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Terrain N° 1 | INFECTION
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | TOUX |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | AMAIGRISSEMENT |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | ALTERATION DE L'ETAT GENERAL |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | EXAMEN LABORATOIRE INTERFERENCE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | DRESS SYNDROME |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | INSUFFISANCE HEPATIQUE |
Niveau(x) |
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Ce médicament n'a pas été étudié chez les patients atteints d'insuffisance hépatique. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | GROSSESSE |
Niveau(x) |
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Les femmes enceintes ou désirant l'être ne doivent être traitées qu'une fois le rapport bénéfice/risque soigneusement évalué. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | ALLAITEMENT |
Niveau(x) |
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La décision d'allaiter pendant le traitement par canakinumab ne doit donc être prise qu'après une évaluation approfondie du rapport bénéfice/risque. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | FEMME EN AGE DE PROCREER |
Niveau(x) |
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En cas de traitement par canakinumab, les femmes doivent utiliser une contraception efficace pendant toute la durée du traitement et jusqu'à 3 mois après la dernière administration. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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* Traçabilité Afin d'améliorer la traçabilité des médicaments biologiques, le nom et le numéro de lot du produit administré doivent être clairement enregistrés. * Infections Canakinumab est associé à une incidence accrue d'infections graves. Par conséquent, une surveillance attentive concernant l'apparition de signes et symptômes évoquant une infection doit être effectuée chez les patients pendant et après le traitement par canakinumab. La prudence s'impose en cas d'administration de canakinumab à des patients atteints d'infections, ayant des antécédents d'infections récurrentes ou présentant des pathologies sous-jacentes qui peuvent les prédisposer au risque infectieux. - Traitement des CAPS, TRAPS, HIDS/MKD, FMF et de la maladie de Still (MSA et AJIs) Canakinumab ne doit pas être instauré ou continué chez les patients au cours d'une infection évolutive nécessitant une intervention médicale. - Traitement de l'arthrite goutteuse Canakinumab ne doit pas être administré au cours d'une infection évolutive. L'administration concomitante de canakinumab avec des antagonistes du facteur de nécrose tumorale (anti-TNF) n'est pas recommandée, le risque d'infections graves pouvant être majoré (Cf. rubrique "Interactions"). Des cas isolés d'infections inhabituelles ou opportunistes (incluant aspergilloses, infections à mycobactéries atypiques, zona) ont été rapportés au cours du traitement par ce médicament. La relation de causalité entre Ilaris et ces événements ne peut pas être exclue. * Depistage de la tuberculose Dans les études cliniques, 12% des patients atteints de CAPS ayant eu une IDR (intra dermo réaction), ont montré un résultat positif pendant le traitement par Ilaris, sans signes cliniques de tuberculose latente ou active. L'augmentation du risque de réactivation de la tuberculose avec l'utilisation d'inhibiteurs de l'interleukine-1 (IL-1) tels que canakinumab n'est pas connue. Avant de débuter le traitement, une recherche de tuberculose active ou latente doit être effectuée chez tous les patients. Cette évaluation devra inclure une recherche détaillée des antécédents médicaux, en particulier chez les patients adultes. Des tests de dépistage appropriés (par exemple, test cutané à la tuberculine, test de libération d'interféron gamma ou radiographie thoracique) doivent être réalisés chez tous les patients (les recommandations nationales peuvent être appliquées). Une surveillance attentive des patients concernant les signes et symptômes évoquant une tuberculose doit être effectuée pendant et après le traitement par Ilaris. Tous les patients doivent être informés qu'ils doivent prendre un avis médical en cas d'apparition de signes ou symptômes évoquant une tuberculose (par exemple, toux persistante, perte de poids, état subfébrile) au cours du traitement par canakinumab. En cas de conversion d'une IDR négative à une IDR positive, en particulier chez les patients à haut risque, une confirmation par d'autres méthodes de dépistage de la tuberculose doit être envisagée. * Neutropénie et leucopénie Dans le cadre de l'utilisation de médicaments inhibiteurs de l'IL-1, dont canakinumab, il a été observé des neutropénies (nombre absolu de polynucléaires neutrophiles <1,5 x 10 puissance 9/litre) et des leucopénies. Les patients présentant une neutropénie ou une leucopénie ne doivent pas être mis sous traitement par Ilaris. Une numération des globules blancs incluant les polynucléaires neutrophiles est recommandée préalablement à toute initiation de traitement puis à nouveau 1 à 2 mois après son instauration. Lors de traitements chroniques ou répétés, une évaluation régulière du nombre de globules blancs est également recommandée pendant toute la durée du traitement. L'apparition d'une neutropénie ou d'une leucopénie doit conduire à une surveillance étroite du nombre absolu de globules blancs de même que l'interruption du traitement doit être envisagée. * Pathologies malignes Des cas de pathologie maligne ont été rapportés chez des patients traités par canakinumab. Le risque de développement de pathologies malignes associé au traitement par un médicament inhibiteur de l'IL-1 est inconnu. * Réactions d'hypersensibilité Des réactions d'hypersensibilité associées au traitement par canakinumab ont été rapportées. La majorité de ces cas étaient de sévérité moyenne. Au cours du développement clinique de canakinumab chez plus de 2 600 patients, aucune réaction anaphylactoïde ou anaphylactique attribuable au traitement par canakinumab n'a été rapportée. Cependant, le risque de réaction d'hypersensibilité sévère, qui n'est pas rare avec les protéines injectables, ne peut être exclu (Cf. rubrique "Contre-indications"). * Fonction hépatique Lors des essais cliniques, des cas bénins, transitoires et asymptomatiques d'élévations des transaminases sériques ou de la bilirubinémie ont été rapportés (Cf. rubrique "Effets indésirables"). * Vaccinations Il n'existe pas de données disponibles sur le risque de transmission secondaire d'une infection par un vaccin vivant (atténué) chez les patients traités par canakinumab. Par conséquent, les vaccins vivants ne doivent pas être administrés au cours d'un traitement par Ilaris, à moins que les bénéfices ne dépassent clairement les risques (Cf. rubrique "Interactions"). Avant l'instauration du traitement par canakinumab, les patients adultes et pédiatriques doivent recevoir toutes les vaccinations recommandées appropriées, y compris le vaccin anti-pneumococcique et le vaccin inactivé contre la grippe. * Mutation sur le gène NLRP3 chez les patients atteints de CAPS L'expérience clinique chez les patients atteints de CAPS sans mutation confirmée du gène NLRP3 est limitée * Syndrome d'activation macrophagique chez les patients atteints de la maladie de Still (AJIs et MSA) Le syndrome d'activation macrophagique (SAM) est une affection connue mettant en jeu le pronostic vital, qui peut se développer chez les patients atteints de maladies rhumatismales, notamment la maladie de Still. En cas de survenue ou de suspicion d'un SAM, une évaluation et un traitement doivent être initiés dès que possible. Les médecins doivent être attentifs aux symptômes d'infection ou à l'aggravation de la maladie de Still car ce sont des facteurs déclenchants connus du SAM. Sur la base de l'expérience issue des essais cliniques, canakinumab ne semble pas augmenter l'incidence du SAM chez les patients atteints de la maladie de Still, mais aucune conclusion définitive ne peut être tirée pour le moment. * Syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse (DRESS) Un syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse (DRESS) a été rarement rapporté chez des patients traités par Ilaris, principalement chez des patients atteints d'arthrite juvénile idiopathique systémique (AJIS). Les patients atteints de DRESS peuvent nécessiter une hospitalisation, car cette affection peut être fatale. Si des signes et symptômes de DRESS sont présents et si une autre étiologie ne peut être établie, Ilaris ne doit pas être réadministré et un autre traitement doit être envisagé. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
Terrain N° 13 | EXPOSITION A UNE TEMPERATURE EXTREME |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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