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Terrain N° 1 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Cf. aussi "Thesaurus interactions ansm". |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | INTERVENTION CHIRURGICALE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | INSUFFISANCE HEPATIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | ATTEINTE HEPATIQUE
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | PERSONNEL SOIGNANT FEMININ |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | PARTENAIRE : FEMME ENCEINTE |
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D'après les études chez l'animal, il est peu probable qu'un foetus mâle soit affecté si sa mère est exposée au dutastéride contenu dans le sperme d'un patient traité (le risque étant plus grand pendant les 16 premières semaines de grossesse). Cependant, comme avec tous les inhibiteurs de la 5-alpha réductase, il est recommandé que le patient utilise un préservatif si sa partenaire est, ou peut être, potentiellement enceinte afin d'éviter toute exposition. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | PARTENAIRE : FEMME EN AGE DE PROCREER |
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D'après les études chez l'animal, il est peu probable qu'un foetus mâle soit affecté si sa mère est exposée au dutastéride contenu dans le sperme d'un patient traité (le risque étant plus grand pendant les 16 premières semaines de grossesse). Cependant, comme avec tous les inhibiteurs de la 5-alpha réductase, il est recommandé que le patient utilise un préservatif si sa partenaire est, ou peut être, potentiellement enceinte afin d'éviter toute exposition. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | SUJET AGE |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Compte tenu du risque potentiellement augmenté d'effets indésirables (incluant l'insuffisance cardiaque), l'association fixe doit être prescrite après une évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque, et ceci après avoir envisagé les autres alternatives thérapeutiques, y compris les monothérapies. - Cancer de la prostate et tumeurs de haut grade L'étude REDUCE, essai sur 4 ans, multicentrique, randomisé, en double aveugle et contrôlé versus placebo visait à étudier l'effet du dutastéride à un dosage de 0,5 mg par jour chez des patients ayant un risque élevé de cancer de la prostate (incluant des hommes de 50 à 75 ans avec un taux de PSA compris entre 2,5 et 10 ng/ml et une biopsie de la prostate négative 6 mois avant l'inclusion dans l'étude). Les résultats de l'étude ont montré une incidence plus élevée de cancer de la prostate avec un score de Gleason de 8-10 chez les hommes traités par dutastéride (n = 29, 0,9 %) en comparaison à ceux prenant un placebo (n = 19, 0,6 %). La relation entre le dutastéride et les cancers de la prostate avec un score de Gleason de 8-10 n'est pas clairement établie. En conséquence, les hommes traités par dutastéride/tamsulosine doivent faire l'objet d'une évaluation régulière concernant le cancer de la prostate (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). - Antigène spécifique de la prostate (PSA) Le taux sérique de PSA est un examen important dans le dépistage du cancer de la prostate. Après 6 mois de traitement, ce médicament entraîne une diminution des taux sériques moyens de PSA d'environ 50 %. Un nouveau dosage de référence du PSA doit être effectué après 6 mois de traitement chez les patients recevant ce médicament. Il est recommandé par la suite de surveiller régulièrement les valeurs de PSA. Au cours d'un traitement par ce médicament, toute augmentation confirmée du taux de PSA par rapport à sa valeur la plus basse peut signaler la présence d'un cancer de la prostate ou être du à une non observance du traitement avec ce médicament. Cette augmentation doit être interprétée avec attention, même si ces valeurs restent dans la normale pour des hommes ne prenant pas un inhibiteur de la 5 a-réductase (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). Chez un patient recevant du dutastéride, pour interpréter une valeur de PSA il faut rechercher les valeurs antérieures de PSA afin d'effectuer une comparaison. Le traitement par ce médicament n'interfère pas avec l'utilisation du PSA comme outil d'aide au diagnostic du cancer de la prostate une fois qu'une nouvelle valeur de base a été établie. Le taux sérique de PSA total revient à son niveau de base dans les 6 mois après l'arrêt du traitement. Le rapport PSA libre sur PSA total reste constant même pendant le traitement par ce médicament. Si le clinicien choisit d'utiliser le pourcentage de PSA libre comme outil de dépistage du cancer de la prostate chez les hommes traités par ce médicament, aucun ajustement de cette valeur n'apparaît nécessaire. Un toucher rectal ainsi que d'autres examens pour le dépistage du cancer de la prostate, ou d'autres maladies qui peuvent entraîner les mêmes symptômes que l'HBP, doivent être effectués, chez les hommes traitéspatients avant de commencer tout traitement par ce médicament et périodiquement par la suite - Evènements indésirables cardiovasculaires Dans deux études cliniques d'une durée de 4 ans, l'incidence de l'insuffisance cardiaque (un terme composite d'événements rapportés, essentiellement insuffisance cardiaque et insuffisance cardiaque congestive) était légèrement plus élevée chez les sujets prenant l'association dutastéride et un antagoniste des adrénorécepteurs alpha1, principalement la tamsulosine, que chez les sujets ne prenant pas l'association. Cependant, l'incidence de l'insuffisance cardiaque dans ces études était plus faible dans tous les groupes de traitement actif en comparaison avec le groupe placebo et d'autres données disponibles pour le dutastéride ou des antagonistes des adrénorécepteurs alpha1 ne permettent pas de conclure à une augmentation des risques cardiovasculaires (Cf. aussi rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). - Cancer du sein Des cas de cancer du sein ont été rarement rapportés chez des hommes prenant du dutastéride dans des essais cliniques et après sa commercialisation. Cependant des études épidémiologiques n'ont pas montré d'augmentation du risque de survenue du cancer du sein chez l'homme traité par des inhibiteurs de la 5-alpha réductase (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). Les médecins doivent demander à leurs patients de rapporter rapidement tout changement au niveau de leur tissu mammaire comme par exemple l'apparition d'une grosseur ou la survenue d'un écoulement au niveau du mamelon. - Insuffisance rénale Le traitement des patients ayant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 10 ml/min) doit être abordé avec précaution, dans la mesure où ces patients n'ont pas été étudiés. - Hypotension . Orthostatique Comme avec d'autres antagonistes des adrénorécepteurs alpha1, le traitement par tamsulosine peut entraîner une baisse de la tension artérielle et provoquer, dans de rares cas, une syncope. Il est conseillé aux patients qui débutent un traitement par ce médicament de s'asseoir ou de s'allonger dès les premiers signes d'hypotension orthostatique (sensation vertigineuse, faiblesse) jusqu'à la disparition des symptômes. Afin de minimiser le risque d'hypotension orthostatique, le patient doit être hémodynamiquement stable sous antagoniste des adrénorécepteurs alpha1 avant d'instaurer un traitement par des inhibiteurs de la PDE5. . Symptomatique Il est conseillé d'être prudent lors de la co-administration d'agents alpha-bloquants, y compris la tamsulosine, avec des inhibiteurs de la PDE5 (ex : sildénafil, tadalafil, vardénafil). Les antagonistes des adrénorécepteurs alpha1 comme les inhibiteurs de la PDE5 sont des vasodilatateurs pouvant diminuer la tension artérielle. L'utilisation concomitante de ces deux classes de médicaments peut potentiellement provoquer une hypotension symptomatique (Cf. rubrique "Interactions"). - Syndrome de l'iris flasque per-opératoire Le syndrome de l'iris flasque per-opératoire (SIFP, une variante du syndrome de la pupille étroite) a été observé au cours d'interventions chirurgicales de la cataracte chez certains patients traités ou précédemment traités par la tamsulosine. Le SIFP peut augmenter le risque de complications oculaires pendant et après l'intervention. Il est déconseillé de débuter un traitement par ce médicament chez les patients pour lesquels une opération de la cataracte est programmée. Au cours de la consultation préopératoire, les chirurgiens spécialistes de la cataracte et leurs équipes ophtalmologiques doivent vérifier si les patients qui vont être opérés de la cataracte sont traités ou ont été traités par ce médicament afin de s'assurer que les mesures appropriées seront mises en place pour prendre en charge la survenue d'un SIFP au cours de l'intervention chirurgicale. Une interruption du traitement par la tamsulosine 1 à 2 semaines avant l'intervention chirurgicale de la cataracte peut être considérée comme utile mais les avantages et la durée nécessaire de l'interruption du traitement avant l'intervention n'ont pas encore été établis. - Gélules endommagées Comme le dutastéride est absorbé au niveau cutané, les femmes, les enfants et les adolescents doivent éviter tout contact avec des gélules endommagées (Cf. rubrique "Grossesse et allaitement"). En cas de contact avec des gélules endommagées, la zone de contact doit être immédiatement lavée à l'eau et au savon. - Inhibiteurs du CYP3A4 et CYP2D6 L'administration concomitante du chlorhydrate de tamsulosine avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4 (ex : kétoconazole), ou à un niveau moindre, avec des inhibiteurs puissants du CYP2D6 (ex : paroxétine) peut augmenter l'exposition à la tamsulosine (Cf. rubrique "Interactions"). Par conséquent, le chlorhydrate de tamsulosine n'est pas recommandé chez les patients prenant un inhibiteur puissant du CYP3A4 et doit être utilisé avec précaution chez les patients prenant un inhibiteur modéré du CYP3A4, un inhibiteur modéré ou puissant du CYP2D6, une association d'inhibiteurs du CYP3A4 et du CYP2D6, ou chez les patients connus pour être des métaboliseurs lents du CYP2D6. - Insuffisance hépatique Ce médicament n'a pas été étudié chez les patients souffrant de troubles hépatiques. Il est nécessaire d'être prudent lors de l'administration de ce médicament chez un patient présentant une insuffisance hépatique légère à modérée (Cf. rubriques "Posologie et mode d'administration", "Contre-indications" et "Propriétés pharmacocinétiques"). - Excipients Ce médicament contient un colorant, le Jaune orangé (E110), qui peut provoquer des réactions allergiques. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM française 27/12/2017 |
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