GENVOYA 150MG/150MG/200MG/10MG CPR
GENVOYA 150 MG/150 MG/200 MG/10 MG, COMPRIME PELLICULE
Fiche(s) d'identité interopérable
Historique des références officielles
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Cette monographie a été revue le : 12/03/2019
Mises en garde et précautions d'emploi
- Résumé des Caractéristiques du Produit (RCP)
Terrain N° 1 HEPATITE
  • HEPATITE C CHRONIQUE
  • HEPATITE B CHRONIQUE ACTIVE
  • HEPATITE CHRONIQUE ACTIVE
Niveau(x)
  • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
  • UTILISER AVEC PRUDENCE
  • SURVEILLANCE HEPATIQUE
  • SURVEILLANCE CLINIQUE
  • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
  • Cf. CONTRE INDICATIONS
  • Cf. INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM européenne 06/11/2018
CIM 10
  • Hépatite virale B15-B19
  • Maladie alcoolique du foie K70
  • Maladie toxique du foie K71
  • Hépatite chronique, non classée ailleurs K73
  • Atteintes hépatiques au cours de maladies infectieuses et parasitaires classées ailleurs K770
  • Hépatite chronique active, non classée ailleurs K732
  • Hépatite virale chronique B avec agent delta B180
  • Hépatite virale chronique B sans agent delta B181
  • Hépatite virale chronique C B182

Terrain N° 2 INFECTION VIRALE
  • HEPATITE B CHRONIQUE ACTIVE
  • HEPATITE C CHRONIQUE
Niveau(x)
  • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
  • UTILISER AVEC PRUDENCE
  • SURVEILLANCE HEPATIQUE
  • SURVEILLANCE CLINIQUE
  • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
  • Cf. CONTRE INDICATIONS
  • Cf. INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM européenne 06/11/2018
CIM 10
  • Infections virales caractérisées par des lésions cutanéomuqueuses B00-B09
  • Hépatite virale B15-B19
  • Maladies dues au virus de l'immunodéficience humaine [VIH] B20-B24
  • Autres maladies virales B25-B34
  • Virus, cause de maladies classées dans d'autres chapitres B97
  • Hépatite virale chronique B avec agent delta B180
  • Hépatite virale chronique B sans agent delta B181
  • Hépatite virale chronique C B182

Terrain N° 3 ATTEINTE HEPATIQUE
    Niveau(x)
    • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
    • UTILISER AVEC PRUDENCE
    • METTRE EN BALANCE BENEFICES ET RISQUES
    • SURVEILLANCE HEPATIQUE
    • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
    • SURVEILLANCE CLINIQUE
    Référence(s) officielle(s)
    • Rectificatif AMM européenne 06/11/2018
    CIM 10
    • Maladies du foie K70-K77

    Terrain N° 4 INSUFFISANCE HEPATIQUE
    • INSUFFISANCE HEPATIQUE LEGERE MALADIE
    • INSUFFISANCE HEPATIQUE MODEREE MALADIE
    Niveau(x)
    • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
    • SURVEILLANCE HEPATIQUE
    • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
    • SURVEILLANCE CLINIQUE
    Référence(s) officielle(s)
    • Rectificatif AMM européenne 06/11/2018
    CIM 10
    • Insuffisance hépatique, non classée ailleurs K72

    Terrain N° 5 DYSLIPIDEMIE / ANOMALIE METAB LIPIDE
      Niveau(x)
      • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
      • SURVEILLANCE BILAN LIPIDIQUE
      • SURVEILLANCE BILAN GLUCIDIQUE
      • SURVEILLANCE CLINIQUE
      • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
      Référence(s) officielle(s)
      • Rectificatif AMM européenne 06/11/2018
      CIM 10
      • Anomalies du métabolisme des lipoprotéines et autres lipidémies E78

      Terrain N° 6 HYPERLIPIDEMIE
        Niveau(x)
        • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
        • SURVEILLANCE BILAN LIPIDIQUE
        • SURVEILLANCE BILAN GLUCIDIQUE
        • SURVEILLANCE CLINIQUE
        • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
        Référence(s) officielle(s)
        • Rectificatif AMM européenne 06/11/2018
        CIM 10
        • Anomalies du métabolisme des lipoprotéines et autres lipidémies E78

        Terrain N° 7 ALCOOLISME CHRONIQUE
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE D'OSTEONECROSE
          Référence(s) officielle(s)
          • Rectificatif AMM européenne 06/11/2018
          CIM 10
          • Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool F10

          Terrain N° 8 DEFICIT IMMUNITAIRE
          • DEFICIT IMMUNITAIRE SEVERE
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE DE REACTION INFLAMMATOIRE
          • RISQUE D'INFECTION OPPORTUNISTE
          • RISQUE D'AGGRAVATION DES SYMPTOMES
          • METTRE EN BALANCE BENEFICES ET RISQUES
          • FAIRE TRAITEMENT ADAPTE
          • RISQUE D'OSTEONECROSE
          Référence(s) officielle(s)
          • Rectificatif AMM européenne 06/11/2018
          CIM 10
          • Certaines anomalies du système immunitaire D80-D89

          Terrain N° 9 OBESITE
          • INDICE DE MASSE CORPORELLE ELEVE (> 30)
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • UTILISER AVEC PRUDENCE
          • SURVEILLANCE HEPATIQUE
          • SURVEILLANCE CLINIQUE
          • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
          • RISQUE D'OSTEONECROSE
          Référence(s) officielle(s)
          • Rectificatif AMM européenne 06/11/2018
          CIM 10
          • Obésité et surpoids E66
          • Non concerné .

          Terrain N° 10 FEMME EN AGE DE PROCREER
          • EN CAS DE CONTRACEPTION
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • UTILISER UNE CONTRACEPTION EFFICACE
          • Cf. CONTRE INDICATIONS
          • Cf. GROSSESSE ET ALLAITEMENT
          Femmes en âge de procréer / contraception chez les hommes et les femmes
          L'utilisation de ce médicament doit s'accompagner d'une méthode de contraception efficace (Cf. rubriques "Mises en garde et précations d'emploi" et "Interactions").

          . Impératifs en matière de contraception
          Les femmes en âge de procréer doivent utiliser soit un contraceptif hormonal contenant au moins une dose de 30 microgrammes d'éthinylestradiol et la drospirénone ou le norgestimate, comme progestatif, soit une autre méthode de contraception fiable (Cf. rubriques "Interactions" et "Grossesse et allaitement"). L'utilisation de ce médicament avec des contraceptifs oraux contenant d'autres progestatifs doit être évitée (Cf. rubrique "Interactions"). Une augmentation des concentrations plasmatiques de drospirénone est attendue en cas de co-administration avec ce médicament et une surveillance clinique est recommandée en raison du risque potentiel d'hyperkaliémie (Cf. rubrique "Interactions").
          Référence(s) officielle(s)
          • Rectificatif AMM européenne 06/11/2018
          CIM 10
          • Non concerné .

          Terrain N° 11 PARTENAIRE : FEMME EN AGE DE PROCREER
          • EN CAS DE CONTRACEPTION
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • UTILISER UNE CONTRACEPTION EFFICACE
          • Cf. CONTRE INDICATIONS
          • Cf. GROSSESSE ET ALLAITEMENT
          Femmes en âge de procréer / contraception chez les hommes et les femmes
          L'utilisation de ce médicament doit s'accompagner d'une méthode de contraception efficace (Cf. rubriques "Mises en garde et précations d'emploi" et "Interactions").
          Référence(s) officielle(s)
          • Rectificatif AMM européenne 06/11/2018
          CIM 10
          • Non concerné .

          Terrain N° 12 AUTRE TRAITEMENT EN COURS
          • TRT PAR CONTRACEPTIF ORAL
          • TRT PAR ETHINYLESTRADIOL
          • TRT PAR DROSPIRENONE
          • TRT PAR NORGESTIMATE
          • TRT PAR MED CONTENANT DE L'ALCOOL
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • Cf. INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES
          Référence(s) officielle(s)
          • Rectificatif AMM européenne 06/11/2018
          CIM 10
          • Non concerné .

          Terrain N° 13 INTERACTION D'ORIGINE ALIMENTAIRE
          • INGESTION D'ALCOOL
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • UTILISER AVEC PRUDENCE
          • RISQUE D'ATTEINTE HEPATIQUE
          • Cf. INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES
          Référence(s) officielle(s)
          • Rectificatif AMM européenne 06/11/2018
          CIM 10
          • Non concerné .
          Terrain N° 14 QUEL QUE SOIT LE TERRAIN
            Niveau(x)
            • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
            • RISQUE D'ATTEINTE HEPATIQUE
            • RISQUE DE PRISE DE POIDS
            • RISQUE D'HYPERTRIGLYCERIDEMIE/HYPERCHOLESTEROLEMIE
            • RISQUE D'HYPERGLYCEMIE
            • RISQUE DE DYSFONCTIONNEMENT MITOCHONDRIAL
            • RISQUE DE REACTION INFLAMMATOIRE
            • RISQUE DE REACTION IMMUNITAIRE
            • RISQUE D'INFECTION OPPORTUNISTE
            • RISQUE D'OSTEONECROSE
            • RISQUE D'INSUFFISANCE RENALE
            • SURVEILLANCE BILAN LIPIDIQUE
            • SURVEILLANCE BILAN GLUCIDIQUE
            • SURVEILLANCE CLINIQUE
            • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
            • RISQUE D'EMERGENCE DE RESISTANCE
            • PRESENCE D'EXCIPIENT(S) A EFFET NOTOIRE
            • TENIR COMPTE PRESENCE LACTOSE
            Référence(s) officielle(s)
            • Rectificatif AMM européenne 06/11/2018
            CIM 10
            • Non concerné .




            - Commentaires du RCP :
            Bien qu'il ait été démontré que l'efficacité virologique d'un traitement antirétroviral réduise substantiellement le risque de transmission du VIH par voie sexuelle, un risque de transmission ne peut être exclu. Des précautions doivent être prises conformément aux recommandations nationales afin de prévenir toute transmission.

            - Patients co-infectés par le VIH et le virus de l'hépatite B ou C
            Les patients atteints d'une hépatite chronique B ou C et traités par association d'antirétroviraux présentent un risque accru de développer des effets indésirables hépatiques sévères et potentiellement fatals.

            La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les patients co-infectés par le VIH–1 et le virus de l'hépatite C (VHC) n'ont pas été établies.

            Le ténofovir alafénamide est actif contre le virus de l'hépatite B (VHB). L'arrêt du traitement par ce médicament chez les patients co-infectés par le VIH et le VHB peut être associé à une exacerbation aiguë sévère de l'hépatite. Les patients co-infectés par le VIH et le VHB arrêtant le traitement par ce médicament doivent être étroitement surveillés au plan clinique et biologique pendant plusieurs mois au moins après l'arrêt du traitement.

            - Maladie hépatique
            La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les patients présentant des troubles sous-jacents significatifs de la fonction hépatique n'ont pas été établies.

            Les patients ayant des troubles préexistants de la fonction hépatique (y compris une hépatite chronique active) ont, au cours d'un traitement par association d'antirétroviraux, une fréquence plus élevée d'anomalies de la fonction hépatique et doivent faire l'objet d'une surveillance appropriée. Chez ces patients, en cas d'aggravation confirmée de l'atteinte hépatique, l'interruption ou l'arrêt du traitement devra être envisagé(e).

            - Poids corporel et paramètres métaboliques
            Une augmentation du poids corporel ainsi que des taux de lipides et de glucose sanguins peuvent survenir au cours d'un traitement antirétroviral. De telles modifications peuvent en partie être liées au contrôle de la maladie et au mode de vie. Si pour les augmentations des taux de lipides, il est bien établi dans certains cas qu'il existe un effet du traitement, aucun lien n'est clairement établi entre une prise de poids et un quelconque traitement antirétroviral. Le suivi des taux de lipides et de glucose sanguins devra tenir compte des recommandations en vigueur encadrant les traitements contre le VIH.
            Les troubles lipidiques devront être pris en charge de façon appropriée.

            - Dysfonctionnement mitochondrial à la suite d'une exposition in utero
            Les analogues nucléos(t)idiques peuvent avoir un impact plus ou moins sévère sur la fonction mitochondriale, l'effet le plus marqué étant observé avec la stavudine, la didanosine et la zidovudine.
            Des cas de dysfonctionnement mitochondrial ont été rapportés chez des nourrissons non infectés par le VIH, exposés in utero et/ou en période post-natale à des analogues nucléosidiques ; il s'agissait majoritairement d'associations comportant de la zidovudine. Les effets indésirables principalement rapportés sont des atteintes hématologiques (anémie, neutropénie) et des troubles métaboliques (hyperlactatémie, hyperlipasémie). Ces effets indésirables ont souvent été transitoires. Des troubles neurologiques d'apparition tardive ont été rapportés dans de rares cas (hypertonie, convulsions, troubles du comportement). Le caractère transitoire ou permanent de ces troubles neurologiques n'est pas établi à ce jour. Ces données doivent être prises en compte chez tout enfant exposé in utero à des analogues nucléos(t)idiques qui présente des manifestations cliniques sévères d'étiologie inconnue, en particulier des manifestations neurologiques. Ces données ne modifient pas les recommandations actuelles nationales quant à l'utilisation d'un traitement antirétroviral chez la femme enceinte dans la prévention de la transmission materno-foetale du VIH.

            - Syndrome de restauration immunitaire
            Chez les patients infectés par le VIH et présentant un déficit immunitaire sévère au moment de l'instauration du traitement par association d'antirétroviraux, une réaction inflammatoire à des infections opportunistes asymptomatiques ou résiduelles peut se produire et entraîner des manifestations cliniques graves ou une aggravation des symptômes. De telles réactions ont été observées classiquement au cours des premières semaines ou des premiers mois de traitement par association d'antirétroviraux. À titre d'exemples pertinents, on peut noter entre autres : les rétinites à cytomégalovirus, les infections mycobactériennes généralisées et/ou localisées, et les pneumopathies à Pneumocystis jirovecii. Tout symptôme inflammatoire doit être évalué et un traitement être instauré si nécessaire.

            L'apparition de maladies auto-immunes (comme la maladie de Basedow et l'hépatite auto-immune) a également été rapportée dans le cadre d'une restauration immunitaire. Cependant, le délai d'apparition qui a été rapporté est plus variable et ces évènements peuvent se produire plusieurs mois après l'initiation du traitement.

            - Infections opportunistes
            L'apparition d'infections opportunistes ou d'autres complications liées à l'infection par le VIH reste possible sous ce médicament ou tout autre traitement antirétroviral. Une surveillance clinique étroite par un médecin expérimenté dans le traitement des maladies associées à l'infection par le VIH demeure donc nécessaire.

            - Ostéonécrose
            L'étiologie est considérée comme multifactorielle (incluant l'utilisation de corticoïdes, la consommation d'alcool, une immunosuppression sévère, un indice de masse corporelle élevé), cependant des cas d'ostéonécrose ont été rapportés en particulier chez des patients à un stade avancé de la maladie liée au VIH et/ou ayant un traitement par association d'antirétroviraux au long cours. Il est conseillé aux patients de solliciter un avis médical s'ils éprouvent des douleurs et des arthralgies, une raideur articulaire ou des difficultés pour se mouvoir.

            - Néphrotoxicité
            Un risque potentiel de néphrotoxicité résultant de l'exposition chronique à de faibles doses de ténofovir dans le cadre du traitement par le ténofovir alafénamide ne peut être exclu (Cf. rubrique "Sécurité préclinique").

            - Co-administration d'autres médicaments

            Certains médicaments ne doivent pas être co-administrés avec ce médicament (Cf. rubriques "Contre-indications" et "Interactions").

            Ce médicament ne doit pas être co-administré avec d'autres médicaments antirétroviraux (Cf. rubrique "Interactions").

            Ce médicament ne doit pas être administré conjointement à des médicaments contenant du ténofovir alafénamide, du ténofovir disoproxil, de la lamivudine ou de l'adéfovir dipivoxil, lesquels sont utilisés dans le traitement de l'infection par le VHB (Cf. rubrique "Interactions").

            . Impératifs en matière de contraception
            Les femmes en âge de procréer doivent utiliser soit un contraceptif hormonal contenant au moins une dose de 30 microgrammes d'éthinylestradiol et la drospirénone ou le norgestimate, comme progestatif, soit une autre méthode de contraception fiable (Cf. rubriques "Interactions" et "Grossesse et allaitement"). L'utilisation de ce médicament avec des contraceptifs oraux contenant d'autres progestatifs doit être évitée (Cf. rubrique "Interactions"). Une augmentation des concentrations plasmatiques de drospirénone est attendue en cas de co-administration avec ce médicament et une surveillance clinique est recommandée en raison du risque potentiel d'hyperkaliémie (Cf. rubrique "Interactions").

            - Population pédiatrique
            Dans une étude clinique (GS-US-292-0106) au cours de laquelle ce médicament a été administré à 23 patients pédiatriques infectés par le VIH-1, dont l'âge moyen était de 10 ans (intervalle : 8 à 11 ans), les expositions moyennes à l'elvitégravir, au cobicistat, à l'emtricitabine, au ténofovir et au ténofovir alafénamide ont été supérieures (20 à 80 %) aux expositions moyennes atteintes chez les adultes (Cf. rubriques "Interactions" et "Propriétés pharmacocinétiques").

            - Excipients
            Ce médicament contient du lactose monohydraté. En conséquence, les patients présentant des troubles héréditaires rares d'intolérance au galactose, de déficit en lactase de Lapp ou de malabsorption du glucose/galactose ne doivent pas prendre ce médicament.
            Référence(s) officielle(s) Rectificatif AMM européenne 06/11/2018

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