ZONEGRAN 100MG GELULE
ZONEGRAN 100 MG, GELULE
Fiche(s) d'identité interopérable
Historique des références officielles
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Cette monographie a été revue le : 10/11/2023
Forme(s) pharmaceutique(s)
Voie(s) d'administration :
  • ORALE (1)
Forme(s) pharmaceutique(s) :
  • GELULE

  • GELULE (1)(2)ORAL(E) NE PAS OUVRIR NE PAS CROQUER NI ECRASER
  • BLANC(HE) ET ROUGE OPAQUE
  • IMPRIME(E)
  • AVEC NOM SPECIALITE AVEC VALEUR DU DOSAGE

Gélule.

Corps blanc opaque et tête rouge opaque, avec "Zonegran 100" imprimé en noir.

Référence(s) bibliographique(s) :
  • Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM européenne 15/02/2023

  • (1) Standard Terms
  • (2) Pharmacopée Européenne 4ème édition 2002
Composition
    CONTENU DE LA GELULE
    Substance(s) active(s)
  • ZONISAMIDE 100 MG
  • SOJA HUILE HYDROGENEE 3 MG
    Excipient à effet notoire par voie SYSTEMIQUE sans dose seuil, par voie TOPIQUE sans dose seuil
    Référence(s) officielle(s) : Décision ansm 06/02/2020
  • SODIUM LAURYLSULFATE  
    Excipient à effet notoire par voie CUTANEE sans dose seuil, par voie SYSTEMIQUE avec dose seuil
    Référence(s) officielle(s) : Décision ansm 06/02/2020
  • ROUGE ALLURA AC 0,147 MG
    Excipient à effet notoire par voie ORALE sans dose seuil
    Référence(s) officielle(s) : Décision ansm 06/02/2020
  • JAUNE ORANGE S 0,002 MG
    Excipient à effet notoire par voie ORALE sans dose seuil
    Référence(s) officielle(s) : Décision ansm 06/02/2020
  • PROPYLENE GLYCOL (NATURE NON PRECISEE)  
    Excipient à effet notoire par voie ORALE avec dose seuil, par voie CUTANEE sans dose seuil, par voie PARENTERALE avec dose seuil, par voie TOPIQUE sans dose seuil
    Référence(s) officielle(s) : Décision ansm 06/02/2020
  • POTASSIUM HYDROXYDE  
    Excipient à effet notoire par voie SYSTEMIQUE avec dose seuil
    Référence(s) officielle(s) : Décision ansm 06/02/2020
Précision(s) composition :
Chaque gélule contient 100 mg de zonisamide.

Excipients : 0,002 mg de jaune soleil FCF (E110) et 0,147 mg de rouge allura AC (E129).

Excipient(s) à effet notoire : Chaque gélule contient 3 mg d'huile végétale hydrogénée (huile de soja).

- Liste des excipients

. Contenu de la gélule
Cellulose microcristalline
Huile végétale hydrogénée (huile de soja)
Laurylsulfate de sodium

. Enveloppe de la gélule
Gélatine
Dioxyde de titane (E171)
Rouge allura AC (E129)
Jaune soleil FCF (E110)
Gomme laque
Propylène glycol
Hydroxyde de potassium
Oxyde de fer noir (E172)

Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM européenne 15/02/2023

Classifications
  • Classe(s) pharmacothérapeutique(s) :
  • ANTIEPILEPTIQUE
  • Classe(s) ATC (source Thériaque d'après l'OMS) :
  • SYSTEME NERVEUX : N
  • ANTIEPILEPTIQUES : N03
  • ANTIEPILEPTIQUES : N03A
  • AUTRES ANTIEPILEPTIQUES : N03AX
  • ZONISAMIDE : N03AX15
  • Dose journalière usuelle DDD (source Thériaque d'après l'OMS) :
  • Voie : ORALE - Dose : 00,2000 G
Nomenclature du code des marchés publics :
  • 18.09
  • Classe(s) EphMRA (source Club InterPharmaceutique) :
  • SYSTEME NERVEUX : N
  • ANTIEPILEPTIQUES : N03
  • ANTIEPILEPTIQUE : N03A

Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique : Antiépileptiques, autres antiépileptiques, Code ATC : N03AX15

Le zonisamide est un dérivé du benzisoxazole. C'est un antiépileptique avec une faible activité anhydrase carbonique in vitro. Sa structure chimique n'est pas apparentée à d'autres antiépileptiques.


* Mécanisme d'action

Le mécanisme d'action du zonisamide n'est pas totalement élucidé, mais il semblerait qu'il agisse sur les canaux sodiques et calciques voltage-dépendants, en bloquant les décharges neuronales synchrones, en réduisant la propagation des décharges épileptiques et en interrompant ainsi l'activité épileptique qui en résulte. Le zonisamide possède également un effet modulateur sur l'inhibition neuronale dans laquelle le GABA sert de médiateur.


* Effets pharmacodynamiques

L'effet anticonvulsivant du zonisamide a été évalué sur différents modèles, chez plusieurs espèces présentant des crises induites ou naturelles, et le zonisamide semble agir comme un antiépileptique à large spectre chez ces modèles. Le zonisamide prévient les convulsions lors du test de l'électrochoc maximal et limite l'étendue de la crise, notamment la propagation des convulsions du cortex à la structure subcorticale et il supprime l'activité focale épileptogène. Toutefois, contrairement à la phénytoïne et à la carbamazépine, le zonisamide agit essentiellement sur les crises ayant pour origine le cortex.


* Efficacité et sécurité clinique

- Monothérapie dans l'épilepsie partielle avec ou sans généralisation secondaire
L'efficacité du zonisamide en monothérapie a été établie lors d'une étude de non-infériorité à la carbamazépine à libération prolongée (LP) en double aveugle, en groupes parallèles, menée chez 583 patients adultes présentant une épilepsie nouvellement diagnostiquée avec ou sans crises généralisées tonico-cloniques secondaires. Les patients randomisés à la carbamazépine ou au zonisamide ont reçu le traitement pendant une durée allant jusqu'à 24 mois en fonction de la réponse. La posologie a été augmentée jusqu'à la dose cible initiale de 600 mg de carbamazépine ou 300 mg de zonisamide. Chez les patients présentant une crise convulsive, la posologie était augmentée à la dose cible suivante, soit 800 mg de carbamazépine ou 400 mg de zonisamide. Si les patients présentaient une nouvelle crise, la posologie était augmentée à la dose cible maximale de 1200 mg de carbamazépine ou 500 mg de zonisamide. Les patients n'ayant pas présenté de crise pendant 26 semaines à un palier de dose cible ont poursuivi le traitement à cette dose pendant 26 semaines de plus. Les principaux résultats de cette étude sont présentés dans les données ci-dessous :

Résultats d'efficacité de l'étude 310 en monothérapie

n (Population ITT)
Zonisamide : 281
Carbamazépine : 300

. Absence de crise pendant 6 mois

Population PP (*)
Zonisamide : 79,4 %
Carbamazépine : 83,7 %
Diff. : - 4,5 %
IC à 95 % (%) : - 12,2 % ; 3,1 %

Population ITT
Zonisamide : 69,4 %
Carbamazépine : 74,7 %
Diff. : - 6,1 %
IC à 95 % (%) : - 13,6 % ; 1,4 %

< ou = 4 crises pendant la période initiale de 3 mois
Zonisamide : 71,7 %
Carbamazépine : 75,7 %
Diff. : - 4,0 %
IC à 95 % (%) : - 11,7 % ; 3,7 %

> 4 crises pendant la période initiale de 3 mois
Zonisamide : 52,9 %
Carbamazépine : 68,9 %
Diff. : - 15,9 %
IC à 95 % (%) : - 37,5 % ; 5,6 %

. Absence de crise pendant 12 mois

Population PP (*)
Zonisamide : 67,6 %
Carbamazépine : 74,7 %
Diff. : - 7,9 %
IC à 95 % (%) : - 17,2 % ; 1,5 %

Population ITT
Zonisamide : 55,9 %
Carbamazépine : 62,3 %
Diff. : - 7,7 %
IC à 95 % (%) : - 16,1 % ; 0,7 %

< ou = 4 crises pendant la période initiale de 3 mois
Zonisamide : 57,4 %
Carbamazépine : 64,7 %
Diff. : - 7,2 %
IC à 95 % (%) : - 15,7 % ; 1,3 %

> 4 crises pendant la période initiale de 3 mois
Zonisamide : 44,1 %
Carbamazépine : 48,9 %
Diff. : - 4,8 %
IC à 95 % (%) : - 26,9 % ; 17,4 %

. Sous-types de crises (Absence de crise pendant 6 mois - Population PP)

Toutes crises partielles
Zonisamide : 76,4 %
Carbamazépine : 86,0 %
Diff. : - 9,6 %
IC à 95 % (%) : - 19,2 % ; 0,0 %

Partielles simples
Zonisamide : 72,3 %
Carbamazépine : 75,0 %
Diff. : - 2,7 %
IC à 95 % (%) : - 20,0 % ; 14,7 %

Partielles complexes
Zonisamide : 76,9 %
Carbamazépine : 93,0 %
Diff. : - 16,1 %
IC à 95 % (%) : - 26,3 % ; - 5,9 %

Tout type de crises tonicocloniques généralisées
Zonisamide : 78,9 %
Carbamazépine : 81,6 %
Diff. : - 2,8 %
IC à 95 % (%) : -11,5 % ; 6,0 %

Tonico-cloniques secondaires
Zonisamide : 77,4 %
Carbamazépine : 80,0 %
Diff. : - 2,6 %
IC à 95 % (%) : -12,4 % ; 7,1 %

Tonico-cloniques généralisées
Zonisamide : 85,7 %
Carbamazépine : 92,0 %
Diff. : - 6,3 %
IC à 95 % (%) : - 23,1 % ; 10,5 %

PP = population per protocole ; ITT = population en intention de traiter
(*) Critère principal

- En association dans le traitement chez l'adulte de l'épilepsie partielle avec ou sans généralisation
Chez les adultes, l'efficacité de ce médicament a été démontrée lors de quatre essais en double aveugle contrôlés contre placebo d'une durée allant jusqu'à 24 semaines, au cours desquels ce médicament a été administré à raison d'une ou deux fois par jour. Ces études montrent que la réduction médiane de la fréquence des crises partielles est proportionnelle à la dose de ce médicament, avec un effet maintenu à des doses de 300 à 500 mg par jour.


* Population pédiatrique

- En association dans le traitement de l'épilepsie partielle avec ou sans généralisation chez les adolescents et les enfants (à partir de 6 ans)

Chez les patients pédiatriques (âgés de 6 ans et plus), l'efficacité du zonisamide a été démontrée dans une étude en double aveugle contrôlée contre placebo, menée chez 207 patients ayant été traités pendant une durée allant jusqu'à 24 semaines. Une réduction > ou = 50 % par rapport au début de l'étude de la fréquence des crises pendant la période de traitement à dose stable de 12 semaines a été observée chez 50 % des patients traités par le zonisamide et 31 % de ceux recevant le placebo.

Les effets indésirables spécifiques observés dans les études pédiatriques ont été : diminution de l'appétit et perte de poids, diminution du taux de bicarbonate, augmentation du risque de calculs rénaux et de déshydratation. Tous ces effets, et en particulier la perte de poids, peuvent avoir des conséquences délétères sur la croissance et le développement et entraîner une dégradation de l'état général. Globalement, les données concernant les effets à long terme sur la croissance et le développement sont limitées.
Référence(s) officielle(s):   Rectificatif AMM européenne 15/02/2023  

Propriétés pharmacocinétiques
* Absorption

Après administration orale, le zonisamide est presque complètement absorbé, les pics sériques ou plasmatiques étant généralement atteints en 2 à 5 heures. Le métabolisme de premier passage est considéré comme négligeable. La biodisponibilité absolue est estimée à près de 100 %. La biodisponibilité orale n'est pas affectée par les aliments, mais le délai d'obtention des concentrations maximales plasmatiques et sériques peut être prolongé.

Les valeurs ASC et Cmax du zonisamide augmentent de manière pratiquement linéaire après administration d'une dose unique allant de 100 mg à 800 mg ou de doses répétées allant de 100 mg à 400 mg. L'augmentation à l'état d'équilibre a été légèrement supérieure à ce qui était attendu pour la dose utilisée, probablement en raison de la liaison saturable du zonisamide aux érythrocytes. L'état d'équilibre a été atteint en 13 jours. Une accumulation légèrement supérieure à ce qui était attendu est observée après administration d'une dose unique.


* Distribution

Chez l'homme, le zonisamide est lié aux protéines plasmatiques dans une proportion de 40 à 50 %, et des études in vitro montrent que cette liaison n'est pas affectée par la présence de différents agents antiépileptiques (à savoir phénytoïne, phénobarbital, carbamazépine et valproate de sodium). Le volume de distribution apparent est d'environ 1,1 à 1,7 litres/kg chez l'adulte, ce qui indique que le zonisamide a une large distribution tissulaire. Les rapports érythrocytes/plasma sont voisins de 15 à faibles concentrations et de 3 à des concentrations plus élevées.


* Biotransformation

Le zonisamide est métabolisé essentiellement par un mécanisme de clivage réducteur par le CYP3A4 de l'anneau benzisoxasole de la molécule mère pour former le 2-sulfamoylacétyl phénol (SMAP), ainsi que par N-acétylation. La molécule mère et le SMAP peuvent de plus faire l'objet d'une glucuroconjugaison. Les métabolites, qui n'ont pas pu être détectés dans le plasma, sont dépourvus d'action anticonvulsivante. Le zonisamide ne semble pas induire son propre métabolisme.


* Elimination

Après administration orale, la clairance apparente du zonisamide à l'état d'équilibre est d'environ 0,7 litre/heure, et la demi-vie d'élimination terminale d'environ 60 heures en l'absence d'inducteurs du CYP3A4. La demi-vie d'élimination est indépendante de la dose, et elle n'est pas affectée par des administrations répétées. La variation des concentrations sériques ou plasmatiques entre 2 prises est faible (inférieure à 30 %). L'excrétion des métabolites du zonisamide et du médicament sous forme inchangée se fait principalement par la voie urinaire. La clairance rénale du zonisamide sous forme inchangée est relativement faible (3,5 ml/min environ ; 15 à 30 % de la dose sont éliminés sous forme inchangée).


* Linéarité/non linéarité

L'exposition au zonisamide augmente au cours du temps jusqu'à ce que l'état d'équilibre soit atteint, en 8 semaines environ. Si l'on compare la même dose, les sujets d'un poids supérieur semblent avoir des concentrations sériques plus basses à l'état d'équilibre mais cet effet est relativement modeste. L'âge (12 ans et plus) et le sexe, après ajustement en fonction du poids, n'ont pas d'effet apparent sur l'exposition au zonisamide chez des patients épileptiques pendant l'administration à l'état d'équilibre. Il n'est pas nécessaire d'adapter la dose des antiépileptiques, y compris des inducteurs du CYP3A4.


* Relation pharmacocinétique/pharmacodynamique

Le zonisamide diminue la fréquence moyenne des crises par période de 28 jours et la diminution est proportionnelle (log-linéaire) à la concentration moyenne du médicament.


* Populations particulières

- Chez des patients présentant une insuffisance rénale, une corrélation positive a été observée entre la clairance rénale de doses uniques de zonisamide et la clairance de la créatinine. L'ASC plasmatique du zonisamide a été augmentée de 35 % chez des sujets ayant une clairance de la créatinine inférieure à 20 ml/mn (Cf. rubrique "Posologie et mode d'administration").

- Patients présentant une insuffisance hépatique
Il n'existe pas d'études suffisantes de la pharmacocinétique du zonisamide chez des patients présentant une insuffisance hépatique.

- Personnes âgées
Aucune différence cliniquement significative dans la pharmacocinétique du zonisamide n'a été observée entre des sujets jeunes (21 à 40 ans) et des sujets âgés (65 à 75 ans).

- Population pédiatrique (5-18 ans)
Des données limitées indiquent qu'après l'obtention d'un état d'équilibre suivant l'administration de doses de 1 mg/kg, 7 mg/kg ou 12 mg/kg par jour en plusieurs prises, les paramètres pharmacocinétiques chez l'enfant et l'adolescent sont comparables à ceux observés chez l'adulte, après ajustement en fonction du poids.
Référence(s) officielle(s):   Rectificatif AMM européenne 15/02/2023  

Sécurité préclinique
Des modifications hépatiques (hépatomégalie, coloration brun foncé, légère augmentation de volume des hépatocytes avec corps lamellaires concentriques dans le cytoplasme et vacuolisation cytoplasmique), associées à une augmentation du métabolisme, ont été observées chez le chien à des niveaux d'exposition comparables à l'utilisation en clinique, mais non dans les études cliniques.

Aucune génotoxicité ni potentiel cancérogène n'ont été observés avec le zonisamide.

Le zonisamide a provoqué des anomalies du développement chez la souris, le rat et le chien et il a été embryolétal chez le singe lorsqu'il a été administré pendant la période d'organogenèse à des posologies et des concentrations plasmatiques maternelles similaires ou inférieures aux niveaux thérapeutiques chez l'homme.

Dans une étude de toxicité orale à doses répétées chez le rat juvénile, à des niveaux d'exposition comparables à ceux observés chez les patients pédiatriques recevant la dose maximale recommandée, des diminutions du poids et des modifications des paramètres rénaux histopathologiques et cliniques et des modifications du comportement ont été observées. Les modifications des paramètres rénaux histopathologiques et cliniques ont été considérées comme étant liées à l'inhibition de l'anhydrase carbonique par le zonisamide. Les effets à ce palier de dose ont été réversibles pendant la période de récupération. À une dose plus élevée (exposition systémique représentant 2 à 3 fois l'exposition thérapeutique), les effets histopathologiques rénaux ont été plus sévères et n'ont été que partiellement réversibles. La plupart des effets indésirables constatés chez le rat juvénile ont été comparables à ceux observés dans les études de toxicité à doses répétées du zonisamide chez le rat adulte, mais des gouttelettes hyalines dans les cellules tubulaires du rein et une hyperplasie transitionnelle n'ont été observées que dans l'étude chez le rat juvénile. À cette dose élevée, les rats juvéniles ont présenté une diminution des paramètres de croissance, d'apprentissage et de développement. Ces effets ont été considérés comme étant probablement liés à la diminution du poids corporel et aux effets pharmacologiques excessifs du zonisamide à la dose maximale tolérée.

Chez la rate, une diminution du nombre de corps jaunes et des sites d'implantation a été observée à des niveaux d'exposition équivalents à la dose thérapeutique maximale chez l'homme ; des cycles oestraux irréguliers et une diminution du nombre de foetus vivants ont été constatés à des niveaux d'exposition trois fois supérieurs.
Référence(s) officielle(s):   Rectificatif AMM européenne 15/02/2023  
Médicament virtuel Thériaque
Zonisamide 100 mg gélule

Les spécialités correspondant à ce médicament virtuel peuvent contenir des excipients à effet notoire. Ces excipients à effet notoire peuvent être différents selon les spécialités (Voir spécialité(s)).

Spécialité(s) génériques Thériaque Type Prix
ZONEGRAN 100MG GELULE Référence
ZONISAMIDE MYL 100MG GELULE Générique
ZONISAMIDE SDZ 100MG GELULE Générique
ZONISAMIDE TVC 100MG GELULE Générique
     
    Comparer prix

Génériques
Dénomination(s) commune(s) : ZONISAMIDE
Voie(s) : ORALE
Groupe générique(s) : ZONISAMIDE 100 MG - ZONEGRAN 100MG GELULE
  • Date d'application en cours : 17/04/2024

  • Date d'application / Création du groupe 19/09/2016

  • Tarif forfaitaire de responsabilité : NON
Spécialité(s) de référence ansm Code(s) CIP Excipient(s) à effet notoire
ZONEGRAN 100MG GELULE
    Laboratoire titulaire AMM :
  • AMDIPHARM LTD

Spécialité(s) générique(s) ansm Code(s) CIP Excipient(s) à effet notoire
ZONISAMIDE MYL 100MG GELULE
Laboratoire titulaire AMM : MYLAN PHARMACEUTICALS LTD
 
ZONISAMIDE NRP 100MG CPR
Laboratoire titulaire AMM : NEURAXPHARM FRANCE
ZONISAMIDE SDZ 100MG GELULE
Laboratoire titulaire AMM : SANDOZ
 
ZONISAMIDE TVC 100MG GELULE
Laboratoire titulaire AMM : TEVA SANTE
 

 Historique du groupe générique

Recommandations
Avis de la Commission de la Transparence de la HAS
  • SMR : NIVEAU IMPORTANT
  • SMR : NIVEAU IMPORTANT
  • SMR : NIVEAU IMPORTANT
  • SMR : NIVEAU IMPORTANT
  • SMR : NIVEAU IMPORTANT


Rapport(s) public(s) d'évaluation ansm (RAPPE) et EMEA (EPAR)
ZONEGRAN (EPAR) 2013


Recommandations et protocoles thérapeutiques ansm, HAS, INCa
ANTIEPILEPTIQUE ET GROSSESSE 2023
EXCLUSION SUBSTITUTION Gé - PHCIEN
EXCLUSION SUBSTITUTION Gé POSSIBLE
ANTIEPILEPTIQ/GROSSESSE AVIS COMITE 2019
ANTIEPILEPTIQUE/GROSSESSE SYNTHESE 2019
ANTIEPILEPTIQUE/GROSSESSE RAPPORT 2019
MODIF PICTOGRAMME CONDUCTEUR 2017
ZONEGRAN SYNTHESE D'AVIS 2014
EPILEPSIE PARTIELLE PHARMACO-RESISTANTE


Conseils patients


Fiche(s) de transparence ansm


Renseignements administratifs
  • Conditions de prescription et de délivrance :
  •  
  • LISTE I
  • EXCLUSION SUBSTITUTION GENERIQUE POSSIBLE L5125-23 CSP MTE
* Conditions de prescription et de délivrance

Liste I.
Référence(s) officielle(s):   Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
 
Code UCD13 : 3400892440347
Code UCD7 : 9244034
Code identifiant spécialité : 6 412 280 7
Laboratoire(s) titulaire(s) AMM:
  • AMDIPHARM LTD
Référence(s) officielle(s):   Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
Laboratoire(s) exploitant(s) :
  • CSP - CENTRE SPECIALITES PHARMACEUTIQUES
Référence(s) officielle(s):   Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
   
Présentation : plaquette(s) thermoformée(s) PVC PVDC aluminium de 56 gélule(s)
Code CIP13 3400936594555
Code CIP7 3659455
Commercialisation Disponible : OUI depuis le 16/01/2006
Agrément collectivités/date JO Oui le 14/08/2007
Radiation collectivités/date JO Non
Présentation réservée à l'hôpital Non
Conditionnement
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD)
  • 100 MG ZONISAMIDE
Conditionnement primaire PLAQUETTE(S) THERMOFORMEE(S) (1)
Nb unités de prise par conditionnement primaire 56 GELULE(S) par PLAQUETTE(S) THERMOFORMEE(S)
Matériau(x)
  • PVC
  • PVDC
  • ALUMINIUM
Caractéristique(s) de l'emballage
  • AVEC PICTOGRAMME CONDUCTEUR
  • PICTOGRAMME CONDUCTEUR : JO 18/03/2017
  • NIV 2 : TRIANGLE NOIR FOND ORANGE

* Nature et contenu de l'emballage extérieur

Plaquettes thermoformées PVC/PVDC/aluminium de 56 gélules.


* Pictogramme conducteur

Pictogramme devant figurer sur l'emballage extérieur ou, en l'absence d'emballage extérieur, sur le conditionnement primaire

- Pictogramme niveau 2 :
Le pictogramme doit être conforme à l'arrêté du 8 août 2008 pris en application de l'article R 5121-139 du code de la santé publique et relatif à l'apposition d'un pictogramme sur le conditionnement extérieur de certains médicaments et produits.

Celui-ci précise que le pictogramme a la forme d'un triangle équilatéral noir sur fond orange dans lequel se trouve une voiture noire et "Niveau 2" est mentionné en dessous. Il est accompagné du libellé suivant : "Soyez très prudent. Ne pas conduire sans l'avis d'un professionnel de santé." Ses dimensions sont adaptées à la taille du conditionnement extérieur.

Présentation unitaire PAS DE RENSEIGNEMENT
Référence(s) bibliographique(s)
  • Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 15/02/2023

  • (1) Standard Terms
Conditions de délivrance
  • LISTE I
Référence(s) officielle(s):   Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
Statut de la présentation
  • AMM à la date du 10/03/2005
  • ATU DEVENUE AMM
  • AMM EUROPEENNE EU/1/04/307/004
  • ATU NOMINATIVE LISTE ANSM 2005 .
  • ATU NOMINATIVE LISTE ANSM 2006 .
Référence(s) officielle(s):   Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
Prix
1. Prix en officine ville
Prix de cette présentation (CIP)/date JO 16,22 euros TTC le 01/06/2021
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) Non concerné
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur)
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) Non concerné
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) Non concerné
Remboursement
1. Ville
Taux de remboursement
  • 65 % le 14/08/2007. Date d'application le 14/08/2007

2. Hôpital (Rétrocession - vente au public)
Taux de remboursement
  • Non concerné

Statut(s) du remboursement
  • ALD MALADIE CORONAIRE : SANS RAPPORT
  • ALD INS RESP C GRAVE : SANS RAPPORT
  • ALD DIABETE : RAPPORT INDIRECT
  • ALD ARTERIOPATHIES : SANS RAPPORT
  • ALD CARDIOPATHIES : SANS RAPPORT
  • ALD HTA : (SANS RAPPORT) SUPPRESSION ALD 26/06/11
SMR spécifique de cette présentation NON
Modalité(s) de dispensation
  • PHARMACIE D'OFFICINE
  • DISPENSATION EN OFFICINE
  • PHARMACIE A USAGE INTERIEUR
  • ETABLISSEMENT DE SANTE
  • DISPENSATION A USAGE INTERIEUR
  • MEDICAMENT SERIALISABLE
Conservation
Présentation : plaquette(s) thermoformée(s) PVC PVDC aluminium de 56 gélule(s)
Durée(s) et condition(s) de conservation
  • 36 MOIS
  • A TEMPERATURE AMBIANTE
  • NE PAS DEPASSER 30 DEGRES

* Durée de conservation

3 ans.


* Précautions particulières de conservation

A conserver à une température ne dépassant pas 30°C.

Référence(s) officielles(s) :  Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
Indications
EPILEPSIE PARTIELLE    
  • AVEC GENERALISATION SECONDAIRE
  • OU
  • SANS GENERALISATION SECONDAIRE
  • CHEZ L'ADULTE
  • TRAITEMENT DE PREMIERE INTENTION
  • EN MONOTHERAPIE
  • Cf. PROPRIETES PHARMACODYNAMIQUES
Ce médicament est indiqué :
. en monothérapie dans le traitement de l'épilepsie partielle avec ou sans généralisation secondaire, chez le patient adulte présentant une épilepsie de nouvellement diagnostiquée (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques").
SMR de l'indication NIVEAU IMPORTANT 19/07/2017
Référence(s) officielle(s) Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
CIM10
  • Épilepsie et syndromes épileptiques symptomatiques définis par leur localisation (focale, partielle) avec crises partielles simples G401
  • Épilepsie et syndromes épileptiques symptomatiques définis par leur localisation (focale, partielle) avec des crises partielles complexes G402
  • Syndromes épileptiques particuliers G405
Maladie rare Oui - Lien Orphanet : Epilepsie autosomique dominante avec aura auditive ; Epilepsie avec crises partielles migrantes du nourrisson ; Epilepsie bénigne partielle de l'enfant avec crises partielles complexes ; Epilepsie focale familiale à foyers variables ; Epilepsie partielle bénigne de l'adolescent ; Epilepsie partielle bénigne du nourrisson avec crises généralisées secondaires ; Epilepsie partielle familiale ; Epilepsie partielle migrante ; Epilepsie rolandique ; Syndrome épileptique par infection fébrile
Maladies incluses
Epilepsie frontale à crises nocturnes
Epilepsie partielle à foyer variable, forme familiale
Epilepsie temporale, forme familiale

EPILEPSIE PARTIELLE    
  • AVEC GENERALISATION SECONDAIRE
  • OU
  • SANS GENERALISATION SECONDAIRE
  • CHEZ L'ADULTE
  • CHEZ L'ENFANT A PARTIR DE 6 ANS
  • ASSOCIER A D'AUTRES THERAPEUTIQUES
Ce médicament est indiqué :
. en association dans le traitement de l'épilepsie partielle avec ou sans généralisation secondaire chez les adultes, adolescents et enfants à partir de 6 ans.
SMR de l'indication NIVEAU IMPORTANT 19/07/2017
Référence(s) officielle(s) Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
CIM10
  • Épilepsie et syndromes épileptiques symptomatiques définis par leur localisation (focale, partielle) avec crises partielles simples G401
  • Épilepsie et syndromes épileptiques symptomatiques définis par leur localisation (focale, partielle) avec des crises partielles complexes G402
  • Syndromes épileptiques particuliers G405
Maladie rare Oui - Lien Orphanet : Epilepsie autosomique dominante avec aura auditive ; Epilepsie avec crises partielles migrantes du nourrisson ; Epilepsie bénigne partielle de l'enfant avec crises partielles complexes ; Epilepsie focale familiale à foyers variables ; Epilepsie partielle bénigne de l'adolescent ; Epilepsie partielle bénigne du nourrisson avec crises généralisées secondaires ; Epilepsie partielle familiale ; Epilepsie partielle migrante ; Epilepsie rolandique ; Syndrome épileptique par infection fébrile
Maladies incluses
Epilepsie frontale à crises nocturnes
Epilepsie partielle à foyer variable, forme familiale
Epilepsie temporale, forme familiale
Non indications
Aucune information recensée.
Posologie(s)
Schéma posologique n° 1
Voie(s) d'administration
  • ORALE
Terrain(s) physio-pathologique(s)
  • ADULTE
  • SUJET AGE
  • ADULTE INSUFFISANT RENAL
  • SUJET AGE INSUFFISANT RENAL
  • ADULTE INSUFFISANT HEPATIQUE LEGER
  • ADULTE INSUFFISANT HEPATIQUE MODERE
  • SUJET AGE INSUFFISANT HEPATIQUE LEGER
  • SUJET AGE INSUFFISANT HEPATIQUE MODERE
Indication(s)
  • EPILEPSIE PARTIELLE

  • ASSOCIER A D'AUTRES THERAPEUTIQUES

Posologie INITIALE  
  • EN ASSOCIATION AVEC INDUCTEUR CYP3A4
  • PHASE I
Dose 50 MG/JOUR
Fréquence maximale 2 /JOUR
Durée de traitement min 1 SEMAINE(S)
PENDANT 7 JOURS
Posologie INITIALE  
  • EN ASSOCIATION AVEC INDUCTEUR CYP3A4
  • PHASE II
Dose 100 MG/JOUR
Fréquence maximale 2 /JOUR
Durée de traitement min 1 SEMAINE(S)
PENDANT 7 JOURS
Posologie INITIALE  
  • EN ASSOCIATION AVEC INDUCTEUR CYP3A4
  • PHASE III
Dose ADAPTER MG/JOUR
Fréquence maximale 2 /JOUR
Durée de traitement min 3 SEMAINE(S)
REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT
Posologie ENTRETIEN  
  • EN ASSOCIATION AVEC INDUCTEUR CYP3A4
Dose de 300 MG/JOUR à 500 MG/JOUR
Fréquence de 1 /JOUR à 2 /JOUR
Durée de traitement
  • REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT
Posologie INITIALE  
  • SANS TRAITEMENT PAR INDUCT ENZYMATIQUE
  • PHASE I
Dose 50 MG/JOUR
Fréquence maximale 2 /JOUR
Durée de traitement min 2 SEMAINE(S)
Posologie INITIALE  
  • SANS TRAITEMENT PAR INDUCT ENZYMATIQUE
  • PHASE II
Dose 100 MG/JOUR
Fréquence maximale 2 /JOUR
Durée de traitement min 2 SEMAINE(S)
Posologie INITIALE  
  • SANS TRAITEMENT PAR INDUCT ENZYMATIQUE
  • PHASE III
Dose ADAPTER MG/JOUR
Fréquence maximale 2 /JOUR
Durée de traitement min 6 SEMAINE(S)
REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT
Posologie ENTRETIEN  
  • SANS TRAITEMENT PAR INDUCT ENZYMATIQUE
Dose de ADAPTER MG/JOUR à 500 MG/JOUR
Fréquence de 1 /JOUR à 2 /JOUR
Durée de traitement
  • REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT
Adaptation posologique
  • AUGMENTER PROGRESSIVEMENT LA POSOLOGIE
  • RESPECTER DES PALIERS
  • ADAPTER EN FCT REPONSE CLINIQUE
  • ADAPTER EN FCT AUTRES THERAPEUTIQUES
  • UTILISER DOSAGE LE MIEUX ADAPTE
  • NE PAS ARRETER BRUTALEMENT LE TRAITEMENT
* Posologie - Adultes

- Titration et dose d'entretien
Le zonisamide peut être administré en monothérapie ou en association au traitement en cours chez l'adulte.
La posologie doit être adaptée en fonction de la réponse clinique. Les données ci-dessous présentent le schéma de titration et les doses d'entretien recommandés. Certains patients, particulièrement ceux qui ne prennent pas de médicaments inducteurs du CYP3A4, peuvent répondre à des doses inférieures.

- Arrêt du traitement par zonisamide
En cas d'arrêt du traitement par le zonisamide, l'interruption doit être progressive (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Lors des études cliniques chez l'adulte, la posologie a été réduite de 100 mg tous les sept jours avec ajustement concomitant des doses des autres médicaments antiépileptiques (le cas échéant).

Adultes - Schéma d'augmentation de la posologie et traitement d'entretien recommandés

- Traitement en association

. patients recevant des inducteurs du CYP3A4 (Cf. rubrique "Interactions")
Phase de titration semaine 1 : 50 mg/jour (dose fractionnée en deux prises)
Phase de titration semaine 2 : 100 mg/jour (dose fractionnée en deux prises)
Phase de titration semaines 3 à 5 : augmentation par paliers de 100 mg à intervalle d'une semaine
Dose d'entretien habituelle : 300 à 500 mg par jour (une fois par jour en deux prises).

. patients ne recevant pas d'inducteurs du CYP3A4
Phase de titration semaine 1 + 2 : 50 mg/jour (dose fractionnée en deux prises)
Phase de titration semaine 3 + 4 : 100 mg/jour (dose fractionnée en deux prises)
Phase de titration semaines 5 à 10 : augmentation par paliers de 100 mg maximum à intervalle de deux semaines
Dose d'entretien habituelle : 300 à 500 mg par jour (une fois par jour ou en deux prises). Certains patients peuvent répondre à des doses plus faibles.


* Recommandations générales pour la posologie de zonisamide dans les populations particulières

- Personnes âgées
Il existe peu de données sur l'utilisation du zonisamide chez les personnes âgées, et il convient donc d'être prudent lors de l'instauration du traitement chez ces patients. Le profil de sécurité du zonisamide doit également être considéré lors de la prescription de zonisamide (Cf. rubrique "Effets indésirables").

- Insuffisance rénale
La prudence est recommandée chez les patients présentant une insuffisance rénale car il existe peu de données sur l'utilisation du zonisamide chez ces patients et il peut être nécessaire d'augmenter plus lentement la posologie. Etant donné que le zonisamide et ses métabolites sont excrétés par voie rénale, le traitement doit être arrêté chez les patients qui développent une insuffisance rénale aiguë ou qui présentent une élévation persistante cliniquement significative de la créatinémie.

Chez des sujets insuffisants rénaux, une corrélation positive a été observée entre la clairance rénale de doses uniques de zonisamide et la clairance de la créatinine. L'ASC plasmatique du zonisamide a été augmentée de 35 % chez des sujets ayant une clairance de la créatinine inférieure à 20 ml/min.

- Insuffisance hépatique
Il n'existe pas de données sur l'utilisation du zonisamide chez les patients présentant une altération des fonctions hépatiques. Par conséquent, l'administration aux patients présentant une insuffisance hépatique sévère n'est pas recommandée. La prudence est recommandée chez les patients ayant une insuffisance hépatique légère à modérée, et il peut être nécessaire d'augmenter plus lentement la posologie.
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023

Schéma posologique n° 2
Voie(s) d'administration
  • ORALE
Terrain(s) physio-pathologique(s)
  • ADULTE
  • SUJET AGE
  • ADULTE INSUFFISANT RENAL
  • SUJET AGE INSUFFISANT RENAL
  • ADULTE INSUFFISANT HEPATIQUE LEGER
  • ADULTE INSUFFISANT HEPATIQUE MODERE
  • SUJET AGE INSUFFISANT HEPATIQUE LEGER
  • SUJET AGE INSUFFISANT HEPATIQUE MODERE
Indication(s)
  • EPILEPSIE PARTIELLE

  • EN MONOTHERAPIE

Posologie INITIALE  
  • PHASE I
Dose 100 MG/JOUR
Fréquence maximale 1 /JOUR
Durée de traitement min 2 SEMAINE(S)
Posologie INITIALE  
  • PHASE II
Dose 200 MG/JOUR
Fréquence maximale 1 /JOUR
Durée de traitement min 2 SEMAINE(S)
Posologie INITIALE  
  • PHASE III
Dose 300 MG/JOUR
Fréquence maximale 1 /JOUR
Durée de traitement min 2 SEMAINE(S)
Posologie ENTRETIEN  
Dose de 300 MG/JOUR à 500 MG/JOUR
Fréquence maximale 1 /JOUR
Durée de traitement
  • REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT
Posologie MAXIMALE  
Dose 500 MG/JOUR
Fréquence maximale 1 /JOUR
Durée de traitement
  • ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE
Adaptation posologique
  • AUGMENTER PROGRESSIVEMENT LA POSOLOGIE
  • RESPECTER DES PALIERS
  • ADAPTER EN FCT REPONSE CLINIQUE
  • ADAPTER EN FCT AUTRES THERAPEUTIQUES
  • UTILISER DOSAGE LE MIEUX ADAPTE
  • NE PAS ARRETER BRUTALEMENT LE TRAITEMENT
* Posologie - Adultes

- Titration et dose d'entretien
Le zonisamide peut être administré en monothérapie ou en association au traitement en cours chez l'adulte.
La posologie doit être adaptée en fonction de la réponse clinique. Les données ci-dessous présentent le schéma de titration et les doses d'entretien recommandés. Certains patients, particulièrement ceux qui ne prennent pas de médicaments inducteurs du CYP3A4, peuvent répondre à des doses inférieures.

- Arrêt du traitement par zonisamide
En cas d'arrêt du traitement par le zonisamide, l'interruption doit être progressive (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Lors des études cliniques chez l'adulte, la posologie a été réduite de 100 mg tous les sept jours avec ajustement concomitant des doses des autres médicaments antiépileptiques (le cas échéant).

Adultes - Schéma d'augmentation de la posologie et traitement d'entretien recommandés

- Monothérapie . Epilepsie nouvellement diagnostiquée chez l'adulte
Phase de titration semaine 1 + 2 : 100 mg/jour (une fois par jour)
Phase de titration semaine 3 + 4 : 200 mg/jour (une fois par jour)
Phase de titration semaines 5+6 : 300 mg/jour (une fois par jour)
Dose d'entretien habituelle : 300 mg par jour (une fois par jour). Si une dose plus élevée est nécessaire, augmentation par paliers de 100 mg à intervalles de deux semaines jusqu'à une dose maximale de 500 mg.


* Recommandations générales pour la posologie de zonisamide dans les populations particulières

- Personnes âgées
Il existe peu de données sur l'utilisation du zonisamide chez les personnes âgées, et il convient donc d'être prudent lors de l'instauration du traitement chez ces patients. Le profil de sécurité du zonisamide doit également être considéré lors de la prescription de zonisamide (Cf. rubrique "Effets indésirables").

- Insuffisance rénale
La prudence est recommandée chez les patients présentant une insuffisance rénale car il existe peu de données sur l'utilisation du zonisamide chez ces patients et il peut être nécessaire d'augmenter plus lentement la posologie. Etant donné que le zonisamide et ses métabolites sont excrétés par voie rénale, le traitement doit être arrêté chez les patients qui développent une insuffisance rénale aiguë ou qui présentent une élévation persistante cliniquement significative de la créatinémie.

Chez des sujets insuffisants rénaux, une corrélation positive a été observée entre la clairance rénale de doses uniques de zonisamide et la clairance de la créatinine. L'ASC plasmatique du zonisamide a été augmentée de 35 % chez des sujets ayant une clairance de la créatinine inférieure à 20 ml/min.

- Insuffisance hépatique
Il n'existe pas de données sur l'utilisation du zonisamide chez les patients présentant une altération des fonctions hépatiques. Par conséquent, l'administration aux patients présentant une insuffisance hépatique sévère n'est pas recommandée. La prudence est recommandée chez les patients ayant une insuffisance hépatique légère à modérée, et il peut être nécessaire d'augmenter plus lentement la posologie.
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023

Schéma posologique n° 3
Voie(s) d'administration
  • ORALE
Terrain(s) physio-pathologique(s)
  • ENFANT A PARTIR DE 6 ANS A PARTIR DE 20 KG DE MOINS DE 55 KG
  • ENFANT A PARTIR DE 6 ANS A PARTIR DE 20 KG DE MOINS DE 55 KG INSUFFISANT RENAL
  • ENFANT A PARTIR DE 6 ANS A PARTIR DE 20 KG DE MOINS DE 55 KG INSUFFISANT HEPATIQUE LEGER
  • ENFANT A PARTIR DE 6 ANS A PARTIR DE 20 KG DE MOINS DE 55 KG INSUFFISANT HEPATIQUE MODERE
Indication(s)
  • EPILEPSIE PARTIELLE

  • ASSOCIER A D'AUTRES THERAPEUTIQUES

Posologie INITIALE  
  • EN ASSOCIATION AVEC INDUCTEUR CYP3A4
  • PHASE I
Dose 1 MG/KG/JOUR
Fréquence maximale 1 /JOUR
Durée de traitement min 1 SEMAINE(S)
REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT
Posologie INITIALE  
  • EN ASSOCIATION AVEC INDUCTEUR CYP3A4
  • PHASE II
Dose ADAPTER MG/KG/JOUR
Fréquence maximale 1 /JOUR
Durée de traitement min 7 SEMAINE(S)
REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT
Posologie ENTRETIEN  
  • EN ASSOCIATION AVEC INDUCTEUR CYP3A4
Dose de 6 MG/KG/JOUR à 8 MG/KG/JOUR
Fréquence maximale 1 /JOUR
Durée de traitement
  • REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT
Posologie INITIALE  
  • SANS TRAITEMENT PAR INDUCT ENZYMATIQUE
  • PHASE I
Dose 1 MG/KG/JOUR
Fréquence maximale 1 /JOUR
Durée de traitement min 2 SEMAINE(S)
REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT
Posologie INITIALE  
  • SANS TRAITEMENT PAR INDUCT ENZYMATIQUE
  • PHASE II
Dose ADAPTER MG/KG/JOUR
Fréquence maximale 1 /JOUR
Durée de traitement
  • REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT
Posologie ENTRETIEN  
  • SANS TRAITEMENT PAR INDUCT ENZYMATIQUE
Dose de 6 MG/KG/JOUR à 8 MG/KG/JOUR
Fréquence maximale 1 /JOUR
Durée de traitement
  • REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT
Adaptation posologique
  • AUGMENTER PROGRESSIVEMENT LA POSOLOGIE
  • RESPECTER DES PALIERS
  • ADAPTER EN FCT REPONSE CLINIQUE
  • ADAPTER EN FCT AUTRES THERAPEUTIQUES
  • UTILISER DOSAGE LE MIEUX ADAPTE
  • NE PAS ARRETER BRUTALEMENT LE TRAITEMENT
* Recommandations générales pour la posologie de zonisamide dans les populations particulières

* Population pédiatrique (à partir de 6 ans)

- Titration et traitement d'entretien
Le zonisamide doit être ajouté au traitement en cours chez les patients pédiatriques âgés de 6 ans et plus. La posologie doit être adaptée en fonction de la réponse clinique. Les données suivantes présentent le schéma de titration et les doses d'entretien recommandés. Certains patients, en particulier ceux qui ne reçoivent pas de médicaments inducteurs du CYP3A4, peuvent répondre à des doses inférieures.

Les médecins doivent attirer l'attention des patients pédiatriques et des parents/soignants sur l'encadré de mise en garde pour les patients (dans la notice) relatif à la prévention des coups de chaleur (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi, Population pédiatrique").

Population pédiatrique (à partir de 6 ans) - Schéma d'augmentation de la posologie et traitement d'entretien recommandés

- Traitement en association

. patients recevant des inducteurs du CYP3A4 (Cf. rubrique "Interactions")
Phase de titration semaine 1 : 1 mg/kg/jour (une fois par jour)
Phase de titration semaine 2 à 8 : augmentation par paliers de 1 mg/kg à intervalle d'une semaine
Dose d'entretien habituelle : patients pesant de 20 à 55 kg (a) : 6 à 8 mg/kg/jour (une fois par jour)

. patients ne recevant pas d'inducteurs du CYP3A4
Phase de titration semaine 1 + 2 : 1 mg/kg/jour (une fois par jour)
Phase de titration à partir de la semaine 3 : augmentation par paliers de 1 mg/kg à intervalle de deux semaines
Dose d'entretien habituelle : patients pesant de 20 à 55 kg (a) : 6 à 8 mg/kg/jour (une fois par jour)

Remarque :
(a) Pour garantir le maintien d'une dose thérapeutique, le poids de l'enfant doit être surveillé et la posologie ajustée en cas de modification du poids jusqu'à 55 kg. Le schéma posologique est de 6 à 8 mg/kg/jour jusqu'à une dose maximale de 500 mg/jour.

La sécurité et l'efficacité du zonisamide chez les enfants âgés de moins de 6 ans ou dont le poids est inférieur à 20 kg n'ont pas encore été établies.

Les données d'études cliniques chez des patients dont le poids est inférieur à 20 kg sont limitées. La prudence s'impose donc pour le traitement d'enfants âgés de plus de 6 ans et pesant moins de 20 kg.

Il n'est pas toujours possible d'obtenir précisément la dose calculée avec les dosages de zonisamide commercialisées. Dans ce cas, il est donc recommandé d'arrondir la dose totale de zonisamide à la dose supérieure ou inférieure la plus proche pouvant être obtenue avec les dosages de zonisamide commercialisées (25 mg, 50 mg et 100 mg).


- Arrêt du traitement par zonisamide
En cas d'arrêt du traitement par zonisamide, l'interruption doit être progressive (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Lors des études cliniques chez des patients pédiatriques, la posologie a été réduite d'environ 2 mg/kg tous les sept jours (conformément au schéma présenté ci-dessous).

Population pédiatrique (à partir de 6 ans) - Schéma de réduction posologique recommandé

Poids : 20 - 28 kg
Diminution à intervalle d'une semaine par paliers de 25 à 50 mg/jour (*)

Poids : 29 - 41 kg
Diminution à intervalle d'une semaine par paliers de 50 à 75 mg/jour (*)

Poids : 42 - 55 kg
Diminution à intervalle d'une semaine par paliers de 100 mg/jour (*)

Remarque : (*) Toutes les doses sont administrées une fois par jour.

- Insuffisance rénale
La prudence est recommandée chez les patients présentant une insuffisance rénale car il existe peu de données sur l'utilisation du zonisamide chez ces patients et il peut être nécessaire d'augmenter plus lentement la posologie. Etant donné que le zonisamide et ses métabolites sont excrétés par voie rénale, le traitement doit être arrêté chez les patients qui développent une insuffisance rénale aiguë ou qui présentent une élévation persistante cliniquement significative de la créatinémie.

Chez des sujets insuffisants rénaux, une corrélation positive a été observée entre la clairance rénale de doses uniques de zonisamide et la clairance de la créatinine. L'ASC plasmatique du zonisamide a été augmentée de 35 % chez des sujets ayant une clairance de la créatinine inférieure à 20 ml/min.

- Insuffisance hépatique
Il n'existe pas de données sur l'utilisation du zonisamide chez les patients présentant une altération des fonctions hépatiques. Par conséquent, l'administration aux patients présentant une insuffisance hépatique sévère n'est pas recommandée. La prudence est recommandée chez les patients ayant une insuffisance hépatique légère à modérée, et il peut être nécessaire d'augmenter plus lentement la posologie.
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023

Schéma posologique n° 4
Voie(s) d'administration
  • ORALE
Terrain(s) physio-pathologique(s)
  • ENFANT A PARTIR DE 6 ANS A PARTIR DE 55 KG
  • ENFANT A PARTIR DE 6 ANS A PARTIR DE 55 KG INSUFFISANT RENAL
  • ENFANT A PARTIR DE 6 ANS A PARTIR DE 55 KG INSUFFISANT HEPATIQUE LEGER
  • ENFANT A PARTIR DE 6 ANS A PARTIR DE 55 KG INSUFFISANT HEPATIQUE MODERE
Indication(s)
  • EPILEPSIE PARTIELLE

  • ASSOCIER A D'AUTRES THERAPEUTIQUES

Posologie INITIALE  
  • EN ASSOCIATION AVEC INDUCTEUR CYP3A4
  • PHASE I
Dose 1 MG/KG/JOUR
Fréquence maximale 1 /JOUR
Durée de traitement min 1 SEMAINE(S)
REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT
Posologie INITIALE  
  • EN ASSOCIATION AVEC INDUCTEUR CYP3A4
  • PHASE II
Dose ADAPTER MG/KG/JOUR
Fréquence maximale 1 /JOUR
Durée de traitement min 7 SEMAINE(S)
REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT
Posologie ENTRETIEN  
  • EN ASSOCIATION AVEC INDUCT ENZYMATIQUE
Dose de 300 MG/JOUR à 500 MG/JOUR
Fréquence maximale 1 /JOUR
Durée de traitement
  • REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT
Posologie INITIALE  
  • SANS TRAITEMENT PAR INDUCT ENZYMATIQUE
  • PHASE I
Dose 1 MG/KG/JOUR
Fréquence maximale 1 /JOUR
Durée de traitement min 2 SEMAINE(S)
REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT
Posologie INITIALE  
  • SANS TRAITEMENT PAR INDUCT ENZYMATIQUE
  • PHASE II
Dose ADAPTER MG/KG/JOUR
Fréquence maximale 1 /JOUR
Durée de traitement
  • REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT
Posologie ENTRETIEN  
  • SANS TRAITEMENT PAR INDUCT ENZYMATIQUE
Dose de 300 MG/JOUR à 500 MG/JOUR
Fréquence maximale 1 /JOUR
Durée de traitement
  • REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT
Adaptation posologique
  • RESPECTER DES PALIERS
  • AUGMENTER PROGRESSIVEMENT LA POSOLOGIE
  • DIMINUER PROGRESSIVEMENT LA POSOLOGIE
  • ADAPTER EN FCT REPONSE CLINIQUE
  • UTILISER DOSAGE LE MIEUX ADAPTE
  • NE PAS ARRETER BRUTALEMENT LE TRAITEMENT
* Recommandations générales pour la posologie de zonisamide dans les populations particulières

* Population pédiatrique (à partir de 6 ans)

- Titration et traitement d'entretien
Le zonisamide doit être ajouté au traitement en cours chez les patients pédiatriques âgés de 6 ans et plus. La posologie doit être adaptée en fonction de la réponse clinique. Les données suivantes présentent le schéma de titration et les doses d'entretien recommandés. Certains patients, en particulier ceux qui ne reçoivent pas de médicaments inducteurs du CYP3A4, peuvent répondre à des doses inférieures.

Les médecins doivent attirer l'attention des patients pédiatriques et des parents/soignants sur l'encadré de mise en garde pour les patients (dans la notice) relatif à la prévention des coups de chaleur (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi, Population pédiatrique").

Population pédiatrique (à partir de 6 ans) - Schéma d'augmentation de la posologie et traitement d'entretien recommandés

- Traitement en association

. patients recevant des inducteurs du CYP3A4 (Cf. rubrique "Interactions")
Phase de titration semaine 1 : 1 mg/kg/jour (une fois par jour)
Phase de titration semaine 2 à 8 : augmentation par paliers de 1 mg/kg à intervalle d'une semaine
Dose d'entretien habituelle : patients pesant > 55 kg : 300 à 500 mg/jour (une fois par jour)

. patients ne recevant pas d'inducteurs du CYP3A4
Phase de titration semaine 1 : 1 mg/kg/jour (une fois par jour)
Phase de titration à partir de la semaine 3 : augmentation par paliers de 1 mg/kg à intervalle de deux semaines
Dose d'entretien habituelle : patients pesant > 55 kg : 300 à 500 mg/jour (une fois par jour)

Il n'est pas toujours possible d'obtenir précisément la dose calculée avec les dosages de zonisamide commercialisées. Dans ce cas, il est donc recommandé d'arrondir la dose totale de zonisamide à la dose supérieure ou inférieure la plus proche pouvant être obtenue avec les dosages de zonisamide commercialisées (25 mg, 50 mg et 100 mg).


- Arrêt du traitement par zonisamide
En cas d'arrêt du traitement par zonisamide, l'interruption doit être progressive (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Lors des études cliniques chez des patients pédiatriques, la posologie a été réduite d'environ 2 mg/kg tous les sept jours (conformément au schéma présenté ci-dessous).

Population pédiatrique (à partir de 6 ans) - Schéma de réduction posologique recommandé
Poids : > 55 kg
Diminution à intervalle d'une semaine par paliers de 100 mg/jour (*)

Remarque : (*) Toutes les doses sont administrées une fois par jour.

- Insuffisance rénale
La prudence est recommandée chez les patients présentant une insuffisance rénale car il existe peu de données sur l'utilisation du zonisamide chez ces patients et il peut être nécessaire d'augmenter plus lentement la posologie. Etant donné que le zonisamide et ses métabolites sont excrétés par voie rénale, le traitement doit être arrêté chez les patients qui développent une insuffisance rénale aiguë ou qui présentent une élévation persistante cliniquement significative de la créatinémie.

Chez des sujets insuffisants rénaux, une corrélation positive a été observée entre la clairance rénale de doses uniques de zonisamide et la clairance de la créatinine. L'ASC plasmatique du zonisamide a été augmentée de 35 % chez des sujets ayant une clairance de la créatinine inférieure à 20 ml/min.

- Insuffisance hépatique
Il n'existe pas de données sur l'utilisation du zonisamide chez les patients présentant une altération des fonctions hépatiques. Par conséquent, l'administration aux patients présentant une insuffisance hépatique sévère n'est pas recommandée. La prudence est recommandée chez les patients ayant une insuffisance hépatique légère à modérée, et il peut être nécessaire d'augmenter plus lentement la posologie.
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023


Utilisation/Manipulation/Elimination/Incompatibilités
Recommandation(s)
 
  • ELIMINER DECHETS SELON REGLEMENTATION
* Précautions particulières d'élimination

Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.



* Incompatibilités

Sans objet.

Mode d’administration
Voie(s) d'administration
  • ORALE
Modalité(s)
  • ADMINISTRER AU COURS D'UN REPAS
  • OU
  • ADMINISTRER EN DEHORS D'UN REPAS
  • AVALER INTACT(E)/TEL(LE) QUEL(LE)
  • NE PAS OUVRIR LA GELULE
  • NE PAS CROQUER
  • NE PAS ECRASER
  • NE PAS MACHER
  • AVALER AVEC DE L'EAU
* Mode et voie d'administration

Les gélules de zonisamide doivent être administrées par voie orale.

. Effets des aliments
Le zonisamide peut être pris au cours ou en dehors des repas (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques").


* Comment prendre ce médicament (Notice)

. Les gélules de ce médicament doivent être avalées entières avec de l'eau.
. Ne pas mâcher les gélules.
. Ce médicament doit être pris une ou deux fois par jour, selon les indications de votre médecin.
. Si vous devez prendre ce médicament deux fois par jour, la moitié de la dose quotidienne doit être prise le matin et l'autre moitié le soir.


* Si vous oubliez de prendre ce médicament (Notice)

- Si vous oubliez de prendre une dose, ne vous inquiétez pas et prenez la dose suivante à l'heure habituelle.
- Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre.
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023

Contre indications
- Résumé des Caractéristiques du Produit (RCP)
Terrain N° 1 FEMME EN AGE DE PROCREER
  • EN L'ABSENCE DE CONTRACEPTION EFFICACE
Niveau(x)
  • UTILISATION DECONSEILLEE
  • UTILISER UNE CONTRACEPTION EFFICACE
  • Cf. GROSSESSE ET ALLAITEMENT
  • Cf. MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
Ce médicament ne doit pas être utilisé chez la femme en âge de procréer qui n'utilise pas de contraception efficace, à moins d'une nécessité absolue et uniquement si le bénéfice potentiel est considéré comme justifiant le risque pour le fœtus.
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
CIM 10
  • Non concerné .

Terrain N° 2 GROSSESSE
Niveau(x)
  • UTILISATION DECONSEILLEE
  • Cf. GROSSESSE ET ALLAITEMENT
  • METTRE EN BALANCE BENEFICES ET RISQUES
Ce médicament ne doit pas être utilisé chez la femme enceinte, à moins d'une nécessité absolue et uniquement si le bénéfice potentiel est considéré comme justifiant le risque pour le fœtus. En cas de traitement par ce médicament pendant la grossesse, les patientes doivent être bien informées du risque potentiel pour le fœtus et l'utilisation de la dose minimale efficace et une surveillance étroite sont conseillées.
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
CIM 10
  • Grossesse confirmée Z321

Terrain N° 3 ALLAITEMENT
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
  • Cf. GROSSESSE ET ALLAITEMENT
  • ARRETER TRAITEMENT PENDANT L'ALLAITEMENT
  • ARRETER ALLAITEMENT DURANT LE TRAITEMENT
Une décision doit être prise soit d'interrompre l'allaitement, soit d'interrompre/de s'abstenir du traitement avec ce médicament. Compte tenu de la persistance prolongée dans l'organisme, l'allaitement ne doit être repris qu'un mois après l'arrêt du traitement par zonisamide.
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
CIM 10
  • Soins et examens de l'allaitement maternel Z391

Terrain N° 4 AUTRE TRAITEMENT EN COURS
  • TRT PAR MILLEPERTUIS
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
  • Cf. INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES
Cf. aussi "Thesaurus interactions ansm".
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
CIM 10
  • Non concerné .

Terrain N° 5 INTERACTION D'ORIGINE ALIMENTAIRE
  • APPORT DE MILLEPERTUIS
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
  • Cf. INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES
Cf. aussi "Thesaurus interactions ansm".
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
CIM 10
  • Non concerné .

Terrain N° 6 INSUFFISANCE HEPATIQUE
  • INSUFFISANCE HEPATIQUE SEVERE MALADIE
Niveau(x)
  • UTILISATION DECONSEILLEE
  • UTILISATION NON RECOMMANDEE
  • Cf. POSOLOGIE
  • Cf. MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
Il n'existe pas de données sur l'utilisation du zonisamide chez les patients présentant une altération des fonctions hépatiques. Par conséquent, l'administration aux patients présentant une insuffisance hépatique sévère n'est pas recommandée.
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
CIM 10
  • Insuffisance hépatique, non classée ailleurs K72

Terrain N° 7 ENFANT
  • ENFANT DE MOINS DE 6 ANS
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
  • FORME GALENIQUE INADAPTEE A CE TERRAIN
  • RISQUE DE FAUSSE ROUTE
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
CIM 10
  • Non concerné .

Terrain N° 8 NOURRISSON
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
  • FORME GALENIQUE INADAPTEE A CE TERRAIN
  • RISQUE DE FAUSSE ROUTE
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
CIM 10
  • Non concerné .

Terrain N° 9 NOUVEAU-NE
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
  • FORME GALENIQUE INADAPTEE A CE TERRAIN
  • RISQUE DE FAUSSE ROUTE
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
CIM 10
  • Non concerné .

Terrain N° 10 HYPERSENSIBILITE
  • HYPERSENSIBILITE ZONISAMIDE
  • HYPERSENSIBILITE SULFAMIDES
  • HYPERSENSIBILITE SULFONAMIDE
  • HYPERSENSIBILITE A L'UN DES EXCIPIENTS
  • HYPERSENSIBILITE ARACHIDE/CACAHUETE
  • HYPERSENSIBILITE SOJA/LECITHINE DE SOJA
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
CIM 10
  • Allergie, sans précision T784
  • Effet indésirable d'un médicament, sans précision T887
  • Antécédents personnels d'allergie à d'autres médicaments et substances biologiques Z888
  • Antécédents personnels d'allergie aux sulfamides Z882
  • Autres réactions d'intolérance alimentaire, non classées ailleurs T781
  • Effets indésirables d'autres médicaments analgésiques, antipyrétiques au cours de leur usage thérapeutique Y458
  • Effets indésirables des excipients pharmaceutiques au cours de leur usage thérapeutique Y574
  • Effets indésirables des sulfamides au cours de leur usage thérapeutique Y410





Commentaires du RCP
Hypersensibilité au principe actif, à l'un des excipients mentionnés à la rubrique "Composition" ou aux sulfamides, sulfonamides.

Ce médicament contient de l'huile végétale hydrogénée (huile de soja). Ce médicament est contre-indiqué en cas d'allergie à l'arachide ou au soja.
Référence(s) officielle(s) Rectificatif AMM européenne 15/02/2023




Autres sources d'information
Terrain N° 11 HYPERSENSIBILITE
  • HYPERSENSIBILITE JAUNE ORANGE S
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
  • TENIR COMPTE PRESENCE JAUNE ORANGE S
  • EXCIPIENT A EFFET NOTOIRE LISTE ANSM/EMA
Ce médicament contient un agent colorant azoïque.

- Dénomination : colorants azoïques
Par exemple :
Tartrazine (E 102)
Jaune orangé S (E 110)
Azorubine, carmoisine (E 122)
Amarante (E 123)
Rouge ponceau 4R, rouge cochenille A (E 124)
Noir brillant BN, noir PN (E 151)

- Voie d'administration : orale

- Seuil : zéro

- Informations :
Peut provoquer des réactions allergiques.

Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020
CIM 10
  • Allergie, sans précision T784
  • Effet indésirable d'un médicament, sans précision T887
  • Antécédents personnels d'allergie à d'autres médicaments et substances biologiques Z888
  • Effets indésirables des excipients pharmaceutiques au cours de leur usage thérapeutique Y574

Terrain N° 12 HYPERSENSIBILITE
  • HYPERSENSIBILITE ROUGE ALLURA / ALLURA RED AC
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
  • TENIR COMPTE PRESENCE ROUGE ALLURA
  • EXCIPIENT A EFFET NOTOIRE LISTE ANSM/EMA
Ce médicament contient un agent colorant azoïque.

- Dénomination : colorants azoïques
Par exemple :
Tartrazine (E 102)
Jaune orangé S (E 110)
Azorubine, carmoisine (E 122)
Amarante (E 123)
Rouge ponceau 4R, rouge cochenille A (E 124)
Noir brillant BN, noir PN (E 151)

- Voie d'administration : orale

- Seuil : zéro

- Informations :
Peut provoquer des réactions allergiques.

Réf.: ansm/EMA liste EEN 06/02/2020
CIM 10
  • Allergie, sans précision T784
  • Effet indésirable d'un médicament, sans précision T887
  • Antécédents personnels d'allergie à d'autres médicaments et substances biologiques Z888
  • Effets indésirables des excipients pharmaceutiques au cours de leur usage thérapeutique Y574

Terrain N° 13 HYPERSENSIBILITE
  • HYPERSENSIBILITE SULFAMIDES
  • HYPERSENSIBILITE SULFONYLUREE
  • HYPERSENSIBILITE SULFONAMIDE
  • HYPERSENSIBILITE THIAZIDIQUES
  • HYPERSENSIBILITE CROISEE
  • HYPERSENSIBILITE ACETAZOLAMIDE
  • HYPERSENSIBILITE ALTIZIDE
  • HYPERSENSIBILITE AMSACRINE
  • HYPERSENSIBILITE BENDROFLUMETHIAZIDE
  • HYPERSENSIBILITE BOSENTAN
  • HYPERSENSIBILITE BRINZOLAMIDE
  • HYPERSENSIBILITE BUMETANIDE
  • HYPERSENSIBILITE CARBUTAMIDE
  • HYPERSENSIBILITE CHLORTALIDONE
  • HYPERSENSIBILITE CLOPAMIDE
  • HYPERSENSIBILITE CLOPROTHIAZOLE
  • HYPERSENSIBILITE CYCLOTHIAZIDE
  • HYPERSENSIBILITE DARUNAVIR
  • HYPERSENSIBILITE DOFETILIDE
  • HYPERSENSIBILITE DORZOLAMIDE
  • HYPERSENSIBILITE FUROSEMIDE
  • HYPERSENSIBILITE GLIBENCLAMIDE
  • HYPERSENSIBILITE GLIBORNURIDE
  • HYPERSENSIBILITE GLICLAZIDE
  • HYPERSENSIBILITE GLIMEPIRIDE
  • HYPERSENSIBILITE GLIPIZIDE
  • HYPERSENSIBILITE HYDROCHLOROTHIAZIDE
  • HYPERSENSIBILITE HYDROFLUMETHIAZIDE
  • HYPERSENSIBILITE IBUTILIDE FUMARATE
  • HYPERSENSIBILITE INDAPAMIDE
  • HYPERSENSIBILITE MAFENIDE
  • HYPERSENSIBILITE METHYCLOTHIAZIDE
  • HYPERSENSIBILITE NARATRIPTAN
  • HYPERSENSIBILITE PARA AMINOBENZOIQUE AC
  • HYPERSENSIBILITE PIRETANIDE
  • HYPERSENSIBILITE POLYTHIAZIDE
  • HYPERSENSIBILITE PROBENECIDE
  • HYPERSENSIBILITE QUINAGOLIDE
  • HYPERSENSIBILITE SITAXENTAN
  • HYPERSENSIBILITE SOTALOL
  • HYPERSENSIBILITE SULFACETAMIDE
  • HYPERSENSIBILITE SULFADIAZINE
  • HYPERSENSIBILITE SULFADOXINE
  • HYPERSENSIBILITE SULFAFURAZOLE
  • HYPERSENSIBILITE SULFAGUANIDINE
  • HYPERSENSIBILITE SULFAMETHIZOL
  • HYPERSENSIBILITE SULFAMETHOXAZOLE
  • HYPERSENSIBILITE SULFAMETROLE
  • HYPERSENSIBILITE SULFAMOXOLE
  • HYPERSENSIBILITE SULFASALAZINE
  • HYPERSENSIBILITE SULFASUCCINAMIDE
  • HYPERSENSIBILITE SULPIRIDE
  • HYPERSENSIBILITE SULTIAME
  • HYPERSENSIBILITE SUMATRIPTAN
  • HYPERSENSIBILITE TAMSULOSINE
  • HYPERSENSIBILITE TIPRANAVIR
  • HYPERSENSIBILITE TOLBUTAMIDE
  • HYPERSENSIBILITE TORASEMIDE
  • HYPERSENSIBILITE VERALIPRIDE
  • HYPERSENSIBILITE XIPAMIDE
  • HYPERSENSIBILITE ZONISAMIDE
  • HYPERSENSIBILITE DAPSONE
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
Attention

Il existe des réactions connues d'allergie croisée concernant les substances de structure "sulfamides" "sulfonamides" et "sulfonylurés".
CIM 10
  • Allergie, sans précision T784
  • Effet indésirable d'un médicament, sans précision T887
  • Antécédents personnels d'allergie à d'autres agents anti-infectieux Z883
  • Antécédents personnels d'allergie à d'autres médicaments et substances biologiques Z888
  • Antécédents personnels d'allergie à un médicament et une substance biologique, sans précision Z889
  • Antécédents personnels d'allergie aux sulfamides Z882
  • Effets indésirables d'autres anti-arythmisants, non classés ailleurs au cours de leur usage thérapeutique Y522
  • Effets indésirables d'autres antihypertenseurs, non classés ailleurs au cours de leur usage thérapeutique Y525
  • Effets indésirables d'autres antipsychotiques et neuroleptiques au cours de leur usage thérapeutique Y495
  • Effets indésirables d'autres diurétiques au cours de leur usage thérapeutique Y545
  • Effets indésirables d'autres médicaments analgésiques, antipyrétiques au cours de leur usage thérapeutique Y458
  • Effets indésirables de l'insuline et des hypoglycémiants oraux [antidiabétiques] au cours de leur usage thérapeutique Y423
  • Effets indésirables des antimycobactériens au cours de leur usage thérapeutique Y411
  • Effets indésirables des antiviraux au cours de leur usage thérapeutique Y415
  • Effets indésirables des bêta-bloquants, non classés ailleurs au cours de leur usage thérapeutique Y517
  • Effets indésirables des dérivés de la benzothiadiazine au cours de leur usage thérapeutique Y543
  • Effets indésirables des diurétiques de l'anse au cours de leur usage thérapeutique Y544
  • Effets indésirables des émollients, adoucissants et protecteurs au cours de leur usage thérapeutique Y563
  • Effets indésirables des inhibiteurs de l'anhydrase carbonique au cours de leur usage thérapeutique Y542
  • Effets indésirables des médicaments agissant sur le métabolisme de l'acide urique au cours de leur usage thérapeutique Y548
  • Effets indésirables des médicaments et préparations ophtalmologiques au cours de leur usage thérapeutique Y565
  • Effets indésirables des sulfamides au cours de leur usage thérapeutique Y410
  • Non attribuable ..

Terrain N° 14 HYPERSENSIBILITE
  • HYPERSENSIBILITE PROPYLENEGLYCOL DERIVES
  • HYPERSENSIBILITE CROISEE
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
Ce médicament contient du propylène glycol, il est donc contre-indiqué en cas d'hypersensibilité à la classe des dérivés du propylène glycol.
CIM 10
  • Allergie, sans précision T784
  • Effet indésirable d'un médicament, sans précision T887
  • Antécédents personnels d'allergie à d'autres médicaments et substances biologiques Z888

Terrain N° 15 HYPERSENSIBILITE
  • HYPERSENSIBILITE SOJA/LECITHINE DE SOJA
  • HYPERSENSIBILITE ARACHIDE/CACAHUETE
Niveau(x)
  • CONTRE-INDICATION ABSOLUE
  • TENIR COMPTE PRESENCE HUILE SOJA
  • TENIR COMPTE PRESENCE LECITHINE SOJA
  • TENIR COMPTE PRESENCE PHOSPHOLIPIDES SOJA
  • TENIR COMPTE PRESENCE POLYSACCHARIDES SOJA
  • EXCIPIENT A EFFET NOTOIRE LISTE ANSM/EMA
Ce médicament contient de l'huile de soja ou de l'huile de soja hydrogénée comme excipient.

- Voie d'administration : Toutes

- Seuil : Zéro

- Informations
Ce médicament contient de l'huile de soja. Si vous êtes allergique à l'arachide ou au soja, ne pas utiliser ce médicament.

- Commentaires
Conforme à Huile d'arachide.
RCP : mention en contre-indication.

Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020
CIM 10
  • Allergie, sans précision T784
  • Effet indésirable d'un médicament, sans précision T887
  • Antécédents personnels d'allergie à d'autres médicaments et substances biologiques Z888
  • Autres réactions d'intolérance alimentaire, non classées ailleurs T781

Mises en garde et précautions d'emploi
- Résumé des Caractéristiques du Produit (RCP)
Terrain N° 1 LESION CUTANEE
    Niveau(x)
    • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
    • RECHERCHER LA CAUSE DU SYMPTOME
    • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
    • SURVEILLANCE CLINIQUE
    • RISQUE DE REACTION ALLERGIQUE
    • RISQUE DE SYNDROME DE STEVENS JOHNSON (SSJ)
    Référence(s) officielle(s)
    • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
    CIM 10
    • Autres affections de la peau et du tissu cellulaire sous-cutané, non classées ailleurs L98

    Terrain N° 2 ATTEINTE OCULAIRE
      Niveau(x)
      • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
      • RISQUE DE MYOPIE
      • RISQUE DE GLAUCOME AIGU
      • RISQUE HYPERTENSION/HYPERTONIE OCULAIRE
      • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
      Référence(s) officielle(s)
      • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
      CIM 10
      • Maladies de l'œil et de ses annexes 07

      Terrain N° 3 HYPERTENSION / HYPERTONIE OCULAIRE
        Niveau(x)
        • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
        • RISQUE DE TROUBLE VISUEL
        • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
        Référence(s) officielle(s)
        • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
        CIM 10
        • Glaucome limite H400

        Terrain N° 4 GLAUCOME A ANGLE FERME
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
          Référence(s) officielle(s)
          • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
          CIM 10
          • Glaucome (primitif) à angle étroit H402

          Terrain N° 5 MYOPIE
            Niveau(x)
            • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
            • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
            Référence(s) officielle(s)
            • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
            CIM 10
            • Myopie H521

            Terrain N° 6 TENDANCE SUICIDAIRE / SUICIDE
              Niveau(x)
              • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
              • SURVEILLANCE CLINIQUE
              • SURVEILLANCE PSYCHIATRIQUE
              • FAIRE TRAITEMENT ADAPTE
              • PREVENIR LE MALADE
              Référence(s) officielle(s)
              • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
              CIM 10
              • Épisode dépressif sévère sans symptômes psychotiques F322
              • Épisode dépressif sévère avec symptômes psychotiques F323

              Terrain N° 7 LITHIASE RENALE
              • LITHIASE RENALE MALADIE
              • LITHIASE RENALE ANTECEDENT PERSONNEL
              • LITHIASE RENALE ANTECEDENT FAMILIAL
              Niveau(x)
              • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
              • UTILISER AVEC PRUDENCE
              • RISQUE DE LITHIASE URINAIRE
              • ASSURER UNE HYDRATATION SUFFISANTE
              • SURVEILLANCE DE LA DIURESE
              • SURVEILLANCE CLINIQUE
              Référence(s) officielle(s)
              • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
              CIM 10
              • Calcul du rein N200
              • Antécédents familiaux d'autres maladies de l'appareil génito-urinaire Z842
              • Antécédents familiaux de maladies rénales et de l'uretère Z841
              • Antécédents personnels de maladies de l'appareil génito-urinaire Z874

              Terrain N° 8 HYPERCALCIURIE
              • HYPERCALCIURIE ATCD PERSONNEL
              Niveau(x)
              • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
              • RISQUE DE LITHIASE URINAIRE
              • ASSURER UNE HYDRATATION SUFFISANTE
              • SURVEILLANCE DE LA DIURESE
              • SURVEILLANCE CLINIQUE
              Référence(s) officielle(s)
              • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
              CIM 10
              • Anomalies du métabolisme du calcium E835
              • Antécédents personnels de maladies endocriniennes, nutritionnelles et métaboliques Z863

              Terrain N° 9 NEPHROPATHIE CHRONIQUE
                Niveau(x)
                • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                • RISQUE D'ACIDOSE METABOLIQUE
                • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
                • SURVEILLANCE HYDROELECTROLYTIQUE
                Référence(s) officielle(s)
                • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                CIM 10
                • Non attribuable ..

                Terrain N° 10 ATTEINTE RESPIRATOIRE
                • ATTEINTE RESPIRATOIRE SEVERE
                Niveau(x)
                • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                • RISQUE D'ACIDOSE METABOLIQUE
                • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
                • SURVEILLANCE HYDROELECTROLYTIQUE
                Référence(s) officielle(s)
                • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                CIM 10
                • Maladies de l'appareil respiratoire 10
                • Insuffisance respiratoire, non classée ailleurs J96

                Terrain N° 11 ETAT DE MAL EPILEPTIQUE
                  Niveau(x)
                  • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                  • RISQUE D'ACIDOSE METABOLIQUE
                  • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
                  • SURVEILLANCE HYDROELECTROLYTIQUE
                  Référence(s) officielle(s)
                  • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                  CIM 10
                  • État de mal épileptique G41

                  Terrain N° 12 DIARRHEE
                    Niveau(x)
                    • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                    • RISQUE D'ACIDOSE METABOLIQUE
                    • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
                    • SURVEILLANCE HYDROELECTROLYTIQUE
                    Référence(s) officielle(s)
                    • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                    CIM 10
                    • Diarrhée fonctionnelle K591

                    Terrain N° 13 INTERVENTION CHIRURGICALE
                      Niveau(x)
                      • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                      • RISQUE D'ACIDOSE METABOLIQUE
                      • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
                      • SURVEILLANCE HYDROELECTROLYTIQUE
                      Référence(s) officielle(s)
                      • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                      CIM 10
                      • Non concerné .

                      Terrain N° 14 REGIME CETOGENE
                        Niveau(x)
                        • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                        • RISQUE D'ACIDOSE METABOLIQUE
                        • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
                        • SURVEILLANCE HYDROELECTROLYTIQUE
                        Référence(s) officielle(s)
                        • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                        CIM 10
                        • Non concerné .

                        Terrain N° 15 REGIME HYPOGLUCIDIQUE
                          Niveau(x)
                          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                          • RISQUE D'ACIDOSE METABOLIQUE
                          • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
                          • SURVEILLANCE HYDROELECTROLYTIQUE
                          Référence(s) officielle(s)
                          • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                          CIM 10
                          • Non concerné .

                          Terrain N° 16 AUTRE TRAITEMENT EN COURS
                          • TRT PAR MED FAVORISANT ACIDOSE METABOLIQUE
                          • TRT PAR INHIBITEUR ANHYDRASE CARBONIQUE
                          • TRT PAR TOPIRAMATE
                          • TRT PAR ACETAZOLAMIDE
                          • TRT PAR VALPROATE SODIQUE
                          • TRT PAR VALPROIQUE ACIDE
                          • TRT PAR VALPROMIDE
                          • TRT PAR DIVALPROATE SODIQUE
                          Niveau(x)
                          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                          • Cf. INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES
                          • UTILISER AVEC PRUDENCE
                          Référence(s) officielle(s)
                          • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                          CIM 10
                          • Non concerné .

                          Terrain N° 17 ACIDOSE
                          • ACIDOSE METABOLIQUE
                          • ACIDOSE HYPERCHLOREMIQUE
                          Niveau(x)
                          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                          • REDUIRE LA POSOLOGIE
                          • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
                          • FAIRE TRAITEMENT ADAPTE
                          • SURVEILLANCE DE LA DENSITE OSSEUSE
                          Référence(s) officielle(s)
                          • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                          CIM 10
                          • Acidose E872
                          • Autres affections dues à une tubulopathie N258

                          Terrain N° 18 PANCREATITE
                            Niveau(x)
                            • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                            • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
                            • SURVEILLANCE CLINIQUE
                            • RECHERCHER LA CAUSE DU SYMPTOME
                            • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
                            • FAIRE TRAITEMENT ADAPTE
                            Référence(s) officielle(s)
                            • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                            CIM 10
                            • Pancréatite aiguë K85
                            • Pancréatite chronique alcoolique K860
                            • Autres pancréatites chroniques K861

                            Terrain N° 19 MYALGIE
                              Niveau(x)
                              • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                              • RISQUE DE RHABDOMYOLYSE
                              • SURVEILLANCE NEUROMUSCULAIRE
                              • SURVEILLANCE TAUX CREATINE PHOSPHOKINASE
                              • RECHERCHER LA CAUSE DU SYMPTOME
                              • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
                              • FAIRE TRAITEMENT ADAPTE
                              Référence(s) officielle(s)
                              • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                              CIM 10
                              • Myalgie M791

                              Terrain N° 20 MYASTHENIE
                                Niveau(x)
                                • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                                • RISQUE DE RHABDOMYOLYSE
                                • SURVEILLANCE NEUROMUSCULAIRE
                                • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
                                • SURVEILLANCE TAUX CREATINE PHOSPHOKINASE
                                • RECHERCHER LA CAUSE DU SYMPTOME
                                • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
                                • FAIRE TRAITEMENT ADAPTE
                                Référence(s) officielle(s)
                                • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                                CIM 10
                                • Myasthénie G700

                                Terrain N° 21 FEMME EN AGE DE PROCREER
                                • EN CAS DE CONTRACEPTION
                                Niveau(x)
                                • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                                • VERIFIER L'ABSENCE DE GROSSESSE
                                • UTILISER UNE CONTRACEPTION EFFICACE
                                • Cf. GROSSESSE ET ALLAITEMENT
                                • Cf. CONTRE INDICATIONS
                                Les femmes en âge d'avoir des enfants doivent utiliser une contraception adéquate pendant le traitement par le zonisamide et pendant le mois suivant l'arrêt de celui-ci.
                                Référence(s) officielle(s)
                                • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                                CIM 10
                                • Non concerné .

                                Terrain N° 22 AMAIGRISSEMENT
                                  Niveau(x)
                                  • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                                  • RISQUE DE PERTE DE POIDS
                                  • SURVEILLANCE DU POIDS
                                  • FAIRE TRAITEMENT ADAPTE
                                  • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
                                  Référence(s) officielle(s)
                                  • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                                  CIM 10
                                  • Perte de poids anormale R634

                                  Terrain N° 23 INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
                                    Niveau(x)
                                    • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                                    • UTILISER AVEC PRUDENCE
                                    • PAS DE DONNEES POUR CE TERRAIN
                                    • ADAPTER PROGRESSIVEMENT LA POSOLOGIE
                                    • Cf. POSOLOGIE
                                    La prudence est recommandée chez les patients présentant une insuffisance rénale car il existe peu de données sur l'utilisation de ce médicament chez ces patients et il peut être nécessaire d'augmenter plus lentement la posologie.
                                    Référence(s) officielle(s)
                                    • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                                    CIM 10
                                    • Maladie rénale chronique N18

                                    Terrain N° 24 COLIQUE NEPHRETIQUE
                                      Niveau(x)
                                      • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                                      • RISQUE DE LITHIASE URINAIRE
                                      • SURVEILLANCE ECHOGRAPHIQUE
                                      • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
                                      Référence(s) officielle(s)
                                      • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                                      CIM 10
                                      • Colique néphrétique, sans précision N23

                                      Terrain N° 25 DOULEUR
                                      • DOULEUR ABDOMINALE
                                      Niveau(x)
                                      • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                                      • RISQUE DE LITHIASE URINAIRE
                                      • SURVEILLANCE ECHOGRAPHIQUE
                                      • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
                                      Référence(s) officielle(s)
                                      • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                                      CIM 10
                                      • Douleur, non classée ailleurs R52
                                      • Douleurs abdominales, autres et non précisées R104

                                      Terrain N° 26 INSUFFISANCE HEPATIQUE
                                      • INSUFFISANCE HEPATIQUE LEGERE MALADIE
                                      • INSUFFISANCE HEPATIQUE MODEREE MALADIE
                                      Niveau(x)
                                      • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                                      • UTILISER AVEC PRUDENCE
                                      • ADAPTER PROGRESSIVEMENT LA POSOLOGIE
                                      • Cf. POSOLOGIE
                                      La prudence est recommandée chez les patients ayant une insuffisance hépatique légère à modérée, et il peut être nécessaire d'augmenter plus lentement la posologie.
                                      Référence(s) officielle(s)
                                      • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                                      CIM 10
                                      • Insuffisance hépatique, non classée ailleurs K72

                                      Terrain N° 27 ENFANT
                                      • ENFANT DE PLUS DE 6 ANS
                                      • ENFANT DE PLUS DE 20 KG
                                      Niveau(x)
                                      • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                                      • RISQUE DE FIEVRE
                                      • RISQUE DE DESHYDRATATION
                                      • RISQUE D'HYPOSUDATION
                                      • RISQUE FATAL
                                      • EVITER EXPOSITION TEMPERATURE EXCESSIVE
                                      • ASSURER UNE HYDRATATION SUFFISANTE
                                      • FAIRE TRAITEMENT ADAPTE
                                      • PREVENIR LE MALADE
                                      • ARRETER TRT EN CAS DE RISQUE AVERE
                                      • RISQUE DE PERTE DE POIDS
                                      • SURVEILLANCE DU POIDS
                                      • RISQUE D'ACIDOSE METABOLIQUE
                                      • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
                                      • RISQUE DE LITHIASE URINAIRE
                                      • RISQUE D'ANOMALIE HEPATIQUE
                                      • RISQUE D'ALTERATION DE L'ETAT MENTAL
                                      Référence(s) officielle(s)
                                      • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                                      CIM 10
                                      • Non concerné .

                                      Terrain N° 28 ENFANT
                                      • ENFANT DE PLUS DE 6 ANS
                                      • ENFANT DE MOINS DE 20 KG
                                      • ENFANT DE FAIBLE POIDS
                                      Niveau(x)
                                      • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                                      • PAS DE DONNEES POUR CE TERRAIN
                                      • UTILISER AVEC PRUDENCE
                                      • TOLERANCE NON ETABLIE
                                      • EFFICACITE NON ETABLIE
                                      Les données des études cliniques chez des patients dont le poids est inférieur à 20 kg sont limitées. La prudence est donc recommandée pour le traitement des enfants âgés de 6 ans et plus pesant moins de 20 kg. L'effet à long terme d'une perte de poids sur la croissance et le développement chez les patients pédiatriques n'est pas connu.
                                      Référence(s) officielle(s)
                                      • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                                      CIM 10
                                      • Non concerné .

                                      Terrain N° 29 QUEL QUE SOIT LE TERRAIN
                                        Niveau(x)
                                        • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                                        • RISQUE DE REACTION CUTANEE
                                        • RISQUE DE SYNDROME DE STEVENS JOHNSON (SSJ)
                                        • RISQUE DE REACTION ALLERGIQUE
                                        • NE PAS INTERROMPRE BRUTALEMENT LE TRT
                                        • ADAPTER PROGRESSIVEMENT LA POSOLOGIE
                                        • ARRETER PROGRESSIVEMENT LE TRAITEMENT
                                        • RISQUE DE MYOPIE
                                        • RISQUE DE GLAUCOME AIGU
                                        • RISQUE HYPERTENSION/HYPERTONIE OCULAIRE
                                        • RISQUE DE TROUBLE VISUEL
                                        • RISQUE D'AGRANULOCYTOSE
                                        • RISQUE DE THROMBOPENIE
                                        • RISQUE DE LEUCOPENIE
                                        • RISQUE D'APLASIE MEDULLAIRE
                                        • RISQUE DE PANCYTOPENIE
                                        • RISQUE DE LEUCOCYTOSE
                                        • RISQUE SUICIDAIRE
                                        • RISQUE DE LITHIASE URINAIRE
                                        • ASSURER UNE HYDRATATION SUFFISANTE
                                        • RISQUE D'ACIDOSE METABOLIQUE
                                        • RISQUE D'HYPOSUDATION
                                        • RISQUE DE FIEVRE
                                        • EVITER EXPOSITION TEMPERATURE EXCESSIVE
                                        • RISQUE DE PANCREATITE
                                        • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
                                        • RISQUE DE TROUBLE MUSCULAIRE
                                        • RISQUE DE PERTE DE POIDS
                                        • PRESENCE D'EXCIPIENT(S) A EFFET NOTOIRE
                                        • TENIR COMPTE PRESENCE JAUNE ORANGE S
                                        • TENIR COMPTE PRESENCE ROUGE ALLURA
                                        • TENIR COMPTE PRESENCE HUILE SOJA
                                        Référence(s) officielle(s)
                                        • Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                                        CIM 10
                                        • Non concerné .




                                        - Commentaires du RCP :
                                        - Eruption cutanée inexpliquée

                                        Des éruptions cutanées graves, y compris des cas de syndrome de Stevens-Johnson, peuvent survenir lors du traitement par le zonisamide.

                                        L'arrêt du zonisamide doit être envisagé chez les patients qui développent une éruption cutanée inexpliquée. Tous les patients qui développent une éruption cutanée pendant le traitement par le zonisamide doivent faire l'objet d'une surveillance étroite, et une prudence particulière est recommandée chez les patients traités en même temps par des médicaments antiépileptiques qui risquent de provoquer des éruptions cutanées.

                                        - Crises convulsives à l'arrêt du traitement

                                        Conformément à la pratique clinique usuelle, l'arrêt éventuel du zonisamide chez les patients épileptiques doit se faire de manière progressive pour limiter les risques de crises convulsives à l'arrêt du traitement. Il n'existe pas de données suffisantes concernant l'arrêt des médicaments antiépileptiques concomitants une fois les crises contrôlées avec le zonisamide administré en association pour pouvoir utiliser le zonisamide en monothérapie. Par conséquent, la prudence est recommandée lors de l'arrêt des autres médicaments antiépileptiques.

                                        - Réactions aux sulfamides

                                        Le zonisamide est un dérivé du benzisoxazole qui comporte un groupement sulfamide. Les effets indésirables graves d'origine immunitaire qui sont associés aux médicaments contenant un groupement sulfamide incluent des éruptions cutanées, des réactions allergiques, et des troubles hématologiques graves, dont des anémies aplasiques, pouvant être fatales dans de très rares cas.aplasiques pouvant être mortelles dans de très rares cas.

                                        Des cas d'agranulocytose, de thrombopénie, de leucopénie, d'anémie aplasique, de pancytopénie et de leucocytose ont été signalés. Les données permettant d'évaluer la relation, le cas échéant, entre la dose et la durée du traitement et ces événements sont insuffisantes.

                                        - Myopie aiguë et glaucome secondaire par fermeture de l'angle

                                        Un syndrome consistant en myopie aiguë associée à un glaucome secondaire par fermeture de l'angle a été rapporté chez des patients adultes et pédiatriques recevant le zonisamide. Les symptômes comprennent l'apparition subite d'une baisse d'acuité visuelle et/ou une douleur oculaire. L'examen ophtalmologique peut montrer une myopie, une chambre antérieure peu profonde, une hyperémie (rougeur) oculaire et une augmentation de la pression intra-oculaire. Ce syndrome peut être associé à un épanchement supraciliaire entraînant le déplacement vers l'avant du cristallin et de l'iris, avec glaucome secondaire par fermeture de l'angle. Les symptômes peuvent survenir dans les quelques heures à quelques semaines suivant l'instauration du traitement. La conduite à tenir inclut l'arrêt du traitement par le zonisamide le plus rapidement possible selon le jugement du médecin traitant et des mesures appropriées pour diminuer la pression intra-oculaire. Si elle n'est pas traitée, l'hypertonie oculaire, quelle que soit l'étiologie, peut entraîner des séquelles graves, y compris une perte de vision permanente. La prudence s'impose lors du traitement par le zonisamide chez des patients ayant des antécédents d'affections oculaires.

                                        - Idées et comportements suicidaires

                                        Des idées et comportements suicidaires ont été rapportés chez des patients traités par des antiépileptiques dans plusieurs indications. Une méta-analyse d'études randomisées contrôlées contre placebo de médicaments antiépileptiques a également montré une légère augmentation du risque d'idées et comportements suicidaires. Le mécanisme de ce risque est inconnu et les données disponibles ne permettent pas d'exclure la possibilité d'un risque accru avec le zonisamide.

                                        Les patients doivent par conséquent être surveillés pour détecter des signes d'idées et comportements suicidaires et un traitement approprié doit être envisagé. Il convient de recommander aux patients (et à leurs soignants) de consulter un médecin en cas d'apparition de signes d'idées ou comportements suicidaires.

                                        - Lithiase rénale

                                        Certains patients, en particulier ceux prédisposés à la lithiase rénale, peuvent avoir un risque accru de formation de calculs rénaux et des signes et symptômes associés tels que colite néphrétique, douleur rénale ou douleur lombaire. La lithiase rénale peut entraîner une insuffisance rénale chronique. Les facteurs de risque de lithiase rénale sont des antécédents de calculs, des antécédents familiaux de lithiase rénale et une hypercalciurie. Aucun de ces facteurs de risque ne permet de prédire de façon fiable la formation de calculs pendant le traitement par le zonisamide. Le risque peut également être majoré chez les patients traités par d'autres médicaments pouvant favoriser la survenue d'une lithiase rénale. L'augmentation de l'apport hydrique et de la diurèse peut contribuer à réduire le risque de formation de calculs, notamment chez les sujets ayant des facteurs prédisposants.

                                        - Acidose métabolique

                                        Une acidose métabolique hyperchlorémique sans trou anionique (diminution du taux de bicarbonate sérique en dessous des valeurs de référence normales en l'absence d'une alcalose respiratoire chronique) peut survenir lors du traitement par le zonisamide. Cette acidose métabolique est causée par la perte rénale de bicarbonate due à l'effet inhibiteur du zonisamide sur l'anhydrase carbonique.
                                        Ce déséquilibre électrolytique a été observé lors de l'administration de zonisamide dans les études cliniques contrôlées et après la mise sur le marché. En général, l'acidose métabolique induite par le zonisamide survient en début de traitement, bien qu'elle puisse se développer à tout moment au cours du traitement. Les diminutions du bicarbonate sont généralement légères à modérées (diminution moyenne d'environ 3,5 mEq/litre à des doses quotidiennes de 300 mg chez l'adulte) ; dans de rares cas, les patients peuvent présenter des baisses plus sévères. Les pathologies ou traitements qui prédisposent à l'acidose (tels que néphropathie, affections respiratoires sévères, état de mal épileptique, diarrhées, chirurgie, régime cétogène ou médicaments) peuvent avoir des effets additifs à ceux du zonisamide sur la diminution du bicarbonate.

                                        Le risque d'acidose métabolique associé au zonisamide apparaît plus fréquemment et est plus sévère chez les jeunes patients. Une évaluation et une surveillance appropriées du taux de bicarbonate sérique doivent être effectuées chez les patients sous zonisamide qui présentent des conditions sous-jacentes susceptibles d'augmenter le risque d'acidose, chez les patients qui ont un risque accru de séquelles secondaires à une acidose métabolique et chez les patients qui présentent des symptômes évocateurs d'une acidose métabolique. En cas d'apparition et de persistance d'une acidose métabolique, il convient d'envisager une réduction de la posologie ou l'arrêt du zonisamide (avec diminution progressive ou réduction à une dose thérapeutique) car une ostéopénie peut se développer. S'il est décidé de poursuivre le traitement par le zonisamide chez un patient présentant une acidose persistante, un traitement alcalinisant doit être envisagé.

                                        L'acidose métabolique peut entraîner une hyperammoniémie, qui a été rapportée avec ou sans encéphalopathie pendant le traitement par le zonisamide. Le risque d'hyperammoniémie peut être augmenté chez les patients qui prennent de façon concomitante d'autres médicaments pouvant provoquer une hyperammoniémie (par exemple le valproate), ou qui présentent un trouble du cycle de l'urée sous-jacent ou une diminution de l'activité mitochondriale hépatique. Chez les patients qui développent une léthargie inexpliquée ou des altérations de l'état mental pendant le traitement par le zonisamide, il est recommandé d'envisager une encéphalopathie hyperammoniémique et de mesurer les taux d'ammoniac.

                                        Le zonisamide doit être administré avec prudence chez les patients adultes traités de manière concomitante par des inhibiteurs de l'anhydrase carbonique, par exemple le topiramate ou l'acétazolamide, car il n'existe pas de données suffisantes pour exclure la possibilité d'une interaction pharmacodynamique (voir également rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi, Population pédiatrique" et "Interactions").

                                        - Coup de chaleur

                                        Des cas de diminution de la sudation et d'élévation de la température corporelle ont été décrits, essentiellement chez des patients pédiatriques (voir rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi, Population pédiatrique" pour la mise en garde complète). La prudence doit être exercée chez les patients adultes lorsque le zonisamide est prescrit avec d'autres médicaments qui prédisposent le patient à des troubles liés à la chaleur, par exemple les inhibiteurs de l'anhydrase carbonique et les médicaments ayant une action anticholinergique (voir également rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi, Population pédiatrique").

                                        - Pancréatite

                                        Il est recommandé de surveiller les taux de lipase et d'amylase pancréatiques chez les patients traités par le zonisamide qui développent les symptômes et signes cliniques de pancréatite. Si la pancréatite est avérée et en l'absence de toute autre cause manifeste, il est recommandé d'envisager l'arrêt du traitement par le zonisamide et d'instaurer un traitement approprié.

                                        - Rhabdomyolyse

                                        Chez les patients sous zonisamide qui présentent des myalgies et/ou une faiblesse musculaire sévères avec ou sans fièvre, il est recommandé de contrôler les marqueurs de l'atteinte musculaire, notamment les taux sériques de créatine phosphokinase et d'aldolase. Si ces taux sont élevés en l'absence d'une autre cause évidente telle que traumatisme ou crises tonico-cloniques, le traitement par le zonisamide doit être arrêté et un traitement approprié doit être instauré.

                                        - Femmes en âge de procréer

                                        Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement par zonisamide et pendant un mois après l'arrêt du traitement (Cf. rubrique "Grossesse et allaitement"). Ce médicament ne doit pas être utilisé chez la femme en âge de procréer qui n'utilise pas de contraception efficace, à moins d'une nécessité absolue et uniquement si le bénéfice potentiel est considéré comme justifiant le risque pour le fœtus. Les femmes en âge de procréer traitées par zonisamide doivent avoir l'avis médical d'un spécialiste. La femme doit être pleinement informée et comprendre les effets possibles du zonisamide sur le fœtus et les risques doivent être discutés avec la patiente au regard du bénéfice avant l'instauration du traitement. Avant l'initiation du traitement par zonisamide chez une femme en âge de procréer, un test de grossesse doit être considéré. Les femmes qui envisagent une grossesse doivent consulter leur spécialiste pour réévaluer le traitement par zonisamide et envisager d'autres options thérapeutiques avant la conception et avant l'arrêt de la contraception. Il convient de conseiller aux femmes en âge de procréer de contacter immédiatement leur médecin si elles sont enceintes ou pensent être enceintes et qu'elles prennent du zonisamide. En cas de traitement par zonisamide, le médecin doit vérifier que sa patiente est bien informée de la nécessité d'utiliser une méthode contraceptive efficace appropriée et déterminer si les contraceptifs oraux, ou les doses de leurs composants, sont suffisants en fonction de chaque patiente.

                                        - Poids corporel

                                        Le zonisamide peut provoquer une perte de poids. Des suppléments nutritionnels ou une augmentation de l'apport calorique peuvent être recommandés si le patient perd du poids ou présente une insuffisance pondérale pendant le traitement. En cas de perte de poids importante non souhaitable, l'arrêt du traitement par le zonisamide doit être envisagé. Une perte de poids est potentiellement plus grave chez les enfants (voir rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi, Population pédiatrique").

                                        - Population pédiatrique

                                        Les mises en garde et précautions d'emploi ci-dessus s'appliquent également aux enfants et adolescents. Les mises en garde et précautions d'emploi ci-dessous concernent plus particulièrement les patients pédiatriques.

                                        . Hyperthermie et déshydratation

                                        .. Prévention de la chaleur excessive et de la déshydratation chez les enfants

                                        Le zonisamide peut diminuer la transpiration et provoquer une chaleur excessive qui, si l'enfant n'est pas traité, peut entraîner des lésions cérébrales et le décès. Le risque est plus élevé chez les enfants, en particulier par temps chaud.

                                        Pendant le traitement par le zonisamide, l'enfant :
                                        ... doit se rafraîchir le visage et le corps, en particulier lorsque le temps est chaud ;
                                        ... doit éviter les efforts physiques intenses, en particulier lorsque le temps est chaud ;
                                        ... doit boire beaucoup d'eau fraîche ;
                                        ... ne doit pas prendre les médicaments suivants : inhibiteurs de l'anhydrase carbonique (tels que topiramate et acétazolamide) et agents anticholinergiques (tels que clomipramine, hydroxyzine, diphenhydramine, halopéridol, imipramine et oxybutynine).

                                        SI L'ENFANT PRESENTE L'UN DES SYMPTOMES SUIVANTS, DES SOINS MEDICAUX URGENTS SONT NECESSAIRES :
                                        Peau très chaude, avec peu ou pas de transpiration, ou confusion, crampes musculaires ou fréquence cardiaque ou respiratoire devenant rapide.
                                        ... Placer l'enfant dans un endroit frais, à l'ombre.
                                        ... Rafraîchir la peau de l'enfant avec de l'eau.
                                        ... Faire boire de l'eau fraîche à l'enfant.

                                        Des cas de diminution de la sudation et d'élévation de la température corporelle ont été décrits, essentiellement chez des patients pédiatriques. Un coup de chaleur nécessitant une hospitalisation a été diagnostiqué chez certains patients. Des cas de coup de chaleur nécessitant une hospitalisation et d'issue fatale ont été rapportés. La plupart des cas de coup de chaleur sont survenus pendant des périodes de temps chaud. Les médecins doivent expliquer aux patients et à leurs proches la gravité éventuelle du coup de chaleur, les situations dans lesquelles il peut survenir et la conduite à tenir en présence de tout signe ou symptôme. Il est nécessaire de recommander aux patients ou à leurs proches de veiller à une bonne hydratation et d'éviter l'exposition à des températures excessives et les efforts physiques intenses en fonction de l'état du patient. Les médecins doivent attirer l'attention des patients pédiatriques et des parents/soignants sur les conseils figurant dans la notice relatifs à la prévention de la chaleur excessive et des coups de chaleur chez les enfants. En cas de signes ou symptômes de déshydratation, d'oligohydrose ou d'élévation de la température corporelle, l'arrêt du traitement par le zonisamide doit être envisagé.

                                        Chez les patients pédiatriques, le zonisamide ne doit pas être utilisé en association avec d'autres médicaments qui prédisposent le patient à des troubles liés à la chaleur, par exemple les inhibiteurs de l'anhydrase carbonique et les médicaments ayant une action anticholinergique.

                                        . Poids

                                        Une perte de poids entraînant une dégradation de l'état général et la non-observance du traitement antiépileptique a été associée à une issue fatale (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Le zonisamide n'est pas recommandé chez les patients pédiatriques présentant un poids faible (définition selon les catégories d'IMC ajusté en fonction de l'âge de l'OMS) ou une diminution de l'appétit.

                                        L'incidence de diminution du poids est uniforme entre les tranches d'âge (Cf. rubrique "Effets indésirables") ; cependant, compte tenu de la gravité potentielle d'une perte de poids chez l'enfant, le poids doit être surveillé dans cette population. Des suppléments nutritionnels ou une augmentation de l'apport alimentaire doivent être envisagés si le gain pondéral du patient n'est pas conforme aux courbes de croissance ; sinon, l'arrêt du traitement par le zonisamide doit être envisagé.

                                        Les données des études cliniques chez des patients dont le poids est inférieur à 20 kg sont limitées. La prudence est donc recommandée pour le traitement des enfants âgés de 6 ans et plus pesant moins de 20 kg. L'effet à long terme d'une perte de poids sur la croissance et le développement chez les patients pédiatriques n'est pas connu.

                                        . Acidose métabolique

                                        Le risque d'acidose métabolique induite par le zonisamide semble être plus fréquent et sévère chez les enfants et adolescents. Une évaluation et une surveillance appropriées du taux de bicarbonate sérique doivent être effectuées dans cette population (voir rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi, Acidose métabolique" pour la mise en garde complète ; voir rubrique "Effets indésirables" pour l'incidence d'hypobicarbonatémie). L'effet à long terme de taux faibles de bicarbonate sur la croissance et le développement n'est pas connu.

                                        Chez les patients pédiatriques, le zonisamide ne doit pas être utilisé en association avec d'autres inhibiteurs de l'anhydrase carbonique, par exemple le topiramate et l'acétazolamide (Cf. rubrique "Interactions").

                                        . Lithiase rénale

                                        Certains patients pédiatriques ont développé des calculs rénaux (voir rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi, Lithiase rénale", pour la mise en garde complète).

                                        Certains patients, en particulier ceux prédisposés à la lithiase rénale, peuvent avoir un risque accru de formation de calculs rénaux et des signes et symptômes associés tels que colite néphrétique, douleur rénale ou douleur lombaire. La lithiase rénale peut entraîner une insuffisance rénale chronique. Les facteurs de risque de lithiase rénale sont des antécédents de calculs, des antécédents familiaux de lithiase rénale et une hypercalciurie. Aucun de ces facteurs de risque ne permet de prédire de façon fiable la formation de calculs pendant le traitement par le zonisamide.

                                        L'augmentation de l'apport hydrique et de la diurèse peut contribuer à réduire le risque de formation de calculs, notamment chez les sujets ayant des facteurs prédisposants. Une échographie rénale doit être réalisée à l'appréciation du médecin. Si des calculs rénaux sont détectés, le traitement par le zonisamide doit être arrêté.

                                        . Anomalies de la fonction hépatique

                                        Des augmentations des paramètres fonctionnels hépatobiliaires tels que l'alanine aminotransférase (ALAT), l'aspartate aminotransférase (ASAT), les gamma-glutamyltransférases (GGT) et la bilirubine ont été observées chez des enfants et adolescents, sans profil uniforme dans l'observation de valeurs au-dessus de la limite supérieure de la normale. Néanmoins, en cas de suspicion d'un trouble hépatique, il convient d'effectuer un bilan hépatique et d'envisager l'arrêt du traitement par le zonisamide.

                                        . Fonctions cognitives

                                        Les troubles cognitifs chez les patients épileptiques ont été associés à la pathologie sous-jacente et/ou à l'administration d'un traitement antiépileptique. Dans une étude contrôlée du zonisamide versus placebo menée chez des enfants et adolescents, le pourcentage de patients présentant des troubles cognitifs était numériquement supérieur dans le groupe zonisamide par rapport au groupe placebo.

                                        - Excipients

                                        Les gélules de zonisamide 100 mg contiennent un colorant jaune appelé jaune soleil FCF (E110) et un colorant rouge appelé rouge allura AC (E129), qui peuvent provoquer des réactions allergiques.
                                        Référence(s) officielle(s) Rectificatif AMM européenne 15/02/2023




                                        Autres sources d'information
                                        Terrain N° 30 EXPOSITION A UNE TEMPERATURE EXTREME
                                          Niveau(x)
                                          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                                          • METTRE EN BALANCE BENEFICES ET RISQUES
                                          • PREVENIR LE MALADE
                                          • BON USAGE DES MEDICAMENTS EN CAS DE VAGUE DE CHALEUR ANSM 29/06/2009
                                          Référence(s) officielle(s)
                                          CIM 10
                                          • Effets de la chaleur et de la lumière T67
                                          • Exposition à une chaleur artificielle excessive W92

                                          Non contre-indications
                                          Terrain N° 1
                                          • PORPHYRIE HEPATIQUE
                                          • PORPHYRIE HEPATIQUE MALADIE
                                          Niveau(x)
                                          • NON CONTRE-INDICATION
                                          • INFO DU CENTRE FRANCAIS DES PORPHYRIES
                                          • SITE WEB HTTP://www.porphyrie.net
                                          La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques.

                                          La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes.

                                          Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement.

                                          Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés.

                                          Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets.

                                          Le médicament de première intention pour un porteur de porphyrie hépatique aigüe est toujours celui classé comme autorisé.

                                          En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries.
                                          CIM10
                                          • Autres porphyries E802
                                          • Anomalies du métabolisme de la porphyrine et de la bilirubine E80

                                          Terrain N° 2
                                          • PORPHYRIE CUTANEE
                                          Niveau(x)
                                          • NON CONTRE-INDICATION
                                          • INFO DU CENTRE FRANCAIS DES PORPHYRIES
                                          • SITE WEB HTTP://www.porphyrie.net
                                          La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques.

                                          La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes.

                                          Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement.

                                          Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés.

                                          Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets.

                                          Le médicament de première intention pour un porteur de porphyrie hépatique aigüe est toujours celui classé comme autorisé.

                                          En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries.
                                          CIM10
                                          • Porphyrie cutanée tardive E801
                                          Interactions médicamenteuses
                                          * Effet du zonisamide sur les isoenzymes du cytochrome P450

                                          Les études in vitro sur des microsomes hépatiques humains ne montrent pas d'inhibition, ou une inhibition faible (inférieure à 25 %), des isoenzymes du cytochrome P450 1A2, 2A6, 2B6, 2C8, 2C9, 2C19, 2D6, 2E1 ou 3A4 à des concentrations de zonisamide environ deux fois supérieures ou plus aux concentrations sériques libres cliniquement efficaces. Par conséquent, il est peu probable que le zonisamide affecte la pharmacocinétique d'autres médicaments par des mécanismes faisant intervenir le cytochrome P450, comme cela a été démontré in vivopour la carbamazépine, la phénytoïne, l'éthinyl-estradiol et la désipramine.


                                          * Risques d'interaction du zonisamide avec d'autres médicaments

                                          + Médicaments antiépileptiques
                                          Chez les patients épileptiques, l'administration de zonisamide à l'état d'équilibre n'a pas provoqué d'effets pharmacocinétiques cliniquement significatifs sur la carbamazépine, la lamotrigine, la phénytoïne ou le valproate de sodium.

                                          + Contraceptifs oraux
                                          Dans les études cliniques menées sur des sujets sains, l'administration de zonisamide à l'état d'équilibre n'a pas eu d'effet sur les concentrations sériques d'éthinyl-estradiol ou de noréthistérone d'un contraceptif oral combiné.

                                          + Inhibiteurs de l'anhydrase carbonique
                                          Le zonisamide doit être utilisé avec précaution chez les patientsadultesrecevant un traitement concomitant par des inhibiteurs de l'anhydrase carbonique, telsque le topiramateet l'acétazolamide, car les données sont insuffisantes pour exclure la possibilité d'une interaction pharmacodynamique (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi").

                                          Chez les patients pédiatriques, le zonisamide ne doit pas être utilisé en association avec d'autres inhibiteurs de l'anhydrase carbonique telsque le topiramate et l'acétazolamide (voir rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi, Population pédiatrique").

                                          + Substrats de la P-gp
                                          Une étude in vitro a montré que le zonisamide est un faible inhibiteur de la P-gp (MDR1) avec une CI50 de 267 micromoles/l et qu'il peut théoriquement affecter la pharmacocinétique des substances qui sont des substrats de la P-gp. Il est recommandé d'être prudent lors de l'instauration ou de l'arrêt du traitement par le zonisamide ou d'une modification de la dose de zonisamide chez les patients qui reçoivent également des médicaments qui sont des substrats de la P-gp (ex. digoxine, quinidine).


                                          * Risque d'interactions médicamenteuses sur le zonisamide

                                          Dans des études cliniques, l'administration concomitante de lamotrigine n'a pas eu d'effet apparent sur la pharmacocinétique du zonisamide. L'association duzonisamide avec d'autres médicaments qui peuvent induire une lithiase urinaire peu augmenter le risque d'apparition de calculs rénaux ; l'administration concomitante de ces médicaments doit donc être évitée.

                                          Le zonisamide est métabolisé en partie par le CYP3A4 (clivage réducteur) ainsi que par les N-acétyl-transférases et par conjugaison avec l'acide glucuronique; les substances qui peuvent avoir un effet inducteur ou inhibiteur sur ces enzymes peuvent donc affecter la pharmacocinétique du zonisamide :

                                          - Induction enzymatique : l'exposition au zonisamide est inférieure chez les patients épileptiques qui reçoivent des inducteurs du CYP3A4, par exemple phénytoïne, carbamazépine et phénobarbital. Il est peu probable que ces effetssoient cliniquement significatifs lorsque le zonisamide est ajouté au traitement en cours ; cependant, les concentrations de zonisamide peuvent être modifiées en cas d'arrêt, d'ajustement de la posologie ou d'instauration d'un traitement par des antiépileptiques ou d'autres médicaments inducteurs du CYP3A4 et il peut être nécessaire dans ce cas d'adapter la posologie de zonisamide. La rifampicine est un inducteur puissant du CYP3A4. Si l'administration concomitante de ces deux médicaments est nécessaire, le patient doit faire l'objet d'une surveillance étroite et les posologies duzonisamide et des autres substrats du CYP3A4 doivent être adaptées en conséquence.

                                          - Inhibition du CYP3A4 : sur la base des données cliniques, les inhibiteurs connus du CYP3A4, spécifiques et non spécifiques, ne semblent pas avoir d'effet cliniquement significatif sur les paramètres d'exposition pharmacocinétique du zonisamide. L'administration à l'état d'équilibre de kétoconazole (400 mg/jour) ou de cimétidine (1200mg/jour) n'apas eu d'effets cliniquement significatifs sur la pharmacocinétique du zonisamide administré en dose unique à des volontaires sains. Par conséquent, il ne devrait pas être nécessaire de modifier les posologies du zonisamide en cas d'administration concomitanteavec des inhibiteurs connus du CYP3A4.


                                          * Population pédiatrique

                                          Les études d'interaction n'ont été réalisées que chez l'adulte.
                                           
                                          Référence(s) officielle(s):   Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                                          Grossesse
                                          Recommandations et conduites à tenir
                                           
                                          Effet substance active
                                          Niveau(x) de risque
                                          • ADMINISTRATION DECONSEILLEE
                                          • METTRE EN BALANCE BENEFICES ET RISQUES

                                          Il existe des données limitées sur l'utilisation du zonisamide chez la femme enceinte. Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence une toxicité sur la reproduction (Cf. rubrique "Données de sécurité préclinique"). Chez l'Homme, le risque potentiel de malformations congénitales majeures et de troubles neurodéveloppementaux n'est pas connu.

                                          Les données obtenues à partir d'un registre suggèrent une augmentation de la proportion d'enfants de faible poids de naissance (FPN), prématurés ou petits pour l'âge gestationnel (PAG). Ces augmentations sont de l'ordre de 5 à 8 % pour les enfants de FPN, de 8 à 10 % pour ceux nés prématurément et de 7 à 12 % pour ceux PAG, tous ces pourcentages ayant été comparés avec ceux de mères traitées par de la lamotrigine en monothérapie.

                                          Le zonisamide ne doit pas être utilisé chez la femme enceinte, à moins d'une nécessité absolue et uniquement si le bénéfice potentiel est considéré comme justifiant le risque pour le fœtus. En cas de traitement par ce médicament pendant la grossesse, les patientes doivent être bien informées du risque potentiel pour le fœtus et l'utilisation de la dose minimale efficace et une surveillance étroite sont conseillées.
                                          Un avis spécialisé doit être donné aux femmes qui envisagent une grossesse pour déterminer le traitement optimal pendant leur grossesse. Les femmes en âge de procréer doivent recevoir l'avis d'un spécialiste en ce qui concerne les effets possibles du zonisamide sur le foetus et le rapport bénéfice/risque doit être examiné avec la patiente avant l'instauration du traitement.

                                          Le traitement antiépileptique doit toujours être arrêté progressivement pour éviter les crises de rebond qui peuvent avoir des conséquences graves pour la mère et pour l'enfant.
                                          Le risque d'anomalie congénitale est multiplié par 2 ou 3 pour les enfants des femmes traitées par un médicament antiépileptique. Les anomalies les plus fréquemment rapportées sont une fente labiale, des malformations cardiovasculaires et une anomalie du tube neural. Un traitement comportant plusieurs médicaments antiépileptiques peut être associé à un risque accru de malformations congénitales comparativement à une monothérapie.

                                          Le traitement antiépileptique doit toujours être arrêté progressivement pour éviter les crises de rebond qui peuvent avoir des conséquences graves pour la mère et pour l'enfant.
                                          Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM européenne 15/02/2023

                                          Femme en âge de procréer
                                          Recommandations et conduites à tenir
                                          Recommandations
                                          • UTILISER UNE CONTRACEPTION EFFICACE
                                          * Femmes en âge de procréer

                                          Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement par zonisamide et pendant un mois après l'arrêt du traitement.

                                          Ce médicament ne doit pas être utilisé chez la femme en âge de procréer qui n'utilise pas de contraception efficace, à moins d'une nécessité absolue et uniquement si le bénéfice potentiel est considéré comme justifiant le risque pour le fœtus. Les femmes en âge de procréer traitées par le zonisamide doivent recevoir l'avis médical d'un spécialiste. La femme doit être pleinement informée et comprendre les effets possibles du zonisamide sur le fœtus et les risques doivent être discutés avec la patiente au regard du bénéfice avant l'initiation du traitement. Avant l'initiation d'un traitement par zonisamide chez une femme en âge de procréer, un test de grossesse doit être considéré. Les femmes qui envisagent une grossesse doivent consulter leur spécialiste pour réévaluer le traitement par le zonisamide et envisager d'autres options thérapeutiques avant la conception et avant l'arrêt de la contraception.

                                          Comme avec tous les médicaments antiépileptiques, le traitement doit toujours être arrêté progressivement pour éviter la survenue intercurrente de crises qui peuvent avoir des conséquences graves pour la mère et pour l'enfant à naître. Le risque d'anomalie congénitale est multiplié par 2 ou 3 pour les enfants des femmes traitées par un traitement antiépileptique. Les anomalies les plus fréquemment rapportées sont une fente labiale, des malformations cardiovasculaires et une anomalie du tube neural. Un traitement comportant plusieurs médicaments antiépileptiques peut être associé à un risque accru de malformations congénitales comparativement à une monothérapie.


                                          * Fertilité

                                          Il n'existe pas de données cliniques concernant les effets du zonisamide sur la fertilité humaine. Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence des modifications des paramètres de fertilité (Cf. rubrique "Sécurité préclinique").
                                          Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                                          Allaitement
                                          Données sur le passage dans le lait maternel
                                          Passage dans le lait Oui
                                          Fixation protéique Pas d'information
                                          Rapport concentration lait/plasma maternels 100,0000
                                          Concentration dans 100 ml de lait maternel Pas d'information
                                          Recommandations et conduites à tenir
                                          Recommandations
                                          • ALLAITEMENT CONTRE-INDIQUE PENDANT TRT
                                          • ALLAITEMENT CONTRE-INDIQUE APRES TRT
                                          • OU---
                                          • ADMINISTRATION CONTRE-INDIQUEE

                                          * Allaitement

                                          Le zonisamide est excrété dans le lait maternel ; la concentration dans le lait est similaire à celle observée dans le plasma. Une décision doit être prise soit d'interrompre l'allaitement, soit d'interrompre/de s'abstenir du traitement avec le zonisamide. Compte tenu de la persistance prolongée dans l'organisme, l'allaitement ne doit être repris qu'un mois après l'arrêt du traitement par le zonisamide.
                                          Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                                          Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
                                          Recommandations
                                          • OUI
                                          • NIV 2 : SOYEZ TRES PRUDENT
                                          • NE PAS CONDUIRE SANS AVIS MEDICAL
                                          • PICTOGRAMME CONDUCTEUR : JO 18/03/2017
                                          • MODIFICATION COMPORTEMENT (CONDUCTEUR)
                                          • RISQUE DE SOMNOLENCE
                                          • ALTERATION DE LA VIGILANCE
                                          Les effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n'ont pas été étudiés. Cependant, dans la mesure où certains patients peuvent éprouver une somnolence ou des difficultés de concentration, notamment au début du traitement ou après une augmentation de la dose, les patients doivent être avertis qu'ils doivent être prudents en cas d'activités qui exigent une grande vigilance, telles que la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines.
                                          Référence(s) officielle(s):    Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
                                          Les effets indésirables de la base Theriaque incluent d'une part les effets indésirables du RCP de la spécialité consultée, d'autre part une compilation bibliographique des effets indésirables des médicaments appartenant à la même classe thérapeutique.
                                          Déclaration des effets indésirables suspectés

                                          La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
                                          Site internet: www.ansm.sante.fr.

                                          Effets indésirables à dose thérapeutique   Cliquer ici pour obtenir tous les effets indésirables
                                          - Effets indésirables cliniques
                                          TROUBLES DE L'ETAT GENERAL
                                          TROUBLES MENTAUX ET DU COMPORTEMENT
                                          TROUBLES DU SYSTEME NERVEUX
                                          TROUBLES DE LA PEAU ET DES APPENDICES
                                          TROUBLES DU SYSTEME IMMUNITAIRE(4 fiches)
                                          TROUBLES SYSTEMES SANGUIN ET LYMPHATIQUE
                                          TROUBLES DES ORGANES DES SENS
                                          TROUBLES AFFECTANT PLUSIEURS ORGANES
                                          TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES
                                          TROUBLES GASTRO-INTESTINAUX
                                          TROUBLES HEPATO-BILIAIRES
                                          TROUBLES PANCREATIQUES
                                          TROUBLES METABOLISME ET NUTRITION
                                          TROUBLES RENAUX ET GENITO-URINAIRES
                                          TROUBLES RESPIRATOIRES


                                          - Effets indésirables paracliniques
                                          TROUBLES DU SYSTEME IMMUNITAIRE
                                          TROUBLES SYSTEMES SANGUIN ET LYMPHATIQUE
                                          TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES
                                          TROUBLES HEPATO-BILIAIRES
                                          TROUBLES PANCREATIQUES
                                          TROUBLES METABOLISME ET NUTRITION
                                          TROUBLES RENAUX ET GENITO-URINAIRES

                                          Effets indésirables en cas de surdosage   Cliquer ici pour obtenir tous les effets indésirables
                                          - Effets indésirables cliniques

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