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Voie(s) d'administration : |
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Forme(s) pharmaceutique(s) : |
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Gélule. |
Référence(s) bibliographique(s) : |
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Substance(s) active(s)
Excipient(s)
ENVELOPPE DE LA GELULE Excipient(s)
ENCRE D'IMPRESSION Excipient(s) |
Précision(s) composition : |
Chaque gélule contient du siméprévir sodique, équivalent à 150 mg de siméprévir. Excipient à effet notoire : chaque gélule contient 78,4 mg de lactose (sous forme monohydraté). |
Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM européenne 20/07/2017
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Classe pharmacothérapeutique : Antiviraux à usage systémique, Antiviraux à action directe, Code ATC : J05AE14. * Mécanisme d'action Le siméprévir est un inhibiteur spécifique de la sérine protéase NS3/4A du VHC, qui est essentielle pour la réplication virale. Dans un essai biochimique, le siméprévir a inhibé l'activité protéolytique des protéases NS3/4A de VHC recombinantes de génotypes 1a et 1b, avec des valeurs Ki médianes de respectivement 0,5 nM et 1,4 nM. * Activité antivirale in vitro Les valeurs médianes de CE50 et CE90 du siméprévir contre un réplicon de VHC de génotype 1b étaient respectivement de 9,4 nM (7,05 ng/mL) et 19 nM (14,25 ng/mL). Les réplicons chimériques portant des séquences NS3 issues de patients naïfs de traitement par IP du VHC de génotype 1a et 1b, conduisaient à des modifications médianes des valeurs de CE50 du siméprévir d'un facteur (FC) respectivement de 1,4 (N = 78) et 0,4 (N = 59), en comparaison au réplicon de génotype 1b de référence. Les isolats de génotype 1a et 1b avec un polymorphisme Q80K à l'inclusion conduisaient à des FC médians des CE50 du siméprévir de respectivement 11 (N = 33) et 8,4 (N = 2). Les FC médians du siméprévir sur les isolats initiaux de génotype 2 et de génotype 3 qui ont été évalués étaient respectivement de 25 (N = 4) et 1014 (N = 2). Les FC médians du siméprévir sur les isolats initiaux de génotype 4a, de génotype 4d et d'autres génotypes 4 étaient respectivement de 0,5 (N = 38), 0,4 (N = 24) et 0,8 (N = 29). La présence de 50 % de sérum humain a diminué l'activité du siméprévir contre le réplicon d'un facteur 2,4. L'association in vitro du siméprévir avec l'interféron, la ribavirine, les inhibiteurs de NS5A ou NS5B a donné des effets additifs ou synergiques. * Activité antivirale in vivo Les données suivantes présentent des données issues des études C201 (génotype 1) et C202 (génotypes 2, 3, 4, 5 et 6) sur l'activité du siméprévir en monothérapie sur une courte période chez des patients ayant reçu 200 mg de siméprévir une fois par jour pendant 7 jours. Activité antivirale du siméprévir 200 mg en monothérapie (études C201 et C202) Variation moyenne (ET) de l'ARN du VHC au jour 7/8 (log10 UI/mL) Génotype 1 (N = 9) : -4,18 (0,158) Génotype 2 (N = 6) : -2,73 (0,71) Génotype 3 (N = 8) : -0,04 (0,23) Génotype 4 (N = 8) : -3,52 (0,43) Génotype 5 (N = 7) : -2,19 (0,39) Génotype 6 (N = 8) : -4,35 (0,29) * Résistance - Résistance dans les cultures cellulaires La résistance au siméprévir a été caractérisée dans les cellules contenant des réplicons de VHC de génotype 1a et 1b. Quatre-vingt-seize pour cent des réplicons de génotype 1 sélectionnés par rapport au siméprévir portaient une ou plusieurs substitutions d'acides aminés aux positions 43, 80, 155, 156 et/ou 168 de la protéase NS3, les substitutions en position D168 de la protéase NS3 étant les plus fréquentes (78 %). En outre, la résistance au siméprévir a été évaluée dans des essais sur réplicons du VHC de génotype 1a et 1b à l'aide de mutants ciblés et de réplicons chimériques porteurs de séquences NS3 issues des isolats cliniques. Les substitutions d'acides aminés aux positions 43, 80, 122, 155, 156 et 168 de la protéase NS3 ont diminué l'activité du siméprévir in vitro. Des substitutions telles que D168V ou A, et R155K ont été habituellement associées à de grandes réductions de la sensibilité au siméprévir in vitro (FC des CE50 > 50), alors que d'autres substitutions telles que Q80K ou R, S122R, et D168E présentaient un faible degré de résistance in vitro (FC des CE50 entre 2 et 50). D'autres substitutions telles que Q80G ou L, S122G, N ou T ne diminuaient pas l'activité du siméprévir (FC des CE50 < ou = 2). Les substitutions d'acides aminés aux positions 80, 122, 155 et/ou 168 de la protéase NS3, associées à un faible degré de résistance au siméprévir in vitro lorsqu'elles sont isolées, ont diminué l'activité du siméprévir de plus de 50 fois lorsqu'elles étaient associées. - Résistance dans les études cliniques Dans une analyse compilée des patients traités par 150 mg de siméprévir en association au peginterféron alfa et à la ribavirine n'ayant pas atteint une RVS dans les études cliniques contrôlées de phase 2 et de phase 3 (études C205, C206, C208, C216, HPC3007), des substitutions émergentes d'acides aminés ont été observées aux positions 80, 122, 155 et/ou 168 de la protéase NS3 chez 180 patients sur 197 (91 %). Les substitutions D168V et R155K seules ou en association à d'autres mutations dans ces positions sont apparues plus fréquemment (ci-dessous). On a montré que la plupart de ces substitutions émergentes réduisaient l'activité anti-VHC du siméprévir dans les essais sur réplicons en cultures cellulaires. Des profils de substitutions d'acides aminés émergentes spécifiques aux sous-types de VHC de génotype 1 ont été observés sous traitement par siméprévir chez les patients n'ayant pas atteint une RVS. Les patients infectés par le VHC de génotype 1a présentaient principalement des substitutions émergentes R155K seules ou en association à des substitutions d'acides aminés aux positions 80, 122 et/ou 168 de la protéase NS3, alors que les patients infectés par le VHC de génotype 1b présentaient plus souvent une substitution émergente D168V (c-dessous). Chez les patients infectés par le VHC de génotype 1a avec une substitution d'acides aminés Q80K à l'inclusion, une substitution émergente R155K a été plus fréquemment observée au moment de l'échec. Substitutions d'acides aminés émergentes sous traitement dans les études compilées de phase 2b et de phase 3 : patients n'ayant pas obtenu une RVS après un traitement par 150 mg de siméprévir en association au peg-interféron alfa et à la ribavirine (analyse en intention de traiter) Substitutions émergentes d'acides aminés de la protéase NS3 : n'importe quelle substitution en position 43, 80, 122, 155, 156 ou 1682 de la protéase NS3 Tous les génotypes de VHC N = 197 % (n) : 91,4 % (180) Génotype 1a (1) N = 116 % (n) : 94,8 % (110) Génotype 1b N = 81 % (n) : 86,4 % (70) Substitutions émergentes d'acides aminés de la protéase NS3 : D168E Tous les génotypes de VHC N = 197 % (n) : 15,7 % (31) Génotype 1a (1) N = 116 % (n) : 14,7 % (17) Génotype 1b N = 81 % (n) : 17,3 % (14) Substitutions émergentes d'acides aminés de la protéase NS3 : D168V Tous les génotypes de VHC N = 197 % (n) : 31,0 % (61) Génotype 1a (1) N = 116 % (n) : 10,3 % (12) Génotype 1b N = 81 % (n) : 60,5 % (49) Substitutions émergentes d'acides aminés de la protéase NS3 : Q80R3 Tous les génotypes de VHC N = 197 % (n) : 7,6 % (15) Génotype 1a (1) N = 116 % (n) : 4,3 % (5) Génotype 1b N = 81 % (n) : 12,3 % (10) Substitutions émergentes d'acides aminés de la protéase NS3 : R155K Tous les génotypes de VHC N = 197 % (n) : 45,2 % (89) Génotype 1a (1) N = 116 % (n) : 76,7 % (89) Génotype 1b N = 81 % (n) : 0 % (0) Substitutions émergentes d'acides aminés de la protéase NS3 : Q80X+D168X4 Tous les génotypes de VHC N = 197 % (n) : 8,1 % (16) Génotype 1a (1) N = 116 % (n) : 4,3 % (5) Génotype 1b N = 81 % (n) : 13,6 % (11) Substitutions émergentes d'acides aminés de la protéase NS3 : R155X+ D168X4 Tous les génotypes de VHC N = 197 % (n) : 9,1 % (18) Génotype 1a (1) N = 116 % (n) : 12,9 % (15) Génotype 1b N = 81 % (n) : 3,7 % (3) Substitutions émergentes d'acides aminés de la protéase NS3 : Q80K3, S122A/G/I/T3, S122R, R155Q, D168A, D168F3, D168H, D168T, I170T5 Tous les génotypes de VHC N = 197 % (n) : moins de 10 % Génotype 1a (1) N = 116 % (n) : moins de 10 % Génotype 1b N = 81 % (n) : moins de 10 % (1) Peut inclure quelques patients présentant une infection à VHC de génotype autre que 1a ou 1b. (2) Seule ou en association à d'autres substitutions (y compris des mélanges). (3) Substitutions uniquement observées en association à d'autres substitutions émergentes au niveau d'une ou plusieurs des positions 80, 122, 155 et/ou 168 de la protéase NS3. (4) Les patients présentant ces associations sont également comptabilisés dans les lignes décrivant les substitutions individuelles. X représente plusieurs acides aminés. D'autres mutations doubles ou triples ont été observées à des fréquences plus faibles. (5) Deux patients ont eu des substitutions émergentes isolées I170T. Remarque : les substitutions aux positions 43 et 156 de la protéase NS3 associées à une diminution de l'activité du siméprévir in vitro n'ont pas été observées au moment de l'échec thérapeutique. Dans l'étude HPC3011 chez les patients infectés par un VHC de génotype 4, 28 des 32 patients (88 %) qui n'ont pas obtenu une RVS présentaient des substitutions émergentes d'acides aminés aux positions 80, 122, 155, 156 et/ou 168 de la protéase NS3 (principalement des substitutions à la position 168 ; 24 des 32 patients [75 %]), similaires aux substitutions émergentes d'acides aminés observées chez les patients infectés par le génotype 1. La majorité des patients infectés par un VHC de génotype 1 traités par le siméprévir en association au sofosbuvir (avec ou sans ribavirine) pendant 12 ou 24 semaines qui n'ont pas atteint une RVS pour des raisons virologiques, et avec des données de séquençage disponibles, présentaient des substitutions émergentes d'acides aminés à la position 168 dans la NS3 et/ou une substitution émergente R155K : 5 des 6 patients dans l'étude HPC2002, 1 des 3 patients dans l'étude HPC3017 et 11 des 13 patients dans l'étude HPC3018. Les substitutions émergentes d'acides aminés dans la NS3 étaient similaires à celles observées chez les patients qui n'avaient pas atteint une RVS après traitement par siméprévir en association au peg-interféron alfa et à la ribavirine. Aucune substitution émergente d'acides aminés dans la NS5B associée à une résistance au sofosbuvir n'a été observée chez les patients qui n'avaient pas atteint une RVS après traitement par siméprévir en association au sofosbuvir (avec ou sans ribavirine) pendant 12 ou 24 semaines. - Persistance de substitutions associées à une résistance La persistance des substitutions d'acides aminés de la protéase NS3 associées à une résistance au siméprévir a été évaluée après un échec thérapeutique. Dans l'analyse des données compilées des patients ayant reçu 150 mg de siméprévir en association au peg-interféron alfa et à la ribavirine au cours des études de phase 2b et de phase 3, les variants résistants au siméprévir apparus sous traitement n'étaient plus détectables chez 90 patients sur 180 (50 %) à la fin des études après un suivi médian de 28 semaines (entre 0 et 70 semaines). Chez 32 des 48 patients (67 %) ayant une substitution émergente unique D168V et chez 34 des 66 patients (52 %) ayant une substitution émergente unique R155K, les variants émergents respectifs n'étaient plus détectés à la fin des études. Les données d'une étude de suivi de 3 ans réalisée chez des patients n'ayant pas obtenu une RVS avec le siméprévir en association au peg-interféron alfa et à la ribavirine au cours d'une étude précédente de phase 2 ou de phase 3, ont montré que chez 86 % de ces patients (37/43), les mutations émergentes au moment de l'échec dans l'étude précédente n'étaient plus détectées après un suivi médian de 180 semaines (entre 47 et 230 semaines) (étude HPC3002). On ne connaît pas l'impact clinique à long terme de l'émergence ou de la persistance des substitutions associées à une résistance au siméprévir. - Effet des polymorphismes du VHC à l'inclusion sur la réponse au traitement Des analyses ont été menées pour évaluer le lien entre les substitutions initiales naturelles d'acides aminés de la protéase NS3/4A (polymorphismes) et l'issue du traitement. Les polymorphismes à l'inclusion aux positions 43, 80, 122, 155, 156 et/ou 168 dans la NS3 associés à une diminution de l'activité du siméprévir in vitro étaient peu fréquentes (1,3 %) chez les patients infectés par un VHC de génotype 1 (n = 2007 ; études compilées de phase 2 et phase 3 avec le siméprévir en association au peg-interféron alfa et à la ribavirine), à l'exception de la substitution Q80K chez les patients infectés par un VHC de génotype 1a qui a été observée chez 30 % des patients infectés par un VHC de génotype 1a et 0,5 % chez les patients infectés par un VHC de génotype 1b. En Europe, la prévalence était plus faible, 19 % (73/377) chez les patients infectés par un VHC de génotype 1a et 0,3 % (3/877) chez les patients infectés par un VHC de génotype 1b. Le polymorphisme Q80K n'a pas été observé chez les patients infectés par un VHC de génotype 4. La présence du polymorphisme Q80K à l'inclusion était associée à un taux de RVS plus faible chez les patients infectés par un VHC de génotype 1a traités par le siméprévir en association au peginterféron alfa et à la ribavirine (ci-après). * Résistance croisée On a montré que certaines des substitutions d'acides aminés de la protéase NS3 émergeant sous traitement qui sont détectées chez les patients traités par le siméprévir n'ayant pas obtenu de RVS dans les études cliniques (par exemple, substitution R155K) diminuaient l'activité anti-VHC du télaprévir, du bocéprévir, et d'autres inhibiteurs des protéases NS3/4A. Chez les patients n'obtenant pas de RVS, l'impact d'une exposition antérieure au siméprévir sur l'efficacité des traitements ultérieurs à base d'IP des protéases NS3/4A du VHC n'a pas été établi. Il n'existe aucune donnée clinique sur l'efficacité du siméprévir chez les patients ayant des antécédents d'exposition aux inhibiteurs des protéases NS3/4A télaprévir ou bocéprévir. Il n'est pas attendu de résistance croisée entre les agents antiviraux à action directe ayant différents mécanismes d'action. Les variants résistant au siméprévir qui ont été étudiés sont restés sensibles aux représentants de la classe des inhibiteurs nucléosidiques et non nucléosidiques de polymérase du VHC et des inhibiteurs de NS5A. Les variants porteurs de substitutions d'acides aminés conférant une sensibilité réduite aux inhibiteurs de NS5A (L31F/V, Y93C/H), aux inhibiteurs nucléosidiques de polymérase (S282T) et aux inhibiteurs non nucléosidiques de polymérase (C316N, M414I/L, P495A) sont restés sensibles au siméprévir in vitro. * Efficacité et sécurité clinique - Efficacité et sécurité clinique La réponse virologique soutenue (RVS) était le critère principal dans l'ensemble des études et était définie comme un taux d'ARN du VHC détectable en dessous de la limite inférieure de quantification (LIDQ) ou indétectable 12 semaines (RVS12) ou 24 semaines (RVS24) après la date prévue de fin de traitement (études C206, C208, C212, C216, HPC2002, HPC3007 et HPC3011) ou après la date réelle de fin de traitement (études HPC2014, HPC3017, HPC3018 et HPC3021) (LIDQ de 25 UI/ml et limite de détection de 15 UI/ml, à l'exception des études HPC2014 et HPC3021 pour lesquelles LIDQ et limite de détection étaient de 15 UI/ml. Les patients avaient une maladie hépatique compensée (incluant une cirrhose), un taux d'ARN du VHC d'au moins 10000 UI/mL, et une histopathologie hépatique compatible avec une HCC (le cas échéant). . Siméprévir en association au sofosbuvir L'efficacité du siméprévir (150 mg une fois par jour) dans le cadre d'un traitement sans interféron (sofosbuvir, 400 mg une fois par jour) a été évaluée chez des patients infectés par un VHC de génotype 1 ou 4, qui étaient des patients naïfs de traitement ou pré-traités (après un précédent traitement à base d'interféron) (ci-dessous). Etudes conduites avec siméprévir + sofosbuvir : population et résumé du profil de l'étude Etude (1) : HPC3017 (OPTIMIST-1; Phase 3) Population : génotype 1, naïfs de traitement ou pré-traités (2), sans cirrhose Nombre de patients inclus : 310 Résumé du profil de l' étude : 8 ou 12 semaines de SMV + sofosbuvir Etude (1) : HPC3018 (OPTIMIST-2 ; Phase 3) Population : génotype 1, naïfs de traitement ou pré-traités (2), avec cirrhose compensée Nombre de patients inclus : 103 Résumé du profil de l' étude : 12 semaines de SMV + sofosbuvir Etude (1) : HPC2002 (COSMOS ; Phase 2) Population : génotype 1, naïfs de traitement ou répondeurs nuls (3), avec cirrhose compensée ou sans cirrhose Nombre de patients inclus : 167 Résumé du profil de l' étude : 12 ou 24 semaines de SMV + sofosbuvir, avec ou sans ribavirine (4) Etude (1) : HPC2014 (OSIRIS ; Phase 2) Population : génotype 4, naïfs de traitement ou pré-traités (2), avec cirrhose compensée ou sans cirrhose Nombre de patients inclus : 63 Résumé du profil de l' étude : patients sans cirrhose : 8 ou 12 semaines de SMV + sofosbuvir ; patients avec cirrhose : 12 semaines de SMV + sofosbuvir Etude (1) : HPC3021 (PLUTO ; Phase 3) Population : génotype 4, naïfs de traitement ou pré-traités (2), avec cirrhose compensée ou sans cirrhose Nombre de patients inclus : 40 Résumé du profil de l' étude : 12 semaines de SMV + sofosbuvir SMV = siméprévir. (1) Etude en ouvert, randomisée sauf pour les études HPC3018 et HPC3021 qui étaient à un seul bras, et l'étude HPC2014 qui était partiellement randomisée. (2) Inclut les rechuteurs, les répondeurs partiels et les répondeurs nuls à un précédent traitement par interféron (pégylé ou non-pégylé), avec ou sans ribavirine. (3) A un précédent traitement par peg-interféron et ribavirine. (4) La posologie de la ribavirine est en deux prises par jour et en fonction du poids, selon le Résumé des Caractéristiques du Produit de la ribavirine. . Efficacité chez les patients infectés par un VHC de génotype 1 OPTIMIST-1 et OPTIMIST-2 Dans les études HPC3017 (OPTIMIST-1) et HPC3018 (OPTIMIST-2), les patients ont reçu du siméprévir + sofosbuvir pendant 8 semaines (HPC3017 seulement) ou 12 semaines (HPC3017 et HPC3018) (voir tableau 11). L'étude HPC3017 a inclus des patients sans cirrhose et l'étude HPC3018 a inclus des patients avec cirrhose (ci-dessous). Données démographiques et caractéristiques à l'inclusion (études HPC3017 et HPC3018) Age (années) : médiane (intervalle) ; % de plus de 65 ans HPC3017 N = 310 : 56 (19-70) ; 6 % HPC3018 N = 103 : 58 (29-69) ; 6 % Sexe masculin HPC3017 N = 310 : 55 % HPC3018 N = 103 : 81 % Origine ethnique Caucasienne HPC3017 N = 310 : 80 % HPC3018 N = 103 : 81% Origine ethnique Noire/Afro-américaine HPC3017 N = 310 : 18 % HPC3018 N = 103 : 19 % Origine ethnique Hispaniques HPC3017 N = 310 : 16 % HPC3018 N = 103 : 16 % IMC > ou = 30 kg/m2 HPC3017 N = 310 : 34 % HPC3018 N = 103 : 40 % Taux médian d'ARN du VHC à l'inclusion (log10 UI/ml) HPC3017 N = 310 : 6,8 HPC3018 N = 103 : 6,8 Présence de cirrhose : sans cirrhose HPC3017 N = 310 : 100 % HPC3018 N = 103 : 0 % Présence de cirrhose : avec cirrhose HPC3017 N = 310 : 0 % HPC3018 N = 103 : 100 % Antécédents des traitements : naïfs de traitement HPC3017 N = 310 : 70 % HPC3018 N = 103 : 49 % Antécédents des traitements : pré-traités (1) HPC3017 N = 310 : 30 % HPC3018 N = 103 : 51 % Génotype IL28B : CC HPC3017 N = 310 : 27 % HPC3018 N = 103 : 28 % Génotype IL28B : non CC HPC3017 N = 310 : 73 % HPC3018 N = 103 : 72 % Génotype/sous-type du VHC et présence du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a à l'inclusion : VHC de génotype 1a HPC3017 N = 310 : 75 % HPC3018 N = 103 : 70 % Génotype/sous-type du VHC et présence du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a à l'inclusion : VHC de génotype 1a avec polymorphisme Q80K HPC3017 N = 310 : 41 % HPC3018 N = 103 : 47 % Génotype/sous-type du VHC et présence du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a à l'inclusion : VHC de génotype 1b HPC3017 N = 310 : 25 % HPC3018 N = 103 : 30 % (1) Inclut les rechuteurs, les répondeurs partiels et les répondeurs nuls à un précédent traitement par interféron (pégylé et non-pégylé), avec ou sans ribavirine, et les patients intolérants à l'interféron. Le taux de RVS12 global chez les patients sans cirrhose ayant reçu 8 semaines de siméprévir + sofosbuvir était de 83 % (128/155) ; tous les patientsqui n'ont pas atteint une RVS12 ont présenté une rechute virologique (17 % ; 27/155). Les taux de réponse chez les patients avec ou sans cirrhose ayant reçu 12 semaines de siméprévir + sofosbuvir figurent ci-dessous. Résultat du traitement chez les patients infectés par un VHC de génotype 1 ayant reçu 12 semaines de siméprévir + sofosbuvir (études HPC3017 et HPC3018) Résultat du traitement . RVS12 Patients sans cirrhose N = 155 % (n/N) : 97 % (150/155) (1) Patients avec cirrhose N = 103 % (n/N) : 83 % (86/103) (1) . Résultat chez les patients sans RVS12 Echec sous traitement (2) Patients sans cirrhose N = 155 % (n/N) : 0 % (0/155) Patients avec cirrhose N = 103 % (n/N) : 3 % (3/103) Rechute virologique (3) Patients sans cirrhose N = 155 % (n/N) : 3 % (4/154) Patients avec cirrhose N = 103 % (n/N) : 13 % (13/99) . Taux de RVS12 dans les sous-groupes sélectionnés Antécédents des traitements : naïfs de traitement Patients sans cirrhose N = 155 % (n/N) : 97 % (112/115) Patients avec cirrhose N = 103 % (n/N) : 88 % (44/50) Antécédents des traitements : pré-traités (4) Patients sans cirrhose N = 155 % (n/N) : 95 % (38/40) Patients avec cirrhose N = 103 % (n/N) : 79 % (42/53) Génotype et sous-type du VHC et présence à l'inclusion du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a : génotype 1a Patients sans cirrhose N = 155 % (n/N) : 97 % (112/116) Patients avec cirrhose N = 103 % (n/N) : 83 % (60/72) Génotype et sous-type du VHC et présence à l'inclusion du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a : génotype 1a avec Q80K Patients sans cirrhose N = 155 % (n/N) : 96 % (44/46) Patients avec cirrhose N = 103 % (n/N) : 74 % (25/34) Génotype et sous-type du VHC et présence à l'inclusion du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a : génotype 1a sans Q80K Patients sans cirrhose N = 155 % (n/N) : 97 % (68/70) Patients avec cirrhose N = 103 % (n/N) : 92 % (35/38) Génotype et sous-type du VHC et présence à l'inclusion du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a : génotype 1b Patients sans cirrhose N = 155 % (n/N) : 97 % (38/39) Patients avec cirrhose N = 103 % (n/N) : 84 % (26/31) (1) Taux supérieur à celui du groupe contrôle historique (taux de RVS historiques des traitements approuvés associant des antiviraux à action directe avec peg-interféron alfa et ribavirine). (2) Sur les 3 patients en échec sous traitement, 2 patients ont présenté un échappement virologique et un patient a arrêté le traitement précocemment en raison d'un événement indésirable. (3) Les taux de rechute virologique sont calculés avec comme dénominateur les patients ayant un taux d'ARN du VHC indétectable (ou non confirmé détectable) à la fin du traitement. (4) Inclut les rechuteurs, les répondeurs partiels et les répondeurs nuls à un précédent traitement par interféron (pégylé et non-pégylé), avec ou sans ribavirine. COSMOS Dans l'étude HPC2002 (COSMOS), les patients répondeurs nuls à un précédent traitement avec un score de fibrose METAVIR F0-F2, ou naïfs de traitement et répondeurs nuls à un précédent traitement avec un score de fibrose METAVIR F3-F4 et une maladie hépatique compensée, ont reçu du siméprévir + sofosbuvir, avec ou sans ribavirine, pendant 12 ou 24 semaines. Les 167 patients inclus avaient un âge médian de 57 ans (intervalle de 27 à 70 ans ; dont 5 % de plus de 65 ans) ; 64 % étaient de sexe masculin ; 81 % étaient Caucasiens, 19 % étaient noirs ou d'origine afro-américaine, et 21 % d'origine hispanique ; 37 % avait un IMC > ou = 30 kg/m2 ; le taux médian d'ARN du VHC était de 6,7 log10 UI/ml à l'inclusion ; 75% n'avaient pas de cirrhose (score de fibrose METAVIR F0-3) et 25% avaient une cirrhose (score de fibrose METAVIR F4) ; 78 % avaient un VHC de génotype 1a dont 45 % présentaient un polymorphisme Q80K à l'inclusion et 22 % avaient un VHC de génotype 1b ; 86 % avaient un génotype IL28B non-CC (CT ou TT); 76 % étaient répondeurs nuls à un précédent traitement par peg-interféron alfa et ribavirine et 24 % étaient naïfs de traitement. Les données suivantes présentent les taux de réponse chez les patients sans cirrhose (score METAVIR F0-3) ayant reçu 12 semaines de siméprévir + sofosbuvir avec ou sans ribavirine ; une prolongation du traitement à 24 semaines n'a pas augmenté les taux de réponse en comparaison à 12 semaines de traitement. L'utilisation de la ribavirine et la réponse aux précédents traitements (patients naïfs de traitement et répondeurs nuls à un précédent traitement) n'ont pas impacté le résultat du traitement. Le taux global de RVS12 était similaire chez les patients ayant reçu siméprévir + sofosbuvir avec ou sans ribavirine. Les taux de réponse chez les patients avec cirrhose (score METAVIR F4) ayant reçu 12 ou 24 semaines de traitement par siméprévir + sofosbuvir sont présentés ci-après. Résultat du traitement chez les patients infectés par unVHC de génotype 1 sans cirrhose ayant reçu 12 semaines de siméprévir + sofosbuvir, avec ou sans ribavirine (étude HPC2002) Résultat du traitement RVS12 siméprévir + sofosbuvir N = 21 % (n/N) : 95 % (20/21) siméprévir + sofosbuvir + ribavirine N = 43 % (n/N) : 95 % (41/43) Résultats chez les patients sans RVS12 : échec sous traitement siméprévir + sofosbuvir N = 21 % (n/N) : 0 % (0/21) siméprévir + sofosbuvir + ribavirine N = 43 % (n/N) : 0 % (0/43) Résultats chez les patients sans RVS12 : rechute virologique (1) siméprévir + sofosbuvir N = 21 % (n/N) : 5 % (1/21) siméprévir + sofosbuvir + ribavirine N = 43 % (n/N) : 5 % (2/43) (1) Les taux de rechute virologique sont calculés avec comme dénominateur les patients ayant un taux d'ARN du VHC indétectable à la fin du traitement et avec au moins une mesure de suivi du taux d'ARN du VHC. Résultat du traitement chez les patients infectés parun VHC de génotype 1 avec cirrhose ayant reçu 12 ou 24 semaines de siméprévir + sofosbuvir, avec ou sans ribavirine (étude HPC2002) Résultat du traitement RVS12 12 semaines siméprévir + sofosbuvir N = 7 % (n/N) : 86 % (6/7) 12 semaines siméprévir + sofosbuvir + ribavirine N = 11 % (n/N) : 91 % (10/11) 24 semaines siméprévir + sofosbuvir N = 10 % (n/N) : 100 % (10/10) 24 semaines siméprévir + sofosbuvir + ribavirine N = 13 % (n/N) : 92 % (12/13) Résultats chez les patients sans RVS12 Echec sous traitement (1) 12 semaines siméprévir + sofosbuvir N = 7 % (n/N) : 0 % (0/7) 12 semaines siméprévir + sofosbuvir + ribavirine N = 11 % (n/N) : 0 % (0/11) 24 semaines siméprévir + sofosbuvir N = 10 % (n/N) : 0 % (0/10) 24 semaines siméprévir + sofosbuvir + ribavirine N = 13 % (n/N) : 8 % (1/13) Rechute virologique (2) 12 semaines siméprévir + sofosbuvir N = 7 % (n/N) : 14 % (1/7) 12 semaines siméprévir + sofosbuvir + ribavirine N = 11 % (n/N) : 9 % (1/11) 24 semaines siméprévir + sofosbuvir N = 10 % (n/N) : 0 % (0/10) 24 semaines siméprévir + sofosbuvir + ribavirine N = 13 % (n/N) : 0 % (0/12) (1) Le seul patient en échec sous traitement a arrêté son traitement précocemment en raison d'un événement indésirable. (2) Les taux de rechute virologique sont calculés avec comme dénominateur les patients ayant un taux d'ARN du VHC indétectable à la fin du traitement et avec au moins une mesure de suivi du taux d'ARN du VHC. . Efficacité chez les adultes infectés par un VHC de génotype 4 Dans l'étude HPC2014 (OSIRIS), les patients ont reçu siméprévir + sofosbuvir pendant 8 semaines (patients sans cirrhose) ou 12 semaines (patients avec ou sans cirrhose). Les 63 patients inclus avaient un âge médian de 51 ans (intervalle de 24 à 68 ans ; dont 2 % de plus de 65 ans) ; 54 % étaient de sexe masculin ; 43 % avait un IMC = 30 kg/m2 ; le taux médian d'ARN du VHC était de 6,01 log10 UI/ml à l'inclusion ; 37 % avaient une cirrhose ; 30 % avaient un VHC de génotype 4a et 56 % avaient un VHC de génotype 4c ou 4d ; 79 % avaient un génotype IL28B non-CC (CT ou TT) ; 52 % étaient naïfs de traitement et 48 % avaient été traités antérieurement. Dans l'étude HPC3021 (PLUTO), les patients ont reçu siméprévir + sofosbuvir pendant 12 semaines. Les 40 patients inclus avaient un âge médian de 51 ans (intervalle de 29 à 69 ans ; dont 5 % de plus de 65 ans) ; 73 % étaient de sexe masculin ; 18 % avait un IMC > ou = 30 kg/m2 ; le taux médian d'ARN du VHC était de 6,35 log10 UI/ml à l'inclusion ; 18 % avaient une cirrhose ; 25 % avaient un VHC de génotype 4a et 73 % avaient un VHC de génotype 4d ; 85 % avaient un génotype IL28B non-CC (CT ou TT) ; 33 % étaient naïfs de traitement et 68 % avaient été traités antérieurement. Le taux global de RVS12 chez les patients sans cirrhose ayant reçu 8 semaines de siméprévir + sofosbuvir était de 75 % (15/20) ; tous les patients qui n'ont pas atteint une RVS12 ont présenté une rechute virologique (25 % ; 5/20). Tous les patients, avec ou sans cirrhose, ayant reçu 12 semaines de traitement par siméprévir + sofosbuvir ont atteint une RVS 12 (ci-dessous). Résultat du traitement chez les patients infectés par un VHC de génotype 4 ayant reçu 12 semaines de siméprévir + sofosbuvir (études HPC2014 et HPC3021) Résultat du traitement RVS12 Etude HPC2014 N = 43 % (n/N) : 100 % (43/43) Etude HPC3021 N = 40 % (n/N) : 100 % (40/40) RVS12 sans cirrhose Etude HPC2014 N = 43 % (n/N) : 100 % (20/20) Etude HPC3021 N = 40 % (n/N) : 100 % (33/33) RVS12 avec cirrhose Etude HPC2014 N = 43 % (n/N) : 100 % (23/23) Etude HPC3021 N = 40 % (n/N) : 100 %(7/7) . Siméprévir en association au peg-interféron alfa et à la ribavirine L'efficacité du siméprévir en association au peg-interféron alfa à la ribavirine a été évaluée chez les patients infectés par un VHC de génotype 1 ou 4, avec ou sans co-infection par le VIH-1, qui étaient naïfs de traitement oupré-traités (par un précédent traitement à base d'interféron) (ci-dessous). Etudes conduites avec siméprévir + peg-interféron alfa + ribavirine : population et résumé du profil de l'étude Etude (1) : C208 - C216 (QUEST-1 et QUEST-2 ; Phase 3) Population : génotype 1, patients naïfs de traitement, avec cirrhose compensée ou sans cirrhose Nombre de patients inclus : 785 Résumé du profil de l'étude : 12 semaines de SMV + peg-IFN-alfa + RBV, suivies de 12 ou 36 semaines de peg-IFN-alfa + RBV3 ; groupe contrôle : 48 semaines de placebo + peg-IFN-alfa + RBV Etude (1) : HPC3007 (PROMISE ; Phase 3) Population : génotype 1, rechuteurs (2), avec cirrhose compensée ou sans cirrhose Nombre de patients inclus : 393 Résumé du profil de l'étude : 12 semaines de SMV + peg-IFN-alfa + RBV, suivies de 12 ou 36 semaines de peg-IFN-alfa + RBV3 ; groupe contrôle : 48 semaines de placebo + peg-IFN-alfa + RBV Etude (1) : C206 (ASPIRE ;Phase 2) Population : génotype 1, patients prétraités (4), avec cirrhose compensée ou sans cirrhose Nombre de patients inclus : 462 Résumé du profil de l'étude : 12, 24 ou 48 semaines de SMV en association à 48 semaines de peg-IFN-alfa + RBV ; groupe contrôle : 48 semaines de placebo + peg-IFN-alfa + RBV Etude (1) : C212 (Phase 3) Population : génotype 1, patients naïfs de triatement ou pré-traités (4), co-infectés VHC/VIH-1, avec cirrhose compensée ou sans cirrhose Nombre de patients inclus : 106 Résumé du profil de l'étude : patients naïfs de traitement ou rechuteurs sans cirrhose : 12 semaines de SMV + peg-IFN-alfa + RBV, suivies de 12 ou 36 semaines de peg-IFN-alfa + RBV3 ; patients non-répondeurs à un précédent traitement (répondeurs partiels et nuls) sans cirrhose et tous les patients naïfs de traitement et prétraités avec cirrhose : 12 semaines de SMV + peg-IFN-alfa + RBV, suivies de 36 semaines de peg-IFN-alfa + RBV Etude (1) : HPC3011 (RESTORE ; Phase 3) Population : génotype 4, patients naïfs de traitement ou pré-traités (4), avec cirrhose compensée ou sans cirrhose Nombre de patients inclus : 107 Résumé du profil de l'étude : patients naïfs de traitement ou rechuteurs : 12 semaines de SMV + peg-IFN-alfa + RBV, suivies de 12 ou 36 semaines de peg-IFN-alfa + RBV3 ; patients non-répondeurs à un précédent traitement (répondeurs partiels et nuls) : 12 semaines de SMV + peg-IFN-alfa + RBV, suivies de 36 semaines de peg-IFN-alfa + RBV peg-IFN-alfa = peg-interféron alfa ; RBV = ribavirine (la posologie de la ribavirine est en deux prises par jour et en fonction du poids, selon le Résumé des Caractéristiques du Produit de la ribavirine) ; SMV = siméprévir. (1) Double aveugle, randomisée, contrôlée versus placebo, sauf pour les études C212 et HPC3011 qui étaient en ouvert, à un seul bras. (2) Rechuteurs à un précédent traitement à base d'interféron. (3) La durée globale du traitement par peg-IFN-alfa et RBV était guidée par la réponse. La durée totale prévue du traitement contre le VHC était de 24 semaines si les critères suivants de traitement guidé par la réponse sous traitement, définis par le protocole, étaient réunis : taux d'ARN du VHC < 25 UI/ml détectable ou indétectable à la semaine 4 ET ARN du VHC indétectable à la semaine 12. Des règles d'arrêt du traitement contre le VHC ont été utilisées pour garantir l'arrêt du traitement en temps opportun chez les patients ayant une réponse virologique insuffisante. (4) Inclut les rechuteurs, les répondeurs partiels et nuls à un précédent traitement par peg-interféron et ribavirine. Etudes conduites avec siméprévir + peg-interféron alfa + ribavirine : données démographiques et caractéristiques à l'inclusion Age (années) : médiane (intervalle) ; % de plus de 65 ans C208 et C216 compilées N = 785 : 47 (18-73) ; 2 % HPC3007 N = 393 : 52 (20-71) ; 3 % C206 N = 462 : 50 (20-69) ; 3 % C2121 N = 106 : 48 (27-67) ; 2 % HPC3011 N = 107 : 49 (27-69) ; 5 % Sexe masculin C208 et C216 compilées N = 785 : 56 % HPC3007 N = 393 : 66 % C206 N = 462 : 67 % C2121 N = 106 : 85 % HPC3011 N = 107 : 79 % Origine ethnique : Caucasienne C208 et C216 compilées N = 785 : 91% HPC3007 N = 393 : 94 % C206 N = 462 : 93 % C2121 N = 106 : 82 % HPC3011 N = 107 : 72 % Origine ethnique : Noire/Afro-américaine C208 et C216 compilées N = 785 : 7 % HPC3007 N = 393 : 3 % C206 N = 462 : 5 % C2121 N = 106 : 14 % HPC3011 N = 107 : 28 % Origine ethnique : Asiatique C208 et C216 compilées N = 785 : 1 % HPC3007 N = 393 : 2 % C206 N = 462 : 2 % C2121 N = 106 : 1 % HPC3011 N = 107 : - Origine ethnique : Hispaniques C208 et C216 compilées N = 785 : 17 % HPC3007 N = 393 : 7 % C206 N = 462 : - C2121 N = 106 : 6 % HPC3011 N = 107 : 7 % IMC > ou = 30 kg/m2 C208 et C216 compilées N = 785 : 23 % HPC3007 N = 393 : 26 % C206 N = 462 : 25 % C2121 N = 106 : 12 % HPC3011 N = 107 : 14 % Taux médians d'ARN du VHC à l'inclusion > 800000 UI/ml C208 et C216 compilées N = 785 : 78 % HPC3007 N = 393 : 84 % C206 N = 462 : 86 % C2121 N = 106 : 86 % HPC3011 N = 107 : 60 % Score de fibrose METAVIR : F0-2 C208 et C216 compilées N = 785 : 74 % HPC3007 N = 393 : 69 % C206 N = 462 : 63 % C2121 N = 106 : 67 % HPC3011 N = 107 : 57 % Score de fibrose METAVIR : F3 C208 et C216 compilées N = 785 : 16 % HPC3007 N = 393 : 15 % C206 N = 462 : 19 % C2121 N = 106 : 19 % HPC3011 N = 107 : 14 % Score de fibrose METAVIR : F4 C208 et C216 compilées N = 785 : 10 % HPC3007 N = 393 : 15 % C206 N = 462 : 18 % C2121 N = 106 : 13 % HPC3011 N = 107 : 29 % Génotype IL28B : CC C208 et C216 compilées N = 785 : 29 % HPC3007 N = 393 : 24 % C206 N = 462 : 18 % C2121 N = 106 : 27 % HPC3011 N = 107 : 8 % Génotype IL28B : CT C208 et C216 compilées N = 785 : 56 % HPC3007 N = 393 : 64 % C206 N = 462 : 65 % C2121 N = 106 : 56 % HPC3011 N = 107 : 58 % Génotype IL28B : TT C208 et C216 compilées N = 785 : 15 % HPC3007 N = 393 : 12 % C206 N = 462 : 18 % C2121 N = 106 : 17 % HPC3011 N = 107 : 35 % Génotype/sous-type du VHC et présence à l'inclusion du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a : VHC de génotype 1a C208 et C216 compilées N = 785 : 48 % HPC3007 N = 393 : 42 % C206 N = 462 : 41 % C2121 N = 106 : 82 % HPC3011 N = 107 : - Génotype/sous-type du VHC et présence à l'inclusion du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a : VHC de génotype 1a avec Q80K C208 et C216 compilées N = 785 : 34 % HPC3007 N = 393 : 31 % C206 N = 462 : 27 % C2121 N = 106 : 34 % HPC3011 N = 107 : - Génotype/sous-type du VHC et présence à l'inclusion du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a : VHC de génotype 1b C208 et C216 compilées N = 785 : 51 % HPC3007 N = 393 : 58 % C206 N = 462 : 58 % C2121 N = 106 : 17 % HPC3011 N = 107 : - Génotype/sous-type du VHC et présence à l'inclusion du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a : VHC de génotype 4a - 4d C208 et C216 compilées N = 785 : - HPC3007 N = 393 : - C206 N = 462 : - C2121 N = 106 : - HPC3011 N = 107 : 42 % - 24 % Antécédents des traitements : naïfs de traitement C208 et C216 compilées N = 785 : 100 % HPC3007 N = 393 : - C206 N = 462 : - C2121 N = 106 : 50 % HPC3011 N = 107 : 33 % Antécédents des traitements : pré-traités (2) rechuteurs C208 et C216 compilées N = 785 : - HPC3007 N = 393 : 100 % C206 N = 462 : 40 % C2121 N = 106 : 14 % HPC3011 N = 107 : 21 % Antécédents des traitements : pré-traités (2) répondeurs partiels C208 et C216 compilées N = 785 : - HPC3007 N = 393 : - C206 N = 462 : 35 % C2121 N = 106 : 9 % HPC3011 N = 107 : 9 % Antécédents des traitements : pré-traités (2) répondeurs nuls C208 et C216 compilées N = 785 : - HPC3007 N = 393 : - C206 N = 462 : 25 % C2121 N = 106 : 26 % HPC3011 N = 107 : 37 % (1) Patients co-infectés VHC/VIH-1. (2) Pré-traités par un précédent traitement de peg-interféron et de ribavirine. . Efficacité chez les patients infectés par un VHC de génotype 1 naïfs de traitement Dans les études C208 (QUEST-1) et C216 (QUEST-2), des patients naïfs de traitement ont reçu du siméprévir (150 mg une fois par jour) + peg-interféron alfa + ribavirine pendant 12 semaines, suivies de 12 ou 36 semaines supplémentaires de peg-interféron alfa + ribavirine (ci-dessous). Dans l'étude C208, tous les patients ont reçu du peg-interféron alfa-2a ; dans l'étude C216, 69% des patients ont reçu du peg-interféron alfa-2a et 31% du peg-interféron alfa-2b. Les données suivantes présentent les taux de réponse chez les patients naïfs de traitement infectés par un VHC de génotype 1. Résultat du traitement chez les patients naïfs de traitement infectés par un VHC de génotype 1 (données compilées des études C208 et C216) Résultat du traitement . RVS12 globale siméprévir+ peg-interféron + ribavirine N = 521 % (n/N) : 80 % (419/521) (1) placebo+ peg-interféron + ribavirine N = 264 % (n/N) : 50 % (132/264) . Résultat chez les patients sans RVS12 Echec sous traitement siméprévir+ peg-interféron + ribavirine N = 521 % (n/N) : 8 % (42/521) placebo+ peg-interféron + ribavirine N = 264 % (n/N) : 33 % (87/264) Rechute virologique (2) siméprévir+ peg-interféron + ribavirine N = 521 % (n/N) : 11 % (51/470) placebo+ peg-interféron + ribavirine N = 264 % (n/N) : 23 % (39/172) . Taux de RVS12 dans les sous-groupes sélectionnés Score de fibrose METAVIR F0-2 siméprévir+ peg-interféron + ribavirine N = 521 % (n/N) : 84 % (317/378) placebo+ peg-interféron + ribavirine N = 264 % (n/N) : 55 % (106/192) Score de fibrose METAVIR F3-4 siméprévir+ peg-interféron + ribavirine N = 521 % (n/N) : 68 % (89/130) placebo+ peg-interféron + ribavirine N = 264 % (n/N) : 36 % (26/72) Score de fibrose METAVIR F4 siméprévir+ peg-interféron + ribavirine N = 521 % (n/N) : 60 % (29/48) placebo+ peg-interféron + ribavirine N = 264 % (n/N) : 34 % (11/32) Génotype IL28B CC siméprévir+ peg-interféron + ribavirine N = 521 % (n/N) : 95 % (144/152) placebo+ peg-interféron + ribavirine N = 264 % (n/N) : 80 % (63/79) Génotype IL28B CT siméprévir+ peg-interféron + ribavirine N = 521 % (n/N) : 78 % (228/292) placebo+ peg-interféron + ribavirine N = 264 % (n/N) : 41 % (61/147) Génotype IL28B TT siméprévir+ peg-interféron + ribavirine N = 521 % (n/N) : 61 % (47/77) placebo+ peg-interféron + ribavirine N = 264 % (n/N) : 21 % (8/38) Génotype/sous-type du VHC et présence du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a : génotype 1a siméprévir+ peg-interféron + ribavirine N = 521 % (n/N) : 75 % (191/254) placebo+ peg-interféron + ribavirine N = 264 % (n/N) : 47 % (62/131) Génotype/sous-type du VHC et présence du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a : génotype 1 a avec Q80K siméprévir+ peg-interféron + ribavirine N = 521 % (n/N) : 58 % (49/84) placebo+ peg-interféron + ribavirine N = 264 % (n/N) : 52 % (23/44) Génotype/sous-type du VHC et présence du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a : génotype 1a sans Q80K siméprévir+ peg-interféron + ribavirine N = 521 % (n/N) : 84 % (138/165) placebo+ peg-interféron + ribavirine N = 264 % (n/N) : 43 % (36/83) Génotype/sous-type du VHC et présence du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a : génotype 1b siméprévir+ peg-interféron + ribavirine N = 521 % (n/N) : 85 % (228/267) placebo+ peg-interféron + ribavirine N = 264 % (n/N) : 53 % (70/133) (1) p < 0,001. (2) Les taux de rechute virologique sont calculés avec comme dénominateur les patients ayant un taux d'ARN du VHC indétectable à la fin réelle du traitement. Inclut 4 patients traités par le siméprévir ayant rechuté après une RVS12. Quatre-vingt huit pour cent (459/521) des patients traités par siméprévir étaient éligibles à une durée totale de traitement de 24 semaines ; chez ces patients, le taux de RVS12 était de 88 %. Soixante-dix neuf pour cent (404/509) des patients traités par le siméprévir avaient un taux d'ARN du VHC indétectable à la semaine 4 ; chez ces patients, le taux de RVS12 était de 90 %. La proportion de patients traités par le siméprévir ayant un taux d'ARN du VHC < 25 UI/mL détectable à la semaine 4 était de 14 % (70/509) ; 67 % ont atteint une RVS12. Dans l'analyse compilée des études C208 et C216, 69 % (58/84) des patients infectés par un VHC de génotype 1a, avec un polymorphisme Q80K à l'inclusion, traités par siméprévir étaient éligibles pour une durée totale de traitement de 24 semaines ; chez ces patients, le taux de RVS12 était de 78 %. Soixante-cinq pour cent (53/81) des patients infectés par un VHC de génotype 1a, avec un polymorphisme Q80K à l'inclusion, traités par siméprévir avaient un taux d'ARN du VHC indétectable à la semaine 4 ; chez ces patients, le taux de RVS12 était de 79 %. Les taux de RVS12 étaient statistiquement significativement supérieurs chez les patients ayant reçu le siméprévir en association au peg-interféron alfa-2a ou au peg-interféron alfa-2b et à la ribavirine (respectivement 88 % et 78 %) comparativement aux patients ayant reçu le placebo en association au peg-interféron alfa-2a ou au peg-interféron alfa-2b et à la ribavirine (respectivement 62 % et 42 %) (étude C216). . Efficacité chez les patients infectés par un VHC de génotype 1 pré-traités Dans l'étude HPGénotype IL28B C3007 (PROMISE), des patients ayant rechuté après un précédent traitement à base d'interféron ont reçu du siméprévir (150 mg une fois par jour) + peg-interféron alfa-2a + ribavirine pendant 12 semaines, suivies de 12 ou 36 semaines supplémentaires de traitement par peg-interféron alfa-2a + ribavirine. Dans l'étude C206 (ASPIRE), des patients en échec d'un précédent traitement par peg-IFN/RBV ont reçu pendant 12, 24 ou 48 semaines une dose quotidienne de 100 mg ou 150 mg de siméprévir en association à 48 semaines de peg-interféron alfa-2a + ribavirine Les données suivantes présentent les taux de réponse chez des patients infectés par un VHC de génotype 1 pré-traités puis les taux de RVS dans les sous-groupes sélectionnés pour l'étude HPC3007. Résultat du traitement chez des patients infectés par un VHC de génotype 1 pré-traités (1) (études HPC3007 et C206) Résultat du traitement . RVS (2) Rechuteurs à un précédent traitement Etude HPC3007 siméprévir % (n/N) : 79 % (206/260) (3) Etude HPC3007 placebo % (n/N) : 37 % (49/133) Etude C206 150 mg de siméprévir 12 semaines % (n/N) : 77 % (20/26) Etude C206 placebo % (n/N) : 37 % (10/27) Répondeurs partiels à un précédent traitement Etude HPC3007 siméprévir % (n/N) : - Etude HPC3007 placebo % (n/N) : - Etude C206 150 mg de siméprévir 12 semaines % (n/N) : 65 % (15/23) Etude C206 placebo % (n/N) : 9 % (2/23) Répondeurs nuls à un précédent traitement Etude HPC3007 siméprévir % (n/N) : - Etude HPC3007 placebo % (n/N) : - Etude C206 150 mg de siméprévir 12 semaines % (n/N) : 53 % (9/17) Etude C206 placebo % (n/N) : 19 % (3/16) . Résultat chez des patients sans RVS .. Echec sous traitement Rechuteurs à un précédent traitement Etude HPC3007 siméprévir % (n/N) : 3 % (8/260) Etude HPC3007 placebo % (n/N) : 27 % (36/133) Etude C206 150 mg de siméprévir 12 semaines % (n/N) : 8 % (2/26) Etude C206 placebo % (n/N) : 22 % (6/27) Répondeurs partiels à un précédent traitement Etude HPC3007 siméprévir % (n/N) : - Etude HPC3007 placebo % (n/N) : - Etude C206 150 mg de siméprévir 12 semaines % (n/N) : 22 % (5/23) Etude C206 placebo % (n/N) : 78 % (18/23) Répondeurs nuls à un précédent traitement Etude HPC3007 siméprévir % (n/N) : - Etude HPC3007 placebo % (n/N) : - Etude C206 150 mg de siméprévir 12 semaines % (n/N) : 35 % (6/17) Etude C206 placebo % (n/N) : 75 % (12/16) .. Rechute virologique (4) Rechuteurs à un précédent traitement Etude HPC3007 siméprévir % (n/N) : 19 % (46/249) Etude HPC3007 placebo % (n/N) : 48 % (45/93) Etude C206 150 mg de siméprévir 12 semaines % (n/N) : 13 % (3/23) Etude C206 placebo % (n/N) : 47 % (9/19) Répondeurs partiels à un précédent traitement Etude HPC3007 siméprévir % (n/N) : - Etude HPC3007 placebo % (n/N) : - Etude C206 150 mg de siméprévir 12 semaines % (n/N) : 6 % (1/17) Etude C206 placebo % (n/N) : 50 % (2/4) Répondeurs nuls à un précédent traitement Etude HPC3007 siméprévir % (n/N) : - Etude HPC3007 placebo % (n/N) : - Etude C206 150 mg de siméprévir 12 semaines % (n/N) : 18 % (2/11) Etude C206 placebo % (n/N) : 25 % (1/4) (1) Pré-traités par un précédent traitement de peg-interféron et de ribavirine. (2) RVS : RVS12 pour l'étude HPC3007 et RVS24 pour l'étude C206. (3) p < 0,001. (4) Les taux de rechute virologique sont calculés avec comme dénominateur les patients ayant un taux d'ARN du VHC indétectable à la fin du traitement et avec au moins une évaluation de suivi du taux d'ARN du VHC. Etude HPC3007 : inclut 5 patients traités par siméprévir ayant présenté une rechute après une RVS12. Taux de RVS12 dans les sous-groupes sélectionnés (étude HPC3007) Sous-groupe siméprévir + peg-interféron + ribavirine % (n/N) : placebo + peg-interféron + ribavirine % (n/N) : Score de fibrose METAVIR F0-2 82 % (137/167) 41 % (40/98) Score de fibrose METAVIR F3-4 73 % (61/83) 24 % (8/34) Score de fibrose METAVIR F4 74 % (29/39) 26 % (5/19) Génotype IL28B CC 89 % (55/62) 53 % (18/34) Génotype IL28B CT 78 % (131/167) 34 % (28/83) Génotype IL28B TT 65 % (20/31) 19 % (3/16) Génotype/sous-type du VHC et présence du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a : génotype 1a 70 % (78/111) 28 % (15/54) Génotype/sous-type du VHC et présence du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a : génotype 1a avec Q80K 47 % (14/30) 30 % (6/20) Génotype/sous-type du VHC et présence du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a : génotype 1a sans Q80K 79 % (62/79) 26 % (9/34) Génotype/sous-type du VHC et présence du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a : génotype 1b 86 % (128/149) 43 % (34/79) Dans l'étude HPC3007, 93 % (241/260) des patients traités par le siméprévir étaient éligibles à une durée totale de traitement de 24 semaines ; chez ces patients, le taux de RVS12 était de 83 %. Soixante-dix-sept pour cent (200/259) des patients traités par le siméprévir avaient un taux d'ARN du VHC indétectable à la semaine 4 ; chez ces patients, le taux de RVS12 était de 87 %. La proportion de patients traités par le siméprévir ayant un taux d'ARN du VHC < 25 UI/mL détectable à la semaine 4 était de 18 % (47/259) ; 60 % ont présenté une RVS12. Dans l'étude HPC3007, 80 % (24/30) des patients infectés par un VHC de génotype 1a, avec un polymorphisme Q80K à l'inclusion, traités par le siméprévir étaient éligibles à une durée totale de traitement de 24 semaines ; chez ces patients, le taux de RVS12 était de 58 %. Quarante-cinq pour cent (13/29) des patients infectés par un VHC de génotype 1a, avec un polymorphisme Q80K, traités par le siméprévir avaient un taux d'ARN du VHC indétectable à la semaine 4 ; chez ces patients le taux de RVS12 était de 77 %. . Efficacité chez les patients présentant une co-infection par le VHC de génotype 1 et le VIH-1 Dans l'étude C212, des patients co-infectés par le VIH-1 qui étaient naïfs de traitement ou en échec d'un précédent traitement par peg-IFN/RBV ont reçu du siméprévir (150 mg une fois par jour) + peg-interféron alfa-2a + ribavirine pendant 12 semaines, suivies de 12 ou 36 semaines supplémentaires de peg-interféron alfa-2a + ribavirine. Quatre-vingt-huit pour cent (n = 93) des patients étaient sous traitement anti-VIH associant le plus souvent 2 INTI + raltégravir. Le taux médian de CD4+ à l'inclusion des patients sous traitement antirétroviral hautement actif (HAART) était de 561 x 10puissance6 cellules/mL (275 à 1407 x 10puissance6 cellules/mL). Les données suivantes présentent les taux de réponse chez des patients co-infectés par le VHC de génotype 1 et le VIH-1. Résultat du traitement chez des patients co-infectés par un VHC de génotype 1 et le VIH-1 (étude C212) Résultat du traitement . RVS12 Patients naïfs de traitement N = 53 % (n/N) : 79 % (42/53) (1) Rechuteurs à un précédent traitement N = 15 % (n/N) : 87 % (13/15) Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : 70 % (7/10) Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 28 % (n/N) : 57 % (16/28) (1) . Résultats chez les patients sans RVS12 Echec sous traitement Patients naïfs de traitement N = 53 % (n/N) : 9 % (5/53) Rechuteurs à un précédent traitement N = 15 % (n/N) : 0 % (0/15) Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : 20 % (2/10) Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 28 % (n/N) : 39 % (11/28) Rechute virologique (2) Patients naïfs de traitement N = 53 % (n/N) : 10 % (5/48) Rechuteurs à un précédent traitement N = 15 % (n/N) : 13 % (2/15) Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : 0 % (0/7) Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 28 % (n/N) : 12 % (2/17) . Taux de RVS12 dans les sous-groupes sélectionnés Score de fibrose METAVIR F0-2 Patients naïfs de traitement N = 53 % (n/N) : 89 % (24/27) Rechuteurs à un précédent traitement N = 15 % (n/N) : 78 % (7/9) Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : 50 % (1/2) Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 28 % (n/N) : 57 % (4/7) Score de fibrose METAVIR F3-4 Patients naïfs de traitement N = 53 % (n/N) : 57 % (4/7) Rechuteurs à un précédent traitement N = 15 % (n/N) : 100 % (2/2) Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : 67 % (2/3) Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 28 % (n/N) : 60 % (6/10) Score de fibrose METAVIR F4 Patients naïfs de traitement N = 53 % (n/N) : 100 % (2/2) Rechuteurs à un précédent traitement N = 15 % (n/N) : 100 % (1/1) Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : 100 % (1/1) Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 28 % (n/N) : 60 % (3/5) Génotype IL28B CC Patients naïfs de traitement N = 53 % (n/N) : 100 % (15/15) Rechuteurs à un précédent traitement N = 15 % (n/N) : 100 % (7/7) Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : 100 % (1/1) Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 28 % (n/N) : 80 % (4/5) Génotype IL28B CT Patients naïfs de traitement N = 53 % (n/N) : 70 % (19/27) Rechuteurs à un précédent traitement N = 15 % (n/N) : 100 % (6/6) Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : 71 % (5/7) Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 28 % (n/N) : 53 % (10/19) Génotype IL28B TT Patients naïfs de traitement N = 53 % (n/N) : 80 % (8/10) Rechuteurs à un précédent traitement N = 15 % (n/N) : 0 % (0/2) Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : 50 % (1/2) Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 28 % (n/N) : 50 % (2/4) Génotype/sous-type du VHC et présence du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a : génotype 1a Patients naïfs de traitement N = 53 % (n/N) : 77 % (33/43) Rechuteurs à un précédent traitement N = 15 % (n/N) : 83 % (10/12) Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : 67 % (6/9) Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 28 % (n/N) : 54 % (13/24) Génotype/sous-type du VHC et présence du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a : génotype 1a avec Q80K Patients naïfs de traitement N = 53 % (n/N) : 86 % (12/14) Rechuteurs à un précédent traitement N = 15 % (n/N) : 33 % (1/3) Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : 100 % (1/1) Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 28 % (n/N) : 50 % (6/12) Génotype/sous-type du VHC et présence du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a : génotype 1a sans Q80K Patients naïfs de traitement N = 53 % (n/N) : 72 % (21/29) Rechuteurs à un précédent traitement N = 15 % (n/N) : 100 % (9/9) Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : 63 % (5/8) Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 28 % (n/N) : 58 % (7/12) Génotype/sous-type du VHC et présence du polymorphisme Q80K dans le VHC de génotype 1a : génotype 1b Patients naïfs de traitement N = 53 % (n/N) : 90 % (9/10) Rechuteurs à un précédent traitement N = 15 % (n/N) : 100 % (3/3 Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : 100 % (1/1) Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 28 % (n/N) : 75 % (3/4) (1) p < 0,001 comparé au contrôle historique peg-interféron alfa et ribavirine. (2) Les taux de rechute virologique sont calculés avec comme dénominateur les patients ayant un taux d'ARN du VHC indétectable à la date réelle de fin du traitement et avec au moins une mesure de suivi du taux d'ARN du VHC. Cela inclut un patient répondeur nul à un précédent traitement ayant présenté une rechute après la RVS12, qui était considéré comme ayant été ré-infecté par le VHC (d'après des analyses phylogénétiques). Quatre-vingt-neuf pour cent (54/61) des patients non cirrhotiques naïfs de traitement ou rechuteurs à un précédent traitement, traités par le siméprévir, étaient éligibles à 24 semaines de traitement ; chez ces patients, le taux de RVS12 était de 87 %. Soixante-et-onze pour cent (37/52), 93 % (14/15), 80 % (8/10) et 36 % (10/28) des patients naïfs de traitement, rechuteurs, répondeurs partiels ou répondeurs nuls à un précédent traitement, traités par le siméprévir, avaient un ARN du VHC indétectable à la semaine 4. Chez ces patients, les taux de RVS12 étaient de 89 %, 93 %, 75 % et 90 % respectivement. Deux patients étaient en échec virologique pour le VIH, défini comme un taux confirmé d'ARN du VIH-1 > ou = 200 copies/mL après un taux antérieur < 50 copies/mL; ces échecs sont survenus 36 et 48 semaines après la fin du traitement par siméprévir. . Efficacité chez les patients infectés par un VHC de génotype 4 Dans l'étude HPC3011 (RESTORE), des patients qui étaient naïfs de traitement ou en échec d'un précédent traitement par peg-IFN/RBV ont reçu du siméprévir (150 mg une fois par jour) + peg-interféron alfa-2a + ribavirine pendant 12 semaines, suivies de 12 ou 36 semaines supplémentaires de peg-interféron alfa-2a + ribavirine Les données suivantes présentent les taux de réponse chez les patients infectés par un VHC de génotype 4. Résultat du traitement chez des patients infectés par un VHC de génotype 4 (étude HPC3011) Résultat du traitement . RVS12 Patients naïfs de traitement N = 35 % (n/N) : 83 % (29/35) Rechuteurs à un précédent traitement N = 22 % (n/N) : 86 % (19/22) Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : 60 % (6/10) Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 40 % (n/N) : 40 % (16/40) . Résultats chez les patients sans RVS12 Echec sous traitement Patients naïfs de traitement N = 35 % (n/N) : 9 % (3/35) Rechuteurs à un précédent traitement N = 22 % (n/N) : 9 % (2/22) Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : 20 % (2/10) Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 40 % (n/N) : 45 % (18/40) Rechute virologique (1) Patients naïfs de traitement N = 35 % (n/N) : 9 % (3/35) Rechuteurs à un précédent traitement N = 22 % (n/N) : 5 % (1/22) Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : 20 % (2/10) Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 40 % (n/N) : 15 % (6/40) . Taux de RVS12 dans les sous-groupes sélectionnés Score de fibrose METAVIR F0-2 Patients naïfs de traitement N = 35 % (n/N) : 85 % (22/26) Rechuteurs à un précédent traitement N = 22 % (n/N) : 91 % (10/11) Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : 100 % (5/5) Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 40 % (n/N) : 47 % (8/17) Score de fibrose METAVIR F3-4 Patients naïfs de traitement N = 35 % (n/N) : 78 % (7/9) Rechuteurs à un précédent traitement N = 22 % (n/N) : 82 % (9/11) Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : 20 % (1/5) Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 40 % (n/N) : 35 % (7/20) Score de fibrose METAVIR F4 Patients naïfs de traitement N = 35 % (n/N) : 50 % (1/2) Rechuteurs à un précédent traitement N = 22 % (n/N) : 78 % (7/9) Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : 20 % (1/5) Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 40 % (n/N) : 36 % (5/14) Génotype IL28B CC Patients naïfs de traitement N = 35 % (n/N) : 100 % (7/7) Rechuteurs à un précédent traitement N = 22 % (n/N) : 100 % (1/1) Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : - Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 40 % (n/N) : - Génotype IL28B CT Patients naïfs de traitement N = 35 % (n/N) : 82 % (14/17) Rechuteurs à un précédent traitement N = 22 % (n/N) : 82 % (14/17) Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : 60 % (3/5) Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 40 % (n/N) : 41 % (9/22) Génotype IL28B TT Patients naïfs de traitement N = 35 % (n/N) : 80 % (8/10) Rechuteurs à un précédent traitement N = 22 % (n/N) : 100 % (4/4) Répondeurs partiels à un précédent traitement N = 10 % (n/N) : 60 % (3/5) Répondeurs nuls à un précédent traitement N = 40 % (n/N) : 39 % (7/18) (1) Les taux de rechute virologique sont calculés avec comme dénominateur les patients ayant un taux d'ARN du VHC indétectable (ou non confirmé détectable) à la fin réelle du traitement. Quatre-vingt-neuf pour cent (51/57) des patients traités par le siméprévir, naïfs de traitement et rechuteurs à un précédent traitement, étaient éligibles à une durée totale de traitement de 24 semaines ; chez ces patients, le taux de RVS12 était de 94 %. Respectivement 80 % (28/35), 90 % (18/20), 40 % (4/10) et 49 % (19/39) des patients traités par le siméprévir, naïfs de traitement, rechuteurs, répondeurs partiels et répondeurs nuls à un précédent traitement, avaient un taux d'ARN du VHC indétectable à la semaine 4. Chez ces patients, les taux de RVS12 étaient respectivement de 96 %, 94 %, 100 % et 68 %. Les taux d'échappement virologique étaient respectivement de 24 % (11/45), 20 % (5/25) et 11 % (4/36) chez les patients infectés par un VHC de génotype 4a, 4d et par un autre sous-type du génotype 4. La pertinence clinique de cette différence dans les taux d'échappement virologique n'est pas connue. * Etude clinique évaluant l'intervalle QT L'effet du siméprévir à la dose de 150 mg une fois par jour et 350 mg une fois par jour pendant 7 jours sur l'intervalle QT a été évalué dans une étude croisée à 4 bras, randomisée, en double aveugle, contrôlée versus placebo et témoin positif (moxifloxacine 400 mg une fois par jour) chez 60 sujets sains. Aucune modification significative de l'intervalle QTc n'a été observée à la dose recommandée de 150 mg une fois par jour ou à la dose suprathérapeutique de 350 mg une fois par jour. * Population pédiatrique L'Agence européenne des médicaments a différé l'obligation de soumettre les résultats d'études réalisées avec le siméprévir dans un ou plusieurs sous-groupes de la population pédiatrique âgés de 3 ans à moins de 18 ans dans le traitement de l'hépatite virale C chronique (voir rubrique "Posologie et mode d'administration" pour les informations concernant l'usage pédiatrique). |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 20/07/2017 |
Virus | Résistance |
VIRUS HEPATITE C |
Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 20/07/2017
Les propriétés pharmacocinétiques du siméprévir ont été évaluées chez des sujets adultes sains et chez des patients adultes infectés par le VHC. L'exposition plasmatique au siméprévir (ASC) chez les patients infectés par le VHC était environ 2 à 3 fois plus élevée que celle observée chez les sujets sains. La Cmax plasmatique et l'ASC du siméprévir en association au peg-interféron alfa et à la ribavirine étaient similaires à celles observées suite à l'administration du siméprévir seul. * Absorption La biodisponibilité moyenne absolue du siméprévir après une dose orale unique de 150 mg de siméprévir prise avec un repas est de 62 %. Les concentrations plasmatiques maximales (Cmax) sont généralement atteintes entre 4 et 6 heures après la prise. Les expériences in vitro réalisées sur des cellules humaines Caco-2 ont indiqué que le siméprévir est un substrat de la P-gp. Effet de la nourriture sur l'absorption Comparé à une prise sans nourriture, l'administration du siméprévir avec des aliments chez des sujets sains a augmenté l'ASC de 61 % après un petit-déjeuner riche en lipides, hautement calorique (928 kcal) et de 69 % après un petit-déjeuner normocalorique (533 kcal) et a retardé l'absorption de respectivement 1 heure et 1,5 heure. Le siméprévir doit être pris avec de la nourriture (voir rubrique 4.2). Le type d'aliments n'a pas d'influence sur l'exposition au siméprévir. * Distribution Le siméprévir est fortement lié aux protéines plasmatiques (> 99,9 %), principalement à l'albumine et, à un degré moindre, à l'alfa-1-glycoprotéine acide. La fixation aux protéines plasmatiques n'est pas significativement modifiée chez les patients insuffisants rénaux ou hépatiques. * Biotransformation Le siméprévir est métabolisé par le foie. Les expériences in vitro avec des microsomes hépatiques humains ont indiqué que le siméprévir est principalement soumis au métabolisme oxydatif du système CYP3A4 hépatique. L'implication des CYP2C8 et CYP2C19 ne peut être exclue. Les inhibiteurs modérés ou puissants du CYP3A4 augmentent significativement l'exposition plasmatique au siméprévir, et les inducteurs modérés ou puissants du CYP3A4 diminuent significativement l'exposition plasmatique au siméprévir. Siméprévir n'induit pas les CYP1A2 ou CYP3A4 in vitro. Sur le plan clinique, siméprévir n'a pas un effet inhibiteur significatif sur l'activité enzymatique de la cathepsine A. Les expériences in vitro montrent que le siméprévir est un substrat pour les glycoprotéines P (P-gp) transporteurs de médicaments, MRP2, OATP1B1/3 et OATP2B1. Le siméprévir inhibe les transporteurs de capture OATP1B1/3 et NTCP, ainsi que les transporteurs d'efflux P-gp/MDR1, MRP2, BCRP et BSEP. Les transporteurs OATP1B1/3 et MRP2 sont impliqués dans le transport de la bilirubine dans et hors des hépatocytes. Le siméprévir n'inhibe pas l'OCT2 in vitro. Après une administration orale unique de 200 mg de siméprévir marqué au carbone 14 chez des sujets sains, la majorité de la radioactivité retrouvée dans le plasma (jusqu'à 98 %) était due au médicament inchangé et une faible part était due à ses métabolites (aucun des métabolites principaux). Les métabolites identifiés dans les fèces étaient formés par oxydation des groupements macrocyclique et/ou aromatique et par O-déméthylation suivie d'une oxydation. * Elimination Le siméprévir est éliminé par excrétion biliaire. La clairance rénale ne joue pas un rôle significatif dans son élimination. Après une administration orale d'une dose unique de 200 mg de siméprévir marqué au carbone 14 chez des sujets adultes sains, en moyenne 91 % de la radioactivité totale a été retrouvée dans les fèces. Moins de 1 % de la dose administrée a été retrouvée dans l'urine. Le siméprévir retrouvé sous forme inchangée dans les fèces représentait en moyenne 31 % de la dose administrée. La demi-vie d'élimination terminale du siméprévir était de 10 à 13 heures chez les sujets sains et de 41 heures chez les patients infectés par le VHC recevant 200 mg de siméprévir. * Linéarité/non linéarité La Cmax plasmatique et l'aire sous la courbe de concentrations plasmatiques en fonction du temps (ASC) ont augmenté plus que proportionnellement à la dose après l'administration de doses multiples comprises entre 75 mg et 200 mg une fois par jour, avec apparition d'une accumulation après des doses répétées. L'état d'équilibre a été atteint après 7 jours d'administration en une prise par jour. * Populations particulières - Patients âgés (plus de 65 ans) Les données sur l'utilisation du siméprévir chez les patients de plus de 65 ans sont limitées. L'âge (18-73 ans) n'a eu aucun effet cliniquement significatif sur la pharmacocinétique du siméprévir, d'après une analyse pharmacocinétique de population (n = 21, âge supérieur à 65 ans) menée chez des patients infectés par le VHC traités par le siméprévir. Aucune adaptation posologique du siméprévir n'est nécessaire chez les patients âgés (Cf. rubrique "Posologie et mode d'administration"). - Insuffisance rénale L'élimination rénale du siméprévir est négligeable. L'insuffisance rénale ne devrait donc pas avoir d'effet cliniquement significatif sur l'exposition au siméprévir. Comparativement aux sujets sains ayant une fonction rénale normale (classification à l'aide de la formule MDRD [Modification of Diet in Renal Disease] de calcul du DFGe ; DFGe > ou = 80 mL/min), chez les sujets ayant une insuffisance rénale sévère (DFGe inférieur à 30 mL/min), l'ASC moyenne à l'équilibre du siméprévir était supérieure de 62 % avec un intervalle de confiance à 90 % allant de 27 % inférieure à 3,6 fois supérieure. Comme l'exposition peut être augmentée chez les patients infectés par le VHC présentant une insuffisance rénale sévère, la prudence est recommandée lorsque le siméprévir est prescrit chez ces patients (Cf. rubrique "Posologie et mode d'administration"). Le siméprévir étant fortement lié aux protéines plasmatiques, il est peu probable qu'il soit éliminé de manière significative par dialyse. Pour l'utilisation des médicaments associés au siméprévir chez les patients insuffisants rénaux, se reporter à leurs Résumés des Caractéristiques du Produit respectifs. - Insuffisance hépatique Le siméprévir est principalement métabolisé par le foie. L'exposition plasmatique au siméprévir chez les patients infectés par le VHC était 2 à 3 fois supérieure à celle observée chez les sujets sains. Comparativement aux sujets sains ayant une fonction hépatique normale, l'ASC moyenne à l'équilibre du siméprévir était 2,4 fois plus élevée chez les sujets non infectés par le VHC ayant une insuffisance hépatique modérée (Child-Pugh classe B) et 5,2 fois plus élevée chez les sujets non infectés par le VHC ayant une insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh classe C). Aucune adaptation posologique du siméprévir n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère. La sécurité et l'efficacité du siméprévir n'ont pas été établies chez les patients infectés par le VHC présentant une insuffisance hépatique modérée ou sévère (Child-Pugh de classe B ou C). Le siméprévir n'est pas recommandé chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée ou sévère (Child-Pugh de classe B ou C) (Cf. rubriques "Posologie et mode d'administration" et "Mises en garde et précautions d'emploi"). Pour l'utilisation des médicaments associés au siméprévir chez les patients insuffisants hépatiques, se reporter à leurs Résumés des Caractéristiques du Produit respectifs. - Sexe Il n'est pas nécessaire d'adapter la posologie en fonction du sexe. D'après une analyse pharmacocinétique de population menée chez des patients infectés par le VHC et traités par le siméprévir en association au peg-interféron alfa et à la ribavirine, le sexe n'a eu aucun effet cliniquement significatif sur la pharmacocinétique du siméprévir. - Poids corporel Il n'est pas nécessaire d'adapter la posologie en fonction du poids corporel ou de l'indice de masse corporelle. D'après une analyse pharmacocinétique de population menée chez des patients infectés par le VHC traités par le siméprévir en association au peg-interféron alfa et à la ribavirine, ces caractéristiques n'ont eu aucun effet cliniquement significatif sur la pharmacocinétique du siméprévir. - Origine ethnique Les estimations de pharmacocinétique de population relatives à l'exposition au siméprévir ont été comparables entre les patients d'origine caucasienne ou noire/afro-américaine infectés par le VHC traités par le siméprévir en association au peg-interféron alfa et à la ribavirine. Dans une étude de phase 3 menée en Chine et en Corée du Sud, l'exposition plasmatique moyenne du siméprévir chez les patients asiatiques infectés par le VHC était 2,1 fois plus élevée par rapport aux patients non asiatiques infectés par le VHC issus de la population des études compilées internationales de phase 3. Il n'est pas nécessaire d'adapter la posologie en fonction de l'origine ethnique. - Patients co-infectés par le VIH-1 Les paramètres pharmacocinétiques du siméprévir étaient comparables chez les patients infectés par le VHC de génotype 1 avec et sans co-infection par le VIH-1. - Population pédiatrique La pharmacocinétique du siméprévir chez les enfants âgés de moins de 18 ans n'a pas été étudiée. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 20/07/2017 |
Chez le rongeur, le siméprévir a entrainé des effets toxiques sur le foie, le pancréas et le tractus gastro-intestinal. L'administration chez l'animal a donné des expositions similaires (chez le chien) ou plus faibles (chez le rat) que celles observées chez l'Homme à la dose recommandée de 150 mg une fois par jour. Chez le chien, le siméprévir a été associé à une nécrose hépatocellulaire multifocale réversible associée à une augmentation des taux d'ALAT, ASAT, phosphatases alcalines et/ou bilirubine. Cet effet a été observé à des expositions systémiques 11 fois plus importantes que celles obtenues chez l'Homme à la dose recommandée de 150 mg une fois par jour. Le siméprévir in vitro a été très légèrement irritant pour les yeux. In vitro, le siméprévir a induit une réponse phototoxique sur les fibroblastes BALB/c 3T3 après exposition aux UVA, en présence et en l'absence de suppléments protéiques. Le siméprévir n'a pas provoqué d'irritation cutanée chez le lapin et il est peu probable qu'il provoque une sensibilisation de la peau. Chez l'animal, le siméprévir n'a entrainé aucun effet indésirable sur les fonctions vitales (cardiaques, respiratoires et du système nerveux central). * Carcinogénicité et mutagénicité Dans une série d'études in vitro et in vivo, le siméprévir n'a pas été génotoxique. Aucune étude de carcinogénicité n'a été effectuée avec le siméprévir. * Toxicologie de la reproduction Les études menées chez le rat n'ont pas révélé d'effet significatif sur la fertilité, le développement embryo-foetal ou le développement pré- et postnatal, à aucune des doses testées (correspondant à une exposition systémique chez le rat similaire ou inférieure à celle observée chez l'Homme à la dose recommandée de 150 mg une fois par jour). Chez la souris, à des expositions 4 fois supérieures à celles observées chez l'Homme à la dose recommandée de 150 mg une fois par jour, une augmentation du nombre de côtes et un retard à l'ossification ont été observés. Chez les rates gestantes, les concentrations de siméprévir dans le placenta, le foie foetal et le foetus étaient inférieures à celles observées dans le sang. Après administration à des rates allaitantes, le siméprévir a été détecté dans le plasma des rats allaités, probablement en raison de l'excrétion du siméprévir dans le lait maternel. * Evaluation du risque environnemental (ERE) Le siméprévir est une substance classée comme PBT (persistante, bioaccumulable et toxique) (Cf. rubrique "Précautions particulières d'élimination"). |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 20/07/2017 |
Attention : il n'existe plus de médicament commercialisé correspondant à ce médicament virtuel.
Spécialité(s) génériques Thériaque | Type | Prix |
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OLYSIO 150MG GELULE NSFP | ||
Comparer prix |
Groupe générique(s) : Néant |
Spécialité(s) générique(s) ansm et date(s) d'application : Néant |
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OLYSIO (EPAR) 2016 |
MEDICAMENT SOUS SURVEILLANCE RENFORCEE | |
ANTIVIRAUX AAD VHC ET REACTIVATION VHB | |
OLYSIO SYNTHESE D'AVIS 2014 | |
PRISE EN CHARGE DE L'HEPATITE C 2014 |
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* Conditions de prescription et de délivrance Liste I. Prescription hospitalière réservée aux spécialistes en gastro-entérologie et hépatologie, en médecine interne ou en infectiologie. * Rétrocession - Arrêté du 29 avril 2015 modifiant l'arrêté du 17 décembre 2004 modifié fixant la liste prévue à l'article L. 5126-4 du code de la santé publique (JO du 06/05/2015). |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 20/07/2017 | |
Code UCD13 : | 3400894011088 |
Code UCD7 : | 9401108 |
Code identifiant spécialité : | 6 414 621 7 |
Laboratoire(s) titulaire(s) AMM: |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 20/07/2017 | |
Laboratoire(s) exploitant(s) : |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 20/07/2017 | |
Code CIP13 | 3400927885648 |
Code CIP7 | 2788564 |
Commercialisation | Supprimé le 30/04/2018 |
Agrément collectivités/date JO | Oui le 06/05/2015 |
Présentation réservée à l'hôpital | Oui |
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD) |
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Conditionnement primaire | 4 PLAQUETTE(S) THERMOFORMEE(S) (1) |
Nb unités de prise par conditionnement primaire | 7 GELULE(S) par PLAQUETTE(S) THERMOFORMEE(S) |
Matériau(x) |
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* Nature et contenu de l'emballage extérieur |
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Présentation unitaire | PAS DE RENSEIGNEMENT |
Référence(s) bibliographique(s) | |
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Conditions de délivrance |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 20/07/2017 |
Statut de la présentation |
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AMM 14/05/2014 |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 20/07/2017 |
1. Prix en officine ville | |
Prix de cette présentation (CIP)/date JO | non concerné |
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) | Non concerné |
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur) | |
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) | 186,25 euros HT le 01/11/2016 |
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) | Non concerné |
1. Ville | |
Taux de remboursement |
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2. Hôpital (Rétrocession - vente au public) | |
Taux de remboursement/date JO |
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- Arrêté du 14 mars 2017 relatif aux conditions de prise en charge de spécialités pharmaceutiques disposant d'une autorisation de mise sur le marché inscrites sur la liste visée à l'article L. 5126-4 du code de la santé publique (JO du 17 mars 2017). |
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Statut(s) du remboursement |
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- Arrêté du 14 mars 2017 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques agréées à l'usage des collectivités et divers services publics (JO 17 mars 2017). Au vu des exigences de qualité et de sécurité des soins, la prise en charge de la spécialité pharmaceutique qui figure dans la présente annexe est subordonnée au respect de la condition relative à l'organisation des soins suivante : l'initiation du traitement est subordonnée à la tenue d'une réunion de concertation pluridisciplinaire et ce uniquement pour les patients : . en échec d'un premier traitement par antiviraux d'action directe, . insuffisants rénaux (si le débit de filtration glomérulaire est inférieur à 30 mL/min), hémodialysés chroniques ou transplantés rénaux, . ayant une cirrhose grave, compliquée MELD > 18 ou avec facteurs d'aggravation ou ayant des antécédents de cirrhose grave, . en pré ou post-transplantation hépatique, . ayant un carcinome hépatocellulaire ou un antécédent de carcinome hépatocellulaire, . co-infectés par le VIH, le VHB ou un autre virus à tropisme hépatique ; . dont l'état de santé ou le traitement peuvent interférer avec la prise en charge de l'hépatite C. La spécialité pharmaceutique est inscrite sur la liste des médicaments agréés à l'usage des collectivités et divers services publics. Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge par l'assurance maladie sont [...] celles qui figurent à l'autorisation de mise sur le marché à la date de publication du présent arrêté. |
SMR spécifique de cette présentation | NON |
Modalité(s) de dispensation |
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* Rétrocession |
Durée(s) et condition(s) de conservation |
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* Durée de conservation |
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Référence(s) officielles(s) : Rectificatif AMM européenne 20/07/2017 |
HEPATITE VIRALE CHRONIQUE C
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Ce médicament est indiqué en association avec d'autres médicaments dans le traitement de l'hépatite C chronique (HCC) chez l'adulte (Cf. rubriques "Posologie et mode d'administration", "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Propriétés pharmacodynamiques"). Pour l'activité en fonction du génotype du virus de l'hépatite C (VHC), voir rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Propriétés pharmacodynamiques". |
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SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 17/12/2014 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 20/07/2017 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | 150 MG/PRISE |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement max | 12 SEMAINE(S) |
Le traitement par siméprévir doit être initié et surveillé par un médecin expérimenté dans la prise en charge de l'HCC. * Posologie La dose recommandée de siméprévir est d'une gélule de 150 mg une fois par jour pendant 12 semaines, à prendre avec de la nourriture. Le siméprévir doit être utilisé en association avec d'autres médicaments pour le traitement de l'HCC (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). Lorsqu'un traitement par siméprévir en association au peg-interféron alfa et à la ribavirine est envisagé chez les patients infectés par un VHC de génotype 1a, les patients doivent être testés à la recherche du polymorphisme NS3 Q80K avant l'instauration du traitement (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Se référer aux Résumés des Caractéristiques du Produit des autres médicaments qui sont utilisés en association avec le siméprévir. Se référer aux Résumés des Caractéristiques du Produit des autres médicaments qui sont utilisés en association avec le siméprévir. Le(s) médicament(s) co-administré(s) et la durée du traitement recommandés pour les associations thérapeutiques avec le siméprévir sont indiqués ci-dessous. Durée de traitement recommandée pour l'association thérapeutique du siméprévir avec le sofosbuvir avec ou sans ribavirine chez les patients infectés par un VHC de génotype 1 ou 4 . Population de patients : patients sans cirrhose Durée de traitement : 12 semaines de siméprévir + sofosbuvir . Population de patients : patients avec cirrhose (1) Durée de traitement : 24 semaines de siméprévir + sofosbuvir ou 12 semaines de siméprévir + sofosbuvir + ribavirine (2) 12 semaines de siméprévir + sofosbuvir (sans ribavirine) peuvent être envisagées chez les patients pour lesquels le risque de progression clinique de la maladie est considéré comme faible et pour lesquels des options de re-traitement ultérieur existent (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Propriétés pharmacodynamiques"). (1) Chez les patients infectés par le VHC de génotype 1a avec cirrhose, la recherche du polymorphisme Q80K peut être envisagée avant l'initiation du traitement par le siméprévir en association au sofosbuvir (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi"). (2) La dose journalière de ribavirine est fonction du poids (< 75 kg = 1000 mg et > ou = 75 kg = 1200 mg) et administrée en deux prises séparées par voie orale avec de la nourriture ; se référer également au Résumé des Caractéristiques du Produit de la ribavirine. Durée de traitement recommandée pour l'association thérapeutique de siméprévir avec le peg-interféron alfa et la ribavirine (1) chez les patients infectés par un VHC de génotype 1 ou 4 . Population de patients : patients naïfs de traitement et rechuteurs à un précédent traitement (2) avec ou sans cirrhose, qui ne sont pas co-infectés par le VIH Durée de traitement : 24 semaines (3) Le traitement par siméprévir doit être instauré en association au peg-interféron alfa + ribavirine et administré pendant 12 semaines suivies de 12 semaines supplémentaires de peginterféron alfa + ribavirine . Population de patients : patients naïfs de traitement et rechuteurs à un précédent traitement (2) sans cirrhose, qui sont co-infectés par le VIH Durée de traitement : 24 semaines (3) Le traitement par siméprévir doit être instauré en association au peg-interféron alfa + ribavirine et administré pendant 12 semaines suivies de 12 semaines supplémentaires de peginterféron alfa + ribavirine . Population de patients : patients naïfs de traitement et rechuteurs à un précédent traitement (2) avec cirrhose, qui sont co-infectés par le VIH Durée de traitement : 48 semaines (3) Le traitement par siméprévir doit être instauré en association au peg-interféron alfa + ribavirine et administré pendant 12 semaines suivies de 36 semaines supplémentaires de peginterféron alfa + ribavirine . Population de patients : patients non-répondeurs à un précédent traitement (dont répondeurs partiels et nuls) (2) avec ou sans cirrhose, avec ou sans co-infection par le VIH Durée de traitement : 48 semaines (3) Le traitement par siméprévir doit être instauré en association au peg-interféron alfa + ribavirine et administré pendant 12 semaines suivies de 36 semaines supplémentaires de peginterféron alfa + ribavirine (1) Lorsqu'un traitement par siméprévir en association au peg-interféron alfa et à la ribavirine est envisagé chez les patients infectés par un VHC de génotype 1a, la recherche du polymorphisme NS3 Q80K doit être réalisée avant l'instauration du traitement (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi"). (2) Après un précédent traitement par interféron (pégylé ou non pégylé), avec ou sans ribavirine (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). (3) Durée de traitement recommandée sous réserve que le patient ne correspond pas aux règles d'arrêt (voir ci-dessous). Se reporter aux données ci-dessous concernant les règles d'arrêt de traitement en fonction des taux d'ARN du VHC aux semaines 4, 12 et 24 pour les patients traités par siméprévir, peg-interféron alfa et ribavirine. - Arrêt du traitement chez les patients ayant une réponse virologique insuffisante. . Utilisation avec le sofosbuvir Il n'y a pas de règle d'arrêt de traitement en fonction de la réponse virologique pour l'association du siméprévir avec le sofosbuvir. . Utilisation avec peg-interféron alfa et ribavirine Comme il est peu probable que les patients présentant une réponse virologique insuffisante sous traitement parviennent à une réponse virologique soutenue (RVS), l'arrêt du traitement est recommandé chez ces patients. Les seuils des taux d'ARN du VHC qui conduisent à l'arrêt du traitement (c'est-à-dire les règles d'arrêt du traitement) sont présentés ci-dessous. Règles d'arrêt du traitement chez les patients recevant du siméprévir en association au peginterféron alfa et à la ribavirine ayant une réponse virologique insuffisante sous traitement Taux d'ARN du VHC : semaine 4 du traitement : > ou = 25 UI/mL Action : arrêter le traitement par siméprévir, peg-interféron alfa et ribavirine. Taux d'ARN du VHC : semaine 12 du traitement : > ou = 25 UI/mL (1) Action : arrêter le traitement par peg-interféron alfa et ribavirine (le traitement par siméprévir est terminé à la semaine 12). Taux d'ARN du VHC : semaine 24 du traitement : > ou = 25 UI/mL (1) Action : arrêter le traitement par peg-interféron alfa et ribavirine. (1) Une réévaluation du taux d'ARN du VHC est recommandée en cas de taux > ou = 25 UI/mL après un taux précédemment indétectable afin de confirmer les valeurs du taux d'ARN du VHC avant l'arrêt du traitement contre le VHC. - Adaptation posologique ou interruption du traitement par le siméprévir Afin d'éviter un échec thérapeutique, il ne faut pas réduire la dose de siméprévir ni interrompre le traitement. Si le traitement par le siméprévir est arrêté en raison d'effets indésirables ou d'une réponse virologique insuffisante sous traitement, il ne doit pas être réintroduit. - Adaptation posologique ou interruption des médicaments utilisés en association avec le siméprévir dans le traitement de l'HCC Si des effets indésirables, potentiellement liés aux médicaments associés au siméprévir pour le traitement de l'HCC, nécessitent une adaptation posologique ou une interruption du (des) médicament(s), il convient de se reporter aux instructions présentées dans les Résumés des Caractéristiques du Produit de ces médicaments. En cas d'arrêt définitif des autres médicaments utilisés en association avec le siméprévir dans le traitement de l'HCC, quelle qu'en soit la raison, le siméprévir doit également être arrêté. Lorsque la ribavirine a été ajoutée à l'association siméprévir et sofosbuvir et que la ribavirine doit être arrêtée, la poursuite du traitement par le siméprévir avec le sofosbuvir seul doit être évaluée (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). - Oubli de dose Si un patient oublie une dose de siméprévir et s'en rend compte dans les 12 heures suivant l'heure de prise habituelle, il doit prendre la dose oubliée de siméprévir avec de la nourriture dès que possible. Il devra ensuite prendre la dose suivante à l'heure habituelle prévue. Si une dose de siméprévir est oubliée plus de 12 heures après l'heure de prise habituelle, le patient ne devra pas prendre la dose oubliée de siméprévir mais devra reprendre le traitement par siméprévir avec de la nourriture à l'heure habituelle prévue. * Populations particulières - Patients âgés (plus de 65 ans) Les données sur la sécurité et l'efficacité du siméprévir chez les patients âgés de plus de 65 ans sont limitées. Il n'y a aucune donnée sur la sécurité et l'efficacité du siméprévir chez les patients de plus de 75 ans. Aucune adaptation posologique du siméprévir n'est nécessaire chez les patients âgés (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). - Insuffisance rénale Aucune adaptation posologique du siméprévir n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale légère ou modérée. Une augmentation de l'exposition au siméprévir a été observée chez les individus présentant une insuffisance rénale sévère. Le siméprévir n'a pas été étudié chez les patients infectés par le VHC présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 30 mL/min) ou une insuffisance rénale terminale, y compris les patients nécessitant une hémodialyse. Comme l'exposition peut être augmentée chez les patients infectés par le VHC présentant une insuffisance rénale sévère, la prudence est recommandée lors de la prescription de siméprévir chez ces patients (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). Pour l'utilisation des médicaments associés au siméprévir chez les patients insuffisants rénaux, se reporter à leurs Résumés des Caractéristiques du Produit respectifs. - Insuffisance hépatique Aucune adaptation posologique du siméprévir n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère (Child-Pugh de classe A). Le siméprévir n'est pas recommandé chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée ou sévère (Child-Pugh de classe B ou C) (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Propriétés pharmacocinétiques"). - Origine ethnique Il n'est pas nécessaire d'adapter la posologie en fonction de l'origine ethnique (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). - Population pédiatrique La sécurité et l'efficacité du siméprévir chez les enfants âgés de moins de 18 ans n'ont pas encore été établies. Aucune donnée n'est disponible. - Co-infection VHC/Virus de l'immunodéficience humaine de type 1 (VIH-1) Aucune adaptation posologique du siméprévir n'est nécessaire chez les patients présentant une co-infection VHC/VIH-1 (Cf. rubriques "Effets indésirables", "Propriétés pharmacodynamiques" et "Propriétés pharmacocinétiques"). Siméprévir en association au sofosbuvir : les patients co-infectés par le VHC et le VIH-1 doivent être traités pendant la même durée que les patients infectés par le VHC seul. Siméprévir en association au peg-interféron alfa et à la ribavirine : les patients co-infectés par le VHC et le VIH-1 doivent être traités pendant la même durée que les patients infectés par le VHC seul, à l'exception des patients co-infectés cirrhotiques qui doivent recevoir 12 semaines de traitement par siméprévir associé au peg-interféron alfa et à la ribavirine suivies de 36 semaines de traitement par peginterféron alfa et ribavirine (durée totale de traitement de 48 semaines). Pour les interactions avec les agents antirétroviraux, se reporter aux rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Interactions". |
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Référence(s) officielle(s) |
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Recommandation(s) |
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* Précautions particulières d'élimination et de manipulation Ce médicament peut présenter un risque pour l'environnement (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur. * Incompatibilités Sans objet. |
Voie(s) d'administration |
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Modalité(s) |
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* Mode d'administration Ce médicament doit être pris par voie orale une fois par jour avec de la nourriture (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). La gélule doit être avalée en entier. * Oubli de dose Si un patient oublie une dose de siméprévir et s'en rend compte dans les 12 heures suivant l'heure de prise habituelle, il doit prendre la dose oubliée de siméprévir avec de la nourriture dès que possible. Il devra ensuite prendre la dose suivante à l'heure habituelle prévue. Si une dose de siméprévir est oubliée plus de 12 heures après l'heure de prise habituelle, le patient ne devra pas prendre la dose oubliée de siméprévir mais devra reprendre le traitement par siméprévir avec de la nourriture à l'heure habituelle prévue. * Comment prendre ce médicament ? Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou de votre pharmacien. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Vous devez obligatoirement prendre ce médicament en association avec d'autres médicaments destinés au traitement de votre hépatite C chronique. Le traitement par ce médicament dure soit 12 soit 24 semaines mais vous pouvez avoir besoin de prendre les autres médicaments plus longtemps, suivant les instructions de votre médecin. Veuillez lire les instructions relatives aux posologies et aux instructions concernant la prise dans les notices de ces médicaments. - Instructions concernant la prise . La dose recommandée de ce médicament est d'une gélule (150 milligrammes) une fois par jour. . Les jours de la semaine sont imprimés sur la plaquette - cela vous aidera à vous souvenir de prendre votre gélule. . Essayez de prendre ce médicament à la même heure chaque jour. . Prenez toujours ce médicament avec de la nourriture. Le type d'aliments n'est pas important. . Prenez ce médicament par voie orale (par la bouche). . Avalez la gélule en entier. - Comment retirer la gélule Appuyer sur l'un des bords de l'alvéole afin de pousser la gélule à travers l'opercule, comme indiqué. Ne pas appuyer sur la gélule à partir du milieu de l'alvéole. La gélule pourrait être endommagée ou s'ouvrir. Si l'enveloppe de la gélule estcassée ou ouverte, une partie du médicament peut être perdue et vous devrez alors prendre une autre gélule. Si l'enveloppe de la gélule est découpée ou courbée, sans toutefois être cassée ou ouverte, la gélule peut encore être administrée. - Si vous avez pris plus de ce médicament que vous n'auriez dû Si vous avez pris plus de ce médicament que vous n'auriez dû, adressez-vous immédiatement à votre médecin ou à votre pharmacien. - Si vous oubliez de prendre ce médicament . S'il reste plus de 12 heures avant la dose suivante, prenez la dose oubliée dès que possible avec de la nourriture. Continuez ensuite de prendre ce médicament à l'heure habituelle prévue. . S'il reste moins de 12 heures avant la prochaine dose, ne prenez pas la dose oubliée. Prenez la dose suivante de ce médicament à l'heure habituelle prévue. . Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. - N'arrêtez pas le traitement par ce médicament N'arrêtez pas le traitement par ce médicament, sauf si votre médecin vous le demande. Si vous arrêtez, votre médicament peut ne pas agir correctement. Si vous avez d'autres questions sur l'utilisation de ce médicament, demandez plus d'informations à votre médecin ou à votre pharmacien. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Terrain N° 1 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | FEMME EN AGE DE PROCREER
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Niveau(x) |
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Le siméprévir ne doit être utilisé pendant la grossesse ou chez les femmes en âge de procréer que si le bénéfice justifie le risque. Les patientes en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception efficace (Cf. rubrique "Grossesse et allaitement"). Les contre-indications et mises en garde relatives à la grossesse et à la contraception relatives aux médicaments co-administrés s'appliquent également lorsqu'ils sont utilisés en association avec le siméprévir. La ribavirine peut provoquer des malformations congénitales et/ou un décès chez le foetus exposé. Par conséquent, il convient de prendre toutes les précautions nécessaires afin d'éviter une grossesse chez les patientes et les partenaires féminines des patients (Cf. rubrique "Grossesse et allaitement"). Des effets tératogènes et/ou embryocides significatifs ont été observés chez toutes les espèces animales exposées à la ribavirine. Il convient de prendre toutes les précautions nécessaires afin d'éviter une grossesse chez les patientes et les partenaires féminines des patients. Les patientes en âge de procréer et les patients de sexe masculin ayant une partenaire en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement par la ribavirine et après la fin du traitement par la ribavirine, selon la durée recommandée dans le Résumé des Caractéristiques du Produit de la ribavirine. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | PARTENAIRE : FEMME EN AGE DE PROCREER
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Niveau(x) |
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Le siméprévir ne doit être utilisé pendant la grossesse ou chez les femmes en âge de procréer que si le bénéfice justifie le risque. Les patientes en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception efficace (Cf. rubrique "Grossesse et allaitement"). Les contre-indications et mises en garde relatives à la grossesse et à la contraception relatives aux médicaments co-administrés s'appliquent également lorsqu'ils sont utilisés en association avec le siméprévir. La ribavirine peut provoquer des malformations congénitales et/ou un décès chez le foetus exposé. Par conséquent, il convient de prendre toutes les précautions nécessaires afin d'éviter une grossesse chez les patientes et les partenaires féminines des patients (Cf. rubrique "Grossesse et allaitement"). Des effets tératogènes et/ou embryocides significatifs ont été observés chez toutes les espèces animales exposées à la ribavirine. Il convient de prendre toutes les précautions nécessaires afin d'éviter une grossesse chez les patientes et les partenaires féminines des patients. Les patientes en âge de procréer et les patients de sexe masculin ayant une partenaire en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement par la ribavirine et après la fin du traitement par la ribavirine, selon la durée recommandée dans le Résumé des Caractéristiques du Produit de la ribavirine. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Le siméprévir doit être co-administré avec d'autres médicaments antiviraux à action directe uniquement s'il est estimé que, d'après les données disponibles, les bénéfices sont supérieurs aux risques. Il n'existe pas de données étayant l'administration concomitante du siméprévir et du télaprevir ou du bocéprevir. Une résistance croisée avec ces inhibiteurs de la protéase du VHC est attendue et donc leur co-administration est déconseillée (voir aussi rubrique "Interactions"). Cf. aussi "Thesaurus interactions ansm". |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | INTERACTION D'ORIGINE ALIMENTAIRE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | INSUFFISANCE HEPATIQUE
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Niveau(x) |
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Le siméprévir n'est pas recommandé chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée ou sévère (Child-Pugh de classe B ou C) (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Propriétés pharmacocinétiques"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | ALLAITEMENT |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | ADULTE JEUNE (15-17 ANS)
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | ENFANT |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | NOURRISSON |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | NOUVEAU-NE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique "Composition". |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 20/07/2017 |
Terrain N° 12 | ANOMALIE METABOLISME GALACTOSE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient du lactose comme excipient. - Voie d'administration : Orale - Seuil : Zéro - Informations Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. - Commentaires Proposition de RCP : Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | DEFICIT EN LACTASE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient du lactose comme excipient. - Voie d'administration : Orale - Seuil : Zéro - Informations Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. - Commentaires Proposition de RCP : Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | SYNDROME DE MALABSORPTION / INTOLERANCE DIGESTIVE
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Niveau(x) |
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Ce médicament contient du lactose comme excipient. - Voie d'administration : Orale - Seuil : Zéro - Informations Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. - Commentaires Proposition de RCP : Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | REGIME SANS GALACTOSE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient du lactose comme excipient. - Voie d'administration : Orale - Seuil : Zéro - Informations Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. - Commentaires Proposition de RCP : Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 16 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Ce médicament contient du lactose comme excipient. - Voie d'administration : Orale - Seuil : Zéro - Informations Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. - Commentaires Proposition de RCP : Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 17 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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30/04/2011 - [MED] - Points d'information sur les dossiers discutés en commission d'AMM Séance du jeudi 28 avril 2011 - Communiqué Colchicine / Antirétroviraux inhibiteurs de protéases La colchicine est un médicament utilisé dans le traitement de la crise de goutte. La prise concomitante de colchicine et d'antirétroviraux inhibiteurs de protéases conduit à un surdosage en colchicine. La commission d'AMM a donc décidé de déconseiller l'association de ces médicaments. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 1 | INSUFFISANCE HEPATIQUE
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Niveau(x) |
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Des cas de décompensation hépatique et d'insuffisance hépatique, dont des cas mortels, ont été rapportés après la commercialisation chez des patients traités par le siméprévir en association au peginterféron alfa et à la ribavirine et en association avec le sofosbuvir. Bien qu'il soit difficile d'établir une causalité du fait de la maladie hépatique avancée sous-jacente, un risque potentiel ne peut pas être exclu. Par conséquent, chez les patients à haut risque de décompensation hépatique ou d'insuffisance hépatique, la fonction hépatique doit être surveillée avant et, dès que cliniquement approprié, pendant le traitement par siméprévir en association. L'exposition plasmatique au siméprévir augmente significativement chez les sujets présentant une insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh de classe C). La sécurité et l'efficacité du siméprévir n'ont pas été étudiées chez les patients infectés par le VHC présentant une insuffisance hépatique modérée ou sévère (Child-Pugh de classe B ou C) ou chez les patients présentant une décompensation ; par conséquent, une précaution particulière est recommandée lors de la prescription du siméprévir chez ces patients (Cf. rubriques "Posologie et mode d'administration" et "Propriétés pharmacocinétiques"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Des cas de bradycardie ont été observés avec le siméprévir en association avec le sofosbuvir lors de la co-administration avec l'amiodarone. Le mécanisme n'est pas établi. Certains cas ont entraîné une mise en jeu du pronostic vital, par conséquent l'amiodarone ne doit être utilisée chez les patients traités par siméprévir en association avec le sofosbuvir qu'en cas d'intolérance ou de contre-indication aux autres traitements anti-arythmiques. Si l'utilisation concomitante de l'amiodarone est jugée nécessaire, il est recommandé de surveiller étroitement les patients lors de l'initiation du traitement par le siméprévir en association avec le sofosbuvir. Les patients identifiés comme étant à risque élevé de bradyarythmie doivent faire l'objet d'une surveillance continue pendant 48 heures en milieu hospitalier adapté. Compte tenu de la longue demi-vie d'élimination de l'amiodarone, une surveillance appropriée doit également être effectuée chez les patients qui ont arrêté l'amiodarone au cours des derniers mois et qui doivent débuter un traitement par le siméprévir en association avec le sofosbuvir. Tous les patients traités par le siméprévir en association avec le sofosbuvir et recevant de l'amiodarone avec ou sans autres médicaments bradycardisants doivent également être avertis des symptômes de bradycardie et de troubles de la conduction, et ils doivent être informés de la nécessité de consulter un médecin en urgence s'ils ressentent ces symptômes. La co-administration de siméprévir avec des inducteurs ou inhibiteurs modérés ou puissants du cytochrome P450 3A (CYP3A4) n'est pas recommandée car elle peut conduire respectivement à une diminution ou à une augmentation significative de l'exposition au siméprévir. Se reporter à la rubrique "Interactions" pour les informations sur les interactions avec d'autres médicaments. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | FEMME EN AGE DE PROCREER
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Niveau(x) |
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Le siméprévir ne doit être utilisé pendant la grossesse ou chez les femmes en âge de procréer que si le bénéfice justifie le risque. Les patientes en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception efficace (Cf. rubrique "Grossesse et allaitement"). Les contre-indications et mises en garde relatives à la grossesse et à la contraception relatives aux médicaments co-administrés s'appliquent également lorsqu'ils sont utilisés en association avec le siméprévir. La ribavirine peut provoquer des malformations congénitales et/ou un décès chez le foetus exposé. Par conséquent, il convient de prendre toutes les précautions nécessaires afin d'éviter une grossesse chez les patientes et les partenaires féminines des patients (Cf. rubrique "Grossesse et allaitement"). Des effets tératogènes et/ou embryocides significatifs ont été observés chez toutes les espèces animales exposées à la ribavirine. Il convient de prendre toutes les précautions nécessaires afin d'éviter une grossesse chez les patientes et les partenaires féminines des patients. Les patientes en âge de procréer et les patients de sexe masculin ayant une partenaire en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement par la ribavirine et après la fin du traitement par la ribavirine, selon la durée recommandée dans le Résumé des Caractéristiques du Produit de la ribavirine. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | PARTENAIRE : FEMME EN AGE DE PROCREER
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Niveau(x) |
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Le siméprévir ne doit être utilisé pendant la grossesse ou chez les femmes en âge de procréer que si le bénéfice justifie le risque. Les patientes en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception efficace (Cf. rubrique "Grossesse et allaitement"). Les contre-indications et mises en garde relatives à la grossesse et à la contraception relatives aux médicaments co-administrés s'appliquent également lorsqu'ils sont utilisés en association avec le siméprévir. La ribavirine peut provoquer des malformations congénitales et/ou un décès chez le foetus exposé. Par conséquent, il convient de prendre toutes les précautions nécessaires afin d'éviter une grossesse chez les patientes et les partenaires féminines des patients (Cf. rubrique "Grossesse et allaitement"). Des effets tératogènes et/ou embryocides significatifs ont été observés chez toutes les espèces animales exposées à la ribavirine. Il convient de prendre toutes les précautions nécessaires afin d'éviter une grossesse chez les patientes et les partenaires féminines des patients. Les patientes en âge de procréer et les patients de sexe masculin ayant une partenaire en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement par la ribavirine et après la fin du traitement par la ribavirine, selon la durée recommandée dans le Résumé des Caractéristiques du Produit de la ribavirine. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | EXPOSITION SOLAIRE / ULTRA-VIOLETS |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | ATTEINTE CUTANEE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | HEPATITE
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Niveau(x) |
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Des cas de réactivation du virus de l'hépatite B (VHB), dont certains avec issue fatale, ont été signalés pendant ou après le traitement par des agents antiviraux à action directe. Le dépistage du VHB doit être effectué chez tous les patients avant le début du traitement. Les patients co-infectés par le VHB/VHC sont à risque de réactivation du VHB et doivent donc être surveillés et pris en charge conformément aux recommandations cliniques en vigueur. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | TRANSPLANTATION
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Niveau(x) |
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Patients transplantés La co-administration de siméprévir avec la ciclosporine n'est pas recommandée car elle conduit à une augmentation significative de l'exposition au siméprévir (Cf. rubrique "Interactions"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
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Niveau(x) |
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Aucune adaptation posologique du siméprévir n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale légère ou modérée. Une augmentation de l'exposition au siméprévir a été observée chez les individus présentant une insuffisance rénale sévère. Le siméprévir n'a pas été étudié chez les patients infectés par le VHC présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 30 mL/min) ou une insuffisance rénale terminale, y compris les patients nécessitant une hémodialyse. Comme l'exposition peut être augmentée chez les patients infectés par le VHC présentant une insuffisance rénale sévère, la prudence est recommandée lors de la prescription du siméprévir chez ces patients (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). Pour l'utilisation des médicaments associés au siméprévir chez les patients insuffisants rénaux, se reporter à leurs Résumés des Caractéristiques du Produit respectifs. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | DIALYSE |
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Aucune adaptation posologique du siméprévir n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale légère ou modérée. Une augmentation de l'exposition au siméprévir a été observée chez les individus présentant une insuffisance rénale sévère. Le siméprévir n'a pas été étudié chez les patients infectés par le VHC présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 30 mL/min) ou une insuffisance rénale terminale, y compris les patients nécessitant une hémodialyse. Comme l'exposition peut être augmentée chez les patients infectés par le VHC présentant une insuffisance rénale sévère, la prudence est recommandée lors de la prescription du siméprévir chez ces patients (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). Pour l'utilisation des médicaments associés au siméprévir chez les patients insuffisants rénaux, se reporter à leurs Résumés des Caractéristiques du Produit respectifs. |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
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CIM 10 |
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- En général L'efficacité du siméprévir n'a pas été étudiée chez les patients avec un VHC de génotype 2, 3, 5 ou 6 ; par conséquent, le siméprévir ne doit pas être utilisé chez ces patients (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). Le siméprévir ne doit pas être administré en monothérapie mais doit être prescrit en association avec d'autres médicaments pour le traitement de l'HCC. Consulter les Résumés des Caractéristiques du Produit des médicaments co-prescrits avant l'instauration d'un traitement par siméprévir. Les mises en garde et précautions d'emploi relatives à ces médicaments sont également applicables lorsqu'ils sont utilisés en association avec le siméprévir. Il n'y a pas de données cliniques sur l'utilisation du siméprévir pour le retraitement des patients ayant échoué à un traitement à base d'inhibiteur de la protéase NS3-4A du VHC (Cf. rubriques "Propriétés pharmacodynamiques" et "Sécurité préclinique"). - Décompensation hépatique et insuffisance hépatique Des cas de décompensation hépatique et d'insuffisance hépatique, dont des cas mortels, ont été rapportés après la commercialisation chez des patients traités par le siméprévir en association au peginterféron alfa et à la ribavirine et en association avec le sofosbuvir. Bien qu'il soit difficile d'établir une causalité du fait de la maladie hépatique avancée sous-jacente, un risque potentiel ne peut pas être exclu. Par conséquent, chez les patients à haut risque de décompensation hépatique ou d'insuffisance hépatique, la fonction hépatique doit être surveillée avant et, dès que cliniquement approprié, pendant le traitement par siméprévir en association. - Insuffisance hépatique Le siméprévir n'est pas recommandé chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée ou sévère (Child-Pugh de classe B ou C) (Cf. rubriques "Posologie et mode d'administration", "Effets indésirables" et "Propriétés pharmacocinétiques"). - Bradycardie sévère et troubles de la conduction Des cas de bradycardie ont été observés avec le siméprévir en association avec le sofosbuvir lors de la co-administration avec l'amiodarone. Le mécanisme n'est pas établi. Certains cas ont entraîné une mise en jeu du pronostic vital, par conséquent l'amiodarone ne doit être utilisée chez les patients traités par siméprévir en association avec le sofosbuvir qu'en cas d'intolérance ou de contre-indication aux autres traitements anti-arythmiques. Si l'utilisation concomitante de l'amiodarone est jugée nécessaire, il est recommandé de surveiller étroitement les patients lors de l'initiation du traitement par le siméprévir en association avec le sofosbuvir. Les patients identifiés comme étant à risque élevé de bradyarythmie doivent faire l'objet d'une surveillance continue pendant 48 heures en milieu hospitalier adapté. Compte tenu de la longue demi-vie d'élimination de l'amiodarone, une surveillance appropriée doit également être effectuée chez les patients qui ont arrêté l'amiodarone au cours des derniers mois et qui doivent débuter un traitement par le siméprévir en association avec le sofosbuvir. Tous les patients traités par le siméprévir en association avec le sofosbuvir et recevant de l'amiodarone avec ou sans autres médicaments bradycardisants doivent également être avertis des symptômes de bradycardie et de troubles de la conduction, et ils doivent être informés de la nécessité de consulter un médecin en urgence s'ils ressentent ces symptômes. - Recherche d'un polymorphisme NS3 Q80K avant traitement chez les patients infectés par le VHC de génotype 1a . Siméprévir en association au sofosbuvir Chez les patients infectés par un VHC de génotype 1a avec cirrhose, la recherche de la présence d'un polymorphisme NS3 Q80K peut être envisagée avant l'initiation du traitement par siméprévir en association au sofosbuvir (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). Chez les patients infectés par un VHC de génotype 1a sans cirrhose, l'efficacité du siméprévir en association au sofosbuvir, à la durée de traitement recommandée de 12 semaines, n'a pas été impactée par la présence du polymorphisme NS3 Q80K (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). . Siméprévir en association au peg-interféron alfa et à la ribavirine L'efficacité du siméprévir en association au peg-interféron et à la ribavirine est réduite de façon importante chez les patients infectés par un VHC de génotype 1a présentant un polymorphisme NS3 Q80K avant traitement comparée à l'efficacité chez les patients infectés par un VHC de génotype 1a sans polymorphisme Q80K (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). La recherche de la présence d'un polymorphisme Q80K chez les patients infectés par le VHC de génotype 1a est fortement recommandée lorsqu'un traitement par siméprévir en association au peginterféron alfa et à la ribavirine est envisagé. Une alternative thérapeutique doit être envisagée chez les patients infectés par le VHC de génotype 1a présentant un polymorphisme Q80K ou lorsque le test n'est pas disponible. - Co-administration avec d'autres antiviraux à action directe contre le VHC Le siméprévir doit être co-administré avec d'autres médicaments antiviraux à action directe uniquement s'il est estimé que, d'après les données disponibles, les bénéfices sont supérieurs aux risques. Il n'existe pas de données étayant l'administration concomitante du siméprévir et du télaprevir ou du bocéprevir. Une résistance croisée avec ces inhibiteurs de la protéase du VHC est attendue et donc leur coadministration est déconseillée (voir aussi rubrique "Interactions"). - Siméprévir en association au peg-interféron alfa-2b Dans les études cliniques, les patients randomisés dans le groupe siméprévir en association au peginterféron alfa-2b et à la ribavirine ont obtenu des taux de RVS12 plus faibles et ont également présenté plus fréquemment un échappement virologique et une rechute virologique comparativement aux patients traités par siméprévir en association au peg-interféron alfa-2a et à la ribavirine (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). - Grossesse et contraception Le siméprévir ne doit être utilisé pendant la grossesse ou chez les femmes en âge de procréer que si le bénéfice justifie le risque. Les patientes en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception efficace (Cf. rubrique "Grossesse et allaitement"). Les contre-indications et mises en garde relatives à la grossesse et à la contraception relatives aux médicaments co-administrés s'appliquent également lorsqu'ils sont utilisés en association avec le siméprévir. La ribavirine peut provoquer des malformations congénitales et/ou un décès chez le foetus exposé. Par conséquent, il convient de prendre toutes les précautions nécessaires afin d'éviter une grossesse chez les patientes et les partenaires féminines des patients (Cf. rubrique "Grossesse et allaitement"). - Photosensibilité Des réactions de photosensibilité ont été observées avec le siméprévir en association à d'autres médicaments (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Les patients doivent être informés du risque de réactions de photosensibilité et de l'importance d'utiliser des mesures de protection solaire appropriées au cours du traitement par le siméprévir. L'exposition excessive au soleil et l'utilisation d'appareils de bronzage doivent être évitées durant le traitement par le siméprévir. En cas de survenue de réactions de photosensibilité, l'arrêt du traitement par le siméprévir doit être envisagé et les patients doivent être surveillés jusqu'à disparition des symptômes. - Eruption cutanée Des éruptions cutanées ont été observées avec le siméprévir en association à d'autres médicaments (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Les patients présentant des éruptions cutanées légères à modérées doivent être surveillés à la recherche d'une possible aggravation de l'éruption cutanée, incluant l'apparition de signes muqueux ou de symptômes systémiques. En cas d'éruption cutanée sévère, le siméprévir et les autres médicaments utilisés en association dans le traitement de l'HCC doivent être arrêtés et le patient doit être surveillé jusqu'à la disparition des symptômes. - Examens biologiques pendant le traitement par siméprévir, peg-interféron alfa et ribavirine Les taux d'ARN du VHC doivent être controlés aux semaines 4 et 12 et dès que cliniquement approprié (voir également les recommandations relatives à la durée du traitement et aux règles d'arrêt du traitement ; rubrique "Posologie et mode d'administration"). Il est recommandé d'utiliser une méthode quantitative sensible pour le suivi des taux d'ARN du VHC au cours du traitement. Concernant les analyses biologiques à effectuer avant, pendant et après le traitement, se reporter aux Résumés des Caractéristiques du Produit du peg-interféron alfa et de la ribavirine. Ceci inclut des bilans hématologique et biochimique (notamment un dosage des enzymes hépatiques et de la bilirubine) ainsi que des tests de grossesse. - Interactions avec d'autres médicaments La co-administration de siméprévir avec des inducteurs ou inhibiteurs modérés ou puissants du cytochrome P450 3A (CYP3A4) n'est pas recommandée car elle peut conduire respectivement à une diminution ou à une augmentation significative de l'exposition au siméprévir. Se reporter à la rubrique "Interactions" pour les informations sur les interactions avec d'autres médicaments. - Co-infection avec le virus de l'hépatite B (VHB) Des cas de réactivation du virus de l'hépatite B (VHB), dont certains avec issue fatale, ont été signalés pendant ou après le traitement par des agents antiviraux à action directe. Le dépistage du VHB doit être effectué chez tous les patients avant le début du traitement. Les patients co-infectés par le VHB/VHC sont à risque de réactivation du VHB et doivent donc être surveillés et pris en charge conformément aux recommandations cliniques en vigueur. - Patients transplantés La co-administration de siméprévir avec la ciclosporine n'est pas recommandée car elle conduit à une augmentation significative de l'exposition au siméprévir (Cf. rubrique "Interactions"). - Excipient des gélules de ce médicament Les gélules de ce médicament contiennent du lactose monohydraté. L'utilisation de ce médicament est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase de Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares). |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 20/07/2017 |
-> Médicaments affectant l'exposition au siméprévir La principale enzyme impliquée dans la biotransformation du siméprévir est le CYP3A4 (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques") et d'autres médicaments peuvent avoir des effets cliniquement significatifs sur la pharmacocinétique du siméprevir par l'intermédiaire du CYP3A4. La co-administration de siméprévir avec des inhibiteurs modérés ou puissants du CYP3A4 peut augmenter significativement l'exposition plasmatique au siméprévir, alors que la co-administration avec des inducteurs modérés ou puissants du CYP3A4 peut diminuer significativement l'exposition plasmatique au siméprévir et conduire à une perte d'efficacité (voir ci-dessous). Par conséquent, la co-administration de siméprévir avec des inhibiteurs ou inducteurs modérés ou puissants du CYP3A4 n'est pas recommandée. Le transport hépatique du siméprévir s'effectue par l'intermédiaire de l'OATP1B1/3. Les inhibiteurs de l'OATP1B1/3 tels que l'eltrombopag ou le gemfibrozil peuvent augmenter les concentrations plasmatiques du siméprévir. -> Médicaments affectés par l'utilisation du siméprévir Le siméprévir inhibe légèrement l'activité du CYP1A2 et l'activité du CYP3A4 intestinal, alors qu'il ne modifie pas l'activité du CYP3A4 hépatique. La co-administration de siméprévir avec des médicaments principalement métabolisés par le CYP3A4 peut entraîner une augmentation des concentrations plasmatiques de ces médicaments (voir ci-dessous). Le siméprévir n'a pas d'effet sur les CYP2C9, CYP2C19 ou CYP2D6 in vivo. Le siméprévir inhibe les transporteurs OATP1B1/3, P-gp et BCRP. La co-administration de siméprévir avec des médicaments qui sont des substrats des transporteurs OATP1B1/3, P-gp et BCRP peut entraîner une augmentation des concentrations plasmatiques de ces médicaments (voir ci-dessous). -> Patients traités par antivitamine K Etant donné que la fonction hépatique peut changer pendant le traitement avec le siméprévir, une surveillance étroite de l'INR (International Normalized Ratio) est recommandée. -> Interactions Les interactions établies et théoriques entre le siméprévir et certains médicaments sont répertoriées ci-dessous (les rapports des moyennes des moindres carrés avec intervalles de confiance à 90 % (IC 90 %) sont présentés (augmentation, diminution, absence de changement). Sauf mention contraire, les études d'interactions ont été effectuées chez des adultes sains à la posologie recommandée de 150 mg de siméprévir une fois par jour. Interactions et recommandations posologiques avec d'autres médicaments Médicaments par aire thérapeutique * ANALEPTIQUE + Caféine 150 mg Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : caféine ASC 1,26 (1,21-1,32) augmentation caféine Cmax 1,12 (1,06-1,19) absence de changement caféine Cmin non étudiée Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. * ANTIARYTHMIQUES + Digoxine 0,25 mg Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : digoxine ASC 1,39 (1,16-1,67) augmentation digoxine Cmax 1,31 (1,14-1,51) augmentation digoxine Cmin non étudiée (inhibition du transporteur P-gp) Recommandation pour la co-administration : Les concentrations de digoxine doivent être surveillées et utilisées pour l'adaptation de la dose de digoxine jusqu'à l'obtention de l'effet clinique recherché. + Amiodarone Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. De faibles augmentations des concentrations d'amiodarone peuvent être attendues lorsque l'amiodarone est administrée par voie orale. (inhibition du CYP3A4 intestinal) L'inhibition du CYP3A4 par l'amiodarone peut entraîner de faibles augmentations des concentrations du siméprévir. Recommandation pour la co-administration : Traitement ne contenant pas de sofosbuvir : Des précautions sont nécessaires et un suivi des concentrations de l'amiodarone et/ou une surveillance clinique (ECG etc...) sont recommandés lors d'une administration par voie orale. Traitement contenant du sofosbuvir : N'utiliser que si aucun traitement alternatif n'est disponible. Une surveillance étroite est recommandée en cas de co-administration de ce médicament avec le siméprévir en association avec le sofosbuvir (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). + Disopyramide + Flécaïnide + Mexilétine + Propafénone + Quinidine Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. De faibles augmentations des concentrations de ces antiarythmiques peuvent être attendues lorsqu'ils sont administrés par voie orale. (inhibition CYP3A4 intestinal) Recommandation pour la co-administration : Des précautions sont nécessaires et un dosage du médicament et/ou une surveillance clinique (ECG) sont recommandés lors d'une administration par voie orale. * ANTICOAGULANTS + Warfarine et autres antivitamines K Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Warfarine 10 mg S-warfarine ASC 1,04 (1,00-1,07) absence de changement S-warfarine Cmax 1,00 (0,94-1,06) absence de changement S-warfarine Cmin non étudiée Recommandation pour la co-administration : Bien qu'aucune modification de la pharmacocinétique de la warfarine ne soit attendue, une surveillance étroite de l'INR est recommandée avec tous les antivitamines K. Ceci est lié aux modifications potentielles de la fonction hépatique pendant le traitement avec le siméprévir. * ANTIEPILEPTIQUES + Carbamazépine + Oxcarbazépine + Phénobarbital + Phénytoïne Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Des diminutions significatives des concentrations plasmatiques du siméprévir sont attendues. (forte induction du CYP3A4) Recommandation pour la co-administration : Il n'est pas recommandé de co-administrer le siméprévir avec ces antiépileptiques car la co-administration peut conduire à une perte de l'effet thérapeutique du siméprévir. * ANTIDEPRESSEURS + Escitalopram 10 mg une fois par jour Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : escitalopram ASC 1,00 (0,97-1,03) absence de changement escitalopram Cmax 1,03 (0,99-1,07) absence de changement escitalopram Cmin 1,00 (0,95-1,05) absence de changement siméprévir ASC 0,75 (0,68-0,83) diminution siméprévir Cmax 0,80 (0,71-0,89) diminution siméprévir Cmin 0,68 (0,59-0,79) diminution Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. * ANTIHISTAMINIQUES + Astémizole + Terfénadine Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. L'astémizole et la terfénadine peuvent provoquer une arythmie cardiaque. De faibles augmentations des concentrations de ces antihistaminiques peuvent survenir. (inhibition du CYP3A4 intestinal) Recommandation pour la co-administration : La co-administration de siméprévir et de l'astémizole ou de la terfénadine n'est pas recommandée. * ANTI-INFECTIEUX - Antibiotiques - macrolides (administrés par voie systémique) + Azithromycine Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Compte-tenu des modalités d'élimination de l'azithromycine, aucune interaction n'est attendue entre l'azithromycine et le siméprévir. Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. + Erythromycine 500 mg trois fois par jour Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : érythromycine ASC 1,90 (1,53-2,36) augmentation érythromycine Cmax 1,59 (1,23-2,05) augmentation érythromycine Cmin 3,08 (2,54-3,73) augmentation siméprévir ASC 7,47 (6,41-8,70) augmentation siméprévir Cmax 4,53 (3,91-5,25) augmentation siméprévir Cmin 12,74 (10,19-15,93) augmentation (inhibition du CYP3A4 et du transporteur P-gp à la fois par l'érythromycine et le siméprévir) Recommandation pour la co-administration : La co-administration de siméprévir et de l'érythromycine par voie systémique n'est pas recommandée. + Clarithromycine + Télithromycine Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Des augmentations des concentrations plasmatiques du siméprévir sont attendues. (forte inhibition du CYP3A4) Recommandation pour la co-administration : La co-administration de siméprévir et de la clarithromycine ou de la télithromycine n'est pas recommandée. - Antifongiques (administration orale) + Itraconazole + Kétoconazole (*) + Posaconazole Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Des augmentations significatives des concentrations plasmatiques du siméprévir sont attendues. (forte inhibition du CYP3A4) Recommandation pour la co-administration : La co-administration de siméprévir et de l'itraconazole, du kétoconazole ou du posaconazole par voie systémique n'est pas recommandée. + Fluconazole + Voriconazole Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Des augmentations significatives des concentrations plasmatiques du siméprévir sont attendues. (inhibition légère à modérée du CYP3A4) Recommandation pour la co-administration : La co-administration de siméprévir et du fluconazole ou du voriconazole par voie systémique n'est pas recommandée. - Antimycobactériens + Bédaquiline Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Aucune interaction médicamenteuse cliniquement significative n'est attendue. Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. + Rifampicine (1) 600 mg une fois par jour Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : rifampicine ASC 1,00 (0,93-1,08) absence de changement rifampicine Cmax 0,92 (0,80-1,07) absence de changement rifampicine Cmin non étudiée 25-désacétyl-rifampicine ASC 1,24 (1,13-1,36) augmentation 25-désacétyl-rifampicine Cmax 1,08 (0,98-1,19) absence de changement 25-désacétyl-rifampicine Cmin non étudiée siméprévir ASC 0,52 (0,41-0,67) diminution siméprévir Cmax 1,31 (1,03-1,66) augmentation siméprévir Cmin 0,08 (0,06-0,11) diminution (induction du CYP3A4) Recommandation pour la co-administration : Il n'est pas recommandé de co-administrer le siméprévir avec la rifampicine car la co-administration peut conduire à une perte de l'effet thérapeutique du siméprévir. + Rifabutine + Rifapentine Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Des diminutions significatives des concentrations plasmatiques du siméprévir sont attendues. (induction du CYP3A4) Recommandation pour la co-administration : Il n'est pas recommandé de co-administrer le siméprévir avec la rifabutine ou la rifapentine car la co-administration peut conduire à une perte de l'effet thérapeutique du siméprévir. * ANTITUSSIFS + Dextrométhorphane (DXM) 30 mg Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : DXM ASC 1,08 (0,87-1,35) augmentation DXM Cmax 1,21 (0,93-1,57) augmentation DXM Cmin non étudiée dextrorphane ASC 1,09 (1,03-1,15) absence de changement dextrorphane Cmax 1,03 (0,93-1,15) absence de changement dextrorphane Cmin non étudiée Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. * INHIBITEURS CALCIQUES (administrés par voie orale) + Amlodipine + Bépridil + Diltiazem + Félodipine + Nicardipine + Nifédipine + Nisoldipine + Vérapamil Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Des augmentations des concentrations plasmatiques des inhibiteurs calciques peuvent survenir lorsqu'ils sont administrés par voie orale. (inhibition du CYP3A4 intestinal et du transporteur P-gp) L'inhibition légère du CYP3A4 par l'amlodipine et l'inhibition modérée du CYP3A4 par le diltiazem et le vérapamil peuvent entraîner une augmentation des concentrations du siméprévir. Recommandation pour la co-administration : Des précautions sont nécessaires et une surveillance clinique des patients est recommandée lorsque les inhibiteurs calciques sont administrés par voie orale. * GLUCOCORTICOIDES + Dexaméthasone (systémique) Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Des diminutions des concentrations plasmatiques du siméprévir sont attendues. (induction modérée du CYP3A4) Recommandation pour la co-administration : Il n'est pas recommandé de co-administrer le siméprévir avec la dexaméthasone systémique car la co-administration peut conduire à une perte de l'effet thérapeutique du siméprévir. + Budésonide + Fluticasone + Méthylprednisolone + Prednisone Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Aucune interaction médicamenteuse cliniquement significative n'est attendue. Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. * MEDICAMENTS GASTRO-INTESTINAUX - Anti-acides + Par exemple, hydroxyde d'aluminium ou de magnésium, carbonate de calcium Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Aucune interaction médicamenteuse cliniquement significative n'est attendue. Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. - Antagonistes des récepteurs H2 + Par exemple, cimétidine, nizatidine, ranitidine Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Aucune interaction médicamenteuse cliniquement significative n'est attendue. Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. - Agents propulsifs + Cisapride Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Le cisapride peut causer des arythmies cardiaques. Une augmentation des concentrations de cisapride est possible. (inhibition du CYP3A4 intestinal) Recommandation pour la co-administration : Il n'est pas recommandé de co-administrer le siméprévir avec le cisapride. - Inhibiteurs de la pompe à protons + Oméprazole 40 mg Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : oméprazole ASC 1,21 (1,00-1,46) augmentation oméprazole Cmax 1,14 (0,93-1,39) augmentation oméprazole Cmin non étudiée Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. + Dexlansoprazole + Esoméprazole + Lansoprazole + Pantoprazole + Rabéprazole Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Aucune interaction médicamenteuse cliniquement significative n'est attendue. Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. * MEDICAMENTS DU VHC - Antiviraux + Daclatasvir 60 mg une fois par jour Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : daclatasvir ASC 1,96 (1,84-2,10) augmentation daclatasvir Cmax 1,50 (1,39-1,62) augmentation daclatasvir Cmin 2,68 (2,42-2,98) augmentation siméprévir ASC 1,44 (1,32-1,56) augmentation siméprévir Cmax 1,39 (1,27-1,52) augmentation siméprévir Cmin 1,49 (1,33-1,67) augmentation Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique du daclatasvir ou du siméprévir n'est nécessaire. + Lédipasvir (2) 90 mg une fois par jour Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : lédipasvir ASC 1,75 (1,56-1,96) augmentation lédipasvir Cmax 1,64 (1,45-1,86) augmentation lédipasvir Cmin 1,74 (1,55-1,97) augmentation siméprévir ASC 3,05 (2,43-3,84) augmentation siméprévir Cmax 2,34 (1,95-2,81) augmentation siméprévir Cmin 4,69 (3,40-6,47) augmentation Recommandation pour la co-administration : Il n'est pas recommandé de co-administrer le siméprévir avec un médicament contenant du lédipasvir. + Sofosbuvir (3) 400 mg une fois par jour Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : sofosbuvir ASC 3,16 (2,25-4,44) augmentation sofosbuvir Cmax 1,91 (1,26-2,90) augmentation sofosbuvir Cmin non étudiée GS-331007 ASC 1,09 (0,87-1,37) absence de changement GS-331007 Cmax 0,69 (0,52-0,93) diminution GS-331007 Cmin non étudiée siméprévir ASC 0,94 (0,67-1,33) absence de changement siméprévir Cmax 0,96 (0,71-1,30) absence de changement siméprévir Cmin non étudiée Recommandation pour la co-administration : L'augmentation de l'exposition au sofosbuvir observée dans la sous-étude pharmacocinétique préliminaire n'est pas cliniquement significative. * PRODUITS DE PHYTOTHERAPIE + Chardon-Marie (Silybum marianum) Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Des augmentations des concentrations plasmatiques du siméprévir sont attendues. (inhibition du CYP3A4) Recommandation pour la co-administration : La co-administration de siméprévir et du chardon-Marie n'est pas recommandée. + Millepertuis (Hypericum perforatum) Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Des diminutions significatives des concentrations plasmatiques du siméprévir sont attendues. (induction du CYP3A4) Recommandation pour la co-administration : Il n'est pas recommandé de co-administrer du siméprévir avec des produits contenant du millepertuis car la co-administration peut conduire à une perte de l'effet thérapeutique du siméprévir. * MEDICAMENTS DU VIH - Antirétroviraux - Antagoniste du CCR5 + Maraviroc Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Aucune interaction médicamenteuse cliniquement significative n'est attendue. Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire pour l'un ou l'autre médicament en cas de co-administration de siméprévir et de maraviroc. - Antirétroviraux - inhibiteur de l'intégrase + Raltégravir 400 mg deux fois par jour Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : raltégravir ASC 1,08 (0,85-1,38) augmentation raltégravir Cmax 1,03 (0,78-1,36) absence de changement raltégravir Cmin 1,14 (0,97-1,36) augmentation siméprévir ASC 0,89 (0,81-0,98) absence de changement siméprévir Cmax 0,93 (0,85-1,02) absence de changement siméprévir Cmin 0,86 (0,75-0,98) diminution Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. - Antirétroviraux - inhibiteurs non-nucléosidiques de la transcriptase inverse (INNTI) + Efavirenz 600 mg une fois par jour Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : éfavirenz ASC 0,90 (0,85-0,95) absence de changement éfavirenz Cmax 0,97 (0,89-1,06) absence de changement éfavirenz Cmin 0,87 (0,81-0,93) absence de changement siméprévir ASC 0,29 (0,26-0,33) diminution siméprévir Cmax 0,49 (0,44-0,54) diminution siméprévir Cmin 0,09 (0,08-0,12) diminution (induction du CYP3A4) Recommandation pour la co-administration : Il n'est pas recommandé de co-administrer le siméprévir avec l'éfavirenz car la co-administration peut conduire à une perte de l'effet thérapeutique du siméprévir. + Rilpivirine 25 mg une fois par jour Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : rilpivirine ASC 1,12 (1,05-1,19) absence de changement rilpivirine Cmax 1,04 (0,95-1,13) absence de changement rilpivirine Cmin 1,25 (1,16-1,35) augmentation siméprévir ASC 1,06 (0,94-1,19) absence de changement siméprévir Cmax 1,10 (0,97-1,26) augmentation siméprévir Cmin 0,96 (0,83-1,11) absence de changement Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. + Autres INNTI (Delavirdine, Etravirine, Névirapine) Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Des modifications des concentrations plasmatiques du siméprévir sont attendues. (induction [étravirine ou névirapine] ou inhibition [delavirdine] du CYP3A4) Recommandation pour la co-administration : La co-administration de siméprévir et de la delavirdine, de l'étravirine ou de la névirapine n'est pas recommandée. - Antirétroviraux - inhibiteurs nucléosidiques ou nucléotidiques de la transcriptase inverse (IN(t)TI) + Fumarate de ténofovir disoproxil 300 mg une fois par jour Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : ténofovir ASC 1,18 (1,13-1,24) absence de changement ténofovir Cmax 1,19 (1,10-1,30) augmentation ténofovir Cmin 1,24 (1,15-1,33) augmentation siméprévir ASC 0,86 (0,76-0,98) diminution siméprévir Cmax 0,85 (0,73-0,99) diminution siméprévir Cmin 0,93 (0,78-1,11) diminution Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. + Autres INTI (Abacavir, Didanosine, Emtricitabine, Lamivudine, Stavudine, Zidovudine) Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Aucune interaction médicamenteuse cliniquement significative n'est attendue. Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. - Antirétroviraux - inhibiteurs de protéase (IP) + Darunavir/ritonavir (4) 800/100 mg une fois par jour Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : darunavir ASC 1,18 (1,11-1,25) augmentation darunavir Cmax 1,04 (0,99-1,10) absence de changement darunavir Cmin 1,31 (1,13-1,52) augmentation ritonavir ASC 1,32 (1,25-1,40) augmentation ritonavir Cmax 1,23 (1,14-1,32) augmentation ritonavir Cmin 1,44 (1,30-1,61) augmentation siméprévir ASC 2,59 (2,15-3,11) augmentation (*) siméprévir Cmax 1,79 (1,55-2,06) augmentation (*) siméprévir Cmin 4,58 (3,54-5,92) augmentation (*) (*) darunavir/ritonavir + siméprévir 50 mg comparé au siméprévir 150 mg seul (forte inhibition du CYP3A4) Recommandation pour la co-administration : La co-administration de siméprévir et du darunavir/ritonavir n'est pas recommandée. + Ritonavir (1) 100 mg deux fois par jour Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : siméprévir ASC 7,18 (5,63-9,15) augmentation siméprévir Cmax 4,70 (3,84-5,76) augmentation siméprévir Cmin 14,35 (10,29-20,01) augmentation (forte inhibition du CYP3A4) Recommandation pour la co-administration : La co-administration de siméprévir et du ritonavir n'est pas recommandée. + Autres IP du VIH boostés ou non par le ritonavir (par exemple, Atazanavir, (Fos)amprénavir, Lopinavir, Indinavir, Nelfinavir, Saquinavir, Tipranavir) Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Des modifications des concentrations plasmatiques du siméprévir sont attendues. (induction ou inhibition du CYP3A4) Recommandation pour la co-administration : La co-administration de siméprévir et d'un IP du VIH, avec ou sans ritonavir, n'est pas recommandée. + Médicaments contenant du cobicistat Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Des augmentations significatives des concentrations plasmatiques du siméprévir sont attendues. (forte inhibition du CYP3A4) Recommandation pour la co-administration : La co-administration de siméprévir et de médicaments contenant du cobicistat n'est pas recommandée. * INHIBITEURS DE L'HMG Co-A REDUCTASE + Rosuvastatine 10 mg Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : rosuvastatine ASC 2,81 (2,34-3,37) augmentation rosuvastatine Cmax 3,17 (2,57-3,91) augmentation rosuvastatine Cmin non étudiée (inhibition du transporteur OATP1B1/3, BCPR) Recommandation pour la co-administration : Lors de la co-administration avec le siméprévir, adapter avec précaution la posologie de la rosuvastatine, et utiliser la dose la plus faible nécessaire tout en surveillant la tolérance. + Pitavastatine + Pravastatine Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Des augmentations des concentrations plasmatiques de la pitavastatine et de la pravastatine sont attendues. (inhibition du transporteur OATP1B1/3) Recommandation pour la co-administration : Lors de la co-administration avec le siméprévir, adapter avec précaution la posologie de la pitavastatine et de la pravastatine, et utiliser la dose la plus faible nécessaire tout en surveillant la tolérance. + Atorvastatine 40 mg Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : atorvastatine ASC 2,12 (1,72-2,62) augmentation atorvastatine Cmax 1,70 (1,42-2,04) augmentation atorvastatine Cmin non étudiée 2-OH-atorvastatine ASC 2,29 (2,08-2,52) augmentation 2-OH-atorvastatine Cmax 1,98 (1,70-2,31) augmentation 2-OH-atorvastatine Cmin non étudié (inhibition du transporteur OATP1B1/3 et/ou du CYP3A4) L'inhibition de l'OATP1B1 par l'atorvastatine peut entraîner une augmentation des concentrations du siméprévir. Recommandation pour la co-administration : Lors de la co-administration avec le siméprévir, adapter avec précaution la posologie de l'atorvastatine, et utiliser la dose la plus faible nécessaire tout en surveillant la tolérance. + Simvastatine 40 mg Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : simvastatine ASC 1,51 (1,32-1,73) augmentation simvastatine Cmax 1,46 (1,17-1,82) augmentation simvastatine Cmin non étudiée simvastatine acide ASC 1,88 (1,63-2,17) augmentation simvastatine acide Cmax 3,03 (2,49-3,69) augmentation simvastatine acide Cmin non étudiée (inhibition du transporteur OATP1B1 et/ou du CYP3A4) Recommandation pour la co-administration : Lors de la co-administration avec le siméprévir, adapter avec précaution la posologie de la simvastatine, et utiliser la dose la plus faible nécessaire tout en surveillant la tolérance. + Lovastatine Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Des augmentations des concentrations plasmatiques de la lovastatine sont attendues. (inhibition du transporteur OATP1B1 et/ou du CYP3A4) Recommandation pour la co-administration : Lors de la co-administration avec le siméprévir, adapter avec précaution la posologie de la lovastatine, et utiliser la dose la plus faible nécessaire tout en surveillant la tolérance. + Fluvastatine Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Aucune interaction médicamenteuse cliniquement significative n'est attendue. Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. * CONTRACEPTIFS HORMONAUX + Ethinylestradiol et noréthindrone 0,035 mg une fois par jour / 1 mg une fois par jour Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : éthinylestradiol ASC 1,12 (1,05-1,20) absence de changement éthinylestradiol Cmax 1,18 (1,09-1,27) augmentation éthinylestradiol Cmin 1,00 (0,89-1,13) absence de changement noréthindrone ASC 1,15 (1,08-1,22) absence de changement noréthindrone Cmax 1,06 (0,99-1,14) absence de changement noréthindrone Cmin 1,24 (1,13-1,35) augmentation Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. * IMMUNOSUPPRESSEURS + Ciclosporine 100 mg Dose adaptée à chaque patient (5) Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : ciclosporine ASC 1,19 (1,13-1,26) augmentation ciclosporine Cmax 1,16 (1,07-1,26) augmentation ciclosporine Cmin non étudiée siméprévir ASC 5,81 (3,56-9,48) augmentation (6) siméprévir Cmax 4,74 (3,12-7,18) augmentation (6) siméprévir Cmin non étudié (6) (inhibition de l'OATP1B1/3, de la P-gp et du CYP3A par la ciclosporine) Recommandation pour la co-administration : La co-administration de siméprévir avec la ciclosporine n'est pas recommandée. + Tacrolimus 2 mg Dose adaptée à chaque patient (5) Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : tacrolimus ASC 0,83 (0,59-1,16) diminution tacrolimus Cmax 0,76 (0,65-0,90) diminution tacrolimus Cmin non étudiée siméprévir ASC 1,85 (1,18-2,91) augmentation (7) siméprévir Cmax 1,79 (1,22-2,62) augmentation (7) siméprévir Cmin non étudié (7) (inhibition de l'OATP1B1 par le tacrolimus) Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire pour l'un ou l'autre médicament en cas de co-administration avec le siméprévir. Une surveillance des concentrations sanguines de tacrolimus est recommandée. + Sirolimus Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Une légère augmentation ou diminution des concentrations plasmatiques du sirolimus peut se produire. Recommandation pour la co-administration : Une surveillance des concentrations sanguines de sirolimus est recommandée. * ANALGESIQUES OPIOIDES + Méthadone (8) 30-150 mg une fois par jour, dose personnalisée Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : R(-) méthadone ASC 0,99 (0,91-1,09) absence de changement R(-) méthadone Cmax 1,03 (0,97-1,09) absence de changement R(-) méthadone Cmin 1,02 (0,93-1,12) absence de changement Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. + Buprénorphine + Naloxone Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Aucune interaction médicamenteuse cliniquement significative n'est attendue. Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. * INHIBITEURS DE LA PHOSPHODIESTERASE DE TYPE 5 + Sildénafil + Tadalafil + Vardénafil Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. De faibles augmentations des concentrations des inhibiteurs de la PDE-5 sont attendues. (inhibition du CYP3A4 intestinal) L'inhibition légère de l'OATP1B1 par le sildénafil peut entrainer une légère augmentation des concentrations du siméprévir. Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire en cas de co-administration de siméprévir avec des doses de sildénafil, vardénafil, ou tadalafil indiquées pour le traitement des troubles de l'érection. Une adaptation posologique de l'inhibiteur de la PDE-5 peut être nécessaire en cas de co-administration de siméprévir et de sildénafil ou tadalafil administré de façon chronique aux doses utilisées pour le traitement de l'hypertension artérielle pulmonaire. Il convient d'envisager de débuter l'inhibiteur de PDE-5 à la dose la plus faible possible et d'augmenter si nécessaire la posologie en instaurant une surveillance clinique appropriée. * SEDATIFS/ANXIOLYTIQUES + Midazolam Oral : 0,075 mg/kg Intraveineux : 0,025 mg/kg Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Oral : midazolam ASC 1,45 (1,35-1,57) augmentation midazolam Cmax 1,31 (1,19-1,45) augmentation midazolam Cmin non étudiée Intraveineux : midazolam ASC 1,10 (0,95-1,26) augmentation midazolam Cmax 0,78 (0,52-1,17) diminution midazolam Cmin non étudiée (inhibition légère du CYP3A4 intestinal) Recommandation pour la co-administration : Les concentrations plasmatiques du midazolam après une administration intraveineuse sont restées inchangées puisque le siméprévir n'inhibe pas les enzymes du CYP3A4 hépatique. Des précautions sont nécessaires en cas de co-administration de ce médicament à indice thérapeutique étroit et de siméprévir par voie orale. + Triazolam (oral) Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. En raison de l'inhibition des enzymes du CYP3A4 intestinal, de faibles augmentations des concentrations en triazolam sont attendues. Recommandation pour la co-administration : Des précautions sont nécessaires en cas de co-administration de ce médicament à indice thérapeutique étroit et de siméprévir par voie orale. * STIMULANTS + Méthylphénidate Effets sur les concentrations médicamenteuses - rapports des moyennes des moindres carrés (IC 90 %) : Non étudié. Aucune interaction médicamenteuse cliniquement significative n'est attendue. Recommandation pour la co-administration : Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. Le sens des variations (augmentation, diminution, pas de changement) pour chaque paramètre pharmacocinétique est fondé sur l'intervalle de confiance à 90 % du rapport des moyennes géométriques, qui est, soit "compris dans" (pas de changement), soit inférieur à (diminution), soit supérieur à (augmentation) l'intervalle 0,80-1,25. (1) Cette étude d'interaction a été effectuée à une dose supérieure à la dose recommandée pour le siméprévir évaluant l'effet maximal sur le médicament co-administré. La recommandation posologique est applicable à la dose recommandée de 150 mg de siméprévir une fois par jour. (2) L'interaction entre le siméprévir et le médicament a été évaluée au cours d'une étude de phase 2 de pharmacocinétique chez 20 patients infectés par le VHC. (3) Comparaison fondée sur les témoins historiques. L'interaction entre le siméprévir et le médicament a été évaluée lors d'une sous-étude pharmacocinétique d'une étude de phase 2 menée chez 22 patients infectés par le VHC. (4) La dose du siméprévir dans cette étude d'interaction était de 50 mg en co-administration avec le darunavir/ritonavir, comparativement à 150 mg dans le groupe de traitement par siméprévir seul. (5) Dose adaptée à chaque patient à la libre appréciation du médecin, selon la pratique clinique locale. (6) Comparaison basée sur des témoins historiques. Données issues d'une étude de phase 2 chez 9 patients après transplantation hépatique infectés par le VHC. (7) Comparaison basée sur des témoins historiques. Données issues d'une étude de phase 2 chez 11 patients après transplantation hépatique infectés par le VHC. (8) L'interaction entre le siméprévir et le médicament a été évaluée dans une étude pharmacocinétique chez des adultes présentant une dépendance aux opioïdes sous traitement d'entretien stable par méthadone. (*) Kétoconazole : en attente d'une prochaine classification ATC. |
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Référence(s) officielle(s):  Rectificatif AMM européenne 20/07/2017 |
Effet spécialité |
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Niveau(x) de risque |
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* Grossesse Il n'existe pas d'étude appropriée et bien contrôlée sur l'utilisation du siméprévir chez la femme enceinte. Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence des effets sur la reproduction (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). Le siméprévir ne doit être utilisée chez la femme enceinte ou en âge de procréer que si le bénéfice justifie le risque. Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception efficace. Comme le siméprévir doit être co-administré avec d'autres médicaments pour le traitement de l'HCC, les contre-indications et les mises en garde applicables à ces médicaments s'appliquent également lorsqu'ils sont utilisés en association avec le siméprévir (Cf. rubrique "Contre-indications"). Des effets tératogènes et/ou embryocides significatifs ont été observés chez toutes les espèces animales exposées à la ribavirine. Il convient de prendre toutes les précautions nécessaires afin d'éviter une grossesse chez les patientes et les partenaires féminines des patients. Les patientes en âge de procréer et les patients de sexe masculin ayant une partenaire en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement par la ribavirine et après la fin du traitement par la ribavirine, selon la durée recommandée dans le Résumé des Caractéristiques du Produit de la ribavirine. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 20/07/2017 |
Recommandations |
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* Femme en âge de procréer Des effets tératogènes et/ou embryocides significatifs ont été observés chez toutes les espèces animales exposées à la ribavirine. Il convient de prendre toutes les précautions nécessaires afin d'éviter une grossesse chez les patientes et les partenaires féminines des patients. Les patientes en âge de procréer et les patients de sexe masculin ayant une partenaire en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement par la ribavirine et après la fin du traitement par la ribavirine, selon la durée recommandée dans le Résumé des Caractéristiques du Produit de la ribavirine. * Fertilité Il n'existe pas de données sur l'effet du siméprévir sur la fertilité chez l'Homme. Aucun effet sur la fertilité n'a été observé au cours des études chez l'animal (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 20/07/2017 |
Passage dans le lait | Pas d'information |
Fixation protéique | Pas d'information |
Rapport concentration lait/plasma maternels | Pas d'information |
Concentration dans 100 ml de lait maternel | Pas d'information |
Recommandations |
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* Allaitement On ne sait pas si le siméprévir ou ses métabolites sont excrétés dans le lait maternel. Après administration à des rates allaitantes, le siméprévir a été détecté dans le plasma des rats allaités, probablement en raison de l'excrétion du siméprévir dans le lait maternel (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). Un risque pour les nouveau-nés/nourrissons ne peut être exclu. Une décision doit être prise soit d'interrompre l'allaitement, soit d'interrompre/de s'abstenir du traitement avec le siméprévir, en prenant en compte le bénéfice de l'allaitement pour l'enfant au regard du bénéfice du traitement pour la mère. |
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Référence(s) officielle(s): | Rectificatif AMM européenne 20/07/2017 |
Recommandations |
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Le siméprévir n'a aucun effet ou qu'un effet négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. L'association du siméprévir avec d'autres médicaments dans le traitement de l'HCC peut affecter l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. Se reporter aux Résumés des Caractéristiques du Produit des médicaments co-administrés pour leur effet potentiel sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 20/07/2017 |
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
Site internet: www.ansm.sante.fr.
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