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Voie(s) d'administration : |
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Comprimé. |
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Excipient(s) |
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Précision(s) composition : |
Un comprimé contient 10 mg d'évérolimus. - Excipients à effet notoire : chaque comprimé contient 297 mg de lactose. |
Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM européenne 24/06/2022
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Classe pharmacothérapeutique : Agents anti-néoplasiques, inhibiteurs de protéine kinase, Code ATC : L01EG02 * Mécanisme d'action L'évérolimus est un inhibiteur sélectif de mTOR (mammalian target of rapamycin –cible de la rapamycine chez les mammifères). mTOR est une sérine-thréonine kinase dont l'activité est connue comme étant dérégulée dans de nombreux cas de cancers humains. L'évérolimus se lie à la protéine intracellulaire FKBP-12 formant un complexe qui inhibe l'activité du mTOR complex-1 (mTORC1). L'inhibition du mTORC1 dont la voie de signalisation interfère avec la traduction et la synthèse de protéines par réduction de l'activité de la protéine kinase ribosomale S6 (S6K1) et avec la protéine 4EBP-1 se liant au facteur d'élongation 4 (eucaryotic elongation factor) qui régule les protéines impliquées dans le cycle cellulaire, l'angiogénèse et la glycolyse. Un substrat de mTORC1, S6K1 phosphoryle le domaine fonctionnel du récepteur aux oestrogènes, responsable d'une activation du récepteur indépendante du ligand. L'évérolimus réduit les taux du facteur de croissance de l'endothélium vasculaire (VEGF) qui potentialise le processus d'angiogénèse tumoral. L'évérolimus est un inhibiteur puissant de la croissance et de la prolifération des cellules tumorales, des cellules endothéliales, des fibroblastes et des cellules musculaires lisses vasculaires et il a été montré qu'il réduisait la glycolyse des cellules tumorales in vitro et in vivo. * Efficacité et sécurité clinique -> Cancer du sein avancé avec récepteurs hormonaux positifs BOLERO-2 (étude CRAD001Y2301), est une étude de phase III, multicentrique, randomisée, en double aveugle d'évérolimus + exémestane versus placebo + exémestane, conduite chez des femmes ménopausées atteintes d'un cancer du sein avancé, avec récepteurs aux oestrogènes positifs, HER2/neu négatif, présentant une récidive ou une progression de la maladie après un traitement antérieur par létrozole ou anastrozole. La randomisation a été stratifiée en fonction de la sensibilité documentée à l'hormonothérapie antérieure et en fonction de la présence de métastases viscérales. La sensibilité à l'hormonothérapie antérieure a été définie comme (1) un bénéfice clinique documenté (réponse complète [RC], réponse partielle [RP], stabilisation de la maladie > ou = 24 semaines) après au moins une hormonothérapie antérieure au stade avancé ou (2) au moins 24 mois d'hormonothérapie adjuvante avant la récidive. Le critère principal d'évaluation de l'étude était la survie sans progression (SSP) évaluée selon les critères RECIST (Response Evaluation Criteria in Solid Tumors), sur la base de l'évaluation de l'investigateur (radiologie locale). Les analyses de confirmation de la SSP se sont basées sur une évaluation radiologique centralisée indépendante. Les critères secondaires d'évaluation étaient la survie globale (SG), le taux de réponse objective, le taux de bénéfice clinique, la tolérance, la modification de la qualité de vie (QdV) et le délai de détérioration de l'indice de performance (PS, Performance Status) ECOG (Eastern Cooperative Oncology Group performance). Au total, 724 patientes ont été randomisées selon un rapport de 2:1 pour recevoir l'association évérolimus (10 mg par jour) + exémestane (25 mg par jour) (n = 485) ou l'association placebo + exémestane (25 mg par jour) (n = 239). Au moment de l'analyse finale de la SG, la durée médiane du traitement par évérolimus était de 24,0 semaines (intervalle 1,0-199,1 semaines). La durée médiane du traitement par exémestane était plus longue dans le bras évérolimus + exémestane avec 29,5 semaines (1,0-199,1) comparée à 14,1 semaines (1,0-156,0) dans le bras placebo + exémestane. Les résultats d'efficacité pour le critère principal d'évaluation ont été obtenus à partir de l'analyse finale de la SSP (Cf. Données ci-dessous). Il n'y a pas eu de cross over possible vers le groupe évérolimus + exémestane pour les patientes du groupe placebo + exémestane au moment de la progression de la maladie. Résultats d'efficacité de BOLERO-2 Analyse Evérolimus (a) n = 485 - Médiane de survie sans progression (mois) (IC à 95 %) . Evaluation radiologique selon l'investigateur : 7,8 (6,9 à 8,5) . Evaluation radiologique indépendante :11,0 (9,7 à 15,0) - Médiane de survie globale (mois) (IC à 95 %) . Médiane de survie globale : 31,0 (28,0 à 34,6) - Meilleure réponse globale (%) (IC à 95 %) . Taux de réponse objective (b) : 12,6 % (9,8 à 15,9) . Taux de bénéfice clinique (c) : 51,3 % (46,8 à 55,9) Placebo (a) n = 239 - Médiane de survie sans progression (mois) (IC à 95 %) . Evaluation radiologique selon l'investigateur : 3,2 (2,8 à 4,1) . Evaluation radiologique indépendante :4,1 (2,9 à 5,6) - Médiane de survie globale (mois) (IC à 95 %) . Médiane de survie globale : 26,6 (22,6 à 33,1) - Meilleure réponse globale (%) (IC à 95 %) . Taux de réponse objective (b) : 1,7 % (0,5 à 4,2) . Taux de bénéfice clinique (c) : 26,4 % (20,9 à 32,4) HR (rapport de risque) - Médiane de survie sans progression (mois) (IC à 95 %) . Evaluation radiologique selon l'investigateur : 0,45 (0,38 à 0,54) . Evaluation radiologique indépendante :0,38 (0,31 à 0,48) - Médiane de survie globale (mois) (IC à 95 %) . Médiane de survie globale : 0,89 (0,73 à 1,10) - Meilleure réponse globale (%) (IC à 95 %) . Taux de réponse objective (b) : n/a (d) . Taux de bénéfice clinique (c) : n/a (d) Valeur de p - Médiane de survie sans progression (mois) (IC à 95 %) . Evaluation radiologique selon l'investigateur : < 0,0001 . Evaluation radiologique indépendante :< 0,0001 - Médiane de survie globale (mois) (IC à 95 %) . Médiane de survie globale : 0,1426 - Meilleure réponse globale (%) (IC à 95 %) . Taux de réponse objective (b) : < 0,0001 (e) . Taux de bénéfice clinique (c) : < 0,0001 (e) (a) Plus exémestane (b) Taux de réponse objective = proportion de patientes avec une réponse complète ou partielle (c) Taux de bénéfice clinique = proportion de patientes avec une réponse complète ou partielle ou une stabilisation de la maladie > ou = 24 semaines (d) Sans objet (e) La valeur de p est obtenue à partir du test exact de Cochran-Mantel-Haenszel en utilisant une version stratifiée du test de permutation de Cochran-Armitage. BOLERO-2- Coubes de Kaplan-Meier de la Survie Sans Progression (évaluation radiologique de l'investigateur) (Cf.RCP) L'effet estimé du traitement sur la SSP a été confirmé par une analyse en sous-groupes de la SSP, évaluée par l'investigateur. Pour tous les sous-groupes analysés (âge, sensibilité à un précédent traitement hormonal, nombre d'organes atteints, statut des lésions uniquement osseuses lors de l'inclusion et présence de métastases viscérales, et à travers les sous-groupes pronostics et démographiques majeurs), un bénéfice en faveur du traitement évérolimus + exémestane a été observé avec un risque relatif estimé compris entre 0,25 et 0,60 versus placebo + exémestane. Aucune différence en terme de délai de détérioration des scores des domaines fonctionnels et globaux du QLQ-C30 > ou = 5 % n'a été observée entre les deux groupes de traitement BOLERO-6 (Etude CRAD001Y2201), une étude de phase II ouverte, triple-bras, randomisée, d'évérolimus en association avec de l'exémestane versus évérolimus seul versus capécitabine dans le traitement des femmes ménopausées atteintes d'un cancer du sein localement avancé, récidivant, ou métastatique après récidive ou progression sous létrozole ou anastrozole, positifs aux récepteurs hormonaux et négatifs au HER2/neu. L'objectif principal de l'étude était d'estimer le HR de la SSP pour le traitement évérolimus + exémestane versus évérolimus seul. L'objectif secondaire clé était d'estimer le HR de la SSP pour le traitement évérolimus + exémestane versus capécitabine. Les autres critères secondaires incluaient l'évaluation de la SG, le taux de réponse objective, le taux de bénéfice clinique, la tolérance, le délai de détérioration de l'indice de performance ECOG, le délai de détérioration de la QdV, et la satisfaction au traitement (Treatment Satisfaction Questionnaire for Medication, TSQM). Aucune comparaison statistique formelle n'a été prévue. Un total de 309 patients ont été randomisés suivant un ratio de 1 :1 :1 pour l'association d'évérolimus (10 mg par jour) + exémestane (25 mg par jour) (n=104), évérolimus seul (10 mg par jour) (n=103), ou capécitabine (une dose de 1 250 mg/m2 deux fois par jour pendant 2 semaines suivi d'une semaine de repos, par cycle de 3 semaines) (n=102). Au moment de la collecte des données, la durée moyenne du traitement était de 27,5 semaines (intervalle 2,0-165,7) dans le bras évérolimus + exémestane, 20 semaines (1,3-145,0) dans le bras évérolimus, et 26,7 semaines (1,4-177,1) dans le bras capécitabine. Le résultat de l'analyse finale de la SSP avec 154 évènements de SSP observés, basé sur une évaluation locale par les investigateurs, a montré un HR estimé de 0,74 (IC à 90% : 0,57 ; 0,97) en faveur du bras évérolimus + exémestane par rapport au bras évérolimus. La SSP médiane était respectivement de 8,4 mois (IC à 90% : 6,6 ; 9,7) et de 6,8 mois (IC à 90% : 5,5 ; 7,2). BOLERO-6 – Courbes de Kaplan-Meier de la Survie Sans Progression (évaluation radiologique de l'investigateur) (Cf. RCP) Concernant le critère secondaire clé relatif à la SSP, basé sur un nombre total de 148 évènements de SSP observés, le HR estimé était de 1,26 (IC à 90% : 0,96 ; 1,66) en faveur de la capécitabine par rapport au bras évérolimus + exémestane en association. Les résultats du critère secondaire de SG n'étaient pas cohérents avec les résultats observés sur le critère primaire de la SSP, avec une tendance observée en faveur du bras évérolimus seul. Le HR estimé était de 1,27 (IC à 90% : 0,95 ; 1,70) concernant la comparaison de la SG dans le bras évérolimus seul par rapport au bras évérolimus+exémestane. Le HR estimé pour la comparaison de la SG dans le bras évérolimus + exémestane en association par rapport au bras capécitabine était de 1,33 (IC à 90% : 0,99 ; 1,79). -> Tumeurs neuroendocrines d'origine pancréatiques (pNET) RADIANT-3 (étude CRAD001C2324), étude de phase III, multicentrique, randomisée, en double aveugle de ce médicament plus meilleur traitement de soutien (BSC - best supportive care) versus placebo plus BSC chez des patients atteints de pNET avancées, a démontré un bénéfice clinique statistiquement significatif de ce médicament versus placebo par un allongement de 2,4 fois de la survie sans progression (SSP) médiane (11,04 mois versus 4,6 mois), (HR 0,35; IC à 95 % : 0,27, 0,45; p < 0,0001) (voir Données 3 et figure Cf. RCP). L'étude RADIANT-3 a été conduite chez des patients atteints de pNET avancées bien et moyennement différenciées dont la maladie avait progressé au cours des 12 mois précédents. Le traitement par analogues de la somatostatine était autorisé comme pouvant faire partie du meilleur traitement de soutien. Le critère principal d'évaluation de l'étude était la SSP évaluée au moyen des critères RECIST (Response Evaluation Criteria in Solid Tumors). Après progression radiologique documentée, la levée de l'aveugle pour les patients concernés pouvait être faite par l'investigateur. Les patients randomisés dans le groupe placebo ont alors pu recevoir ce médicament en ouvert. Les critères secondaires d'évaluation étaient la sécurité d'emploi, le taux de réponse objective, la durée de la réponse et la survie globale (SG). Au total, 410 patients ont été randomisés en 1:1 pour recevoir soit ce médicament 10 mg/jour (n = 207) soit un placebo (n = 203). Les caractéristiques démographiques étaient bien équilibrées (âge médian 58 ans, hommes 55 %, Caucasiens 78,5 %). Cinquante-huit pour cent des patients des deux groupes avaient reçu un traitement systémique antérieur. La durée moyenne du traitement en aveugle était de 37,3 semaines (intervalle 1,1-129,9 semaines) pour les patients qui ont reçu l'évérolimus et 16,1 semaines (intervalle 0,4-146,0 semaines) pour ceux qui ont reçu un placebo. Suite à une progression de la maladie ou après levée de l'aveugle, 172 des 203 patients (84,7%) initialement randomisés dans le bras placebo ont reçu Afinitor en ouvert. La durée médiane de traitement en ouvert était de 47,7 semaines pour l'ensemble des patients; 67,1 semaines chez les 53 patients randomisés dans le bras évérolimus qui ont reçu évérolimus en ouvert et 44,1 semaines chez les 172 patients randomisés dans le bras placebo qui ont reçu évérolimus en ouvert. RADIANT-3 – Résultats en termes d'efficacité - Evérolimus (n = 207) . Médiane de survie sans progression (mois) (IC à 95 %) .. Evaluation radiologique de l'investigateur : 11,04 (8,41, 13,86) .. Evaluation radiologique indépendante : 13,67 (11,17, 18,79) . Médiane de survie globale (mois) (IC à 95 %) .. Médiane de survie globale : 44,02 (35,61, 51,75) - Placebo (n = 203) . Médiane de survie sans progression (mois) (IC à 95 %) .. Evaluation radiologique de l'investigateur : 4,60 (3,06, 5,39) .. Evaluation radiologique indépendante : 5,68 (5,39, 8,31) . Médiane de survie globale (mois) (IC à 95 %) .. Médiane de survie globale : 37,68 (29,14, 45,77) - HR (rapport de risque) (IC à 95 %) . Médiane de survie sans progression (mois) (IC à 95 %) .. Evaluation radiologique de l'investigateur : 0,35 (0,27, 0,45) .. Evaluation radiologique indépendante : 0,38 (0,28, 0,51) . Médiane de survie globale (mois) (IC à 95 %) .. Médiane de survie globale : 0,94 (0,73, 1,20) - Valeur de p . Médiane de survie sans progression (mois) (IC à 95 %) .. Evaluation radiologique de l'investigateur : < 0,0001 .. Evaluation radiologique indépendante : < 0,0001 . Médiane de survie globale (mois) (IC à 95 %) .. Médiane de survie globale : 0,300 RADIANT-3 – Courbes de Kaplan-Meier de la Survie Sans Progression (cf. RCP) -> Tumeurs neuroendocrines avancées d'origine gastro-intestinale ou pulmonaire RADIANT-4 (étude CRAD001T2302), étude de phase III multicentrique randomisée en double aveugle évaluant Afinitor plus meilleur traitement de soutien (BSC - best supportive care) versus placebo plus BSC a été conduite chez des patients atteints de tumeurs neuroendocrines avancées d'origine gastro-intestinale ou pulmonaire, bien différenciées (Grade 1 ou Grade 2), non fonctionnelles, sans syndrome carcinoïde antérieur ou en cours. Le critère principal de l'étude était la survie sans progression (SSP) sur la base d'une évaluation radiologique indépendante selon les Critères d'Evaluation de la Réponse tumorale dans les Tumeurs Solides (RECIST). Une analyse complémentaire de la SSP était basée sur l'évaluation locale par les investigateurs. Les critères secondaires comprenaient la survie globale, le taux de réponse global, le taux de contrôle de la maladie, la sécurité d'emploi, la modification de la qualité de vie (FACT-G) et le délai de détérioration de l'indice de performance de l'Organisation Mondiale de la Santé (IP OMS). Au total, 302 patients ont été randomisés selon un rapport 2:1 pour recevoir soit évérolimus (10 mg par jour) (n = 205) soit le placebo (n = 97). Les caractéristiques démographiques et les caractéristiques de la maladie étaient dans l'ensemble équilibrées (âge médian de 63 ans [intervalle 22 à 86], 76 % de caucasiens, utilisation antérieure d'analogues de la somastostatine [ASS]). La durée médiane du traitement en aveugle était de 40,4 semaines pour les patients ayant reçu ce médicament et de 19,6 semaines pour ceux ayant reçu le placebo. Après l'analyse principale de la SSP, 6 patients du bras placebo ont bénéficié d'un cross over vers le groupe en ouvert évérolimus. Les résultats d'efficacité pour le critère principal d'évaluation ont été obtenus à partir de l'analyse finale de la SSP (Cf. données ci-dessous). Les résultats d'efficacité pour le critère principal d'évaluation SSP (évaluation indépendante radiologique) ont été obtenus à partir de l'analyse finale de la SSP (Cf. données ci-dessous). Les résultats d'efficacité pour la SSP (évaluation radiologique par l'investigateur) ont été obtenus à partir de l'analyse finale de la SG (Cf. données ci-dessous). RADIANT-4 – Résultats en termes de Survie Sans Progression Médiane de survie sans progression (mois) (IC 95 %) - Evaluation indépendante radiologique . Evérolimus (n = 205) : 11,01 (9,2-13,3) . Placebo (n = 97) : 3,91 (3,6-7,4) . Hazard ratio (IC 95%) : 0,48 (0,35-0,67) . p (a) : < 0,001 - Evaluation radiologique par l'investigateur . Evérolimus (n = 205) : 14,39 (11,24-17,97) . Placebo (n = 97) : 5,45 (3,71-7,39) . Hazard ratio (IC 95%) : 0,40 (0,29-0,55) . p (a) : < 0,001 (a) Valeur du p d'après un test du log-rank stratifié unilatéral Figure : RADIANT-4 – Courbes de survie sans progression Kaplan-Meier (revue radiologique indépendante) (Cf. RCP) Dans les analyses complémentaires, l'effet positif du traitement a été observé dans tous les sousgroupes à l'exception du sous-groupe de patients chez lesquels le site tumoral primitif était l'iléon (Iléon : HR = 1,22 [IC à 95 % : 0,56 à 2,65] ; Hors iléon : HR = 0,34 [IC à 95 % : 0,22 à 0,54] ; Poumon : HR = 0,43 [IC à 95 % : 0,24 à 0,79]). Figure : RADIANT-4 – Résultats en termes de Survie Sans Progression par sous-groupes de patients prédéfinis (independent radiological review) (Cf. RCP) L'analyse intermédiaire planifiée de la survie globale après 101 décès (sur 191 requis pour l'analyse finale) et après 33 mois de suivi est en faveur du bras évérolimus ; néanmoins, aucune différence statistiquement significative de la survie globale n'a été observée (HR = 0,73 [IC à 95 % : 0,48 à 1,11 ; p = 0,071]). Aucune différence du délai de détérioration définitive de l'indice de performance de l'OMS (> ou = 1 point) ni du délai de détérioration définitive de la qualité de vie (score FACT-G total > ou = 7 points) n'a été observée entre les deux bras. -> Cancer du rein avancé RECORD-1 (étude CRAD001C2240), une étude de phase III multicentrique internationale randomisée en double aveugle a été menée comparant Evérolimus 10 mg/jour au placebo, administrés tous les deux en association avec un traitement symptomatique optimal (BSC - best supportive care) chez des patients ayant un cancer du rein métastatique dont la maladie avait progressé sous ou après un traitement par un VEGFR-TKI (inhibiteur de la tyrosine kinase du récepteur du facteur de croissance de l'endothélium vasculaire (sunitinib, sorafénib ou sunitinib plus sorafénib). Un traitement antérieur par le bévacizumab et l'interféron-alpha était également autorisé. Les patients ont été stratifiés en fonction du score pronostique du Memorial Sloan-Kettering Cancer Center (MSKCC) (groupes à risque faible versus intermédiaire versus élevé) et du traitement anticancéreux antérieur (1 versus 2 VEGFR-TKI). Le critère principal était la survie sans progression, documentée selon les critères RECIST (Response Evaluation Criteria in Solid Tumors) et évaluée en aveugle par un comité d'évaluation centralisé indépendant. Les critères secondaires étaient la sécurité d'emploi, le taux de réponse tumorale objective, la survie globale, les symptômes liés à la maladie et la qualité de vie. Après documentation d'une progression radiologique, l'aveugle pouvait être levé par l'investigateur : les patients randomisés dans le groupe placebo ont pu alors recevoir de l'évérolimus 10 mg/jour en ouvert. Le Comité indépendant de surveillance a recommandé d'arrêter cette étude au moment de la deuxième analyse intermédiaire car le critère principal avait été atteint. Au total, 416 patients ont été randomisés selon un rapport 2:1 pour recevoir de l'évérolimus (n = 277) ou le placebo (n = 139). Les caractéristiques démographiques étaient équilibrées (âge médian 61 ans ; [intervalle 27-85 ans], hommes 78 %, caucasiens 88 %, nombre de traitements antérieurs par un VEGFR-TKI [1 -74 %, 2 -26 %]). La durée moyenne du traitement en aveugle était de 141 jours (intervalle19-451 jours) pour les patients recevant l'évérolimus et de 60 jours (intervalle 21-295 jours) pour ceux ayant reçu le placebo. L'évérolimus était supérieur au placebo sur le critère principal de survie sans progression, avec une réduction statistiquement significative de 67 % du risque de progression ou décès (Cf. Données 4 et figure RCP). RECORD -1-Résultats en termes de survie sans progression -> Analyse principale - Tous patients (évaluation centrale indépendante en aveugle) . n = 416 . Médiane de survie sans progression (mois) (IC à 95 %) Evérolimus (n = 277) : 4,9 (4,0-5,5) Placebo (n = 139) : 1,9 (1,8-1,9) . Hazard ratio (IC à 95 %) : 0,33 (0,25-0,43) . Valeur P (test log-rank stratifié) : < 0,0001 -> Analyses de confirmation/de sensibilité - Tous patients (évaluation locale par l'investigateur) . n = 416 . Médiane de survie sans progression (mois) (IC à 95 %) Evérolimus (n = 277) : 5,5 (4,6-5,8) Placebo (n = 139) : 1,9 (1,8-2,2) . Hazard ratio (IC à 95 %) : 0,32 (0,25-0,41) . Valeur P (test log-rank stratifié) : < 0,0001 -> Score pronostique MSKCC (revue centralisée indépendante en aveugle) - Faible risque . n = 120 . Médiane de survie sans progression (mois) (IC à 95 %) Evérolimus (n = 277) : 5,8 (4,0-7,4) Placebo (n = 139) : 1,9 (1,9-2,8) . Hazard ratio (IC à 95 %) : 0,31 (0,19-0,50) . Valeur P (test log-rank stratifié) : < 0,0001 - Risque intermédiaire . n = 235 . Médiane de survie sans progression (mois) (IC à 95 %) Evérolimus (n = 277) : 4,5 (3,8-5,5) Placebo (n = 139) : 1,8 (1,8-1,9) . Hazard ratio (IC à 95 %) : 0,32 (0,22-0,44) . Valeur P (test log-rank stratifié) : < 0,0001 - Haut risque . n = 61 . Médiane de survie sans progression (mois) (IC à 95 %) Evérolimus (n = 277) : 3,6 (1,9-4,6) Placebo (n = 139) : 1,8 (1,8-3,6) . Hazard ratio (IC à 95 %) : 0,44 (0,22-0,85) . Valeur P (test log-rank stratifié) : 0,007 RECORD-1 – Courbes de survie sans progression Kaplan-Meier (Cf. RCP) Les taux de survie sans progression à 6 mois étaient de 36 % dans le groupe évérolimus comparé à 9 % dans le groupe placebo. Des réponses tumorales objectives confirmées ont été observées chez 5 patients (2 %) traités par évérolimus et chez aucun patient recevant le placebo. Ainsi, le bénéfice en termes de survie sans progression concerne essentiellement la population présentant une stabilisation de la maladie (correspondant à 67 % du groupe de traitement par évérolimus). Aucune différence statistiquement significative entre les traitements n'a été observée sur la survie globale (Hazard ratio 0,87 intervalle de confiance [0,65-1,17] ; P = 0,177). Le traitement par évérolimus en ouvert après progression chez les patients qui avaient reçu préalablement au placebo (cross over) ne permettait pas la mise en évidence d'une différence pour le critère de survie globale entre les deux bras. * Autres études La stomatite est l'effet indésirable le plus fréquemment rapporté chez les patients traités par ce médicament (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Effets indésirables"). Dans une étude post-autorisation en simple bras chez les femmes ménopausées atteintes d'un cancer du sein avancé (N = 92), un traitement local avec une solution orale de dexaméthasone 0,5 mg/5 ml sans alcool a été administré en bain de bouche (4 fois par jour pendant les 8 premières semaines de traitement) à partir de l'initiation du traitement par ce médicament (10 mg/jour) plus exémestane (25 mg/jour) pour réduire l'incidence et la gravité des stomatites. L'incidence des stomatites de Grade > ou = 2 après 8 semaines de traitement était de 2,4 % (n = 2/85 patients évaluables) ce qui était inférieur à l'incidence historiquement rapportée. L'incidence des stomatites de Grade 1 était de 18,8 % (n = 16/85) et aucun cas de stomatite de Grade 3 ou 4 n'a été rapporté. Le profil de sécurité global était cohérent avec celui qui avait été établi pour évérolimus en oncologie et dans la sclérose tubéreuse de Bourneville (STB), à l'exception d'une légère augmentation de la fréquence des candidoses buccales rapportées chez 2,2 % (n = 2/92) des patients. * Population pédiatrique L'Agence européenne des médicaments a accordé une dérogation à l'obligation de soumettre les résultats d'études réalisées avec ce médicament dans tous les sous-groupes de la population pédiatrique atteints de tumeurs neuroendocrines d'origine pancréatique, de tumeurs neuroendocrines d'origine thoracique et de cancers du rein (Cf. rubrique "Posologie" pour les informations concernant l'usage pédiatrique). |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 24/06/2022 |
* Absorption Chez les patients ayant des tumeurs solides avancées, les concentrations maximales d'évérolimus sont atteintes à une durée médiane d'une heure après l'administration quotidienne d'une dose orale de 5 à 10 mg à jeun ou avec un repas léger sans matières grasses. La Cmax est proportionnelle à la dose entre 5 mg et 10 mg. L'évérolimus est un substrat et un inhibiteur modéré de la PgP. * Effet des aliments Chez les volontaires, l'exposition systémique avec l'évérolimus 10 mg (mesurée par l'ASC) est diminuée de 22 % et le pic plasmatique de la Cmax est dimuné de 54 % lorsque le médicament est pris avec un repas riche en graisses. Avec un repas léger, l'ASC est diminuée de 32 % et la Cmax est diminuée de 42 %. Les aliments n'ont toutefois pas eu d'effet sur la concentration en fonction du temps au cours de la phase post-absorption. * Distribution Le rapport sang-plasma de l'évérolimus est dépendant de la concentration (de 17 % à 73 % sur l'intervalle de 5 à 5 000 ng/ml). Environ 20 % de la concentration de l'évérolimus dans le sang total est retrouvée dans le compartiment plasmatique chez les patients cancéreux recevant de l'évérolimus 10 mg par jour. La liaison aux protéines plasmatiques est d'environ 74 % chez les sujets sains et chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée. Chez les patients ayant des tumeurs solides à un stade avancé, le volume de distribution Vd était de 191 l dans le compartiment central apparent et de 517 l dans le compartiment périphérique apparent. * Biotransformation L'évérolimus est un substrat du CYP3A4 et de la PgP. Après administration orale, l'évérolimus est le composé principal circulant dans le sang chez l'homme. Six métabolites principaux de l'évérolimus ont été identifiés dans le sang chez l'homme, incluant trois métabolites monohydroxylés, deux produits à cycle ouvert formés par hydrolyse et un conjugué phosphatidylcholine de l'évérolimus. Ces métabolites ont également été identifiés chez les espèces animales utilisées dans les études de toxicité et ils ont présenté une activité 100 fois plus faible environ que celle de l'évérolimus lui-même. Par conséquent, l'évérolimus est considéré comme responsable de la majorité de l'activité pharmacologique globale. * Élimination La valeur moyenne de la clairance orale (CL/F) de l'évérolimus chez des patients ayant des tumeurs solides recevant 10 mg par jour était de 24,5 l/h. La valeur moyenne de la demi-vie d'élimination était approximativement de 30 heures. Il n'a pas été mené d'études d'excrétion spécifiques chez les patients cancéreux, mais des données sont disponibles chez les patients transplantés. Après administration d'une dose unique d'évérolimus radiomarqué en association avec la ciclosporine, 80 % de la radioactivité ont été retrouvés dans les fèces et 5 % ont été excrétés dans les urines. La molécule mère n'a pas été détectée dans les urines ou dans les fèces. * Pharmacocinétique à l'état d'équilibre Après l'administration d'évérolimus chez des patients ayant des tumeurs solides à un stade avancé, l'ASC0-t a été dose-proportionnelle dans l'intervalle de dose quotidienne de 5 mg à 10 mg. L'état d'équilibre a été atteint en deux semaines. La Cmax est proportionnelle à la dose entre 5 mg et 10 mg. Le tmax est atteint 1 à 2 heures après l'administration. Il a été observé une corrélation significative entre l'ASC 0-tau et la concentration résiduelle pré-dose à l'état d'équilibre. * Populations particulières - Insuffisance hépatique La sécurité, la tolérance et la pharmacocinétique de l'évérolimus ont été évaluées dans deux études avec administration de ce médicament comprimés en dose unique par voie orale chez 8 et 34 sujets présentant une insuffisance hépatique comparés à des sujets ayant une fonction hépatique normale. Dans la première étude, l'ASC moyenne de l'évérolimus chez 8 sujets présentant une insuffisance hépatique modérée (Child-Pugh B) était deux fois plus importante que celle retrouvée chez les 8 sujets présentant une fonction hépatique normale. Dans la seconde étude réalisée chez 34 sujets présentant différents degrés d'insuffisance hépatique, une augmentation de l'exposition (c.a.d ASC0-inf) de 1,6 fois, 3,3 fois et 3,6 fois a été observée chez les sujets ayant une insuffisance hépatique respectivement légère (classe A de Child-Pugh), modérée (classe B de Child-Pugh) et sévère (classe C de Child-Pugh) par rapport aux sujets normaux. Les simulations de pharmacocinétiques en dose multiples viennent à l'appui des recommandations de doses chez les sujets présentant une insuffisance hépatique déterminée selon leur statut Child-Pugh. A partir des résultats de ces deux études, une adaptation de la posologie est recommandée chez les patients présentant une insuffisance hépatique (Cf. rubriques "Posologie" et "Mises en garde et précauitons d'emploi"). - Insuffisance rénale Dans une analyse de pharmacocinétique de population chez 170 patients ayant des tumeurs solides à un stade avancé, aucun effet significatif de la clairance de la créatinine (25-178 ml/mn) n'a été observé sur la clairance orale (Cl/F) de l'évérolimus. Une insuffisance rénale post-transplantation (clairance de la créatinine comprise entre 11 ml/mn et 107 ml/mn) n'a pas eu d'effet sur la pharmacocinétique de l'évérolimus chez des patients transplantés. - Patients âgés Dans une analyse pharmacocinétique de population chez des patients cancéreux, aucun effet significatif de l'âge (27 à 85 ans) sur la clairance orale de l'évérolimus n'a été observé. - Groupe ethnique La clairance orale (Cl/F) est similaire chez les patients cancéreux japonais et caucasiens ayant une fonction hépatique comparable. Selon une analyse de pharmacocinétique de population, Cl/F est supérieure de 20 % en moyenne chez les patients transplantés de race noire. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 24/06/2022 |
Le profil de sécurité préclinique de l'évérolimus a été évalué chez la souris, le rat, le cochon nain, le singe et le lapin. Les principaux organes cibles ont été les systèmes de reproduction mâle et femelle (dégénérescence tubulaire testiculaire, diminution de la quantité de sperme dans les épididymes et atrophie utérine) chez plusieurs espèces, les poumons (prolifération des macrophages alvéolaires) chez le rat et la souris ; le pancréas (dégranulation et apparition de vacuoles dans les cellules exocrines chez les singes et cochons nains, dégénération des cellules des ilôts de Langerhans chez les singes), et les yeux (opacités des fibres antérieures du cristallin) chez les rats seulement. Des modifications rénales mineures ont été observées chez le rat (exacerbation liée à l'âge de la lipofuscine dans l'épithélium tubulaire, augmentations de l'hydronéphrose) et la souris (aggravation de lésions préexistantes). Aucun signe de néphrotoxicité n'a été observé chez le singe et le cochon nain. L'évérolimus a semblé exacerber spontanément des pathologies préexistantes (myocardite chronique chez le rat, infection du plasma et du coeur par le virus Coxsackie chez le singe, infestation coccidienne du tractus gastro-intestinal chez le cochon nain, lésions cutanées chez la souris et le singe). Ces effets ont été généralement observés à des niveaux d'exposition systémique équivalents ou supérieurs aux niveaux d'exposition thérapeutique, à l'exception des effets observés chez le rat, qui se sont produits à des niveaux inférieurs à l'exposition thérapeutique en raison d'une distribution tissulaire élevée. Au cours d'une étude de fertilité chez le rat mâle, la morphologie testiculaire a été affectée à des doses de 0,5 mg/kg et plus et la motilité et le nombre de spermatozoïdes et le taux plasmatique de testostérone ont été diminués à la dose de 5 mg/kg, ce qui a entraîné une diminution de la fertilité des mâles. Ces altérations ont été réversibles. Au cours des études portant sur la fonction de reproduction réalisées chez l'animal, la fertilité des femelles n'a pas été affectée. Cependant, chez le rat femelle, les doses orales d'évérolimus >0,1 mg/kg (environ 4 % de l'ASC0-24h des patients recevant 10 mg par jour) ont entrainé une augmentation des pertes pré-implantatoires. L'évérolimus a traversé la barrière placentaire et s'est avéré toxique pour le foetus. Chez le rat, l'évérolimus a provoqué une embryo/foetotoxicité se manifestant par une mortalité et une réduction du poids foetal à un niveau d'exposition systémique inférieur au niveau thérapeutique. L'incidence de modifications et de malformations du squelette (fente sternale par exemple) a été augmentée aux doses de 0,3 mg/kg et 0,9 mg/kg. Chez le lapin, l'embryotoxicité s'est manifestée par une augmentation des résorptions tardives. Les études de génotoxicité évaluant les critères pertinents n'ont pas mis en évidence d'activité clastogène ou mutagène. L'administration d'évérolimus pendant des durées allant jusqu'à 2 ans n'a pas indiqué de potentiel oncogène chez la souris et le rat jusqu'aux doses les plus élevées, correspondant respectivement à 3,9 et 0,2 fois l'exposition clinique estimée. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 24/06/2022 |
Spécialité(s) génériques Thériaque | Type | Prix |
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AFINITOR 10MG CPR | Référence | |
EVEROLIMUS ARW 10MG CPR | Générique | |
EVEROLIMUS BGA 10MG CPR | Générique | |
EVEROLIMUS EG 10MG CPR | Générique | |
EVEROLIMUS HCS 10MG CPR | Générique | |
EVEROLIMUS RYP 10MG CPR NSFP | Générique | |
EVEROLIMUS SDZ 10MG CPR | Générique | |
EVEROLIMUS TVC 10MG CPR | Générique | |
EVEROLIMUS VIA 10MG CPR | Générique | |
EVEROLIMUS ZEN 10MG CPR | Générique | |
Comparer prix |
Dénomination(s) commune(s) : EVEROLIMUS |
Voie(s) : ORALE |
Groupe générique(s) : EVEROLIMUS 10 MG - AFINITOR 10MG CPR |
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Spécialité(s) de référence ansm | Code(s) CIP | Excipient(s) à effet notoire |
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AFINITOR 10MG CPR
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Spécialité(s) générique(s) ansm | Code(s) CIP | Excipient(s) à effet notoire |
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EVEROLIMUS ARW 10MG CPR Laboratoire titulaire AMM : EUGIA PHARMA (MALTA) LTD |
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EVEROLIMUS BGA 10MG CPR Laboratoire titulaire AMM : BIOGARAN |
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EVEROLIMUS EG 10MG CPR Laboratoire titulaire AMM : EG LABO-LABORATOIRES EUROGENERICS |
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EVEROLIMUS HCS 10MG CPR Laboratoire titulaire AMM : HCS BV |
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EVEROLIMUS SDZ 10MG CPR Laboratoire titulaire AMM : SANDOZ |
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EVEROLIMUS TVC 10MG CPR Laboratoire titulaire AMM : TEVA SANTE |
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EVEROLIMUS VIA 10MG CPR Laboratoire titulaire AMM : VIATRIS SANTE (LYON) |
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EVEROLIMUS ZEN 10MG CPR Laboratoire titulaire AMM : ZENTIVA FRANCE |
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AFINITOR (EPAR) 2018 |
MOLECULES ONEREUSES HAD 2024 | |
EXCLUSION SUBSTITUTION Gé - PHCIEN | |
EXCLUSION SUBSTITUTION Gé POSSIBLE | |
AFINITOR SYNTHESE D'AVIS 2019 | |
AFINITOR SYNTHESE D'AVIS 2017 | |
AFINITOR SYNTHESE D'AVIS 2015 | |
AFINITOR SYNTHESE D'AVIS 2013 | |
AFINITOR SYNTHESE D'AVIS 2012 | |
CANCER DU REIN - GUIDE PATIENT | |
CANCER DU POUMON - GUIDE PATIENT | |
CANCER DU REIN ADULTE - GUIDE MEDECIN | |
AFINITOR SYNTHESE D'AVIS 2010 | |
CANC POUMON ET MESOTHELIOM-GUIDE MEDECIN |
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* Conditions de prescription et de délivrance Liste I. Médicament nécessitant une surveillance particulière pendant le traitement. Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription réservée aux spécialistes et services de cancérologie, d'hématologie ou d'oncologie médicale. * Ancien médicament rétrocédable - Arrêté du 7 juin 2011 modifiant l'arrêté du 17 décembre 2004 modifié fixant la liste prévue à l'article L. 5126-4 du code de la santé publique : radiation. - Arrêté du 21 septembre 2009 modifiant l'arrêté du 17 décembre 2004 modifié fixant la liste prévue à l'article L. 5126-4 du code de la santé publique (JO du 24/09/2009). |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 24/06/2022 | |
Code UCD13 : | 3400893393260 |
Code UCD7 : | 9339326 |
Code identifiant spécialité : | 6 420 136 8 |
Laboratoire(s) titulaire(s) AMM: |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 24/06/2022 | |
Laboratoire(s) exploitant(s) : |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 24/06/2022 | |
Code CIP13 | 3400939628288 |
Code CIP7 | 3962828 |
Commercialisation | Disponible : OUI depuis le 21/09/2009 |
Agrément collectivités/date JO | Oui le 16/03/2010 |
Radiation collectivités/date JO | Non |
Présentation réservée à l'hôpital | Non |
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD) |
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Conditionnement primaire | 3 PLAQUETTE(S) |
Nb unités de prise par conditionnement primaire | 10 COMPRIME(S) par PLAQUETTE(S) |
Matériau(x) |
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* Nature et contenu de l’emballage extérieur |
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Présentation unitaire | PAS DE RENSEIGNEMENT |
Référence(s) bibliographique(s) | |
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Conditions de délivrance |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 24/06/2022 |
Statut de la présentation |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 24/06/2022 |
1. Prix en officine ville | |
Prix de cette présentation (CIP)/date JO | 1226,2 euros TTC le 01/12/2021 |
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) | 1226,2 euros TTC le 01/12/2021 |
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur) | |
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) | Non concerné |
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) | Non concerné |
1. Ville | |
Taux de remboursement/date JO |
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2. Hôpital (Rétrocession - vente au public) | |
Taux de remboursement |
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Tarif forfaitaire de remboursement | 1226,20 01/12/2021 |
- Arrêté du 17 janvier 2019 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques remboursables aux assurés sociaux (JO du 23 janvier 2019). |
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Statut(s) du remboursement |
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- Arrêté du 17 janvier 2019 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques agréées à l'usage des collectivités et divers services publics (JO du 23 janvier 2019). La prise en charge est étendue à l'indication suivante : Tumeurs neuroendocrines d'origine gastro-intestinale ou pulmonaire non résécables ou métastatiques, bien différenciées (Grade 1 ou Grade 2), non fonctionnelles, en progression chez l'adulte. - Arrêté du 29 octobre 2014 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques agréées à l'usage des collectivités et divers services publics (JO du 5 novembre 2014). La prise en charge est étendue à l'indication suivante : Traitement du cancer du sein avancé avec récepteurs hormonaux positifs, HER2/neu négatif, en association avec l'exémestane, chez les femmes ménopausées sans atteinte viscérale symptomatique dès récidive ou progression de la maladie et précédemment traitées par un inhibiteur non stéroïdien de l'aromatase. |
SMR spécifique de cette présentation | NON |
Modalité(s) de dispensation |
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* Ancien médicament rétrocédable |
Durée(s) et condition(s) de conservation |
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* Durée de conservation |
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Référence(s) officielles(s) : Rectificatif AMM européenne 24/06/2022 |
ADENOCARCINOME RENAL
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Ce médicament est indiqué dans le traitement du cancer du rein avancé chez les patients ayant progressé sous ou après une thérapie ciblée anti-VEGF. |
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SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 06/01/2016 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 24/06/2022 Guide affection longue durée (ALD) Patient CANCER DU REIN - GUIDE PATIENT Guide affection longue durée (ALD) Médecin CANCER DU REIN ADULTE - GUIDE MEDECIN |
CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : Carcinome rénal papillaire |
Carcinome rénal |
CANCER PANCREAS ENDOCRINE
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Ce médicament est indiqué dans le traitement de tumeurs neuroendocrines d'origine pancréatique non résécables ou métastatiques bien ou moyennement différenciées avec progression de la maladie chez l'adulte. |
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SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 06/01/2016 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 24/06/2022 Guide affection longue durée (ALD) Patient CANCER DU PANCREAS - GUIDE PATIENT Guide affection longue durée (ALD) Médecin CANCER DU PANCREAS - GUIDE MEDECIN |
CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : Tumeur endocrine pancréatique |
Tumeur endocrine pancréatique |
CANCER DU SEIN
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Ce médicament est indiqué dans le traitement du cancer du sein avancé avec récepteurs hormonaux positifs, HER2/neu négatif, en association avec l'exémestane, chez les femmes ménopausées sans atteinte viscérale symptomatique dès récidive ou progression de la maladie et précédemment traitées par un inhibiteur non-stéroïdien de l'aromatase. |
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SMR de l'indication | NIVEAU MODERE 10/07/2019 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 24/06/2022 Guide affection longue durée (ALD) Patient CANCER DU SEIN - GUIDE PATIENT Guide affection longue durée (ALD) Médecin CANCER DU SEIN - GUIDE MEDECIN |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
CANCER GASTRO-INTESTINALE ENDOCRINE
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Ce médicament est indiqué dans le traitement de tumeurs neuroendocrines d'origine gastro-intestinale non résécables ou métastatiques, bien différenciées (Grade 1 ou Grade 2), non fonctionnelles, en progression chez l'adulte (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Propriétés pharmacodynamiques"). |
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SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 05/07/2017 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 24/06/2022 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
CANCER PULMONAIRE ENDOCRINE
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Ce médicament est indiqué dans le traitement de tumeurs neuroendocrines d'origine pulmonaire non résécables ou métastatiques, bien différenciées (Grade 1 ou Grade 2), non fonctionnelles, en progression chez l'adulte (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Propriétés pharmacodynamiques"). |
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SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 05/07/2017 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 24/06/2022 Guide affection longue durée (ALD) Patient CANCER DU POUMON - GUIDE PATIENT Guide affection longue durée (ALD) Médecin CANC POUMON ET MESOTHELIOM-GUIDE MEDECIN |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
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Dose | 10 MG/PRISE |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement |
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Posologie USUELLE | |
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Dose | 5 MG/PRISE |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Recommandation(s) |
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Le traitement par ce médicament doit être instauré et suivi par un médecin ayant l'expérience des traitements anticancéreux. Pour les différentes posologies, ce médicament est disponible en comprimés de 5 mg et 10 mg. * Posologie La dose recommandée d'évérolimus est de 10 mg une fois par jour. Le traitement doit être poursuivi aussi longtemps qu'un bénéfice clinique est observé ou jusqu'à la survenue d'une toxicité inacceptable. - Ajustement de la posologie en cas d'effets indésirables La prise en charge d'effets indésirables graves et/ou mal tolérés suspectés d'être liés au traitement peut nécessiter une réduction de dose et/ou une interruption temporaire du traitement par évérolimus. Pour les effets indésirables de Grade 1, une adaptation de la dose n'est généralement pas nécessaire. S'il est nécessaire de diminuer la posologie, la dose recommandée est de 5 mg par jour et elle ne doit pas être inférieure à 5 mg par jour. Les données ci-dessous résument les recommandations pour l'adaptation de la posologie en cas d'effets indésirables spécifiques (Cf. également rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Recommandations pour l'adaptation de la posologie d'évérolimus Effet indésirable : Pneumopathie non infectieuse - Sévérité (1) : Grade 2 . Adaptation de la posologie d'évérolimus : Envisager l'interruption du traitement jusqu'à l'amélioration des symptômes à un Grade < ou = 1. Ré-introduire évérolimus à 5 mg par jour. Arrêter le traitement en l'absence de récupération dans un délai de 4 semaines. - Sévérité (1) : Grade 3 . Adaptation de la posologie d'évérolimus : Interrompre évérolimus jusqu'à la résolution des symptômes à un Grade < ou =1. Envisager la reprise d'évérolimus à 5 mg par jour. Si une toxicité de Grade 3 réapparait, envisager l'arrêt du traitement.. - Sévérité (1) : Grade 4 . Adaptation de la posologie d'évérolimus : Arrêter évérolimus Effet indésirable : Stomatite - Sévérité (1) : Grade 2 . Adaptation de la posologie d'évérolimus : Interrompre temporairement le traitement jusqu'à rétablissement à un Grade < ou =1. Ré-introduire évérolimus à la même dose. En cas de récidive de la stomatite à un Grade 2, interrompre le traitement jusqu'à rétablissement à un Grade < ou = 1. Ré-introduire évérolimus à 5 mg par jour. - Sévérité (1) : Grade 3 . Adaptation de la posologie d'évérolimus : Interrompre temporairement le traitement jusqu'à rétablissement à un Grade < ou = 1. Ré-introduire évérolimus à 5 mg par jour. - Sévérité (1) : Grade 4 . Adaptation de la posologie d'évérolimus : Arrêter évérolimus Effet indésirable : Autres toxicités non hématologiques (sauf événements métaboliques) - Sévérité (1) : Grade 2 . Adaptation de la posologie d'évérolimus : Si la toxicité est acceptable, aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire. Si la toxicité devient inacceptable, interrompre temporairement le traitement jusqu'à rétablissement à un Grade < ou = 1. Ré-introduire évérolimus à la même dose. En cas de récidive de la toxicité à un Grade 2, interrompre évérolimus jusqu'à rétablissement à un Grade < ou = 1. Ré-introduire évérolimus à 5 mg par jour. - Sévérité (1) : Grade 3 . Adaptation de la posologie d'évérolimus : Interrompre temporairement le traitement jusqu'à rétablissement à un Grade < ou = 1. Envisager de ré-introduire évérolimus à 5 mg par jour. Si une toxicité de Grade 3 réapparait, envisager l'arrêt du traitement. - Sévérité (1) : Grade 4 . Adaptation de la posologie d'évérolimus : Arrêter évérolimus Effet indésirable : Evénements métaboliques (par exemple hyperglycémie, dyslipidémie) - Sévérité (1) : Grade 2 . Adaptation de la posologie d'évérolimus : Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire. - Sévérité (1) : Grade 3 Interrompre temporairement le traitement. Ré-introduire évérolimus à 5 mg par jour. - Sévérité (1) : Grade 4 . Adaptation de la posologie d'évérolimus : Arrêter évérolimus Effet indésirable : Thrombopénie - Sévérité (1) : Grade 2 (< 75, > ou = 50 x 10 puissance 9/litres) . Adaptation de la posologie d'évérolimus : Interrompre temporairement le traitement jusqu'à rétablissement à un Grade < ou = 1 (> ou = 75x10 puissance 9/litres). Ré-introduire évérolimus à la même dose. - Sévérité (1) : Grade 3 et 4 (< 50 x 10 puissance 9/litres) . Adaptation de la posologie d'évérolimus :Interrompre temporairement le traitement. Interrompre temporairement le traitement jusqu'à rétablissement à un Grade < ou = 1 (> ou = 75 x 10 puissance 9/litres). Ré-introduire évérolimus à 5 mg par jour. Effet indésirable : Neutropénie - Sévérité (1) : Grade 2 (> ou = 1x10 puissance 9/litres) . Adaptation de la posologie d'évérolimus : Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire. - Sévérité (1) : Grade 3 (< 1, > ou = 0,5x10 puissance 9/litres) . Adaptation de la posologie d'évérolimus :Interrompre temporairement le traitement jusqu'à rétablissement à un Grade < ou = 2 (> ou = 1x10 puissance 9/litres). Ré-introduire évérolimus à la même dose. - Sévérité (1) : Grade 4 (< 0,5x10 puissance 9/litres) . Adaptation de la posologie d'évérolimus :Interrompre temporairement le traitement jusqu'à rétablissement à un Grade < ou = 2 (> ou = 1x10 puissance 9/litres). Ré-introduire évérolimus à 5 mg par jour. Effet indésirable : Neutropénie fébrile - Sévérité (1) : Grade 3 . Adaptation de la posologie d'évérolimus : Interrompre temporairement le traitement jusqu'à rétablissement à un Grade < ou = 2 (> ou = 1,25x10 puissance 9/litres) et absence de fièvre. Ré-introduire Afinitor à 5 mg par jour. - Sévérité (1) : Grade 4 . Adaptation de la posologie d'évérolimus : Arrêter évérolimus. (1) Grades évalués selon l'échelle de classification clinique internationale CTCAE (Common Terminology Criteria for Adverse Events) v3.0 de l'Institut National du Cancer (NCI) - Populations particulières . Population pédiatrique La sécurité et l'efficacité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants âgés de 0 à 18 ans n'ont pas encore été établies. Aucune donnée n'est disponible. . Patients âgés (> ou = 65 ans) Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). . Insuffisance rénale Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | 7,5 MG/PRISE |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Recommandation(s) |
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Le traitement par ce médicament doit être instauré et suivi par un médecin ayant l'expérience des traitements anticancéreux. Pour les différentes posologies, ce médicament est disponible en comprimés de 5 mg et 10 mg. * Posologie - Populations particulières . Patients âgés (> ou = 65 ans) Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). . Insuffisance rénale Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). . Insuffisance hépatique : Insuffisance hépatique légère (classe A de Child-Pugh) - la dose quotidienne recommandée est de 7,5 mg. Une adaptation posologique devra être faite si la fonction hépatique du patient (Child-Pugh) change au cours du traitement. . Population pédiatrique La sécurité et l'efficacité d'évérolimus chez les enfants âgés de 0 à 18 ans n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | 5 MG/PRISE |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Recommandation(s) |
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Le traitement par ce médicament doit être instauré et suivi par un médecin ayant l'expérience des traitements anticancéreux. Pour les différentes posologies, ce médicament est disponible en comprimés de 5 mg et 10 mg. * Posologie - Populations particulières . Patients âgés (> ou = 65 ans) Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). . Insuffisance rénale Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). . Insuffisance hépatique : Insuffisance hépatique modérée (classe B de Child-Pugh) - la dose quotidienne recommandée est de 5 mg. Une adaptation posologique devra être faite si la fonction hépatique du patient (Child-Pugh) change au cours du traitement. . Population pédiatrique La sécurité et l'efficacité d'évérolimus chez les enfants âgés de 0 à 18 ans n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | 2,5 MG/PRISE |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Recommandation(s) |
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Le traitement par ce médicament doit être instauré et suivi par un médecin ayant l'expérience des traitements anticancéreux. Pour les différentes posologies, ce médicament est disponible en comprimés de 5 mg et 10 mg. * Posologie - Populations particulières . Patients âgés (> ou = 65 ans) Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). . Insuffisance rénale Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). . Insuffisance hépatique sévère (classe C de Child-Pugh) - Ce médicament n'est recommandé que si le bénéfice attendu est supérieur au risque. Dans ce cas, la dose quotidienne ne devra pas dépasser 2,5 mg. Une adaptation posologique devra être faite si la fonction hépatique du patient (Child-Pugh) change au cours du traitement. . Population pédiatrique La sécurité et l'efficacité d'évérolimus chez les enfants âgés de 0 à 18 ans n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Recommandation(s) |
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* Précautions particulières d'élimination Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur. * Incompatibilités Sans objet. |
Voie(s) d'administration |
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Modalité(s) |
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* Mode d'administration Ce médicament doit être pris par voie orale une fois par jour à la même heure chaque jour, avec ou sans aliments de façon constante (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). Les comprimés doivent être avalés entiers avec un verre d'eau. Les comprimés ne doivent pas être mâchés ou écrasés. Si une dose est oubliée, le patient ne doit pas prendre une dose supplémentaire, mais prendre la prochaine dose normale prescrite comme d'habitude. * Si vous avez pris plus de ce médicament que vous n'auriez dû (Cf. Notice) - Si vous avez pris trop d'évérolimus, ou si une autre personne a pris accidentellement vos comprimés, consultez immédiatement votre médecin ou un hôpital. Un traitement médical d'urgence pourra être nécessaire. - Montrez la boîte de comprimés et cette notice pour que le médecin sache ce que vous avez pris. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Terrain N° 1 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | INFECTION FONGIQUE
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Niveau(x) |
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Si le diagnostic d'une infection fongique systémique invasive est fait, le traitement par ce médicament doit être arrêté immédiatement et définitivement, et le patient doit être traité par un traitement antifongique approprié. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Ainsi, le traitement concomitant par ce médicament avec des inhibiteurs puissants n'est pas recommandé. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | GROSSESSE |
Niveau(x) |
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L'évérolimus n'est pas recommandé chez la femme enceinte |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | ALLAITEMENT |
Niveau(x) |
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Par conséquent, les femmes traitées par l'évérolimus ne doivent pas allaiter. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | NOUVEAU-NE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | NOURRISSON |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | ENFANT
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | FEMME EN AGE DE PROCREER
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Niveau(x) |
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Les femmes en âge d'avoir des enfants doivent utiliser une méthode contraceptive hautement efficace (par exemple : méthode de contrôle des naissances hormonale ne contenant pas d'oestrogène administrée par voie orale, injectable ou implantable, contraceptifs à base de progestérone, hystérectomie, ligature des trompes, abstinence complète, méthode de contraception barrière, dispositif intra-utérin [DIU], et/ou stérilisation de la femme/de l'homme) pendant le traitement par l'évérolimus et jusqu'à 8 semaines après l'arrêt du traitement. Il n'y a pas lieu d'interdire aux patients masculins de procréer. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Hypersensibilité à la substance active, aux autres dérivés de la rapamycine ou à l'un des excipients |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 24/06/2022 |
Terrain N° 10 | ANOMALIE METABOLISME GALACTOSE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient du lactose comme excipient. - Voie d'administration : Orale - Seuil : Zéro - Informations Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. - Commentaires Proposition de RCP : Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | DEFICIT EN LACTASE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient du lactose comme excipient. - Voie d'administration : Orale - Seuil : Zéro - Informations Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. - Commentaires Proposition de RCP : Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | SYNDROME DE MALABSORPTION / INTOLERANCE DIGESTIVE
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Niveau(x) |
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Ce médicament contient du lactose comme excipient. - Voie d'administration : Orale - Seuil : Zéro - Informations Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. - Commentaires Proposition de RCP : Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | REGIME SANS GALACTOSE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient du lactose comme excipient. - Voie d'administration : Orale - Seuil : Zéro - Informations Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. - Commentaires Proposition de RCP : Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Ce médicament contient du lactose comme excipient. - Voie d'administration : Orale - Seuil : Zéro - Informations Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. - Commentaires Proposition de RCP : Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Ce médicament est contre-indiqué en cas d'hypersensibilité à un produit de la famille des macrolides (hypersensibilité de classe). | |
CIM 10 |
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Terrain N° 16 | INTERACTION D'ORIGINE ALIMENTAIRE
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Niveau(x) |
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1. Thesaurus : référentiel national des interactions médicamenteuses ansm IMMUNOSUPPRESSEURS (ciclosporine, évérolimus, sirolimus, tacrolimus) + JUS DE PAMPLEMOUSSE - Nature du risque et mécanisme d'action : augmentation de la biodisponibilité de l'immunosuppresseur et par conséquent de ses effets indésirables. - Niveau de contrainte : association déconseillée. - Conduite à tenir : aucune information recensée. 2. Informations Thériaque Le jus de pamplemousse peut augmenter la quantité absorbée de quelques médicaments, notamment certaines dihydropyridines, certaines statines, la ciclosporine et le tacrolimus, ou le cisapride. Les conséquences cliniques de ces interactions sont variables et dépendent de nombreux facteurs comme la susceptibilité individuelle du patient, la nature ainsi que la quantité de jus de pamplemousse consommé, la simultanéité des prises, qui agit comme un facteur favorisant, et la marge thérapeutique du médicament associé. En conséquence, il est recommandé de déconseiller au patient la consommation de jus de pamplemousse en cas de traitements par ces médicaments. Il est conseillé d'éviter de prendre un jus de pamplemousse dans les deux heures qui précèdent la prise de ces médicament et de limiter la consommation à moins d'un quart de litre par jour. Le mécanisme de cette interaction est une inhibition enzymatique du métabolisme hépatique de l'immunosuppresseur - ciclosporine, sirolimus ou tacrolimus - (à marge thérapeutique étroite et métabolisé par l'isoenzyme CYP3A4 (1) du cytochrome P450) par le jus de pamplemousse (inhibiteur enzymatique de l'isoenzyme CYP3A4 (2) du cytochrome P450). (1) Les principales substances actives connues à marge thérapeutique étroite et métabolisées par l'isoenzyme CYP3A4 sont : alcaloïdes de l'ergot de seigle (ergotamine, dihydroergotamine), antiarythmiques (amiodarone, disopyramide), benzodiazépines (midazolam, triazolam, zolpidem), cisapride, ifosfamide, immunosuppresseurs (ciclosporine, sirolimus, tacrolimus), morphiniques (alfentanyl, fentanyl, méthadone), pimozide, inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5 (sildénafil, tadalafil, vardénafil), statines (simvastatine, atorvastatine, cérivastatine). (2) Les principaux inhibiteurs de l'isoenzyme CYP3A4 connus (diminution de l'activité des CYP) sont : jus de pamplemousse, amiodarone, antagonistes des canaux calciques (diltiazem, vérapamil), antifongiques azolés (kétoconazole, itraconazole, fluconazole, miconazole, voriconazole), inhibiteurs de protéases (ritonavir, nelfinavir, amprénavir, indinavir, atazanavir, delavirdine), macrolides (érythromycine, clarithromycine, josamycine, télithromycine), association quinupristine + dalfopristine, cimétidine, imatinib, stiripentol. L'inhibition, à l'inverse de l'induction, s'exerce le plus souvent au niveau d'un seul CYP. L'inhibition, à l'inverse de l'induction, est rapide et répond schématiquement à deux mécanismes : - une réelle inactivation du CYP par l'inhibiteur ; - une compétition au niveau d'un même CYP entre deux substances administrées simultanément, fixées et métabolisées par le même CYP. Ce deuxième mécanisme, plus fréquemment impliqué, résulte d'une affinité de la substance inhibitrice pour le CYP considéré, qui est supérieure à celle de la substance inhibée. En fonction de leur degré d'affinité pour un CYP donné, certains médicaments peuvent, dans ces conditions, se comporter comme des inhibiteurs du métabolisme de médicaments moins affines, mais aussi voir leur métabolisme inhibé par d'autres médicaments plus affines. Une synthèse sur les interactions médicamenteuses et les cytochromes ainsi qu'une liste non exhaustive de médicaments (principes actifs) métabolisés préférentiellement par un CYP, et donnant lieu à des interactions cliniquement significatives, établie par l'ansm (http://ansm.sante.fr/) est présentée dans la rubrique informations utiles sur www.theriaque.org. |
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CIM 10 |
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Terrain N° 1 | HYPOXIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | EPANCHEMENT PLEURAL |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | TOUX |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | DYSPNEE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Chez les patients qui nécessitent l'utilisation de corticostéroïdes pour le traitement d'une pneumopathie non infectieuse, une prophylaxie de la pneumonie à pneumocystis jirovecii (carinii) (PPJ, PPC) doit être envisagée. La PPJ/PPC peut être associée à l'utilisation concomitante de corticostéroïdes ou d'autres agents immunosuppresseurs. Une prophylaxie des PPJ/PPC doit être envisagée lorsque l'utilisation concomitante de corticostéroïdes ou d'autres agents immunosuppresseurs est nécessaire. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | ATTEINTE RESPIRATOIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | PNEUMOPATHIE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | INFECTION BACTERIENNE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | INFECTION VIRALE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | INFECTION FONGIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | INFECTION PARASITAIRE / PARASITOSE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | INFLAMMATION BUCCALE / PHARYNGEE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | STOMATITE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | MUCITE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 16 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 17 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 18 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 19 | TUMEUR |
Niveau(x) |
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En conséquence, la sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les patients atteints de tumeur carcinoïde n'ont pas été démontrées. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 20 | AFFECTION MALIGNE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 21 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 22 | ATTEINTE RENALE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 23 | DIABETE TYPE I |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 24 | DYSLIPIDEMIE / ANOMALIE METAB LIPIDE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 25 | SYNDROME CARCINOIDE |
Niveau(x) |
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En conséquence, la sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les patients atteints de tumeurs carcinoïdes fonctionelles n'ont pas été démontrées. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 26 | INSUFFISANCE HEPATIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 27 | INSUFFISANCE HEPATIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 28 | VACCINATION
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 29 | INTERVENTION CHIRURGICALE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 30 | RADIOTHERAPIE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 31 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 32 | FEMME EN AGE DE PROCREER
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Niveau(x) |
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Les femmes en âge d'avoir des enfants doivent utiliser une méthode contraceptive hautement efficace. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 33 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 34 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 35 | ENFANT
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 36 | ADULTE JEUNE (15-17 ANS)
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Niveau(x) |
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La sécurité et l'efficacité d'évérolimus chez les enfants âgés de 0 à 18 ans n'ont pas encore été établies. Aucune donnée n'est disponible. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 37 | HOMME |
Niveau(x) |
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Les observations précliniques indiquent que le traitement par ce médicament peut diminuer la fertilité masculine |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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* Pneumopathie non infectieuse La pneumopathie non infectieuse est un effet de classe des dérivés de la rapamycine, y compris l'évérolimus. Des pneumopathies non infectieuses (y compris maladie pulmonaire interstitielle) ont été fréquemment rapportées chez des patients traités par évérolimus (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Certains cas ont été sévères et en de rares occasions, une issue fatale a été observée. Le diagnostic de pneumopathie non infectieuse doit être envisagé chez les patients présentant des signes et symptômes respiratoires non spécifiques tels qu'hypoxie, épanchement pleural, toux ou dyspnée et lorsqu'une étiologie infectieuse, néoplasique ou toutes autres causes non médicamenteuses ont été exclues par les investigations appropriées. Les infections opportunistes telles que la pneumonie à pneumocystis jirovecii (carinii) (PPJ, PPC) devraient être exclues dans le cadre du diagnostic différentiel de pneumopathie non infectieuse (Cf. rubrique "Infections" ci-dessous). Il convient de recommander aux patients de signaler sans attendre tout symptôme respiratoire nouveau ou qui s'aggrave. Chez les patients qui développent des modifications radiologiques évoquant une pneumopathie non infectieuse sans symptôme ou accompagnées de symptômes mineurs, le traitement par évérolimus peut être poursuivi sans modification de la posologie. En présence d'une symptomatologie modérée (Grade 2) ou sévère (Grade 3) l'administration de corticoïdes peut être indiquée jusqu'à résolution des symptômes cliniques. Chez les patients qui nécessitent l'utilisation de corticostéroïdes pour le traitement d'une pneumopathie non infectieuse, une prophylaxie de la pneumonie à pneumocystis jirovecii (carinii) (PPJ, PPC) doit être envisagée. * Infections L'évérolimus possède des propriétés immunosuppressives et il peut prédisposer les patients aux infections bactériennes, fongiques, virales ou parasitaires, comprenant les infections par des agents pathogènes opportunistes (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Des infections localisées et systémiques, incluant des pneumonies, d'autres infections bactériennes, des infections fongiques invasives telles qu'aspergillose, candidose ou PPJ/PPC et les infections virales notamment des cas de réactivation d'hépatite virale B, ont été décrites chez des patients traités par ce médicament. Certaines de ces infections ont été sévères (conduisant par exemple à une septicémie, une insuffisance respiratoire ou hépatique) et parfois d'issue fatale. Les médecins et les patients doivent être conscients du risque accru d'infection avec ce médicament. Les infections préexistantes doivent être traitées de manière appropriée et la guérison complète doit être obtenue avant l'instauration d'un traitement par ce médicament. Au cours d'un traitement par ce médicament il convient d'être vigilant aux signes et symptômes d'infection : si une infection est diagnostiquée, un traitement approprié doit être instauré dans les plus brefs délais et l'arrêt temporaire ou définitif de ce médicament doit être envisagé. Si le diagnostic d'une infection fongique systémique invasive est fait, le traitement par ce médicament doit être arrêté immédiatement et définitivement, et le patient doit être traité par un traitement antifongique approprié. Des cas de PPJ/PPC, dont certains avec une issue fatale, ont été rapportés chez des patients qui recevaient évérolimus. La PPJ/PPC peut être associée à l'utilisation concomitante de corticostéroïdes ou d'autres agents immunosuppresseurs. Une prophylaxie des PPJ/PPC doit être envisagée lorsque l'utilisation concomitante de corticostéroïdes ou d'autres agents immunosuppresseurs est nécessaire. * Réactions d'hypersensibilité Des réactions d'hypersensibilité se manifestent par les symptômes comprenant de façon non exhaustive, anaphylaxie, dyspnée, érythème, douleur thoracique et oedème de Quincke (par exemple gonflement des voies respiratoires et de la langue avec ou sans altération de la respiration) ont été observés avec l'évérolimus (Cf. rubrique "Contre-indications"). * Utilisation concomitante avec des inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (ECA) Les patients traités de manière concomitante par des inhibiteurs de l'ECA (par exemple ramipril) peuvent être plus à risque de développer un oedème de Quincke (par exemple gonflement des voies respiratoires ou de la langue, avec ou sans altération de la respiration) (Cf. rubrique "Interactions"). * Stomatite La stomatite, incluant ulcérations buccales et mucite, est l'effet indésirable le plus fréquemment rapporté chez des patients traités par ce médicament (Cf. rubrique "Effets indésirables"). La stomatite apparait le plus souvent au cours des 8 premières semaines de traitement. Une étude en simple bras chez des patientes ménopausées atteintes d'un cancer du sein traitées par ce médicament et exémestane a montré qu'une solution orale de corticoïdes sans alcool, administrée en bain de bouche pendant les 8 premières semaines de traitement, peut diminuer l'incidence et la gravité des stomatites (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). La prise en charge des stomatites peut ainsi inclure l'utilisation prophylactique et/ou thérapeutique de traitements topiques, comme une solution orale de corticoïdes sans alcool utilisée en bain de bouche. Cependant les produits à base d'alcool, d'eau oxygénée, d'iode ou de dérivés du thym doivent être évités car ils peuvent exacerber l'affection. La surveillance et le traitement des infections fongiques sont recommandés, particulièrement chez les patients ayant été traités par des médicaments à base de stéroïdes. Les agents antifongiques ne doivent pas être utilisés, sauf si une infection fongique a été diagnostiquée(Cf. rubrique "Interactions"). * Insuffisance rénale Des cas d'insuffisance rénale (incluant des insuffisances rénales aigues) dont certains avec une issue fatale, ont été observés chez des patients traités par évérolimus (Cf. rubrique "Effets indésirables"). La fonction rénale doit être surveillée particulièrement lorsque les patients présentent des facteurs de risques associés qui pourraient davantage altérer leur fonction rénale. * Analyses biologiques et surveillance - Fonction rénale Des augmentations de la créatininémie, généralement légères, et des protéinuries ont été rapportées (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Il est recommandé de surveiller la fonction rénale, notamment l'urémie, la protéinurie ou la créatininémie avant le début du traitement par évérolimus et régulièrement ensuite. - Glycémie Des cas d'hyperglycémie ont été rapportés (Cf. rubrique "Effets indésirables"). La glycémie à jeun doit être contrôlée avant le début du traitement par évérolimus et régulièrement ensuite. Une surveillance plus fréquente est recommandée quand évérolimus est co-administré avec des médicaments pouvant induire une hyperglycémie. Dans la mesure du possible, la glycémie doit être équilibrée de façon optimale avant l'instauration du traitement par évérolimus. - Lipémie Des cas de dyslipidémie (incluant des cas d'hypercholestérolémie et d'hypertriglycéridémie) ont été rapportés. Il est recommandé de surveiller la cholestérolémie et la triglycéridémie avant le début du traitement par évérolimus et de manière régulière par la suite, et de les prendre en charge avec un traitement approprié. - Paramètres hématologiques Des diminutions de l'hémoglobine, des lymphocytes, des neutrophiles et des plaquettes ont été observées (Cf. rubrique "Effets indésirables"). La numération formule sanguine doit être contrôlée avant l'instauration du traitement par évérolimus et régulièrement ensuite. * Tumeurs carcinoïdes fonctionnelles Dans un essai randomisé, en double-aveugle et multicentrique, réalisé chez des patients avec des tumeurs carcinoïdes fonctionnelles, évérolimus en association à l'octréotide retard a été comparé au placebo associé à l'octréotide retard. L'étude n'a pas montré de différence statistiquement significative entre les 2 groupes sur le critère principal d'efficacité (survie sans progression [SSP]) et l'analyse intermédiaire de la survie globale (SG) était numériquement en faveur du bras placebo associé à l'octréotide. En conséquence, la sécurité et l'efficacité d'évérolimus chez les patients atteints de tumeurs carcinoïdes fonctionelles n'ont pas été démontrées. * Facteurs pronostiques des tumeurs neuroendocrines d'origine gastro-intestinale ou pulmonaire Chez les patients atteints de tumeurs neuroendocrines d'origine gastro-intestinale ou pulmonaire non fonctionnelles et présentant des facteurs de bon pronostic au diagnostic, (par exemple site tumoral primitif localisé à l'iléon et des valeurs normales de la chromogranine A ou absence d'atteinte osseuse) une évaluation individuelle du rapport bénéfice risque doit être réalisée avant de débuter le traitement par évérolimus. Des preuves limitées de bénéfice en termes de SSP ont été rapportées dans le sous-groupe de patients chez lesquels le site tumoral primitif était l'iléon (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). * Interactions L'administration concomitante avec des inhibiteurs et des inducteurs du CYP3A4 ou de la glycoprotéine P (PgP) pompe à efflux de nombreux médicaments, doit être évitée (Cf. rubrique "Interactions"). Si l'administration concomitante avec un inhibiteur ou un inducteur modéré du CYP3A4 et/ou de la PgP ne peut être évitée, l'état clinique du patient doit être étroitement surveillé. Des ajustements de dose peuvent être envisagés basés sur l'AUC prévisible (Cf. rubrique "Interactions"). Le traitement concomitant avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4/PgP entraîne, de façon considérable, une augmentation de la concentration plasmatique de l'évérolimus (Cf. rubrique "Interactions"). Il n'y a pas actuellement de données suffisantes pour permettre une recommandation des doses dans cette situation. Ainsi, le traitement concomitant par évérolimus avec des inhibiteurs puissants n'est pas recommandé. La prudence est requise lorsqu'évérolimus est pris en association avec des substrats du CYP3A4 à marge thérapeutique étroite administrés par voie orale, en raison du risque d'interactions médicamenteuses. Si évérolimus est administré en association à des substrats du CYP3A4 à marge thérapeutique étroite administrés par voie orale (par exemple : pimozide, terfénadine, astémizole, cisapride, quinidine ou dérivés de l'ergot de seigle), le patient doit être surveillé à la recherche des effets indésirables associés aux substrats du CYP3A4 administrés par voie orale et décrits dans le RCP (Cf. rubrique "Interactions"). * Insuffisance hépatique L'exposition à l'évérolimus a été augmentée chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère (classe A de Child-Pugh), modérée (classe B de Child-Pugh) et sévère (classe C de Child-Pugh) (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). L'utilisation d'évérolimus est uniquement recommandée chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (classe C de Child-Pugh) si le bénéfice potentiel est supérieur au risque (Cf. rubriques "Posologie" et "Propriétés pharmacocinétiques"). Aucune donnée clinique d'efficacité ou de tolérance n'est actuellement disponible pour appuyer des recommandations d'adaptation de posologie pour la prise en charge des effets indésirables chez les patients souffrant d'une insuffisance hépatique. * Vaccinations L'utilisation de vaccins vivants doit être évitée au cours du traitement par ce médicament (Cf. rubrique "Interactions"). * Lactose Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament. * Complications de la cicatrisation des plaies Une altération de la cicatrisation des plaies est un effet de la classe des dérivés de la rapamycine, y compris l'évérolimus. La prudence est donc requise avec l'utilisation de ce médicament dans la phase péri-opératoire. * Complications de la radiothérapie Des réactions graves et sévères aux radiations (telles que œsophagite radique, pneumopathie radique et lésion cutanée radique), y compris des cas mortels, ont été rapportés lorsque l'évérolimus était pris pendant, ou peu après, une radiothérapie. La prudence est donc requise quant à la potentialisation des toxicités radio-induites chez les patients prenant de l'évérolimus peu de temps après une radiothérapie. De plus, un phénomène de rappel (PR) a été rapporté chez des patients prenant de l'évérolimus qui avaient préalablement reçu une radiothérapie. Dans le cas d'un PR, l'interruption ou l'arrêt du traitement par évérolimus doit être considéré. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 24/06/2022 |
L'évérolimus est un substrat du CYP3A4 et un substrat et un inhibiteur modéré de la glycoprotéine P (PgP). Par conséquent, l'absorption puis l'élimination de l'évérolimus peuvent être influencées par les médicaments qui agissent sur le CYP3A4 et/ou la PgP. In vitro, l'évérolimus est un inhibiteur compétitif du CYP3A4 et un inhibiteur mixte du CYP2D6. Les interactions connues et théoriques avec des inhibiteurs et des inducteurs sélectifs du CYP3A4 et de la PgP sont décrites ci-dessous. - Inhibiteurs du CYP3A4 et de la PgP susceptibles d'augmenter les concentrations d'évérolimus Les inhibiteurs du CYP3A4 ou de la PgP peuvent augmenter les concentrations sanguines de l'évérolimus en diminuant le métabolisme ou l'efflux de l'évérolimus des cellules intestinales. - Inducteurs du CYP3A4 et de la PgP susceptibles de diminuer les concentrations d'évérolimus Les substances qui sont des inducteurs du CYP3A4 et de la PgP peuvent diminuer les concentrations sanguines de l'évérolimus en augmentant le métabolisme de l'évérolimus ou l'fflux de l'évérolimus des cellules intestinales. * Effets des autres substances actives sur l'évérolimus -> Inhibiteurs puissants DE CYP3A4/PgP - Kétoconazole . AUC augmentée 15,3 fois (intervalle 11,2-22,5) . Cmax augmentée 4,1 fois (intervalle 2,6-7,0) - Itraconazole, posaconazole, voriconazole, télithromycine, clarithromycine, néfazodone, ritonavir, atazanavir, saquinavir, darunavir, indinavir, nelfinavir . Non étudiée, une augmentation importante des concentrations de l'évérolimus est attendue. - L'administration concomitante de ce médicament avec des inhibiteurs puissants n'est pas recommandée. -> Inhibiteurs modérés DE CYP3A4/PgP - Erythromycine . AUC augmentée 4,4 fois (intervalle 2,0-12,6) . Cmax augmentée 2,0 fois (intervalle 0,9-3,5) - Imatinib . ASC augmentée 3,7 fois . Cmax augmentée 2,2 fois - Vérapamil . AUC augmentée 3,5 fois (intervalle 2,2-6,3) . Cmax augmentée 2,3 fois (intervalle 1,3-3,8) - Ciclosporine orale . AUC augmentée 2,7-fois (intervalle 1,5-4,7) . Cmax augmentée 1,8 fois(intervalle 1,3-2,6) - Fluconazole, diltiazem, dronadérone, amprenavir, fosamprenavir . Non étudiée. Exposition accrue attendue. - Utilisation avec précaution quand l'administration concomitante avec des inhibiteurs modérés du CYP3A4 ou de la PgP ne peut être évitée. Si l'administration concomitante avec un inhibiteur modéré du CYP3A4 ou de la PgP est requise, une réduction de dose à 5 mg par jour ou 2,5 mg par jour peut être envisagée. Toutefois, il n'y a pas de données cliniques suffisantes sur l'ajustement de dose. En raison de la variabilité entre les sujets, les ajustements de dose recommandés ne peuvent être optimaux pour tous les individus, une surveillance étroite des effets indésirables est donc recommandée. Si l'inhibiteur modéré est arrêté, envisager une période d'élimination d'au moins 2 à 3 jours (temps moyen d'élimination des inhibiteurs modérés les plus utilisés) avant de reprendre la dose d'évérolimus utilisée avant l'instauration de l'administration concomitante. - Jus de pamplemousse ou autres aliments ayant un effet sur les CYP3A4/PgP . Non étudiée. Exposition accrue attendue (variation élevée des effets). L'association doit être évitée. -> Inducteurs puissants DE CYP3A4/PgP - Rifampicine . AUC diminuée de 63% (intervalle 0-80%) . Cmax diminuée de 58% (intervalle 10-70%) - Dexaméthasone . Non étudiée. Diminution de l'exposition attendue. - Carbamazépine, phénobarbital, phénytoine, efavirenz, nevirapine . Non étudiée. Diminution de l'exposition attendue. - Eviter l'utilisation concomitante avec les inducteurs puissants du CYP3A4. Si une administration concomitante avec un inducteur puissant du CYP3A4 est requise, une augmentation de la dose d'évérolimus de 10 mg par jour jusqu'à 20 mg par jour en utilisant une augmentation par pallier de 5 mg ou moins est appliquée le 4iéme jour et 8ième jour après l'initiation du traitement par l'inducteur. Cette dose d'évérolimus est établie pour ajuster l'AUC à l'intervalle de valeurs observées sans inducteur. Toutefois il n'existe aucune donnée clinique disponible avec cet ajustement de dose. Lorsque le traitement par l'inducteur puissant est arrêté, envisager une période d'élimination d'au moins 3 à 5 jours (temps raisonnable pour une levée significative de l'induction enzymatique), avant de reprendre la dose d'évérolimus utilisée avant l'instauration de l'administration concomitante. - Millepertuis (Hypericum Perforatum) . Non étudiée. Diminution importante de l'exposition attendue. Les préparations contenant du millepertuis ne doivent pas être utilisées pendant un traitement par évérolimus. * Produits dont la concentration plasmatique peut être altérée par l'évérolimus En fonction des résultats des études in vitro, au vu des concentrations systémiques obtenues avec des doses par voie orale de 10 mg, l'inhibition de la PgP, du CYP3A4 et du CYP2D6 est peu vraisemblable. Toutefois, l'inhibition du CYP3A4 et de la PgP dans l'intestin ne peut être exclue. Une étude d'interaction chez des sujets sains a montré que l'administration concomitante d'une dose orale de midazolam, un substrat sensible du CYP3A, avec l'évérolimus entraînait une augmentation de 25 % de la Cmax du midazolam et une augmentation de 30 % de l'AUC (0-inf) du midazolam. Cet effet est susceptible d'être dû à l'inhibition du CYP3A4 intestinal par l'évérolimus. L'évérolimus peut donc modifier la biodisponibilité des substrats du CYP3A4 administrés en association par voie orale. Toutefois, un effet cliniquement pertinent sur l'exposition aux substrats du CYP3A4 administrés par voie systémique n'est pas attendu (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). L'administration concomitante d'évérolimus et d'octréotide à libération prolongée a augmenté la Cmin de l'octréotide avec un rapport des moyennes géométriques (évérolimus/placebo) de 1,47. Un effet cliniquement significatif sur l'efficacité de l'évérolimus chez les patients atteints de tumeurs neuroendocrines avancées n'a pas pu être établi. L'administration concomitante d'évérolimus et d'exémestane a augmenté la Cmin et la C2h de l'exémestane de 45 % et 64 % respectivement. En revanche, les taux correspondants d'oestradiol à l'état d'équilibre (4 semaines) n'ont pas été différents entre les deux groupes de traitement. Aucune augmentation des effets indésirables liés à l'exémestane n'a été observée chez les patientes atteintes d'un cancer du sein avancé avec récepteurs hormonaux positifs recevant l'association. L'augmentation des taux d'exémestane ne devrait pas avoir d'impact sur l'efficacité ou la tolérance. * Utilisation concomitante avec des inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (ECA) Les patients traités de manière concomitante par des inhibiteurs de l'ECA (par exemple ramipril) peuvent être plus à risque de développer un oedème de Quincke (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). * Vaccinations La réponse immunitaire à la vaccination peut être affectée. Ainsi, la vaccination au cours d'un traitement par ce médicament peut-elle être moins efficace. L'utilisation de vaccins vivants doit être évitée pendant le traitement par ce médicament (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Exemples de vaccins vivants : vaccin antigrippal intranasal, vaccins anti-rougeoleux, contre les oreillons,anti-rubéolique, vaccin antipoliomyélitique oral, BCG (Bacillus Calmette-Guérin), vaccins antiamarile, contre la varicelle et vaccin typhoïde Ty21a. * Radiothérapie Des cas de potentialisation des toxicités radio-induites ont été rapportés chez des patients recevant l'évérolimus (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Effets indésirables"). |
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Référence(s) officielle(s):  Rectificatif AMM européenne 24/06/2022 |
Effet spécialité |
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Niveau(x) de risque |
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Il n'existe pas de données suffisamment pertinentes concernant l'utilisation de l'évérolimus chez la femme enceinte. Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence une toxicité sur la reproduction, incluant une toxicité embryonnaire et foetale (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). Le risque potentiel en clinique n'est pas connu. L'évérolimus n'est pas recommandé chez la femme enceinte sans méthode contraceptive. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 24/06/2022 |
Recommandations |
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* Femmes en âge d'avoir des enfants/Contraception chez les hommes et les femmes Les femmes en âge d'avoir des enfants doivent utiliser une méthode contraceptive hautement efficace (par exemple : méthode de contrôle des naissances hormonale ne contenant pas d'oestrogène administrée par voie orale, injectable ou implantable, contraceptifs à base de progestérone, hystérectomie, ligature des trompes, abstinence complète, méthode de contraception barrière, dispositif intra-utérin [DIU], et/ou stérilisation de la femme/de l'homme) pendant le traitement par l'évérolimus et jusqu'à 8 semaines après l'arrêt du traitement. Il n'y a pas lieu d'interdire aux patients masculins de procréer. * Fécondité La possibilité que l'évérolimus provoque une stérilité chez les patients hommes et femmes est inconnue, néanmoins on a observé une aménorrhée secondaire et un déséquilibre du rapport hormones lutéinisantes (LH)/hormones folliculo-stimulantes (FSH) chez les patientes femmes. Les observations précliniques indiquent que le traitement par ce médicament peut diminuer la fertilité masculine et féminine (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 24/06/2022 |
Passage dans le lait | Pas d'information |
Fixation protéique | Pas d'information |
Rapport concentration lait/plasma maternels | Pas d'information |
Concentration dans 100 ml de lait maternel | Pas d'information |
Recommandations |
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On ne sait pas si l'évérolimus est excrété dans le lait maternel humain. Cependant, les études chez le rat ont montré que l'évérolimus et/ou ses métabolites passaient facilement dans le lait (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). Par conséquent, les femmes traitées par l'évérolimus ne doivent pas allaiter pendant le traitement et pendant les 2 semaines qui suivent la prise de la dernière dose. |
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Référence(s) officielle(s): | Rectificatif AMM européenne 24/06/2022 |
Recommandations |
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Ce médicament a une influence mineure ou modérée sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. Les patients devront être informés d'être prudents lorsqu'ils conduisent ou utilisent des machines s'ils ont présenté de la fatigue au cours d'un traitement par ce médicament. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 24/06/2022 |
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
Site internet: www.ansm.sante.fr.
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