DROLEPTAN 1,25MG/2,5ML SOL INJ IV
DROLEPTAN 1,25 MG / 2,5 ML, SOLUTION INJECTABLE
Fiche(s) d'identité interopérable
Historique des références officielles
    Lien vers la monographie ansm

Cette monographie a été revue le : 09/03/2023
Forme(s) pharmaceutique(s)
Voie(s) d'administration :
  • PARENTERALE (1)
  • INTRAVEINEUSE (2)
Forme(s) pharmaceutique(s) :
  • SOLUTION

  • SOLUTION INJECTABLE (2)(3)
  • STERILE
  • LIMPIDE INCOLORE

Solution injectable.
Solution limpide et incolore, exempte de toute particule visible.
pH de 3,0 - 3,8 et une osmolarité d'environ 10 milliosmoles/kg d'eau.

Référence(s) bibliographique(s) :
  • Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM française 22/09/2022

  • (1) RCP ansm ou EMA
  • (2) Standard Terms
  • (3) Pharmacopée Européenne 4ème édition 2002
Composition
pH de la spécialité : 3,0 A 3,8
  • Teneur en :  OSMOLARITE 10 mOsm/KG
Précision(s) composition :
Pour 1 mL de solution.

Une ampoule de 2,5 ml contient 1, 25 mg de dropéridol.

Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM française 22/09/2022

Classifications
  • Classe(s) pharmacothérapeutique(s) :
  • NEUROLEPTIQUE
  • ANTIEMETIQUE
  • ANTIDOPAMINERGIQUE
  • SEDATIF
  • Classe(s) ATC (source Thériaque d'après l'OMS) :
  • SYSTEME NERVEUX : N
  • PSYCHOLEPTIQUES : N05
  • ANTIPSYCHOTIQUES : N05A
  • DERIVES DE LA BUTYROPHENONE : N05AD
  • DROPERIDOL : N05AD08
  • Dose journalière usuelle DDD (source Thériaque d'après l'OMS) :
  • Voie : PARENTERALE - Dose : 2,5000 MG
  • Classe(s) EphMRA (source Club InterPharmaceutique) :
  • VOIES DIGESTIVES ET METABOLISME : A
  • ANTIEMETIQUES ET ANTINAUSEEUX : A04
  • ANTIEMETIQUE ET ANTINAUSEEUX : A04A
  • ANTIEMETIQUES ET, OU ANTINAUSEEUX ANTAGONISTES DE LA SEROTONINE : A04A1

Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique : Dérivés du butyrophénone, code ATC : N05AD08.

Le dropéridol est un neuroleptique de la classe des butyrophénones. Son profil pharmacologique se caractérise principalement par un blocage des récepteurs dopaminergiques et une faible action a1-adrénolytique. Le dropéridol n'a pas d'activité anticholinergique ni antihistaminique.

L'action inhibitrice du dropéridol sur les récepteurs dopaminergiques de la zone gâchette dite "chémosensible" de l'area postrema lui confère un effet antiémétique puissant particulièrement efficace dans la prévention et le traitement des nausées et vomissements post-opératoires et/ou induits par les analgésiques opioïdes.

À la dose de 0,15 mg/kg, le dropéridol provoque une chute de la pression artérielle moyenne (TAM) d'abord par diminution du débit cardiaque, puis par diminution de la précharge. Ces changements surviennent indépendamment de toute altération de la contractilité myocardique ou de la résistance vasculaire. Le dropéridol n'affecte pas la contractilité myocardique ni la fréquence cardiaque, et par conséquent, il n'a pas d'effet inotrope négatif. Du fait de sa faible activité a1-adrénolytique, le dropéridol peut entraîner une légère hypotension et une diminution des résistances vasculaires périphériques, et éventuellement une baisse de la pression artérielle pulmonaire (notamment si elle est anormalement élevée). Le dropéridol peut également réduire l'incidence des arythmies induites par l'épinéphrine, mais il n'empêche pas la survenue d'autres formes d'arythmies cardiaques.

- NVPO
Dans une revue systématique de 222 études sur la prévention des NVPO, le risque de NVPO après administration de dropéridol était inférieur à celui du placebo avec un RR (intervalle de confiance à 95 %) de 0,65 (0,60-0,71) pour les nausées, de 0,65 (0,61-0,70) pour les vomissements et de 0,62 (0,58 - 0,67) pour l'association nausées et vomissements.

Dans le cadre d'une analyse combinée de 2 061 patients présentant un risque élevé de NVPO, 1,25 mg de dropéridol a été plus efficace que 4 mg d'ondansétron ou 0,625 mg de dropéridol pour prévenir les nausées (p < 0,05 ; absence de nausées de 43 %, 29 % et 29 % respectivement), pour prévenir les vomissements (réponse complète de 56 %, 53 % et 48 % pendant une période comprise entre 0 et 24 heures) et réduire le besoin d'un médicament de secours (26 %, 34 % et 32 %).

- Monothérapie
Une méta-analyse a examiné les données provenant de 74 essais cliniques comprenant 5 351 patients ayant reçu du dropéridol selon 24 schémas posologiques différents et 3 372 patients ayant reçu du placebo ou aucun traitement. L'incidence de NVPO précoces (0 - 6 heures) et tardifs (0 - 24 heures) chez l'adulte et l'enfant a été analysée (Cf. ci-dessous).

Résultats /Prévention des NVPO précoces est tardifs après administration de dropéridol comparé à une prise de placebo ou à l'absence de traitement. Les pourcentages suivants indiquent l'incidence des nausées ou vomissements.

-> Dropéridol
- Résultats précoces (0 - 6 heures), Moyenne (écarts) en %
. Nausées: 16 (3 - 41)
. Vomissements: 14 (0 - 56)

- Résultats tardifs (0 - 24 heures), Moyenne (écarts) en %
. Nausées: 45 (1 - 86)
. Vomissements: 28 (4 - 83)

-> Placebo/aucun traitement
- Résultats précoces (0 - 6 heures), Moyenne (écarts) en %
. Nausées: 33 (15 - 80)
. Vomissements: 29 (6 - 86)

- Résultats tardifs (0 - 24 heures), Moyenne (écarts) en %
. Nausées: 58 (11 - 96)
. Vomissements: 46 (12 - 97)

Le dropéridol s'est avéré plus efficace que le placebo ou l'absence de traitement dans la prévention des NVPO chez l'adulte et l'enfant.

- Polythérapie
Une étude randomisée dans 4123 patients a évalué l'efficacité de traitements antiémétiques utilisés seuls ou en association chez des patients présentant un risque élevé de NVPO

Les traitements administrés étaient : 1,25 mg de dropéridol ou pas de dropéridol ; 4 mg d'ondansétron ou pas d'ondansétron ; et 4 mg de dexaméthasone ou pas de dexaméthasone.

L'association d'antiémétiques a réduit l'incidence de NVPO conduisant à une réduction d'environ 26 % du risque relatif de nausées et de vomissements à chaque antiémétique ajouté. Tous les antiémétiques testés ont montré la même efficacité.

- PCA
Une revue systématique de 14 études comprenant 1117 patients a été réalisée.

Le dropéridol a été utilisé dans 6 études à une dose comprise entre 0,017 et 0,17 mg/mg de morphine ; la dose de dropéridol était comprise entre 0,017 et 0,33 mg/bolus. L'incidence des événements émétiques a été de 66 % chez les patients recevant le placebo et de 30 % chez les patients recevant du dropéridol.

- QTc
Dans une étude contrôlée versus placebo, il a été observé un allongement de l'intervalle QT à 3 - 6 min après l'administration de 0,625 et 1,25 mg de dropéridol (respectivement 15 +/- 40 et 22 +/- 41 ms), mais ces résultats ne différaient pas significativement de ceux observés avec le placebo (12 +/- 35 ms). Le nombre de patients présentant un allongement de l'intervalle QTc supérieur à 10 % n'était pas statistiquement différent dans les deux groupes.
Une deuxième étude ayant comparé 0,75 mg de dropéridol administré par voie intraveineuse et 4 mg d'ondansétron a montré une prolongation significative de l'intervalle QTc (17 +/- 9 ms pour le dropéridol, 20 +/- 13 ms pour l'ondansétron) avec, à partir de la 90ème minute, une durée de l'intervalle QTc significativement plus faible que celle mesurée avant le traitement.

Une étude évaluant l'association d'ondansétron (4 mg) et de dropéridol (1 mg) a montré que les deux médicaments augmentaient séparément l'intervalle QTc (17 +/- 10 ms pour l'ondansétron, 25 +/- 8 ms pour le dropéridol), sans effet additif après administration de l'association de ces deux médicaments (28 +/- 10 ms).
Référence(s) officielle(s):   Rectificatif AMM française 22/09/2022  

Propriétés pharmacocinétiques
Le délai d'action est de 2 à 3 minutes après l'administration d'une dose intraveineuse unique. Les effets relaxants et sédatifs peuvent persister pendant 2 à 4 heures, mais la diminution de la vigilance du patient peut persister pendant 12 heures.


* Distribution

Après une administration intraveineuse, les concentrations plasmatiques diminuent rapidement durant les 15 premières minutes. Le taux de fixation aux protéines plasmatiques est de 85 - 90 %. Le volume de distribution est de l'ordre de 1,5 l/kg.


* Biotransformation

Le dropéridol est fortement métabolisé par le foie. Il subit une oxydation, désalkylation, déméthylation et hydroxylation par les isoenzymes 1A2 et 3A4 du cytochrome P450 et, à un moindre degré, par l'isoenzyme 2C19. Les métabolites n'ont pas d'activité neuroleptique.


* Élimination

L'élimination se fait principalement par métabolisme, et 75 % de la dose est excrétée par voie rénale ; 1 % seulement de la dose est éliminée sous forme inchangée dans l'urine, et 11 % dans les fèces. La clairance plasmatique est de 0,8 (0,4 - 1,8) l/min, et la demi-vie d'élimination (t1/2béta) de 134 +/- 13 min.


* Population pédiatrique

Dans une étude menée chez 12 enfants (âgés de 3,5 à 12 ans), les valeurs du volume de distribution et de la clairance ont été inférieures à celles observées dans la population adulte (0,58 +/- 0,29 l/kg et 4,66 +/- 2,28 ml/kg*min respectivement) et ont diminué parallèlement. La demi-vie d'élimination (101,5 +/- 26,4 min) est semblable à celle observée chez les adultes.
Référence(s) officielle(s):   Rectificatif AMM française 22/09/2022  

Sécurité préclinique
Les données non cliniques issues des études conventionnelles de pharmacologie de sécurité, toxicologie en administration répétée, génotoxicité, cancérogénèse, et des fonctions de reproduction, n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme.

Les études électrophysiologiques in vitro et in vivo montrent qu'il existe un risque d'allongement de l'intervalle QT chez l'homme.

Chez l'homme, les taux plasmatiques de dropéridol sous forme libre sont environ 4 fois plus élevé à 25 fois plus bas que les taux ayant un effet sur les paramètres de repolarisation cardiaque mesurés dans les différents paramètres utilisés in vitro et in vivo pour évaluer l'impact de ce médicament sur la repolarisation cardiaque. Les taux plasmatiques chutent d'environ 1 log au cours des vingt premières minutes suivant l'administration.

- Évaluation du risque environnemental (ERE)

Ce produit est peu susceptible de présenter un risque pour l'environnement après utilisation chez des patients.
Référence(s) officielle(s):   Rectificatif AMM française 22/09/2022  
Médicament virtuel Thériaque
Dropéridol 1,25 mg/2,5ml solution injectable IV

Spécialité(s) génériques Thériaque Type Prix
DROLEPTAN 1,25MG/2,5ML SOL INJ IV Référence
DROPERIDOL PAN 0,5MG/ML SOL INJ IV Générique
     
    Comparer prix

Génériques
Dénomination(s) commune(s) : DROPERIDOL
Voie(s) : INTRAVEINEUSE et PARENTERALE
Groupe générique(s) : DROPERIDOL 1,25 MG/2,5ML - DROLEPTAN 1,25MG/2,5ML SOL INJ IV
  • Date d'application en cours : 17/04/2024

  • Date d'application / Création du groupe 06/10/2015

  • Tarif forfaitaire de responsabilité : NON
Spécialité(s) de référence ansm Code(s) CIP Excipient(s) à effet notoire
DROLEPTAN 1,25MG/2,5ML SOL INJ IV
    Laboratoire titulaire AMM :
  • SUBSTIPHARM
 

Spécialité(s) générique(s) ansm Code(s) CIP Excipient(s) à effet notoire
DROPERIDOL PAN 0,5MG/ML SOL INJ IV
Laboratoire titulaire AMM : PANPHARMA
 

 Historique du groupe générique

Recommandations
Recommandations et protocoles thérapeutiques ansm, HAS, INCa
ANTIPSYCHOTIQUES MISE AU POINT 2018
MODIF PICTOGRAMME CONDUCTEUR 2017
ANTIPSYCHOTIQUES MISE AU POINT 2010
SUJET AGE DEMENT ET ANTIPSYCHOTIQUES
SUJET AGE ET PSYCHOTROPES


Fiche(s) de transparence ansm


Références médicales opposables


Renseignements administratifs
  • Conditions de prescription et de délivrance :
  •  
  • LISTE I
  • PRESCR RESTREINTE/CSP R.5121-77 A -96
  • RESERVE HOSPITALIERE/CSP R.5121-82 A -83
  • RENOUVELLEMENT PRESCRIPTION RESTREINT
* Conditions de prescription et de délivrance

Liste I.
Réservé à l'usage hospitalier.
Référence(s) officielle(s):   Rectificatif AMM française 22/09/2022
 
Code UCD13 : 3400893876732
Code UCD7 : 9387673
Code identifiant spécialité : 6 164 684 7
Laboratoire(s) titulaire(s) AMM:
  • SUBSTIPHARM
Référence(s) officielle(s):   Rectificatif AMM française 22/09/2022
Laboratoire(s) exploitant(s) :
  • SUBSTIPHARM
Référence(s) officielle(s):   Rectificatif AMM française 22/09/2022
   
Présentation : 10 ampoule(s) en verre brun de 2,5 ml
Code CIP13 3400921810172
Code CIP7 2181017
Commercialisation Disponible : OUI depuis le 04/12/2012
Agrément collectivités/date JO Oui le 13/12/2012
Radiation collectivités/date JO Non
Présentation réservée à l'hôpital Oui
Conditionnement
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD)
  • 1,25 MG DROPERIDOL
Conditionnement primaire 10 AMPOULE(S) de 2,5 ML contenant 2,5 ML (1)
Matériau(x)
  • VERRE
  • DE COULEUR BRUNE
Caractéristique(s) de l'emballage
  • AVEC PICTOGRAMME CONDUCTEUR
  • NIV 3 : TRIANGLE NOIR FOND ROUGE
  • PICTOGRAMME CONDUCTEUR : JO 18/03/2017

* Nature et contenance du récipient

2,5 ml en ampoules (verre brun). Boîte de 10 ampoules.


* Pictogramme conducteur

Pictogramme devant figurer sur l'emballage extérieur ou, en l'absence d'emballage extérieur, sur le conditionnement primaire

- Pictogramme niveau 3

Le pictogramme doit être conforme à l'arrêté du 8 août 2008 pris en application de l'article R 5121-139 du code de la santé publique et relatif à l'apposition d'un pictogramme sur le conditionnement extérieur de certains médicaments et produits.

Celui-ci précise que le pictogramme a la forme d'un triangle équilatéral noir sur fond rouge dans lequel se trouve une voiture noire et "Niveau 3" est mentionné en dessous. Il est accompagné du libellé suivant : "Attention, danger : ne pas conduire. Pour la reprise de la conduite, demandez l'avis d'un médecin." Ses dimensions sont adaptées à la taille du conditionnement extérieur.

Présentation unitaire OUI
Référence(s) bibliographique(s)
  • Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 22/09/2022

  • (1) Standard Terms
   
Conditions de délivrance
  • LISTE I
Référence(s) officielle(s):   Rectificatif AMM française 22/09/2022
Statut de la présentation
  • AMM à la date du 16/01/2012
  • AMM NATIONALE NL39869
Référence(s) officielle(s):   Rectificatif AMM française 22/09/2022
Prix
1. Prix en officine ville
Prix de cette présentation (CIP)/date JO non concerné
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) Non concerné
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur)
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) Non concerné
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) Non concerné
Remboursement
1. Ville
Taux de remboursement
  • Non concerné

2. Hôpital (Rétrocession - vente au public)
Taux de remboursement
  • Non concerné

Statut(s) du remboursement
  • ALD MALADIE CORONAIRE : SANS RAPPORT
  • ALD INS RESP C GRAVE : SANS RAPPORT
  • ALD DIABETE : SANS RAPPORT
  • ALD ARTERIOPATHIES : SANS RAPPORT
  • ALD CARDIOPATHIES : SANS RAPPORT
  • ALD HTA : (SANS RAPPORT) SUPPRESSION ALD 26/06/11
SMR spécifique de cette présentation NON
Modalité(s) de dispensation
  • PHARMACIE A USAGE INTERIEUR
  • ETABLISSEMENT DE SANTE
  • DISPENSATION A USAGE INTERIEUR
  • MEDICAMENT SERIALISABLE
Conservation
Présentation : 10 ampoule(s) en verre brun de 2,5 ml
Durée(s) et condition(s) de conservation
  • 48 MOIS
  • A TEMPERATURE AMBIANTE
  • DANS L'EMBALLAGE D'ORIGINE
  • A L'ABRI DE LA LUMIERE

* Durée de conservation

Avant l'ouverture de l'ampoule: 4 ans.


* Précautions particulières de conservation

A conserver dans l'emballage extérieur d'origine à l'abri de la lumière.

Conditions de conservation après reconstitution, dilution ou ouverture

Après l'ouverture de l'ampoule : à utiliser immédiatement.

Après dilution : la compatibilité de 5 mg de dropéridol avec 100 mg de sulfate de morphine après dilution dans 50 ml de chlorure de sodium à 0,9 % a été démontrée dans des seringues en plastique (pendant 14 jours à température ambiante). Toutefois du point de vue microbiologique, le produit doit être utilisé immédiatement. En cas d'utilisation non immédiate, les durées et conditions de conservation après dilution et avant l'utilisation relèvent de la seule responsabilité de l'utilisateur et ne devraient pas dépasser 24 heures à une température comprise entre 2 et 8°C, sauf en cas de dilution réalisée en conditions d'asepsie dûment contrôlées et validées.

Référence(s) officielles(s) :  Rectificatif AMM française 22/09/2022
Indications
NAUSEE ET VOMISSEMENT POST-OPERATOIRES    
  • CHEZ L'ADULTE A PARTIR DE 18 ANS
  • TRAITEMENT PREVENTIF
  • TRAITEMENT CURATIF
Ce médicament est indiqué dans la prévention et traitement des nausées et vomissement postopératoires (NVPO) chez les adultes.
SMR de l'indication Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations
Référence(s) officielle(s) Rectificatif AMM française 22/09/2022
CIM10
  • Vomissements consécutifs à une intervention gastro-intestinale K910
  • Nausées et vomissements R11
Maladie rare Non

NAUSEE ET VOMISSEMENT POST-OPERATOIRES    
  • CHEZ L'ENFANT
  • CHEZ L'ADULTE JUSQU'A 18 ANS
  • TRAITEMENT PREVENTIF
  • TRAITEMENT CURATIF
  • TRAITEMENT DE DEUXIEME INTENTION
Ce médicament est indiqué dans la prévention et traitement des nausées et vomissement postopératoires (NVPO) en seconde intention chez les enfants (âgés de 2 à 11 ans) et les adolescents (âgés de 12 à 18 ans).
SMR de l'indication Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations
Référence(s) officielle(s) Rectificatif AMM française 22/09/2022
CIM10
  • Vomissements consécutifs à une intervention gastro-intestinale K910
  • Nausées et vomissements R11
Maladie rare Non

NAUSEE ET VOMISSEMENT INDUITS PAR MORPHINIQUES    
  • EN CAS D'ANALGESIE AUTO-CONTROLEE
  • CHEZ L'ADULTE A PARTIR DE 18 ANS
  • TRAITEMENT PREVENTIF
Ce médicament est indiqué dans la prévention des nausées et vomissements induits par les morphiniques en analgésie auto-contrôlée, en post-opératoire, chez l'adulte (PCA).
SMR de l'indication Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations
Référence(s) officielle(s) Rectificatif AMM française 22/09/2022
CIM10
  • Nausées et vomissements R11
  • Autres complications précisées de soins médicaux et chirurgicaux, non classées ailleurs T888
Maladie rare Non
Non indications
Aucune information recensée.
Posologie(s)
Schéma posologique n° 1
Voie(s) d'administration
  • INTRAVEINEUSE
Terrain(s) physio-pathologique(s)
  • ADULTE A PARTIR DE 18 ANS
Indication(s)
  • NAUSEE ET VOMISSEMENT POST-OPERATOIRES

  • TRAITEMENT PREVENTIF
  • TRAITEMENT CURATIF

Posologie USUELLE  
Dose de 0,625 MG/ADMINISTRATION à 1,25 MG/ADMINISTRATION
Fréquence maximale ADAPTER
 
  • ESPACER ADMINIST DE 6 HEURES
Durée de traitement
  • ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE
Posologie MAXIMALE  
Dose 1,25 MG/ADMINISTRATION
Fréquence maximale ADAPTER
 
  • ESPACER ADMINIST DE 6 HEURES
Durée de traitement
  • ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE
* Prévention et traitement des nausées et vomissements post-opératoires

- Adultes : 0,625 mg à 1,25 mg
Soit :
- 1,25 à 2,5 ml pour le droperidol 1,25 mg/2,5 ml
- 0,5 à 1,0 ml pour le droperidol 1,25 mg/1 ml
- 0,25 à 0,5 ml pour le droperidol 2,5 mg/1 ml

En prévention des NVPO, le dropéridol, du fait de ses propriétés anti-émétiques, est indiqué chez les patients présentant un risque modéré à sévère de NVPO. Le risque doit être évalué à l'aide d'échelles ou de scores standards validés, tels que le score simplifié d'Apfel.

Il est recommandé d'administrer le dropéridol 30 minutes avant la fin prévue de la chirurgie. Si nécessaire, l'administration pourra être réitérée toutes les 6 heures.

Chez l'adulte, la prévention des vomissements précoces et des nausées tardives est améliorée par l'administration de doses allant de 0,75mg à 1,25 mg maximum.

Chez l'adulte, l'administration de doses supérieures s'accompagne d'un risque accru de sédation et de somnolence.
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022

Schéma posologique n° 2
Voie(s) d'administration
  • INTRAVEINEUSE
Terrain(s) physio-pathologique(s)
  • ADULTE JUSQU'A 18 ANS
  • ENFANT
  • NOURRISSON A PARTIR DE 2 ANS
Indication(s)
  • NAUSEE ET VOMISSEMENT POST-OPERATOIRES

  • TRAITEMENT PREVENTIF
  • TRAITEMENT CURATIF
  • TRAITEMENT DE DEUXIEME INTENTION

Posologie USUELLE  
Dose de 0,02 MG/KG/ADMINISTRATION à 0,05 MG/KG/ADMINISTRATION
Fréquence maximale ADAPTER
 
  • ESPACER ADMINIST DE 6 HEURES
Durée de traitement
  • ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE
Posologie MAXIMALE  
Dose 1,25 MG/ADMINISTRATION
Fréquence maximale ADAPTER
 
  • ESPACER ADMINIST DE 6 HEURES
Durée de traitement
  • ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE
* Prévention et traitement des nausées et vomissements post-opératoires

- Enfants (âgés de 2-11 ans) et adolescents (âgés de 12-18 ans) : de 20 à 50 microgrammes/kg (jusqu'à un maximum de 1,25 mg).

- Enfants (âgés de moins de 2 ans) : non recommandé.

En prévention des NVPO, le dropéridol, du fait de ses propriétés anti-émétiques, est indiqué chez les patients présentant un risque modéré à sévère de NVPO. Le risque doit être évalué à l'aide d'échelles ou de scores standards validés, tels que le score simplifié d'Apfel.

Il est recommandé d'administrer le dropéridol 30 minutes avant la fin prévue de la chirurgie. Si nécessaire, l'administration pourra être réitérée toutes les 6 heures.

Chez l'adulte et l'enfant, l'administration de doses supérieures s'accompagne d'un risque accru de sédation et de somnolence.
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022

Schéma posologique n° 3
Voie(s) d'administration
  • INTRAVEINEUSE
Terrain(s) physio-pathologique(s)
  • SUJET AGE
  • SUJET AGE INSUFFISANT HEPATIQUE
  • SUJET AGE INSUFFISANT RENAL
  • ADULTE INSUFFISANT HEPATIQUE
  • ADULTE INSUFFISANT RENAL
  • ENFANT INSUFFISANT HEPATIQUE
  • ENFANT INSUFFISANT RENAL
  • NOURRISSON A PARTIR DE 2 ANS INSUFFISANT HEPATIQUE
  • NOURRISSON A PARTIR DE 2 ANS INSUFFISANT RENAL
Indication(s)
  • NAUSEE ET VOMISSEMENT POST-OPERATOIRES

  • TRAITEMENT PREVENTIF
  • TRAITEMENT CURATIF

Posologie USUELLE  
Dose 0,625 MG/ADMINISTRATION
Fréquence maximale ADAPTER
Durée de traitement  
* Prévention et traitement des nausées et vomissements post-opératoires

- Adultes : 0,625 mg à 1,25 mg, soit :
- 1,25 à 2,5 ml pour le droperidol 1,25 mg/2,5 ml
- 0,5 à 1,0 ml pour le droperidol 1,25 mg/1 ml
- 0,25 à 0,5 ml pour le droperidol 2,5 mg/1 ml

- Patients âgés (plus de 65 ans) : 0,625 mg, soit :
- 1,25 ml pour le droperidol 1,25 mg/2,5 ml
- 0,5 ml pour le droperidol 1,25 mg/1 ml
- 0,25 ml pour le droperidol 2,5 mg/1 ml

- Insuffisants rénaux/hépatiques : 0,625 mg, soit :
- 1,25 ml pour le droperidol 1,25 mg/2,5 ml
- 0,5 ml pour le droperidol 1,25 mg/1 ml
- 0,25 ml pour le droperidol 2,5 mg/1 ml

- Enfants (âgés de 2-11 ans) et adolescents (âgés de 12-18 ans) : de 20 à 50 microgrammes/kg (jusqu'à un maximum de 1,25 mg).

- Enfants (âgés de moins de 2 ans) : non recommandé.

En prévention des NVPO, le dropéridol, du fait de ses propriétés anti-émétiques, est indiqué chez les patients présentant un risque modéré à sévère de NVPO. Le risque doit être évalué à l'aide d'échelles ou de scores standards validés, tels que le score simplifié d'Apfel.

Il est recommandé d'administrer le dropéridol 30 minutes avant la fin prévue de la chirurgie. Si nécessaire, l'administration pourra être réitérée toutes les 6 heures.

Chez l'adulte, la prévention des vomissements précoces et des nausées tardives est améliorée par l'administration de doses allant de 0,75mg à 1,25 mg maximum.

Chez l'adulte et l'enfant, l'administration de doses supérieures s'accompagne d'un risque accru de sédation et de somnolence.
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022

Schéma posologique n° 4
Voie(s) d'administration
  • INTRAVEINEUSE
Terrain(s) physio-pathologique(s)
  • ADULTE A PARTIR DE 18 ANS
Indication(s)
  • NAUSEE ET VOMISSEMENT INDUITS PAR MORPHINIQUES

  • TRAITEMENT PREVENTIF

Posologie USUELLE  
Dose ADAPTER MG/ADMINISTRATION
Fréquence maximale ADAPTER
Durée de traitement
  • ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE
Posologie MAXIMALE  
Dose 5 MG/JOUR
Fréquence maximale ADAPTER
Durée de traitement
  • ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE
* Prévention des nausées et vomissements induits par les morphiniques administrées en analgésie auto-contrôlée, en postopératoire (PCA).

- Adultes : 15 à 50 microgrammes par mg de morphine, sans dépasser une dose quotidienne maximale de 5 mg de dropéridol.

- Enfants (âgés de 2 à 11 ans) et adolescents (âgés de 12 à 18 ans) : le dropéridol n'est pas indiqué dans la PCA.

Chez les patients pouvant présenter un risque d'arythmies ventriculaires, une oxymétrie du pouls doit être effectuée pendant l'administration et pendant les 30 minutes qui suivent une injection intraveineuse unique.

Pour les instructions sur la procédure de dilution du produit avant administration, cf. "Précautions particulières d'élimination et de manipulation".
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022

Schéma posologique n° 5
Voie(s) d'administration
  • INTRAVEINEUSE
Terrain(s) physio-pathologique(s)
  • ADULTE A PARTIR DE 18 ANS INSUFFISANT HEPATIQUE
  • ADULTE A PARTIR DE 18 ANS INSUFFISANT RENAL
  • SUJET AGE
  • SUJET AGE INSUFFISANT HEPATIQUE
  • SUJET AGE INSUFFISANT RENAL
Indication(s)
  • NAUSEE ET VOMISSEMENT INDUITS PAR MORPHINIQUES

  • TRAITEMENT PREVENTIF

Posologie USUELLE  
Dose ADAPTER MG/ADMINISTRATION
Fréquence maximale ADAPTER
Durée de traitement
  • ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE
* Prévention des nausées et vomissements induits par les morphiniques administrées en analgésie auto-contrôlée, en postopératoire (PCA).

- Adultes : 15 à 50 microgrammes par mg de morphine, sans dépasser une dose quotidienne maximale de 5 mg de dropéridol.

- Patients âgés (plus de 65 ans) et insuffisants rénaux et hépatiques : aucune donnée n'est disponible.

- Enfants (âgés de 2 à 11 ans) et adolescents (âgés de 12 à 18 ans) : le dropéridol n'est pas indiqué dans la PCA.

Chez les patients pouvant présenter un risque d'arythmies ventriculaires, une oxymétrie du pouls doit être effectuée pendant l'administration et pendant les 30 minutes qui suivent une injection intraveineuse unique.

Pour les instructions sur la procédure de dilution du produit avant administration, cf. "Précautions particulières d'élimination et de manipulation".
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022


Utilisation/Manipulation/Elimination/Incompatibilités
Recommandation(s)
Lien vers Stabilis     
  • DILUER DANS SOLUTION DE NACL 0,9%
  • ELIMINER DECHETS SELON REGLEMENTATION
  • NE PAS MELANGER AVEC BARBITURIQUE
* Précautions particulières d'élimination et de manipulation

Réservé à un usage unique. Toute solution inutilisée doit être jetée.

Inspecter visuellement la solution avant de l'administrer. Utiliser uniquement des solutions limpides et incolores exemptes de toute particule visible.

Pour une utilisation en PCA : prélever le dropéridol et la morphine dans une seringue et compléter au volume avec une solution injectable de chlorure de sodium à 0,9 %.

Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.


* Incompatibilités

Incompatible avec les barbituriques. Ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments à l'exception de ceux mentionnés ci-dessus.

Mode d’administration
Voie(s) d'administration
  • INTRAVEINEUSE
Modalité(s)
  • INJECTER EN IV LENTE
* Mode et voie d'administration

Voie intraveineuse. Injecter lentement la solution (solution hypotonique).

- Prévention et traitement des nausées et vomissements post-opératoires

Il est recommandé d'administrer le dropéridol 30 minutes avant la fin prévue de la chirurgie. Si nécessaire, l'administration pourra être réitérée toutes les 6 heures.

- Prévention des nausées et vomissements induits par les morphiniques administrée en analgésie auto-contrôlée, en post opératoire, chez l'adulte.

Chez les patients pouvant présenter un risque d'arythmies ventriculaires, une oxymétrie du pouls doit être effectuée pendant l'administration et pendant les 30 minutes qui suivent une injection intraveineuse unique.
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022

Contre indications
- Résumé des Caractéristiques du Produit (RCP)
Terrain N° 1 HYPERSENSIBILITE
  • HYPERSENSIBILITE DROPERIDOL
  • HYPERSENSIBILITE A L'UN DES EXCIPIENTS
  • HYPERSENSIBILITE HALOPERIDOL
  • HYPERSENSIBILITE DOMPERIDONE
  • HYPERSENSIBILITE RISPERIDONE
  • HYPERSENSIBILITE BUTYROPHENONE ET DERIVES
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022
CIM 10
  • Allergie, sans précision T784
  • Effet indésirable d'un médicament, sans précision T887
  • Antécédents personnels d'allergie à d'autres médicaments et substances biologiques Z888
  • Effets indésirables d'autres antipsychotiques et neuroleptiques au cours de leur usage thérapeutique Y495
  • Effets indésirables des anti-allergiques et anti-émétiques au cours de leur usage thérapeutique Y430
  • Effets indésirables des excipients pharmaceutiques au cours de leur usage thérapeutique Y574
  • Effets indésirables des neuroleptiques à base de butyrophénone et de thioxanthène au cours de leur usage thérapeutique Y494

Terrain N° 2 ARYTHMIE CARDIAQUE
  • ESPACE QT ALLONGE CONGENITAL
  • ESPACE QT ALLONGE ANTECEDENT FAMILIAL
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022
CIM 10
  • Autres arythmies cardiaques I49
  • Anomalies du rythme cardiaque R00
  • Résultats anormaux d'explorations fonctionnelles cardio-vasculaires R943

Terrain N° 3 AUTRE TRAITEMENT EN COURS
  • TRT PAR MEDICAMENT BRADYCARDISANT
  • TRT PAR MED REDUISANT CONDUCT CARDIAQUE
  • TRT PAR MED AUGMENTANT INTERVALLE QT
  • TRT PAR AGONISTE DOPAMINERGIQUE
  • TRT PAR ANTIARYTHMIQUE CLASSE Ia
  • TRT PAR ANTIARYTHMIQUE CLASSE III
  • TRT PAR AMANTADINE
  • TRT PAR APOMORPHINE
  • TRT PAR BROMOCRIPTINE
  • TRT PAR CABERGOLINE
  • TRT PAR ENTACAPONE
  • TRT PAR LISURIDE
  • TRT PAR PERGOLIDE
  • TRT PAR PIRIBEDIL
  • TRT PAR PRAMIPEXOLE
  • TRT PAR QUINAGOLIDE
  • TRT PAR ROPINIROLE
  • TRT PAR ROTIGOTINE
  • TRT PAR SELEGILINE
  • TRT PAR TOLCAPONE
  • TRT PAR AMIODARONE
  • TRT PAR AMISULPRIDE
  • TRT PAR DISOPYRAMIDE
  • TRT PAR DRONEDARONE
  • TRT PAR HYDROQUINIDINE
  • TRT PAR QUINIDINE
  • TRT PAR SOTALOL
  • TRT PAR CITALOPRAM
  • TRT PAR ESCITALOPRAM
  • TRT PAR DOMPERIDONE
  • TRT PAR ERYTHROMYCINE IV
  • TRT PAR HYDROXYZINE
  • TRT PAR MEQUITAZINE
  • TRT PAR MOXIFLOXACINE
  • TRT PAR PIPERAQUINE
  • TRT PAR SPIRAMYCINE
  • TRT PAR TOREMIFENE
  • TRT PAR VINCAMINE
  • TRT PAR VANDETANIB
  • TRT PAR LEVODOPA
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
  • Cf. INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022
CIM 10
  • Non concerné .

Terrain N° 4 HYPOKALIEMIE
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022
CIM 10
  • Hypokaliémie E876

Terrain N° 5 HYPOMAGNESEMIE
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022
CIM 10
  • Anomalies du métabolisme du magnésium E834

Terrain N° 6 BRADYCARDIE
  • BRADYCARDIE < 55 BATTEMENTS PAR MIN
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022
CIM 10
  • Bradycardie, sans précision R001

Terrain N° 7 PHEOCHROMOCYTOME
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
  • RISQUE D'HYPERTENSION
  • RISQUE DE TACHYCARDIE
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022
CIM 10
  • Tumeur maligne de la médullosurrénale C741
  • Tumeur bénigne de la surrénale D350

Terrain N° 8 COMA
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022
CIM 10
  • Somnolence, stupeur et coma R40

Terrain N° 9 PARKINSON MALADIE
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022
CIM 10
  • Maladie de Parkinson G20

Terrain N° 10 DEPRESSION
  • DEPRESSION SEVERE
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022
CIM 10
  • Épisodes dépressifs F32
  • Trouble dépressif récurrent F33
  • Trouble anxieux et dépressif mixte F412

Terrain N° 11 AUTRE TRAITEMENT EN COURS
  • TRT PAR CHLOROQUINE
  • TRT PAR HALOFANTRINE
  • TRT PAR LUMEFANTRINE
  • TRT PAR PENTAMIDINE
  • TRT PAR CHLORPROMAZINE
  • TRT PAR CYAMEMAZINE
  • TRT PAR FLUPENTIXOL
  • TRT PAR FLUPHENAZINE
  • TRT PAR HALOPERIDOL
  • TRT PAR LEVOMEPROMAZINE
  • TRT PAR PIMOZIDE
  • TRT PAR PIPAMPERONE
  • TRT PAR PIPOTIAZINE
  • TRT PAR SULPIRIDE
  • TRT PAR TIAPRIDE
  • TRT PAR ZUCLOPENTHIXOL
  • TRT PAR DELAMANID
  • TRT PAR CRIZOTINIB
  • TRT PAR HYDROXYCHLOROQUINE
  • TRT PAR METHADONE
  • TRT PAR SULFAMETHOXAZOLE
  • TRT PAR TRIMETHOPRIME
  • TRT PAR MED CONTENANT DE L'ALCOOL
  • TRT PAR SODIUM OXYBATE
Niveau(x)
  • UTILISATION DECONSEILLEE
  • Cf. INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES
  • Cf. MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022
CIM 10
  • Non concerné .

Terrain N° 12 INTOXICATION ALCOOLIQUE AIGUE
Niveau(x)
  • UTILISATION DECONSEILLEE
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022
CIM 10
  • Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool : intoxication aiguë F100
  • Effet toxique de l'alcool T51

Terrain N° 13 INTERACTION D'ORIGINE ALIMENTAIRE
  • INGESTION D'ALCOOL
Niveau(x)
  • UTILISATION DECONSEILLEE
  • Cf. INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES
  • Cf. MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022
CIM 10
  • Non concerné .
Terrain N° 14 SYNDROME MALIN DES NEUROLEPTIQUES
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
  • ARRETER LE TRAITEMENT
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022
CIM 10
  • Syndrome malin des neuroleptiques G210




Commentaires du RCP
Le dropéridol ne doit jamais être utilisé dans les cas suivants :
- hypersensibilité au dropéridol ou à l'un des excipients du produit ;
- hypersensibilité aux butyrophénones ;
- allongement connu ou suspecté de l'intervalle QT (QTc > 450 ms chez les femmes et > 440 ms chez les hommes). Ceci inclut les patients présentant un syndrome du QT long congénital, les patients ayant des antécédents familiaux d'allongement congénital de l'intervalle QT ainsi que les patients traités concomitamment avec des médicaments connus pour leur risque de provoquer des torsades de pointes par allongement de l'intervalle QT (Cf. "Interactions médicamenteuses") : Antiarythmiques classe Ia et III (amiodarone, amisulpride, disopyramide, dronedarone, hydroquinidine, quinidine, sotalol), citalopram, escitalopram , cocaine, dompéridone, érythromycine administrée par voie intraveineuse, hydroxyzine, méquitazine, moxifloxacine, pipéraquine, spiramycine, toremifene, vincamine , vandétanib.
- hypokaliémie ou hypomagnésémie ;
- bradycardie (fréquence cardiaque < 55 battements par minute) ;
- traitement concomitant connu pour induire une bradycardie ;
- phéochromocytome ;
- états comateux ;
- maladie de Parkinson ;
- dépression sévère.
- L'association à un dopaminergiques (amantadine, apomorphine, bromocriptine, cabergoline, entacapone, lisuride, piribedil, pramipexole, quinagolide, rasagiline, ropinirole, rotigotine, selegiline, tolcapone)
- Avec la lévodopa
Référence(s) officielle(s) Rectificatif AMM française 22/09/2022
Mises en garde et précautions d'emploi
- Résumé des Caractéristiques du Produit (RCP)
Terrain N° 1 AUTRE TRAITEMENT EN COURS
  • TRT PAR DEPRESSEUR DU SNC
  • TRT PAR ANESTHESIQUE GENERAL
Niveau(x)
  • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
  • RISQUE DE MAJORATION DE TOXICITE
  • SURVEILLANCE CLINIQUE
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022
CIM 10
  • Non concerné .

Terrain N° 2 AUTRE TRAITEMENT EN COURS
  • TRT PAR METOCLOPRAMIDE
  • TRT PAR NEUROLEPTIQUE
Niveau(x)
  • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
  • UTILISATION A EVITER
  • AGGRAVATION SYMPTOMES EXTRAPYRAMIDAUX
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM française 22/09/2022
CIM 10
  • Non concerné .

Terrain N° 3 EPILEPSIE
    Niveau(x)
    • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
    • ABAISSEMENT SEUIL EPILEPTOGENE
    • SURVEILLANCE ELECTROENCEPHALOGRAMME
    • SURVEILLANCE CLINIQUE
    • UTILISER AVEC PRUDENCE
    Référence(s) officielle(s)
    • Rectificatif AMM française 22/09/2022
    CIM 10
    • Épilepsie G40

    Terrain N° 4 CONVULSIONS
      Niveau(x)
      • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
      • ABAISSEMENT SEUIL EPILEPTOGENE
      • SURVEILLANCE ELECTROENCEPHALOGRAMME
      • SURVEILLANCE CLINIQUE
      Référence(s) officielle(s)
      • Rectificatif AMM française 22/09/2022
      CIM 10
      • Convulsions, non classées ailleurs R56

      Terrain N° 5 HYPOTENSION ARTERIELLE
        Niveau(x)
        • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
        • RISQUE D'HYPOVOLEMIE
        Référence(s) officielle(s)
        • Rectificatif AMM française 22/09/2022
        CIM 10
        • Hypotension I95

        Terrain N° 6 TACHYCARDIE
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE D'HYPOVOLEMIE
          Référence(s) officielle(s)
          • Rectificatif AMM française 22/09/2022
          CIM 10
          • Tachycardie paroxystique I47
          • Tachycardie, sans précision R000

          Terrain N° 7 ARYTHMIE VENTRICULAIRE
          • ARYTHMIE VENTRICULAIRE ATCD PERSONNEL
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE D'ARYTHMIE
          • BILAN CARDIOVASCULAIRE AVANT TRAITEMENT
          Référence(s) officielle(s)
          • Rectificatif AMM française 22/09/2022
          CIM 10
          • Tachycardie ventriculaire I472
          • Autres arythmies cardiaques précisées I498
          • Arythmie ventriculaire de réentrée I470

          Terrain N° 8 BLOC AURICULO-VENTRICULAIRE HAUT DEGRE
          • BLOC CARDIAQUE ANTECEDENT PERSONNEL
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE D'ARYTHMIE
          • BILAN CARDIOVASCULAIRE AVANT TRAITEMENT
          Référence(s) officielle(s)
          • Rectificatif AMM française 22/09/2022
          CIM 10
          • Bloc auriculoventriculaire du second degré I441
          • Bloc auriculoventriculaire complet I442
          • Antécédents personnels de maladies de l'appareil circulatoire Z867
          • Autres troubles de la conduction I45
          • Bloc de branche gauche et auriculoventriculaire I44

          Terrain N° 9 DYSFONCTIONNEMENT SINUSAL
          • DYSFONCTIONNEMENT SINUSAL ATCD PERSONNEL
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE D'ARYTHMIE
          • BILAN CARDIOVASCULAIRE AVANT TRAITEMENT
          Référence(s) officielle(s)
          • Rectificatif AMM française 22/09/2022
          CIM 10
          • Syndrome de dysfonctionnement sinusal I495
          • Antécédents personnels de maladies de l'appareil circulatoire Z867

          Terrain N° 10 INSUFFISANCE CARDIAQUE
          • INSUFF CARDIAQUE ATCD PERSONNEL
          • INSUFF CARDIAQUE CONGESTIVE
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE D'ARYTHMIE
          • BILAN CARDIOVASCULAIRE AVANT TRAITEMENT
          Référence(s) officielle(s)
          • Rectificatif AMM française 22/09/2022
          CIM 10
          • Insuffisance cardiaque I50
          • Antécédents personnels de maladies de l'appareil circulatoire Z867
          • Insuffisance cardiaque congestive I500

          Terrain N° 11 CARDIOPATHIE ISCHEMIQUE
          • CARDIOPATHIE ANTECEDENT PERSONNEL
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE D'ARYTHMIE
          • BILAN CARDIOVASCULAIRE AVANT TRAITEMENT
          Référence(s) officielle(s)
          • Rectificatif AMM française 22/09/2022
          CIM 10
          • Cardiopathies ischémiques I20-I25
          • Non attribuable ..

          Terrain N° 12 MORT SUBITE
          • MORT SUBITE ANTECEDENT FAMILIAL
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE D'ARYTHMIE
          • BILAN CARDIOVASCULAIRE AVANT TRAITEMENT
          Référence(s) officielle(s)
          • Rectificatif AMM française 22/09/2022
          CIM 10
          • Mort instantanée R960

          Terrain N° 13 DIALYSE
            Niveau(x)
            • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
            • RISQUE D'ARYTHMIE
            • BILAN CARDIOVASCULAIRE AVANT TRAITEMENT
            Référence(s) officielle(s)
            • Rectificatif AMM française 22/09/2022
            CIM 10
            • Surveillance d'une dialyse Z49
            • Dépendance envers une dialyse rénale Z992

            Terrain N° 14 BRONCHOPNEUMOPATHIE CHRONIQUE OBSTRUCT
              Niveau(x)
              • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
              • RISQUE D'ARYTHMIE
              • BILAN CARDIOVASCULAIRE AVANT TRAITEMENT
              Référence(s) officielle(s)
              • Rectificatif AMM française 22/09/2022
              CIM 10
              • Autres maladies pulmonaires obstructives chroniques J44

              Terrain N° 15 DIARRHEE
              • DIARRHEE SEVERE
              Niveau(x)
              • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
              • RISQUE D'ARYTHMIE
              • RISQUE DE TROUBLE HYDROELECTROLYTIQUE
              • SURVEILLANCE HYDROELECTROLYTIQUE
              Référence(s) officielle(s)
              • Rectificatif AMM française 22/09/2022
              CIM 10
              • Diarrhée fonctionnelle K591

              Terrain N° 16 BRADYCARDIE
              • BRADYCARDIE LEGERE
              Niveau(x)
              • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
              • Cf. CONTRE INDICATIONS
              • RISQUE D'ALLONGEMENT INTERVALLE QT
              • RISQUE DE TROUBLE DU RYTHME
              • RISQUE DE TORSADES DE POINTES
              • FAIRE TRAITEMENT ADAPTE AVANT ADMINIST
              • BILAN CARDIOVASCULAIRE AVANT TRAITEMENT
              • SURVEILLANCE CARDIAQUE
              • SURVEILLANCE CLINIQUE
              Référence(s) officielle(s)
              • Rectificatif AMM française 22/09/2022
              CIM 10
              • Bradycardie, sans précision R001

              Terrain N° 17 AUTRE TRAITEMENT EN COURS
              • TRT PAR HYPOKALIEMIANT
              • TRT PAR ANTICHOLINERGIQUE
              • TRT PAR INSULINE
              • TRT PAR CORTICOIDE
              • TRT PAR LAXATIF
              Niveau(x)
              • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
              • RISQUE D'ALLONGEMENT INTERVALLE QT
              • RISQUE DE TROUBLE DU RYTHME
              • RISQUE DE TORSADES DE POINTES
              • BILAN CARDIOVASCULAIRE AVANT TRAITEMENT
              • BILAN ELECTROLYTIQUE AVANT TRAITEMENT
              • Cf. CONTRE INDICATIONS
              • Cf. INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES
              Référence(s) officielle(s)
              • Rectificatif AMM française 22/09/2022
              CIM 10
              • Non concerné .

              Terrain N° 18 AUTRE TRAITEMENT EN COURS
              • TRT PAR INIHBITEUR PUISSANT DU CYP1A2
              • TRT PAR INHIBITEUR PUISSANT DU CYP3A4
              Niveau(x)
              • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
              • RISQUE DE SURDOSAGE
              • UTILISER AVEC PRUDENCE
              Référence(s) officielle(s)
              • Rectificatif AMM française 22/09/2022
              CIM 10
              • Non concerné .

              Terrain N° 19 MALADIE THROMBOEMBOLIQUE
                Niveau(x)
                • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                • FAIRE TRAITEMENT ADAPTE AVANT ADMINIST
                Référence(s) officielle(s)
                • Rectificatif AMM française 22/09/2022
                CIM 10
                • Embolie et thrombose artérielles I74
                • Phlébite et thrombophlébite I80
                • Autres embolies et thromboses veineuses I82

                Terrain N° 20 THROMBOSE
                  Niveau(x)
                  • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                  • FAIRE TRAITEMENT ADAPTE AVANT ADMINIST
                  Référence(s) officielle(s)
                  • Rectificatif AMM française 22/09/2022
                  CIM 10
                  • Embolie et thrombose artérielles I74
                  • Thrombose de la veine porte I81
                  • Autres embolies et thromboses veineuses I82

                  Terrain N° 21 THROMBOPHLEBITE
                    Niveau(x)
                    • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                    • FAIRE TRAITEMENT ADAPTE AVANT ADMINIST
                    Référence(s) officielle(s)
                    • Rectificatif AMM française 22/09/2022
                    CIM 10
                    • Phlébite et thrombophlébite I80

                    Terrain N° 22 INSUFFISANCE HEPATIQUE
                      Niveau(x)
                      • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                      • UTILISER AVEC PRUDENCE
                      • RISQUE D'ACCUMULATION
                      • ADAPTER LA POSOLOGIE
                      • Cf. POSOLOGIE
                      • RISQUE D'ARYTHMIE
                      • BILAN CARDIOVASCULAIRE AVANT TRAITEMENT
                      Référence(s) officielle(s)
                      • Rectificatif AMM française 22/09/2022
                      CIM 10
                      • Insuffisance hépatique, non classée ailleurs K72

                      Terrain N° 23 INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
                        Niveau(x)
                        • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                        • UTILISER AVEC PRUDENCE
                        • RISQUE D'ACCUMULATION
                        • ADAPTER LA POSOLOGIE
                        • Cf. POSOLOGIE
                        • RISQUE D'ARYTHMIE
                        • BILAN CARDIOVASCULAIRE AVANT TRAITEMENT
                        Référence(s) officielle(s)
                        • Rectificatif AMM française 22/09/2022
                        CIM 10
                        • Maladie rénale chronique N18

                        Terrain N° 24 SUJET AGE
                          Niveau(x)
                          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                          • ADAPTER LA POSOLOGIE
                          • Cf. POSOLOGIE
                          Référence(s) officielle(s)
                          • Rectificatif AMM française 22/09/2022
                          CIM 10
                          • Non concerné .

                          Terrain N° 25 QUEL QUE SOIT LE TERRAIN
                            Niveau(x)
                            • MISE EN GARDE (SPECIALE)
                            • PRECAUTION (PARTICULIERE) D'EMPLOI
                            • RISQUE DE SEDATION
                            • RISQUE DE SOMNOLENCE
                            • RISQUE DE TROUBLE NEUROPSYCHIQUE
                            • RISQUE DE MORT SUBITE
                            • RISQUE DE TROUBLE DU RYTHME
                            • RISQUE D'ALLONGEMENT INTERVALLE QT
                            • RISQUE DE TORSADES DE POINTES
                            • RISQUE D'HYPOTENSION
                            • RISQUE DE TACHYCARDIE
                            • RISQUE D'HYPOVOLEMIE
                            • BILAN CARDIOVASCULAIRE AVANT TRAITEMENT
                            • SURVEILLANCE CARDIAQUE
                            • SURVEILLANCE CLINIQUE
                            • RISQUE DE SYNDROME MALIN
                            • ABSORPTION D'ALCOOL DECONSEILLEE
                            • ABAISSEMENT SEUIL EPILEPTOGENE
                            Référence(s) officielle(s)
                            • Rectificatif AMM française 22/09/2022
                            CIM 10
                            • Non concerné .





                            - Commentaires du RCP :
                            - Système nerveux central
                            Le dropéridol peut majorer l'effet dépresseur central provoqué par d'autres dépresseurs du SNC. Tout patient soumis à une anesthésie et traité par de puissants dépresseurs du SNC ou présentant des symptômes évocateurs d'une dépression du SNC doit faire l'objet d'une surveillance étroite.

                            L'utilisation concomitante de métoclopramide et d'autres neuroleptiques peut entraîner une augmentation des symptômes extrapyramidaux et doit être évitée (Cf. "Interactions médicamenteuses").

                            La prudence s'impose chez les patients souffrant d'épilepsie (ou ayant des antécédents d'épilepsie) ou de pathologies prédisposant à l'épilepsie ou aux convulsions.

                            - Appareil cardio-vasculaire
                            Une hypotension légère à modérée ainsi que des cas occasionnels de tachycardie (réflexe) ont été rapportés après l'administration de dropéridol. Généralement ces effets disparaissent spontanément. Toutefois, si l'hypotension persiste, la possibilité d'une hypovolémie devra être prise en compte et un remplissage vasculaire devra être réalisé.

                            Les patients ayant ou pouvant avoir des facteurs de risques d'arythmies cardiaques devront être soigneusement évalués avant de recevoir du dropéridol ; ces risques sont les suivants:
                            - antécédents de maladie cardiaque significative, telles que arythmies ventriculaires graves, bloc auriculo-ventriculaire du second ou de troisième degré, dysfonctionnement sinusal, insuffisance cardiaque congestive, cardiopathie ischémique et hypertrophie ventriculaire gauche ;
                            - antécédents familiaux de mort subite ;
                            - insuffisance rénale (notamment chez les patients sous dialyse chronique) ;
                            - bronchopneumopathie chronique obstructive et insuffisance respiratoire ;
                            - facteurs de risque de troubles électrolytiques observés chez les patients sous laxatifs, glucocorticoïdes ou diurétiques non épargneurs du potassium, en association avec l'administration en aigu d'insuline ou chez des patients présentant des vomissements et/ou des diarrhées prolongées.

                            Chez les patients à risque d'arythmies cardiaques, les taux sériques d'électrolytes et de créatinine doivent être mesurés et il convient de s'assurer de l'absence d'un allongement de l'intervalle QT avant toute administration de dropéridol.

                            Chez les patients à risque réels ou potentiels d'arythmies ventriculaires, une surveillance continue de l'oxymétrie du pouls doit être effectuée pendant l'administration et pendant les 30 minutes qui suivent une injection intraveineuse unique.

                            Afin d'éviter un allongement de l'intervalle QT, la prudence s'impose chez les patients qui sont traités par des médicaments susceptibles d'induire un déséquilibre électrolytique (hypokaliémie et/ou hypomagnésémie), par exemple les diurétiques non épargneurs du potassium, les laxatifs et les glucocorticoïdes.
                            La prise des médicaments suivants avec le dropéridol pouvant induire des troubles du rythme cardiaques notamment des Torsades de Pointes est déconseillée (Cf. rubrique "Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions") : Arsénieux, antiparasitaires susceptibles de donner des torsades de pointes (chloroquine, halofantrine, luméfantrine, pentamidine), neuroleptiques susceptibles de donner des torsades de pointes (chlorpromazine, cyamemazine, flupentixol, fluphenazine, haloperidol, lévomepromazine, pimozide, pipamperone, pipotiazine, sulpiride, tiapride, zuclopenthixol), délamanid, crizotinib, hydroxychloroquine, méthadone, sulfaméthoxazole + triméthoprime.


                            * Autres mises en garde

                            La prise de dropéridol est déconseillée avec l'oxybate de sodium (Cf. rubrique "Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions").

                            La prise de boissons alcoolisées ou de médicaments contenant de l'alcool est déconseillée (voir rubrique 4.5).
                            Il convient de réaliser une évaluation approfondie avant l'administration de dropéridol chez des patients qui ont, ou sont suspectés d'avoir, des antécédents d'alcoolisme ainsi que chez les patients ayant absorbé récemment de grandes quantités d'alcool.

                            En cas d'hyperthermie inexpliquée le traitement doit être arrêté impérativement car ce signe peut être l'un des éléments évocateurs du syndrome malin décrit avec les neuroleptiques.

                            Des cas de thrombo-embolie veineuse (TEV) ont été rapportés avec des médicaments antipsychotiques. Les patients traités avec des antipsychotiques présentant souvent des facteurs de risque acquis de TEV, tous les facteurs de risque possibles de TEV doivent être identifiés avant et pendant le traitement par le dropéridol et des mesures préventives doivent être prises.
                            La dose doit être diminuée chez les patients âgés (plus de 65 ans) et les insuffisants rénaux et/ou hépatiques (Cf. rubrique "Posologie").
                            Référence(s) officielle(s) Rectificatif AMM française 22/09/2022




                            Autres sources d'information
                            Terrain N° 26 EXPOSITION A UNE TEMPERATURE EXTREME
                              Niveau(x)
                              • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                              • METTRE EN BALANCE BENEFICES ET RISQUES
                              • PREVENIR LE MALADE
                              • BON USAGE DES MEDICAMENTS EN CAS DE VAGUE DE CHALEUR ANSM 29/06/2009
                              Référence(s) officielle(s)
                              CIM 10
                              • Effets de la chaleur et de la lumière T67
                              • Exposition à une chaleur artificielle excessive W92

                              Terrain N° 27 EXPOSITION A UNE TEMPERATURE EXTREME
                                Niveau(x)
                                • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                                • METTRE EN BALANCE BENEFICES ET RISQUES
                                • PREVENIR LE MALADE
                                Référence(s) officielle(s)
                                CIM 10
                                • Effets de la chaleur et de la lumière T67
                                • Exposition à une chaleur artificielle excessive W92

                                Non contre-indications
                                Terrain N° 1
                                • PORPHYRIE HEPATIQUE
                                • PORPHYRIE HEPATIQUE MALADIE
                                Niveau(x)
                                • NON CONTRE-INDICATION
                                • INFO DU CENTRE FRANCAIS DES PORPHYRIES
                                • SITE WEB HTTP://www.porphyrie.net
                                La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques.

                                La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes.

                                Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement.

                                Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés.

                                Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets.

                                Le médicament de première intention pour un porteur de porphyrie hépatique aigüe est toujours celui classé comme autorisé.

                                En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries.
                                CIM10
                                • Autres porphyries E802
                                • Anomalies du métabolisme de la porphyrine et de la bilirubine E80

                                Terrain N° 2
                                • PORPHYRIE CUTANEE
                                Niveau(x)
                                • NON CONTRE-INDICATION
                                • INFO DU CENTRE FRANCAIS DES PORPHYRIES
                                • SITE WEB HTTP://www.porphyrie.net
                                La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques.

                                La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes.

                                Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement.

                                Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés.

                                Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets.

                                Le médicament de première intention pour un porteur de porphyrie hépatique aigüe est toujours celui classé comme autorisé.

                                En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries.
                                CIM10
                                • Porphyrie cutanée tardive E801
                                Interactions médicamenteuses
                                * Médicaments à l'origine d'une hypotension orthostatique

                                Outre les antihypertenseurs, de nombreux médicaments peuvent entraîner une hypotension orthostatique. C'est le cas notamment des dérivés nitrés, des inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5, des alpha-bloquants à visée urologique, des antidépresseurs imipraminiques et des neuroleptiques phénothiaziniques, des agonistes dopaminergiques et de la lévodopa. Leur utilisation conjointe risque donc de majorer la fréquence et l'intensité de cet effet indésirable. Se reporter aux interactions propres à chaque classe, avec les niveaux de contrainte correspondants.


                                * Médicaments abaissant le seuil épileptogènes

                                L'utilisation conjointe de médicaments proconvulsivants, ou abaissant le seuil épileptogène, devra être soigneusement pesée, en raison de la sévérité du risque encouru. Ces médicaments sont représentés notamment par la plupart des antidépresseurs (imipraminiques, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine), les neuroleptiques (phénothiazines et butyrophénones), la méfloquine, la chloroquine, les fluoroquinolones, le bupropion, le tramadol.


                                * Médicaments sédatifs

                                Il faut prendre en compte le fait que de nombreux médicaments ou substances peuvent additionner leurs effets dépresseurs du système nerveux central et contribuer à diminuer la vigilance. Il s'agit des dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution), des neuroleptiques, des barbituriques, des benzodiazépines, des anxiolytiques autres que les benzodiazépines (par exemple, le méprobamate), des hypnotiques, des antidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine, trimipramine), des antihistaminiques H1 sédatifs, des antihypertenseurs centraux, du baclofène et du thalidomide.


                                * Substances susceptibles de donner des Torsades de Pointes

                                Ce trouble du rythme cardiaque grave peut être provoqué par un certain nombre de médicaments, antiarythmiques ou non. L'hypokaliémie (cf. médicaments hypokaliémiants) est un facteur favorisant, de même que la bradycardie (cf. médicaments bradycardisants) ou un allongement préexistant de l'intervalle QT, congénital ou acquis.

                                Les médicaments à l'origine de cet effet indésirable sont notamment les antiarythmiques de classe Ia et III, et certains neuroleptiques. D'autres molécules n'appartenant pas à ces classes sont également en cause.

                                Pour l'érythromycine et la vincamine, seules les formes administrées par voie intraveineuse sont concernées par cette interaction.

                                L'utilisation d'un médicament torsadogène avec un autre médicament torsadogène est contre-indiquée en règle générale.

                                Certains d'entre eux, en raison de leur caractère incontournable, font exception à la règle, en étant seulement déconseillés avec les autres torsadogènes. Il s'agit des antiparasitaires (chloroquine, halofantrine, luméfantrine, pentamidine), de l'arsénieux, de l'hydroxychloroquine, de la méthadone, du crizotinib, du cotrimoxazole et des neuroleptiques.


                                * Associations contre-indiquées (Cf. rubrique "Contre-indications")

                                + Antiarythmiques classe Ia et III : amiodarone, amisulpride, disopyramide, dronedarone, hydroquinidine, quinidine, sotalol,

                                + Citalopram, escitalopram

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

                                + Cocaïne

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

                                + Dompéridone

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

                                + Dopaminergiques (amantadine, apomorphine, bromocriptine, cabergoline, entacapone, lisuride, piribedil, pramipexole, quinagolide, rasagiline, ropinirole, rotigotine, selegiline, tolcapone)

                                Antagonisme réciproque entre le dopaminergique et le neuroleptique. Utiliser un antiémétique dénué d'effets extrapyramidaux.

                                + Erythromycine administrée par voie intraveineuse

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

                                + Hydroxyzine

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

                                + Lévodopa

                                Antagonisme réciproque entre la lévodopa et le neuroleptique. Utiliser un antiémétique dénué d'effets extrapyramidaux.

                                + Méquitazine

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

                                + Moxifloxacine

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

                                + Pipéraquine

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

                                + Spiramycine

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

                                + Torémifène

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

                                + Vandétanib

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

                                + Vincamine administrée par voie intraveineuseRisque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.

                                Associations déconseillées (Cf. rubrique "Mises en garde spéciales et précautions d'emploi")

                                + Alcool

                                Majoration par l'alcool de l'effet sédatif de ces substances. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.

                                + Arsenieux

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Si cela est possible, interrompre l'un des deux traitements. Si l'association ne peut être évitée, contrôle préalable du QT et surveillance ECG monitorée.

                                + Antiparasitaires susceptibles de donner des torsades de pointes : chloroquine, halofantrine, luméfantrine, pentamidine)

                                + Neuroleptiques susceptibles de donner des torsades de pointes (chlorpromazine, cyamemazine, flupentixol, fluphenazine, haloperidol, levomepromazine, pimozide, pipamperone, pipotiazine, sulpiride, tiapride, zuclopenthixol

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Si l'association ne peut être évitée, contrôle clinique et électrocardiographique régulier.

                                + Crizotinib

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Si l'association ne peut être évitée, contrôle clinique et électrocardiographique régulier.

                                + Délamanid

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Si l'association ne peut être évitée, contrôle clinique et électrocardiographique régulier.

                                + Hydroxychloroquine

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Si l'association ne peut être évitée, contrôle clinique et électrocardiographique régulier.

                                + Métoclopramide

                                Augmentation du risque de syndromes extra-pyramidaux.

                                + Méthadone

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Si l'association ne peut être évitée, contrôle clinique et électrocardiographique régulier.

                                + Oxybate de sodium

                                Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.

                                + Sulfaméthoxazole + triméthoprime

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Si l'association ne peut être évitée, contrôle clinique et électrocardiographique régulier.


                                * Associations faisant l'objet de précautions d'emploi

                                + Anagrélide

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association.

                                + Azithromycine, clarithromycine, roxithromycine

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association.

                                + Bêta-bloquants dans l'insuffisance cardiaque

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association. De plus effet vasodilatateur et risque d'hypotension, notamment orthostatique (effet additif).

                                + Bradycardisants

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association.

                                + Ciprofloxacine, lévofloxacine, norfloxacine

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association.

                                + Glasdégib

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association.

                                + Lithium

                                Risque d'apparition de signes neuropsychiques évocateurs d'un syndrome malin des neuroleptiques ou d'une intoxication au lithium. Surveillance clinique et biologique régulière, notamment en début d'association.

                                + Ondansetron

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association.

                                Associations à prendre en compte

                                + Aripiprazole

                                Risque de moindre efficacité, notamment de l'aripiprazole.

                                + Autres médicaments à l'origine d'une hypotension orthostatique

                                Risque de majoration d'une hypotension, notamment orthostatique.

                                + Autres médicament sédatifs

                                Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.

                                + Autres médicaments abaissant le seuil épileptogène

                                Risque accru de convulsions.

                                + Dapoxétine

                                Risque de majoration des effets indésirables, notamment à type de vertiges ou de syncopes.

                                + Hypokaliémiants

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Corriger toute hypokaliémie avant d'administrer le produit et réaliser une surveillance clinique, électrolytique et électrocardiographique.

                                + Médicaments abaissant la pression artérielle

                                Risque de majoration d'une hypotension, notamment orthostatique

                                + Médicaments à l'origine d'un hypogonadisme masculin (abiraterone, apalutamide, bicalutamide, cyproterone, dégarélix, dutasteride, enzalutamide, finasteride, flutamide, gosereline, leuproreline, nilutamide, triptoreline)

                                Risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes. Surveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association.

                                + Orlistat

                                Risque d'échec thérapeutique en cas de traitement concomitant par orlistat.
                                 
                                Référence(s) officielle(s):   Rectificatif AMM française 22/09/2022
                                Grossesse
                                Recommandations et conduites à tenir
                                 
                                Effet spécialité
                                Niveau(x) de risque
                                • ADMINISTRATION A EVITER

                                Des données cliniques limitées n'ont pas montré d'augmentation du risque malformatif.

                                Le dropéridol n'a pas produit d'effets tératogènes chez le rat. Les études animales sont insuffisantes pour montrer des effets sur la grossesse, le développement embryonnaire/fœtal, l'accouchement et le développement postnatal.

                                Des troubles neurologiques transitoires de nature extrapyramidale ont été décrits chez les nouveau-nés de mères ayant été exposées de manière prolongée à des fortes doses de neuroleptiques.

                                Par mesure de précaution, il est préférable de ne pas administrer de dropéridol pendant la grossesse. S'il s'avère nécessaire d'administrer du dropéridol en fin de grossesse, il est recommandé de surveiller les fonctions neurologiques du nouveau-né.
                                Conduite à tenir chez le nouveau-né
                                • FAIRE UNE SURVEILLANCE CLINIQUE
                                • SURVEILLER FONCTIONS NEUROLOGIQUES
                                Des troubles neurologiques transitoires de nature extrapyramidale ont été décrits chez les nouveau-nés de mères ayant été exposées de manière prolongée à des fortes doses de neuroleptiques.
                                Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM française 22/09/2022

                                Femme en âge de procréer
                                Recommandations et conduites à tenir
                                Recommandations
                                • PAS DE RECOMMANDATION/PROCREATION
                                * Fertilité

                                Les études chez des rats mâles et femelles n'ont pas mis en évidence d'effets du dropéridol sur la fertilité (Cf. rubrique "Securité préclinique"). L'effet du dropéridol sur la fécondité humaine n'a pas été établi.
                                Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM française 22/09/2022
                                Allaitement
                                Données sur le passage dans le lait maternel
                                Passage dans le lait Oui
                                Fixation protéique Pas d'information
                                Rapport concentration lait/plasma maternels Pas d'information
                                Concentration dans 100 ml de lait maternel Pas d'information
                                Recommandations et conduites à tenir
                                Recommandations
                                • ALLAITEMENT A EVITER PENDANT TRT

                                Il existe un passage des neuroleptiques butyrophénones dans le lait maternel ; le traitement par dropéridol doit donc être limité à une administration unique. Les administrations répétées ne sont pas recommandées.
                                Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM française 22/09/2022
                                Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
                                Recommandations
                                • OUI
                                • NIV 3 : ATTENTION DANGER/NE PAS CONDUIRE
                                • AVIS MEDICAL AVANT REPRISE CONDUITE
                                • PICTOGRAMME CONDUCTEUR : JO 18/03/2017
                                • MODIFICATION COMPORTEMENT (CONDUCTEUR)
                                • RISQUE DE SOMNOLENCE
                                Le dropéridol a une influence majeure sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.

                                Les patients ne doivent pas conduire un véhicule ni utiliser de machine dans les 24 heures qui suivent l'administration de dropéridol.
                                Référence(s) officielle(s):    Rectificatif AMM française 22/09/2022
                                Les effets indésirables de la base Theriaque incluent d'une part les effets indésirables du RCP de la spécialité consultée, d'autre part une compilation bibliographique des effets indésirables des médicaments appartenant à la même classe thérapeutique.
                                Déclaration des effets indésirables suspectés

                                La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
                                Site internet: www.ansm.sante.fr.

                                Effets indésirables à dose thérapeutique   Cliquer ici pour obtenir tous les effets indésirables
                                - Effets indésirables cliniques
                                TROUBLES DE L'ETAT GENERAL
                                TROUBLES DU SYSTEME NERVEUX(3 fiches)
                                TROUBLES DE LA PEAU ET DES APPENDICES
                                TROUBLES DU SYSTEME IMMUNITAIRE
                                TROUBLES SYSTEMES SANGUIN ET LYMPHATIQUE
                                TROUBLES AFFECTANT PLUSIEURS ORGANES(2 fiches)
                                TROUBLES HEPATO-BILIAIRES
                                TROUBLES METABOLISME ET NUTRITION(2 fiches)
                                TROUBLES RENAUX ET GENITO-URINAIRES
                                TROUBLES CARDIO-VASCULAIRES


                                - Effets indésirables paracliniques
                                TROUBLES DU SYSTEME NERVEUX
                                TROUBLES DU SYSTEME IMMUNITAIRE
                                TROUBLES SYSTEMES SANGUIN ET LYMPHATIQUE
                                TROUBLES AFFECTANT PLUSIEURS ORGANES
                                TROUBLES HEPATO-BILIAIRES
                                TROUBLES METABOLISME ET NUTRITION (2 fiches)
                                TROUBLES RENAUX ET GENITO-URINAIRES
                                TROUBLES CARDIO-VASCULAIRES

                                Effets indésirables en cas de surdosage   Cliquer ici pour obtenir tous les effets indésirables
                                - Effets indésirables cliniques
                                - Effets indésirables paracliniques

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