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Voie(s) d'administration : |
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Forme(s) pharmaceutique(s) : |
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Comprimé pelliculé (comprimé). |
Référence(s) bibliographique(s) : |
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Substance(s) active(s)
Excipient(s)
PELLICULAGE Excipient(s) |
Précision(s) composition : |
Chaque comprimé contient 150 mg d'elvitégravir, 150 mg de cobicistat, 200 mg d'emtricitabine et du fumarate de ténofovir alafénamide, correspondant à 10 mg de ténofovir alafénamide. Excipients à effet notoire Chaque comprimé contient 60 mg de lactose (sous forme monohydratée). * Liste des excipients . Noyau Lactose (sous forme monohydratée) Cellulose microcristalline Croscarmellose sodique Hydroxypropyl cellulose Dioxyde de silice Laurylsulfate de sodium Stéarate de magnésium . Pelliculage Alcool polyvinylique (E1203) Dioxyde de titane (E171) Polyéthylène glycol (E1521) Talc (E553B) Laque aluminique d'indigotine (E132) Oxyde de fer jaune (E172) |
Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM européenne 06/11/2018
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Aucune DDD attribuée |
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Classe pharmacothérapeutique : antiviraux à usage systémique ; antiviraux pour le traitement de l'infection par le VIH, association de substances. Code ATC : J05AR18. * Mécanisme d'action L'elvitégravir est un inhibiteur de transfert de brin de l'intégrase (INSTI, integrase strand transfer inhibitor) du VIH-1. L'intégrase est une enzyme codée par le VIH-1 nécessaire à la réplication virale. L'inhibition de l'intégrase empêche l'ADN du VIH-1 de s'intégrer dans l'acide désoxyribonucléique (ADN) du génome hôte, bloquant ainsi la formation du provirus du VIH-1 et la propagation de l'infection virale. Le cobicistat est un inhibiteur sélectif de la sous-famille du CYP3A des enzymes du cytochrome P450 (CYP). L'inhibition par le cobicistat du métabolisme médié par le CYP3A augmente l'exposition systémique aux substrats du CYP3A, comme l'elvitégravir, dont la biodisponibilité est limitée et la demi-vie écourtée en raison de leur métabolisme CYP3A-dépendant. L'emtricitabine est un inhibiteur nucléosidique de la transcriptase inverse (INTI) et un analogue nucléosidique de la 2'-désoxycytidine. L'emtricitabine est phosphorylée par des enzymes cellulaires pour former l'emtricitabine triphosphate. L'emtricitabine triphosphate inhibe la réplication du VIH en étant incorporée dans l'ADN viral via la transcriptase inverse (TI) du VIH, ce qui aboutit à l'arrêt de l'élongation de la chaîne d'ADN. L'emtricitabine a une activité contre le VIH-1, le VIH-2 et le VHB. Le ténofovir alafénamide est un inhibiteur nucléotidique de la transcriptase inverse (INtTI) et un précurseur phosphonamidate du ténofovir (analogue de la 2'-désoxyadénosine monophosphate). Le ténofovir alafénamide est capable de pénétrer à l'intérieur des cellules et, en raison de sa stabilité plasmatique accrue et de son activation intracellulaire via hydrolyse par la cathepsine A, le ténofovir alafénamide est plus efficace que le ténofovir disoproxil pour concentrer le ténofovir dans les cellules mononucléées du sang périphérique (CMSP) (y compris les lymphocytes et les autres cellules ciblées par le VIH) et les macrophages. Le ténofovir intracellulaire est ensuite phosphorylé pour former le métabolite pharmacologiquement actif, le ténofovir diphosphate. Le ténofovir diphosphate inhibe la réplication du VIH en étant incorporé dans l'ADN viral via la TI du VIH, ce qui aboutit à l'arrêt de l'élongation de la chaîne d'ADN. Le ténofovir a une activité contre le VIH-1, le VIH-2 et le VHB. * Activité antivirale in vitro L'elvitégravir, l'emtricitabine et le ténofovir alafénamide ont présenté une activité antivirale synergique en culture cellulaire. La synergie antivirale a été maintenue pour l'elvitégravir, l'emtricitabine et le ténofovir alafénamide en présence de cobicistat. L'activité antivirale de l'elvitégravir sur des isolats cliniques et de laboratoire du VIH-1 a été évaluée sur des cellules lymphoblastoïdes, des monocytes/macrophages et des lymphocytes du sang périphérique, avec des valeurs de concentration efficace à 50 % (CE50) comprises entre 0,02 et 1,7 nM. L'elvitégravir a présenté une activité antivirale en culture cellulaire contre les sous-types A, B, C, D, E, F, G et O du VIH-1 (valeurs de CE50 comprises entre 0,1 et 1,3 nM) et a montré une activité contre le VIH-2 (CE50 de 0,53 nM). Le cobicistat n'a pas d'activité antivirale contre le VIH-1 détectable et n'a pas d'activité antagoniste sur les effets antiviraux de l'elvitégravir, de l'emtricitabine ou du ténofovir. L'activité antivirale de l'emtricitabine sur des isolats cliniques et de laboratoire du VIH-1 a été évaluée sur des lignées de cellules lymphoblastoïdes, la lignée cellulaire MAGI CCR5 et les CMSP. Les valeurs de CE50 pour l'emtricitabine étaient comprises entre 0,0013 et 0,64 microM. L'emtricitabine a présenté une activité antivirale en culture cellulaire contre les sous-types A, B, C, D, E, F et G du VIH-1 (valeurs de CE50 comprises entre 0,007 et 0,075 microM) et a montré une activité spécifique contre le VIH-2 (valeurs de CE50 comprises entre 0,007 et 1,5 microM). L'activité antivirale du ténofovir alafénamide sur des isolats cliniques et de laboratoire du sous-type B du VIH-1 a été évaluée sur des lignées de cellules lymphoblastoïdes, des CMSP, des monocytes/macrophages primaires et des lymphocytes T CD4+. Les valeurs de CE50 du ténofovir alafénamide étaient comprises entre 2,0 et 14,7 nM. Le ténofovir alafénamide a présenté une activité antivirale en culture cellulaire contre tous les groupes du VIH-1 (M, N et O), y compris les soustypes A, B, C, D, E, F et G (valeurs de CE50 comprises entre 0,10 et 12,0 nM) et a présenté une activité spécifique contre le VIH-2 (valeurs de CE50 comprises entre 0,91 et 2,63 nM). * Résistance - In vitro La diminution de la sensibilité à l'elvitégravir est, le plus souvent, associée aux mutations primaires T66I, E92Q et Q148R de l'intégrase. D'autres mutations de l'intégrase ont été observées en culture cellulaire parmi lesquelles : H51Y, F121Y, S147G, S153Y, E157Q et R263K. Une résistance croisée à l'elvitégravir a été observée sur le VIH-1 comportant les mutations T66A/K, Q148H/K et N155H induites par le raltégravir. Aucune résistance in vitro ne peut être démontrée avec le cobicistat en raison de son manque d'activité antivirale. Une diminution de la sensibilité à l'emtricitabine est associée aux mutations M184V/I au niveau de la TI du VIH-1. Les isolats du VIH-1 présentant une diminution de la sensibilité au ténofovir alafénamide expriment une mutation K65R au niveau de la TI du VIH-1 ; par ailleurs, une mutation K70E au niveau de la TI du VIH-1 a été observée de façon transitoire. Les isolats du VIH-1 porteurs de la mutation K65R présentent une diminution de faible niveau de la sensibilité à l'abacavir, à l'emtricitabine, au ténofovir et à la lamivudine. - Chez les patients naïfs de traitement Dans une analyse combinée, un génotypage a été effectué sur les isolats plasmatiques de VIH-1 issus de patients naïfs de tout traitement antirétroviral ayant reçu ce médicament au cours des études de phase 3 GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111 avec des taux d'ARN du VIH-1 > ou = 400 copies/mL au moment de l'échec virologique confirmé, à la semaine 144 ou au moment de l'arrêt précoce du médicament à l'étude. Jusqu'à la semaine 144, l'apparition d'une ou plusieurs mutation(s) primaire(s) associée(s) à la résistance à l'elvitégravir, à l'emtricitabine ou au ténofovir alafénamide a été observée dans les isolats de VIH-1 de 12 patients sur 22 pour lesquels des données génotypiques obtenues à partir d'isolats prélevés à l'initiation de l'étude et au moment de l'échec thérapeutique du traitement par ce médicament étaient évaluables (12 patients sur 866 [1,4 %]) contre 12 sur 20 des isolats prélevés au moment de l'échec thérapeutique chez les patients du groupe traité par E/C/F/TDF et pour lesquels des données génotypiques étaient évaluables (12 patients sur 867 [1,4 %]). Dans les isolats de VIH-1 issus des 12 patients chez lesquels une résistance est apparue dans le groupe traité par ce médicament, les mutations rencontrées étaient M184V/I (n = 11) et K65R/N (n = 2) au niveau de la TI, et T66T/A/I/V (n = 2), E92Q (n = 4), Q148Q/R (n = 1) et N155H (n = 2) au niveau de l'intégrase. Dans les isolats de VIH-1 issus des 12 patients chez lesquels une résistance est apparue dans le groupe traité par E/C/F/TDF, les mutations rencontrées étaient M184V/I (n = 9), K65R/N (n = 4) et L210W (n = 1) au niveau de la TI, et E92Q/V (n = 4), Q148R (n = 2) et N155H/S (n = 3) au niveau de l'intégrase. La plupart des isolats de VIH-1 issus des patients des deux groupes de traitement ayant développé des mutations associées à une résistance à l'elvitégravir ont également développé des mutations associées à une résistance à la fois à l'emtricitabine et à l'elvitégravir. Lors des analyses phénotypiques des patients de la population de l'analyse de résistance finale, les isolats de VIH-1 de 7 patients sur 22 (32 %) présentaient une sensibilité réduite à l'elvitégravir dans le groupe traité par ce médicament, contre les isolats de VIH-1 de 7 patients sur 20 (35 %) dans le groupe traité par E/C/F/TDF ; les isolats de VIH-1 de 8 patients (36 %) présentaient une sensibilité réduite à l'emtricitabine dans le groupe traité par ce médicament, contre les isolats de VIH-1 de 7 patients (35 %) dans le groupe traité par E/C/F/TDF. Un patient du groupe traité par ce médicament (1 sur 22 [4,5 %]) et 2 patients du groupe traité par E/C/F/TDF (2 sur 20 [10 %]) ont présenté une sensibilité réduite au ténofovir. - Chez les patients virologiquement contrôlés Une émergence de résistance du VIH-1 à ce médicament a été observée chez trois patients (M184M/I ; M184I+E92G ; M184V+E92Q) jusqu'à la semaine 96 au cours d'une étude clinique menée chez des patients virologiquement contrôlés ayant changé de traitement après un traitement contenant de l'emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil et un troisième agent (GS-US-292-0109, n = 959). - Patients co-infectés par le VIH et le VHB Dans une étude clinique menée chez des patients virologiquement contrôlés co-infectés par le VIH et par une hépatite chronique B, ayant reçu ce médicament pendant 48 semaines (GS-US-292-1249, n = 72), 2 patients étaient éligibles pour la réalisation d'une analyse de résistance. Chez ces 2 patients, aucune substitution d'acide aminé associée à une résistance aux composants de ce médicament n'a été identifiée dans le VIH-1 ou le VHB. - Résistance croisée chez les patients infectés par le VIH-1, naïfs de traitement ou virologiquement contrôlés Les virus résistants à l'elvitégravir montrent divers degrés de résistance croisée au raltégravir, un INSTI, selon le type et le nombre de mutations. Les virus exprimant les mutations T66I/A conservent leur sensibilité au raltégravir, tandis qu'avec la plupart des autres profils de mutations, la sensibilité au raltégravir a été réduite. Les virus exprimant des mutations associées à une résistance à l'elvitégravir ou au raltégravir conservent leur sensibilité au dolutégravir. Les virus résistants à l'emtricitabine porteurs de la mutation M184V/I ont présenté une résistance croisée à la lamivudine, mais ont conservé leur sensibilité à la didanosine, à la stavudine, au ténofovir et à la zidovudine. Les mutations K65R et K70E entraînent une diminution de la sensibilité à l'abacavir, à la didanosine, à la lamivudine, à l'emtricitabine et au ténofovir, mais la sensibilité à la zidovudine est conservée. * Données cliniques - Patients infectés par le VIH-1, naïfs de tout traitement Dans les études GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111, les patients ont été randomisés selon un rapport de 1:1 pour recevoir soit ce médicament (n = 866) une fois par jour, soit 150 mg d'elvitégravir/150 mg de cobicistat/200 mg d'emtricitabine/245 mg de ténofovir disoproxil (sous forme de fumarate) (E/C/F/TDF) (n = 867) une fois par jour. L'âge moyen était de 36 ans (intervalle : 18 - 76), 85 % étaient de sexe masculin, 57 % étaient blancs, 25 % étaient noirs et 10 % étaient asiatiques. Dix-neuf pour cent des patients ont été identifiés comme hispaniques/latino-américains. Le taux plasmatique moyen d'ARN du VIH-1 à l'inclusion était de 4,5 log10 copies/mL (intervalle : 1,3 - 7,0) et 23 % présentaient des charges virales à l'inclusion > 100000 copies/mL. Le taux moyen de CD4+ à l'inclusion était de 427 cellules/mm3 (intervalle : 0 - 1360) et 13 % présentaient un taux de CD4+ < 200 cellules/mm3. Ce médicament s'est avéré statistiquement supérieur (obtention de < 50 copies d'ARN du VIH-1/mL) par rapport à l'association E/C/F/TDF à la semaine 144. La différence exprimée en pourcentage a été de 4,2 % (IC à 95 % : 0,6 % à 7,8 %). Les résultats combinés du traitement à 48 et à 144 semaines sont présentés ci-dessous. Résultats virologiques combinés issus des études GS-US-292-0104 et GS-US-292-0111 aux semaines 48 et 144 (a, b) . Taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/mL Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 866) : 92 % Semaine 48 E/C/F/TDF (n = 867) : 90 % Semaine 144 E/C/F/TAF (n = 866) : 84 % Semaine 144 E/C/F/TDF (n = 867) : 80 % Différence entre les traitements Semaine 48 : 2,0 % (IC à 95 % : -0,7 % à 4,7 %) Semaine 144 : 4,2 % (IC à 95 % : 0,6 % à 7,8 %) . Taux d'ARN du VIH-1 > ou = 50 copies/mL (c) Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 866) : 4 % Semaine 48 E/C/F/TDF (n = 867) : 4 % Semaine 144 E/C/F/TAF (n = 866) : 5 % Semaine 144 E/C/F/TDF (n = 867) : 4 % . Absence de données virologiques dans la fenêtre de la semaine 48 ou 144 Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 866) : 4 % Semaine 48 E/C/F/TDF (n = 867) : 6 % Semaine 144 E/C/F/TAF (n = 866) : 11 % Semaine 144 E/C/F/TDF (n = 867) : 16 % .. Interruption de la prise du médicament de l'étude en raison de la survenue d'EI ou du décès du patient (d) Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 866) : 1 % Semaine 48 E/C/F/TDF (n = 867) : 2 % Semaine 144 E/C/F/TAF (n = 866) : 1 % Semaine 144 E/C/F/TDF (n = 867) : 3 % .. Interruption de la prise du médicament de l'étude pour d'autres raisons et dernier taux d'ARN du VIH-1 disponible < 50 copies/mL (e) Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 866) : 2 % Semaine 48 E/C/F/TDF (n = 867) : 4 % Semaine 144 E/C/F/TAF (n = 866) : 9 % Semaine 144 E/C/F/TDF (n = 867) : 11 % .. Données manquantes dans la fenêtre mais traités par le médicament de l'étude Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 866) : 1 % Semaine 48 E/C/F/TDF (n = 867) : < 1 % Semaine 144 E/C/F/TAF (n = 866) : 1 % Semaine 144 E/C/F/TDF (n = 867) : 1 % . Proportion (%) de patients avec un taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/mL selon le sous-groupe .. Age < 50 ans Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 866) : 716/777 (92 %) Semaine 48 E/C/F/TDF (n = 867) : 680/753 (90 %) Semaine 144 E/C/F/TAF (n = 866) : 647/777 (83 %) Semaine 144 E/C/F/TDF (n = 867) : 602/753 (80 %) .. Age > ou = 50 ans Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 866) : 84/89 (94 %) Semaine 48 E/C/F/TDF (n = 867) : 104/114 (91 %) Semaine 144 E/C/F/TAF (n = 866) : 82/89 (92 %) Semaine 144 E/C/F/TDF (n = 867) : 92/114 (81 %) .. Sexe masculin Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 866) : 674/733 (92 %) Semaine 48 E/C/F/TDF (n = 867) : 673/740 (91 %) Semaine 144 E/C/F/TAF (n = 866) : 616/733 (84 %) Semaine 144 E/C/F/TDF (n = 867) : 603/740 (81 %) .. Sexe féminin Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 866) : 126/133 (95 %) Semaine 48 E/C/F/TDF (n = 867) : 111/127 (87 %) Semaine 144 E/C/F/TAF (n = 866) : 113/133 (85 %) Semaine 144 E/C/F/TDF (n = 867) : 91/127 (72 %) .. Origine ethnique noire Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 866) : 197/223 (88 %) Semaine 48 E/C/F/TDF (n = 867) : 177/213 (83 %) Semaine 144 E/C/F/TAF (n = 866) : 168/223 (75 %) Semaine 144 E/C/F/TDF (n = 867) : 152/213 (71 %) .. Origine ethnique non noire Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 866) : 603/643 (94 %) Semaine 48 E/C/F/TDF (n = 867) : 607/654 (93 %) Semaine 144 E/C/F/TAF (n = 866) : 561/643 (87 %) Semaine 144 E/C/F/TDF (n = 867) : 542/654 (83 %) .. Charge virale à l'inclusion < ou = 100000 copies/mL Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 866) : 629/670 (94 %) Semaine 48 E/C/F/TDF (n = 867) : 610/672 (91 %) Semaine 144 E/C/F/TAF (n = 866) : 567/670 (85 %) Semaine 144 E/C/F/TDF (n = 867) : 537/672 (80 %) .. Charge virale à l'inclusion > 100000 copies/mL Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 866) : 171/196 (87 %) Semaine 48 E/C/F/TDF (n = 867) : 174/195 (89 %) Semaine 144 E/C/F/TAF (n = 866) : 162/196 (83 %) Semaine 144 E/C/F/TDF (n = 867) : 157/195 (81 %) .. Taux de CD4+ à l'inclusion < 200 cellules/mm3 Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 866) : 96/112 (86 %) Semaine 48 E/C/F/TDF (n = 867) : 104/117 (89 %) Semaine 144 E/C/F/TAF (n = 866) : 93/112 (83 %) Semaine 144 E/C/F/TDF (n = 867) : 94/117 (80 %) .. Taux de CD4+ à l'inclusion > ou = 200 cellules/mm3 Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 866) : 703/753 (93 %) Semaine 48 E/C/F/TDF (n = 867) : 680/750 (91 %) Semaine 144 E/C/F/TAF (n = 866) : 635/753 (84 %) Semaine 144 E/C/F/TDF (n = 867) : 600/750 (80 %) . Taux d'ARN du VIH-1 < 20 copies/mL Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 866) : 84,4 % Semaine 48 E/C/F/TDF (n = 867) : 84,0 % Semaine 144 E/C/F/TAF (n = 866) : 81,1 % Semaine 144 E/C/F/TDF (n = 867) : 75,8 % .. Différence entre les traitements Semaine 48 : 0,4 % (IC à 95 % : -3,0 % à 3,8 %) Semaine 144 : 5,4 % (IC à 95 % : 1,5 % à 9,2 %) E/C/F/TDF = elvitégravir/cobicistat/emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil E/C/F/TAF = elvitégravir/cobicistat/emtricitabine/fumarate de ténofovir alafénamide (a) La fenêtre de la semaine 48 était comprise entre le jour 294 et le jour 377 (inclus) ; la fenêtre de la semaine 96 était comprise entre le jour 630 et le jour 713 (inclus). (b) Dans les deux études, les patients ont été stratifiés selon le taux d'ARN du VIH-1 à l'inclusion (< ou = 100000 copies/mL, > 100000 copies/mL et < ou = 400000 copies/mL, ou > 400000 copies/mL), selon le taux de CD4+ (< 50 cellules/microL, 50 - 199 cellules/microL ou > ou = 200 cellules/microL) et selon la région (Etats-Unis ou hors Etats-Unis). (c) Incluait les patients avec > ou = 50 copies/mL dans la fenêtre de la semaine 48 ou 96 ; les patients ayant interrompu le traitement prématurément à cause d'une perte ou d'un manque d'efficacité ; les patients ayant interrompu le traitement pour des raisons sans rapport avec un effet indésirable (EI), un décès, une perte ou un manque d'efficacité et qui avaient une charge virale > ou = 50 copies/mL au moment de l'interruption. (d) Inclut les patients qui ont interrompu le traitement à cause d'un EI ou du décès à tout moment de l'étude, à partir du jour 1 et jusqu'à la fenêtre de la semaine 48, si cela a entraîné l'absence de données virologiques sur le traitement pendant cette période. (e) Inclut les patients ayant interrompu le traitement pour des raisons sans rapport avec un EI, un décès, une perte ou un manque d'efficacité ; par ex. : retrait du consentement, perte de vue lors du suivi, etc... L'augmentation moyenne des CD4+ par rapport à l'inclusion était de 230 cellules/mm3 chez les patients traités par ce médicament et de 211 cellules/mm3 chez les patients traités par E/C/F/TDF (p = 0,024) à la semaine 48, et de 326 cellules/mm3 chez les patients traités par ce médicament et de 305 cellules/mm3 chez les patients traités par E/C/F/TDF (p = 0,06) à la semaine 144. - Patients infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés Dans l'étude GS-US-292-0109, l'efficacité et la sécurité du changement de traitement après un traitement par éfavirenz (EFV)/emtricitabine (FTC)/ténofovir disoproxil, FTC/ténofovir disoproxil plus atazanavir (boosté par le cobicistat ou le ritonavir), ou E/C/F/TDF pour passer sous ce médicament ont été évaluées dans une étude randomisée en ouvert chez des adultes infectés par le VIH-1 virologiquement contrôlés (taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/mL) (n = 1436). Les patients devaient être virologiquement contrôlés et stables (taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/mL) sous le traitement reçu à l'inclusion depuis au moins 6 mois et étaient porteurs d'un VIH-1 exempt de mutations associées à une résistance à l'un des composants de ce médicament avant leur entrée dans l'étude. Les patients ont été randomisés selon un rapport de 2:1 pour changer de traitement pour ce médicament à l'inclusion (n = 959) ou poursuivre leur traitement antirétroviral initial (n = 477). L'âge moyen des patients était de 41 ans (intervalle : 21 - 77), 89 % étaient de sexe masculin, 67 % étaient blancs et 19 % étaient noirs. Le taux moyen de CD4+ à l'inclusion était de 697 cellules/mm3 (intervalle : 79 - 1951). Les patients ont été stratifiés selon le traitement précédent. Lors de la sélection, 42 % des patients recevaient un traitement par FTC/ténofovir disoproxil plus atazanavir (boosté par le cobicistat ou le ritonavir), 32 % des patients recevaient un traitement par E/C/F/TDF et 26 % des patients recevaient un traitement par EFV/FTC/ténofovir disoproxil. Le passage d'un traitement à base de ténofovir disoproxil à ce médicament a été supérieur au maintien du traitement initial s'agissant de conserver un taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/mL (ci-dessous). Résultats virologiques de l'étude GS-US-292-0109 à la semaine 48 (a) et 96 (b) . Taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/mL Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 959) : 97 % Semaine 48 traitement initial (n = 477) : 93 % Semaine 48 différence entre les traitements : 4,1 % (IC à 95 % : 1,6 % à 6,7 %, p < 0,001 (c)) Semaine 96 E/C/F/TAF (n = 959) : 93 % Semaine 96 traitement initial (n = 477) : 89 % Semaine 96 différence entre les traitements : 3,7 % (IC à 95 % : 0,4 % à 7,0 %, p < 0,017 (c)) . Taux d'ARN du VIH-1 = 50 copies/mL (d) Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 959) : 1 % Semaine 48 traitement initial (n = 477) : 1 % Semaine 96 E/C/F/TAF (n = 959) : 2 % Semaine 96 traitement initial (n = 477) : 2 % . Absence de données virologiques dans la fenêtre de la semaine 48/semaine 96 Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 959) : 2 % Semaine 48 traitement initial (n = 477) : 6 % Semaine 96 E/C/F/TAF (n = 959) : 5 % Semaine 96 traitement initial (n = 477) : 9 % .. Interruption de la prise du médicament de l'étude en raison d'EI ou du décès du patient (e) Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 959) : 1 % Semaine 48 traitement initial (n = 477) : 1 % Semaine 96 E/C/F/TAF (n = 959) : 1 % Semaine 96 traitement initial (n = 477) : 3 % .. Interruption de la prise du médicament de l'étude pour d'autres raisons et dernier taux d'ARN du VIH-1 disponible < 50 copies/mL (f) Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 959) : 1 % Semaine 48 traitement initial (n = 477) : 4 % Semaine 96 E/C/F/TAF (n = 959) : 3 % Semaine 96 traitement initial (n = 477) : 6 % .. Données manquantes dans la fenêtre mais traités par le médicament de l'étude Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 959) : 0 % Semaine 48 traitement initial (n = 477) : < 1 % Semaine 96 E/C/F/TAF (n = 959) : 1 % Semaine 96 traitement initial (n = 477) : < 1 % . Proportion (%) de patients avec un taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/mL selon le traitement précédent .. EFV/FTC/TDF Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 959) : 96 % Semaine 48 traitement initial (n = 477) : 90 % Semaine 96 E/C/F/TAF (n = 959) : 90 % Semaine 96 traitement initial (n = 477) : 86 % .. FTC/TDF plus atazanavir boosté Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 959) : 97 % Semaine 48 traitement initial (n = 477) : 92 % Semaine 96 E/C/F/TAF (n = 959) : 92 % Semaine 96 traitement initial (n = 477) : 88 % .. E/C/F/TDF Semaine 48 E/C/F/TAF (n = 959) : 98 % Semaine 48 traitement initial (n = 477) : 97 % Semaine 96 E/C/F/TAF (n = 959) : 96 % Semaine 96 traitement initial (n = 477) : 93 % EFV = éfavirenz ; FTC = emtricitabine ; TDF = fumarate de ténofovir disoproxil ; E/C/F/TDF = elvitégravir/cobicistat/emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil E/C/F/TAF = elvitégravir/cobicistat/emtricitabine/fumarate de ténofovir alafénamide (a) La fenêtre de la semaine 48 était comprise entre le jour 294 et le jour 377 (inclus). (b) La fenêtre de la semaine 96 était comprise entre le jour 630 et le jour 713 (inclus). (c) La valeur de p pour le test de supériorité comparant les pourcentages de succès virologique était issue du test de CMH stratifié selon le traitement précédent (EFV/FTC/TDF, FTC/TDF plus atazanavir boosté ou E/C/F/TDF). (d) Incluait les patients avec > ou = 50 copies/mL dans la fenêtre de la semaine 48 ou de la semaine 96 ; les patients ayant interrompu le traitement prématurément à cause d'une perte ou d'un manque d'efficacité ; les patients ayant interrompu le traitement pour des raisons sans rapport avec un effet indésirable (EI), un décès, une perte ou un manque d'efficacité et qui avaient une charge virale > ou = 50 copies/mL au moment de l'interruption. (e) Inclut les patients qui ont interrompu le traitement à cause d'un EI ou du décès à tout moment de l'étude, à partir du jour 1 et jusqu'à la fenêtre de la semaine 48, si cela a entraîné l'absence de données virologiques sur le traitement pendant cette période. (f) Inclut les patients ayant interrompu le traitement pour des raisons sans rapport avec un EI, un décès, une perte ou un manque d'efficacité ; par ex. : retrait du consentement, perte de vue lors du suivi, etc... - Patients infectés par le VIH-1 et présentant une insuffisance rénale légère à modérée Dans l'étude GS-US-292-0112, l'efficacité et la sécurité de ce médicament ont été évaluées dans une étude clinique en ouvert menée chez 242 patients infectés par le VIH-1 et présentant une insuffisance rénale légère à modérée (DFGeCG : 30 - 69 mL/min). Les patients étaient virologiquement contrôlés (taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/mL) depuis au moins 6 mois avant de changer de traitement pour passer sous ce médicament. L'âge moyen était de 58 ans (intervalle : 24 - 82) et 63 patients (26 %) étaient âgés de > ou = 65 ans. Soixante-dix-neuf pour cent étaient de sexe masculin, 63 % étaient blancs, 18 % étaient noirs et 14 % étaient asiatiques. Treize pour cent des patients ont été identifiés comme hispaniques/latinoaméricains. A l'inclusion, 80 patients (33 %) présentaient un DFGeCG < 50 mL/min et 162 patients présentaient un DFGeCG > ou = 50 mL/min. À l'inclusion, le DFGe médian était de 56 mL/min. La moyenne du taux de CD4+ à l'inclusion était de 664 cellules/mm3 (intervalle : 126 - 1813). A la semaine 144, 83,1 % (197/237 patients) ont conservé un taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/mL après être passés sous ce médicament. - Patients co-infectés par le VIH et le VHB Dans l'étude en ouvert GS-US-292-1249, l'efficacité et la sécurité de ce médicament ont été évaluées chez des patients adultes co-infectés par le VIH-1 et l'hépatite chronique B. Soixante-neuf des 72 patients ont reçu précédemment un traitement antirétroviral contenant du ténofovir disoproxil. Lors de l'initiation du traitement par ce médicament, les 72 patients étaient virologiquement contrôlés (ARN du VIH-1 < 50 copies/mL) depuis au moins 6 mois avec ou sans suppression de l'ADN du VHB et avaient une fonction hépatique compensée. L'âge moyen était de 50 ans (intervalle : 28 - 67), 92 % des patients étaient des hommes, 69 % étaient blancs, 18 % étaient noirs et 10 % étaient asiatiques. Le taux moyen de CD4+ était de 636 cellules/mm3 (intervalle : 263 - 1498). Quatre-vingt-six pour cent des patients (62/72) avaient une charge virale du VHB contrôlée (ADN du VHB < 29 UI/mL) et 42 % (30/72) étaient positifs pour l'AgHBe à l'inclusion. A la semaine 48, un cas de séroconversion à anticorps anti-HBe a eu lieu chez 1/30 (3,3 %) des patients qui étaient positifs pour l'AgHBe à l'inclusion. A la semaine 48, trois cas de séroconversion à anticorps anti-HBs ont eu lieu chez 3/70 (4,3 %) des patients qui étaient positifs pour l'AgHBs à l'inclusion. A la semaine 48, 92 % des patients (66/72) ont conservé un taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/mL après avoir changé pour ce médicament. La variation moyenne du taux de CD4+ à la semaine 48 par rapport à l'inclusion était de -2 cellules/mm3. A la semaine 48, 92 % (66/72 patients) avaient un taux d'ADN du VHB < 29 UI/mL en utilisant une analyse où les données manquantes sont considérées comme un échec. Sur les 62 patients dont la charge virale du VHB était contrôlée à l'inclusion, 59 sont restés virologiquement contrôlés et pour 3 patients des données étaient manquantes. Sur les 10 patients dont la charge virale du VHB n'était pas contrôlée à l'inclusion (ADN du VHB > ou = 29 UI/mL), 7 sont devenus virologiquement contrôlés, 2 ont conservé une charge virale détectable et pour 1 patient des données étaient manquantes. Les données cliniques sont limitées en ce qui concerne l'utilisation de ce médicament chez les patients co-infectés par le VIH et le VHB qui sont naïfs de traitement. - Modifications des paramètres de la densité minérale osseuse Lors des études menées chez des patients naïfs de traitement, ce médicament a été associé à de plus faibles réductions de la densité minérale osseuse (DMO), mesurée par analyse DEXA de la hanche (variation moyenne : -0,8 % vs -3,4 %, p < 0,001) et du rachis lombaire (variation moyenne : -0,9 % vs -3,0 %, p < 0,001) par rapport à E/C/F/TDF après 144 semaines de traitement. Des améliorations de la DMO ont été notées au bout de 96 semaines après le passage d'un traitement à base de ténofovir disoproxil à ce médicament en comparaison au maintien du traitement à base de ténofovir disoproxil. - Modifications des paramètres de la fonction rénale Lors des études menées chez des patients naïfs de traitement, ce médicament a été associé à un impact plus faible sur les paramètres de sécurité rénale (mesurés par le débit de filtration glomérulaire estimé selon la formule de Cockcroft-Gault et le ratio protéinurie/créatininurie après 144 semaines de traitement, et par le ratio albuminurie/créatininurie après 96 semaines de traitement) par comparaison avec E/C/F/TDF (voir également rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Pendant 144 semaines, aucun sujet n'a cessé de prendre ce médicament en raison d'événements indésirables rénaux imputables au traitement alors que l'administration d'E/C/F/TDF a dû être interrompue chez 12 patients (p < 0,001). Une amélioration du profil de sécurité rénale a été maintenue jusqu'à la semaine 96 chez les patients qui sont passés sous ce médicament par rapport à ceux qui ont poursuivi un traitement à base de ténofovir disoproxil. * Population pédiatrique - Etude GS-US-292-0106 Dans l'étude GS-US-292-0106, l'efficacité, la sécurité et la pharmacocinétique de ce médicament ont été évaluées dans une étude en ouvert menée chez des adolescents infectés par le VIH-1, naïfs de traitement, âgés de 12 à < 18 ans, pesant ? 35 kg (n = 50) pour la cohorte 1, et chez des enfants virologiquement contrôlés, âgés de 8 à < 12 ans, pesant > 25 kg (n = 23) pour la cohorte 2. Les patients de la cohorte 1 étaient âgés en moyenne de 15 ans (intervalle : 12 à 17), 44 % étaient de sexe masculin, 12 % étaient asiatiques et 88 % étaient noirs. A l'inclusion, le taux plasmatique moyen d'ARN du VIH-1 était de 4,6 log10 copies/mL, le taux médian de CD4+ était de 456 cellules/mm3 (intervalle : 95 à 1 110) et le pourcentage médian de CD4+ était de 23 % (intervalle : 7 % à 45 %). Globalement, 22 % présentaient un taux plasmatique d'ARN du VIH-1 à l'inclusion > 100000 copies/mL. A la semaine 48, le taux de réponse virologique à ce médicament chez les adolescents infectés par le VIH-1 naïfs de traitement a été similaire aux taux de réponse observés dans les études menées chez les adultes infectés par le VIH-1 naïfs de traitement. Parmi les patients traités par ce médicament, 92 % (46/50) ont atteint un taux d'ARN du VIH-1 < 50 copies/mL. L'augmentation moyenne du taux de CD4+ entre l'inclusion et la semaine 48 a été de 224 cellules/mm3. Trois patients étaient en situation d'échec virologique à la semaine 48 ; aucune résistance virologique au traitement par ce médicament n'a été détectée. Les patients de la cohorte 2 étaient âgés en moyenne de 10 ans (intervalle : 8 à 11), ils pesaient en moyenne 32 kg (intervalle : 26 à 58) à l'inclusion, 39 % étaient de sexe masculin, 13 % étaient asiatiques et 78 % étaient noirs. A l'inclusion, le taux médian de CD4+ était de 969 cellules/mm3 (intervalle : 603 à 1421) et le pourcentage médian de CD4+ était de 39 % (intervalle : 30 à 51 %). Après être passés sous ce médicament, 100 % (23/23) des patients de la cohorte 2 sont restés virologiquement contrôlés (ARN du VIH-1 < 50 copies/mL) à la semaine 48. La variation moyenne du taux de CD4+ et du pourcentage CD4+ entre l'inclusion et la semaine 48 était de -90 cellules/mm3 et -1,3 %, respectivement. Aucun patient n'était éligible pour la réalisation d'une analyse de résistance jusqu'à la semaine 48. - Etude GS-US-292-1515 Dans l'étude GS-US-292-1515, l'efficacité et la sécurité de ce médicament ont été évaluées dans une étude en ouvert menée chez des adolescents infectés par le VIH-1, virologiquement contrôlés, âgés de 12 à < 18 ans, pesant > ou = 35 kg (n = 50). Les patients de l'étude avaient un âge médian de 15 ans (intervalle : 12 à 17 ans), 64 % étaient de sexe féminin et 98 % étaient noirs. A l'inclusion, le taux médian de CD4+ était de 742 cellules/mm3 (intervalle : 255 à 1246) et le pourcentage médian de CD4+ était de 34 % (intervalle : 21 % à 53 %). Après être passés sous ce médicament, 90 % (45/50) des patients sont restés virologiquement contrôlés (ARN du VIH-1 < 50 copies/mL) à la semaine 48. La variation moyenne du taux de CD4+ et du pourcentage de CD4+ entre l'inclusion et la semaine 48 était de -43 cellules/mm3 et -0,1 %, respectivement. Cinq patients étaient en situation d'échec virologique jusqu'à la fin de l'étude ; aucune résistance phénotypique ou génotypique au traitement par ce médicament n'a été détectée. L'Agence européenne des médicaments a différé l'obligation de soumettre les résultats d'études réalisées avec ce médicament dans un ou plusieurs sous-groupes de la population pédiatrique dans le cadre du traitement de l'infection par le VIH-1 chez l'homme (voir rubrique "Posologie et mode d'administration" pour les informations concernant l'usage pédiatrique). |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 06/11/2018 |
Virus | Résistance |
VIRUS HEPATITE B | |
VIH 1 |
Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 06/11/2018
Virus | Résistance |
VIRUS HEPATITE B | |
VIH 1 | |
VIH 2 |
Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 06/11/2018
Virus | Résistance |
VIH 1 |
Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 06/11/2018
* Absorption Après l'administration orale avec de la nourriture chez des patients infectés par le VIH-1, les concentrations plasmatiques maximales ont été observées environ 4 heures après la prise pour l'elvitégravir, 3 heures après la prise pour le cobicistat, 3 heures après la prise pour l'emtricitabine et 1 heure après la prise pour le ténofovir alafénamide. La Cmax, l'ASCtau et la concentration résiduelle (Crés.) moyennes à l'état d'équilibre (moyenne +/- écart-type) chez des patients infectés par le VIH-1 étaient, respectivement, de 1,7 +/- 0,39 microgrammes/mL, 23 +/- 7,5 microgrammes x heure/mL et 0,45 +/- 0,26 microgramme/mL pour l'elvitégravir, avec lequel on obtient un quotient inhibiteur d'environ 10 (rapport Crés./CI95 ajustée sur la liaison protéique pour le VIH-1 de type sauvage). La Cmax, l'ASCtau et la Crés. moyennes à l'état d'équilibre (moyenne +/- écart-type) correspondantes étaient de 1,1 +/- 0,40 microgramme/mL, 8,3 +/- 3,8 microgrammes x heure/mL et 0,05 +/- 0,13 microgramme/mL pour le cobicistat ; 1,9 +/- 0,5 microgramme/mL, 13 +/- 4,5 microgrammes x heure/mL et 0,14 +/- 0,25 microgramme/mL pour l'emtricitabine. La Cmax et l'ASCtau moyennes à l'état d'équilibre pour le ténofovir alafénamide étaient respectivement de 0,16 +/- 0,08 microgramme/mL et 0,21 +/- 0,15 microgramme x heure/mL. Pour l'elvitégravir, la Cmax et l'ASC ont augmenté de 22 % et 36 % quand l'administration était accompagnée d'un repas léger et de 56 % et 91 % quand elle était accompagnée d'un repas riche en graisses, par rapport à son administration à jeun. L'exposition au cobicistat n'a pas été modifiée par un repas léger et, bien que l'on ait observé une légère diminution de la Cmax (24 %) et de l'ASC (18 %) avec un repas riche en graisses, aucune différence n'a été relevée en ce qui concerne l'effet booster du cobicistat sur l'elvitégravir. Un repas léger ou riche en graisses n'a pas modifié l'exposition à l'emtricitabine. Par rapport à son administration à jeun, l'administration de ce médicament avec un repas léger (environ 400 kcal, 20 % de lipides) ou un repas riche en graisses (environ 800 kcal, 50 % de lipides) n'a pas modifié l'exposition globale au ténofovir alafénamide de façon cliniquement significative (ASC environ 15 % et 18 % plus élevée avec un repas léger ou un repas riche en graisses, respectivement, par comparaison avec l'administration à jeun). * Distribution L'elvitégravir est lié à 98 - 99 % aux protéines plasmatiques humaines. Dans l'intervalle de concentrations compris entre 1 ng/mL et 1,6 microgrammes/mL, la liaison est indépendante de la concentration du médicament. Le rapport moyen entre les concentrations plasmatique et sanguine du médicament était de 1,37. Le cobicistat est lié à 97 - 98 % aux protéines plasmatiques humaines et le rapport moyen entre les concentrations plasmatique et sanguine du médicament était de 2. La liaison in vitro de l'emtricitabine aux protéines plasmatiques humaines a été inférieure à 4 % et indépendante de la concentration sur l'intervalle 0,02 - 200 microgrammes/mL. À la concentration plasmatique maximale, le rapport moyen entre les concentrations plasmatique et sanguine du médicament était environ 1,0 et le rapport moyen entre les concentrations séminale et plasmatique du médicament était environ 4,0. La liaison in vitro du ténofovir aux protéines plasmatiques humaines est inférieure à 0,7 % et est indépendante de la concentration sur l'intervalle 0,01 - 25 microgrammes/mL. La liaison ex vivo du ténofovir alafénamide aux protéines plasmatiques humaines dans les échantillons recueillis au cours des études cliniques a été d'environ 80 %. * Biotransformation L'elvitégravir subit un métabolisme principalement oxydatif via le CYP3A et une glucuroconjugaison secondaire via les enzymes UGT1A1/3. Après administration orale de elvitégravir boosté marqué au carbone 14, l'elvitégravir était l'espèce prédominante dans le plasma, représentant environ 94 % de la radioactivité circulante. Les métabolites issus de l'hydroxylation aromatique et aliphatique ou de la glucuroconjugaison sont présents à de très faibles taux- présentant une activité antivirale contre le VIH-1 très inférieure - et ne contribuent pas à l'activité antivirale globale de l'elvitégravir. Le cobicistat est métabolisé par oxydation médiée par le CYP3A (voie majeure) et le CYP2D6 (voie mineure) et ne subit pas de glucuroconjugaison. Après administration orale de cobicistat marqué au carbone 14, 99 % de la radioactivité circulante présente dans le plasma correspondaient au cobicistat sous forme inchangée. Des études in vitro indiquent que l'emtricitabine n'est pas un inhibiteur des enzymes du CYP humain. Après administration d'emtricitabine marquée au carbone 14, la dose d'emtricitabine a été totalement retrouvée dans les urines (environ 86 %) et les fèces (environ 14 %). Treize pour cent de la dose ont été retrouvés dans les urines sous forme de trois métabolites putatifs. La biotransformation de l'emtricitabine comporte l'oxydation de la fonction thiol avec formation de 3'-sulfoxyde diastéréomères (environ 9 % de la dose) et la conjugaison avec l'acide glucuronique pour former le 2'-O-glucuronide (environ 4 % de la dose). Aucun autre métabolite n'a pu être identifié. Le métabolisme est une voie d'élimination majeure pour le ténofovir alafénamide chez l'homme, représentant > 80 % d'une dose orale. Les études in vitro ont montré que le ténofovir alafénamide est métabolisé en ténofovir (métabolite majeur) par la cathepsine A dans les CMSP (y compris les lymphocytes et les autres cellules ciblées par le VIH) et les macrophages, et par la carboxylestérase-1 dans les hépatocytes. In vivo, le ténofovir alafénamide est hydrolysé au sein des cellules pour former le ténofovir (métabolite majeur), lequel est phosphorylé pour former le métabolite actif, le ténofovir diphosphate. Par comparaison avec une dose orale de 245 mg de ténofovir disoproxil (sous forme de fumarate) contenue dans l'association E/C/F/TDF, les études cliniques menées chez l'homme ont montré qu'une dose orale de 10 mg de ténofovir alafénamide contenue dans ce médicament aboutit à des concentrations de ténofovir diphosphate plus de 4 fois supérieures dans les CMSP et des concentrations de ténofovir plus de 90 % inférieures dans le plasma. In vitro, le ténofovir alafénamide n'est pas métabolisé par le CYP1A2, le CYP2C8, le CYP2C9, le CYP2C19 ou le CYP2D6. Le ténofovir alafénamide est métabolisé de façon minime par le CYP3A4. Lors de sa co-administration avec l'éfavirenz, un inducteur modéré du CYP3A, l'exposition au ténofovir alafénamide n'a pas été significativement modifiée. Après administration de ténofovir alafénamide, la radioactivité [14C] dans le plasma a présenté un profil dépendant du temps, le ténofovir alafénamide ayant été l'espèce la plus abondante retrouvée au cours des premières heures et l'acide urique par la suite. * Elimination Après administration orale d'elvitégravir/ritonavir marqué au carbone 14, 94,8 % de la dose ont été retrouvés dans les fèces, ce qui correspond à l'excrétion hépatobiliaire de l'elvitégravir, et 6,7 % de la dose administrée ont été retrouvés dans les urines. La demi-vie d'élimination plasmatique terminale médiane de l'elvitégravir après l'administration de l'association E/C/F/TDF est d'environ 12,9 heures. Après administration orale de cobicistat marqué au carbone 14, 86 % de la dose ont été retrouvés dans les fèces et 8,2 %, dans les urines. La demi-vie d'élimination terminale plasmatique médiane du cobicistat après l'administration de l'association E/C/F/TDF est d'environ 3,5 heures et les expositions associées au cobicistat donnent une Crés. d'elvitégravir environ 10 fois supérieure à la CI95 ajustée sur la liaison protéique pour le VIH-1 de type sauvage. L'emtricitabine est principalement excrétée par les reins, avec récupération complète de la dose dans les urines (environ 86 %) et les fèces (environ 14 %). Treize pour cent de la dose d'emtricitabine ont été retrouvés dans les urines sous forme de trois métabolites. La clairance systémique de l'emtricitabine a été en moyenne de 307 mL/min. Après administration orale, la demi-vie d'élimination de l'emtricitabine est d'environ 10 heures. L'excrétion rénale du ténofovir alafénamide intact est une voie mineure, moins de 1 % de la dose étant éliminée dans les urines. Le ténofovir alafénamide est principalement éliminé après métabolisation en ténofovir. La demi-vie plasmatique médiane du ténofovir alafénamide et du ténofovir est respectivement de 0,51 et 32,37 heure(s). Le ténofovir est éliminé de l'organisme par les reins à la fois par filtration glomérulaire et par sécrétion tubulaire active. * Pharmacocinétique dans les populations particulières - Age, sexe et origine ethnique Aucune différence pharmacocinétique cliniquement pertinente liée au sexe ou à l'origine ethnique n'a été identifiée pour l'elvitégravir boosté par le cobicistat, l'emtricitabine ou le ténofovir alafénamide. L'exposition à l'elvitégravir, au cobicistat, à l'emtricitabine, au ténofovir et au ténofovir alafénamide atteinte chez 24 patients adolescents âgés de 12 à < 18 ans ayant reçu ce médicament dans l'étude GS-US-292-0106 a été similaire à l'exposition atteinte chez les adultes naïfs de traitement après l'administration de ce médicament (ci-dessous). Pharmacocinétique de l'elvitégravir, du cobicistat, de l'emtricitabine, du ténofovir et du ténofovir alafénamide chez les adolescents et les adultes naïfs de traitement antirétroviral . ASCtau (ng x h/mL) Adolescents âgés de 12 à < 18 ans, > ou = 35 kg EVG (a) : 23840,1 (25,5) Adolescents âgés de 12 à < 18 ans, > ou = 35 kg COBI (a) : 8240,8 (36,1) (b) Adolescents âgés de 12 à < 18 ans, > ou = 35 kg FTC (a) : 14424,4 (23,9) Adolescents âgés de 12 à < 18 ans, > ou = 35 kg TAF (b) : 242,8 (c) (57,8) Adolescents âgés de 12 à < 18 ans, > ou = 35 kg TFV (b) : 275,8 (18,4) Adultes EVG (e) : 22797,0 (34,7) Adultes COBI (e) : 9459,1 (33,9) Adultes FTC (e) : 11714,1 (16,6) Adultes TAF (f) : 206,4 (71,8) Adultes TFV (f) : 292,6 (27,4) . Cmax (ng/mL) Adolescents âgés de 12 à < 18 ans, > ou = 35 kg EVG (a) : 2229,6 (19,2) Adolescents âgés de 12 à < 18 ans, > ou = 35 kg COBI (a) : 1202,4 (35,0) Adolescents âgés de 12 à < 18 ans, > ou = 35 kg FTC (a) : 2265,0 (22,5) Adolescents âgés de 12 à < 18 ans, > ou = 35 kg TAF (b) : 121,7 (46,2) Adolescents âgés de 12 à < 18 ans, > ou = 35 kg TFV (b) : 14,6 (20,0) Adultes EVG (e) : 2113,1 (33,7) Adultes COBI (e) : 1450,3 (28,4) Adultes FTC (e) : 2056,3 (20,2) Adultes TAF (f) : 162,2 (51,1) Adultes TFV (f) : 15,2 (26,1) . Ctau (ng/mL) Adolescents âgés de 12 à < 18 ans, > ou = 35 kg EVG (a) : 300,8 (81,0) Adolescents âgés de 12 à < 18 ans, > ou = 35 kg COBI (a) : 25,0 (180,0) (d) Adolescents âgés de 12 à < 18 ans, > ou = 35 kg FTC (a) : 102,4 (38,9) (b) Adolescents âgés de 12 à < 18 ans, > ou = 35 kg TAF (b) : NA Adolescents âgés de 12 à < 18 ans, > ou = 35 kg TFV (b) : 10,0 (19,6) Adultes EVG (e) : 287,3 (61,7) Adultes COBI (e) : 20,6 (85,2) Adultes FTC (e) : 95,2 (46,7) Adultes TAF (f) : NA Adultes TFV (f) : 10,6 (28,5) EVG = elvitégravir ; COBI = cobicistat ; FTC = emtricitabine ; TAF = fumarate de ténofovir alafénamide ; TFV = ténofovir NA = sans objet Les données sont présentées sous forme de moyenne (%CV). (a) n = 24 adolescents (b) n = 23 adolescents (c) ASC dernier (e) n = 19 adultes (f) n = 539 adultes (TAF) ou 841 adultes (TFV) L'exposition moyenne à l'elvitégravir, au cobicistat, à l'emtricitabine, au ténofovir et au ténofovir alafénamide atteinte chez les enfants âgés de 8 à < 12 ans (> 25 kg ; n = 23) ayant reçu ce médicament dans l'étude GS-US-292-0106 a été supérieure (20 à 80 %) à l'exposition moyenne atteinte chez les adultes (ci-dessous). Pharmacocinétique de l'elvitégravir, du cobicistat, de l'emtricitabine, du ténofovir et du ténofovir alafénamide chez les enfants et les adultes virologiquement contrôlés . ASCtau (ng x h/mL) Enfants âgés de 8 à < 12 ans, > 25 kg EVG (a) : 33813,9 (57,8) (b) Enfants âgés de 8 à < 12 ans, > 25 kg COBI (a) : 15890,7 (51,7) (c) Enfants âgés de 8 à < 12 ans, > 25 kg FTC (a) : 20629,2 (18,9) (b) Enfants âgés de 8 à < 12 ans, > 25 kg TAF (a) : 332,9 (d) (44,8) Enfants âgés de 8 à < 12 ans, > 25 kg TFV (a) : 440,2 (20,9) Adultes EVG (e) : 22797,0 (34,7) Adultes COBI (e) : 9459,1 (33,9) Adultes FTC (e) : 11714,1 (16,6) Adultes TAF (f) : 206,4 (71,8) Adultes TFV (f) : 292,6 (27,4) . Cmax (ng/mL) Enfants âgés de 8 à < 12 ans, > 25 kg EVG (a) : 3055,2 (38,7) Enfants âgés de 8 à < 12 ans, > 25 kg COBI (a) : 2079,4 (46,7) Enfants âgés de 8 à < 12 ans, > 25 kg FTC (a) : 3397,4 (27,0) Enfants âgés de 8 à < 12 ans, > 25 kg TAF (a) : 313,3 (61,2) Enfants âgés de 8 à < 12 ans, > 25 kg TFV (a) : 26,1 (20,8) Adultes EVG (e) : 2113,1 (33,7) Adultes COBI (e) : 1450,3 (28,4) Adultes FTC (e) : 2056,3 (20,2) Adultes TAF (f) : 162,2 (51,1) Adultes TFV (f) : 15,2 (26,1) . Ctau (ng/mL) Enfants âgés de 8 à < 12 ans, > 25 kg EVG (a) : 370,0 (118,5) Enfants âgés de 8 à < 12 ans, > 25 kg COBI (a) : 96,0 (168,7) Enfants âgés de 8 à < 12 ans, > 25 kg FTC (a) : 114,9 (24,1) Enfants âgés de 8 à < 12 ans, > 25 kg TAF (a) : NA Enfants âgés de 8 à < 12 ans, > 25 kg TFV (a) : 15,1 (24,9) Adultes EVG (e) : 287,3 (61,7) Adultes COBI (e) : 20,6 (85,2) Adultes FTC (e) : 95,2 (46,7) Adultes TAF (f) : NA Adultes TFV (f) : 10,6 (28,5) EVG = elvitégravir ; COBI = cobicistat ; FTC = emtricitabine ; TAF = fumarate de ténofovir alafénamide ; TFV = ténofovir NA = sans objet Les données sont présentées sous forme de moyenne (%CV). (a) n = 23 enfants (b) n = 22 enfants (c) n = 20 enfants (d) ASCdernier (e) n = 19 adultes (f) n = 539 adultes (TAF) ou 841 adultes (TFV) - Insuffisance rénale Aucune différence cliniquement pertinente concernant la pharmacocinétique de l'elvitégravir, du cobicistat, du ténofovir alafénamide ou du ténofovir n'a été observée entre les sujets en bonne santé et les patients présentant une insuffisance rénale sévère (ClCr estimée > 15 mais < 30 mL/min) dans les études sur l'elvitégravir boosté par le cobicistat ou sur le ténofovir alafénamide, respectivement. L'exposition systémique moyenne à l'emtricitabine a été plus importante chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (ClCr < 30 mL/min) (33,7 microgrammes x heure/mL) que chez les patients présentant une fonction rénale normale (11,8 microgrammes x heure/mL). - Insuffisance hépatique L'elvitégravir et le cobicistat sont, tous les deux, principalement métabolisés et éliminés par le foie. Une étude sur la pharmacocinétique de l'elvitégravir boosté par le cobicistat a été menée chez des patients non infectés par le VIH-1 présentant une insuffisance hépatique modérée (score de Child-Pugh B). Aucune différence cliniquement pertinente concernant la pharmacocinétique de l'elvitégravir ou du cobicistat n'a été observée entre les patients présentant une insuffisance hépatique modérée et les sujets présentant une fonction hépatique normale. L'effet de l'insuffisance hépatique sévère (score de Child-Pugh C) sur la pharmacocinétique de l'elvitégravir ou du cobicistat n'a pas été étudié. La pharmacocinétique de l'emtricitabine n'a pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique ; cependant, comme l'emtricitabine n'est pas métabolisée par les enzymes hépatiques de manière significative, l'impact de l'insuffisance hépatique devrait être limité. Aucune modification cliniquement pertinente de la pharmacocinétique du ténofovir alafénamide ou de son métabolite, le ténofovir, n'a été observée chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée. Chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère, les concentrations plasmatiques totales du ténofovir alafénamide et du ténofovir sont inférieures à celles observées chez les patients présentant une fonction hépatique normale. Après prise en compte de la fixation protéique, les concentrations plasmatiques de ténofovir alafénamide non liées (libres) sont similaires en cas d'insuffisance hépatique sévère ou de fonction hépatique normale. - Co-infection par le virus de l'hépatite B et/ou de l'hépatite C Les paramètres pharmacocinétiques de l'emtricitabine et du ténofovir alafénamide n'ont pas été complètement évalués chez les patients co-infectés par le virus de l'hépatite B et/ou C. Des données limitées issues de l'analyse pharmacocinétique de population (n = 24) ont indiqué que la co-infection par le virus de l'hépatite B et/ou C n'avait aucun effet cliniquement pertinent sur l'exposition à l'elvitégravir boosté. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 06/11/2018 |
L'elvitégravir a donné des résultats négatifs lors d'un test de mutagénicité bactérienne in vitro (test d'Ames) et des résultats négatifs lors d'un test du micronoyau in vivo chez le rat à des doses allant jusqu'à 2000 mg/kg. Au cours d'un test d'aberration chromosomique in vitro, l'elvitégravir a donné des résultats négatifs en présence d'un système d'activation métabolique. On a cependant observé une réponse équivoque en l'absence d'activation. Le cobicistat n'a montré aucun potentiel mutagène ou clastogène dans les études de génotoxicité conventionnelles. Des études ex vivo menées chez le lapin et des études in vivo menées chez le chien suggèrent que le cobicistat présente un faible potentiel de prolongation de l'intervalle QT et qu'il peut prolonger légèrement l'intervalle PR et provoquer une réduction de la fonction ventriculaire gauche à des concentrations supérieures à au moins 11 fois l'exposition obtenue chez l'homme pour la dose quotidienne recommandée de 150 mg. Dans une étude clinique menée chez 35 volontaires sains, les échocardiogrammes effectués à l'inclusion et après la prise de 150 mg de cobicistat une fois par jour pendant au moins 15 jours n'indiquaient aucune modification cliniquement significative de la fonction ventriculaire gauche. Les études portant sur la toxicité du cobicistat sur la reproduction menées chez le rat et le lapin n'ont montré aucun effet sur les indices d'accouplement, de fertilité, ni sur les paramètres relatifs à la gestation et les paramètres foetaux. Cependant, à la dose de 125 mg/kg/jour, une augmentation des pertes post-implantation et une réduction des poids des foetus ont été observées chez le rat. Elles étaient associées à une réduction significative du poids des mères. Pour l'emtricitabine, les données non cliniques issues des études conventionnelles de pharmacologie de sécurité, toxicologie en administration répétée, génotoxicité, cancérogénèse, de toxicité sur les fonctions de reproduction et de développement, n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme. L'elvitégravir, le cobicistat et l'emtricitabine ont tous montré un potentiel carcinogène faible chez la souris et le rat. Les études non cliniques effectuées avec le ténofovir alafénamide chez le rat et le chien ont révélé que les os et les reins étaient les principaux organes cibles de la toxicité. La toxicité osseuse a été observée sous la forme d'une réduction de la densité minérale osseuse chez le rat et le chien à des niveaux d'exposition au ténofovir au moins quatre fois supérieurs à ceux attendus après l'administration de ce médicament. Une infiltration minime des histiocytes a été observée au niveau des yeux chez le chien à des niveaux d'exposition au ténofovir alafénamide et au ténofovir environ 4 et 17 fois supérieurs, respectivement, à ceux attendus après l'administration de ce médicament. Le ténofovir alafénamide n'a montré aucun potentiel mutagène ou clastogène dans les études de génotoxicité conventionnelles. Etant donné que l'exposition au ténofovir chez le rat et la souris est plus faible après l'administration de ténofovir alafénamide par comparaison avec le ténofovir disoproxil, les études de carcinogénicité et une étude péri- et post-natale chez le rat ont été réalisées uniquement avec le ténofovir disoproxil. Les études conventionnelles de cancérogenèse et des fonctions de reproduction et de développement n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme. Des études de toxicité sur la reproduction chez le rat et le lapin n'ont montré aucun effet sur les indices d'accouplement ou de fertilité, ni sur les paramètres relatifs à la gestation et au foetus. Toutefois, le ténofovir disoproxil a réduit l'indice de viabilité et le poids des animaux à la naissance dans les études de toxicité péri- et post-natales à des doses toxiques pour la mère. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 06/11/2018 |
Ce médicament contient plus de 3 susbstances actives et ne peut donc pas être prescrit en dénomination commune.
Spécialité(s) génériques Thériaque | Type | Prix |
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ELVITE COB EMT TAF GLD CPR NSFP | ||
GENVOYA 150MG/150MG/200MG/10MG CPR | ||
Comparer prix |
Groupe générique(s) : Néant |
Spécialité(s) générique(s) ansm et date(s) d'application : Néant |
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GENVOYA (EPAR) 2015 |
GENVOYA STRIBILD GROSSESSE 2019 | |
GENVOYA SYNTHESE D'AVIS 2018 | |
GENVOYA SYNTHESE D'AVIS 2016 |
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* Conditions de prescription et de délivrance Liste I. Médicament à prescription initiale hospitalière. * Rétrocession - Arrêté du 23 janvier 2017 modifiant l'arrêté du 17 décembre 2004 modifié fixant la liste prévue à l'article L. 5126-4 du code de la santé publique (JO du 31/01/2017). * Modalités de prescription et de dispensation des antirétroviraux Les antirétroviraux sont des médicaments à prescription initiale hospitalière annuelle. La prescription est obligatoire dans un établissement de santé public ou privé : . pour l'initiation d'un traitement, . pour toute modification de celui-ci, . au moins 1 fois par an. Le renouvellement est possible par tout médecin "non hospitalier" au cours des 12 mois suivants. La dispensation en officine se fait, avec une phase transitoire de dispensation toujours possible par la pharmacie hospitalière sur présentation d'une ordonnance hospitalière, ou d'une ordonnance de renouvellement accompagnée de la dernière ordonnance hospitalière datant de moins d'un an. Réf. : Circulaire cadre DGS/DSS/DH/DAS nº97/166 relative au nouveau dispositif de dispensation et de prise en charge des antirétroviraux. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 06/11/2018 | |
Code UCD13 : | 3400894133476 |
Code UCD7 : | 9413347 |
Code identifiant spécialité : | 6 545 347 5 |
Laboratoire(s) titulaire(s) AMM: |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 06/11/2018 | |
Laboratoire(s) exploitant(s) : |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 06/11/2018 | |
Code CIP13 | 3400930037737 |
Code CIP7 | 3003773 |
Commercialisation | Disponible : OUI depuis le 02/05/2016 |
Agrément collectivités/date JO | Oui le 31/01/2017 |
Radiation collectivités/date JO | Non |
Présentation réservée à l'hôpital | Non |
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD) |
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Conditionnement primaire | 1 FLACON(S) (1) |
Nb unités de prise par conditionnement primaire | 30 COMPRIME(S) par FLACON(S) |
Matériau(x) |
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Caractéristique(s) du conditionnement primaire |
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* Nature et contenu de l'emballage extérieur |
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Présentation unitaire | NON |
Référence(s) bibliographique(s) | |
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Conditions de délivrance |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 06/11/2018 |
Statut de la présentation |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 06/11/2018 |
1. Prix en officine ville | |
Prix de cette présentation (CIP)/date JO | 591,27 euros TTC le 01/03/2024 |
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) | Non concerné |
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur) | |
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) | 17,316 euros HT le 01/03/2024 |
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) | Non concerné |
1. Ville | |
Taux de remboursement/date JO |
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2. Hôpital (Rétrocession - vente au public) | |
Taux de remboursement |
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- Arrêté du 27 février 2019 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques remboursables aux assurés sociaux (JO du 5 mars 2019). |
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Statut(s) du remboursement |
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- Arrêté du 27 février 2019 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques agréées à l'usage des collectivités et divers services publics (JO du 5 mars 2019). La prise en charge est étendue à l'indication suivante : . traitement du virus de l'immunodéficience humaine de type 1 (VIH-1) dépourvu de toute mutation connue pour être associée à une résistance à la classe des inhibiteurs de l'intégrase, à l'emtricitabine ou au ténofovir, chez les enfants âgés de 6 ans et plus et pesant au moins 25 kg pour lesquels l'utilisation d'autres traitements n'est pas possible en raison de toxicités. |
SMR spécifique de cette présentation | NON |
Modalité(s) de dispensation |
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* Rétrocession |
Durée(s) et condition(s) de conservation |
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* Durée de conservation |
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Référence(s) officielles(s) : Rectificatif AMM européenne 06/11/2018 |
INFECTION VIH
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Ce médicament est indiqué pour le traitement du virus de l'immunodéficience humaine de type 1 (VIH-1) dépourvu de toute mutation connue pour être associée à une résistance à la classe des inhibiteurs de l'intégrase, à l'emtricitabine ou au ténofovir, comme suit : . chez les adultes et les adolescents âgés de 12 ans et plus et pesant au moins 35 kg ; Voir rubriques "Posologie et mode d'administration", "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Propriétés pharmacodynamiques"). |
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Agent(s) étiologique(s) |
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SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 02/03/2016 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 06/11/2018 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
INFECTION VIH
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Ce médicament est indiqué pour le traitement du virus de l'immunodéficience humaine de type 1 (VIH-1) dépourvu de toute mutation connue pour être associée à une résistance à la classe des inhibiteurs de l'intégrase, à l'emtricitabine ou au ténofovir, comme suit : . chez les enfants âgés de 6 ans et plus et pesant au moins 25 kg pour lesquels l'utilisation d'autres traitements n'est pas possible en raison de toxicités. Voir rubriques "Posologie et mode d'administration", "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Propriétés pharmacodynamiques"). |
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Agent(s) étiologique(s) |
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SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 25/07/2018 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 06/11/2018 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | 1 COMPRIME(S)/PRISE |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement |
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Le traitement doit être initié par un médecin expérimenté dans la prise en charge de l'infection par le VIH. * Posologie - Adultes et patients pédiatriques âgés de 6 ans et plus, pesant au moins 25 kg Un comprimé à prendre une fois par jour avec de la nourriture. Si le patient oublie de prendre une dose de ce médicament et s'en aperçoit dans les 18 heures suivant l'heure de prise habituelle, il doit prendre ce médicament dès que possible, avec de la nourriture, et poursuivre le traitement normalement. Si un patient oublie de prendre une dose de ce médicament et s'en aperçoit plus de 18 heures après, le patient ne doit pas prendre la dose oubliée mais simplement poursuivre le traitement normalement. Si le patient vomit dans l'heure suivant la prise de ce médicament, il doit prendre un autre comprimé. - Personnes âgées Aucune adaptation de la dose de ce médicament n'est nécessaire chez les patients âgés (Cf. rubriques "Propriétés pharmacodynamiques" et "Propriétés pharmacocinétiques"). - Insuffisance rénale Aucune adaptation de la dose de ce médicament n'est nécessaire chez les adultes ou les adolescents (âgés d'au moins 12 ans et pesant au moins 35 kg) présentant une clairance de la créatinine (ClCr) estimée > ou = 30 mL/min. Aucune donnée n'est disponible pour émettre des recommandations de posologie chez les enfants âgés de moins de 12 ans présentant une insuffisance rénale. Le traitement par ce médicament ne doit pas être initié chez les patients présentant une ClCr estimée < 30 mL/min car les données disponibles concernant l'utilisation de ce médicament chez cette population sont limitées (Cf. rubriques "Propriétés pharmacodynamiques" et "Propriétés pharmacocinétiques"). Le traitement par ce médicament doit être interrompu chez les patients dont la ClCr estimée diminue en dessous de 30 mL/min au cours du traitement (Cf. rubriques "Propriétés pharmacodynamiques" et "Propriétés pharmacocinétiques"). - Insuffisance hépatique Aucune adaptation de la dose de ce médicament n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère (score de Child-Pugh A) ou modérée (score de Child-Pugh B). Ce médicament n'a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (score de Child-Pugh C) ; par conséquent, l'utilisation de ce médicament n'est pas recommandée chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Propriétés pharmacocinétiques"). - Population pédiatrique La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants âgés de moins de 6 ans ou pesant < 25 kg n'ont pas encore été établies. Aucune donnée n'est disponible. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Recommandation(s) |
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* Précautions particulières d'élimination Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur. * Incompatibilités Sans objet. |
Voie(s) d'administration |
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Modalité(s) |
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* Mode d'administration Ce médicament doit être pris une fois par jour, par voie orale, avec de la nourriture (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). Le comprimé pelliculé ne doit pas être croqué ou écrasé. Pour les patients incapables d'avaler le comprimé entier, celui-ci peut être coupé en deux et les deux moitiés prises l'une après l'autre, permettant ainsi la prise de la totalité de la dose. Si le patient oublie de prendre une dose de ce médicament et s'en aperçoit dans les 18 heures suivant l'heure de prise habituelle, il doit prendre ce médicament dès que possible, avec de la nourriture, et poursuivre le traitement normalement. Si un patient oublie de prendre une dose de ce médicament et s'en aperçoit plus de 18 heures après, le patient ne doit pas prendre la dose oubliée mais simplement poursuivre le traitement normalement. Si le patient vomit dans l'heure suivant la prise de ce médicament, il doit prendre un autre comprimé. * Comment prendre ce médicament ? (notice) Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin. Vérifiez auprès de votre médecin ou pharmacien en cas de doute. Ne pas croquer ou écraser le comprimé. Si vous avez des difficultés à avaler le comprimé entier, vous pouvez le couper en deux. Avalez les deux moitiés du comprimé l'une après l'autre pour prendre la totalité de la dose. Ne conservez pas les moitiés de comprimé. Prenez toujours la dose indiquée par votre médecin afin de garantir la pleine efficacité de votre médicament et de réduire le risque de développement d'une résistance au traitement. Ne modifiez pas la dose sans avoir consulté votre médecin auparavant. Ne prenez pas d'antiacides ou de produits multivitaminés en même temps que ce médicament. Si vous prenez un antiacide comme de l'hydroxyde d'aluminium ou de magnésium, ou un complément multivitaminé, la prise doit avoir lieu au moins 4 heures avant ou au moins 4 heures après la prise de ce médicament. - Si vous avez pris plus de ce médicament que vous n'auriez dû Si vous avez pris accidentellement plus que la dose de ce médicament prescrite par votre médecin, vous pouvez présenter un risque plus élevé de développer les effets indésirables éventuels qui sont associés à ce médicament. Contactez immédiatement votre médecin ou le service des urgences le plus proche pour demander conseil. Conservez le flacon des comprimés avec vous pour pouvoir décrire facilement ce que vous avez pris. - Si vous oubliez de prendre ce médicament Il est important de ne pas oublier de dose de ce médicament. Si vous oubliez de prendre une dose : . Si vous vous en rendez compte dans les 18 heures après l'heure de prise habituelle de ce médicament, prenez un comprimé dès que possible. Prenez toujours votre comprimé avec de la nourriture. Ensuite, prenez la dose suivante à l'heure habituelle. . Si vous vous en rendez compte plus de 18 heures après l'heure de prise habituelle de ce médicament, ne prenez pas la dose oubliée. Attendez et prenez la dose suivante à l'heure prévue, avec de la nourriture. Si vous vomissez moins d'une heure après avoir pris ce médicament, prenez un autre comprimé avec de la nourriture. - N'arrêtez pas de prendre ce médicament N'arrêtez pas de prendre ce médicament sans en parler avec votre médecin. L'arrêt de ce médicament peut grandement modifier la manière dont vous pourriez répondre à un traitement futur. Si, pour quelque raison que ce soit, la prise de ce médicament est interrompue, demandez l'avis de votre médecin avant de recommencer à prendre des comprimés de ce médicament. Si vous commencez à manquer de ce médicament, rapprochez-vous de votre médecin ou de votre pharmacien pour renouveler votre traitement. Cela est très important car la quantité de virus peut commencer à augmenter si vous arrêtez de prendre le médicament, même peu de temps. Par la suite, il pourrait même devenir plus difficile de traiter la maladie. - Si vous avez à la fois une infection par le VIH et une hépatite B, il est particulièrement important que vous n'arrêtiez pas votre traitement par ce médicament sans en parler avant avec votre médecin. Il se peut que vous deviez faire des analyses de sang pendant plusieurs mois après l'arrêt du traitement. Chez certains patients souffrant d'une maladie du foie à un stade avancé ou de cirrhose, l'arrêt du traitement n'est pas recommandé car il pourrait entraîner une aggravation de l'hépatite, ce qui peut être fatal. -> Informez immédiatement votre médecin de tout symptôme nouveau ou inhabituel que vous pourriez remarquer après l'arrêt du traitement, en particulier les symptômes que vous associez à votre hépatite B. Si vous avez d'autres questions sur l'utilisation de ce médicament, demandez plus d'informations à votre médecin ou à votre pharmacien. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Terrain N° 1 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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La co-administration de ce médicament est contre-indiquée avec les médicaments dont la clairance dépend largement du CYP3A et pour lesquels les concentrations plasmatiques élevées sont associées à des effets indésirables graves ou mettant en jeu le pronostic vital. Ce médicament ne doit donc pas être co-administré avec les médicaments suivants (liste non exhaustive) (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Interactions') : . antagonistes des récepteurs alpha-1 adrénergiques : alfuzosine . antiarythmiques : amiodarone, quinidine . dérivés de l'ergot de seigle : dihydroergotamine, ergométrine, ergotamine . agents de motilité gastro-intestinale : cisapride . inhibiteurs de l'HMG-CoA réductase : lovastatine, simvastatine . neuroleptiques/antipsychotiques : pimozide, lurasidone . inhibiteurs de la PDE-5 : sildénafil, utilisé dans le traitement de l'hypertension artérielle pulmonaire . sédatifs/hypnotiques : midazolam par voie orale, triazolam La co-administration est contre-indiquée avec les médicaments qui sont des inducteurs puissants du CYP3A en raison du risque potentiel de perte de réponse virologique et de résistance éventuelle à ce médicament. Ce médicament ne doit donc pas être co-administré avec les médicaments suivants (liste non exhaustive) (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Interactions') : . anticonvulsivants : carbamazépine, phénobarbital, phénytoïne . antimycobactériens : rifampicine . produits à base de plantes : millepertuis (Hypericum perforatum) La co-administration est contre-indiquée avec le dabigatran étexilate, un substrat de la glycoprotéine P (P-gp) (Cf. rubrique "Interactions"). Ce médicament ne doit pas être co-administré avec d'autres médicaments antirétroviraux (Cf. rubrique "Interactions"). Ce médicament ne doit pas être administré conjointement à des médicaments contenant du ténofovir alafénamide, du ténofovir disoproxil, de la lamivudine ou de l'adéfovir dipivoxil, lesquels sont utilisés dans le traitement de l'infection par le VHB (Cf. rubrique "Interactions"). Cf. aussi "Thesaurus interactions ansm". |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | INTERACTION D'ORIGINE ALIMENTAIRE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Cf. aussi "Thesaurus interactions ansm". |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | INSUFFISANCE HEPATIQUE
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Niveau(x) |
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Aucune adaptation de la dose de ce médicament n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère (score de Child-Pugh A) ou modérée (score de Child-Pugh B). Ce médicament n'a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (score de Child-Pugh C) ; par conséquent, l'utilisation de ce médicament n'est pas recommandée chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Propriétés pharmacocinétiques"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | ENFANT
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Niveau(x) |
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La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants âgés de moins de 6 ans ou pesant < 25 kg n'ont pas encore été établies. Aucune donnée n'est disponible. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | NOURRISSON |
Niveau(x) |
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La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants âgés de moins de 6 ans ou pesant < 25 kg n'ont pas encore été établies. Aucune donnée n'est disponible. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | NOUVEAU-NE |
Niveau(x) |
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La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants âgés de moins de 6 ans ou pesant < 25 kg n'ont pas encore été établies. Aucune donnée n'est disponible. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | ALLAITEMENT |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | GROSSESSE |
Niveau(x) |
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Genvoya (R) Stribild (R) : risque accru d'échec virologique et secondairement de transmission de l'infection VIH de la mère à l'enfant - Lettre aux professionnels de santé ansm 28/03/2019 Genvoya (R) Stribild (R) : risque accru d'échec virologique et secondairement de transmission de l'infection VIH de la mère à l'enfant en raison d'une réduction de l'exposition pharmacocinétique à l'elvitégravir et au cobicistat au cours des deuxième et troisième trimestres de la grossesse Information destinée aux Infectiologues, Virologues, Pharmacologues, Gynécologues-Obstétriciens, Pédiatres, Ensemble des COREVIH, Ensemble des CeGIDD, Pharmaciens Hospitaliers et d'Officine, Spécialistes de médecine interne, Spécialistes de santé sexuelle, Médecins généralistes et Associations de patients. En juin 2018, un risque accru d'échec virologique et secondairement de transmission de l'infection VIH de la mère à l'enfant en raison d'une réduction de l'exposition pharmacocinétique au darunavir "boosté" par le cobicistat a été identifié pendant la grossesse. . Un traitement par elvitégravir/cobicistat ne doit pas être instauré pendant la grossesse. . Le traitement antirétroviral des femmes ayant débuté une grossesse pendant un traitement par elvitégravir/cobicistat doit être changé. . Cette recommandation fait suite à des données pharmacocinétiques qui ont montré des taux faibles d'exposition au cobicistat et à l'elvitégravir au cours des deuxième et troisième trimestres de la grossesse. . Une sous-exposition à l'elvitégravir peut entraîner un risque accru d'échec virologique et secondairement de transmission de l'infection VIH de la mère à l'enfant. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | FEMME EN AGE DE PROCREER
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Niveau(x) |
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Femmes en âge de procréer / contraception chez les hommes et les femmes L'utilisation de ce médicament doit s'accompagner d'une méthode de contraception efficace (Cf. rubriques "Mises en garde et précations d'emploi" et "Interactions"). . Impératifs en matière de contraception Les femmes en âge de procréer doivent utiliser soit un contraceptif hormonal contenant au moins une dose de 30 microgrammes d'éthinylestradiol et la drospirénone ou le norgestimate, comme progestatif, soit une autre méthode de contraception fiable (Cf. rubriques "Interactions" et "Grossesse et allaitement"). L'utilisation de ce médicament avec des contraceptifs oraux contenant d'autres progestatifs doit être évitée (Cf. rubrique "Interactions"). Une augmentation des concentrations plasmatiques de drospirénone est attendue en cas de co-administration avec ce médicament et une surveillance clinique est recommandée en raison du risque potentiel d'hyperkaliémie (Cf. rubrique "Interactions"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | PARTENAIRE : FEMME EN AGE DE PROCREER
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Niveau(x) |
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Femmes en âge de procréer / contraception chez les hommes et les femmes L'utilisation de ce médicament doit s'accompagner d'une méthode de contraception efficace (Cf. rubriques "Mises en garde et précations d'emploi" et "Interactions"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
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Niveau(x) |
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Le traitement par ce médicament ne doit pas être initié chez les patients présentant une ClCr estimée < 30 mL/min car les données disponibles concernant l'utilisation de ce médicament chez cette population sont limitées (Cf. rubriques "Propriétés pharmacodynamiques" et "Propriétés pharmacocinétiques"). Le traitement par ce médicament doit être interrompu chez les patients dont la ClCr estimée diminue en dessous de 30 mL/min au cours du traitement (Cf. rubriques "Propriétés pharmacodynamiques" et "Propriétés pharmacocinétiques"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | ATTEINTE RENALE
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Niveau(x) |
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Le traitement par ce médicament ne doit pas être initié chez les patients présentant une ClCr estimée < 30 mL/min car les données disponibles concernant l'utilisation de ce médicament chez cette population sont limitées (Cf. rubriques "Propriétés pharmacodynamiques" et "Propriétés pharmacocinétiques"). Le traitement par ce médicament doit être interrompu chez les patients dont la ClCr estimée diminue en dessous de 30 mL/min au cours du traitement (Cf. rubriques "Propriétés pharmacodynamiques" et "Propriétés pharmacocinétiques"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | DIALYSE |
Niveau(x) |
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Le traitement par ce médicament ne doit pas être initié chez les patients présentant une ClCr estimée < 30 mL/min car les données disponibles concernant l'utilisation de ce médicament chez cette population sont limitées (Cf. rubriques "Propriétés pharmacodynamiques" et "Propriétés pharmacocinétiques"). Le traitement par ce médicament doit être interrompu chez les patients dont la ClCr estimée diminue en dessous de 30 mL/min au cours du traitement (Cf. rubriques "Propriétés pharmacodynamiques" et "Propriétés pharmacocinétiques"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Hypersensibilité aux substances actives ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique "Composition". La co-administration de ce médicament est contre-indiquée avec les médicaments dont la clairance dépend largement du CYP3A et pour lesquels les concentrations plasmatiques élevées sont associées à des effets indésirables graves ou mettant en jeu le pronostic vital. Ce médicament ne doit donc pas être co-administré avec les médicaments suivants (liste non exhaustive) (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Interactions') : . antagonistes des récepteurs alpha-1 adrénergiques : alfuzosine . antiarythmiques : amiodarone, quinidine . dérivés de l'ergot de seigle : dihydroergotamine, ergométrine, ergotamine . agents de motilité gastro-intestinale : cisapride . inhibiteurs de l'HMG-CoA réductase : lovastatine, simvastatine . neuroleptiques/antipsychotiques : pimozide, lurasidone . inhibiteurs de la PDE-5 : sildénafil, utilisé dans le traitement de l'hypertension artérielle pulmonaire . sédatifs/hypnotiques : midazolam par voie orale, triazolam La co-administration est contre-indiquée avec les médicaments qui sont des inducteurs puissants du CYP3A en raison du risque potentiel de perte de réponse virologique et de résistance éventuelle à ce médicament. Ce médicament ne doit donc pas être co-administré avec les médicaments suivants (liste non exhaustive) (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Interactions') : . anticonvulsivants : carbamazépine, phénobarbital, phénytoïne . antimycobactériens : rifampicine . produits à base de plantes : millepertuis (Hypericum perforatum) La co-administration est contre-indiquée avec le dabigatran étexilate, un substrat de la glycoprotéine P (P-gp) (Cf. rubrique "Interactions"). |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 06/11/2018 |
Terrain N° 16 | ANOMALIE METABOLISME GALACTOSE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient du lactose comme excipient. - Voie d'administration : Orale - Seuil : Zéro - Informations Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. - Commentaires Proposition de RCP : Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 17 | DEFICIT EN LACTASE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient du lactose comme excipient. - Voie d'administration : Orale - Seuil : Zéro - Informations Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. - Commentaires Proposition de RCP : Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 18 | SYNDROME DE MALABSORPTION / INTOLERANCE DIGESTIVE
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Niveau(x) |
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Ce médicament contient du lactose comme excipient. - Voie d'administration : Orale - Seuil : Zéro - Informations Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. - Commentaires Proposition de RCP : Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 19 | REGIME SANS GALACTOSE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient du lactose comme excipient. - Voie d'administration : Orale - Seuil : Zéro - Informations Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. - Commentaires Proposition de RCP : Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 20 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Ce médicament contient du lactose comme excipient. - Voie d'administration : Orale - Seuil : Zéro - Informations Si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres, contactez-le avant de prendre ce médicament. - Commentaires Proposition de RCP : Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 1 | HEPATITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | INFECTION VIRALE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | ATTEINTE HEPATIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | INSUFFISANCE HEPATIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | DYSLIPIDEMIE / ANOMALIE METAB LIPIDE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | HYPERLIPIDEMIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | ALCOOLISME CHRONIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | DEFICIT IMMUNITAIRE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | OBESITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | FEMME EN AGE DE PROCREER
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Niveau(x) |
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Femmes en âge de procréer / contraception chez les hommes et les femmes L'utilisation de ce médicament doit s'accompagner d'une méthode de contraception efficace (Cf. rubriques "Mises en garde et précations d'emploi" et "Interactions"). . Impératifs en matière de contraception Les femmes en âge de procréer doivent utiliser soit un contraceptif hormonal contenant au moins une dose de 30 microgrammes d'éthinylestradiol et la drospirénone ou le norgestimate, comme progestatif, soit une autre méthode de contraception fiable (Cf. rubriques "Interactions" et "Grossesse et allaitement"). L'utilisation de ce médicament avec des contraceptifs oraux contenant d'autres progestatifs doit être évitée (Cf. rubrique "Interactions"). Une augmentation des concentrations plasmatiques de drospirénone est attendue en cas de co-administration avec ce médicament et une surveillance clinique est recommandée en raison du risque potentiel d'hyperkaliémie (Cf. rubrique "Interactions"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | PARTENAIRE : FEMME EN AGE DE PROCREER
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Niveau(x) |
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Femmes en âge de procréer / contraception chez les hommes et les femmes L'utilisation de ce médicament doit s'accompagner d'une méthode de contraception efficace (Cf. rubriques "Mises en garde et précations d'emploi" et "Interactions"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | INTERACTION D'ORIGINE ALIMENTAIRE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Bien qu'il ait été démontré que l'efficacité virologique d'un traitement antirétroviral réduise substantiellement le risque de transmission du VIH par voie sexuelle, un risque de transmission ne peut être exclu. Des précautions doivent être prises conformément aux recommandations nationales afin de prévenir toute transmission. - Patients co-infectés par le VIH et le virus de l'hépatite B ou C Les patients atteints d'une hépatite chronique B ou C et traités par association d'antirétroviraux présentent un risque accru de développer des effets indésirables hépatiques sévères et potentiellement fatals. La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les patients co-infectés par le VIH–1 et le virus de l'hépatite C (VHC) n'ont pas été établies. Le ténofovir alafénamide est actif contre le virus de l'hépatite B (VHB). L'arrêt du traitement par ce médicament chez les patients co-infectés par le VIH et le VHB peut être associé à une exacerbation aiguë sévère de l'hépatite. Les patients co-infectés par le VIH et le VHB arrêtant le traitement par ce médicament doivent être étroitement surveillés au plan clinique et biologique pendant plusieurs mois au moins après l'arrêt du traitement. - Maladie hépatique La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les patients présentant des troubles sous-jacents significatifs de la fonction hépatique n'ont pas été établies. Les patients ayant des troubles préexistants de la fonction hépatique (y compris une hépatite chronique active) ont, au cours d'un traitement par association d'antirétroviraux, une fréquence plus élevée d'anomalies de la fonction hépatique et doivent faire l'objet d'une surveillance appropriée. Chez ces patients, en cas d'aggravation confirmée de l'atteinte hépatique, l'interruption ou l'arrêt du traitement devra être envisagé(e). - Poids corporel et paramètres métaboliques Une augmentation du poids corporel ainsi que des taux de lipides et de glucose sanguins peuvent survenir au cours d'un traitement antirétroviral. De telles modifications peuvent en partie être liées au contrôle de la maladie et au mode de vie. Si pour les augmentations des taux de lipides, il est bien établi dans certains cas qu'il existe un effet du traitement, aucun lien n'est clairement établi entre une prise de poids et un quelconque traitement antirétroviral. Le suivi des taux de lipides et de glucose sanguins devra tenir compte des recommandations en vigueur encadrant les traitements contre le VIH. Les troubles lipidiques devront être pris en charge de façon appropriée. - Dysfonctionnement mitochondrial à la suite d'une exposition in utero Les analogues nucléos(t)idiques peuvent avoir un impact plus ou moins sévère sur la fonction mitochondriale, l'effet le plus marqué étant observé avec la stavudine, la didanosine et la zidovudine. Des cas de dysfonctionnement mitochondrial ont été rapportés chez des nourrissons non infectés par le VIH, exposés in utero et/ou en période post-natale à des analogues nucléosidiques ; il s'agissait majoritairement d'associations comportant de la zidovudine. Les effets indésirables principalement rapportés sont des atteintes hématologiques (anémie, neutropénie) et des troubles métaboliques (hyperlactatémie, hyperlipasémie). Ces effets indésirables ont souvent été transitoires. Des troubles neurologiques d'apparition tardive ont été rapportés dans de rares cas (hypertonie, convulsions, troubles du comportement). Le caractère transitoire ou permanent de ces troubles neurologiques n'est pas établi à ce jour. Ces données doivent être prises en compte chez tout enfant exposé in utero à des analogues nucléos(t)idiques qui présente des manifestations cliniques sévères d'étiologie inconnue, en particulier des manifestations neurologiques. Ces données ne modifient pas les recommandations actuelles nationales quant à l'utilisation d'un traitement antirétroviral chez la femme enceinte dans la prévention de la transmission materno-foetale du VIH. - Syndrome de restauration immunitaire Chez les patients infectés par le VIH et présentant un déficit immunitaire sévère au moment de l'instauration du traitement par association d'antirétroviraux, une réaction inflammatoire à des infections opportunistes asymptomatiques ou résiduelles peut se produire et entraîner des manifestations cliniques graves ou une aggravation des symptômes. De telles réactions ont été observées classiquement au cours des premières semaines ou des premiers mois de traitement par association d'antirétroviraux. À titre d'exemples pertinents, on peut noter entre autres : les rétinites à cytomégalovirus, les infections mycobactériennes généralisées et/ou localisées, et les pneumopathies à Pneumocystis jirovecii. Tout symptôme inflammatoire doit être évalué et un traitement être instauré si nécessaire. L'apparition de maladies auto-immunes (comme la maladie de Basedow et l'hépatite auto-immune) a également été rapportée dans le cadre d'une restauration immunitaire. Cependant, le délai d'apparition qui a été rapporté est plus variable et ces évènements peuvent se produire plusieurs mois après l'initiation du traitement. - Infections opportunistes L'apparition d'infections opportunistes ou d'autres complications liées à l'infection par le VIH reste possible sous ce médicament ou tout autre traitement antirétroviral. Une surveillance clinique étroite par un médecin expérimenté dans le traitement des maladies associées à l'infection par le VIH demeure donc nécessaire. - Ostéonécrose L'étiologie est considérée comme multifactorielle (incluant l'utilisation de corticoïdes, la consommation d'alcool, une immunosuppression sévère, un indice de masse corporelle élevé), cependant des cas d'ostéonécrose ont été rapportés en particulier chez des patients à un stade avancé de la maladie liée au VIH et/ou ayant un traitement par association d'antirétroviraux au long cours. Il est conseillé aux patients de solliciter un avis médical s'ils éprouvent des douleurs et des arthralgies, une raideur articulaire ou des difficultés pour se mouvoir. - Néphrotoxicité Un risque potentiel de néphrotoxicité résultant de l'exposition chronique à de faibles doses de ténofovir dans le cadre du traitement par le ténofovir alafénamide ne peut être exclu (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). - Co-administration d'autres médicaments Certains médicaments ne doivent pas être co-administrés avec ce médicament (Cf. rubriques "Contre-indications" et "Interactions"). Ce médicament ne doit pas être co-administré avec d'autres médicaments antirétroviraux (Cf. rubrique "Interactions"). Ce médicament ne doit pas être administré conjointement à des médicaments contenant du ténofovir alafénamide, du ténofovir disoproxil, de la lamivudine ou de l'adéfovir dipivoxil, lesquels sont utilisés dans le traitement de l'infection par le VHB (Cf. rubrique "Interactions"). . Impératifs en matière de contraception Les femmes en âge de procréer doivent utiliser soit un contraceptif hormonal contenant au moins une dose de 30 microgrammes d'éthinylestradiol et la drospirénone ou le norgestimate, comme progestatif, soit une autre méthode de contraception fiable (Cf. rubriques "Interactions" et "Grossesse et allaitement"). L'utilisation de ce médicament avec des contraceptifs oraux contenant d'autres progestatifs doit être évitée (Cf. rubrique "Interactions"). Une augmentation des concentrations plasmatiques de drospirénone est attendue en cas de co-administration avec ce médicament et une surveillance clinique est recommandée en raison du risque potentiel d'hyperkaliémie (Cf. rubrique "Interactions"). - Population pédiatrique Dans une étude clinique (GS-US-292-0106) au cours de laquelle ce médicament a été administré à 23 patients pédiatriques infectés par le VIH-1, dont l'âge moyen était de 10 ans (intervalle : 8 à 11 ans), les expositions moyennes à l'elvitégravir, au cobicistat, à l'emtricitabine, au ténofovir et au ténofovir alafénamide ont été supérieures (20 à 80 %) aux expositions moyennes atteintes chez les adultes (Cf. rubriques "Interactions" et "Propriétés pharmacocinétiques"). - Excipients Ce médicament contient du lactose monohydraté. En conséquence, les patients présentant des troubles héréditaires rares d'intolérance au galactose, de déficit en lactase de Lapp ou de malabsorption du glucose/galactose ne doivent pas prendre ce médicament. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 06/11/2018 |
Ce médicament ne doit pas être co-administré avec d'autres médicaments antirétroviraux. Ce document ne contient donc aucune information relative aux interactions médicamenteuses avec d'autres agents antirétroviraux (dont les IP et les inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse [INNTI]) (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Les études d'interaction n'ont été réalisées que chez l'adulte. Ce médicament ne doit pas être administré conjointement à des médicaments contenant du ténofovir alafénamide, du ténofovir disoproxil, de la lamivudine ou de l'adéfovir dipivoxil utilisés pour le traitement de l'infection par le VHB. - Elvitégravir L'elvitégravir est principalement métabolisé par le CYP3A et les médicaments induisant ou inhibant le CYP3A peuvent altérer l'exposition à l'elvitégravir. La co-administration de ce médicament avec des médicaments induisant le CYP3A peut entraîner une diminution des concentrations plasmatiques de l'elvitégravir et une réduction de l'effet thérapeutique de ce médicament (voir "Utilisations concomitantes contre-indiquées" et rubrique "Contre-indications"). L'elvitégravir peut potentiellement induire le CYP2C9 et/ou les enzymes uridine diphosphate glucuronosyltransférases (UGT). Par conséquent, il est susceptible de provoquer une diminution de la concentration plasmatique des substrats de ces enzymes. - Cobicistat Le cobicistat est un substrat du CYP3A et un puissant inhibiteur de ce dernier. Le cobicistat est également un faible inhibiteur du CYP2D6 et il est métabolisé par ce cytochrome, dans une moindre mesure. Les médicaments inhibant le CYP3A peuvent réduire la clairance du cobicistat, entraînant une augmentation des concentrations plasmatiques du cobicistat. Les médicaments dont le métabolisme dépend largement du CYP3A et qui sont fortement soumis à l'effet de premier passage sont ceux dont l'exposition risque le plus de connaître d'importantes augmentations en cas de co-administration avec le cobicistat (voir "Utilisations concomitantes contre-indiquées" et rubrique "Contre-indications"). Le cobicistat est un inhibiteur des transporteurs suivants : P-gp, protéine de résistance du cancer du sein (BCRP), polypeptide de transport des anions organiques (OATP) 1B1 et OATP1B3. La co-administration avec des médicaments qui sont des substrats de la P-gp, de la BCRP, de l'OATP1B1 et de l'OATP1B3 peut provoquer une augmentation des concentrations plasmatiques de ces produits. - Emtricitabine Les études d'interactions médicamenteuses in vitro et de pharmacocinétique clinique ont montré que le risque d'interactions liées au CYP, impliquant l'emtricitabine, avec d'autres médicaments est faible. La co-administration d'emtricitabine avec des médicaments éliminés par sécrétion tubulaire active peut augmenter les concentrations de l'emtricitabine et/ou celles du médicament co-administré. Les médicaments diminuant la fonction rénale peuvent augmenter les concentrations de l'emtricitabine. - Ténofovir alafénamide Le ténofovir alafénamide est transporté par la P-gp et la BCRP. Les médicaments altérant fortement l'activité de la P-gp et de la BCRP peuvent provoquer des modifications de l'absorption du ténofovir alafénamide. Cependant, lors de la co-administration avec le cobicistat contenu dans ce médicament, une inhibition quasi-maximale de la P-gp par le cobicistat est atteinte, ce qui augmente la disponibilité du ténofovir alafénamide jusqu'à des niveaux d'exposition comparables à ceux obtenus avec 25 mg de ténofovir alafénamide administrés seuls. Par conséquent, aucune augmentation supplémentaire de l'exposition au ténofovir alafénamide après administration de ce médicament conjointement à un autre inhibiteur de la P-gp et/ou de la BCRP (kétoconazole, p. ex.) n'est attendu. D'après les données issues d'une étude in vitro, la co-administration du ténofovir alafénamide et d'inhibiteurs de la xanthine oxydase (fébuxostat, p. ex.) ne devrait pas augmenter l'exposition systémique au ténofovir in vivo. Les études d'interactions médicamenteuses in vitro et de pharmacocinétique clinique ont montré que le risque d'interactions liées au CYP, impliquant le ténofovir alafénamide, avec d'autres médicaments est faible. Le ténofovir alafénamide n'est pas un inhibiteur des CYP1A2, CYP2B6, CYP2C8, CYP2C9, CYP2C19 ou CYP2D6. In vivo, le ténofovir alafénamide n'est pas un inhibiteur ou un inducteur du CYP3A. In vitro, le ténofovir alafénamide est un substrat de l'OATP. Les inhibiteurs de l'OATP et de la BCRP comprennent la ciclosporine. - Utilisations concomitantes contre-indiquées La co-administration de ce médicament avec certains médicaments principalement métabolisés par le CYP3A peut être à l'origine d'une augmentation des concentrations plasmatiques de ces produits, ce qui peut être associé à un risque potentiel d'effets indésirables graves ou mettant en jeu le pronostic vital tels que : vasospasme ou ischémie périphériques (avec la dihydroergotamine, l'ergotamine ou l'ergométrine par ex.), myopathie, notamment rhabdomyolyse (avec la simvastatine ou la lovastatine par ex.), sédation prolongée ou accrue, ou dépression respiratoire (avec le midazolam par voie orale ou le triazolam par ex.). La co-administration de ce médicament avec d'autres médicaments principalement métabolisés par le CYP3A, comme l'amiodarone, la quinidine, le cisapride, le pimozide, la lurasidone, l'alfuzosine et le sildénafil utilisé dans l'hypertension artérielle pulmonaire, est contre-indiquée (Cf. rubrique "Contre-indications"). La co-administration de ce médicament et de certains médicaments inducteurs du CYP3A, comme le millepertuis (Hypericum perforatum), la rifampicine, la carbamazépine, le phénobarbital et la phénytoïne, peut provoquer une baisse significative des concentrations plasmatiques de cobicistat et d'elvitégravir et, par conséquent, une perte d'effet thérapeutique, et le développement de résistance (Cf. rubrique "Contre-indications"). - Autres interactions Le cobicistat et le ténofovir alafénamide ne sont pas des inhibiteurs de l'UGT1A1 humaine in vitro. Il n'est pas connu si le cobicistat, l'emtricitabine ou le ténofovir alafénamide sont des inhibiteurs des autres enzymes UGT. Les interactions entre les composants de ce médicament et les autres médicaments pouvant potentiellement faire l'objet d'une administration concomitante sont listées ci-dessous (augmentation, diminution, absence de changement). Les interactions décrites reposent sur des études menées avec ce médicament ou les composants de ce médicament (elvitégravir, cobicistat, emtricitabine et ténofovir alafénamide) administrés individuellement et/ou en association, ou constituent des interactions médicamenteuses potentielles pouvant se produire avec ce médicament. Interactions entre les composants individuels de ce médicament et d'autres médicaments Médicament par classes thérapeutiques * ANTI-INFECTIEUX - Antifongiques + Kétoconazole (200 mg 2x/jour)/ Elvitégravir (150 mg 1x/jour) (2) Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Elvitégravir : ASC : augmentation 48 % Cmin : augmentation 67 % Cmax : absence de changement Les concentrations de kétoconazole et/ou de cobicistat peuvent augmenter en cas de co-administration avec ce médicament. Recommandation concernant la co-administration : Quand le kétoconazole est administré avec ce médicament, la dose quotidienne maximale de kétoconazole ne doit pas dépasser 200 mg par jour. Des précautions sont nécessaires et une surveillance clinique est recommandée en cas de co-administration. + Itraconazole (3) + Voriconazole (3) + Posaconazole (3) + Fluconazole Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de ce médicament non étudiée. Les concentrations d'itraconazole, de fluconazole et de posaconazole peuvent augmenter en cas de co-administration avec du cobicistat. Les concentrations de voriconazole peuvent augmenter ou diminuer en cas de co-administration avec ce médicament. Recommandation concernant la co-administration : La co-administration avec ce médicament doit faire l'objet d'une surveillance clinique. Quand l'itraconazole est administré avec ce médicament, la dose quotidienne maximale d'itraconazole ne doit pas dépasser 200 mg par jour. Il est recommandé d'évaluer le rapport bénéfices/risques pour justifier l'utilisation concomitante du voriconazole et de ce médicament. - Antimycobactériens + Rifabutine (150 mg un jour sur deux)/ Elvitégravir (150 mg 1x/jour)/ Cobicistat (150 mg 1x/jour) Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : La co-administration de rifabutine, un puissant inducteur du CYP3A, peut provoquer une baisse significative des concentrations plasmatiques de cobicistat et d'elvitégravir et, par conséquent, une perte de l'effet thérapeutique, ainsi que l'apparition d'une résistance. Rifabutine : ASC : absence de changement Cmin : absence de changement Cmax : absence de changement 25-O-désacétyl-rifabutine ASC : augmentation 525 % Cmin : augmentation 394 % Cmax : augmentation 384 % Elvitégravir : ASC : diminution 21 % Cmin : diminution 67 % Cmax : absence de changement Cobicistat : ASC : absence de changement Cmin : diminution 66 % Cmax : absence de changement Recommandation concernant la co-administration : La co-administration de ce médicament et de rifabutine n'est pas recommandée. S'il est nécessaire de les associer, la dose recommandée de rifabutine est de 150 mg 3 fois par semaine, à administrer à des jours fixes (par exemple, lundi-mercredi-vendredi). Comme une augmentation de l'exposition à la desacétyl-rifabutine est à prévoir, une surveillance accrue s'impose pour pouvoir repérer d'éventuels effets indésirables associés à la rifabutine, notamment une neutropénie ou une uvéite. Aucune étude portant sur des doses inférieures de rifabutine n'a été réalisée. Il faut garder à l'esprit qu'il est possible qu'une dose de 150 mg deux fois par semaine ne permette pas une exposition optimale à la rifabutine et provoque un risque de résistance à la rifamycine et d'échec thérapeutique. - Médicaments anti-virus de l'hépatite C + Lédipasvir (90 mg 1x/jour)/Sofosbuvir (400 mg 1x/jour)/Elvitégravir (150 mg 1x/jour)/Cobicistat (150 mg 1x/jour)/Emtricitabine (200 mg 1x/jour)/Ténofovir alafénamide (10 mg 1x/jour) Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Lédipasvir : ASC : augmentation 79 % Cmin : augmentation 93 % Cmax : augmentation 65 % Sofosbuvir : ASC : augmentation 47 % Cmin : NA Cmax : augmentation 28 % Métabolite du sofosbuvir GS-566500 : ASC : absence de changement Cmin : absence de changement Cmax : absence de changement Métabolite du sofosbuvir GS-331007 : ASC : augmentation 48 % Cmin : augmentation 66 % Cmax : absence de changement Elvitégravir : ASC : absence de changement Cmin : augmentation 46 % Cmax : absence de changement Cobicistat : ASC : augmentation 53 % Cmin : augmentation 225 % Cmax : absence de changement Emtricitabine : ASC : absence de changement Cmin : absence de changement Cmax : absence de changement Ténofovir alafénamide : ASC : absence de changement Cmin : NA Cmax : absence de changement Recommandation concernant la co-administration : Aucune adaptation de la posologie du lédipasvir/sofosbuvir et de ce médicament n'est requise en cas de co-administration. + Sofosbuvir (400 mg 1x/jour)/Velpatasvir (100 mg 1x/jour)/Elvitégravir (150 mg 1x/jour)/Cobicistat (150 mg 1x/jour)/Emtricitabine (200 mg 1x/jour)/Ténofovir alafénamide (10 mg1x/jour) (5) Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Sofosbuvir : ASC : augmentation 37 % Cmin : NA Cmax : absence de changement Métabolite du sofosbuvir GS-331007 : ASC : augmentation 48 % Cmin : augmentation 58 % Cmax : absence de changement Velpatasvir : ASC : augmentation 50 % Cmin : augmentation 60 % Cmax : augmentation 30 % Elvitégravir : ASC : absence de changement Cmin : absence de changement Cmax : absence de changement Cobicistat : ASC : absence de changement Cmin : augmentation 103 % Cmax : absence de changement Emtricitabine : ASC : absence de changement Cmin : absence de changement Cmax : absence de changement Ténofovir alafénamide : ASC : absence de changement Cmin : NA Cmax : diminution 20 % Recommandation concernant la co-administration : Aucune adaptation de la posologie du sofosbuvir/velpatasvir et de ce médicament n'est requise en cas de co-administration. + Sofosbuvir/Velpatasvir/Voxilaprévir (400 mg/100 mg/100 mg + 100 mg 1x/jour) (7)/Elvitégravir (150 mg 1x/jour)/Cobicistat (150 mg 1x/jour)/ Emtricitabine (200 mg 1x/jour)/ Ténofovir alafénamide (10 mg 1x/jour) (5) Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Sofosbuvir : ASC : absence de changement Cmin : NA Cmax : augmentation 27 % Métabolite GS-331007 du sofosbuvir : ASC : augmentation 43 % Cmin : NA Cmax : absence de changement Velpatasvir : ASC : absence de changement Cmin : augmentation 46 % Cmax : absence de changement Voxilaprévir : ASC : augmentation 171 % Cmin : augmentation 350 % Cmax : augmentation 92 % Elvitegravir : ASC : absence de changement Cmin : augmentation 32 % Cmax : absence de changement Cobicistat : ASC : augmentation 50 % Cmin : augmentation 250 % Cmax : absence de changement Emtricitabine : ASC : absence de changement Cmin : absence de changement Cmax : absence de changement Ténofovir alafénamide : ASC : absence de changement Cmin : NA Cmax : diminution 21 % Recommandation concernant la co-administration : Aucune adaptation de la posologie du sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir et de ce médicament n'est requise en cas de co-administration. + Bocéprévir Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de ce médicament non étudiée. Recommandation concernant la co-administration : La co-administration avec le bocéprévir est susceptible d'avoir un effet défavorable sur l'activation intracellulaire et l'efficacité antivirale clinique du ténofovir alafénamide ; par conséquent, la co-administration de ce médicament et du bocéprévir n'est pas recommandée. - Antibiotiques macrolides + Clarithromycine Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de ce médicament non étudiée. Les concentrations de clarithromycine et/ou de cobicistat peuvent être modifiées par la co-administration de ce médicament. Recommandation concernant la co-administration : La posologie de la clarithromycine doit être définie en fonction de la ClCr du patient, en tenant compte de l'effet du cobicistat sur la ClCr et la créatinine sérique (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Patients présentant une ClCr supérieure ou égale à 60 mL/min : aucune adaptation de la posologie de la clarithromycine n'est nécessaire. Patients présentant une ClCr comprise entre 30 mL/min et 60 mL/min : la dose de clarithromycine doit être réduite de 50 %. + Télithromycine Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de ce médicament non étudiée. Les concentrations de télithromycine et/ou de cobicistat peuvent être modifiées par la co-administration de ce médicament. Recommandation concernant la co-administration : Une surveillance clinique est recommandée en cas de co-administration avec ce médicament. * ANTICONVULSIVANTS + Carbamazépine (200 mg 2x/jour)/ Elvitégravir (150 mg 1x/jour)/ Cobicistat (150 mg 1x/jour) Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : La co-administration de carbamazépine, un puissant inducteur du CYP3A, peut provoquer une baisse significative des concentrations plasmatiques de cobicistat. Elvitégravir : ASC : diminution 69 % Cmin : diminution 97 % Cmax : diminution 45 % Cobicistat : ASC : diminution 84 % Cmin : diminution 90 % Cmax : diminution 72 % Carbamazépine : ASC : augmentation 43 % Cmin : augmentation 51 % Cmax : augmentation 40 % Carbamazépine-10,11-époxyde : ASC : diminution 35 % Cmin : diminution 41 % Cmax : diminution 27 % Recommandation concernant la co-administration : La carbamazépine diminue les concentrations plasmatiques de l'elvitégravir et du cobicistat, ce qui peut aboutir à une perte de l'effet thérapeutique, ainsi qu'à l'apparition d'une résistance. La co-administration de ce médicament avec la carbamazépine est contre-indiquée (Cf. rubrique "Contre-indications"). * GLUCOCORTICOIDES - Tous les corticostéroïdes à l'exception des produits à usage cutané + Corticostéroïdes principalement métabolisés par le CYP3A (notamment bêtaméthasone, budésonide, fluticasone, mométasone, prednisone, triamcinolone). Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de ce médicament non étudiée. Les concentrations plasmatiques de ces médicaments peuvent être augmentées lorsqu'ils sont co-administrés avec ce médicament, ce qui entraîne une réduction des concentrations du cortisol sérique. Recommandation concernant la co-administration : L'utilisation concomitante de ce médicament et de corticostéroïdes métabolisés par le CYP3A (par exemple propionate de fluticasone ou autres corticostéroïdes pris par inhalation ou par voie nasale) peut augmenter le risque de développement d'effets systémiques des corticostéroïdes, notamment le syndrome de Cushing et de suppression surrénalienne. La co-administration avec des corticostéroïdes métabolisés par le CYP3A n'est pas recommandée, à moins que les bénéfices potentiels pour le patient soient supérieurs aux risques, auquel cas celui-ci doit être surveillé pour détecter d'éventuels effets systémiques des corticostéroïdes. D'autres corticostéroïdes dont le métabolisme est moins dépendant du CYP3A, par exemple la béclométhasone prise par voie intranasale ou par inhalation, doivent être envisagés, en particulier pour l'utilisation à long terme. * ANTIACIDES + Suspension antiacide contenant du magnésium/de l'aluminium (dose unique de 20 mL)/ Elvitégravir (dose unique de 50 mg)/ Ritonavir (dose unique de 100 mg) Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Elvitégravir (administration de la suspension antiacide après +/- 2 heures) : ASC : absence de changement Cmin : absence de changement Cmax : absence de changement Elvitégravir (administration simultanée) : ASC : diminution 45 % Cmin : diminution 41 % Cmax : diminution 47 % Recommandation concernant la co-administration : Avec les antiacides, les concentrations plasmatiques d'elvitégravir sont diminuées en raison de la complexation qui a lieu dans le tractus gastro-intestinal et non des modifications du pH gastrique. Il est recommandé de laisser un intervalle d'au moins 4 heures entre la prise d'antiacides et la prise de ce médicament. Pour obtenir des renseignements sur les autres agents antiacides (par exemple, antagonistes des récepteurs H2 et inhibiteurs de la pompe à protons), référez-vous à "Etudes menées avec d'autres médicaments". * COMPLEMENTS ALIMENTAIRES + Compléments multivitaminés Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de ce médicament non étudiée. Recommandation concernant la co-administration : Un effet de complexation cationique de l'elvitégravir ne pouvant être exclu lors de la co-administration de ce médicament avec des compléments multivitaminés, il est recommandé d'espacer l'administration de ce médicament et celle des compléments multivitaminés d'au moins 4 heures. * ANTIDIABETIQUES ORAUX + Metformine Interaction avec les composants de ce médicament non étudiée. Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Le cobicistat exerce une inhibition réversible sur MATE1 et les concentrations de metformine peuvent augmenter en cas de co-administration avec ce médicament. Recommandation concernant la co-administration : Il est recommandé de surveiller attentivement le patient et d'adapter la posologie de la metformine chez les patients sous ce médicament. * ANALGESIQUES NARCOTIQUES + Méthadone (80 - 120 mg)/ Elvitégravir (150 mg 1x/jour)/ Cobicistat (150 mg 1x/jour) Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Méthadone : ASC : absence de changement Cmin : absence de changement Cmax : absence de changement Cobicistat : ASC : absence de changement Cmin : absence de changement Cmax : absence de changement Elvitégravir : ASC : absence de changement Cmin : absence de changement Cmax : absence de changement Recommandation concernant la co-administration : Aucune adaptation de la posologie de la méthadone n'est nécessaire. + Buprénorphine /Naloxone (16/4 à 24/6 mg)/ Elvitégravir (150 mg 1x/jour)/ Cobicistat (150 mg 1x/jour) Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Buprénorphine : ASC : augmentation 35 % Cmin : augmentation 66 % Cmax : augmentation 12 % Naloxone : ASC : diminution 28 % Cmax : diminution 28 % Cobicistat : ASC : absence de changement Cmin : absence de changement Cmax : absence de changement Elvitégravir : ASC : absence de changement Cmin : absence de changement Cmax : absence de changement Recommandation concernant la co-administration : Aucune adaptation de la posologie de l'association buprénorphine/naloxone n'est nécessaire. * CONTRACEPTIFS ORAUX + Drospirénone/ Éthinylestradiol (dose unique de 3 mg/0,02 mg)/ Cobicistat (150 mg 1x/jour) Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec ce médicament non étudiée. Attendue Drospirénone : ASC : augmentation. Recommandation concernant la co-administration : Les concentrations plasmatiques de drospirénone peuvent être augmentées lorsqu'elle est co-administrée avec des médicaments contenant du cobicistat. Une surveillance clinique est recommandée en raison du risque potentiel d'hyperkaliémie. La co-administration de ce médicament et d'un contraceptif hormonal doit se faire avec prudence. Le contraceptif hormonal doit contenir au moins 30 microgrammes d'éthinylestradiol, ainsi qu'un progestatif, la drospirénone ou le norgestimate, ou les patientes doivent utiliser une autre méthode de contraception fiable (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Grossesse et allaitement"). Les effets à long terme d'augmentations importantes de l'exposition à des progestatifs ne sont pas connus. + Norgestimate (0,180/0,215/0,250 mg 1x/jour)/Ethinylestradiol (0,025 mg 1x/jour)/Emtricitabine/Ténofovir alafénamide (200/25 mg 1x/jour) (6) Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Norgestromine : ASC : absence de changement Cmin : absence de changement Cmax : absence de changement Norgestrel : ASC : absence de changement Cmin : absence de changement Cmax : absence de changement Ethinylestradiol : ASC : absence de changement Cmin : absence de changement Cmax : absence de changement Recommandation concernant la co-administration : Les concentrations plasmatiques de drospirénone peuvent être augmentées lorsqu'elle est co-administrée avec des médicaments contenant du cobicistat. Une surveillance clinique est recommandée en raison du risque potentiel d'hyperkaliémie. La co-administration de ce médicament et d'un contraceptif hormonal doit se faire avec prudence. Le contraceptif hormonal doit contenir au moins 30 microgrammes d'éthinylestradiol, ainsi qu'un progestatif, la drospirénone ou le norgestimate, ou les patientes doivent utiliser une autre méthode de contraception fiable (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Grossesse et allaitement"). Les effets à long terme d'augmentations importantes de l'exposition à des progestatifs ne sont pas connus. + Norgestimate (0,180/0,215 mg 1x/jour)/ Ethinylestradiol (0,025 mg 1x/jour)/Elvitégravir (150 mg 1x/jour)/ Cobicistat (150 mg 1x/jour) (4) Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Norgestimate : ASC : augmentation 126 % Cmin : augmentation 167 % Cmax : augmentation 108 % Éthinylestradiol : ASC : diminution 25 % Cmin : diminution 44 % Cmax : absence de changement Elvitégravir : ASC : absence de changement Cmin : absence de changement Cmax : absence de changement Recommandation concernant la co-administration : Les concentrations plasmatiques de drospirénone peuvent être augmentées lorsqu'elle est co-administrée avec des médicaments contenant du cobicistat. Une surveillance clinique est recommandée en raison du risque potentiel d'hyperkaliémie. La co-administration de ce médicament et d'un contraceptif hormonal doit se faire avec prudence. Le contraceptif hormonal doit contenir au moins 30 microgrammes d'éthinylestradiol, ainsi qu'un progestatif, la drospirénone ou le norgestimate, ou les patientes doivent utiliser une autre méthode de contraception fiable (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Grossesse et allaitement"). Les effets à long terme d'augmentations importantes de l'exposition à des progestatifs ne sont pas connus. * ANTIARYTHMIQUES + Digoxine (dose unique de 0,5 mg)/ Cobicistat (plusieurs doses de 150 mg) Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Digoxine : ASC : absence de changement Cmax : augmentation 41 % Recommandation concernant la co-administration : Il est recommandé de surveiller les taux de digoxine lorsque la digoxine est associée à ce médicament. + Disopyramide + Flécaïnide + Lidocaïne systémique + Méxilétine + Propafénone Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de ce médicament non étudiée. Les concentrations de ces antiarythmiques peuvent augmenter en cas de co-administration avec du cobicistat. Recommandation concernant la co-administration : Des précautions sont nécessaires et une surveillance clinique est recommandée lors de la co-administration avec ce médicament. * ANTIHYPERTENSEURS + Métoprolol + Timolol Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de ce médicament non étudiée. Les concentrations de bêta-bloquants peuvent augmenter en cas de co-administration avec du cobicistat. Recommandation concernant la co-administration : Une surveillance clinique est recommandée et il peut être nécessaire de diminuer la dose si ces agents sont co-administrés avec ce médicament. + Amlodipine + Diltiazem + Félodipine + Nicardipine + Nifédipine + Vérapamil Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de ce médicament non étudiée. Les concentrations d'inhibiteurs calciques peuvent augmenter en cas de co-administration avec du cobicistat. Recommandation concernant la co-administration : Une surveillance clinique des effets thérapeutiques et des effets indésirables est recommandée lorsque ces médicaments sont co-administrés avec ce médicament. * ANTAGONISTES DES RÉCEPTEURS DE L'ENDOTHELINE + Bosentan Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de ce médicament non étudiée. La co-administration avec ce médicament peut provoquer une diminution de l'exposition à l'elvitégravir et/ou au cobicistat, une perte de l'effet thérapeutique et l'apparition de résistance. Recommandation concernant la co-administration : L'utilisation d'autres antagonistes des récepteurs de l'endothéline peut être envisagée. * ANTICOAGULANTS + Dabigatran Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de ce médicament non étudiée. La co-administration avec ce médicament peut augmenter les concentrations plasmatiques du dabigatran avec des effets similaires à ceux observés avec d'autres inhibiteurs puissants de la P-gp. Recommandation concernant la co-administration : La co-administration de ce médicament avec le dabigatran est contre-indiquée. + Apixaban + Rivaroxaban + Edoxaban Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de ce médicament non étudiée. La co-administration avec ce médicament peut provoquer une augmentation des concentrations plasmatiques de l'AOD, ce qui peut induire un risque hémorragique accru. Recommandation concernant la co-administration : La co-administration de l'apixaban, du rivaroxaban ou de l'edoxaban avec ce médicament n'est pas recommandée. + Warfarine Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de ce médicament non étudiée. Les concentrations de warfarine peuvent être modifiées en cas de co-administration avec ce médicament. Recommandation concernant la co-administration : Une surveillance du rapport normalisé international (INR) est recommandée en cas de co-administration avec ce médicament. La surveillance de l'INR doit être poursuivie pendant les premières semaines suivant l'arrêt du traitement par ce médicament. * BETA-AGONISTES INHALES + Salmétérol Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de ce médicament non étudiée. La co-administration avec ce médicament peut provoquer une augmentation des concentrations plasmatiques de salmétérol, laquelle est associée à un risque potentiel d'effets indésirables graves ou pouvant mettre en jeu le pronostic vital. Recommandation concernant la co-administration : L'administration concomitante de salmétérol et de ce médicament n'est pas recommandée. * INHIBITEURS DE LA HMG CO-A REDUCTASE + Rosuvastatine (dose unique de 10 mg)/ Elvitégravir (150 mg 1x/jour)/ Cobicistat (150 mg 1x/jour) Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Elvitégravir : ASC : absence de changement Cmin : absence de changement Cmax : absence de changement Rosuvastatine : ASC : augmentation 38 % Cmin : NA Cmax : augmentation 89 % Recommandation concernant la co-administration : Les concentrations de rosuvastatine augmentent de façon transitoire lorsqu'elle est co-administrée avec de l'elvitégravir et du cobicistat. Il n'est pas nécessaire de modifier la posologie lorsque la rosuvastatine est administrée en association avec ce médicament. + Atorvastatine (dose unique de 10 mg)/Elvitégravir (150 mg 1x/jour)/Cobicistat (150 mg 1x/jour)/Emtricitabine (200 mg 1x/jour)/Ténofovir alafénamide (10 mg 1x/jour) Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Atorvastatine : ASC : augmentation 160 % Cmin : NC Cmax : augmentation 132 % Elvitégravir : ASC : absence de changement Cmin : absence de changement Cmax : absence de changement Recommandation concernant la co-administration : Les concentrations d'atorvastatine augmentent lorsqu'elle est co-administrée avec de l'elvitégravir et du cobicistat. Commencer par la dose d'atorvastatine la plus faible possible sous étroite surveillance en cas de co-administration avec ce médicament. + Pitavastatine Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de Genvoya non étudiée. Les concentrations de pitavastatine peuvent augmenter en cas de co-administration avec de l'elvitégravir et du cobicistat. Recommandation concernant la co-administration : Des précautions sont nécessaires lorsque ce médicament est administré en association avec de la pitavastatine. + Pravastatine + Fluvastatine Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de Genvoya non étudiée. Les concentrations de ces inhibiteurs de la HMG Co-A réductase devraient augmenter de façon transitoire en cas de co-administration avec de l'elvitégravir et du cobicistat. Recommandation concernant la co-administration : Il n'est pas nécessaire de modifier la posologie lorsqu'ils sont administrés en association avec ce médicament. + Lovastatine + Simvastatine Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de ce médicament non étudiée. Recommandation concernant la co-administration : La co-administration de ce médicament et de lovastatine ou de simvastatine est contre-indiquée (Cf. rubrique "Contre-indications"). * INHIBITEURS DE LA PHOSPHODIESTÉRASE DE TYPE 5 (PDE-5) + Sildénafil + Tadalafil + Vardénafil Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de ce médicament non étudiée. Les inhibiteurs de la PDE-5 sont principalement métabolisés par le CYP3A. La co-administration avec ce médicament peut provoquer une augmentation des concentrations plasmatiques de sildénafil et de tadalafil qui peut être à l'origine d'effets indésirables associés aux inhibiteurs de la PDE-5. Recommandation concernant la co-administration : La co-administration de ce médicament et de sildénafil, utilisé pour traiter l'hypertension artérielle pulmonaire, est contre-indiquée. Il faut être prudent et envisager une diminution de la dose lorsque ce médicament est administré en association avec du tadalafil, utilisé pour traiter l'hypertension artérielle pulmonaire. Pour le traitement du dysfonctionnement érectile, il est recommandé d'utiliser les doses suivantes en cas de co-administration avec ce médicament : une dose unique de sildénafil inférieure ou égale à 25 mg en 48 heures, de vardénafil inférieure ou égale à 2,5 mg en 72 heures ou de tadalafil inférieure ou égale à 10 mg en 72 heures. * ANTIDEPRESSEURS + Sertraline (dose unique de 50 mg)/Elvitégravir (150 mg 1x/jour)/Cobicistat (150 mg 1x/jour)/Emtricitabine (200 mg 1x/jour)/Ténofovir alafénamide (10 mg 1x/jour) Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Elvitégravir : ASC : absence de changement Cmin : absence de changement Cmax : absence de changement Ténofovir alafénamide : ASC : absence de changement Cmin : absence de changement Cmax : absence de changement Sertraline : ASC : absence de changement Cmin : absence de changement Cmax : absence de changement Recommandation concernant la co-administration : Les concentrations de sertraline ne sont pas modifiées lors de sa co-administration avec ce médicament. Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire en cas de co-administration. + Antidépresseurs tricycliques (ATC) + Trazodone + Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) + Escitalopram Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de ce médicament non étudiée. Les concentrations des antidépresseurs peuvent augmenter en cas de co-administration avec du cobicistat. Recommandation concernant la co-administration : Il est recommandé de faire un dosage précis de l'antidépresseur et de surveiller sa réponse. * IMMUNOSUPPRESSEURS + Ciclosporine + Sirolimus + Tacrolimus Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de ce médicament non étudiée. Les concentrations de ces immunosuppresseurs peuvent augmenter en cas de co-administration avec du cobicistat. Recommandation concernant la co-administration : Une surveillance thérapeutique est recommandée en cas de co-administration avec ce médicament. * SEDATIFS/HYPNOTIQUES + Buspirone + Clorazépate + Diazépam + Estazolam + Flurazépam + Lorazépam + Triazolam + Zolpidem Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de ce médicament non étudiée. Le triazolam est principalement métabolisé par le CYP3A. La co-administration avec ce médicament peut provoquer une augmentation des concentrations plasmatiques de ce médicament, laquelle peut être associée à un risque d'effets indésirables graves ou pouvant mettre en jeu le pronostic vital. Les concentrations des autres benzodiazépines, y compris le diazépam, peuvent augmenter en cas d'administration avec ce médicament. Compte tenu des voies d'élimination non liées au CYP pour le lorazépam, aucun effet sur les concentrations plasmatiques n'est attendu en cas de co-administration avec ce médicament. Recommandation concernant la co-administration : L'administration de triazolam est contre-indiquée chez les patients sous ce médicament (Cf. rubrique "Contre-indications"). Dans le cas d'autres sédatifs/hypnotiques, il peut être nécessaire de réduire la dose et il est recommandé de surveiller leur concentration. + Midazolam par voie orale (dose unique de 2,5 mg)/ Ténofovir alafénamide (25 mg 1x/jour) + Midazolam administré par voie intraveineuse (dos unique de 1 mg)/ Ténofovir alafénamide (25 mg 1x/jour) Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Midazolam : ASC : absence de changement Cmax : absence de changement Le midazolam est principalement métabolisé par le CYP3A. En raison de la présence de cobicistat, la co-administration avec ce médicament peut provoquer une augmentation des concentrations plasmatiques de ce médicament, laquelle peut être associée à un risque d'effets indésirables graves ou pouvant mettre en jeu le pronostic vital. Recommandation concernant la co-administration : L'administration de midazolam par voie orale est contre-indiquée chez les patients sous ce médicament (Cf. rubrique "Contre-indications"). * ANTIGOUTTEUX + Colchicine Effets sur la concentration des médicaments. Pourcentage moyen de variation de l'ASC, la Cmax, la Cmin (1) : Interaction avec les composants de ce médicament non étudiée. La co-administration avec ce médicament peut provoquer une augmentation des concentrations plasmatiques de ce médicament. Recommandation concernant la co-administration : Il peut être nécessaire de réduire la dose de colchicine. Ce médicament ne doit pas être co-administré avec de la colchicine chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique. NA = non applicable (1) Lorsque l'on dispose de données issues d'études d'interactions médicamenteuses. (2) Ces études ont été réalisées avec de l'elvitégravir boosté par le ritonavir. (3) Il s'agit de médicaments appartenant à la même classe pour lesquels des interactions similaires pourraient être attendues/prédites. (4) Cette étude a été menée avec l'association elvitégravir/cobicistat/emtricitabine/fumarate de ténofovir disoproxil. (5) Cette étude a été menée avec ce médicament. (6) Cette étude a été menée avec l'association emtricitabine/ténofovir alafénamide. (7) Cette étude a été menée avec du voxilaprévir 100 mg supplémentaire pour atteindre les expositions au voxilaprévir attendues chez les patients atteints de VHC. - Etudes menées avec d'autres médicaments Selon les études d'interactions médicamenteuses menées avec ce médicament ou les composants de ce médicament, aucune interaction médicamenteuse cliniquement significative n'a été observée ou n'est à prévoir entre les composants de ce médicament et les médicaments suivants : entécavir, famciclovir, ribavirine, famotidine et oméprazole. |
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Référence(s) officielle(s):  Rectificatif AMM européenne 06/11/2018 |
Effet spécialité |
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Niveau(x) de risque |
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* Grossesse Genvoya (R) Stribild (R) : risque accru d'échec virologique et secondairement de transmission de l'infection VIH de la mère à l'enfant - Lettre aux professionnels de santé ansm 28/03/2019 Genvoya (R) Stribild (R) : risque accru d'échec virologique et secondairement de transmission de l'infection VIH de la mère à l'enfant en raison d'une réduction de l'exposition pharmacocinétique à l'elvitégravir et au cobicistat au cours des deuxième et troisième trimestres de la grossesse Information destinée aux Infectiologues, Virologues, Pharmacologues, Gynécologues-Obstétriciens, Pédiatres, Ensemble des COREVIH, Ensemble des CeGIDD, Pharmaciens Hospitaliers et d'Officine, Spécialistes de médecine interne, Spécialistes de santé sexuelle, Médecins généralistes et Associations de patients. En juin 2018, un risque accru d'échec virologique et secondairement de transmission de l'infection VIH de la mère à l'enfant en raison d'une réduction de l'exposition pharmacocinétique au darunavir "boosté" par le cobicistat a été identifié pendant la grossesse. . Un traitement par elvitégravir/cobicistat ne doit pas être instauré pendant la grossesse. . Le traitement antirétroviral des femmes ayant débuté une grossesse pendant un traitement par elvitégravir/cobicistat doit être changé. . Cette recommandation fait suite à des données pharmacocinétiques qui ont montré des taux faibles d'exposition au cobicistat et à l'elvitégravir au cours des deuxième et troisième trimestres de la grossesse. . Une sous-exposition à l'elvitégravir peut entraîner un risque accru d'échec virologique et secondairement de transmission de l'infection VIH de la mère à l'enfant. RCP : Aucune étude appropriée et bien contrôlée n'a été menée avec ce médicament ou ses composants chez la femme enceinte. Il n'existe pas de données ou il existe des données limitées (moins de 300 grossesses) sur l'utilisation de ce médicament chez la femme enceinte. Cependant, un grand nombre de données chez la femme enceinte (plus de 1000 issues de grossesse exposée) n'a mis en évidence aucun effet malformatif, ni toxique pour le foetus ou le nouveau-né associé à l'emtricitabine. Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effets délétères directs ou indirects de l'elvitégravir, du cobicistat ou de l'emtricitabine, administrés séparément, sur la fertilité, la gestation, le développement foetal, la parturition ou le développement post-natal. Les études effectuées chez l'animal avec le ténofovir alafénamide n'ont mis en évidence aucun effet délétère du ténofovir alafénamide sur la fertilité, la gestation ou le développement foetal (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). Ce médicament ne doit être utilisé lors de la grossesse que si les bénéfices potentiels du traitement sont supérieurs aux risques potentiels pour le foetus. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 06/11/2018 |
Recommandations |
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* Femmes en âge de procréer / contraception chez les hommes et les femmes L'utilisation de ce médicament doit s'accompagner d'une méthode de contraception efficace (Cf. rubriques "Mises en garde et précations d'emploi" et "Interactions"). * Fertilité Il n'existe pas de données sur la fertilité lors de l'utilisation de ce médicament chez l'homme. Lors des études effectuées chez l'animal, aucun effet de l'elvitégravir, du cobicistat, de l'emtricitabine et du ténofovir alafénamide n'a été observé sur les indices d'accouplement ou de fertilité (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 06/11/2018 |
Passage dans le lait | Oui |
Fixation protéique | Pas d'information |
Rapport concentration lait/plasma maternels | Pas d'information |
Concentration dans 100 ml de lait maternel | Pas d'information |
Recommandations |
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* Allaitement On ne sait pas si l'elvitégravir, le cobicistat ou le ténofovir alafénamide sont excrétés dans le lait maternel. L'emtricitabine est excrétée dans le lait maternel. Les études effectuées chez l'animal ont montré que l'elvitégravir, le cobicistat et le ténofovir sont excrétés dans le lait. Il n'existe pas de données suffisantes sur les effets de l'elvitégravir, du cobicistat, de l'emtricitabine et du ténofovir chez les nouveau-nés/nourrissons. Par conséquent, ce médicament ne doit pas être utilisé pendant l'allaitement. Afin d'éviter la transmission du virus au nourrisson, il est déconseillé aux femmes infectées par le VIH d'allaiter leur enfant quelles que soient les circonstances. |
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Référence(s) officielle(s): | Rectificatif AMM européenne 06/11/2018 |
Recommandations |
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Les patients doivent être informés que des sensations vertigineuses ont été rapportées au cours de traitements par ce médicament. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 06/11/2018 |
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
Site internet: www.ansm.sante.fr.
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