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Terrain N° 1 | TERRAIN ALLERGIQUE |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | ATTEINTE CUTANEE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | PHOTOSENSIBILITE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | ATTEINTE MENINGEE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | TENDANCE SUICIDAIRE / SUICIDE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | INSUFFISANCE HEPATIQUE |
Niveau(x) |
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Les posologies initiales, d'augmentation et d'entretien doivent généralement être réduites d'approximativement 50 % chez les patients ayant une insuffisance hépatique modérée (Child-Pugh de grade B) et de 75 % chez les insuffisants hépatiques sévères (Child-Pugh de grade C). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | NOUVEAU-NE |
Niveau(x) |
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Les données concernant la tolérance et l'efficacité de la lamotrigine en association à un autre traitement dans les crises partielles des enfants âgés de 1 mois à 2 ans sont limitées. Il n'y a aucune donnée chez les enfants de moins d'un mois. Par conséquent, l'utilisation de ce médicment n'est pas recommandée chez les enfants de moins de 2 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | NOURRISSON
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Niveau(x) |
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Les données concernant la tolérance et l'efficacité de la lamotrigine en association à un autre traitement dans les crises partielles des enfants âgés de 1 mois à 2 ans sont limitées. Il n'y a aucune donnée chez les enfants de moins d'un mois. Par conséquent, l'utilisation de ce médicment n'est pas recommandée chez les enfants de moins de 2 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | NOURRISSON
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Niveau(x) |
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Dans les troubles bipolaires L'utilisation de ce médicament n'est pas recommandée chez les enfants de moins de 18 ans suite aux résultats d'une étude comportant une phase en ouvert puis une phase randomisée en double aveugle versus placebo qui n'a démontré aucune efficacité significative et a montré une augmentation des cas de tendances suicidaires. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | ENFANT |
Niveau(x) |
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Dans les troubles bipolaires L'utilisation de ce médicament n'est pas recommandée chez les enfants de moins de 18 ans suite aux résultats d'une étude comportant une phase en ouvert puis une phase randomisée en double aveugle versus placebo qui n'a démontré aucune efficacité significative et a montré une augmentation des cas de tendances suicidaires. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | ADULTE JEUNE (15-17 ANS)
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Niveau(x) |
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Dans les troubles bipolaires L'utilisation de ce médicament n'est pas recommandée chez les enfants de moins de 18 ans suite aux résultats d'une étude comportant une phase en ouvert puis une phase randomisée en double aveugle versus placebo qui n'a démontré aucune efficacité significative et a montré une augmentation des cas de tendances suicidaires. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 16 | ATTEINTE MENINGEE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 17 | GROUPE ETHNIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 18 | FIEVRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 19 | URTICAIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 20 | TROUBLE NEUROLOGIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 21 | HEPATOMEGALIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 22 | SPLENOMEGALIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 23 | LYMPHADENOPATHIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 24 | CYTOPENIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 25 | HYPERLIPIDEMIE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 26 | ATTEINTE HEPATIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 27 | TROUBLE DE LA COAGULATION |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 28 | SURCHARGE MARTIALE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 29 | BRUGADA SYNDROME |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 30 | CARDIOPATHIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 31 | INSUFFISANCE CARDIAQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 32 | CARDIOPATHIE ISCHEMIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 33 | BLOC CARDIAQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 34 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 35 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 36 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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- Eruption cutanée Des effets indésirables cutanés ont été signalés, ils sont généralement survenus dans les 8 premières semaines après l'instauration du traitement par la lamotrigine. Si la majorité des éruptions sont bénignes et transitoires, des éruptions cutanées graves nécessitant une hospitalisation et un arrêt de la lamotrigine ont également été rapportées. Cela inclut des éruptions pouvant mettre en jeu le pronostic vital, comme le syndrome de Stevens-Johnson (SSJ), le syndrome de Lyell (nécrolyse épidermique toxique (NET)) et le syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome DRESS) ; aussi appelé syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse (SHS) (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Chez les adultes recrutés dans les essais utilisant les recommandations posologiques actuelles de la lamotrigine, l'incidence des éruptions cutanées graves est environ 1 pour 500 patients épileptiques. Environ la moitié de ces cas a été rapportée comme étant des syndromes de Stevens-Johnson (1 pour 1000). Dans les essais cliniques chez les patients atteints de troubles bipolaires, l'incidence des éruptions cutanées graves est d'environ 1 pour 1000. Ce risque d'éruptions cutanées graves est plus élevé chez l'enfant que chez l'adulte. Les données disponibles issues de nombreux essais cliniques suggèrent que l'incidence des éruptions ayant conduit à une hospitalisation chez des enfants soit de l'ordre de 1 pour 300 à 1 pour 100. Chez les enfants, l'aspect initial d'une éruption cutanée peut faire penser à une infection, les médecins doivent envisager l'éventualité d'une réaction au traitement par la lamotrigine chez les enfants développant des symptômes d'éruptions cutanées et de fièvre durant les huit premières semaines de traitement. De plus, le risque global d'éruptions semble être fortement lié à : . des posologies initiales de lamotrigine élevées et dépassant le schéma d'escalade de dose recommandée du traitement par la lamotrigine (Cf. rubrique "Posologie et mode d'administration"), . l'utilisation concomitante de valproate (Cf. rubrique "Posologie et mode d'administration"). Des précautions sont également exigées lors du traitement de patients ayant des antécédents d'allergie ou d'éruptions avec d'autres AEs étant donné que la fréquence d'éruptions cutanées non sévères après un traitement par la lamotrigine a été environ trois fois plus élevée chez ces patients que chez ceux n'ayant pas de tels antécédents. Il a été observé que la présence de l'allèle HLA-B*1502 chez les sujets d'origine asiatique (principalement les Chinois Han et les Thaïlandais) est associée au risque de développer un SSJ/NET lors d'un traitement par la lamotrigine. Si l'on sait que ces patients sont positifs pour l'allèle HLA-B*1502, l'utilisation de la lamotrigine doit être envisagée avec précaution. Tous les patients (adultes et enfants) qui développent une éruption doivent être rapidement évalués et Lamicstart doit être arrêté immédiatement à moins que l'éruption ne soit clairement pas liée à la lamotrigine. Il est recommandé de ne pas réintroduire ce médicament chez les patients l'ayant interrompu en raison d'une éruption associée à un traitement antérieur par la lamotrigine, à moins que le bénéfice potentiel ne dépasse clairement le risque. Si le patient a développé un SSJ, une NET ou un DRESS sous lamotrigine, le traitement avec de la lamotrigine ne devra jamais être repris chez ce patient. L'éruption cutanée a également été rapportée dans le cadre d'un DRESS ; aussi connu sous le nom de syndrome d'hypersensibilité. Cette maladie est associée à un tableau variable de symptômes systémiques incluant fièvre, adénopathies, œdèmes de la face, anomalies hématologiques, hépatiques, rénales et méningite aseptique (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Le syndrome d'expression clinique variable peut, rarement, conduire à une coagulation intra-vasculaire disséminée (CIVD) et à une défaillance multiviscérale. Il est important de noter que des réactions précoces d'hypersensibilité (par exemple fièvre, adénopathies) peuvent être observées alors qu'une éruption cutanée n'est pas évidente. Si ces signes et symptômes surviennent le patient doit alors être immédiatement examiné et ce médicament interrompu si une autre étiologie ne peut être établie. La méningite aseptique était réversible à l'arrêt du traitement dans la majorité des cas, mais était récurrente dans un certain nombre de cas lors d'une ré-exposition à la lamotrigine. La ré-exposition entrainait la réapparition rapide des symptômes qui étaient fréquemment plus sévères. La lamotrigine ne doit pas être réintroduite chez des patients l'ayant interrompue en raison d'une méningite aseptique due au traitement par la lamotrigine. Des réactions de photosensibilité associées à l'utilisation de lamotrigine ont également été signalées (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Dans plusieurs cas, la réaction s'est produite avec une dose élevée (400 mg ou plus), en cas d'augmentation de la dose ou d'une augmentation rapide du titrage. Si l'on soupçonne une photosensibilité associée à la lamotrigine chez un patient présentant des signes de photosensibilité (tels qu'un coup de soleil exagéré), il convient d'envisager l'arrêt du traitement. Si la poursuite du traitement par lamotrigine est jugée cliniquement justifiée, il convient de conseiller au patient d'éviter de s'exposer au soleil et à la lumière UV artificielle et de prendre des mesures de protection (par ex. utilisation de vêtements de protection et d'écrans solaires). - Lymphohistiocytose hémophagocytaire (LHH) Des cas de LHH ont été rapportés chez des patients traités par lamotrigine (voir rubrique 4.8). La LHH est caractérisée par des signes et des symptômes tels que de la fièvre, une éruption cutanée, des symptômes neurologiques, une hépatosplénomégalie, une lymphadénopathie, une cytopénie, une élévation du taux sérique de ferritine, une hypertriglycéridémie ainsi que des anomalies de la fonction hépatique et de la coagulation. Les symptômes surviennent généralement dans les 4 semaines suivant le début du traitement. La LHH peut menacer le pronostic vital. Les patients doivent être informés des symptômes associés à la LHH et doivent consulter immédiatement un médecin s'ils présentent ces symptômes lors d'un traitement par lamotrigine. Les signes et symptômes apparaissant chez les patients doivent être immédiatement évalués et le diagnostic d'une LHH doit être envisagé. Le traitement par lamotrigine doit être immédiatement interrompu à moins qu'une étiologie différente puisse être établie. - Aggravation clinique et risque suicidaire Des idées et comportement suicidaires ont été rapportés chez des patients traités par des AEs dans plusieurs indications. Une méta-analyse d'essais randomisées, contrôlés versus placebo portant sur des AEs a également montré une légère augmentation du risque d'idées et de comportements suicidaires. Les causes de ce risque ne sont pas connues et les données disponibles n'excluent pas la possibilité d'une augmentation de ce risque pour la lamotrigine. Par conséquent les patients doivent être étroitement surveillés pour tout signe d'idées et de comportements suicidaires et un traitement approprié doit être envisagé. Il doit être recommandé aux patients (et à leur personnel soignant) de demander un avis médical en cas de survenue de signes d'idées et de comportements suicidaires. Les patients atteints de troubles bipolaires peuvent avoir une aggravation de leurs symptômes dépressifs et/ou l'émergence d'idées ou comportements suicidaires qu'ils prennent ou non des médicaments pour les troubles bipolaires, y compris ce médicament. De ce fait, les patients sous lamotrigine pour des troubles bipolaires doivent être étroitement surveillés pour toute aggravation clinique (incluant le développement de nouveaux symptômes) et pour des idées et comportements suicidaires, particulièrement à l'instauration du traitement, ou lors de modifications posologiques. Certains patients, tels que ceux ayant des antécédents d'idées ou de comportements suicidaires, les jeunes adultes, et ceux exprimant un degré significatif d'idées suicidaires avant le début du traitement, peuvent être plus à risque de pensées suicidaires ou de tentatives de suicide et doivent faire l'objet d'une surveillance attentive pendant le traitement. Il faut envisager un changement du schéma posologique voire un éventuel arrêt du médicament, chez les patients ayant une aggravation clinique (incluant le développement de nouveaux symptômes) et/ou l'émergence d'idées/comportements suicidaires, particulièrement si ces symptômes sont sévères, surviennent brutalement ou ne faisaient pas partie des symptômes présentés par le patient. - Contraceptifs hormonaux . Effets des contraceptifs hormonaux sur l'efficacité de la lamotrigine L'utilisation de l'association éthinylestradiol/lévonorgestrel (30 microgrammes/150 microgrammes) multiplie environ par 2 la clairance de la lamotrigine, entraînant une diminution des taux de lamotrigine (Cf. rubrique "Interactions"). Une diminution des taux de lamotrigine a été associée à une perte de contrôle des crises. Après titration, une augmentation de la posologie d'entretien de la lamotrigine (jusqu'à 2 fois la dose initiale) sera nécessaire dans la plupart des cas pour atteindre la réponse thérapeutique maximale. Lors de l'arrêt d'un contraceptif hormonal, la clairance de la lamotrigine peut être réduite de moitié. Des augmentations de taux de la lamotrigine peuvent être associées à des effets indésirables dose dépendants. Les patients doivent être suivis en conséquence. Chez les femmes ne prenant pas encore d'inducteurs de la glucuronisation de la lamotrigine et prenant un contraceptif hormonal qui inclut une semaine de traitement inactif (par exemple "une semaine sans prise de pilule") des augmentations progressives et transitoires des taux de lamotrigine surviendront durant la semaine de traitement inactif (Cf. rubrique "Posologie et mode d'administration"). Ce type de variations des taux de lamotrigine peut être associé à des effets indésirables. Dans ce cas, il faut envisager, en première intention, l'utilisation d'une contraception n'incluant pas une semaine sans prise de pilule (par exemple, contraceptif hormonal continu ou méthodes non hormonales). Les interactions entre la lamotrigine et d'autres contraceptifs oraux ou traitements hormonaux substitutifs n'ont pas été étudiées, bien qu'ils puissent affecter de la même façon les paramètres pharmacocinétiques de la lamotrigine. . Effets de la lamotrigine sur l'efficacité des contraceptifs hormonaux Une étude d'interaction chez 16 volontaires sains a montré une faible augmentation de la clairance du lévonorgestrel et des changements des taux de FSH et LH sériques (Cf. rubrique "Interactions") lorsque la lamotrigine était administrée de façon concomitante à un contraceptif hormonal (association éthinylestradiol/ lévonorgestrel). L'impact de ces changements sur l'activité ovulatoire ovarienne est inconnu. Cependant on ne peut exclure la possibilité que ces changements conduisent à une diminution de l'efficacité du contraceptif chez certaines patientes prenant des spécialités à base d'hormones avec un traitement par lamotrigine. Aussi les patientes doivent être informées de la nécessité de rapporter rapidement tout changement de leur cycle menstruel tel qu'un saignement imprévu. - Dihydrofolate réductase La lamotrigine est un faible inhibiteur de la dihydrofolate réductase et pourrait donc interférer avec le métabolisme des folates lors d'un traitement à long terme (Cf. rubrique "Grossesse et allaitement"). Toutefois, dans le cadre d'une utilisation prolongée, la lamotrigine n'a pas induit de changements significatifs de la concentration en hémoglobine, du volume globulaire moyen, ou des concentrations en folates du sérum ou des hématies pendant un an, ni de changements significatifs de la concentration en folates des hématies pendant 5 ans. - Insuffisance rénale Chez les insuffisants rénaux en stade terminal, des études en administration unique n'ont pas révélé de modifications significatives des concentrations plasmatiques en lamotrigine. Cependant une accumulation du métabolite glucuronoconjugué est à prévoir et des précautions d'emploi doivent donc être prises pour le traitement de ces patients. - Patients prenant d'autres spécialités contenant de la lamotrigine Ce médicament ne doit pas être administré aux patients déjà traités par toute autre préparation contenant de la lamotrigine sans consultation médicale. ECG typique du syndrome de Brugada et autres anomalies du rythme cardiaque et de la conduction Des anomalies arythmogènes du segment ST-T et un tracé d'ECG typique du syndrome de Brugada ont été rapportés chez des patients traités par lamotrigine. Sur la base de résultats in vitro, la lamotrigine pourrait potentiellement ralentir la conduction ventriculaire (élargissement du QRS) et induire une proarythmie à des concentrations thérapeutiques pertinentes chez les patients atteints de maladie cardiaque. La lamotrigine se comporte comme un agent antiarythmique faible de classe IB avec des risques potentiels associés d'événements cardiaques graves ou mortels. L'utilisation concomitante d'autres bloqueurs des canaux sodiques peut encore augmenter les risques (Cf. rubrique "Sécurité clinique"). Aux doses thérapeutiques allant jusqu'à 400 mg/jour, la lamotrigine n'a pas ralenti la conduction ventriculaire (élargissement du QRS) ni provoqué d'allongement de l'intervalle QT dans une étude approfondie sur l'intervalle QT menée chez des individus sains. L'utilisation de la lamotrigine doit être soigneusement évaluée chez les patients présentant une maladie cardiaque structurelle ou fonctionnelle cliniquement importante telle que le syndrome de Brugada ou d'autres canalopathies cardiaques, une insuffisance cardiaque, une cardiopathie ischémique, un bloc cardiaque ou des arythmies ventriculaires. Si la lamotrigine est cliniquement justifiée chez ces patients, la consultation d'un cardiologue doit être envisagée avant d'initier la lamotrigine. - Excipients Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé, c'est-à-dire qu'il est essentiellement ‘'sans sodium''. - Développement chez les enfants Il n'existe aucune donnée sur l'effet de la lamotrigine sur la croissance, la maturation sexuelle et les développements cognitifs, émotionnels et comportementaux des enfants. - Précautions relatives à l'épilepsie Comme avec d'autres AEs, l'arrêt brutal de ce médicament peut provoquer des crises par un effet rebond. La posologie de ce médicament doit être progressivement réduite sur une période de deux semaines, sauf s'il s'agit de problèmes de tolérance (par exemple éruption cutanée) nécessitant un arrêt brutal du traitement. D'après des données issues de la littérature, des crises convulsives sévères incluant l'état de mal peuvent conduire à une rhabdomyolyse, une défaillance multiviscérale et une coagulation intra-vasculaire disséminée pouvant parfois conduire au décès. Des cas similaires sont survenus en association avec l'utilisation de lamotrigine. Une aggravation clinique significative de la fréquence des crises peut être observée au lieu d'une amélioration de celle-ci. Chez les patients présentant plusieurs types de crise, le bénéfice observé sur le contrôle d'un type de crise doit être pondéré face à une aggravation d'un autre type de crise. Les crises myocloniques peuvent être aggravées par la lamotrigine. Les données suggèrent que les réponses au traitement lors d'une association à des inducteurs enzymatiques sont moindres comparées à une association à des médicaments anti-épileptiques non inducteurs enzymatiques. La cause en est mal connue. Chez les enfants prenant de la lamotrigine pour le traitement d'absences typiques, l'efficacité peut ne pas se maintenir chez tous les patients. - Précautions relatives aux troubles bipolaires . Enfants et adolescents de moins de 18 ans Le traitement par anti-dépresseurs est associé à une augmentation des idées et comportements suicidaires chez les enfants et les adolescents atteints de troubles dépressifs majeurs et d'autres troubles psychiatriques. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 16/09/2022 |
Terrain N° 37 | EPILEPSIE
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Niveau(x) |
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Ce médicament contient des dérivés terpéniques, comme excipient, qui peuvent abaisser le seuil épileptogène. ThériaqueMed |
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CIM 10 |
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Terrain N° 38 | ENFANT |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient des dérivés terpéniques, comme excipient, qui peuvent abaisser le seuil épileptogène. En raison de la présence de dérivés terpéniques dans la composition et en cas de non respect des doses préconisées, un risque de convulsion existe chez l'enfant et le nourrisson. Pour ces raisons entre autres, certains de ces médicaments contenant des dérivés terpéniques peuvent être réservés à l'adulte. ThériaqueMed |
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CIM 10 |
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Terrain N° 39 | NOURRISSON |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient des dérivés terpéniques, comme excipient, qui peuvent abaisser le seuil épileptogène. En raison de la présence de dérivés terpéniques dans la composition et en cas de non respect des doses préconisées, un risque de convulsion existe chez l'enfant et le nourrisson. Pour ces raisons entre autres, certains de ces médicaments contenant des dérivés terpéniques peuvent être réservés à l'adulte. ThériaqueMed |
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CIM 10 |
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Terrain N° 40 | NOUVEAU-NE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient des dérivés terpéniques, comme excipient, qui peuvent abaisser le seuil épileptogène. En raison de la présence de dérivés terpéniques dans la composition et en cas de non respect des doses préconisées, un risque de convulsion existe chez l'enfant et le nourrisson. Pour ces raisons entre autres, certains de ces médicaments contenant des dérivés terpéniques peuvent être réservés à l'adulte. ThériaqueMed |
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CIM 10 |
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Terrain N° 41 | ALLAITEMENT |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient des dérivés terpéniques comme excipient. En cas d'allaitement, il est préférable de ne pas utiliser ce médicament du fait de l'absence de donnée cinétique sur le passage des dérivés terpéniques dans le lait et de leur toxicité neurologique potentielle chez le nourrisson. ThériaqueMed |
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CIM 10 |
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Terrain N° 42 | GROSSESSE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient de l'alcool benzylique comme excipient - Voie d'administration : orale, parentérale - Seuil : zéro - Informations Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien si vous êtes enceinte ou si vous allaitez. De grandes quantités d'alcool benzylique peuvent s'accumuler dans votre corps et entraîner des effets secondaires (appelés "acidose métabolique"). ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 43 | ALLAITEMENT |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient de l'alcool benzylique comme excipient - Voie d'administration : orale, parentérale - Seuil : zéro - Informations Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien si vous êtes enceinte ou si vous allaitez. De grandes quantités d'alcool benzylique peuvent s'accumuler dans votre corps et entraîner des effets secondaires (appelés "acidose métabolique"). ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 44 | INSUFFISANCE HEPATIQUE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient de l'alcool benzylique comme excipient - Voie d'administration : orale, parentérale - Seuil : zéro - Informations Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien si vous souffrez d'une maladie du foie ou du rein. De grandes quantités d'alcool benzylique peuvent s'accumuler dans votre corps et entraîner des effets secondaires (appelés "acidose métabolique"). - Commentaires Les volumes élevés doivent être utilisés avec prudence et en cas de nécessité uniquement, en particulier chez les personnes atteintes d'insuffisance hépatique ou rénale en raison du risque d'accumulation et de toxicité (acidose métabolique). ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 45 | ATTEINTE HEPATIQUE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient de l'alcool benzylique comme excipient - Voie d'administration : orale, parentérale - Seuil : zéro - Informations Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien si vous souffrez d'une maladie du foie ou du rein. De grandes quantités d'alcool benzylique peuvent s'accumuler dans votre corps et entraîner des effets secondaires (appelés "acidose métabolique"). - Commentaires Les volumes élevés doivent être utilisés avec prudence et en cas de nécessité uniquement, en particulier chez les personnes atteintes d'insuffisance hépatique ou rénale en raison du risque d'accumulation et de toxicité (acidose métabolique). ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 46 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient de l'alcool benzylique comme excipient - Voie d'administration : orale, parentérale - Seuil : zéro - Informations Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien si vous souffrez d'une maladie du foie ou du rein. De grandes quantités d'alcool benzylique peuvent s'accumuler dans votre corps et entraîner des effets secondaires (appelés "acidose métabolique"). - Commentaires Les volumes élevés doivent être utilisés avec prudence et en cas de nécessité uniquement, en particulier chez les personnes atteintes d'insuffisance hépatique ou rénale en raison du risque d'accumulation et de toxicité (acidose métabolique). ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 47 | ATTEINTE RENALE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient de l'alcool benzylique comme excipient - Voie d'administration : orale, parentérale - Seuil : zéro - Informations Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien si vous souffrez d'une maladie du foie ou du rein. De grandes quantités d'alcool benzylique peuvent s'accumuler dans votre corps et entraîner des effets secondaires (appelés "acidose métabolique"). - Commentaires Les volumes élevés doivent être utilisés avec prudence et en cas de nécessité uniquement, en particulier chez les personnes atteintes d'insuffisance hépatique ou rénale en raison du risque d'accumulation et de toxicité (acidose métabolique). ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 48 | NOUVEAU-NE |
Niveau(x) |
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- Voie d'administration : orale, parentérale - Seuil : zéro - Informations L'alcool benzylique est associé à un risque d'effets secondaires graves y compris des problèmes respiratoires (appelés "syndrome de suffocation") chez les jeunes enfants. Ne pas utiliser chez le nouveau-né (jusqu'à 4 semaines) sauf recommandation contraire de votre médecin. - Commentaires L'administration intraveineuse d'alcool benzylique a été associée à des effets indésirables graves et à la mort chez les nouveau-nés ("syndrome de suffocation"). La quantité minimale d'alcool benzylique susceptible d'entraîner une toxicité n'est pas connue. L'avertissement à la rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi" du RCP doit être donné en cas d'utilisation chez le nouveau-né. - Voie d'administration : orale, parentérale - Seuil : zéro - Informations Ne pas utiliser pendant plus d'une semaine chez les jeunes enfants (moins de 3 ans), sauf avis contraire de votre médecin ou de votre pharmacien. - Commentaires Risque accru en raison de l'accumulation chez les jeunes enfants. - Voie d'administration : orale, parentérale - Seuil : zéro - Informations Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien si vous êtes enceinte ou si vous allaitez. De grandes quantités d'alcool benzylique peuvent s'accumuler dans votre corps et entraîner des effets secondaires (appelés "acidose métabolique"). - Voie d'administration : orale, parentérale - Seuil : zéro - Informations Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien si vous souffrez d'une maladie du foie ou du rein. De grandes quantités d'alcool benzylique peuvent s'accumuler dans votre corps et entraîner des effets secondaires (appelés "acidose métabolique"). - Commentaires Les volumes élevés doivent être utilisés avec prudence et en cas de nécessité uniquement, en particulier chez les personnes atteintes d'insuffisance hépatique ou rénale en raison du risque d'accumulation et de toxicité (acidose métabolique). ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 49 | ENFANT
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Niveau(x) |
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- Voie d'administration : orale, parentérale - Seuil : zéro - Informations L'alcool benzylique est associé à un risque d'effets secondaires graves y compris des problèmes respiratoires (appelés "syndrome de suffocation") chez les jeunes enfants. Ne pas utiliser chez le nouveau-né (jusqu'à 4 semaines) sauf recommandation contraire de votre médecin. - Commentaires L'administration intraveineuse d'alcool benzylique a été associée à des effets indésirables graves et à la mort chez les nouveau-nés ("syndrome de suffocation"). La quantité minimale d'alcool benzylique susceptible d'entraîner une toxicité n'est pas connue. L'avertissement à la rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi" du RCP doit être donné en cas d'utilisation chez le nouveau-né. - Voie d'administration : orale, parentérale - Seuil : zéro - Informations Ne pas utiliser pendant plus d'une semaine chez les jeunes enfants (moins de 3 ans), sauf avis contraire de votre médecin ou de votre pharmacien. - Commentaires Risque accru en raison de l'accumulation chez les jeunes enfants. - Voie d'administration : orale, parentérale - Seuil : zéro - Informations Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien si vous êtes enceinte ou si vous allaitez. De grandes quantités d'alcool benzylique peuvent s'accumuler dans votre corps et entraîner des effets secondaires (appelés "acidose métabolique"). - Voie d'administration : orale, parentérale - Seuil : zéro - Informations Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien si vous souffrez d'une maladie du foie ou du rein. De grandes quantités d'alcool benzylique peuvent s'accumuler dans votre corps et entraîner des effets secondaires (appelés "acidose métabolique"). - Commentaires Les volumes élevés doivent être utilisés avec prudence et en cas de nécessité uniquement, en particulier chez les personnes atteintes d'insuffisance hépatique ou rénale en raison du risque d'accumulation et de toxicité (acidose métabolique). ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 50 | EPILEPSIE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient des dérivés terpéniques, comme excipient, qui peuvent abaisser le seuil épileptogène. ThériaqueMed |
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CIM 10 |
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Terrain N° 51 | EXPOSITION A UNE TEMPERATURE EXTREME |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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