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Voie(s) d'administration : |
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Forme(s) pharmaceutique(s) : |
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Gélule. |
Référence(s) bibliographique(s) : |
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Substance(s) active(s)
Excipient(s)
ENVELOPPE DE LA GELULE Excipient(s)
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Précision(s) composition : |
Chaque gélule contient 100 mg de zonisamide. Excipients : 0,002 mg de jaune soleil FCF (E110) et 0,147 mg de rouge allura AC (E129). Excipient(s) à effet notoire : Chaque gélule contient 3 mg d'huile végétale hydrogénée (huile de soja). - Liste des excipients . Contenu de la gélule Cellulose microcristalline Huile végétale hydrogénée (huile de soja) Laurylsulfate de sodium . Enveloppe de la gélule Gélatine Dioxyde de titane (E171) Rouge allura AC (E129) Jaune soleil FCF (E110) Gomme laque Propylène glycol Hydroxyde de potassium Oxyde de fer noir (E172) |
Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM européenne 15/02/2023
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Nomenclature du code des marchés publics :
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Classe pharmacothérapeutique : Antiépileptiques, autres antiépileptiques, Code ATC : N03AX15 Le zonisamide est un dérivé du benzisoxazole. C'est un antiépileptique avec une faible activité anhydrase carbonique in vitro. Sa structure chimique n'est pas apparentée à d'autres antiépileptiques. * Mécanisme d'action Le mécanisme d'action du zonisamide n'est pas totalement élucidé, mais il semblerait qu'il agisse sur les canaux sodiques et calciques voltage-dépendants, en bloquant les décharges neuronales synchrones, en réduisant la propagation des décharges épileptiques et en interrompant ainsi l'activité épileptique qui en résulte. Le zonisamide possède également un effet modulateur sur l'inhibition neuronale dans laquelle le GABA sert de médiateur. * Effets pharmacodynamiques L'effet anticonvulsivant du zonisamide a été évalué sur différents modèles, chez plusieurs espèces présentant des crises induites ou naturelles, et le zonisamide semble agir comme un antiépileptique à large spectre chez ces modèles. Le zonisamide prévient les convulsions lors du test de l'électrochoc maximal et limite l'étendue de la crise, notamment la propagation des convulsions du cortex à la structure subcorticale et il supprime l'activité focale épileptogène. Toutefois, contrairement à la phénytoïne et à la carbamazépine, le zonisamide agit essentiellement sur les crises ayant pour origine le cortex. * Efficacité et sécurité clinique - Monothérapie dans l'épilepsie partielle avec ou sans généralisation secondaire L'efficacité du zonisamide en monothérapie a été établie lors d'une étude de non-infériorité à la carbamazépine à libération prolongée (LP) en double aveugle, en groupes parallèles, menée chez 583 patients adultes présentant une épilepsie nouvellement diagnostiquée avec ou sans crises généralisées tonico-cloniques secondaires. Les patients randomisés à la carbamazépine ou au zonisamide ont reçu le traitement pendant une durée allant jusqu'à 24 mois en fonction de la réponse. La posologie a été augmentée jusqu'à la dose cible initiale de 600 mg de carbamazépine ou 300 mg de zonisamide. Chez les patients présentant une crise convulsive, la posologie était augmentée à la dose cible suivante, soit 800 mg de carbamazépine ou 400 mg de zonisamide. Si les patients présentaient une nouvelle crise, la posologie était augmentée à la dose cible maximale de 1200 mg de carbamazépine ou 500 mg de zonisamide. Les patients n'ayant pas présenté de crise pendant 26 semaines à un palier de dose cible ont poursuivi le traitement à cette dose pendant 26 semaines de plus. Les principaux résultats de cette étude sont présentés dans les données ci-dessous : Résultats d'efficacité de l'étude 310 en monothérapie n (Population ITT) Zonisamide : 281 Carbamazépine : 300 . Absence de crise pendant 6 mois Population PP (*) Zonisamide : 79,4 % Carbamazépine : 83,7 % Diff. : - 4,5 % IC à 95 % (%) : - 12,2 % ; 3,1 % Population ITT Zonisamide : 69,4 % Carbamazépine : 74,7 % Diff. : - 6,1 % IC à 95 % (%) : - 13,6 % ; 1,4 % < ou = 4 crises pendant la période initiale de 3 mois Zonisamide : 71,7 % Carbamazépine : 75,7 % Diff. : - 4,0 % IC à 95 % (%) : - 11,7 % ; 3,7 % > 4 crises pendant la période initiale de 3 mois Zonisamide : 52,9 % Carbamazépine : 68,9 % Diff. : - 15,9 % IC à 95 % (%) : - 37,5 % ; 5,6 % . Absence de crise pendant 12 mois Population PP (*) Zonisamide : 67,6 % Carbamazépine : 74,7 % Diff. : - 7,9 % IC à 95 % (%) : - 17,2 % ; 1,5 % Population ITT Zonisamide : 55,9 % Carbamazépine : 62,3 % Diff. : - 7,7 % IC à 95 % (%) : - 16,1 % ; 0,7 % < ou = 4 crises pendant la période initiale de 3 mois Zonisamide : 57,4 % Carbamazépine : 64,7 % Diff. : - 7,2 % IC à 95 % (%) : - 15,7 % ; 1,3 % > 4 crises pendant la période initiale de 3 mois Zonisamide : 44,1 % Carbamazépine : 48,9 % Diff. : - 4,8 % IC à 95 % (%) : - 26,9 % ; 17,4 % . Sous-types de crises (Absence de crise pendant 6 mois - Population PP) Toutes crises partielles Zonisamide : 76,4 % Carbamazépine : 86,0 % Diff. : - 9,6 % IC à 95 % (%) : - 19,2 % ; 0,0 % Partielles simples Zonisamide : 72,3 % Carbamazépine : 75,0 % Diff. : - 2,7 % IC à 95 % (%) : - 20,0 % ; 14,7 % Partielles complexes Zonisamide : 76,9 % Carbamazépine : 93,0 % Diff. : - 16,1 % IC à 95 % (%) : - 26,3 % ; - 5,9 % Tout type de crises tonicocloniques généralisées Zonisamide : 78,9 % Carbamazépine : 81,6 % Diff. : - 2,8 % IC à 95 % (%) : -11,5 % ; 6,0 % Tonico-cloniques secondaires Zonisamide : 77,4 % Carbamazépine : 80,0 % Diff. : - 2,6 % IC à 95 % (%) : -12,4 % ; 7,1 % Tonico-cloniques généralisées Zonisamide : 85,7 % Carbamazépine : 92,0 % Diff. : - 6,3 % IC à 95 % (%) : - 23,1 % ; 10,5 % PP = population per protocole ; ITT = population en intention de traiter (*) Critère principal - En association dans le traitement chez l'adulte de l'épilepsie partielle avec ou sans généralisation Chez les adultes, l'efficacité de ce médicament a été démontrée lors de quatre essais en double aveugle contrôlés contre placebo d'une durée allant jusqu'à 24 semaines, au cours desquels ce médicament a été administré à raison d'une ou deux fois par jour. Ces études montrent que la réduction médiane de la fréquence des crises partielles est proportionnelle à la dose de ce médicament, avec un effet maintenu à des doses de 300 à 500 mg par jour. * Population pédiatrique - En association dans le traitement de l'épilepsie partielle avec ou sans généralisation chez les adolescents et les enfants (à partir de 6 ans) Chez les patients pédiatriques (âgés de 6 ans et plus), l'efficacité du zonisamide a été démontrée dans une étude en double aveugle contrôlée contre placebo, menée chez 207 patients ayant été traités pendant une durée allant jusqu'à 24 semaines. Une réduction > ou = 50 % par rapport au début de l'étude de la fréquence des crises pendant la période de traitement à dose stable de 12 semaines a été observée chez 50 % des patients traités par le zonisamide et 31 % de ceux recevant le placebo. Les effets indésirables spécifiques observés dans les études pédiatriques ont été : diminution de l'appétit et perte de poids, diminution du taux de bicarbonate, augmentation du risque de calculs rénaux et de déshydratation. Tous ces effets, et en particulier la perte de poids, peuvent avoir des conséquences délétères sur la croissance et le développement et entraîner une dégradation de l'état général. Globalement, les données concernant les effets à long terme sur la croissance et le développement sont limitées. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 15/02/2023 |
* Absorption Après administration orale, le zonisamide est presque complètement absorbé, les pics sériques ou plasmatiques étant généralement atteints en 2 à 5 heures. Le métabolisme de premier passage est considéré comme négligeable. La biodisponibilité absolue est estimée à près de 100 %. La biodisponibilité orale n'est pas affectée par les aliments, mais le délai d'obtention des concentrations maximales plasmatiques et sériques peut être prolongé. Les valeurs ASC et Cmax du zonisamide augmentent de manière pratiquement linéaire après administration d'une dose unique allant de 100 mg à 800 mg ou de doses répétées allant de 100 mg à 400 mg. L'augmentation à l'état d'équilibre a été légèrement supérieure à ce qui était attendu pour la dose utilisée, probablement en raison de la liaison saturable du zonisamide aux érythrocytes. L'état d'équilibre a été atteint en 13 jours. Une accumulation légèrement supérieure à ce qui était attendu est observée après administration d'une dose unique. * Distribution Chez l'homme, le zonisamide est lié aux protéines plasmatiques dans une proportion de 40 à 50 %, et des études in vitro montrent que cette liaison n'est pas affectée par la présence de différents agents antiépileptiques (à savoir phénytoïne, phénobarbital, carbamazépine et valproate de sodium). Le volume de distribution apparent est d'environ 1,1 à 1,7 litres/kg chez l'adulte, ce qui indique que le zonisamide a une large distribution tissulaire. Les rapports érythrocytes/plasma sont voisins de 15 à faibles concentrations et de 3 à des concentrations plus élevées. * Biotransformation Le zonisamide est métabolisé essentiellement par un mécanisme de clivage réducteur par le CYP3A4 de l'anneau benzisoxasole de la molécule mère pour former le 2-sulfamoylacétyl phénol (SMAP), ainsi que par N-acétylation. La molécule mère et le SMAP peuvent de plus faire l'objet d'une glucuroconjugaison. Les métabolites, qui n'ont pas pu être détectés dans le plasma, sont dépourvus d'action anticonvulsivante. Le zonisamide ne semble pas induire son propre métabolisme. * Elimination Après administration orale, la clairance apparente du zonisamide à l'état d'équilibre est d'environ 0,7 litre/heure, et la demi-vie d'élimination terminale d'environ 60 heures en l'absence d'inducteurs du CYP3A4. La demi-vie d'élimination est indépendante de la dose, et elle n'est pas affectée par des administrations répétées. La variation des concentrations sériques ou plasmatiques entre 2 prises est faible (inférieure à 30 %). L'excrétion des métabolites du zonisamide et du médicament sous forme inchangée se fait principalement par la voie urinaire. La clairance rénale du zonisamide sous forme inchangée est relativement faible (3,5 ml/min environ ; 15 à 30 % de la dose sont éliminés sous forme inchangée). * Linéarité/non linéarité L'exposition au zonisamide augmente au cours du temps jusqu'à ce que l'état d'équilibre soit atteint, en 8 semaines environ. Si l'on compare la même dose, les sujets d'un poids supérieur semblent avoir des concentrations sériques plus basses à l'état d'équilibre mais cet effet est relativement modeste. L'âge (12 ans et plus) et le sexe, après ajustement en fonction du poids, n'ont pas d'effet apparent sur l'exposition au zonisamide chez des patients épileptiques pendant l'administration à l'état d'équilibre. Il n'est pas nécessaire d'adapter la dose des antiépileptiques, y compris des inducteurs du CYP3A4. * Relation pharmacocinétique/pharmacodynamique Le zonisamide diminue la fréquence moyenne des crises par période de 28 jours et la diminution est proportionnelle (log-linéaire) à la concentration moyenne du médicament. * Populations particulières - Chez des patients présentant une insuffisance rénale, une corrélation positive a été observée entre la clairance rénale de doses uniques de zonisamide et la clairance de la créatinine. L'ASC plasmatique du zonisamide a été augmentée de 35 % chez des sujets ayant une clairance de la créatinine inférieure à 20 ml/mn (Cf. rubrique "Posologie et mode d'administration"). - Patients présentant une insuffisance hépatique Il n'existe pas d'études suffisantes de la pharmacocinétique du zonisamide chez des patients présentant une insuffisance hépatique. - Personnes âgées Aucune différence cliniquement significative dans la pharmacocinétique du zonisamide n'a été observée entre des sujets jeunes (21 à 40 ans) et des sujets âgés (65 à 75 ans). - Population pédiatrique (5-18 ans) Des données limitées indiquent qu'après l'obtention d'un état d'équilibre suivant l'administration de doses de 1 mg/kg, 7 mg/kg ou 12 mg/kg par jour en plusieurs prises, les paramètres pharmacocinétiques chez l'enfant et l'adolescent sont comparables à ceux observés chez l'adulte, après ajustement en fonction du poids. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 15/02/2023 |
Des modifications hépatiques (hépatomégalie, coloration brun foncé, légère augmentation de volume des hépatocytes avec corps lamellaires concentriques dans le cytoplasme et vacuolisation cytoplasmique), associées à une augmentation du métabolisme, ont été observées chez le chien à des niveaux d'exposition comparables à l'utilisation en clinique, mais non dans les études cliniques. Aucune génotoxicité ni potentiel cancérogène n'ont été observés avec le zonisamide. Le zonisamide a provoqué des anomalies du développement chez la souris, le rat et le chien et il a été embryolétal chez le singe lorsqu'il a été administré pendant la période d'organogenèse à des posologies et des concentrations plasmatiques maternelles similaires ou inférieures aux niveaux thérapeutiques chez l'homme. Dans une étude de toxicité orale à doses répétées chez le rat juvénile, à des niveaux d'exposition comparables à ceux observés chez les patients pédiatriques recevant la dose maximale recommandée, des diminutions du poids et des modifications des paramètres rénaux histopathologiques et cliniques et des modifications du comportement ont été observées. Les modifications des paramètres rénaux histopathologiques et cliniques ont été considérées comme étant liées à l'inhibition de l'anhydrase carbonique par le zonisamide. Les effets à ce palier de dose ont été réversibles pendant la période de récupération. À une dose plus élevée (exposition systémique représentant 2 à 3 fois l'exposition thérapeutique), les effets histopathologiques rénaux ont été plus sévères et n'ont été que partiellement réversibles. La plupart des effets indésirables constatés chez le rat juvénile ont été comparables à ceux observés dans les études de toxicité à doses répétées du zonisamide chez le rat adulte, mais des gouttelettes hyalines dans les cellules tubulaires du rein et une hyperplasie transitionnelle n'ont été observées que dans l'étude chez le rat juvénile. À cette dose élevée, les rats juvéniles ont présenté une diminution des paramètres de croissance, d'apprentissage et de développement. Ces effets ont été considérés comme étant probablement liés à la diminution du poids corporel et aux effets pharmacologiques excessifs du zonisamide à la dose maximale tolérée. Chez la rate, une diminution du nombre de corps jaunes et des sites d'implantation a été observée à des niveaux d'exposition équivalents à la dose thérapeutique maximale chez l'homme ; des cycles oestraux irréguliers et une diminution du nombre de foetus vivants ont été constatés à des niveaux d'exposition trois fois supérieurs. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 15/02/2023 |
Les spécialités correspondant à ce médicament virtuel peuvent contenir des excipients à effet notoire. Ces excipients à effet notoire peuvent être différents selon les spécialités (Voir spécialité(s)).
Spécialité(s) génériques Thériaque | Type | Prix |
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ZONEGRAN 100MG GELULE | Référence | |
ZONISAMIDE MYL 100MG GELULE | Générique | |
ZONISAMIDE SDZ 100MG GELULE | Générique | |
ZONISAMIDE TVC 100MG GELULE | Générique | |
Comparer prix |
Dénomination(s) commune(s) : ZONISAMIDE |
Voie(s) : ORALE |
Groupe générique(s) : ZONISAMIDE 100 MG - ZONEGRAN 100MG GELULE |
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Spécialité(s) de référence ansm | Code(s) CIP | Excipient(s) à effet notoire |
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ZONEGRAN 100MG GELULE
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Spécialité(s) générique(s) ansm | Code(s) CIP | Excipient(s) à effet notoire |
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ZONISAMIDE MYL 100MG GELULE Laboratoire titulaire AMM : MYLAN PHARMACEUTICALS LTD |
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ZONISAMIDE NRP 100MG CPR Laboratoire titulaire AMM : NEURAXPHARM FRANCE |
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ZONISAMIDE SDZ 100MG GELULE Laboratoire titulaire AMM : SANDOZ |
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ZONISAMIDE TVC 100MG GELULE Laboratoire titulaire AMM : TEVA SANTE |
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ZONEGRAN (EPAR) 2013 |
ANTIEPILEPTIQUE ET GROSSESSE 2023 | |
EXCLUSION SUBSTITUTION Gé - PHCIEN | |
EXCLUSION SUBSTITUTION Gé POSSIBLE | |
ANTIEPILEPTIQ/GROSSESSE AVIS COMITE 2019 | |
ANTIEPILEPTIQUE/GROSSESSE SYNTHESE 2019 | |
ANTIEPILEPTIQUE/GROSSESSE RAPPORT 2019 | |
MODIF PICTOGRAMME CONDUCTEUR 2017 | |
ZONEGRAN SYNTHESE D'AVIS 2014 | |
EPILEPSIE PARTIELLE PHARMACO-RESISTANTE |
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* Conditions de prescription et de délivrance Liste I. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 15/02/2023 | |
Code UCD13 : | 3400892440347 |
Code UCD7 : | 9244034 |
Code identifiant spécialité : | 6 412 280 7 |
Laboratoire(s) titulaire(s) AMM: |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 15/02/2023 | |
Laboratoire(s) exploitant(s) : |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 15/02/2023 | |
Code CIP13 | 3400936594555 |
Code CIP7 | 3659455 |
Commercialisation | Disponible : OUI depuis le 16/01/2006 |
Agrément collectivités/date JO | Oui le 14/08/2007 |
Radiation collectivités/date JO | Non |
Présentation réservée à l'hôpital | Non |
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD) |
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Conditionnement primaire | PLAQUETTE(S) THERMOFORMEE(S) (1) |
Nb unités de prise par conditionnement primaire | 56 GELULE(S) par PLAQUETTE(S) THERMOFORMEE(S) |
Matériau(x) |
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Caractéristique(s) de l'emballage |
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* Nature et contenu de l'emballage extérieur |
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Présentation unitaire | PAS DE RENSEIGNEMENT |
Référence(s) bibliographique(s) | |
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Conditions de délivrance |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 15/02/2023 |
Statut de la présentation |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 15/02/2023 |
1. Prix en officine ville | |
Prix de cette présentation (CIP)/date JO | 16,22 euros TTC le 01/06/2021 |
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) | Non concerné |
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur) | |
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) | Non concerné |
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) | Non concerné |
1. Ville | |
Taux de remboursement |
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2. Hôpital (Rétrocession - vente au public) | |
Taux de remboursement |
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Statut(s) du remboursement |
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SMR spécifique de cette présentation | NON |
Modalité(s) de dispensation |
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Durée(s) et condition(s) de conservation |
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* Durée de conservation |
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Référence(s) officielles(s) : Rectificatif AMM européenne 15/02/2023 |
EPILEPSIE PARTIELLE
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Ce médicament est indiqué : . en monothérapie dans le traitement de l'épilepsie partielle avec ou sans généralisation secondaire, chez le patient adulte présentant une épilepsie de nouvellement diagnostiquée (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). |
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SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 19/07/2017 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 15/02/2023 |
CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : Epilepsie autosomique dominante avec aura auditive ; Epilepsie avec crises partielles migrantes du nourrisson ; Epilepsie bénigne partielle de l'enfant avec crises partielles complexes ; Epilepsie focale familiale à foyers variables ; Epilepsie partielle bénigne de l'adolescent ; Epilepsie partielle bénigne du nourrisson avec crises généralisées secondaires ; Epilepsie partielle familiale ; Epilepsie partielle migrante ; Epilepsie rolandique ; Syndrome épileptique par infection fébrile |
Maladies incluses Epilepsie frontale à crises nocturnes Epilepsie partielle à foyer variable, forme familiale Epilepsie temporale, forme familiale |
EPILEPSIE PARTIELLE
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Ce médicament est indiqué : . en association dans le traitement de l'épilepsie partielle avec ou sans généralisation secondaire chez les adultes, adolescents et enfants à partir de 6 ans. |
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SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 19/07/2017 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 15/02/2023 |
CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : Epilepsie autosomique dominante avec aura auditive ; Epilepsie avec crises partielles migrantes du nourrisson ; Epilepsie bénigne partielle de l'enfant avec crises partielles complexes ; Epilepsie focale familiale à foyers variables ; Epilepsie partielle bénigne de l'adolescent ; Epilepsie partielle bénigne du nourrisson avec crises généralisées secondaires ; Epilepsie partielle familiale ; Epilepsie partielle migrante ; Epilepsie rolandique ; Syndrome épileptique par infection fébrile |
Maladies incluses Epilepsie frontale à crises nocturnes Epilepsie partielle à foyer variable, forme familiale Epilepsie temporale, forme familiale |
Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie INITIALE | |
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Dose | 50 MG/JOUR |
Fréquence maximale | 2 /JOUR |
Durée de traitement min | 1 SEMAINE(S) PENDANT 7 JOURS |
Posologie INITIALE | |
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Dose | 100 MG/JOUR |
Fréquence maximale | 2 /JOUR |
Durée de traitement min | 1 SEMAINE(S) PENDANT 7 JOURS |
Posologie INITIALE | |
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Dose | ADAPTER MG/JOUR |
Fréquence maximale | 2 /JOUR |
Durée de traitement min | 3 SEMAINE(S) REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT |
Posologie ENTRETIEN | |
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Dose | de 300 MG/JOUR à 500 MG/JOUR |
Fréquence | de 1 /JOUR à 2 /JOUR |
Durée de traitement |
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Posologie INITIALE | |
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Dose | 50 MG/JOUR |
Fréquence maximale | 2 /JOUR |
Durée de traitement min | 2 SEMAINE(S) |
Posologie INITIALE | |
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Dose | 100 MG/JOUR |
Fréquence maximale | 2 /JOUR |
Durée de traitement min | 2 SEMAINE(S) |
Posologie INITIALE | |
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Dose | ADAPTER MG/JOUR |
Fréquence maximale | 2 /JOUR |
Durée de traitement min | 6 SEMAINE(S) REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT |
Posologie ENTRETIEN | |
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Dose | de ADAPTER MG/JOUR à 500 MG/JOUR |
Fréquence | de 1 /JOUR à 2 /JOUR |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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* Posologie - Adultes - Titration et dose d'entretien Le zonisamide peut être administré en monothérapie ou en association au traitement en cours chez l'adulte. La posologie doit être adaptée en fonction de la réponse clinique. Les données ci-dessous présentent le schéma de titration et les doses d'entretien recommandés. Certains patients, particulièrement ceux qui ne prennent pas de médicaments inducteurs du CYP3A4, peuvent répondre à des doses inférieures. - Arrêt du traitement par zonisamide En cas d'arrêt du traitement par le zonisamide, l'interruption doit être progressive (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Lors des études cliniques chez l'adulte, la posologie a été réduite de 100 mg tous les sept jours avec ajustement concomitant des doses des autres médicaments antiépileptiques (le cas échéant). Adultes - Schéma d'augmentation de la posologie et traitement d'entretien recommandés - Traitement en association . patients recevant des inducteurs du CYP3A4 (Cf. rubrique "Interactions") Phase de titration semaine 1 : 50 mg/jour (dose fractionnée en deux prises) Phase de titration semaine 2 : 100 mg/jour (dose fractionnée en deux prises) Phase de titration semaines 3 à 5 : augmentation par paliers de 100 mg à intervalle d'une semaine Dose d'entretien habituelle : 300 à 500 mg par jour (une fois par jour en deux prises). . patients ne recevant pas d'inducteurs du CYP3A4 Phase de titration semaine 1 + 2 : 50 mg/jour (dose fractionnée en deux prises) Phase de titration semaine 3 + 4 : 100 mg/jour (dose fractionnée en deux prises) Phase de titration semaines 5 à 10 : augmentation par paliers de 100 mg maximum à intervalle de deux semaines Dose d'entretien habituelle : 300 à 500 mg par jour (une fois par jour ou en deux prises). Certains patients peuvent répondre à des doses plus faibles. * Recommandations générales pour la posologie de zonisamide dans les populations particulières - Personnes âgées Il existe peu de données sur l'utilisation du zonisamide chez les personnes âgées, et il convient donc d'être prudent lors de l'instauration du traitement chez ces patients. Le profil de sécurité du zonisamide doit également être considéré lors de la prescription de zonisamide (Cf. rubrique "Effets indésirables"). - Insuffisance rénale La prudence est recommandée chez les patients présentant une insuffisance rénale car il existe peu de données sur l'utilisation du zonisamide chez ces patients et il peut être nécessaire d'augmenter plus lentement la posologie. Etant donné que le zonisamide et ses métabolites sont excrétés par voie rénale, le traitement doit être arrêté chez les patients qui développent une insuffisance rénale aiguë ou qui présentent une élévation persistante cliniquement significative de la créatinémie. Chez des sujets insuffisants rénaux, une corrélation positive a été observée entre la clairance rénale de doses uniques de zonisamide et la clairance de la créatinine. L'ASC plasmatique du zonisamide a été augmentée de 35 % chez des sujets ayant une clairance de la créatinine inférieure à 20 ml/min. - Insuffisance hépatique Il n'existe pas de données sur l'utilisation du zonisamide chez les patients présentant une altération des fonctions hépatiques. Par conséquent, l'administration aux patients présentant une insuffisance hépatique sévère n'est pas recommandée. La prudence est recommandée chez les patients ayant une insuffisance hépatique légère à modérée, et il peut être nécessaire d'augmenter plus lentement la posologie. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie INITIALE | |
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Dose | 100 MG/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement min | 2 SEMAINE(S) |
Posologie INITIALE | |
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Dose | 200 MG/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement min | 2 SEMAINE(S) |
Posologie INITIALE | |
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Dose | 300 MG/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement min | 2 SEMAINE(S) |
Posologie ENTRETIEN | |
Dose | de 300 MG/JOUR à 500 MG/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement |
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Posologie MAXIMALE | |
Dose | 500 MG/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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* Posologie - Adultes - Titration et dose d'entretien Le zonisamide peut être administré en monothérapie ou en association au traitement en cours chez l'adulte. La posologie doit être adaptée en fonction de la réponse clinique. Les données ci-dessous présentent le schéma de titration et les doses d'entretien recommandés. Certains patients, particulièrement ceux qui ne prennent pas de médicaments inducteurs du CYP3A4, peuvent répondre à des doses inférieures. - Arrêt du traitement par zonisamide En cas d'arrêt du traitement par le zonisamide, l'interruption doit être progressive (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Lors des études cliniques chez l'adulte, la posologie a été réduite de 100 mg tous les sept jours avec ajustement concomitant des doses des autres médicaments antiépileptiques (le cas échéant). Adultes - Schéma d'augmentation de la posologie et traitement d'entretien recommandés - Monothérapie . Epilepsie nouvellement diagnostiquée chez l'adulte Phase de titration semaine 1 + 2 : 100 mg/jour (une fois par jour) Phase de titration semaine 3 + 4 : 200 mg/jour (une fois par jour) Phase de titration semaines 5+6 : 300 mg/jour (une fois par jour) Dose d'entretien habituelle : 300 mg par jour (une fois par jour). Si une dose plus élevée est nécessaire, augmentation par paliers de 100 mg à intervalles de deux semaines jusqu'à une dose maximale de 500 mg. * Recommandations générales pour la posologie de zonisamide dans les populations particulières - Personnes âgées Il existe peu de données sur l'utilisation du zonisamide chez les personnes âgées, et il convient donc d'être prudent lors de l'instauration du traitement chez ces patients. Le profil de sécurité du zonisamide doit également être considéré lors de la prescription de zonisamide (Cf. rubrique "Effets indésirables"). - Insuffisance rénale La prudence est recommandée chez les patients présentant une insuffisance rénale car il existe peu de données sur l'utilisation du zonisamide chez ces patients et il peut être nécessaire d'augmenter plus lentement la posologie. Etant donné que le zonisamide et ses métabolites sont excrétés par voie rénale, le traitement doit être arrêté chez les patients qui développent une insuffisance rénale aiguë ou qui présentent une élévation persistante cliniquement significative de la créatinémie. Chez des sujets insuffisants rénaux, une corrélation positive a été observée entre la clairance rénale de doses uniques de zonisamide et la clairance de la créatinine. L'ASC plasmatique du zonisamide a été augmentée de 35 % chez des sujets ayant une clairance de la créatinine inférieure à 20 ml/min. - Insuffisance hépatique Il n'existe pas de données sur l'utilisation du zonisamide chez les patients présentant une altération des fonctions hépatiques. Par conséquent, l'administration aux patients présentant une insuffisance hépatique sévère n'est pas recommandée. La prudence est recommandée chez les patients ayant une insuffisance hépatique légère à modérée, et il peut être nécessaire d'augmenter plus lentement la posologie. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie INITIALE | |
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Dose | 1 MG/KG/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement min | 1 SEMAINE(S) REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT |
Posologie INITIALE | |
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Dose | ADAPTER MG/KG/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement min | 7 SEMAINE(S) REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT |
Posologie ENTRETIEN | |
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Dose | de 6 MG/KG/JOUR à 8 MG/KG/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement |
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Posologie INITIALE | |
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Dose | 1 MG/KG/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement min | 2 SEMAINE(S) REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT |
Posologie INITIALE | |
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Dose | ADAPTER MG/KG/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement |
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Posologie ENTRETIEN | |
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Dose | de 6 MG/KG/JOUR à 8 MG/KG/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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* Recommandations générales pour la posologie de zonisamide dans les populations particulières * Population pédiatrique (à partir de 6 ans) - Titration et traitement d'entretien Le zonisamide doit être ajouté au traitement en cours chez les patients pédiatriques âgés de 6 ans et plus. La posologie doit être adaptée en fonction de la réponse clinique. Les données suivantes présentent le schéma de titration et les doses d'entretien recommandés. Certains patients, en particulier ceux qui ne reçoivent pas de médicaments inducteurs du CYP3A4, peuvent répondre à des doses inférieures. Les médecins doivent attirer l'attention des patients pédiatriques et des parents/soignants sur l'encadré de mise en garde pour les patients (dans la notice) relatif à la prévention des coups de chaleur (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi, Population pédiatrique"). Population pédiatrique (à partir de 6 ans) - Schéma d'augmentation de la posologie et traitement d'entretien recommandés - Traitement en association . patients recevant des inducteurs du CYP3A4 (Cf. rubrique "Interactions") Phase de titration semaine 1 : 1 mg/kg/jour (une fois par jour) Phase de titration semaine 2 à 8 : augmentation par paliers de 1 mg/kg à intervalle d'une semaine Dose d'entretien habituelle : patients pesant de 20 à 55 kg (a) : 6 à 8 mg/kg/jour (une fois par jour) . patients ne recevant pas d'inducteurs du CYP3A4 Phase de titration semaine 1 + 2 : 1 mg/kg/jour (une fois par jour) Phase de titration à partir de la semaine 3 : augmentation par paliers de 1 mg/kg à intervalle de deux semaines Dose d'entretien habituelle : patients pesant de 20 à 55 kg (a) : 6 à 8 mg/kg/jour (une fois par jour) Remarque : (a) Pour garantir le maintien d'une dose thérapeutique, le poids de l'enfant doit être surveillé et la posologie ajustée en cas de modification du poids jusqu'à 55 kg. Le schéma posologique est de 6 à 8 mg/kg/jour jusqu'à une dose maximale de 500 mg/jour. La sécurité et l'efficacité du zonisamide chez les enfants âgés de moins de 6 ans ou dont le poids est inférieur à 20 kg n'ont pas encore été établies. Les données d'études cliniques chez des patients dont le poids est inférieur à 20 kg sont limitées. La prudence s'impose donc pour le traitement d'enfants âgés de plus de 6 ans et pesant moins de 20 kg. Il n'est pas toujours possible d'obtenir précisément la dose calculée avec les dosages de zonisamide commercialisées. Dans ce cas, il est donc recommandé d'arrondir la dose totale de zonisamide à la dose supérieure ou inférieure la plus proche pouvant être obtenue avec les dosages de zonisamide commercialisées (25 mg, 50 mg et 100 mg). - Arrêt du traitement par zonisamide En cas d'arrêt du traitement par zonisamide, l'interruption doit être progressive (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Lors des études cliniques chez des patients pédiatriques, la posologie a été réduite d'environ 2 mg/kg tous les sept jours (conformément au schéma présenté ci-dessous). Population pédiatrique (à partir de 6 ans) - Schéma de réduction posologique recommandé Poids : 20 - 28 kg Diminution à intervalle d'une semaine par paliers de 25 à 50 mg/jour (*) Poids : 29 - 41 kg Diminution à intervalle d'une semaine par paliers de 50 à 75 mg/jour (*) Poids : 42 - 55 kg Diminution à intervalle d'une semaine par paliers de 100 mg/jour (*) Remarque : (*) Toutes les doses sont administrées une fois par jour. - Insuffisance rénale La prudence est recommandée chez les patients présentant une insuffisance rénale car il existe peu de données sur l'utilisation du zonisamide chez ces patients et il peut être nécessaire d'augmenter plus lentement la posologie. Etant donné que le zonisamide et ses métabolites sont excrétés par voie rénale, le traitement doit être arrêté chez les patients qui développent une insuffisance rénale aiguë ou qui présentent une élévation persistante cliniquement significative de la créatinémie. Chez des sujets insuffisants rénaux, une corrélation positive a été observée entre la clairance rénale de doses uniques de zonisamide et la clairance de la créatinine. L'ASC plasmatique du zonisamide a été augmentée de 35 % chez des sujets ayant une clairance de la créatinine inférieure à 20 ml/min. - Insuffisance hépatique Il n'existe pas de données sur l'utilisation du zonisamide chez les patients présentant une altération des fonctions hépatiques. Par conséquent, l'administration aux patients présentant une insuffisance hépatique sévère n'est pas recommandée. La prudence est recommandée chez les patients ayant une insuffisance hépatique légère à modérée, et il peut être nécessaire d'augmenter plus lentement la posologie. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie INITIALE | |
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Dose | 1 MG/KG/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement min | 1 SEMAINE(S) REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT |
Posologie INITIALE | |
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Dose | ADAPTER MG/KG/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement min | 7 SEMAINE(S) REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT |
Posologie ENTRETIEN | |
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Dose | de 300 MG/JOUR à 500 MG/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement |
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Posologie INITIALE | |
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Dose | 1 MG/KG/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement min | 2 SEMAINE(S) REEVALUER LE TRAITEMENT PERIODIQUEMENT |
Posologie INITIALE | |
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Dose | ADAPTER MG/KG/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement |
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Posologie ENTRETIEN | |
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Dose | de 300 MG/JOUR à 500 MG/JOUR |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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* Recommandations générales pour la posologie de zonisamide dans les populations particulières * Population pédiatrique (à partir de 6 ans) - Titration et traitement d'entretien Le zonisamide doit être ajouté au traitement en cours chez les patients pédiatriques âgés de 6 ans et plus. La posologie doit être adaptée en fonction de la réponse clinique. Les données suivantes présentent le schéma de titration et les doses d'entretien recommandés. Certains patients, en particulier ceux qui ne reçoivent pas de médicaments inducteurs du CYP3A4, peuvent répondre à des doses inférieures. Les médecins doivent attirer l'attention des patients pédiatriques et des parents/soignants sur l'encadré de mise en garde pour les patients (dans la notice) relatif à la prévention des coups de chaleur (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi, Population pédiatrique"). Population pédiatrique (à partir de 6 ans) - Schéma d'augmentation de la posologie et traitement d'entretien recommandés - Traitement en association . patients recevant des inducteurs du CYP3A4 (Cf. rubrique "Interactions") Phase de titration semaine 1 : 1 mg/kg/jour (une fois par jour) Phase de titration semaine 2 à 8 : augmentation par paliers de 1 mg/kg à intervalle d'une semaine Dose d'entretien habituelle : patients pesant > 55 kg : 300 à 500 mg/jour (une fois par jour) . patients ne recevant pas d'inducteurs du CYP3A4 Phase de titration semaine 1 : 1 mg/kg/jour (une fois par jour) Phase de titration à partir de la semaine 3 : augmentation par paliers de 1 mg/kg à intervalle de deux semaines Dose d'entretien habituelle : patients pesant > 55 kg : 300 à 500 mg/jour (une fois par jour) Il n'est pas toujours possible d'obtenir précisément la dose calculée avec les dosages de zonisamide commercialisées. Dans ce cas, il est donc recommandé d'arrondir la dose totale de zonisamide à la dose supérieure ou inférieure la plus proche pouvant être obtenue avec les dosages de zonisamide commercialisées (25 mg, 50 mg et 100 mg). - Arrêt du traitement par zonisamide En cas d'arrêt du traitement par zonisamide, l'interruption doit être progressive (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Lors des études cliniques chez des patients pédiatriques, la posologie a été réduite d'environ 2 mg/kg tous les sept jours (conformément au schéma présenté ci-dessous). Population pédiatrique (à partir de 6 ans) - Schéma de réduction posologique recommandé Poids : > 55 kg Diminution à intervalle d'une semaine par paliers de 100 mg/jour (*) Remarque : (*) Toutes les doses sont administrées une fois par jour. - Insuffisance rénale La prudence est recommandée chez les patients présentant une insuffisance rénale car il existe peu de données sur l'utilisation du zonisamide chez ces patients et il peut être nécessaire d'augmenter plus lentement la posologie. Etant donné que le zonisamide et ses métabolites sont excrétés par voie rénale, le traitement doit être arrêté chez les patients qui développent une insuffisance rénale aiguë ou qui présentent une élévation persistante cliniquement significative de la créatinémie. Chez des sujets insuffisants rénaux, une corrélation positive a été observée entre la clairance rénale de doses uniques de zonisamide et la clairance de la créatinine. L'ASC plasmatique du zonisamide a été augmentée de 35 % chez des sujets ayant une clairance de la créatinine inférieure à 20 ml/min. - Insuffisance hépatique Il n'existe pas de données sur l'utilisation du zonisamide chez les patients présentant une altération des fonctions hépatiques. Par conséquent, l'administration aux patients présentant une insuffisance hépatique sévère n'est pas recommandée. La prudence est recommandée chez les patients ayant une insuffisance hépatique légère à modérée, et il peut être nécessaire d'augmenter plus lentement la posologie. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Recommandation(s) |
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* Précautions particulières d'élimination Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur. * Incompatibilités Sans objet. |
Voie(s) d'administration |
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Modalité(s) |
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* Mode et voie d'administration Les gélules de zonisamide doivent être administrées par voie orale. . Effets des aliments Le zonisamide peut être pris au cours ou en dehors des repas (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). * Comment prendre ce médicament (Notice) . Les gélules de ce médicament doivent être avalées entières avec de l'eau. . Ne pas mâcher les gélules. . Ce médicament doit être pris une ou deux fois par jour, selon les indications de votre médecin. . Si vous devez prendre ce médicament deux fois par jour, la moitié de la dose quotidienne doit être prise le matin et l'autre moitié le soir. * Si vous oubliez de prendre ce médicament (Notice) - Si vous oubliez de prendre une dose, ne vous inquiétez pas et prenez la dose suivante à l'heure habituelle. - Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Terrain N° 1 | FEMME EN AGE DE PROCREER
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Niveau(x) |
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Ce médicament ne doit pas être utilisé chez la femme en âge de procréer qui n'utilise pas de contraception efficace, à moins d'une nécessité absolue et uniquement si le bénéfice potentiel est considéré comme justifiant le risque pour le fœtus. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | GROSSESSE |
Niveau(x) |
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Ce médicament ne doit pas être utilisé chez la femme enceinte, à moins d'une nécessité absolue et uniquement si le bénéfice potentiel est considéré comme justifiant le risque pour le fœtus. En cas de traitement par ce médicament pendant la grossesse, les patientes doivent être bien informées du risque potentiel pour le fœtus et l'utilisation de la dose minimale efficace et une surveillance étroite sont conseillées. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | ALLAITEMENT |
Niveau(x) |
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Une décision doit être prise soit d'interrompre l'allaitement, soit d'interrompre/de s'abstenir du traitement avec ce médicament. Compte tenu de la persistance prolongée dans l'organisme, l'allaitement ne doit être repris qu'un mois après l'arrêt du traitement par zonisamide. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Cf. aussi "Thesaurus interactions ansm". |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | INTERACTION D'ORIGINE ALIMENTAIRE
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Niveau(x) |
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Cf. aussi "Thesaurus interactions ansm". |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | INSUFFISANCE HEPATIQUE
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Niveau(x) |
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Il n'existe pas de données sur l'utilisation du zonisamide chez les patients présentant une altération des fonctions hépatiques. Par conséquent, l'administration aux patients présentant une insuffisance hépatique sévère n'est pas recommandée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | ENFANT
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | NOURRISSON |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | NOUVEAU-NE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Hypersensibilité au principe actif, à l'un des excipients mentionnés à la rubrique "Composition" ou aux sulfamides, sulfonamides. Ce médicament contient de l'huile végétale hydrogénée (huile de soja). Ce médicament est contre-indiqué en cas d'allergie à l'arachide ou au soja. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 15/02/2023 |
Terrain N° 11 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Ce médicament contient un agent colorant azoïque. - Dénomination : colorants azoïques Par exemple : Tartrazine (E 102) Jaune orangé S (E 110) Azorubine, carmoisine (E 122) Amarante (E 123) Rouge ponceau 4R, rouge cochenille A (E 124) Noir brillant BN, noir PN (E 151) - Voie d'administration : orale - Seuil : zéro - Informations : Peut provoquer des réactions allergiques. Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Ce médicament contient un agent colorant azoïque. - Dénomination : colorants azoïques Par exemple : Tartrazine (E 102) Jaune orangé S (E 110) Azorubine, carmoisine (E 122) Amarante (E 123) Rouge ponceau 4R, rouge cochenille A (E 124) Noir brillant BN, noir PN (E 151) - Voie d'administration : orale - Seuil : zéro - Informations : Peut provoquer des réactions allergiques. Réf.: ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Attention Il existe des réactions connues d'allergie croisée concernant les substances de structure "sulfamides" "sulfonamides" et "sulfonylurés". |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Ce médicament contient du propylène glycol, il est donc contre-indiqué en cas d'hypersensibilité à la classe des dérivés du propylène glycol. | |
CIM 10 |
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Terrain N° 15 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Ce médicament contient de l'huile de soja ou de l'huile de soja hydrogénée comme excipient. - Voie d'administration : Toutes - Seuil : Zéro - Informations Ce médicament contient de l'huile de soja. Si vous êtes allergique à l'arachide ou au soja, ne pas utiliser ce médicament. - Commentaires Conforme à Huile d'arachide. RCP : mention en contre-indication. Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 1 | LESION CUTANEE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | ATTEINTE OCULAIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | HYPERTENSION / HYPERTONIE OCULAIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | GLAUCOME A ANGLE FERME |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | MYOPIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | TENDANCE SUICIDAIRE / SUICIDE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | LITHIASE RENALE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | HYPERCALCIURIE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | NEPHROPATHIE CHRONIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | ATTEINTE RESPIRATOIRE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | ETAT DE MAL EPILEPTIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | DIARRHEE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | INTERVENTION CHIRURGICALE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | REGIME CETOGENE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | REGIME HYPOGLUCIDIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 16 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 17 | ACIDOSE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 18 | PANCREATITE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 19 | MYALGIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 20 | MYASTHENIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 21 | FEMME EN AGE DE PROCREER
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Niveau(x) |
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Les femmes en âge d'avoir des enfants doivent utiliser une contraception adéquate pendant le traitement par le zonisamide et pendant le mois suivant l'arrêt de celui-ci. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 22 | AMAIGRISSEMENT |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 23 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE |
Niveau(x) |
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La prudence est recommandée chez les patients présentant une insuffisance rénale car il existe peu de données sur l'utilisation de ce médicament chez ces patients et il peut être nécessaire d'augmenter plus lentement la posologie. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 24 | COLIQUE NEPHRETIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 25 | DOULEUR
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 26 | INSUFFISANCE HEPATIQUE
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Niveau(x) |
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La prudence est recommandée chez les patients ayant une insuffisance hépatique légère à modérée, et il peut être nécessaire d'augmenter plus lentement la posologie. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 27 | ENFANT
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 28 | ENFANT
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Niveau(x) |
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Les données des études cliniques chez des patients dont le poids est inférieur à 20 kg sont limitées. La prudence est donc recommandée pour le traitement des enfants âgés de 6 ans et plus pesant moins de 20 kg. L'effet à long terme d'une perte de poids sur la croissance et le développement chez les patients pédiatriques n'est pas connu. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 29 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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- Eruption cutanée inexpliquée Des éruptions cutanées graves, y compris des cas de syndrome de Stevens-Johnson, peuvent survenir lors du traitement par le zonisamide. L'arrêt du zonisamide doit être envisagé chez les patients qui développent une éruption cutanée inexpliquée. Tous les patients qui développent une éruption cutanée pendant le traitement par le zonisamide doivent faire l'objet d'une surveillance étroite, et une prudence particulière est recommandée chez les patients traités en même temps par des médicaments antiépileptiques qui risquent de provoquer des éruptions cutanées. - Crises convulsives à l'arrêt du traitement Conformément à la pratique clinique usuelle, l'arrêt éventuel du zonisamide chez les patients épileptiques doit se faire de manière progressive pour limiter les risques de crises convulsives à l'arrêt du traitement. Il n'existe pas de données suffisantes concernant l'arrêt des médicaments antiépileptiques concomitants une fois les crises contrôlées avec le zonisamide administré en association pour pouvoir utiliser le zonisamide en monothérapie. Par conséquent, la prudence est recommandée lors de l'arrêt des autres médicaments antiépileptiques. - Réactions aux sulfamides Le zonisamide est un dérivé du benzisoxazole qui comporte un groupement sulfamide. Les effets indésirables graves d'origine immunitaire qui sont associés aux médicaments contenant un groupement sulfamide incluent des éruptions cutanées, des réactions allergiques, et des troubles hématologiques graves, dont des anémies aplasiques, pouvant être fatales dans de très rares cas.aplasiques pouvant être mortelles dans de très rares cas. Des cas d'agranulocytose, de thrombopénie, de leucopénie, d'anémie aplasique, de pancytopénie et de leucocytose ont été signalés. Les données permettant d'évaluer la relation, le cas échéant, entre la dose et la durée du traitement et ces événements sont insuffisantes. - Myopie aiguë et glaucome secondaire par fermeture de l'angle Un syndrome consistant en myopie aiguë associée à un glaucome secondaire par fermeture de l'angle a été rapporté chez des patients adultes et pédiatriques recevant le zonisamide. Les symptômes comprennent l'apparition subite d'une baisse d'acuité visuelle et/ou une douleur oculaire. L'examen ophtalmologique peut montrer une myopie, une chambre antérieure peu profonde, une hyperémie (rougeur) oculaire et une augmentation de la pression intra-oculaire. Ce syndrome peut être associé à un épanchement supraciliaire entraînant le déplacement vers l'avant du cristallin et de l'iris, avec glaucome secondaire par fermeture de l'angle. Les symptômes peuvent survenir dans les quelques heures à quelques semaines suivant l'instauration du traitement. La conduite à tenir inclut l'arrêt du traitement par le zonisamide le plus rapidement possible selon le jugement du médecin traitant et des mesures appropriées pour diminuer la pression intra-oculaire. Si elle n'est pas traitée, l'hypertonie oculaire, quelle que soit l'étiologie, peut entraîner des séquelles graves, y compris une perte de vision permanente. La prudence s'impose lors du traitement par le zonisamide chez des patients ayant des antécédents d'affections oculaires. - Idées et comportements suicidaires Des idées et comportements suicidaires ont été rapportés chez des patients traités par des antiépileptiques dans plusieurs indications. Une méta-analyse d'études randomisées contrôlées contre placebo de médicaments antiépileptiques a également montré une légère augmentation du risque d'idées et comportements suicidaires. Le mécanisme de ce risque est inconnu et les données disponibles ne permettent pas d'exclure la possibilité d'un risque accru avec le zonisamide. Les patients doivent par conséquent être surveillés pour détecter des signes d'idées et comportements suicidaires et un traitement approprié doit être envisagé. Il convient de recommander aux patients (et à leurs soignants) de consulter un médecin en cas d'apparition de signes d'idées ou comportements suicidaires. - Lithiase rénale Certains patients, en particulier ceux prédisposés à la lithiase rénale, peuvent avoir un risque accru de formation de calculs rénaux et des signes et symptômes associés tels que colite néphrétique, douleur rénale ou douleur lombaire. La lithiase rénale peut entraîner une insuffisance rénale chronique. Les facteurs de risque de lithiase rénale sont des antécédents de calculs, des antécédents familiaux de lithiase rénale et une hypercalciurie. Aucun de ces facteurs de risque ne permet de prédire de façon fiable la formation de calculs pendant le traitement par le zonisamide. Le risque peut également être majoré chez les patients traités par d'autres médicaments pouvant favoriser la survenue d'une lithiase rénale. L'augmentation de l'apport hydrique et de la diurèse peut contribuer à réduire le risque de formation de calculs, notamment chez les sujets ayant des facteurs prédisposants. - Acidose métabolique Une acidose métabolique hyperchlorémique sans trou anionique (diminution du taux de bicarbonate sérique en dessous des valeurs de référence normales en l'absence d'une alcalose respiratoire chronique) peut survenir lors du traitement par le zonisamide. Cette acidose métabolique est causée par la perte rénale de bicarbonate due à l'effet inhibiteur du zonisamide sur l'anhydrase carbonique. Ce déséquilibre électrolytique a été observé lors de l'administration de zonisamide dans les études cliniques contrôlées et après la mise sur le marché. En général, l'acidose métabolique induite par le zonisamide survient en début de traitement, bien qu'elle puisse se développer à tout moment au cours du traitement. Les diminutions du bicarbonate sont généralement légères à modérées (diminution moyenne d'environ 3,5 mEq/litre à des doses quotidiennes de 300 mg chez l'adulte) ; dans de rares cas, les patients peuvent présenter des baisses plus sévères. Les pathologies ou traitements qui prédisposent à l'acidose (tels que néphropathie, affections respiratoires sévères, état de mal épileptique, diarrhées, chirurgie, régime cétogène ou médicaments) peuvent avoir des effets additifs à ceux du zonisamide sur la diminution du bicarbonate. Le risque d'acidose métabolique associé au zonisamide apparaît plus fréquemment et est plus sévère chez les jeunes patients. Une évaluation et une surveillance appropriées du taux de bicarbonate sérique doivent être effectuées chez les patients sous zonisamide qui présentent des conditions sous-jacentes susceptibles d'augmenter le risque d'acidose, chez les patients qui ont un risque accru de séquelles secondaires à une acidose métabolique et chez les patients qui présentent des symptômes évocateurs d'une acidose métabolique. En cas d'apparition et de persistance d'une acidose métabolique, il convient d'envisager une réduction de la posologie ou l'arrêt du zonisamide (avec diminution progressive ou réduction à une dose thérapeutique) car une ostéopénie peut se développer. S'il est décidé de poursuivre le traitement par le zonisamide chez un patient présentant une acidose persistante, un traitement alcalinisant doit être envisagé. L'acidose métabolique peut entraîner une hyperammoniémie, qui a été rapportée avec ou sans encéphalopathie pendant le traitement par le zonisamide. Le risque d'hyperammoniémie peut être augmenté chez les patients qui prennent de façon concomitante d'autres médicaments pouvant provoquer une hyperammoniémie (par exemple le valproate), ou qui présentent un trouble du cycle de l'urée sous-jacent ou une diminution de l'activité mitochondriale hépatique. Chez les patients qui développent une léthargie inexpliquée ou des altérations de l'état mental pendant le traitement par le zonisamide, il est recommandé d'envisager une encéphalopathie hyperammoniémique et de mesurer les taux d'ammoniac. Le zonisamide doit être administré avec prudence chez les patients adultes traités de manière concomitante par des inhibiteurs de l'anhydrase carbonique, par exemple le topiramate ou l'acétazolamide, car il n'existe pas de données suffisantes pour exclure la possibilité d'une interaction pharmacodynamique (voir également rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi, Population pédiatrique" et "Interactions"). - Coup de chaleur Des cas de diminution de la sudation et d'élévation de la température corporelle ont été décrits, essentiellement chez des patients pédiatriques (voir rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi, Population pédiatrique" pour la mise en garde complète). La prudence doit être exercée chez les patients adultes lorsque le zonisamide est prescrit avec d'autres médicaments qui prédisposent le patient à des troubles liés à la chaleur, par exemple les inhibiteurs de l'anhydrase carbonique et les médicaments ayant une action anticholinergique (voir également rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi, Population pédiatrique"). - Pancréatite Il est recommandé de surveiller les taux de lipase et d'amylase pancréatiques chez les patients traités par le zonisamide qui développent les symptômes et signes cliniques de pancréatite. Si la pancréatite est avérée et en l'absence de toute autre cause manifeste, il est recommandé d'envisager l'arrêt du traitement par le zonisamide et d'instaurer un traitement approprié. - Rhabdomyolyse Chez les patients sous zonisamide qui présentent des myalgies et/ou une faiblesse musculaire sévères avec ou sans fièvre, il est recommandé de contrôler les marqueurs de l'atteinte musculaire, notamment les taux sériques de créatine phosphokinase et d'aldolase. Si ces taux sont élevés en l'absence d'une autre cause évidente telle que traumatisme ou crises tonico-cloniques, le traitement par le zonisamide doit être arrêté et un traitement approprié doit être instauré. - Femmes en âge de procréer Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement par zonisamide et pendant un mois après l'arrêt du traitement (Cf. rubrique "Grossesse et allaitement"). Ce médicament ne doit pas être utilisé chez la femme en âge de procréer qui n'utilise pas de contraception efficace, à moins d'une nécessité absolue et uniquement si le bénéfice potentiel est considéré comme justifiant le risque pour le fœtus. Les femmes en âge de procréer traitées par zonisamide doivent avoir l'avis médical d'un spécialiste. La femme doit être pleinement informée et comprendre les effets possibles du zonisamide sur le fœtus et les risques doivent être discutés avec la patiente au regard du bénéfice avant l'instauration du traitement. Avant l'initiation du traitement par zonisamide chez une femme en âge de procréer, un test de grossesse doit être considéré. Les femmes qui envisagent une grossesse doivent consulter leur spécialiste pour réévaluer le traitement par zonisamide et envisager d'autres options thérapeutiques avant la conception et avant l'arrêt de la contraception. Il convient de conseiller aux femmes en âge de procréer de contacter immédiatement leur médecin si elles sont enceintes ou pensent être enceintes et qu'elles prennent du zonisamide. En cas de traitement par zonisamide, le médecin doit vérifier que sa patiente est bien informée de la nécessité d'utiliser une méthode contraceptive efficace appropriée et déterminer si les contraceptifs oraux, ou les doses de leurs composants, sont suffisants en fonction de chaque patiente. - Poids corporel Le zonisamide peut provoquer une perte de poids. Des suppléments nutritionnels ou une augmentation de l'apport calorique peuvent être recommandés si le patient perd du poids ou présente une insuffisance pondérale pendant le traitement. En cas de perte de poids importante non souhaitable, l'arrêt du traitement par le zonisamide doit être envisagé. Une perte de poids est potentiellement plus grave chez les enfants (voir rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi, Population pédiatrique"). - Population pédiatrique Les mises en garde et précautions d'emploi ci-dessus s'appliquent également aux enfants et adolescents. Les mises en garde et précautions d'emploi ci-dessous concernent plus particulièrement les patients pédiatriques. . Hyperthermie et déshydratation .. Prévention de la chaleur excessive et de la déshydratation chez les enfants Le zonisamide peut diminuer la transpiration et provoquer une chaleur excessive qui, si l'enfant n'est pas traité, peut entraîner des lésions cérébrales et le décès. Le risque est plus élevé chez les enfants, en particulier par temps chaud. Pendant le traitement par le zonisamide, l'enfant : ... doit se rafraîchir le visage et le corps, en particulier lorsque le temps est chaud ; ... doit éviter les efforts physiques intenses, en particulier lorsque le temps est chaud ; ... doit boire beaucoup d'eau fraîche ; ... ne doit pas prendre les médicaments suivants : inhibiteurs de l'anhydrase carbonique (tels que topiramate et acétazolamide) et agents anticholinergiques (tels que clomipramine, hydroxyzine, diphenhydramine, halopéridol, imipramine et oxybutynine). SI L'ENFANT PRESENTE L'UN DES SYMPTOMES SUIVANTS, DES SOINS MEDICAUX URGENTS SONT NECESSAIRES : Peau très chaude, avec peu ou pas de transpiration, ou confusion, crampes musculaires ou fréquence cardiaque ou respiratoire devenant rapide. ... Placer l'enfant dans un endroit frais, à l'ombre. ... Rafraîchir la peau de l'enfant avec de l'eau. ... Faire boire de l'eau fraîche à l'enfant. Des cas de diminution de la sudation et d'élévation de la température corporelle ont été décrits, essentiellement chez des patients pédiatriques. Un coup de chaleur nécessitant une hospitalisation a été diagnostiqué chez certains patients. Des cas de coup de chaleur nécessitant une hospitalisation et d'issue fatale ont été rapportés. La plupart des cas de coup de chaleur sont survenus pendant des périodes de temps chaud. Les médecins doivent expliquer aux patients et à leurs proches la gravité éventuelle du coup de chaleur, les situations dans lesquelles il peut survenir et la conduite à tenir en présence de tout signe ou symptôme. Il est nécessaire de recommander aux patients ou à leurs proches de veiller à une bonne hydratation et d'éviter l'exposition à des températures excessives et les efforts physiques intenses en fonction de l'état du patient. Les médecins doivent attirer l'attention des patients pédiatriques et des parents/soignants sur les conseils figurant dans la notice relatifs à la prévention de la chaleur excessive et des coups de chaleur chez les enfants. En cas de signes ou symptômes de déshydratation, d'oligohydrose ou d'élévation de la température corporelle, l'arrêt du traitement par le zonisamide doit être envisagé. Chez les patients pédiatriques, le zonisamide ne doit pas être utilisé en association avec d'autres médicaments qui prédisposent le patient à des troubles liés à la chaleur, par exemple les inhibiteurs de l'anhydrase carbonique et les médicaments ayant une action anticholinergique. . Poids Une perte de poids entraînant une dégradation de l'état général et la non-observance du traitement antiépileptique a été associée à une issue fatale (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Le zonisamide n'est pas recommandé chez les patients pédiatriques présentant un poids faible (définition selon les catégories d'IMC ajusté en fonction de l'âge de l'OMS) ou une diminution de l'appétit. L'incidence de diminution du poids est uniforme entre les tranches d'âge (Cf. rubrique "Effets indésirables") ; cependant, compte tenu de la gravité potentielle d'une perte de poids chez l'enfant, le poids doit être surveillé dans cette population. Des suppléments nutritionnels ou une augmentation de l'apport alimentaire doivent être envisagés si le gain pondéral du patient n'est pas conforme aux courbes de croissance ; sinon, l'arrêt du traitement par le zonisamide doit être envisagé. Les données des études cliniques chez des patients dont le poids est inférieur à 20 kg sont limitées. La prudence est donc recommandée pour le traitement des enfants âgés de 6 ans et plus pesant moins de 20 kg. L'effet à long terme d'une perte de poids sur la croissance et le développement chez les patients pédiatriques n'est pas connu. . Acidose métabolique Le risque d'acidose métabolique induite par le zonisamide semble être plus fréquent et sévère chez les enfants et adolescents. Une évaluation et une surveillance appropriées du taux de bicarbonate sérique doivent être effectuées dans cette population (voir rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi, Acidose métabolique" pour la mise en garde complète ; voir rubrique "Effets indésirables" pour l'incidence d'hypobicarbonatémie). L'effet à long terme de taux faibles de bicarbonate sur la croissance et le développement n'est pas connu. Chez les patients pédiatriques, le zonisamide ne doit pas être utilisé en association avec d'autres inhibiteurs de l'anhydrase carbonique, par exemple le topiramate et l'acétazolamide (Cf. rubrique "Interactions"). . Lithiase rénale Certains patients pédiatriques ont développé des calculs rénaux (voir rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi, Lithiase rénale", pour la mise en garde complète). Certains patients, en particulier ceux prédisposés à la lithiase rénale, peuvent avoir un risque accru de formation de calculs rénaux et des signes et symptômes associés tels que colite néphrétique, douleur rénale ou douleur lombaire. La lithiase rénale peut entraîner une insuffisance rénale chronique. Les facteurs de risque de lithiase rénale sont des antécédents de calculs, des antécédents familiaux de lithiase rénale et une hypercalciurie. Aucun de ces facteurs de risque ne permet de prédire de façon fiable la formation de calculs pendant le traitement par le zonisamide. L'augmentation de l'apport hydrique et de la diurèse peut contribuer à réduire le risque de formation de calculs, notamment chez les sujets ayant des facteurs prédisposants. Une échographie rénale doit être réalisée à l'appréciation du médecin. Si des calculs rénaux sont détectés, le traitement par le zonisamide doit être arrêté. . Anomalies de la fonction hépatique Des augmentations des paramètres fonctionnels hépatobiliaires tels que l'alanine aminotransférase (ALAT), l'aspartate aminotransférase (ASAT), les gamma-glutamyltransférases (GGT) et la bilirubine ont été observées chez des enfants et adolescents, sans profil uniforme dans l'observation de valeurs au-dessus de la limite supérieure de la normale. Néanmoins, en cas de suspicion d'un trouble hépatique, il convient d'effectuer un bilan hépatique et d'envisager l'arrêt du traitement par le zonisamide. . Fonctions cognitives Les troubles cognitifs chez les patients épileptiques ont été associés à la pathologie sous-jacente et/ou à l'administration d'un traitement antiépileptique. Dans une étude contrôlée du zonisamide versus placebo menée chez des enfants et adolescents, le pourcentage de patients présentant des troubles cognitifs était numériquement supérieur dans le groupe zonisamide par rapport au groupe placebo. - Excipients Les gélules de zonisamide 100 mg contiennent un colorant jaune appelé jaune soleil FCF (E110) et un colorant rouge appelé rouge allura AC (E129), qui peuvent provoquer des réactions allergiques. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 15/02/2023 |
Terrain N° 30 | EXPOSITION A UNE TEMPERATURE EXTREME |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 1 |
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Niveau(x) |
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La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques. La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes. Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement. Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés. Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets. Le médicament de première intention pour un porteur de porphyrie hépatique aigüe est toujours celui classé comme autorisé. En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries. |
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CIM10 |
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Terrain N° 2 |
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Niveau(x) |
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La prise de certains médicaments peut déclencher une crise de porphyrie aigüe ou une éruption cutanée de bulles. Chez les porteurs de porphyries aigüe ou cutanée, la maladie demeure quiescente la plupart du temps. Les symptômes ne se manifestent généralement que lorsque plusieurs facteurs interagissent pour abaisser le seuil d'activation. L'âge, le sexe, de même que l'activité enzymatique résiduelle, déterminent la sensibilité aux agents qui peuvent précipiter la survenue des signes cliniques. La vulnérabilité du patient à l'action des agents porphyrinogènes augmente si certains facteurs entrent en jeu, notamment un équilibre calorique négatif, une infection en cours, un stress physique ou psychologique, la consommation d'alcool, l'exposition à un solvant organique ou un traitement avec un médicament ou des hormones sexuelles potentiellement porphyrinogènes. Chez les femmes, la sensibilité augmente également durant les périodes de bouleversement hormonal, par exemple durant la période prémenstruelle, au cours du premier mois de grossesse et dans la période précédant ou suivant l'accouchement. Les médicaments sont classés en trois catégories distinctes selon leur compatibilité avec les porphyries : ils sont autorisés, interdits ou non-classés. Cette classification constitue une forme de conseil qui repose sur une évaluation précise de l'expérience clinique internationale, des cas cliniques publiés, de la liste des médicaments publiée antérieurement et des considérations théoriques. Cependant, la qualité des comptes-rendus de patients utilisés dans ces évaluations est souvent insatisfaisante. Les évidences cliniques disponibles pour la plupart des évaluations sont également insuffisantes. De plus, les modèles théoriques sur les mécanismes d'actions des médicaments utilisées dans les porphyries sont encore incomplets. Le médicament de première intention pour un porteur de porphyrie hépatique aigüe est toujours celui classé comme autorisé. En cas de doute, contactez le Centre Français des Porphyries. |
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CIM10 |
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* Effet du zonisamide sur les isoenzymes du cytochrome P450 Les études in vitro sur des microsomes hépatiques humains ne montrent pas d'inhibition, ou une inhibition faible (inférieure à 25 %), des isoenzymes du cytochrome P450 1A2, 2A6, 2B6, 2C8, 2C9, 2C19, 2D6, 2E1 ou 3A4 à des concentrations de zonisamide environ deux fois supérieures ou plus aux concentrations sériques libres cliniquement efficaces. Par conséquent, il est peu probable que le zonisamide affecte la pharmacocinétique d'autres médicaments par des mécanismes faisant intervenir le cytochrome P450, comme cela a été démontré in vivopour la carbamazépine, la phénytoïne, l'éthinyl-estradiol et la désipramine. * Risques d'interaction du zonisamide avec d'autres médicaments + Médicaments antiépileptiques Chez les patients épileptiques, l'administration de zonisamide à l'état d'équilibre n'a pas provoqué d'effets pharmacocinétiques cliniquement significatifs sur la carbamazépine, la lamotrigine, la phénytoïne ou le valproate de sodium. + Contraceptifs oraux Dans les études cliniques menées sur des sujets sains, l'administration de zonisamide à l'état d'équilibre n'a pas eu d'effet sur les concentrations sériques d'éthinyl-estradiol ou de noréthistérone d'un contraceptif oral combiné. + Inhibiteurs de l'anhydrase carbonique Le zonisamide doit être utilisé avec précaution chez les patientsadultesrecevant un traitement concomitant par des inhibiteurs de l'anhydrase carbonique, telsque le topiramateet l'acétazolamide, car les données sont insuffisantes pour exclure la possibilité d'une interaction pharmacodynamique (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Chez les patients pédiatriques, le zonisamide ne doit pas être utilisé en association avec d'autres inhibiteurs de l'anhydrase carbonique telsque le topiramate et l'acétazolamide (voir rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi, Population pédiatrique"). + Substrats de la P-gp Une étude in vitro a montré que le zonisamide est un faible inhibiteur de la P-gp (MDR1) avec une CI50 de 267 micromoles/l et qu'il peut théoriquement affecter la pharmacocinétique des substances qui sont des substrats de la P-gp. Il est recommandé d'être prudent lors de l'instauration ou de l'arrêt du traitement par le zonisamide ou d'une modification de la dose de zonisamide chez les patients qui reçoivent également des médicaments qui sont des substrats de la P-gp (ex. digoxine, quinidine). * Risque d'interactions médicamenteuses sur le zonisamide Dans des études cliniques, l'administration concomitante de lamotrigine n'a pas eu d'effet apparent sur la pharmacocinétique du zonisamide. L'association duzonisamide avec d'autres médicaments qui peuvent induire une lithiase urinaire peu augmenter le risque d'apparition de calculs rénaux ; l'administration concomitante de ces médicaments doit donc être évitée. Le zonisamide est métabolisé en partie par le CYP3A4 (clivage réducteur) ainsi que par les N-acétyl-transférases et par conjugaison avec l'acide glucuronique; les substances qui peuvent avoir un effet inducteur ou inhibiteur sur ces enzymes peuvent donc affecter la pharmacocinétique du zonisamide : - Induction enzymatique : l'exposition au zonisamide est inférieure chez les patients épileptiques qui reçoivent des inducteurs du CYP3A4, par exemple phénytoïne, carbamazépine et phénobarbital. Il est peu probable que ces effetssoient cliniquement significatifs lorsque le zonisamide est ajouté au traitement en cours ; cependant, les concentrations de zonisamide peuvent être modifiées en cas d'arrêt, d'ajustement de la posologie ou d'instauration d'un traitement par des antiépileptiques ou d'autres médicaments inducteurs du CYP3A4 et il peut être nécessaire dans ce cas d'adapter la posologie de zonisamide. La rifampicine est un inducteur puissant du CYP3A4. Si l'administration concomitante de ces deux médicaments est nécessaire, le patient doit faire l'objet d'une surveillance étroite et les posologies duzonisamide et des autres substrats du CYP3A4 doivent être adaptées en conséquence. - Inhibition du CYP3A4 : sur la base des données cliniques, les inhibiteurs connus du CYP3A4, spécifiques et non spécifiques, ne semblent pas avoir d'effet cliniquement significatif sur les paramètres d'exposition pharmacocinétique du zonisamide. L'administration à l'état d'équilibre de kétoconazole (400 mg/jour) ou de cimétidine (1200mg/jour) n'apas eu d'effets cliniquement significatifs sur la pharmacocinétique du zonisamide administré en dose unique à des volontaires sains. Par conséquent, il ne devrait pas être nécessaire de modifier les posologies du zonisamide en cas d'administration concomitanteavec des inhibiteurs connus du CYP3A4. * Population pédiatrique Les études d'interaction n'ont été réalisées que chez l'adulte. |
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Référence(s) officielle(s):  Rectificatif AMM européenne 15/02/2023 |
Effet substance active |
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Niveau(x) de risque |
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Il existe des données limitées sur l'utilisation du zonisamide chez la femme enceinte. Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence une toxicité sur la reproduction (Cf. rubrique "Données de sécurité préclinique"). Chez l'Homme, le risque potentiel de malformations congénitales majeures et de troubles neurodéveloppementaux n'est pas connu. Les données obtenues à partir d'un registre suggèrent une augmentation de la proportion d'enfants de faible poids de naissance (FPN), prématurés ou petits pour l'âge gestationnel (PAG). Ces augmentations sont de l'ordre de 5 à 8 % pour les enfants de FPN, de 8 à 10 % pour ceux nés prématurément et de 7 à 12 % pour ceux PAG, tous ces pourcentages ayant été comparés avec ceux de mères traitées par de la lamotrigine en monothérapie. Le zonisamide ne doit pas être utilisé chez la femme enceinte, à moins d'une nécessité absolue et uniquement si le bénéfice potentiel est considéré comme justifiant le risque pour le fœtus. En cas de traitement par ce médicament pendant la grossesse, les patientes doivent être bien informées du risque potentiel pour le fœtus et l'utilisation de la dose minimale efficace et une surveillance étroite sont conseillées. |
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Un avis spécialisé doit être donné aux femmes qui envisagent une grossesse pour déterminer le traitement optimal pendant leur grossesse. Les femmes en âge de procréer doivent recevoir l'avis d'un spécialiste en ce qui concerne les effets possibles du zonisamide sur le foetus et le rapport bénéfice/risque doit être examiné avec la patiente avant l'instauration du traitement. Le traitement antiépileptique doit toujours être arrêté progressivement pour éviter les crises de rebond qui peuvent avoir des conséquences graves pour la mère et pour l'enfant. |
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Le risque d'anomalie congénitale est multiplié par 2 ou 3 pour les enfants des femmes traitées par un médicament antiépileptique. Les anomalies les plus fréquemment rapportées sont une fente labiale, des malformations cardiovasculaires et une anomalie du tube neural. Un traitement comportant plusieurs médicaments antiépileptiques peut être associé à un risque accru de malformations congénitales comparativement à une monothérapie. Le traitement antiépileptique doit toujours être arrêté progressivement pour éviter les crises de rebond qui peuvent avoir des conséquences graves pour la mère et pour l'enfant. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 15/02/2023 |
Recommandations |
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* Femmes en âge de procréer Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement par zonisamide et pendant un mois après l'arrêt du traitement. Ce médicament ne doit pas être utilisé chez la femme en âge de procréer qui n'utilise pas de contraception efficace, à moins d'une nécessité absolue et uniquement si le bénéfice potentiel est considéré comme justifiant le risque pour le fœtus. Les femmes en âge de procréer traitées par le zonisamide doivent recevoir l'avis médical d'un spécialiste. La femme doit être pleinement informée et comprendre les effets possibles du zonisamide sur le fœtus et les risques doivent être discutés avec la patiente au regard du bénéfice avant l'initiation du traitement. Avant l'initiation d'un traitement par zonisamide chez une femme en âge de procréer, un test de grossesse doit être considéré. Les femmes qui envisagent une grossesse doivent consulter leur spécialiste pour réévaluer le traitement par le zonisamide et envisager d'autres options thérapeutiques avant la conception et avant l'arrêt de la contraception. Comme avec tous les médicaments antiépileptiques, le traitement doit toujours être arrêté progressivement pour éviter la survenue intercurrente de crises qui peuvent avoir des conséquences graves pour la mère et pour l'enfant à naître. Le risque d'anomalie congénitale est multiplié par 2 ou 3 pour les enfants des femmes traitées par un traitement antiépileptique. Les anomalies les plus fréquemment rapportées sont une fente labiale, des malformations cardiovasculaires et une anomalie du tube neural. Un traitement comportant plusieurs médicaments antiépileptiques peut être associé à un risque accru de malformations congénitales comparativement à une monothérapie. * Fertilité Il n'existe pas de données cliniques concernant les effets du zonisamide sur la fertilité humaine. Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence des modifications des paramètres de fertilité (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 15/02/2023 |
Passage dans le lait | Oui |
Fixation protéique | Pas d'information |
Rapport concentration lait/plasma maternels | 100,0000 |
Concentration dans 100 ml de lait maternel | Pas d'information |
Recommandations |
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* Allaitement Le zonisamide est excrété dans le lait maternel ; la concentration dans le lait est similaire à celle observée dans le plasma. Une décision doit être prise soit d'interrompre l'allaitement, soit d'interrompre/de s'abstenir du traitement avec le zonisamide. Compte tenu de la persistance prolongée dans l'organisme, l'allaitement ne doit être repris qu'un mois après l'arrêt du traitement par le zonisamide. |
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Référence(s) officielle(s): | Rectificatif AMM européenne 15/02/2023 |
Recommandations |
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Les effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n'ont pas été étudiés. Cependant, dans la mesure où certains patients peuvent éprouver une somnolence ou des difficultés de concentration, notamment au début du traitement ou après une augmentation de la dose, les patients doivent être avertis qu'ils doivent être prudents en cas d'activités qui exigent une grande vigilance, telles que la conduite de véhicules ou l'utilisation de machines. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 15/02/2023 |
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
Site internet: www.ansm.sante.fr.
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