(s) : ULIPRISTAL ACETATE 5 MG - ESMYA 5MG CPR NSFP |
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Groupe générique : ULIPRISTAL (ACETATE D') 5 mg - ESMYA 5 mg, comprimé Le statut de l'AMM de cette spécialité est modifié : R ESMYA 5 mg, comprimé L'AMM de cette spécialité est suspendue. |
Spécialité(s) de référence ansm | Code(s) CIP | Excipient(s) à effet notoire |
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ESMYA 5MG CPR NSFP
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ESMYA (EPAR) 2015 |
ESMYA SUSPENSION AMM 2020 | |
ESMYA SYNTHESE D'AVIS 2019 | |
ESMYA SUSPENSION INITIATION INFO 2018 | |
ESMYA HEPATOTOXICITE POINT D'INFO 2018 | |
ESMYA SYNTHESE D'AVIS 2016 | |
ESMYA SYNTHESE D'AVIS 2015 | |
ESMYA SYNTHESE D'AVIS 2012 |
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* Conditions de prescription et de délivrance Liste I. Prescription réservée aux spécialistes en gynécologie médicale ou en gynécologie-obstétrique. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 27/05/2015 | |
Code UCD13 : | 3400893949115 |
Code UCD7 : | 9394911 |
Code identifiant spécialité : | 6 052 981 6 |
Laboratoire(s) titulaire(s) AMM: |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 27/05/2015 | |
Laboratoire(s) exploitant(s) : |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 27/05/2015 | |
plaquette(s) thermoformée(s) PVC polyéthylène PVDC aluminium de 28 comprimé(s)
Code CIP13 | 3400922257891 |
Code CIP7 | 2225789 |
Commercialisation | Supprimé le 18/03/2020 |
Agrément collectivités/date JO | Oui le 25/07/2013 |
Présentation réservée à l'hôpital | Non |
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD) |
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Conditionnement primaire | PLAQUETTE(S) THERMOFORMEE(S) (1) |
Nb unités de prise par conditionnement primaire | 28 COMPRIME(S) par PLAQUETTE(S) THERMOFORMEE(S) |
Matériau(x) |
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* Nature et contenu de l'emballage extérieur |
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Présentation unitaire | PAS DE RENSEIGNEMENT |
Référence(s) bibliographique(s) | |
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Conditions de délivrance |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 27/05/2015 |
Statut de la présentation |
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AMM : 23/02/2012 |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 27/05/2015 |
1. Prix en officine ville | |
Prix de cette présentation (CIP)/date JO | 134,54 euros TTC le 01/01/2020 |
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) | Non concerné |
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur) | |
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) | Non concerné |
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) | Non concerné |
1. Ville | |
Taux de remboursement/date JO |
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2. Hôpital (Rétrocession - vente au public) | |
Taux de remboursement |
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Statut(s) du remboursement |
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SMR spécifique de cette présentation | NON |
Modalité(s) de dispensation |
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Durée(s) et condition(s) de conservation |
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* Durée de conservation |
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Référence(s) officielles(s) : Rectificatif AMM européenne 27/05/2015 |
FIBROME UTERIN
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L'ulipristal acétate est indiqué dans le traitement pré-opératoire des symptômes modérés à sévères des fibromes utérins chez la femme adulte en âge de procréer. |
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SMR de l'indication | NIVEAU INSUFFISANT 27/02/2019 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 27/05/2015 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
FIBROME UTERIN
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L'ulipristal acétate est indiqué dans le traitement séquentiel des symptômes modérés à sévères des fibromes utérins chez la femme adulte en âge de procréer. |
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SMR de l'indication | NIVEAU INSUFFISANT 27/02/2019 |
Référence(s) officielle(s) | Extension d'indication AMM 27/05/2015 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | 5 MG/PRISE |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement max | 3 MOIS RENOUVELER SCHEMA SI NECESSAIRE |
Surveillance |
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* Posologie Le traitement consiste à prendre un comprimé de 5 mg par voie orale, une fois par jour, pour des cycles de traitement d'une durée maximale de 3 mois chacun. Les traitements doivent commencer uniquement quand les menstruations apparaissent : - Le premier cycle de traitement doit débuter au cours de la première semaine de menstruation. - Les cycles de traitement suivants doivent débuter au plus tôt au cours de la première semaine de la deuxième menstruation après la fin du cycle de traitement précédent. Le médecin doit informer la patiente que des intervalles sans traitement sont nécessaires. Le traitement séquentiel répété a été étudié jusqu'à 4 cycles de traitement séquentiels successifs. En cas d'oubli d'un comprimé, la patiente doit prendre le comprimé oublié dès que possible. Si l'oubli date de plus de 12 heures, la patiente ne doit pas prendre le comprimé oublié et continuera simplement le schéma de prise habituel. * Population particulière - Insuffisance rénale Aucune adaptation de la dose n'est recommandée chez les patientes souffrant d'insuffisance rénale légère ou modérée. En l'absence d'études spécifiques, l'ulipristal acétate n'est pas recommandé chez les patientes souffrant d'insuffisance rénale sévère, sauf si la patiente est étroitement surveillée (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Propriétés pharmacocinétiques"). - Insuffisance hépatique Aucune adaptation de la dose n'est recommandée chez les patientes souffrant d'insuffisance hépatique légère. En l'absence d'études spécifiques, l'ulipristal acétate n'est pas recommandé chez les patientes souffrant d'insuffisance hépatique modérée ou sévère, sauf si la patiente est étroitement surveillée (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Propriétés pharmacocinétiques"). - Population pédiatrique Il n'y a pas d'utilisation justifiée d'ulipristal acétate dans la population pédiatrique. La sécurité et l'efficacité de l'ulipristal acétate n'ont été établies que chez les femmes de 18 ans et plus. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Recommandation(s) |
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* Précautions particulières d'élimination Pas d'exigences particulières. * Incompatibilités Sans objet. |
Voie(s) d'administration |
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Modalité(s) |
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* Mode d'administration Le comprimé peut être pris au cours ou en dehors des repas. En cas d'oubli d'un comprimé, la patiente doit prendre le comprimé oublié dès que possible. Si l'oubli date de plus de 12 heures, la patiente ne doit pas prendre le comprimé oublié et continuera simplement le schéma de prise habituel. * Comment prendre ce médicament (notice) Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin. Vérifiez auprès de votre médecin ou votre pharmacien en cas de doute. La dose recommandée est d'un comprimé de 5 mg par jour, pendant une durée maximum de 3 mois. Ce traitement de 3 mois peut être répété une fois. Si un deuxième cycle de traitement de 3 mois avec ce médicament vous a été prescrit, vous devez le commencer le plus tôt possible au cours de la deuxième menstruation qui suit la fin du premier cycle de traitement. Vous devez toujours commencer à prendre ce médicament la première semaine de vos règles. Le comprimé doit être avalé avec de l'eau et vous pouvez le prendre avant, pendant ou après un repas. - Si vous avez pris plus de ce médicament que vous n'auriez dû L'expérience avec ce médicament lorsque plusieurs comprimés ont été pris simultanément est limitée. Il n'a pas été rapporté d'effet nocif grave après la prise en une fois de plusieurs comprimés de ce médicament. Vous devez toutefois demander conseil à votre médecin ou à votre pharmacien, si vous avez pris plus de ce médicament que vous n'auriez dû. - Si vous oubliez de prendre ce médicament Si vous avez oublié de prendre un comprimé depuis moins de 12 heures, prenez-le dès que vous vous en apercevez. Toutefois, si vous avez oublié de prendre un comprimé depuis plus de 12 heures, ne prenez pas le comprimé oublié et ne prenez qu'un seul comprimé, à l'heure habituelle. Ne prenez pas de dose double pour compenser le comprimé que vous avez oublié de prendre. - Si vous arrêtez de prendre ce médicament Ce médicament peut être pris quotidiennement pendant une durée maximum de 3 mois consécutifs. N'arrêtez pas de prendre vos comprimés sans avoir demandé conseil à votre médecin, même si vous vous sentez mieux, étant donné que les symptômes peuvent réapparaître plus tard. Si vous avez d'autres questions sur l'utilisation de ce médicament, demandez plus d'informations à votre médecin ou à votre pharmacien. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Terrain N° 1 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | GROSSESSE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | ALLAITEMENT |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | HEMORRAGIE GENITALE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | CANCER DE L'UTERUS |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | CANCER DU COL DE L'UTERUS |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | CANCER DE L'OVAIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | CANCER DU SEIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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L'utilisation concomitante d'un contraceptif oral contenant uniquement un progestatif, d'un dispositif intra-utérin libérant un progestatif ou d'un contraceptif oral combiné n'est pas recommandée (Cf. rubrique "Interactions"). Bien que la plupart des femmes prenant une dose thérapeutique d'ulipristal acétate présentent une anovulation, une méthode non hormonale de contraception est recommandée pendant le traitement. L'utilisation concomitante d'inhibiteurs modérés (par ex. érythromycine, jus de pamplemousse, vérapamil) ou puissants (par ex. kétoconazole, ritonavir, néfazodone, itraconazole, télithromycine, clarithromycine) du CYP3A4 et de l'ulipristal acétate n'est pas recommandée (Cf. rubrique "Interactions"). L'utilisation concomitante de l'ulipristal acétate et d'inducteurs puissants du CYP3A4 (par ex. rifampicine, rifabutine, carbamazépine, oxcarbazépine, phénytoïne, fosphénytoïne, phénobarbital, primidone, millepertuis, efavirenz, névirapine, usage à long terme du ritonavir) n'est pas recommandée (Cf. rubrique "Interactions"). Cf. aussi "Thesaurus interactions ansm". |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | INTERACTION D'ORIGINE ALIMENTAIRE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | PORT DE DISPOSITIF INTRA-UTERIN |
Niveau(x) |
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L'utilisation concomitante d'un contraceptif oral contenant uniquement un progestatif, d'un dispositif intra-utérin libérant un progestatif ou d'un contraceptif oral combiné n'est pas recommandée (Cf. rubrique "Interactions"). Bien que la plupart des femmes prenant une dose thérapeutique d'ulipristal acétate présentent une anovulation, une méthode non hormonale de contraception est recommandée pendant le traitement. Cf. aussi "Thesaurus interactions ansm". |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | ASTHME
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Niveau(x) |
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L'utilisation chez des femmes atteintes d'asthme sévère insuffisamment contrôlé par un glucocorticoïde oral n'est pas recommandée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | ADULTE JEUNE (15-17 ANS)
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Niveau(x) |
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Il n'y a pas d'utilisation justifiée d'ulipristal acétate dans la population pédiatrique. La sécurité et l'efficacité de l'ulipristal acétate n'ont été établies que chez les femmes de 18 ans et plus. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | ENFANT |
Niveau(x) |
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Il n'y a pas d'utilisation justifiée d'ulipristal acétate dans la population pédiatrique. La sécurité et l'efficacité de l'ulipristal acétate n'ont été établies que chez les femmes de 18 ans et plus. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | NOURRISSON |
Niveau(x) |
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Il n'y a pas d'utilisation justifiée d'ulipristal acétate dans la population pédiatrique. La sécurité et l'efficacité de l'ulipristal acétate n'ont été établies que chez les femmes de 18 ans et plus. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 16 | NOUVEAU-NE |
Niveau(x) |
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Il n'y a pas d'utilisation justifiée d'ulipristal acétate dans la population pédiatrique. La sécurité et l'efficacité de l'ulipristal acétate n'ont été établies que chez les femmes de 18 ans et plus. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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- Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique "Composition". - Grossesse et allaitement. - Hémorragie génitale d'étiologie inconnue ou pour des raisons autres que des fibromes utérins. - Cancer utérin, cervical, ovarien ou du sein. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 27/05/2015 |
Terrain N° 17 | INSUFFISANCE HEPATIQUE |
Niveau(x) |
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- En cas de résultats anormaux (transaminases supérieures à 2 fois la normale), ne pas prescrire le traitement ; - Pour les patientes en cours de traitement, la prescription d'un bilan hépatique lors d'une consultation de suivi pourra être envisagée ; - Si, pendant son traitement par ce traitement, la patiente présente des signes cliniques susceptibles d'être en lien avec une atteinte hépatique (nausées, vomissements, douleurs de l'hypochondre droit, anorexie, asthénie, ictère, etc), le traitement devra être immédiatement interrompu et un bilan hépatique sera prescrit. En fonction des résultats, le traitement pourra être réinstauré ou non. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 18 | ATTEINTE HEPATIQUE |
Niveau(x) |
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- En cas de résultats anormaux (transaminases supérieures à 2 fois la normale), ne pas prescrire le traitement ; - Pour les patientes en cours de traitement, la prescription d'un bilan hépatique lors d'une consultation de suivi pourra être envisagée ; - Si, pendant son traitement par ce traitement, la patiente présente des signes cliniques susceptibles d'être en lien avec une atteinte hépatique (nausées, vomissements, douleurs de l'hypochondre droit, anorexie, asthénie, ictère, etc), le traitement devra être immédiatement interrompu et un bilan hépatique sera prescrit. En fonction des résultats, le traitement pourra être réinstauré ou non. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 19 | NAUSEES VOMISSEMENTS |
Niveau(x) |
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Si, pendant son traitement par ce médicament, la patiente présente des signes cliniques susceptibles d'être en lien avec une atteinte hépatique (nausées, vomissements, douleurs de l'hypochondre droit, anorexie, asthénie, ictère, etc), le traitement devra être immédiatement interrompu et un bilan hépatique sera prescrit. En fonction des résultats, le traitement pourra être réinstauré ou non. | |
Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 20 | ANOREXIE |
Niveau(x) |
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Si, pendant son traitement par ce médicament, la patiente présente des signes cliniques susceptibles d'être en lien avec une atteinte hépatique (nausées, vomissements, douleurs de l'hypochondre droit, anorexie, asthénie, ictère, etc), le traitement devra être immédiatement interrompu et un bilan hépatique sera prescrit. En fonction des résultats, le traitement pourra être réinstauré ou non. | |
Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 21 | ASTHENIE |
Niveau(x) |
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Si, pendant son traitement par ce médicament, la patiente présente des signes cliniques susceptibles d'être en lien avec une atteinte hépatique (nausées, vomissements, douleurs de l'hypochondre droit, anorexie, asthénie, ictère, etc), le traitement devra être immédiatement interrompu et un bilan hépatique sera prescrit. En fonction des résultats, le traitement pourra être réinstauré ou non. | |
Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 22 | ICTERE |
Niveau(x) |
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Si, pendant son traitement par ce médicament, la patiente présente des signes cliniques susceptibles d'être en lien avec une atteinte hépatique (nausées, vomissements, douleurs de l'hypochondre droit, anorexie, asthénie, ictère, etc), le traitement devra être immédiatement interrompu et un bilan hépatique sera prescrit. En fonction des résultats, le traitement pourra être réinstauré ou non. | |
Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 23 | TROUBLE COLORATION URINE |
Niveau(x) |
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- Ne négligez aucun signe ou symptôme pouvant être observé au cours de votre traitement. - Si un événement particulier survient, tel que : Urines inhabituellement foncées, il est possible que votre foie ne fonctionne pas correctement. - Si l'un ou plusieurs de ces symptômes apparaissent, vous devez arrêter votre traitement et contacter immédiatement votre médecin qui vous prescrira un bilan hépatique |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 1 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | HYPERPLASIE ENDOMETRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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L'ulipristal acétate ne doit être prescrit qu'après un diagnostic minutieux. Une grossesse doit être exclue avant traitement. En cas de doute, un test de grossesse devra être réalisé avant de commencer un nouveau cycle de traitement. - Contraception L'utilisation concomitante d'un contraceptif oral contenant uniquement un progestatif, d'un dispositif intra-utérin libérant un progestatif ou d'un contraceptif oral combiné n'est pas recommandée (Cf. rubrique "Interactions"). Bien que la plupart des femmes prenant une dose thérapeutique d'ulipristal acétate présentent une anovulation, une méthode non hormonale de contraception est recommandée pendant le traitement. - Changements endométriaux L'ulipristal acétate possède une action pharmacodynamique spécifique sur l'endomètre. Des changements au niveau de l'histologie de l'endomètre peuvent être observés chez les patientes traitées par ulipristal acétate. Ces changements sont réversibles après l'arrêt du traitement. Ces changements histologiques sont désignés comme "Changements endométriaux associés au modulateur du récepteur de la progestérone" (Progesterone Receptor Modulator Associated Endometrial Changes - PAEC) et ne doivent pas être confondus avec une hyperplasie endométriale (Cf. rubriques "Effets indésirables" et "Propriétés pharmacodynamiques"). De plus, une augmentation réversible de l'épaisseur de l'endomètre peut se produire pendant le traitement. En cas de traitements séquentiels répétés, une surveillance régulière de l'endomètre est recommandée. Ceci inclut une échographie annuelle qui doit être réalisée pendant une période sans traitement, après le retour des règles. Si un épaississement de l'endomètre est observé, qui persisterait après le retour des règles pendant les périodes sans traitement ou au-delà des 3 mois suivant la fin des cycles de traitement, et/ou si une modification du profil de saignements est observée (voir "profil des saignements"), des examens comprenant une biopsie de l'endomètre doivent être réalisés afin d'exclure d'autres pathologies sous-jacentes, telles que des pathologies malignes de l'endomètre. En cas de diagnostic d'hyperplasie (sans atypie), une surveillance conforme aux pratiques cliniques habituelles (par ex. un contrôle de suivi 3 mois plus tard) est recommandée. En cas de diagnostic d'hyperplasie atypique, des investigations et une prise en charge conformes aux pratiques cliniques habituelles doivent être réalisées. Chaque cycle de traitement ne doit pas excéder 3 mois puisque le risque sur l'endomètre est inconnu pour un traitement prolongé sans interruption. - Profil des saignements Les patientes doivent être informées que le traitement par ulipristal acétate entraîne généralement une diminution significative des saignements menstruels ou une aménorrhée dans les 10 premiers jours du traitement. Si les saignements excessifs persistent, les patientes doivent en informer leur médecin. Les règles réapparaissent généralement dans les 4 semaines qui suivent la fin de chaque cycle de traitement. Pendant un traitement séquentiel répété, après la réduction initiale des saignements ou l'aménorrhée, si une modification du profil de saignements persistant ou inattendu est observée, telle que la survenue de saignements intermenstruels, un examen de l'endomètre comprenant une biopsie de l'endomètre doit être réalisé afin d'exclure d'autres pathologies sous-jacentes, telles que des pathologies malignes de l'endomètre. Le traitement séquentiel répété a été étudié jusqu'à 4 cycles de traitement séquentiel successifs. - Insuffisance rénale En cas d'insuffisance rénale, une modification significative de l'élimination de l'ulipristal acétate n'est pas attendue. En l'absence d'études spécifiques, l'ulipristal acétate n'est pas recommandé chez les patientes souffrant d'insuffisance rénale sévère, sauf si la patiente est étroitement surveillée (Cf. rubrique "Posologie et mode d'administration"). - Insuffisance hépatique Il n'existe pas d'expérience clinique avec l'ulipristal acétate chez les patientes atteintes d'insuffisance hépatique. En cas d'insuffisance hépatique, une modification de l'élimination de l'ulipristal acétate est attendue, ce qui entraînerait une augmentation de l'exposition (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). Cette augmentation de l'exposition n'est pas considérée comme cliniquement pertinente chez les patientes atteintes d'une insuffisance hépatique légère. L'ulipristal acétate n'est pas recommandé chez les patientes atteintes d'insuffisance hépatique modérée ou sévère, sauf si la patiente est étroitement surveillée (Cf. rubrique "Posologie et mode d'administration"). - Traitements concomitants L'utilisation concomitante d'inhibiteurs modérés (par ex. érythromycine, jus de pamplemousse, vérapamil) ou puissants (par ex. kétoconazole, ritonavir, néfazodone, itraconazole, télithromycine, clarithromycine) du CYP3A4 et de l'ulipristal acétate n'est pas recommandée (Cf. rubrique "Interactions"). L'utilisation concomitante de l'ulipristal acétate et d'inducteurs puissants du CYP3A4 (par ex. rifampicine, rifabutine, carbamazépine, oxcarbazépine, phénytoïne, fosphénytoïne, phénobarbital, primidone, millepertuis, efavirenz, névirapine, usage à long terme du ritonavir) n'est pas recommandée (Cf. rubrique "Interactions"). - Asthmatiques L'utilisation chez des femmes atteintes d'asthme sévère insuffisamment contrôlé par un glucocorticoïde oral n'est pas recommandée. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 27/05/2015 |
Terrain N° 4 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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-> Effets possibles d'autres médicaments sur l'ulipristal acétate + Contraceptifs hormonaux L'ulipristal acétate a une structure stéroïdienne et agit en tant que modulateur sélectif du récepteur de la progestérone avec des effets principalement inhibiteurs sur le récepteur de la progestérone. Il est donc probable que les contraceptifs hormonaux et les progestatifs réduisent l'efficacité de l'ulipristal acétate par une action compétitive sur le récepteur de la progestérone. En conséquence, l'utilisation simultanée de médicaments contenant des progestatifs n'est pas recommandée (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Grossesse et allaitement"). + Inhibiteurs du CYP3A4 Suite à l'administration d'un inhibiteur modéré du CYP3A4, l'érythromycine propionate (500 mg deux fois par jour pendant 9 jours) à des femmes volontaires en bonne santé, la Cmax et l'ASC de l'ulipristal acétate ont été respectivement multipliées par 1,2 et 2,9 ; l'ASC du métabolite actif de l'ulipristal acétate a été multipliée par 1,5 tandis que la Cmax du métabolite actif a diminué (facteur de 0,52). Suite à l'administration de l'inhibiteur puissant du CYP3A4, le kétoconazole (400 mg une fois par jour pendant 7 jours) à des femmes volontaires en bonne santé, la Cmax et l'ASC de l'ulipristal acétate ont été respectivement multipliées par 2 et 5,9 ; l'ASC du métabolite actif de l'ulipristal acétate a pour sa part été multipliée par 2,4 tandis que la Cmax du métabolite actif a diminué (facteur de 0,53). Aucune adaptation de la dose n'est considérée nécessaire pour l'administration de l'ulipristal acétate à des patientes recevant simultanément des inhibiteurs légers du CYP3A4. Une utilisation simultanée d'inhibiteurs modérés ou puissants du CYP3A4 et de l'ulipristal acétate n'est pas recommandée (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). + Inducteurs du CYP3A4 L'administration d'un inducteur puissant du CYP3A4, la rifampicine (300 mg deux fois par jour pendant 9 jours), à des femmes volontaires saines, a entraîné une diminution significative de la Cmax ainsi que de l'ASC de l'ulipristal acétate et de son métabolite actif d'au moins 90 %, avec une demi-vie 2,2 fois plus courte, ce qui correspond à une réduction de l'exposition à l'ulipristal acétate de près d'un facteur 10. Une utilisation concomitante de l'ulipristal acétate et de puissants inducteurs du CYP3A4 (par ex. rifampicine, rifabutine, carbamazépine, oxcarbazépine, phénytoïne, fosphénytoïne, phénobarbital, primidone, millepertuis, efavirenz, névirapine, usage à long terme du ritonavir) n'est pas recommandée (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). + Médicaments affectant le pH gastrique L'administration d'ulipristal acétate (comprimé de 10 mg) en même temps que l'inhibiteur de la pompe à proton ésoméprazole (20 mg par jour pendant 6 jours) a entraîné une baisse d'environ 65 % de la Cmax moyenne, un Tmax retardé (temps médian passant de 0,75 heure à 1,0 heure) et une ASC moyenne 13 % plus élevée. Un effet cliniquement pertinent des médicaments qui augmentent le pH gastrique n'est pas attendu dans le cadre d'une administration quotidienne de comprimés d'ulipristal acétate. -> Effets possibles de l'ulipristal acétate sur d'autres médicaments + Contraceptifs hormonaux L'ulipristal acétate peut interférer avec l'action des contraceptifs hormonaux (progestatifs seuls, dispositifs libérant un progestatif ou contraceptifs oraux combinés) ainsi que des progestatifs administrés dans d'autres indications. En conséquence, l'utilisation concomitante de médicaments contenant des progestatifs n'est pas recommandée (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Grossesse et allaitement"). Les médicaments contenant des progestatifs ne doivent pas être pris au cours des 12 jours consécutifs à l'arrêt du traitement par ulipristal acétate. + Substrats de la PgP Les résultats d'études in vitro indiquent que l'ulipristal acétate peut être un inhibiteur de la PgP à des concentrations cliniquement pertinentes dans la paroi gastrointestinale pendant l'absorption. L'administration simultanée de l'ulipristal acétate et d'un substrat de la PgP n'a pas été étudiée et une interaction ne peut pas être exclue. Les résultats in vivo montrent que l'ulipristal acétate (prise unique d'un comprimé de 10 mg) administré 1,5 heure avant le substrat de la PgP, la fexofénadine (60 mg), n'a pas d'effet cliniquement pertinent sur la pharmacocinétique de la fexofénadine. Il est donc recommandé de laisser un intervalle d'au moins 1,5 heure entre l'administration de l'ulipristal acétate et celle des substrats de la PgP (par ex. dabigatran étexilate, digoxine, fexofénadine). |
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Référence(s) officielle(s):  Rectificatif AMM européenne 27/05/2015 |
Effet spécialité |
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Niveau(x) de risque |
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* Grossesse L'ulipristal acétate est contre-indiqué pendant la grossesse (Cf. rubrique "Contre-indications"). Il n'existe pas de données ou des données limitées sur l'utilisation de l'ulipristal acétate chez la femme enceinte. Chez l'animal, les données concernant la toxicité sur la reproduction sont insuffisantes, même si aucun potentiel tératogène n'a été observé (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 27/05/2015 |
Recommandations |
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* Contraception chez les femmes L'ulipristal acétate est susceptible d'interférer avec les contraceptifs oraux contenant un progestatif seul, les dispositifs libérant un progestatif ou les contraceptifs oraux combinés, c'est pourquoi leur utilisation concomitante n'est pas recommandée. Bien que la plupart des femmes prenant une dose thérapeutique d'ulipristal acétate présentent une anovulation, une méthode contraceptive non hormonale est recommandée pendant le traitement (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Interactions"). * Fécondité La majorité des femmes prenant une dose thérapeutique d'ulipristal acétate présentent une anovulation ; toutefois, le niveau de fécondité lors de doses répétées d'ulipristal acétate n'a pas été étudié. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 27/05/2015 |
Passage dans le lait | Oui |
Fixation protéique | Pas d'information |
Rapport concentration lait/plasma maternels | Pas d'information |
Concentration dans 100 ml de lait maternel | Pas d'information |
Recommandations |
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* Allaitement Les données toxicologiques disponibles chez l'animal ont mis en évidence l'excrétion de l'ulipristal acétate dans le lait (pour les détails, voir rubrique "Sécurité préclinique"). L'ulipristal acétate est excrété dans le lait maternel humain. L'effet sur les nouveau-nés/nourrissons n'a pas été étudié. Un risque pour les nouveau-nés/nourrissons ne peut pas être exclu. L'ulipristal acétate est contre-indiqué pendant l'allaitement (Cf. rubriques "Contre-indications" et "Propriétés pharmacocinétiques"). |
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Référence(s) officielle(s): | Rectificatif AMM européenne 27/05/2015 |
Recommandations |
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L'ulipristal acétate peut avoir une influence mineure sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. En effet, de légères sensations vertigineuses ont été observées après la prise d'ulipristal acétate. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 27/05/2015 |
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
Site internet: www.ansm.sante.fr.
TROUBLES HEPATO-BILIAIRES |
TROUBLES METABOLISME ET NUTRITION |
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