|
Voie(s) d'administration : |
|
Forme(s) pharmaceutique(s) : |
|
Comprimés pelliculés. |
Référence(s) bibliographique(s) : |
|
Substance(s) active(s)
Excipient(s)
PELLICULAGE Excipient(s)
OPADRY BLANC Excipient(s) |
Précision(s) composition : |
Pour un comprimé pelliculé. Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé, c'est-à-dire qu'il est essentiellement " sans sodium ". |
Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM française 09/03/2023
|
|
|
|
Classe pharmacothérapeutique : Anti-inflammatoires et antirhumatismaux, non stéroïdiens ; dérivés de l'acide propionique, Code ATC : M01AE01. L'ibuprofène est un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) qui a démontré son efficacité en inhibant la synthèse des prostaglandines. Chez l'homme, l'ibuprofène soulage les douleurs inflammatoires, l'œdème et la fièvre. Il inhibe également l'agrégation plaquettaire de manière réversible. Le lysinate d'ibuprofène est un sel de lysine de l'ibuprofène. Après administration orale, le lysinate d'ibuprofène se dissocie en acide et en lysine d'ibuprofène. La lysine ne présente aucune activité pharmacologique connue. Ainsi, les propriétés pharmacologiques de la lysine d'ibuprofène sont les mêmes que celles de l'acide d'ibuprofène. Les données expérimentales suggèrent que l'ibuprofène peut inhiber de façon compétitive l'effet de l'acide acétylsalicylique à faible dose sur l'agrégation plaquettaire en cas d'administration concomitante. Certaines études pharmacodynamiques montrent qu'après la prise d'une dose unique d'ibuprofène 400 mg dans les 8 h précédant ou dans les 30 min suivant la prise d'une dose d'acide acétylsalicylique à libération immédiate (81 mg), une diminution de l'effet de l'acide acétylsalicylique sur la formation de thromboxane ou l'agrégation plaquettaire peut survenir. Bien qu'il existe des incertitudes en ce qui concerne l'extrapolation de ces données en clinique, la possibilité qu'une utilisation d'ibuprofène régulière et à long terme soit susceptible de réduire l'effet cardioprotecteur de l'acide acétylsalicylique à faible dose ne peut pas être exclue. Aucun effet cliniquement pertinent n'est considéré comme probable pour l'utilisation occasionnelle d'ibuprofène (voir rubrique "Interactions"). |
|
Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
Après administration, le lysinate d'ibuprofène se scinde en ibuprofène et en lysine. Le sel de lysine d'ibuprofène est plus soluble dans l'eau que l'ibuprofène acide, ce qui permet une absorption plus rapide. La pharmacocinétique de l'ibuprofène est linéaire aux doses thérapeutiques. * Absorption L'ibuprofène est rapidement absorbé après l'administration et est rapidement distribué dans tout le corps. L'excrétion est rapide et complète par les reins. L'alimentation retarde l'absorption du lysinate d'ibuprofène. * Distribution L'administration de lysinate d'ibuprofène ne donne pas lieu à des phénomènes d'accumulation. Il est lié aux protéines plasmatiques dans la proportion de 99 pour cent. Dans le liquide synovial, on retrouve l'ibuprofène avec des concentrations stables entre la deuxième et la huitième heure après la prise, la Cmax synoviale étant environ égale au tiers de la Cmax plasmatique. Après la prise de 400 mg d'ibuprofène toutes les 6 heures par des femmes qui allaitent, la quantité d'ibuprofène retrouvée dans leur lait est inférieure à 1 mg par 24 heures. * Métabolisme/Biotransformation Suivant le métabolisme hépatique (hydroxylation, carboxylation, conjugaison), l'ibuprofène n'a pas d'effet inducteur enzymatique. Il est métabolisé pour 90 % sous forme de métabolites pharmacologiquement inactifs. * Excrétion/Elimination L'élimination est essentiellement urinaire. Elle est totale en 24 heures, à raison de 10 % sous forme inchangée et de 90 % sous forme de métabolites inactifs, essentiellement glucuroconjugués. La demi-vie d'élimination est de 2 heures environ(allant d 1,8 à 3,5 heures). Les paramètres cinétiques de l'ibuprofène sont peu modifiés chez le sujet âgé, chez l'insuffisant rénal et chez l'insuffisant hépatique. Les perturbations observées ne justifient pas une modification de la posologie. * Propriétés pharmacocinétiques spécifiques au produit Le temps pour atteindre le pic de concentration plasmatique (T max) est grandement réduit pour le produit ibuprofène lysine comparé au produit ibuprofène acide équivalent. La concentration sérique maximale est atteinte environ 35 minutes après administration orale. Après une prise unique d'un comprimé de 200 mg, les concentrations sériques maximales chez l'adulte sont de 48,5 +/- 3,4 microgrammes/mL pour l'ibuprofène lysine et le Tmax est de 0,58 h pour l'ibuprofène lysine comparé à 1,33 h pour l'ibuprofène acide. |
|
Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
Les spécialités correspondant à ce médicament virtuel peuvent contenir des excipients à effet notoire. Ces excipients à effet notoire peuvent être différents selon les spécialités (Voir spécialité(s)).
Dénomination(s) commune(s) : IBUPROFENE LYSINATE |
Voie(s) : ORALE |
Groupe générique(s) : IBUPROFENE LYSINATE 684 MG soit 400 MG exprimé(e) en IBUPROFENE BASE - NUROFENFLASH 400MG CPR PELL |
|
Spécialité(s) de référence ansm | Code(s) CIP | Excipient(s) à effet notoire |
---|---|---|
NUROFENFLASH 400MG CPR PELL
|
|
Spécialité(s) générique(s) ansm | Code(s) CIP | Excipient(s) à effet notoire |
---|---|---|
IBUPROFENE CRC 400MG CPR PELL Laboratoire titulaire AMM : CRISTERS |
|
|
IBUPROFENE VIC 400MG CPR PELL Laboratoire titulaire AMM : VIATRIS SANTE (LYON) |
|
IBUPROFENE INTERDICTION PUBLICITE 2024 | |
MEDICAMENTS SAGES-FEMMES 2023 | |
AINS & COMPLIC INFECTIEUSES GRAVES 2023 | |
PARACETAMOL/AINS/ALPHA AMYLASE 2020 | |
PARACETAMOL/AINS FIN ACCES LIBRE 2019 | |
PARACETAMOL/AINS BON USAGE 2019 | |
AINS ET INFECTIONS GRAVES 2019 | |
IBUPROFENE (BON USAGE DU MEDICAMENT) | |
AINS ET GROSSESSE 2017 | |
IBUPROFENE FORTE DOSE POINT INFO 2 2015 | |
IBUPROFENE FORTE DOSE POINT INFO 1 2015 | |
AINS VOIE GENERALE (BON USAGE) | |
PRISE EN CHARGE DES DOULEURS ADULTE | |
DOULEUR AIGUE ET CHRONIQUE CHEZ L'ENFANT | |
AINS TOLERANCE CARDIOVASCULAIRE 10/2006 | |
AINS TOLERANCE CARDIOVASCULAIRE 09/2006 | |
FIEVRE CHEZ L'ENFANT | |
AINS CHEZ L'ENFANT |
|
|
|
|
* Conditions de prescription et de délivrance Médicament non soumis à prescription médicale. |
|
Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 09/03/2023 | |
Code UCD13 : | 3400890035019 |
Code UCD7 : | 9003501 |
Code identifiant spécialité : | 6 578 013 5 |
Laboratoire(s) titulaire(s) AMM: |
|
Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 09/03/2023 | |
Laboratoire(s) exploitant(s) : |
|
Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 09/03/2023 | |
Code CIP13 | 3400930235263 |
Code CIP7 | 3023526 |
Commercialisation | Disponible : OUI depuis le 25/09/2023 |
Agrément collectivités/date JO | Non |
Radiation collectivités/date JO | Non |
Présentation réservée à l'hôpital | Non |
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD) |
|
Conditionnement primaire | 1 PLAQUETTE(S) |
Nb unités de prise par conditionnement primaire | 12 COMPRIME(S) par PLAQUETTE(S) |
Matériau(x) |
|
Caractéristique(s) de l'emballage |
|
* Nature et contenu de l'emballage extérieur |
|
Présentation unitaire | PAS DE RENSEIGNEMENT |
Référence(s) bibliographique(s) | |
|
Conditions de délivrance |
|
Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
Statut de la présentation |
|
Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
1. Prix en officine ville | |
Prix de cette présentation (CIP)/date JO | Prix libre |
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) | Non concerné |
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur) | |
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) | Non concerné |
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) | Non concerné |
1. Ville | |
Taux de remboursement |
|
2. Hôpital (Rétrocession - vente au public) | |
Taux de remboursement |
|
Statut(s) du remboursement |
|
SMR spécifique de cette présentation | NON |
Modalité(s) de dispensation |
|
Durée(s) et condition(s) de conservation |
|
* Durée de conservation |
|
Référence(s) officielles(s) : Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
ETAT FEBRILE
|
|
Ce médicament est indiqué dans le traitement symptomatique des états fébriles. |
|
SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
CIM10 |
|
Maladie rare | Non |
DOULEUR
|
|
Ce médicament est indiqué dans le traitement symptomatique des affections douloureuses d'intensité légère à modérée. |
|
SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
CIM10 |
|
Maladie rare | Non |
MIGRAINE
|
|
Ce médicament contient un anti-inflammatoire non stéroïdien : l'ibuprofène. Il est indiqué chez l'adulte dans le traitement de courte durée de la crise de migraine légère à modérée avec ou sans aura après au moins un avis médical. |
|
SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
CIM10 |
|
Maladie rare | Non |
DYSMENORRHEE
|
|
Traitement des dysménorrhées après recherche étiologique. Ce médicament est réservé à l'adulte(plus de 15 ans). (Cf. rubrique "Posologie et mode d'administration") |
|
SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
CIM10 |
|
Maladie rare | Non |
CEPHALEE
|
|
Ce médicament est indiqué pour le soulagement symptomatique des douleurs légères à modérées telles que maux de tête. |
|
SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
CIM10 |
|
Maladie rare | Non |
DOULEUR DENTAIRE
|
|
est indiqué pour le soulagement symptomatique des douleurs légères à modérées telles que douleurs dentaires. |
|
SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
CIM10 |
|
Maladie rare | Non |
DOULEUR MUSCULAIRE
|
|
est indiqué pour le soulagement symptomatique des douleurs légères à modérées telles que douleurs musculaires. |
|
SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
CIM10 |
|
Maladie rare | Non |
DOULEUR RHUMATISMALE
|
|
est indiqué pour le soulagement symptomatique des douleurs légères à modérées telles que douleurs rhumatismales. |
|
SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
CIM10 |
|
Maladie rare | Non |
DORSALGIE
|
|
est indiqué pour le soulagement symptomatique des douleurs légères à modérées telles que mal de dos. |
|
SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
CIM10 |
|
Maladie rare | Non |
NEVRALGIE
|
|
est indiqué pour le soulagement symptomatique des douleurs légères à modérées telles que névralgie. |
|
SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
CIM10 |
|
Maladie rare | Non |
RHUME / CATARRHE / CORYZA / RHINORRHEE / RHINITE
|
|
est indiqué pour le soulagement symptomatique des douleurs légères à modérées telles que symptômes du rhume. |
|
SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
CIM10 |
|
Maladie rare | Non |
ETAT GRIPPAL
|
|
est indiqué pour le soulagement symptomatique des douleurs légères à modérées telles que symptômes de la grippe. |
|
SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
CIM10 |
|
Maladie rare | Non |
Voie(s) d'administration |
|
Terrain(s) physio-pathologique(s) |
|
Indication(s) |
|
Posologie INITIALE | |
Dose | 400 MG/PRISE |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
|
|
Durée de traitement |
|
Posologie MAXIMALE | |
Dose | 1200 MG/JOUR |
Fréquence maximale | ADAPTER |
|
|
Durée de traitement | |
La dose minimale efficace doit être utilisée pendant la durée la plus courte nécessaire pour soulager les symptômes (voir rubrique "Mises en gardes et précautions d'emploi"). * Posologie - Adultes La dose initiale est de 400 mg (1 comprimé) ; elle doit si nécessaire être répétée toutes les 6 heures. La dose quotidienne maximale de 1 200 mg (3 comprimés) ne doit pas être dépassée en 24 heures. - Population pédiatrique Ce médicament ne doit pas être utilisé chez les enfants et les adolescents. Pour les adolescents à partir de 40 kg (plus de 12 ans), l'ibuprofène 200 mg est recommandé. - Durée de traitement Si ce médicament est nécessaire pendant plus de 3 jours en cas de fièvre ou de migraine, ou plus de 5 jours pour le traitement de la douleur ou si les symptômes s'aggravent, il est conseillé au patient de consulter un médecin. - Patients âgés Aucun ajustement posologique spécifique n'est nécessaire. - Patients insuffisants rénaux ou hépatiques Chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique légère à modérée, il convient de faire preuve de prudence et la dose minimale efficace doit toujours être utilisée (pour les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique sévère, voir rubrique "Contre-indications"). |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
Recommandation(s) |
|
|
|
* Précautions particulières d'utilisation, la manipulation et l'élimination Pas d'exigences particulières. Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur. * Incompatibilités Sans objet. |
Voie(s) d'administration |
|
Modalité(s) |
|
* Mode et voie d'administration Voie orale. Utilisation à court terme seulement. Avaler le comprimé sans le croquer avec un grand verre d'eau, de préférence au cours du repas. Les comprimés d'ibuprofène doivent être avalés en entier et ne doivent pas être mâchés, cassés, écrasés, ni sucés, afin d'éviter une gêne buccale ou une irritation de la gorge. * Information complémentaire figurant dans la notice -> Fréquence et moment d'administration Les prises systématiques permettent d'éviter les pics de fièvre ou de douleur. Elles doivent être espacées d'au moins 6 heures. -> Durée du traitement - La durée d'utilisation est limitée à : . 3 jours en cas de fièvre, . 5 jours en cas de douleurs, . pour les spécialités indiquées dans la migraine, la durée d'utilisation ne doit pas dépasser 3 jours. Chez l'enfant et l'adolescent Si le traitement doit être suivi pendant plus de 3 jours ou si les symptômes s'aggravent, il est conseillé au patient de consulter un médecin. Chez l'adulte Si la douleur persiste plus de 5 jours ou la fièvre plus de 3 jours, si elles s'aggravent ou en cas de survenue d'un nouveau trouble, en informer votre médecin. - En cas de crise de migraine la durée de traitement ne devra pas dépasser 3 jours. Si les symptômes persistent s'aggravent ou si de nouveaux symptômes apparaissent, demandez l'avis de votre pharmacien ou de votre médecin. Si vous avez l'impression que l'effet de ce médicament est trop fort ou trop faible: consultez votre médecin ou votre pharmacien. -> Conduite à tenir en cas d'erreur d'administration - Administration par excès Si vous avez pris plus d'ibuprofène que vous n'auriez dû, ou si des enfants ont pris le médicament accidentellement, contactez toujours un médecin ou l'hôpital le plus proche afin d'obtenir un avis sur le risque et des conseils sur les mesures à prendre. Les symptômes peuvent inclure nausées, douleurs abdominales, vomissements (pouvant contenir des traces de sang), maux de tête, bourdonnements dans les oreilles, confusion et de mouvements oculaires instables. A fortes doses, les symptômes suivants ont été signalés : somnolence, douleur thoracique, palpitations, perte de conscience, convulsions (principalement chez les enfants), faiblesse et étourdissements, sang dans les urines, sensation de froid corporel et problèmes respiratoires. - Omission d'une ou plusieurs doses Ne pas prendre de dose double pour compenser la dose simple oubliée. |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
Terrain N° 1 | HYPERSENSIBILITE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 2 | GROSSESSE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 3 | TERRAIN ALLERGIQUE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 4 | ASTHME
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 5 | RHINITE ALLERGIQUE MEDICAMENTEUSE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 6 | OEDEME DE QUINCKE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 7 | URTICAIRE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 8 | ULCERE GASTRODUODENAL
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 9 | PERFORATION DIGESTIVE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 10 | HEMORRAGIE DIGESTIVE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 11 | SAIGNEMENT GASTRO-INTESTINAL
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 12 | TERRAIN HEMORRAGIQUE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 13 | HEMORRAGIE CEREBRALE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 14 | INSUFFISANCE HEPATIQUE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 15 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 16 | INSUFFISANCE CARDIAQUE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 17 | LUPUS ERYTHEMATEUX DISSEMINE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 18 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 19 | VARICELLE |
Niveau(x) |
|
La varicelle peut exceptionnellement être à l'origine de graves complications infectieuses cutanées et des tissus mous. A ce jour, le rôle favorisant des AINS dans l'aggravation de ces infections ne peut être écarté. Il est donc prudent d'éviter l'utilisation de l'ibuprofène en cas de varicelle (voir rubrique "Effets indésirables"). |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 20 | TROUBLE HEMATOLOGIQUE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 21 | DESHYDRATATION
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 22 | PATIENT A RISQUE/FRAGILISE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 23 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 24 | INTERACTION D'ORIGINE ALIMENTAIRE
|
Niveau(x) |
|
Il est recommandé de ne pas prendre d'ibuprofène en même temps que de l'alcool pour éviter d'endommager l'estomac. La prise d'ibuprofène par des patients consommant régulièrement de l'alcool (3 verres ou plus par jour de bière, vin ou autre boisson alcoolisée) peut entraîner des saignements au niveau de l'estomac. |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 25 | ALCOOLISME CHRONIQUE |
Niveau(x) |
|
Il est recommandé de ne pas prendre d'ibuprofène en même temps que de l'alcool pour éviter d'endommager l'estomac. La prise d'ibuprofène par des patients consommant régulièrement de l'alcool (3 verres ou plus par jour de bière, vin ou autre boisson alcoolisée) peut entraîner des saignements au niveau de l'estomac. |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 26 | REGIME ALIMENTAIRE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 27 | FEMME EN AGE DE PROCREER |
Niveau(x) |
|
Altération de la fertilité féminine : L'ibuprofène, comme tout médicament inhibiteur de la synthèse des cyclooxygénases et des prostaglandines, peut altérer la fertilité. Cet effet est réversible à l'arrêt du traitement. Son utilisation n'est pas recommandée chez les femmes qui souhaitent concevoir un enfant. |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 28 | ENFANT |
Niveau(x) |
|
Réservé à l'adulte (plus de 15 ans) (Cf. rubrique "Posologie"). |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 29 | NOURRISSON |
Niveau(x) |
|
Réservé à l'adulte (plus de 15 ans) (Cf. rubrique "Posologie"). |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 30 | NOUVEAU-NE |
Niveau(x) |
|
Réservé à l'adulte (plus de 15 ans) (Cf. rubrique "Posologie"). |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Ce médicament est contre-indiqué dans les situations suivantes : - Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipient. - Antécédent d'hémorragie ou de perforation gastro-intestinale associée à un traitement antérieur par AINS. - Hémorragie ou ulcère gastroduodénal récurrent, passé ou actif (au moins deux épisodes distincts d'ulcération ou de saignement manifeste). - Antécédents connus de réactions d'hypersensibilité (par ex. asthme, bronchospasme, rhinite, angioedème ou urticaire) à l'acide acétylsalicylique ou à d'autres AINS. - Insuffisance hépatique sévère. - Insuffisance rénale sévère. - Insuffisance cardiaque sévère (classe NYHA IV). - Troubles de la coagulation (avec une tendance accrue aux saignements), hémorragie cérébrale ou autre hémorragie active. - Déshydratation significative (causée par des vomissements, une diarrhée ou un apport hydrique insuffisant). - Trois derniers mois de grossesse. |
|
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
Terrain N° 31 | HYPERSENSIBILITE
|
Niveau(x) |
|
Attention Il existe des réactions connues d'allergie croisée concernant les anti-inflammatoires non stéroïdiens et dérivés salicylés. Réf : Kim SH, Sanak M, Park HS - Immunol Allergy Clin North Am - May 2013; 33(2); 177-94 |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 1 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 2 | FIEVRE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 3 | DOULEUR |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 4 | INFECTION |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 5 | PNEUMOPATHIE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 6 | BRONCHOPNEUMOPATHIE CHRONIQUE OBSTRUCT |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 7 | CONNECTIVITE / COLLAGENOSE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 8 | RHINITE ALLERGIQUE POLLINIQUE/SAISONNIERE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 9 | TYPE PARTICULIER DE TRAITEMENT
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 10 | INTERACTION D'ORIGINE ALIMENTAIRE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 11 | ALCOOLISME CHRONIQUE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 12 | CIRRHOSE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 13 | ASTHME
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 14 | POLYPOSE NASALE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 15 | RHINITE CHRONIQUE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 16 | SINUSITE CHRONIQUE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 17 | TERRAIN ALLERGIQUE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 18 | ATTEINTE GASTROINTESTINALE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 19 | COLITE ULCEREUSE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 20 | CROHN MALADIE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 21 | RECTOCOLITE HEMORRAGIQUE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 22 | SUJET AGE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 23 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 24 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 25 | SYNDROME NEPHROTIQUE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 26 | ATTEINTE RENALE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 27 | ATTEINTE RENALE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 28 | ATTEINTE HEPATIQUE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 29 | INSUFFISANCE HEPATIQUE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 30 | INSUFFISANCE CARDIAQUE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 31 | INSUFFISANCE CARDIAQUE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 32 | DESHYDRATATION
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 33 | HYPOVOLEMIE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 34 | RETENTION HYDROSODEE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 35 | MALADIE CEREBROVASCULAIRE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 36 | ACCIDENT VASCULAIRE CEREBRAL
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 37 | HYPERTENSION ARTERIELLE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 38 | HYPERTENSION ARTERIELLE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 39 | INSUFFISANCE CARDIAQUE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 40 | CARDIOPATHIE ISCHEMIQUE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 41 | ANGOR |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 42 | INTERVENTION CHIRURGICALE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 43 | TROUBLE ARTERIEL PERIPHERIQUE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 44 | ARTERIOPATHIE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 45 | HYPERLIPIDEMIE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 46 | DIABETE TYPE I |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 47 | DIABETE TYPE II |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 48 | DIABETE AUTRE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 49 | DIABETE INSIPIDE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 50 | TABAGISME |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 51 | ATTEINTE CUTANEE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 52 | TROUBLE DE LA VISION |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 53 | PORPHYRIE CUTANEE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 54 | PORPHYRIE CUTANEE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 55 | PORPHYRIE HEPATIQUE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 56 | PORPHYRIE HEPATIQUE |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 57 | ADULTE JEUNE (15-17 ANS)
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 58 | VARICELLE
|
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
La survenue d'effets indésirables peut être minimisée par l'utilisation de la dose minimale efficace pendant la durée la plus courte possible pour soulager les symptômes (voir rubrique " Posologie et mode d'administration ", et le paragraphe sur les risques gastro-intestinaux et cardiovasculaires ci-dessous). La prudence est de mise dans les cas suivants : - antécédents d'hypertension ou d'insuffisance cardiaque congestive ; - cardiopathie ischémique avérée ; - artériopathie périphérique et/ou une maladie cérébrovasculaire ; - rectocolite hémorragique, maladie de Crohn ; - lupus érythémateux disséminé (LED) ou autres maladies auto-immunes. * Effets cardiovasculaires et cérébrovasculaires Les études cliniques suggèrent que l'utilisation d'ibuprofène, en particulier à une dose élevée (2 400 mg/jour), pourrait être associée à un risque légèrement accru d'événements thrombotiques artériels (notamment infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral). Dans l'ensemble, les études épidémiologiques ne suggèrent pas qu'une dose faible d'ibuprofène (< ou = 1200 mg/jour) soit associée à un risque accru d'événements thrombotiques artériels. Les patients présentant une hypertension non contrôlée, une insuffisance cardiaque congestive (NYHA II-III), une cardiopathie ischémique avérée, une artériopathie périphérique et/ou une maladie cérébrovasculaire doivent recevoir de l'ibuprofène uniquement après un examen approfondi, et les doses élevées (2400 mg/jour) doivent être évitées. Il convient également de faire preuve d'une attention particulière avant l'instauration d'un traitement à long terme chez des patients présentant des facteurs de risque d'événements cardiovasculaires (notamment hypertension, hyperlipidémie, diabète, tabagisme), en particulier si des doses élevées d'ibuprofène (2400 mg/jour) sont nécessaires. La prudence est requise avant de commencer le traitement chez les patients présentant des antécédents d'hypertension et/ou d'insuffisance cardiaque, car une rétention hydrique et un oedème ont été signalés en association avec le traitement par AINS (il convient d'en discuter avec le médecin ou le pharmacien). * Effets gastro-intestinaux Les patients âgés présentent un risque accru de réactions indésirables aux AINS, en particulier des hémorragies et perforations gastro-intestinales potentiellement fatales (voir rubrique " Posologie et mode d'administration "). Des hémorragies, ulcérations ou perforations gastro-intestinales potentiellement fatales ont été rapportées avec tous les AINS, à tout moment du traitement, avec ou sans symptômes d'alerte ou antécédents d'effets indésirables gastro-intestinaux graves. Le risque d'hémorragie, d'ulcération ou de perforation gastro-intestinale augmente de façon proportionnelle avec les doses d'AINS chez les patients présentant un antécédent d'ulcère, en particulier en cas de complication avec hémorragie ou perforation (voir rubrique " Contre-indications "), ainsi que chez le patient âgé. Ces patients doivent débuter le traitement par la plus faible dose possible. La co-administration d'agents protecteurs (par ex. misoprostol ou inhibiteurs de la pompe à protons) doit être envisagée pour ces patients, ainsi que pour les patients nécessitant un traitement concomitant par acide acétylsalicylique à faible dose ou d'autres médicaments susceptibles d'augmenter le risque gastro-intestinal (voir ci-dessous, et rubrique " Interactions "). La prudence doit être recommandée chez les patients recevant un traitement concomitant susceptible d'augmenter le risque d'ulcération ou de saignement, notamment corticoïdes par voie orale, anticoagulants tels que la warfarine, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ou antiplaquettaires tels que l'acide acétylsalicylique (voir rubrique " Interactions "). En cas d'hémorragie ou d'ulcération gastro-intestinale chez des patients sous ibuprofène, il est recommandé d'arrêter le traitement. Les AINS doivent être administrés avec précaution chez les patients présentant un antécédent de maladie gastro-intestinale (rectocolite hémorragique, maladie de Crohn) car ces maladies peuvent s'aggraver (voir rubrique " Effetts indésirables "). * Effets hépatiques La fonction hépatique doit être étroitement surveillée chez les patients traités par ibuprofène qui rapportent des symptômes compatibles avec une insuffisance hépatique (anorexie, nausées, vomissements, jaunisse) et/ou des anomalies de la fonction hépatique (transaminases, bilirubine, phosphatase alcaline, gamma-GT). En présence de taux de transaminases, de bilirubine conjuguée ou de phosphatase alcaline supérieurs à 2 fois la limite supérieure de la normale, le traitement doit être immédiatement interrompu et des examens doivent être prescrits de sorte à clarifier la situation. La réadministration d'ibuprofène doit être évitée. * Effets rénaux Au début du traitement, comme avec les autres AINS, l'ibuprofène doit être administré avec prudence en cas de déshydratation importante. La prudence s'impose chez les patients atteints d'une insuffisance rénale, cardiaque ou hépatique, car la fonction rénale peut se détériorer. * Réactions cutanées sévères Des réactions cutanées graves, certaines fatales, notamment dermatite exfoliatrice, syndrome de Stevens-Johnson et syndrome de Lyell ont été très rarement rapportées en association avec l'utilisation d'AINS (voir rubrique " Effetts indésirables "). Le risque de ces réactions pour les patients semble tout particulièrement élevé en début de traitement, la réaction apparaissant, dans la majeure partie des cas, au cours du premier mois du traitement. Une pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG) a été rapportée en relation avec des produits contenant de l'ibuprofène. Le traitement par ibuprofène doit être interrompu dès les premiers signes et symptômes de réactions cutanées sévères, notamment éruption cutanée, lésions des muqueuses ou tout autre signe d'hypersensibilité. * Effets sur l'agrégation plaquettaire L'ibuprofène, comme les autres AINS, peut inhiber l'agrégation plaquettaire et prolonger le temps de saignement chez les patients en bonne santé. * Troubles visuels En cas de troubles visuels apparaissant au cours du traitement par ibuprofène, le médicament doit être immédiatement arrêté et un examen ophtalmologique complet doit être réalisé. * Lupus érythémateux disséminé Il doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints de lupus érythémateux disséminé et de maladie du tissu conjonctif mixte, en raison d'un risque accru de méningite aseptique (voir rubrique " Effets indésirables "). * Effets respiratoires Un bronchospasme peut survenir chez les patients présentant des symptômes ou un antécédent d'asthme bronchique ou de maladies allergiques. * Autres effets L'utilisation concomitante de l'ibuprofène avec d'autres AINS, y compris les inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2, doit être évitée en raison de l'effet additif potentiel. * Dissimulation de symptômes d'infections sous-jacentes L'ibuprofène peut masquer les symptômes d'infection, ce qui peut retarder le début du traitement approprié et ainsi aggraver l'issue de l'infection. Cela a été observé dans des cas de pneumonie bactérienne communautaire et de complications bactériennes de la varicelle. Lorsque l'ibuprofène est administré pour soulager la fièvre ou la douleur dans le cadre d'une infection, il est conseillé de surveiller l'infection. En milieu extra-hospitalier, le patient doit consulter un médecin si les symptômes persistent ou s'aggravent. La consommation d'alcool est déconseillée pendant le traitement. |
|
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
Terrain N° 59 | INFECTION VIRALE
|
Niveau(x) |
|
* Communiqué de presse de l'AFSSAPS du 15 juillet 2004 Fièvre et douleur chez l'enfant atteint de varicelle : L'utilisation d'anti-inflammmatoires non stéroïdiens n'est pas recommandée. A la suite d'une enquête de pharmacovigilance déclenchée par l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS) pour l'ensemble des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) indiqués chez l'enfant, quelques cas parfois graves de complications infectieuses cutanées et sous-cutanées ont été identifiés chez des enfants atteints de varicelle (cf. Effets indésirables). Les rares études scientifiques ne permettent pas, aujourd'hui, d'affirmer ou d'exclure le rôle des AINS dans la survenue de complications infectieuses, la varicelle pouvant elle-même conduire à ces complications, en l'absence de tout traitement par AINS. Toutefois, ces complications infectieuses, qui peuvent être graves dans des cas exceptionnels, ont conduit l'AFSSAPS à renforcer les précautions d'emploi et les mises en garde de tous les AINS indiqués chez l'enfant, en considérant qu'il est prudent d'éviter leur utilisation en cas de varicelle. Dès lors, en cas de varicelle ou de suspicion de varicelle : - Le traitement de la fièvre et/ou de la douleur en première intention chez l'enfant est le paracétamol, en raison de sa bonne tolérance à doses thérapeutiques, associés aux moyens physiques habituels (déshabillage, bains, enveloppement humide, hydratation). - Il est rappelé que l'aspirine ne doit pas être administrée sans avis médical, en raison du risque de survenue d'une maladie rare mais grave (Syndrome de Reye) - Une hyperthermie résistante doit motiver un avis médical pour réadaptation du traitement. |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 60 | EXPOSITION A UNE TEMPERATURE EXTREME |
Niveau(x) |
|
Référence(s) officielle(s) |
|
CIM 10 |
|
Terrain N° 1 |
|
Niveau(x) |
|
La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques. La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes. Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement. Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés. Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets. Le médicament de première intention pour un porteur de porphyrie hépatique aigüe est toujours celui classé comme autorisé. En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries. |
|
CIM10 |
|
Terrain N° 2 |
|
Niveau(x) |
|
La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques. La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes. Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement. Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés. Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets. Le médicament de première intention pour un porteur de porphyrie hépatique aigüe est toujours celui classé comme autorisé. En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries. |
|
CIM10 |
|
* L'ibuprofène doit être évité en association avec les médicaments suivants : Acide acétylsalicylique : L'administration concomitante d'ibuprofène et d'acide acétylsalicylique est généralement déconseillée. Les données expérimentales suggèrent que l'ibuprofène peut inhiber de façon compétitive l'effet de l'acide acétylsalicylique à faible dose sur l'agrégation plaquettaire en cas d'administration concomitante. Bien qu'il existe des incertitudes en ce qui concerne l'extrapolation de ces données en clinique, la possibilité qu'une utilisation d'ibuprofène régulière et à long terme soit susceptible de réduire l'effet cardioprotecteur de l'acide acétylsalicylique à faible dose ne peut pas être exclue. Aucun effet cliniquement pertinent n'est considéré comme probable en cas d'utilisation occasionnelle (voir rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). Autres AINS : éviter l'utilisation concomitante de deux AINS ou plus, y compris les inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2, en raison de l'effet additif potentiel. * L'ibuprofène doit être utilisé avec prudence en association avec les médicaments suivants : Anticoagulants oraux : Les AINS peuvent augmentent les effets des anticoagulants tels que la warfarine (voir rubrique "Mise en gardes et précautions d'emploi"). Antihypertenseurs (inhibiteurs de l'ECA et antagonistes de l'angiotensine II) et diurétiques : les AINS peuvent diminuer les effets de ces médicaments. Chez certains patients présentant une altération de la fonction rénale (par ex. patients déshydratés ou patients âgés atteints d'insuffisance rénale), la co-administration d'un inhibiteur de l'ECA ou d'un antagoniste de l'angiotensine II et d'un inhibiteur de la cyclo-oxygénase-2 peut provoquer une détérioration supplémentaire de la fonction rénale, y compris insuffisance rénale aiguë éventuelle, laquelle est généralement réversible. Ces interactions doivent être envisagées chez les patients recevant un coxib en association avec des inhibiteurs de l'ECA ou des antagonistes de l'angiotensine II. L'association devra donc être administrée avec prudence, en particulier chez les patients âgés. Les patients devront être correctement hydratés et une surveillance de la fonction rénale devra être envisagée après l'instauration de l'association thérapeutique, puis périodiquement par la suite. Corticoïdes : L'utilisation concomitante de corticoïdes et d'ibuprofène peut augmenter le risque d'ulcération ou d'hémorragie gastro-intestinale (voir rubrique "Mise en gardes et précautions d'emploi"). Antiplaquettaires et inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) : L'administration concomitante d'AINS et d'antiplaquettaires ou d'inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine augmente le risque d'hémorragie gastro-intestinale (voir rubrique "Mise en gardes et précautions d'emploi"). Glucosides cardiotoniques : Les AINS peuvent exacerber l'insuffisance cardiaque, réduire le DFG et augmenter les taux plasmatiques de glucosides. Lithium : L'ibuprofène, comme les autres AINS, ne doit pas être utilisé en association avec le lithium. Il est possible que les taux plasmatiques de lithium augmentent. Méthotrexate : L'ibuprofène, comme les autres AINS, ne doit pas être utilisé en association avec le méthotrexate. Il est possible que les taux plasmatiques de méthotrexate augmentent. Ciclosporine : L'administration concomitante d'AINS et de ciclosporine présente un risque accru de néphrotoxicité. Mifépristone : Les AINS ne doivent pas être utilisés pendant les 8 à 12 jours qui suivent l'administration de la mifépristone, car ils peuvent réduire l'effet de la mifépristone. Tacrolimus : L'administration concomitante d'AINS et de tacrolimus présente un risque accru de néphrotoxicité. Zidovudine : Il existe des preuves d'un risque accru d'hémarthroses et d'hématomes chez les patients hémophiles VIH positifs recevant un traitement simultané par zidovudine et ibuprofène. Quinolones : Les données obtenues chez l'animal indiquent que les AINS peuvent augmenter le risque de convulsions associées aux quinolones. Les patients sous AINS et quinolones peuvent présenter un risque accru de convulsions. * L'ibuprofène peut également interagir avec les médicaments suivants : - Cholestyramine - Ticlopidine - Aminosides - Ginkgo biloba - Inhibiteurs du CYP2C9 - Antidiabétiques oraux (sulfonylurées) - Phénytoïne - Probénécide ou sulfinpyrazone |
|
Référence(s) officielle(s):  Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
Niveau(x) de risque |
|
L'inhibition de la synthèse des prostaglandines peut avoir des effets indésirables sur la grossesse et/ou le développement de l'embryon/du foetus. Les données tirées des études épidémiologiques évoquent un risque accru de fausse couche, de malformation cardiaque et de laparoschisis après la prise d'un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines en début de grossesse. Le risque absolu de malformation cardiaque passe de moins de 1% à approximativement 1,5%. Il semble que le risque augmente avec la dose et la durée du traitement. Chez l'animal, il a été montré que l'administration d'un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines entraîne une perte accrue avant et après l'implantation ainsi qu'une mortalité embryo-foetale. De plus, une augmentation des incidences de diverses malformations, y compris cardiovasculaires, a été rapportée chez les animaux ayant reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines pendant la période d'organogenèse. Au cours du premier et du second trimestre de la grossesse, l'ibuprofène ne doit pas être administré, sauf nécessité absolue. Si l'ibuprofène est utilisé chez une femme qui désire une grossesse, ou pendant le premier et le second trimestre de la grossesse, la dose devra rester aussi faible que possible et la durée du traitement aussi courte que possible. Au cours du troisième trimestre de la grossesse, tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent exposer : - Le foetus à : . une toxicité cardio-pulmonaire (fermeture prématurée du canal artériel, hypertension artérielle pulmonaire) ; . une atteinte fonctionnelle rénale, pouvant évoluer vers une insuffisance rénale avec oligo-hydramnios. - La mère et le nouveau-né, à la fin de la grossesse, à : . un allongement du temps de saignement, un effet antiagrégant plaquettaire susceptible de survenir même à de très faibles doses ; . une inhibition des contractions utérines retardant ou allongeant la durée du travail. - Par conséquent, l'ibuprofène est contre-indiqué pendant le troisième trimestre de la grossesse (Cf. rubrique "Contre-indications"). |
|
Conduite à tenir chez la femme enceinte |
|
Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
Recommandations |
|
Il a été prouvé que les médicaments qui inhibent l'activité de la cyclo-oxygénase/ la synthèse des prostaglandines peuvent altérer la fertilité de la femme en agissant sur l'ovulation. Ceci est réversible à l'arrêt du traitement. |
|
Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
Passage dans le lait | Oui |
Fixation protéique | Pas d'information |
Rapport concentration lait/plasma maternels | Pas d'information |
Concentration dans 100 ml de lait maternel | Pas d'information |
Recommandations |
|
Dans un nombre limité d'études, l'ibuprofène était présent à de très faible concentration dans le lait maternel, un effet nocif sur l'enfant allaité est peu probable. |
|
Référence(s) officielle(s): | Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
Recommandations |
|
Pour les traitements de courte durée, ce médicament n'a pas ou a un effet négligeable sur la capacité de conduire ou sur l'utilisation de machines. |
|
Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 09/03/2023 |
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
Site internet: www.ansm.sante.fr.
TROUBLES DU SYSTEME IMMUNITAIRE |
TROUBLES SYSTEMES SANGUIN ET LYMPHATIQUE |
TROUBLES HEPATO-BILIAIRES |
TROUBLES RENAUX ET GENITO-URINAIRES |
Page générée en 0.6441 seconde(s)