OVITRELLE 250MCG/0,5ML SOL INJ STYLO
OVITRELLE 250 MICROGRAMMES, SOLUTION INJECTABLE EN STYLO PREREMPLI
Fiche(s) d'identité interopérable
Historique des références officielles
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Cette monographie a été revue le : 24/02/2023
Mises en garde et précautions d'emploi
- Résumé des Caractéristiques du Produit (RCP)
Terrain N° 1 HYPOTHYROIDIE
    Niveau(x)
    • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
    • FAIRE TRAITEMENT ADAPTE
    • Cf. CONTRE INDICATIONS
    Référence(s) officielle(s)
    • Rectificatif AMM européenne 14/10/2022
    CIM 10
    • Syndrome d'insuffisance thyroïdienne congénitale E00
    • Affections thyroïdiennes et apparentées liées à une carence en iode E01
    • Hypothyroïdie par carence inapparente en iode E02
    • Autres hypothyroïdies E03

    Terrain N° 2 INSUFFISANCE SURRENALIENNE
      Niveau(x)
      • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
      • FAIRE TRAITEMENT ADAPTE
      • Cf. CONTRE INDICATIONS
      Référence(s) officielle(s)
      • Rectificatif AMM européenne 14/10/2022
      CIM 10
      • Insuffisance corticosurrénale primaire E271
      • Crise addisonienne E272
      • Insuffisance corticosurrénale médicamenteuse E273
      • Insuffisances corticosurrénales, autres et sans précision E274

      Terrain N° 3 HYPERPROLACTINEMIE
        Niveau(x)
        • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
        • FAIRE TRAITEMENT ADAPTE
        • Cf. CONTRE INDICATIONS
        Référence(s) officielle(s)
        • Rectificatif AMM européenne 14/10/2022
        CIM 10
        • Hyperprolactinémie E221

        Terrain N° 4 ALTERATION DE L'ETAT GENERAL
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • UTILISER AVEC PRUDENCE
          • RISQUE D'AGGRAVATION DES SYMPTOMES
          • METTRE EN BALANCE BENEFICES ET RISQUES
          Référence(s) officielle(s)
          • Rectificatif AMM européenne 14/10/2022
          CIM 10
          • Malaise et fatigue R53

          Terrain N° 5 HYPERSTIMULATION OVARIENNE
            Niveau(x)
            • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
            • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
            • SURVEILLANCE ECHOGRAPHIQUE
            • RESPECTER LA POSOLOGIE
            Référence(s) officielle(s)
            • Rectificatif AMM européenne 14/10/2022
            CIM 10
            • Hyperstimulation des ovaires N981

            Terrain N° 6 DYSFONCTIONNEMENT THYROIDIEN
              Niveau(x)
              • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
              Référence(s) officielle(s)
              • Rectificatif AMM européenne 14/10/2022
              CIM 10
              • Affections de la glande thyroïde E00-E07

              Terrain N° 7 DYSFONCTIONNEMENT SURRENALIEN
                Niveau(x)
                • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                Référence(s) officielle(s)
                • Rectificatif AMM européenne 14/10/2022
                CIM 10
                • Maladie de la glande surrénale, sans précision E279

                Terrain N° 8 INSUFFISANCE HYPOPHYSAIRE
                  Niveau(x)
                  • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                  Référence(s) officielle(s)
                  • Rectificatif AMM européenne 14/10/2022
                  CIM 10
                  • Hypopituitarisme E230

                  Terrain N° 9 MALADIE THROMBOEMBOLIQUE
                  • MALADIE THROMBOEMBOLIQUE ATCD PERSONNEL
                  • MALADIE THROMBOEMBOLIQUE ATCD FAMILIAL
                  Niveau(x)
                  • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                  • METTRE EN BALANCE BENEFICES ET RISQUES
                  • Cf. CONTRE INDICATIONS
                  Référence(s) officielle(s)
                  • Rectificatif AMM européenne 14/10/2022
                  CIM 10
                  • Embolie et thrombose artérielles I74
                  • Phlébite et thrombophlébite I80
                  • Autres embolies et thromboses veineuses I82
                  • Antécédents personnels de maladies de l'appareil circulatoire Z867

                  Terrain N° 10 EXAMEN LABORATOIRE INTERFERENCE
                  • INTERACTION AVEC EXAMENS DE LABORATOIRE
                  • DOSAGE hCG
                  • DOSAGE HORMONAL
                  Niveau(x)
                  • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                  Référence(s) officielle(s)
                  • Rectificatif AMM européenne 14/10/2022
                  CIM 10
                  • Non concerné .

                  Terrain N° 11 INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
                    Niveau(x)
                    • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                    • TOLERANCE NON ETABLIE
                    • EFFICACITE NON ETABLIE
                    • Cf. POSOLOGIE
                    La sécurité, l'efficacité et les propriétés pharmacocinétiques de ce médicament chez les patientes atteintes d'insuffisance rénale n'ont pas été établies.
                    Référence(s) officielle(s)
                    • Rectificatif AMM européenne 14/10/2022
                    CIM 10
                    • Maladie rénale chronique N18

                    Terrain N° 12 INSUFFISANCE HEPATIQUE
                      Niveau(x)
                      • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                      • TOLERANCE NON ETABLIE
                      • EFFICACITE NON ETABLIE
                      • Cf. POSOLOGIE
                      La sécurité, l'efficacité et les propriétés pharmacocinétiques de ce médicament chez les patientes atteintes hépatique n'ont pas été établies.
                      Référence(s) officielle(s)
                      • Rectificatif AMM européenne 14/10/2022
                      CIM 10
                      • Insuffisance hépatique, non classée ailleurs K72

                      Terrain N° 13 QUEL QUE SOIT LE TERRAIN
                        Niveau(x)
                        • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                        • BILAN THYROIDIEN AVANT TRAITEMENT
                        • BILAN GYNECOLOGIQUE AVANT TRAITEMENT
                        • BILAN HORMONAL AVANT TRAITEMENT
                        • SURVEILLANCE CLINIQUE
                        • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
                        • RESPECTER LES MODALITES DE MANIPULATION
                        • RESPECTER LES MODALITES D'ADMINISTRATION
                        • RISQ SYNDROME D'HYPERSTIMUL OVARIENNE
                        • RISQUE DE GROSSESSE MULTIPLE
                        • RISQUE DE FAUSSE COUCHE
                        • RISQUE DE GROSSESSE EXTRAUTERINE
                        • RISQUE DE MALFORMATION CONGENITALE
                        Référence(s) officielle(s)
                        • Rectificatif AMM européenne 14/10/2022
                        CIM 10
                        • Non concerné .





                        - Commentaires du RCP :
                        - Traçabilité
                        Afin d'améliorer la traçabilité des médicaments biologiques, le nom et le numéro de lot du produit administré doivent être clairement enregistrés.

                        - Recommandations générales
                        Avant de commencer le traitement, les couples infertiles devront subir des examens et les éventuelles contre-indications à une grossesse devront être recherchées. Les examens porteront tout particulièrement sur l'hypothyroïdie et l'insuffisance corticosurrénalienne, l'hyperprolactinémie et les tumeurs hypophysaires ou hypothalamiques pour lesquelles des traitements spécifiques seront prescrits.

                        On ne dispose d'aucune expérience clinique concernant l'utilisation de ce médicament pour le traitement d'autres affections (comme l'insuffisance du corps jaune ou les affections masculines) ; par conséquent, l'utilisation de ce médicament pour le traitement de ces affections n'est pas indiquée.

                        - Syndrome d'hyperstimulation ovarienne (SHO)
                        L'hypertrophie des ovaires à un certain degré est un effet attendu à la suite d'une stimulation ovarienne contrôlée. Celle-ci s'observe plus fréquemment chez les femmes atteintes d'un syndrome des ovaires polykystiques et régresse généralement sans aucun traitement.

                        Par rapport à une hypertrophie des ovaires non compliquée, le SHO est une complication qui peut se manifester avec des degrés de sévérité croissants. Il comprend une hypertrophie marquée des ovaires, une concentration sérique élevée de stéroïdes sexuels, ainsi qu'une augmentation de la perméabilité vasculaire pouvant entraîner une accumulation de liquide dans les cavités péritonéale, pleurale et, plus rarement, péricardique.

                        Un SHO d'intensité légère peut inclure des douleurs abdominales, une gêne abdominale et une distension abdominale, ainsi qu'une hypertrophie des ovaires. Un SHO d'intensité modérée peut en outre s'accompagner de nausées, de vomissements, de la présence d'une ascite à l'échographie ou d'une hypertrophie marquée des ovaires.

                        Un SHO sévère inclut de plus des symptômes tels que : une hypertrophie sévère des ovaires, une prise de poids, une dyspnée ou une oligurie. Le bilan clinique peut mettre en évidence des signes cliniques tels qu'une hypovolémie, une hémoconcentration, des déséquilibres électrolytiques, une ascite, un épanchement pleural ou un syndrome de détresse respiratoire aiguë. Très rarement, un SHO sévère peut s'accompagner de complications comme une torsion des ovaires ou des accidents
                        thromboemboliques, telles qu'une embolie pulmonaire, un accident vasculaire cérébral ischémique ou un infarctus du myocarde.

                        Les facteurs de risque indépendants de développement d'un SHO comprennent un jeune âge, une maigreur, un syndrome des ovaires polykystiques, des doses plus élevées de gonadotrophines exogènes, des taux sériques d'estradiol absolus élevés ou en augmentation rapide, ainsi que des antécédents de SHO, un grand nombre de follicules ovariens en développement et un grand nombre d'ovocytes récupérés lors de cycles d'AMP.

                        Le respect des doses et des schémas d'administration recommandés pour ce médicament peuvent permettre de réduire le risque d'hyperstimulation ovarienne. Il est recommandé de surveiller les cycles de stimulation par examen échographique ainsi que par le dosage de l'estradiol afin de repérer précocement les facteurs de risque.

                        Certains résultats laissent supposer que l'hCG joue un rôle clé dans le déclenchement d'un SHO et que sa sévérité pourrait être plus élevée et sa durée plus longue en cas de grossesse. Par conséquent, si des signes d'hyperstimulation ovarienne apparaissent, il est recommandé de ne pas administrer l'hCG et de conseiller à la patiente de ne pas avoir de rapports sexuels ou d'utiliser une contraception de type barrière pendant au moins 4 jours.

                        Un SHO peut évoluer rapidement (en 24 heures) ou sur une période de plusieurs jours et devenir médicalement grave ; aussi les patientes devront être suivies pendant au moins 2 semaines après l'administration d'hCG.

                        En général, un SHO d'intensité légère ou modérée disparaît spontanément. En cas de SHO sévère, il est recommandé d'arrêter le traitement par gonadotrophines, d'hospitaliser la patiente et de débuter un traitement approprié.

                        - Grossesse multiple
                        Comparée à une conception naturelle, l'incidence de grossesses et de naissances multiples est augmentée chez les patientes recevant un traitement inducteur de l'ovulation. La majorité des grossesses multiples sont gémellaires. Les grossesses multiples, spécialement celles de haut rang, entraînent un risque élevé de complications pour la mère et les nouveau-nés.

                        Afin de réduire le risque de grossesse multiple de haut rang, il est recommandé de surveiller attentivement la réponse ovarienne. Chez les patientes ayant recours à une AMP, le risque de grossesse multiple est principalement lié au nombre d'embryons implantés dans l'utérus, à leur qualité ainsi qu'à l'âge de la patiente.

                        - Fausse couche
                        Le risque de fausse couche spontanée ou d'avortement est plus élevé chez les patientes traitées dans le cadre d'une stimulation de la croissance folliculaire pour induction de l'ovulation ou AMP que dans le cas d'une conception naturelle.

                        - Grossesse extra-utérine
                        Les femmes ayant des antécédents de pathologie tubaire sont exposées à un risque élevé de grossesse extra-utérine, que la grossesse ait été obtenue par conception naturelle ou au moyen d'un traitement stimulant la fertilité. La prévalence des grossesses ectopiques après AMP est supérieure à celle de la population générale.

                        - Malformations congénitales
                        La prévalence des malformations congénitales suite à l'AMP peut être légèrement plus élevée que suite à une conception naturelle. Ceci pourrait être dû, vraisemblablement, aux différences liées aux caractéristiques parentales (p. ex., âge de la mère, caractéristiques du sperme) et à l'incidence accrue des grossesses multiples.

                        - Accident thromboembolique
                        Chez les femmes récemment affectées par une maladie thromboembolique ou celles présentant des facteurs de risque généralement reconnus d'accident thromboembolique, comme des antécédents personnels ou familiaux, le traitement par les gonadotropines peut accroître encore le risque d'aggravation ou de survenue de ces accidents. Chez ces femmes, les bénéfices de l'administration de gonadotropines doivent être évalués au regard des risques. Il est à noter, cependant, que la grossesse elle-même, ainsi que le SHO, sont également associés à un risque accru d'accidents thromboemboliques.

                        - Tumeurs de l'appareil génital
                        Des tumeurs bénignes et malignes de l'ovaire et d'autres organes de la reproduction ont été rapportées chez des femmes ayant eu recours à plusieurs traitements contre l'infertilité. Il n'a pas encore été établi si le traitement par gonadotrophines augmente ou non le risque de ces tumeurs chez les femmes infertiles.

                        - Interférences avec les analyses sérologiques ou d'urine
                        Jusqu'à 10 jours après l'administration, ce médicament peut interférer avec le dosage immunologique d'hCG sérique ou urinaire, conduisant potentiellement à des résultats faux-positifs au test de grossesse. Les patientes doivent en être averties.

                        - Teneur en sodium
                        Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose, c.-à-d. qu'il est essentiellement "sans sodium".
                        Référence(s) officielle(s) Rectificatif AMM européenne 14/10/2022




                        Autres sources d'information
                        Terrain N° 14 SPORTIF / DOPAGE
                          Niveau(x)
                          • RECOMMANDATION SPORTIF / DOPAGE
                          • PRESENCE SUBSTANCE(S) DOPANTE(S)
                          • HORMONES, FACT CROISSANCE ET SUBST. APPARENTEES (S2)
                          • SUBSTANCE INTERDITE EN/HORS COMPETITION
                          • INFO DU MINISTERE JEUNESSE ET SPORTS
                          • SITE WEB HTTP://www.santesport.gouv.fr
                          Journal officiel du 30 décembre 2023

                          Ministère de l'europe et des affaires étrangères.

                          Décret no 2023-1334 du 29 décembre 2023 portant publication de l'amendement à l'annexe I de la convention internationale contre le dopage dans le sport, adopté à Paris le 15 novembre 2023 (1)


                          CODE MONDIAL ANTIDOPAGE

                          LISTE DES INTERDICTIONS 2024 - STANDARD INTERNATIONAL

                          Entrée en vigueur le 1er janvier 2024

                          Le texte officiel de la Liste des interdictions est maintenu par l'AMA et sera publié en anglais et en français. En cas de conflit entre les versions anglaise et française, la version anglaise prévaudra.

                          Voici quelques termes utilisés dans cette Liste des substances et des méthodes interdites :

                          INTERDITE EN COMPÉTITION
                          Sous réserve d'une période différente ayant été approuvée par l'AMA pour un sport donné, la période En compétition est en principe la période commençant juste avant minuit (à 23 h 59) la veille d'une compétition à laquelle le sportif doit participer jusqu'à la fin de la compétition et le processus de collecte des échantillons.

                          INTERDITE EN PERMANENCE
                          Cela signifie que la substance ou la méthode est interdite en tout temps tel que défini dans le Code.

                          SPÉCIFIÉE ET NON-SPÉCIFIÉE
                          Conformément à l'article 4.2.2 du Code mondial antidopage, "aux fins de l'application de l'article 10, toutes les substances interdites sont des substances spécifiées sauf mention contraire dans la Liste des interdictions. Aucune méthode interdite ne sera considérée comme une méthode spécifiée si elle n'est pas identifiée comme telle dans la Liste des interdictions". Selon le commentaire de l'article, "les substances et méthodes spécifiées identifiées à l'article 4.2.2 ne devraient en aucune manière être considérées comme moins importantes ou moins dangereuses que d'autres substances ou méthodes dopantes. Au contraire, ce sont simplement des substances et des méthodes qui ont plus de probabilité d'avoir été consommées ou utilisées par un sportif dans un but autre que l'amélioration des performances sportives."

                          SUBSTANCES D'ABUS
                          Conformément à l'article 4.2.3 du Code, les substances d'abus sont "les substances interdites qui sont spécifiquement identifiées comme des substances d'abus dans la Liste des interdictions parce qu'elles donnent souvent lieu à des abus dans la société en dehors du contexte sportif". Ce qui suit sont désignées Substances d'abus : cocaïne, diamorphine (héroïne), méthylènedioxyméthamphétamine (MDMA/"ecstasy"), tétrahydrocannabinol (THC).

                          SUBSTANCES ET METHODES INTERDITES EN PERMANENCE (EN ET HORS COMPETITION)

                          SUBSTANCES INTERDITES


                          * S0. SUBSTANCES NON APPROUVEES

                          Toutes les substances de cette classe sont interdites en permanence (en et hors compétition). Toutes les substances interdites de cette classe sont des substances spécifiées.
                          Toute substance pharmacologique non incluse dans une section de la Liste ci-dessous et qui n'est pas actuellement approuvée pour une utilisation thérapeutique chez l'Homme par une autorité gouvernementale réglementaire de la santé (par ex. médicaments en développement préclinique ou clinique ou médicaments discontinués, médicaments à façon, substances approuvées seulement pour usage vétérinaire) est interdite en permanence.
                          Cette classe couvre de nombreuses substances différentes, y compris, mais sans s'y limiter, le BPC-157, le 2,4- dinitrophénol (DNP) et les activateurs de la troponine (par ex. le reldesemtiv et le tirasemtiv).


                          * S2. HORMONES PEPTIDIQUES, FACTEURS DE CROISSANCE, SUBSTANCES APPARENTEES ET MIMETIQUES

                          Toutes les substances interdites de cette classe sont des substances non-spécifiées.
                          Certaines de ces substances peuvent être trouvées, sans limitation, dans les médicaments utilisés pour le traitement par ex. de l'anémie, de l'hypogonadisme (mâle), de la déficience en hormone de croissance.
                          Les substances qui suivent, et les autres substances possédant une structure chimique similaire ou un (des) effet(s) biologique(s) similaire(s), sont interdites :
                          S2.1. Erythropoïétines (EPO) et agents affectant l'érythropoïèse, incluant sans s'y limiter :

                          S2.1.1 Agonistes du récepteur de l'érythropoïétine, par ex. darbépoétine (dEPO) ; érythropoïétines (EPO) ; dérivés d'EPO [par ex. EPO-Fc, méthoxy polyéthylène glycol-époétine béta (CERA)] ; agents mimétiques de l'EPO et leurs dérivés par ex. CNTO–530 et péginesatide.

                          S2.1.2 Agents activants du facteur inductible par l'hypoxie (HIF) par ex. cobalt ; daprodustat (GSK1278863) ; molidustat (BAY 85-3934) ; roxadustat (FG-4592) ; vadadustat (AKB-6548) ; xénon.

                          S2.1.3 Inhibiteurs de GATA, par ex. K-11706.

                          S2.1.4 Inhibiteurs de la signalisation du facteur transformateur de croissance-bêta (TGFbêta), par ex. luspatercept ; sotatercept.

                          S2.1.5 Agonistes du récepteur de réparation innée, par ex. asialo-EPO ; EPO carbamylée (CEPO).

                          S2.2. Hormones peptidiques et leurs facteurs de libération.

                          S2.2.1 Peptides stimulant la testostérone interdits chez le sportif de sexe masculin, incluant sans s'y limiter : – gonadotrophine chorionique (CG) – hormone lutéinisante (LH) – hormone de libération des gonadotrophines hypophysaires (GnRH, gonadoréline) et ses analogues agonistes (par ex. buséréline, desloréline, goséréline, histréline, leuproréline, nafaréline et triptoréline) ; – kisspeptine et ses analogues agonistes.

                          S2.2.2 Corticotrophines et leurs facteurs de libération par ex. corticoréline et tétracosactide.

                          S2. 2.3 Hormone de croissance (GH), ses analogues et ses fragments sans s'y limiter : les analogues de l'hormone de croissance, par ex. lonapegsomatropine, somapacitan et somatrogon ; les fragments de l'hormone de croissance, par ex. AOD–9604 et hGH176-191 ;

                          S2. 2.4 Les facteurs de libération de l'hormone de croissance, incluant sans s'y limiter :
                          - l'hormone de libération de l'hormone de croissance (GHRH) et ses analogues, (par ex. CJC-1293, CJC-1295, sermoréline et tésamoréline) ;
                          - les sécrétagogues de l'hormone de croissance (GHS) et leurs mimétiques, [par ex. anamoréline, capromoréline, ibutamoren (MK-677), ipamoréline, lénomoréline (ghréline), macimoréline et tabimoréline] ;
                          - les peptides libérateurs de l'hormone de croissance (GHRPs), [par ex. alexamoréline, examoréline (hexaréline), GHRP-1, GHRP-2 (pralmoréline), GHRP-3, GHRP-4, GHRP-5 et GHRP-6].

                          3. Facteurs de croissance et modulateurs de facteurs de croissance, incluant sans s'y limiter :
                          - Facteur de croissance dérivé des plaquettes (PDGF) ;
                          - Facteur de croissance endothélial vasculaire (VEGF) ;
                          - Facteur de croissance analogue à l'insuline-1 (IGF-1, mécasermine) et ses analogues ;
                          - Facteur de croissance des hépatocytes (HGF) ;
                          - Facteurs de croissance fibroblastiques (FGF) ;
                          - Facteurs de croissance mécaniques (MGF) ;
                          - Thymosine-bêta4 et ses dérivés, par ex. TB-500 et autres facteurs de croissance ou modulateur de facteur(s) de croissance influençant le muscle, le tendon ou le ligament, la synthèse/dégradation protéique, la vascularisation, l'utilisation de l'énergie, la capacité régénératrice ou le changement du type de fibre musculaire.
                          CIM 10
                          • Non concerné .

                          Terrain N° 15 EXPOSITION A UNE TEMPERATURE EXTREME
                            Niveau(x)
                            • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                            • METTRE EN BALANCE BENEFICES ET RISQUES
                            • PREVENIR LE MALADE
                            Référence(s) officielle(s)
                            CIM 10
                            • Effets de la chaleur et de la lumière T67
                            • Exposition à une chaleur artificielle excessive W92

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