RIXATHON 500MG/50ML SOL INJ FL
RIXATHON 500 MG, SOLUTION A DILUER POUR PERFUSION
Fiche(s) d'identité interopérable
Historique des références officielles
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Cette monographie a été revue le : 10/02/2023
Mises en garde et précautions d'emploi
- Résumé des Caractéristiques du Produit (RCP)
Terrain N° 1 TROUBLE NEUROLOGIQUE
    Niveau(x)
    • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
    • RISQUE DE LEUCOENCEPHALOPATHIE (LEMP)
    • SUSPENDRE LE TRAITEMENT
    • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
    • SURVEILLANCE NEUROLOGIQUE
    • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
    Référence(s) officielle(s)
    CIM 10
    • Maladies du système nerveux 06

    Terrain N° 2 TROUBLE COGNITIF
      Niveau(x)
      • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
      • RISQUE DE LEUCOENCEPHALOPATHIE (LEMP)
      • SUSPENDRE LE TRAITEMENT
      • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
      • SURVEILLANCE NEUROLOGIQUE
      • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
      Référence(s) officielle(s)
      CIM 10
      • Autres troubles mentaux dus à une lésion cérébrale et un dysfonctionnement cérébral, et à une affection somatique F06
      • Autres symptômes et signes relatifs aux fonctions cognitives et à la conscience R41

      Terrain N° 3 TROUBLE PSYCHIQUE
        Niveau(x)
        • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
        • RISQUE DE LEUCOENCEPHALOPATHIE (LEMP)
        • SUSPENDRE LE TRAITEMENT
        • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
        • SURVEILLANCE NEUROLOGIQUE
        • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
        Référence(s) officielle(s)
        CIM 10
        • Troubles mentaux et du comportement 05

        Terrain N° 4 TROUBLE PSYCHIATRIQUE
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE DE LEUCOENCEPHALOPATHIE (LEMP)
          • SUSPENDRE LE TRAITEMENT
          • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
          • SURVEILLANCE NEUROLOGIQUE
          • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
          Référence(s) officielle(s)
          CIM 10
          • Troubles mentaux et du comportement 05

          Terrain N° 5 AFFECTION MALIGNE
          • MASSE TUMORALE IMPORTANTE
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE DE SYNDROME RELARGAGE CYTOKINES
          • RISQUE DE SYNDROME DE LYSE TUMORALE
          • UTILISER AVEC PRUDENCE
          • METTRE EN BALANCE BENEFICES ET RISQUES
          • ADAPTER LA POSOLOGIE
          • RESPECTER LES MODALITES D'ADMINISTRATION
          • SURVEILLANCE CLINIQUE
          • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
          • SURVEILLANCE HEMATOLOGIQUE
          • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
          • Cf. RECONSTITUTION/ADMINISTRATION
          • PE/MG LIEE A UNE INDICATION
          Référence(s) officielle(s)
          CIM 10
          • Tumeurs malignes C00-C97
          • Non attribuable ..

          Terrain N° 6 HEMOPATHIE MALIGNE
          • NB ELEVE DE CELLULE MALIGNE CIRCULANTE
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE DE SYNDROME RELARGAGE CYTOKINES
          • RISQUE DE SYNDROME DE LYSE TUMORALE
          • UTILISER AVEC PRUDENCE
          • METTRE EN BALANCE BENEFICES ET RISQUES
          • ADAPTER LA POSOLOGIE
          • RESPECTER LES MODALITES D'ADMINISTRATION
          • SURVEILLANCE CLINIQUE
          • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
          • SURVEILLANCE HEMATOLOGIQUE
          • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
          • Cf. RECONSTITUTION/ADMINISTRATION
          • PE/MG LIEE A UNE INDICATION
          Référence(s) officielle(s)
          CIM 10
          • Tumeurs malignes primitives ou présumées primitives des tissus lymphoïde, hématopoïétique et apparentés C81-C96
          • Non attribuable ..

          Terrain N° 7 LEUCEMIE
          • LEUCEMIE LYMPHOIDE
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE DE SYNDROME RELARGAGE CYTOKINES
          • RISQUE DE SYNDROME DE LYSE TUMORALE
          • UTILISER AVEC PRUDENCE
          • METTRE EN BALANCE BENEFICES ET RISQUES
          • ADAPTER LA POSOLOGIE
          • RESPECTER LES MODALITES D'ADMINISTRATION
          • SURVEILLANCE CLINIQUE
          • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
          • SURVEILLANCE HEMATOLOGIQUE
          • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
          • Cf. RECONSTITUTION/ADMINISTRATION
          • PE/MG LIEE A UNE INDICATION
          Référence(s) officielle(s)
          CIM 10
          • Leucémie lymphoïde C91
          • Leucémie myéloïde C92
          • Leucémie monocytaire C93
          • Autres leucémies à cellules précisées C94
          • Leucémie à cellules non précisées C95

          Terrain N° 8 INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
          • INSUFF RESPIRATOIRE ATCD PERSONNEL
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE DE SYNDROME RELARGAGE CYTOKINES
          • RISQUE DE SYNDROME DE LYSE TUMORALE
          • RISQUE DE DIMINUTION DE L'EFFICACITE
          • UTILISER AVEC PRUDENCE
          • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
          • Cf. RECONSTITUTION/ADMINISTRATION
          • SURVEILLANCE CLINIQUE
          • PE/MG LIEE A UNE INDICATION
          Référence(s) officielle(s)
          CIM 10
          • Insuffisance respiratoire, non classée ailleurs J96
          • Antécédents personnels de maladies de l'appareil respiratoire Z870

          Terrain N° 9 ATTEINTE RESPIRATOIRE
          • INFILTRAT PULMONAIRE TUMORAL
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE DE SYNDROME RELARGAGE CYTOKINES
          • RISQUE DE SYNDROME DE LYSE TUMORALE
          • RISQUE DE DIMINUTION DE L'EFFICACITE
          • UTILISER AVEC PRUDENCE
          • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
          • Cf. RECONSTITUTION/ADMINISTRATION
          • SURVEILLANCE CLINIQUE
          • PE/MG LIEE A UNE INDICATION
          Référence(s) officielle(s)
          CIM 10
          • Maladies de l'appareil respiratoire 10
          • Non attribuable ..

          Terrain N° 10 AUTRE TRAITEMENT EN COURS
          • TRT PAR ANTIHYPERTENSEUR
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE D'HYPOTENSION
          • METTRE EN BALANCE BENEFICES ET RISQUES
          • PE/MG LIEE A UNE INDICATION
          Référence(s) officielle(s)
          CIM 10
          • Non concerné .

          Terrain N° 11 ATTEINTE CARDIOVASCULAIRE
          • ATTEINTE CARDIOVASCULAIRE ATCD PERSONNEL
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE D'ANGOR
          • RISQUE DE TROUBLE DU RYTHME
          • RISQUE D'INSUFFISANCE CARDIAQUE
          • RISQUE D'INFARCTUS MYOCARDE
          • SURVEILLANCE CLINIQUE
          • UTILISER AVEC PRUDENCE
          Référence(s) officielle(s)
          CIM 10
          • Maladies de l'appareil circulatoire 09
          • Antécédents personnels de maladies de l'appareil circulatoire Z867

          Terrain N° 12 TRAITEMENT ANTERIEUR
          • TRT PAR CARDIOTOXIQUE
          • TRT PAR CHIMIOTHERAPIE
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE D'ANGOR
          • RISQUE D'INFARCTUS MYOCARDE
          • RISQUE DE TROUBLE DU RYTHME
          • RISQUE D'INSUFFISANCE CARDIAQUE
          • SURVEILLANCE CLINIQUE
          Référence(s) officielle(s)
          CIM 10
          • Non concerné .

          Terrain N° 13 NEUTROPENIE
            Niveau(x)
            • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
            • UTILISER AVEC PRUDENCE
            • SURVEILLANCE CLINIQUE
            • SURVEILLANCE HEMATOLOGIQUE
            Référence(s) officielle(s)
            CIM 10
            • Agranulocytose D70

            Terrain N° 14 AGRANULOCYTOSE
              Niveau(x)
              • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
              • UTILISER AVEC PRUDENCE
              • SURVEILLANCE CLINIQUE
              • SURVEILLANCE HEMATOLOGIQUE
              Référence(s) officielle(s)
              CIM 10
              • Agranulocytose D70

              Terrain N° 15 THROMBOPENIE
                Niveau(x)
                • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                • UTILISER AVEC PRUDENCE
                • SURVEILLANCE CLINIQUE
                • SURVEILLANCE HEMATOLOGIQUE
                Référence(s) officielle(s)
                CIM 10
                • Purpura thrombopénique idiopathique D693
                • Autres thrombopénies primaires D694
                • Thrombopénie secondaire D695
                • Thrombopénie, sans précision D696

                Terrain N° 16 DEFICIT IMMUNITAIRE
                • DEFICIT IMMUNITAIRE CONGENITAL
                • DEFICIT IMMUNITAIRE ACQUIS (VIH)
                • DEFICIT IMMUNITAIRE SECONDAIRE SAUF VIH
                • HYPOGAMMAGLOBULINEMIE
                Niveau(x)
                • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                • RISQUE D'INFECTION
                • UTILISER AVEC PRUDENCE
                • Cf. CONTRE INDICATIONS
                • Cf. EFFETS INDESIRABLES
                Référence(s) officielle(s)
                CIM 10
                • Certaines anomalies du système immunitaire D80-D89
                • Autres anomalies du système immunitaire, non classées ailleurs D89
                • Autres déficits immunitaires D84
                • Déficit immunitaire associé à d'autres anomalies majeures D82
                • Déficit immunitaire avec déficit prédominant de la production d'anticorps D80
                • Déficits immunitaires combinés D81
                • Hypogammaglobulinémie (non familiale) D801
                • Hypogammaglobulinémie héréditaire D800
                • Maladies dues au virus de l'immunodéficience humaine [VIH] B20-B24
                • Non attribuable ..

                Terrain N° 17 HEPATITE
                • HEPATITE B CHRONIQUE LATENTE
                • HEPATITE ANTECEDENT PERSONNEL
                Niveau(x)
                • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                • RISQUE D'AGGRAVATION DE LA PATHOLOGIE
                • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
                • SURVEILLANCE VIROLOGIQUE
                • SURVEILLANCE CLINIQUE
                • RECHERCHE SEROLOGIQUE
                • FAIRE TRAITEMENT ADAPTE AVANT ADMINIST
                Référence(s) officielle(s)
                CIM 10
                • Hépatite virale B15-B19
                • Maladie alcoolique du foie K70
                • Maladie toxique du foie K71
                • Hépatite chronique, non classée ailleurs K73
                • Atteintes hépatiques au cours de maladies infectieuses et parasitaires classées ailleurs K770
                • Antécédents personnels de maladies de l'appareil digestif Z871
                • Hépatite virale chronique B avec agent delta B180
                • Hépatite virale chronique B sans agent delta B181

                Terrain N° 18 VACCINATION
                • VACCINATION PAR VACCINS VIVANTS
                Niveau(x)
                • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                • PAS DE DONNEES POUR CE TERRAIN
                • UTILISATION NON RECOMMANDEE
                Référence(s) officielle(s)
                CIM 10
                • Non concerné .
                • Effets indésirables d'autres vaccins et substances biologiques précisés Y598
                • Effets indésirables de vaccin ou substance biologique, sans précision Y599

                Terrain N° 19 AUTRE TRAITEMENT EN COURS
                • TRT PAR VACCIN VIRAL INACTIVE
                Niveau(x)
                • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                • UTILISER AVEC PRUDENCE
                • METTRE EN BALANCE BENEFICES ET RISQUES
                Référence(s) officielle(s)
                CIM 10
                • Non concerné .

                Terrain N° 20 ATTEINTE CUTANEE
                • ATTEINTE CUTANEE SEVERE
                Niveau(x)
                • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                • Cf. EFFETS INDESIRABLES
                • ARRETER LE TRAITEMENT
                • RISQUE DE SYNDROME DE STEVENS JOHNSON (SSJ)
                • RISQUE DE SYNDROME DE LYELL (NET)
                Référence(s) officielle(s)
                CIM 10
                • Affections de la peau et du tissu cellulaire souscutané liées à une irradiation L55-L59

                Terrain N° 21 INSUFFISANCE CARDIAQUE
                • INSUFF CARDIAQUE MODEREE CLASSE III
                Niveau(x)
                • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                • PAS DE DONNEES POUR CE TERRAIN
                Référence(s) officielle(s)
                CIM 10
                • Insuffisance cardiaque I50

                Terrain N° 22 CARDIOPATHIE ISCHEMIQUE
                  Niveau(x)
                  • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                  • RISQUE D'AGGRAVATION DE LA PATHOLOGIE
                  • UTILISER AVEC PRUDENCE
                  • SURVEILLANCE CLINIQUE
                  • SURVEILLANCE CARDIAQUE
                  Référence(s) officielle(s)
                  CIM 10
                  • Cardiopathies ischémiques I20-I25

                  Terrain N° 23 ANGOR
                    Niveau(x)
                    • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                    • RISQUE D'AGGRAVATION DE LA PATHOLOGIE
                    • UTILISER AVEC PRUDENCE
                    • SURVEILLANCE CLINIQUE
                    • SURVEILLANCE CARDIAQUE
                    Référence(s) officielle(s)
                    CIM 10
                    • Angine de poitrine I20

                    Terrain N° 24 INSUFFISANCE CORONARIENNE
                      Niveau(x)
                      • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                      • RISQUE D'AGGRAVATION DE LA PATHOLOGIE
                      • UTILISER AVEC PRUDENCE
                      • SURVEILLANCE CLINIQUE
                      • SURVEILLANCE CARDIAQUE
                      Référence(s) officielle(s)
                      CIM 10
                      • Angine de poitrine I20
                      • Autres cardiopathies ischémiques aiguës I24

                      Terrain N° 25 PATHOLOGIE CORONARIENNE
                        Niveau(x)
                        • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                        • UTILISER AVEC PRUDENCE
                        • SURVEILLANCE CLINIQUE
                        • RISQUE D'AGGRAVATION DE LA PATHOLOGIE
                        • SURVEILLANCE CARDIAQUE
                        Référence(s) officielle(s)
                        CIM 10
                        • Cardiopathies ischémiques I20-I25

                        Terrain N° 26 INFECTION
                        • INFECTION MODEREE
                        Niveau(x)
                        • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                        • SURVEILLANCE CLINIQUE
                        • FAIRE TRAITEMENT ADAPTE
                        Référence(s) officielle(s)
                        CIM 10
                        • Infection bactérienne, siège non précisé A49
                        • Maladies infectieuses, autres et non précisées B99

                        Terrain N° 27 AUTRE TRAITEMENT EN COURS
                        • TRT PAR IMMUNOSUPPRESSEUR
                        • TRT PAR CHIMIOTHERAPIE
                        Niveau(x)
                        • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                        • RISQUE DE LEUCOENCEPHALOPATHIE (LEMP)
                        • UTILISER AVEC PRUDENCE
                        Référence(s) officielle(s)
                        CIM 10
                        • Non concerné .

                        Terrain N° 28 AUTRE TRAITEMENT EN COURS
                        • TRT PAR ANTI TNF
                        Niveau(x)
                        • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                        • PAS DE DONNEES POUR CE TERRAIN
                        • Cf. INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES
                        • RISQUE D'INFECTION
                        • SURVEILLANCE CLINIQUE
                        • PE/MG LIEE A UNE INDICATION
                        Référence(s) officielle(s)
                        CIM 10
                        • Non concerné .

                        Terrain N° 29 POLYARTHRITE RHUMATOIDE
                          Niveau(x)
                          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                          • RISQUE DE NEOPLASIE / TUMEUR
                          • Cf. EFFETS INDESIRABLES
                          • PE/MG LIEE A UNE INDICATION
                          Référence(s) officielle(s)
                          CIM 10
                          • Polyarthrite rhumatoïde séropositive M05
                          • Autres polyarthrites rhumatoïdes M06

                          Terrain N° 30 FEMME EN AGE DE PROCREER
                            Niveau(x)
                            • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                            • UTILISER UNE CONTRACEPTION EFFICACE
                            • Cf. GROSSESSE ET ALLAITEMENT
                            En raison de la présence durable du rituximab chez les patients présentant une déplétion en lymphocytes B, les femmes en âge de procréer devront utiliser des mesures contraceptives efficaces tout au long du traitement par ce médicament et pendant 12 mois après son arrêt.
                            Référence(s) officielle(s)
                            CIM 10
                            • Non concerné .

                            Terrain N° 31 QUEL QUE SOIT LE TERRAIN
                              Niveau(x)
                              • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                              • SURVEILLANCE CLINIQUE
                              • RISQUE DE LEUCOENCEPHALOPATHIE (LEMP)
                              • PREVENIR LE MALADE
                              • RISQUE DE SYNDROME RELARGAGE CYTOKINES
                              • RISQUE D'HYPOTENSION
                              • RISQUE DE BRONCHOSPASME / ASTHME
                              • Cf. EFFETS INDESIRABLES
                              • RISQUE DE REACTION ANAPHYLACTOIDE
                              • RISQUE DE REACTION ALLERGIQUE
                              • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
                              • SURVEILLANCE HEMATOLOGIQUE
                              • RISQUE D'INFECTION
                              • FAIRE EXAMEN CLINIQUE AVANT TRAITEMENT
                              • RISQUE DE NEOPLASIE / TUMEUR
                              • RISQUE DE SYNDROME DE LYELL (NET)
                              • RISQUE DE SYNDROME DE STEVENS JOHNSON (SSJ)
                              • RISQUE DE REACTION CUTANEE
                              • RISQUE DE SYNDROME DE LYSE TUMORALE
                              • PREMEDICATION SOUHAITABLE
                              • RECHERCHE SEROLOGIQUE
                              • PRESENCE D'EXCIPIENT(S) A EFFET NOTOIRE
                              • TENIR COMPTE PRESENCE SODIUM
                              Référence(s) officielle(s)
                              • Rectificatif AMM européenne 17/08/2022
                              CIM 10
                              • Non concerné .

                              Terrain N° 32 NOURRISSON
                              • NOURRISSON DE PLUS DE 6 MOIS
                              Niveau(x)
                              • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                              • TOLERANCE NON ETABLIE
                              • EFFICACITE NON ETABLIE
                              • Cf. POSOLOGIE
                              • PE/MG LIEE A UNE INDICATION

                              Référence(s) officielle(s)
                              • Rectificatif AMM européenne 17/08/2022
                              CIM 10
                              • Non concerné .

                              Terrain N° 33 ENFANT
                                Niveau(x)
                                • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                                • TOLERANCE NON ETABLIE
                                • EFFICACITE NON ETABLIE
                                • Cf. POSOLOGIE
                                • PE/MG LIEE A UNE INDICATION
                                Référence(s) officielle(s)
                                • Rectificatif AMM européenne 17/08/2022
                                CIM 10
                                • Non concerné .

                                Terrain N° 34 ADULTE JEUNE (15-17 ANS)
                                • ADULTE JEUNE DE MOINS DE 18 ANS
                                Niveau(x)
                                • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                                • TOLERANCE NON ETABLIE
                                • EFFICACITE NON ETABLIE
                                • PE/MG LIEE A UNE INDICATION
                                • Cf. POSOLOGIE
                                Référence(s) officielle(s)
                                • Rectificatif AMM européenne 17/08/2022
                                CIM 10
                                • Non concerné .




                                - Commentaires du RCP :
                                * Traçabilité

                                Afin d'améliorer la traçabilité des médicaments biologiques, le nom de spécialité et le numéro de lot du produit administré doivent être clairement enregistrés.


                                * Leucoencéphalopathie multifocale progressive

                                Tous les patients traités par rituximab pour une polyarthrite rhumatoïde, une GPA, une PAM ou un pemphigus vulgaris doivent recevoir la carte de surveillance du patient lors de chaque perfusion. La carte de surveillance du patient contient des informations importantes de tolérance concernant l'augmentation du risque potentiel d'infections dont la leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP).

                                De très rares cas de LEMP avec issue fatale ont été rapportés après utilisation de rituximab. Les patients doivent être surveillés à intervalles réguliers, afin de détecter l'apparition ou l'aggravation de symptômes ou de signes neurologiques évocateurs d'une LEMP. En cas de suspicion d'une LEMP, la prochaine administration de rituximab devra être suspendue tant que le diagnostic de LEMP n'a pas été exclu. Le médecin devra examiner soigneusement le patient pour déterminer si les symptômes indiquent un dysfonctionnement neurologique, et si c'est le cas, il devra déterminer si ces symptômes sont évocateurs d'une LEMP. Un examen par un neurologue doit être envisagé.

                                En cas de doute, des examens complémentaires comprenant une IRM de préférence avec produit de contraste, un dosage de l'ADN du virus JC dans le liquide céphalo-rachidien (LCR) et des examens neurologiques répétés, devront être envisagés.

                                Le médecin devra être particulièrement attentif à l'apparition de symptômes évocateurs d'une LEMP que le patient pourrait ne pas remarquer (ex : symptômes cognitifs, neurologiques ou psychiatriques). Il conviendra de conseiller aux patients d'informer leur conjoint ou le personnel soignant de leur traitement, ceux-ci pouvant remarquer des symptômes dont les patients ne sont pas conscients.

                                En cas d'apparition d'une LEMP, le traitement par rituximab devra être définitivement arrêté.

                                Après reconstitution du système immunitaire chez les patients immunodéprimés ayant une LEMP, on a observé une stabilisation ou une amélioration de leur état. Actuellement on ne sait pas si la détection précoce d'une LEMP et l'arrêt du traitement par rituximab peuvent conduire à une telle stabilisation ou amélioration.


                                * Lymphomes non-hodgkiniens et leucémie lymphoïde chronique

                                - Réactions liées à la perfusion
                                Rituximab est associé à des réactions liées à la perfusion (RLPs), probablement imputables au relargage de cytokines et/ou d'autres médiateurs chimiques.

                                Des RLPs sévères d'évolution fatale ont été rapportées chez des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde depuis la commercialisation. Dans la polyarthrite rhumatoïde, la plupart des événements liés à la perfusion rapportés dans les essais cliniques était d'intensité faible à modérée. Les symptômes les plus fréquents sont les réactions allergiques comme: céphalée, prurit, irritation pharyngée, rougeur, rash, urticaire, hypertension et fièvre. En général, la proportion de patients ayant expérimenté une réaction à la perfusion a été plus importante suivant la première perfusion que suivant la deuxième perfusion de n'importe quel cycle de traitement. L'incidence des réactions liées à la perfusion diminue avec le nombre de cycles (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Les réactions décrites sont habituellement réversibles après la diminution de la vitesse ou l'arrêt de la perfusion de rituximab et l'administration d'un antipyrétique, d'un antihistaminique et éventuellement d'oxygénothérapie, d'une réhydratation veineuse ou injection intraveineuse de bronchodilatateurs et de glucocorticoïdes si nécessaire. Les patients atteints de pathologie cardiaque préexistante et ceux ayant présenté des effets indésirables cardio-pulmonaires doivent être étroitement surveillés. En fonction de la sévérité des RLPs et de leur prise en charge, le traitement par rituximab devra être interrompu ou arrêté définitivement. Dans la plupart des cas, la perfusion peut reprendre à une vitesse deux fois moindre (par exemple, de 100 mg/h à 50 mg/h) après disparition complète des symptômes.

                                Les médicaments nécessaires au traitement de telles réactions, par exemple adrénaline, antihistaminiques et glucocorticoïdes, doivent être disponibles pour usage immédiat dans l'éventualité d'une réaction allergique pendant la perfusion de rituximab.

                                On ne dispose d'aucune donnée concernant la tolérance de rituximab chez les patients atteints d'insuffisance cardiaque modérée (NYHA classe III) ou de maladie cardiaque sévère non contrôlée. Chez les patients traités par rituximab, certaines pathologies cardiaques ischémiques pré-existantes sont devenues symptomatiques, comme l'angor ; une fibrillation et un flutter auriculaires ont également été observés. Par conséquent, avant tout traitement par rituximab chez les patients ayant des antécédents cardiaques connus et ceux ayant présenté des effets indésirables cardio-pulmonaires, il convient de prendre en considération le risque de complications cardio-vasculaires résultant de réactions liées à la perfusion et d'assurer une surveillance étroite pendant l'administration.
                                L'éventualité d'une hypotension pendant la perfusion de rituximab doit faire envisager l'arrêt du traitement antihypertenseur 12 heures avant la perfusion.

                                Les RLPs au cours des études cliniques chez les patients atteints de granulomatose avec polyangéite, de polyangéite microscopique et de pemphigus vulgaris ont été conformes à celles observées chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde (Cf. rubrique "Effets indésirables").

                                - Troubles cardiaques
                                Des cas d'angine de poitrine, d'arythmie tels que flutter et fibrillation auriculaire, d'insuffisance cardiaque et/ou d'infarctus du myocarde ont été observés chez des patients traités par rituximab. En conséquence, les patients présentant des antécédents de pathologies cardiaques et/ou ayant reçu une chimiothérapie cardiotoxique doivent être étroitement surveillés.


                                - Toxicité hématologique
                                Bien que rituximab en monothérapie ne soit pas myélosuppressif, il est recommandé d'être prudent quant au traitement de patients ayant un nombre de neutrophiles < 1,5 x 10 puissance 9/L et/ou un nombre de plaquettes < 75 x 10 puissance 9/L, car l'expérience clinique dans cette population est limitée. Rituximab a été utilisé sans induire de myélotoxicité chez 21 patients qui avaient eu une autogreffe de moelle osseuse et chez d'autres groupes à risque avec des réserves médullaires vraisemblablement réduites.

                                Pendant le traitement par rituximab, une surveillance régulière de la numération formule sanguine, incluant une numération des neutrophiles et des plaquettes, doit être réalisée.


                                - Infections
                                Des infections graves, dont certaines d'issue fatale, peuvent apparaître au cours du traitement par rituximab (Cf. rubrique "Effets idnésirables"). Rituximab ne doit pas être administré en cas d'infection sévère, évolutive (par exemple tuberculose, septicémie et infections opportunistes, Cf. rubrique "Contre-indications").

                                La prudence est recommandée en cas d'utilisation de rituximab chez des patients ayant des antécédents d'infection chronique ou récidivante ou une pathologie sous-jacente prédisposant aux infections graves (Cf. rubrique "Effets indésirables").

                                Des cas de réactivation d'hépatite B ont été rapportés chez les patients recevant rituximab, y compris des hépatites fulminantes ayant entraîné le décès. La majorité des patients était également exposée à une chimiothérapie cytotoxique. Des informations limitées issues d'une étude dans la LLC chez des patients en rechute ou réfractaires suggèrent que le traitement par rituximab peut également aggraver l'évolution des primo-infections par le virus de l'hépatite B. Un dépistage du virus de l'hépatite B (VHB) doit être réalisé chez tous les patients avant l'initiation d'un traitement par rituximab. Cela doit inclure au minimum le dépistage de l'AgHBs et de l'Ac anti-HBc. Ces tests sérologiques peuvent être complétés par la recherche d'autres marqueurs appropriés, conformément aux recommandations actuelles. Les patients présentant une hépatite B active ne doivent pas être traités par rituximab. Les patients présentant une sérologie positive pour l'hépatite B (AgHBs et/ou Ac anti-HBc) doivent être adressés à un médecin spécialisé en hépatologie avant l'instauration du traitement et doivent être surveillés et pris en charge conformément aux recommandations médicales actuelles afin de prévenir une réactivation du virus de l'hépatite B.

                                De très rares cas de leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP) ont été rapportés lors de l'utilisation de rituximab dans le LNH et la LLC après sa mise sur le marché (Cf. rubrique "Effets indésirables"). La majorité des patients avait reçu rituximab en association à une chimiothérapie ou lors d'une greffe de cellules souches hématopoïétiques.


                                - Immunisation
                                La tolérance d'une immunisation par des vaccins viraux vivants, faisant suite à un traitement par rituximab n'a pas été étudiée chez les patients atteints de LNH et de LLC et la vaccination par des vaccins viraux vivants n'est pas recommandée. Les patients traités par rituximab peuvent recevoir des vaccins non vivants. Cependant, les taux de réponse à ces vaccins non vivants peuvent être réduits.
                                Dans une étude non randomisée, des patients atteints d'un lymphome non-hodgkinien de bas grade en rechute, qui ont reçu rituximab en monothérapie, ont présenté un taux de réponse à la vaccination plus faible comparé à celui du groupe contrôle (sujets en bonne santé, non traités), après un rappel contre le tétanos (16 % vs 81 %) et après un néoantigène “hémocyanine de patelle” (4 % vs 76 %, réponse évaluée par une augmentation 2 fois supérieure du titre d'anticorps). Etant donné les similitudes entre les deux pathologies, des résultats semblables pour les patients atteints de LLC sont présumés, mais cela n'a pas été étudié dans les essais cliniques.

                                Les titres d'anticorps moyens avant traitement contre un groupe d'antigènes (Streptococcus pneumoniae, influenza A, les oreillons, la rubéole, la varicelle) ont été maintenus pendant au moins 6 mois après traitement par rituximab.


                                - Réactions cutanées
                                Des réactions cutanées sévères telles que syndrome de Lyell (nécrolyse épidermique toxique) et syndrome de Stevens-Johnson ont été rapportées, dont certaines d'issue fatale (Cf. rubrique "Effets indésirables"). En cas de survenue d'un tel événement, pour lequel une relation avec rituximab est suspectée, le traitement doit être définitivement arrêté.

                                - Population pédiatrique
                                Les données disponibles chez les patients âgés de moins de 3 ans sont limitées. Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques" pour plus d'informations.


                                * Polyarthrite rhumatoïde, granulomatose avec polyangéite et polyangéite microscopique

                                - Patients naïfs de méthotrexate (MTX) atteints de polyarthrite rhumatoïde
                                L'utilisation de rituximab n'est pas recommandée chez les patients naïfs de MTX car un rapport bénéfice-risque favorable n'a pas été établi.

                                - Réactions liées à la perfusion
                                Rituximab est associé à des réactions liées à la perfusion (RLPs), probablement imputables au relargage de cytokines et/ou d'autres médiateurs chimiques. Une prémédication par un analgésique/antipyrétique et un antihistaminique doit être systématiquement administrée avant chaque perfusion de rituximab. Dans la polyarthrite rhumatoïde, une prémédication par glucocorticoïdes doit également être administrée avant chaque perfusion de rituximab, afin de réduire la fréquence et la sévérité des RLPs (Cf. rubrique "Posologie" et rubrique "Effets indésirables").

                                Des RLPs sévères d'évolution fatale ont été rapportées chez des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde depuis la commercialisation. Dans la polyarthrite rhumatoïde, la plupart des événements liés à la perfusion rapportés dans les essais cliniques était d'intensité faible à modérée. Les symptômes les plus fréquents sont les réactions allergiques comme: céphalée, prurit, irritation pharyngée, rougeur, rash, urticaire, hypertension et fièvre. En général, la proportion de patients ayant expérimenté une réaction à la perfusion a été plus importante suivant la première perfusion que suivant la deuxième perfusion de n'importe quel cycle de traitement. L'incidence des réactions liées à la perfusion diminue avec le nombre de cycles (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Les réactions décrites sont habituellement réversibles après la diminution de la vitesse ou l'arrêt de la perfusion de rituximab et l'administration d'un antipyrétique, d'un antihistaminique et éventuellement d'oxygénothérapie, d'une réhydratation veineuse ou injection intraveineuse de bronchodilatateurs et de glucocorticoïdes si nécessaire. Les patients atteints de pathologie cardiaque préexistante et ceux ayant présenté des effets indésirables cardio-pulmonaires doivent être étroitement surveillés. En fonction de la sévérité des RLPs et de leur prise en charge, le traitement par rituximab devra être interrompu ou arrêté définitivement. Dans la plupart des cas, la perfusion peut reprendre à une vitesse deux fois moindre (par exemple, de 100 mg/h à 50 mg/h) après disparition complète des symptômes.

                                Les médicaments nécessaires au traitement de telles réactions, par exemple adrénaline, antihistaminiques et glucocorticoïdes, doivent être disponibles pour usage immédiat dans l'éventualité d'une réaction allergique pendant la perfusion de rituximab.

                                On ne dispose d'aucune donnée concernant la tolérance de rituximab chez les patients atteints d'insuffisance cardiaque modérée (NYHA classe III) ou de maladie cardiaque sévère non contrôlée. Chez les patients traités par rituximab, certaines pathologies cardiaques ischémiques pré-existantes sont devenues symptomatiques, comme l'angor ; une fibrillation et un flutter auriculaires ont également été observés. Par conséquent, avant tout traitement par rituximab chez les patients ayant des antécédents cardiaques connus et ceux ayant présenté des effets indésirables cardio-pulmonaires, il convient de prendre en considération le risque de complications cardio-vasculaires résultant de réactions liées à la perfusion et d'assurer une surveillance étroite pendant l'administration. L'éventualité d'une hypotension pendant la perfusion de rituximab doit faire envisager l'arrêt du
                                traitement antihypertenseur 12 heures avant la perfusion.

                                Les RLPs au cours des études cliniques chez les patients atteints de GPA, de PAM et de pemphigus vulgaris ont été conformes à celles observées chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde au cours des études cliniques et depuis la commercialisation. (Cf. rubrique "Effets indésirables").

                                - Troubles cardiaques
                                Des cas d'angine de poitrine, d'arythmie tels que flutter et fibrillation auriculaire, d'insuffisance cardiaque et/ou d'infarctus du myocarde ont été observés chez des patients traités par rituximab. En conséquence, les patients présentant des antécédents de pathologies cardiaques doivent être étroitement surveillés (Cf. la rubrique "Réactions liées à la perfusion" ci-dessus).

                                - Infections
                                Du fait du mécanisme d'action de rituximab et des connaissances sur le rôle important des lymphocytes B dans le maintien de la réponse immunitaire normale, les patients présentent un risque d'infection augmenté après un traitement par rituximab (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). Des infections graves, dont certaines d'issue fatale, peuvent apparaître au cours du traitement par rituximab (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Rituximab ne doit pas être administré en cas d'infection sévère, évolutive (par exemple tuberculose, septicémie et infections opportunistes, Cf. rubrique "Contre-indications") ou d'immunodépression sévère (par exemple, lorsque les taux de CD4 ou CD8 sont très faibles). La prudence est recommandée en cas d'utilisation de rituximab chez des patients ayant des antécédents d'infection chronique ou récidivante ou une pathologie sous-jacente prédisposant aux infections graves, par exemple les hypogammaglobulinémies (Cf. rubrique "Effets indésirables"). La mesure du taux d'immunoglobulines est recommandée avant l'initiation d'un traitement par rituximab.

                                L'apparition de signes d'infection après un traitement par rituximab doit motiver un examen immédiat des patients et l'instauration d'un traitement approprié. Avant d'être retraités par rituximab, les patients devront être examinés afin de rechercher un éventuel risque d'infection.

                                De très rares cas de leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP) fatale ont été rapportés après utilisation de rituximab dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde et d'autres maladies auto-immunes, dont le lupus érythémateux disséminé (LED) et les vascularites.

                                - Infections par le virus de l'hépatite B
                                Des cas de réactivation d'hépatite B, comprenant des cas d'évolution fatale, ont été rapportés chez des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde, de GPA et de PAM traités par rituximab.

                                Un dépistage du virus de l'hépatite B (VHB) doit être réalisé chez tous les patients avant l'initiation d'un traitement par rituximab. Cela doit inclure au minimum le dépistage de l'AgHBs et de l'Ac anti- HBc. Ces tests sérologiques peuvent être complétés par la recherche d'autres marqueurs appropriés, conformément aux recommandations actuelles. Les patients présentant une hépatite B active ne doivent pas être traités par rituximab. Les patients présentant une sérologie positive pour l'hépatite B (AgHBs et/ou Ac anti-HBc) doivent être adressés à un médecin spécialisé en hépatologie avant l'instauration du traitement et doivent être surveillés et pris en charge conformément aux recommandations médicales actuelles afin de prévenir une réactivation du virus de l'hépatite B.

                                - Neutropénie tardive
                                Faire une numération des neutrophiles avant chaque cycle de rituximab et régulièrement jusqu'à 6 mois après l'arrêt du traitement, ainsi que devant des signes ou des symptômes d'infection (Cf. rubrique "Effets indésirables").

                                - Réactions cutanées
                                Des réactions cutanées sévères telles que syndrome de Lyell (nécrolyse épidermique toxique) et syndrome de Stevens-Johnson ont été rapportées, dont certaines d'issue fatale (Cf. rubrique "Effets indésirables"). En cas de survenue d'un tel événement, pour lequel une relation avec rituximab est suspectée, le traitement doit être définitivement arrêté.

                                - Immunisation
                                Avant de débuter un traitement par rituximab, le médecin devra vérifier le statut vaccinal du patient et suivre les recommandations en vigueur relatives au bilan de vaccination. Toutes les vaccinations devront être terminées au moins 4 semaines avant la première administration de rituximab.

                                La tolérance d'une immunisation par des vaccins viraux vivants faisant suite à un traitement par rituximab n'a pas été étudiée. Par conséquent, la vaccination par des vaccins viraux vivants n'est pas recommandée au cours du traitement par rituximab, ou en cas de déplétion en lymphocytes B périphériques.

                                Les patients traités par rituximab peuvent recevoir des vaccins non vivants. Cependant, les taux de réponse à ces vaccins non vivants peuvent être réduits. Dans un essai randomisé, des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde traités par rituximab et méthotrexate ont présenté comparativement aux patients sous méthotrexate seul une réponse comparable après un rappel contre le tétanos (39 % vs 42 %), un taux de réponse réduit au vaccin polysaccharide pneumococcique (43 % vs 82 % sur au moins 2 sérotypes d'anticorps pneumococciques), ainsi qu'au néoantigène “hémocyanine de patelle” (47 % vs 93 %), 6 mois après le traitement par rituximab. Si une vaccination par un vaccin non vivant s'avère nécessaire au cours du traitement par rituximab, celle-ci devra être terminée au moins 4 semaines avant le prochain traitement par rituximab.

                                Au cours de l'expérience de traitements répétés par rituximab sur un an dans la polyarthrite rhumatoïde, les proportions de patients présentant des titres d'anticorps positifs contre Streptococcus pneumoniae, les virus de la grippe, oreillons, rubéole, varicelle et contre la toxine tétanique ont généralement été similaires à celles observées avant traitement.

                                - Utilisation concomitante ou séquentielle d'autres traitements de fond dans la polyarthrite rhumatoïde
                                L'utilisation concomitante de rituximab avec d'autres traitements de la polyarthrite rhumatoïde que ceux mentionnés aux rubriques indication et posologie n'est pas recommandée.

                                Les données de tolérance, issues des essais cliniques, relatives à l'utilisation d'autres traitements de fond (y compris des anti-TNF ou d'autres agents biologiques) après un traitement par rituximab sont limitées (Cf. rubrique "Interactions"). Les données disponibles indiquent que le taux d'infection cliniquement pertinente est inchangé lorsque de tels traitements sont utilisés chez des patients préalablement traités par rituximab. Cependant, les patients doivent être étroitement surveillés à la recherche de signes d'infection s'ils reçoivent des agents biologiques et/ou d'autres traitements de fond après leur traitement par rituximab.

                                - Tumeur maligne
                                Les agents immunomodulateurs peuvent augmenter le risque de tumeur maligne. Cependant, les données disponibles ne suggèrent pas d'augmentation du risque de malignité pour le rituximab utilisé dans les indications auto-immunes au-delà du risque de malignité déjà associé à la maladie autoimmune sous-jacente.

                                * Excipients

                                Ce médicament contient 2,3 mmol (ou 52,6 mg) de sodium par flacon de 10 mL et 11,5 mmol (ou 263,2 mg) par flacon de 50 mL, ce qui équivaut à 2,6% (pour un flacon de 10 mL) et 13,2% (pour un flacon de 50 mL) de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium par adulte.
                                Référence(s) officielle(s) Rectificatif AMM européenne 17/08/2022




                                Autres sources d'information
                                Terrain N° 35 REGIME HYPOSODE STRICT
                                  Niveau(x)
                                  • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                                  • TENIR COMPTE PRESENCE SODIUM
                                  • EXCIPIENT A EFFET NOTOIRE LISTE ANSM/EMA
                                  Ce médicament contient du sodium comme excipient.

                                  * Voie d'administration : Orale et parentérale

                                  - Seuil : > ou = 1 mmol par "dose administrée"

                                  - Information pour la notice
                                  Ce médicament contient x mg de sodium (composant principal du sel de cuisine/table) par <dose><volume unitaire>. Cela équivaut à y% de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé de sodium pour un adulte.

                                  - Commentaires
                                  En cas d'administration parentérale à dosage variable (par exemple, en fonction du poids), la teneur en sodium
                                  peut être exprimée en mg par flacon.
                                  Libellé proposé pour le RCP : "Ce médicament contient x mg de sodium par <dose>, ce qui équivaut à y% de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium par adulte."


                                  * Voie d'administration : Orale et parentérale

                                  - Seuil : 17 mmol (391 mg) à la dose quotidienne maximale

                                  - Information pour la notice
                                  Parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien si vous avez besoin de <Z> ou de plus de <dose> quotidiennement pendant une période prolongée, surtout si vous devez suivre un régime à faible teneur en sel (sodium).

                                  - Commentaires
                                  Ceci s'applique uniquement aux produits pour lesquels la posologie indiquée permet une prise quotidienne pendant
                                  plus d'un mois ou une utilisation répétée de plus de deux jours par semaine.
                                  17 mmol (391 mg) représente environ 20% de l'apport alimentaire quotidien maximal adulte recommandé par
                                  l'OMS de 2 g de sodium et est considéré comme un dosage "élevé". Ceci vaut également pour les enfants, pour lesquels l'apport quotidien maximal est censé être proportionnel à celui des adultes et calculé selon les besoins
                                  énergétiques.
                                  <Doses Z> reflète le nombre minimum de doses pour lesquelles le seuil de 17 mmol (391 mg) de sodium est
                                  atteint/dépassé. Arrondir au nombre entier le plus proche.
                                  Pour le libellé du RCP, veuillez vous reporter à la recommandation du PRAC: "1.3. Sodium-containing effervescent, dispersible and soluble medicines – Cardiovascular events" (EMA/PRAC/234960/2015).

                                  Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020
                                  CIM 10
                                  • Non concerné .

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