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Terrain N° 1 | PORT DE DISPOSITIF INTRA-UTERIN |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | TROUBLE DE L'HEMOSTASE |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | TROUBLE DE LA COAGULATION |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | TERRAIN HEMORRAGIQUE |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | MALADIE HEMORRAGIQUE |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | SYNDROME HEMORRAGIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | ANEMIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | INSUFFISANCE SURRENALIENNE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | PATHOLOGIE CARDIORESPIRATOIRE |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | PATHOLOGIE CORONARIENNE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | INSUFFISANCE CORONARIENNE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | ANGOR |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | INSUFFISANCE CARDIAQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | ARYTHMIE CARDIAQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 16 | ADULTE JEUNE (15-17 ANS)
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Peu de données sont disponibles sur l'utilisation de la mifépristone chez les adolescentes. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 17 | LESION CUTANEE |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 18 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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* Mises en garde Des effets indésirables cutanés sévères, y compris des cas de nécrolyse épidermique toxique et de pustulose exanthématique aiguë généralisée, ont été rapportés en association avec la mifépristone (Cf. rubrique "Effets indéisrables"). Chez les patients confrontés à des effets indésirables cutanés sévères, une reprise du traitement par la mifépristone est déconseillée. En l'absence d'études spécifiques, ce médicament est généralement déconseillé chez les patientes souffrant : . D'insuffisance rénale, . D'insuffisance hépatique, . De malnutrition - Interruption médicamenteuse de grossesse intra-utérine évolutive L'interruption médicamenteuse de grossesse intra-utérine évolutive requiert la participation active de la femme qui doit être informée des contraintes de la méthode : . nécessité de la prise associée d'une prostaglandine lors d'une seconde consultation, . nécessité d'une consultation de suivi impérative (3ème consultation) dans un délai de 14 à 21 jours après la prise de ce médicament afin de vérifier que l'expulsion a été complète, . risque non négligeable d'échec (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques") de la méthode qui impliquerait une interruption de grossesse par une autre méthode. Si la grossesse est survenue malgré la présence d'un dispositif intra-utérin en place, ce dispositif doit être retiré avant l'administration de ce médicament. Il est possible que l'expulsion ait lieu avant l'administration de prostaglandine (environ 3 % des cas). Cela ne dispense pas la patiente d'une visite de contrôle destinée à vérifier que l'expulsion a été complète et que la cavité utérine est vide. Les risques liés à la méthode doivent être pris en compte et expliqués à la femme. . Echecs Le risque non négligeable d'échecs de la méthode, de l'ordre de 7,6 % des cas, rend obligatoire la visite de contrôle destinée à vérifier si l'expulsion a été complète. Dans les rares cas d'expulsion non complète, le recours à la chirurgie sera nécessaire. L'efficacité de la méthode diminue avec la parité et par conséquent avec l'âge avancé de la patiente. . Métrorragies La patiente doit être informée de la survenue de métrorragies prolongées (en moyenne 10 à 16 jours après la prise de ce médicament) parfois abondantes. Les métrorragies surviennent dans la quasi-totalité des cas et ne sont nullement une preuve d'expulsion complète (Cf. rubrique "Effets indésirables"). On recommandera à la patiente de ne pas s'éloigner du centre médical prescripteur tant que l'expulsion complète n'aura pas été constatée. Il lui sera indiqué précisément qui contacter et où se rendre en cas de phénomène anormal, notamment en cas de métrorragies très abondantes. Une consultation de contrôle doit avoir lieu impérativement dans un délai de 14 à 21 jours suivant la prise de ce médicament pour vérifier par des moyens appropriés (examen clinique, échographie, dosage des bêta-hCG) que l'expulsion a été complète et que les métrorragies ont disparu. En cas de saignement (même minime) persistant au-delà de cette consultation, on en vérifiera la disparition au bout de quelques jours. En cas de doute sur la persistance de la grossesse, une échographie peut s'avérer nécessaire pour juger de son évolutivité. -> La persistance de métrorragies lors de cette consultation de contrôle peut signifier un avortement incomplet ou une grossesse extra-utérine passée inaperçue, et doit conduire à un traitement approprié. Au cas où une grossesse évolutive serait diagnostiquée après la visite de contrôle, une interruption de la grossesse par une autre technique sera proposée à la patiente. En raison de métrorragies sévères nécessitant un curetage hémostatique dans 5 % des cas lors de l'interruption médicamenteuse de grossesse, la prudence s'impose chez les patientes souffrant de troubles hémostatiques associés à une hypocoagulabilité ou une anémie. La décision de recourir à une interruption de grossesse médicamenteuse ou chirurgicale sera prise en accord avec des spécialistes en fonction du type de trouble de l'hémostase et du degré de l'anémie. . Infection De très rares cas de choc toxique fatal dû à une endométrite à Clostridium sordellii, sans fièvre ni autres symptômes évocateurs ont été rapportés après la prise de 200 mg de mifépristone suivie par l'administration vaginale hors indication de comprimés de misoprostol destinés à l'utilisation orale. Les cliniciens doivent être avertis du risque de survenue de cette complication fatale. * Dans tous les cas L'emploi de ce médicament impose la détermination du groupe sanguin et la prévention éventuelle de l'allo-immunisation et, d'une façon générale, la mise en œuvre des mesures prises habituellement lors d'une interruption de grossesse. Au cours des essais cliniques, des grossesses se sont produites entre l'expulsion ovulaire et le retour des règles. Pour éviter l'exposition d'une grossesse ultérieure à la mifépristone, il est recommandé d'éviter une conception au cours du cycle menstruel suivant. Une méthode contraceptive efficace doit donc être instaurée dès que possible après la prise de mifépristone. En cas de suspicion d'insuffisance surrénale aiguë, l'administration de dexaméthasone est recommandée. 1 mg de dexaméthasone peut neutraliser l'action d'une dose de 400 mg de mifépristone. En raison de l'activité anti-glucocorticoïde de la mifépristone, l'efficacité d'un traitement chronique par les corticostéroïdes y compris corticostéroïdes inhalés dans l'asthme, peut être diminuée pendant 3 à 4 jours après la prise de ce médicament. Un ajustement thérapeutique est recommandé. Il existe un risque de diminution de l'efficacité de l'interruption médicale de grossesse du fait des propriétés inhibitrices des prostaglandines des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) y compris l'aspirine (acide acétylsalicylique). Des preuves limitées suggèrent toutefois que l'administration concomitante d'AINS le jour de l'administration de la prostaglandine n'affecte pas les effets de la mifépristone ou des prostaglandines sur la maturation du col ou la contractilité utérine et ne diminue pas l'efficacité de la méthode d'interruption médicamenteuse de grossesse. -> Les précautions d'emploi relatives aux prostaglandines utilisées doivent être respectées : Des accidents cardiovasculaires rares mais sérieux ont été rapportés après l'injection intramusculaire d'un analogue de prostaglandines. Pour cette raison, les femmes présentant des facteurs de risques de maladies cardiovasculaires ou des affections cardiovasculaires établies doivent être traitées avec précaution. - Conditions d'administration des prostaglandines Pendant la prise du médicament et pendant les trois heures qui suivent l'administration, la patiente doit être sous surveillance au centre prescripteur afin de déceler les effets potentiels aigus de l'administration de prostaglandines. Le centre de traitement doit être équipé d'installations médicales appropriées. Lorsqu'elles quittent le centre de traitement, toutes les femmes doivent disposer de médicaments appropriés nécessaires et recevoir une information complète sur les signes et symptômes éventuels qu'elles sont susceptibles de présenter. Aussi, elles doivent avoir un accès direct au centre de traitement que ce soit par téléphone ou par accès local. Les précautions d'emploi relatives aux prostaglandines utilisées doivent être respectées. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 21/02/2021 |
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