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Voie(s) d'administration : |
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Forme(s) pharmaceutique(s) : |
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Poudre et solvant pour solution injectable. |
Référence(s) bibliographique(s) : |
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Substance(s) active(s)
Excipient(s)
SOLVANT Excipient(s) |
Précision(s) composition : |
Un flacon contient 150 mg de canakinumab (*). Après reconstitution, chaque ml de solution contient 150 mg de canakinumab. (*) anticorps monoclonal humain produit sur myélome murin de cellules Sp2/0 par technique de l'ADN recombinant. |
Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM européenne 30/07/2018
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Classe pharmacothérapeutique : Immunosuppresseurs, inhibiteurs des interleukines, Code ATC : L04AC08 * Mécanisme d'action Le canakinumab est un anticorps monoclonal humain dirigé contre l'interleukine-1 bêta (IL-1 bêta) humaine d'isotype IgG1/ kappa. Le canakinumab se lie avec une haute affinité à l'IL-1 bêta humaine et neutralise son activité biologique en inhibant son interaction avec les récepteurs à l'IL-1, empêchant ainsi l'activation génique induite par l'IL-1 bêta et la synthèse de médiateurs inflammatoires. * Effets pharmacodynamiques - CAPS, TRAPS, HIDS/MKD et FMF Lors des études cliniques, il a été observé chez les patients atteints de CAPS, TRAPS, HIDS/MKD et FMF qui présentaient une surproduction non contrôlée de l'IL-1 bêta, une réponse rapide et prolongée au traitement par le canakinumab ; des paramètres biologiques comme une élévation du taux de protéine C réactive (CRP) et de protéine amyloïde sérique A (SAA), un nombre élevé de neutrophiles et de plaquettes et une hyperleucocytose s'étant rapidement normalisés. - Maladie de Still (MSA et AJIs) La maladie de Still de l'adulte et l'arthrite juvénile idiopathique systémique sont des maladies auto-inflammatoires sévères, médiées par l'immunité innée par l'intermédiaire de cytokines pro-inflammatoires, dont l'une des principales est l'IL-1-bêta. Les manifestations habituelles de la MSA et de l'AJIs comprennent notamment de la fièvre, des éruptions, une hépatosplénomégalie, une lymphadénopathie, une polysérosite et une arthrite. Le traitement par le canakinumab entraîne une amélioration rapide et prolongée des manifestations aussi bien articulaires que systémiques de l'AJIs, avec une réduction significative du nombre d'articulations inflammatoires, la résolution rapide de la fièvre et une réduction des marqueurs biologiques de la phase aiguë de l'inflammation chez la majorité des patients (Cf. "Efficacité et sécurité clinique"). - Arthrite goutteuse La crise d'arthrite goutteuse est déclenchée par la présence de cristaux d'acide urique (urate monosodique monohydraté) dans l'articulation et les tissus voisins, ce qui entraîne la production par les macrophages résidents d'IL-1 bêta via le complexe "inflammasome NALP3". L'activation des macrophages et la surproduction concomitante d'IL-1 bêta entraînent une réponse inflammatoire aiguë douloureuse. D'autres activateurs du système immunitaire inné, tels que les agonistes endogènes des récepteurs toll-like, peuvent contribuer à l'activation de la transcription du gène de l'IL-1 bêta, déclenchant alors une crise d'arthrite goutteuse. Après le traitement par le canakinumab, les marqueurs inflammatoires CRP ou SAA et les signes d'inflammation aiguë (par exemple, douleurs, gonflement, rougeur) dans l'articulation affectée disparaissent rapidement. * Efficacité et sécurité clinique - CAPS L'efficacité et la sécurité d'utilisation du canakinumab ont été démontrées chez des patients atteints de CAPS qui présentaient des niveaux variables de sévérité de la maladie et différents phénotypes (incluant FCAS/FCU, MWS et NOMID/CINCA). Seuls les patients avec une mutation NLRP3 confirmée ont été inclus dans l'étude pivotale. Dans l'étude de phase I/II, le délai d'action du traitement par le canakinumab a été rapide, avec la disparition ou une amélioration clinique significative des symptômes dans les 24 heures suivant l'administration. L'augmentation des paramètres biologiques comme les taux de CRP et de SAA, de neutrophiles et de plaquettes s'est rapidement normalisée en quelques jours après l'injection de canakinumab. L'étude pivotale était une étude multicentrique de 48 semaines différenciée en trois phases, une période en ouvert de 8 semaines (partie I), une période randomisée en double aveugle contrôlée contre placebo de 24 semaines (partie II) et une période en ouvert de 16 semaines (partie III). L'objectif de l'étude était d'évaluer l'efficacité, la sécurité d'utilisation et la tolérance du canakinumab (150 mg ou 2 mg/kg toutes les 8 semaines) chez les patients atteints de CAPS. - Partie I : une réponse totale au traitement par le canakinumab à la fois clinique et sur les biomarqueurs (définie par un critère composite associant l'évaluation globale de la maladie auto- inflammatoire par le médecin, des lésions cutanées inférieure ou égale au score minimal et des taux de CRP ou SAA < 10 mg/litre) a été observée chez 97 % des patients et est apparue dans les 7 jours suivant le début du traitement. Des améliorations significatives de l'évaluation clinique de l'activité de la maladie auto-inflammatoire par le médecin ont été observées : évaluation globale de l'activité de la maladie auto-inflammatoire, évaluation des lésions cutanées (éruptions urticariennes), arthralgies, myalgies, céphalées/migraine, conjonctivite, fatigue/malaise, évaluation des autres symptômes associés et évaluation des symptômes par le patient. - Partie II : durant cette phase de l'étude pivotale, le critère principal était défini comme le pourcentage de patients présentant une rechute/poussée de la maladie : aucun (0%) des patients randomisés sous canakinumab n'a fait de poussées en comparaison avec le pourcentage de 81 % des patients randomisés sous placebo. - Partie III : chez les patients sous placebo dans la partie II qui avaient présenté des poussées, les réponses cliniques et biologiques ont été restaurées et maintenues après l'administration de canakinumab durant la phase d'extension en ouvert. Données 2. Données résumé de l'efficacité durant l'étude pivotale de phase III contrôlée contre placebo (partie II) Période contrôlée contre placebo (partie II) de l'étude pivotale de phase III Critère principal (poussées) - Pourcentage de patients ayant présenté une poussée de la maladie dans la partie II . Canakinumab n = 15 : 0 (0 %) . Placebo n = 16 : 13 (81 %) . Valeur P : < 0,001 - Marqueurs inflammatoires(*) Protéine C réactive, mg/l . Canakinumab n = 15 : 1,10 (0,40) . Placebo n = 16 : 19,93 (10,50) . Valeur P : < 0,001 Serum Amyloïde A, mg/l . Canakinumab n = 15 : 2,27 (-0,20) . Placebo n = 16 : 71,09 (14,35) . Valeur P : 0,002 (*) modification moyenne (médiane) depuis le début de la partie II Deux études de phase III à long terme, non contrôlées, en ouvert, ont été réalisées. L'une d'elles était une étude de sécurité, de tolérance et d'efficacité du canakinumab chez des patients atteints de CAPS. La durée totale de traitement a été comprise entre 6 mois et 2 ans. L'autre étude était une étude en ouvert destinée à évaluer l'efficacité et la tolérance du canakinumab chez des patients japonais atteints de CAPS pendant 24 semaines, avec une phase d'extension allant jusqu'à 48 semaines. L'objectif principal était d'évaluer la proportion de patients sans rechute à la semaine 24, y compris les patients chez qui la dose avait été augmentée. Dans l'analyse d'efficacité poolée de ces deux études, 65,6 % des patients n'ayant pas été préalablement traités par le canakinumab ont obtenu une réponse complète avec la dose de 150 mg ou 2 mg/kg, tandis que 85,2 % des patients obtenaient une réponse complète quelle que soit la dose. Parmi les patients traités par la dose de 600 mg ou 8 mg/kg (voire plus), 43,8 % ont obtenu une réponse complète. Une réponse complète a été observée moins fréquemment chez les patients âgés de 2 à moins de 4 ans (57,1 %) que chez les enfants plus âgés et les adultes. Parmi les patients ayant obtenu une réponse complète, 89,3 % ont maintenu la réponse sans présenter de rechute. L'expérience chez les patients ayant obtenu une réponse complète après escalade de dose jusqu'à 600 mg (8 mg/kg) toutes les 8 semaines suggère qu'une dose plus forte pourrait être bénéfique chez les patients n'obtenant pas de réponse complète ou ne maintenant pas la réponse complète aux doses recommandées (dose de 150 mg ou 2 mg/kg chez les patients pesant > ou = 15 kg et < ou = 40 kg). La dose a été plus souvent augmentée chez les patients âgés de 2 à moins de 4 ans et chez les patients présentant des symptômes de NOMID/CINCA comparativement aux patients atteints de FCAS ou de MWS. Un registre observationnel sur 6 ans a été mis en place afin de collecter des données à long terme sur la tolérance et l'efficacité du traitement par Ilaris dans la pratique clinique de routine chez des enfants et des adultes atteints de CAPS. L'étude a inclus 243 patients atteints de CAPS (dont 85 patients de moins de 18 ans). L'activité de la maladie a été évaluée comme absente ou modérée chez plus de 90% des patients à tous les moments d'évaluation au cours de l'étude, et les valeurs médianes des marqueurs sérologiques d'inflammation (CRP et SAA) étaient normaux (< 10 mg/litre) à tous les moments d'évaluation au cours de l'étude. Bien qu'environ 22% des patients ayant reçu Ilaris ait nécessité une adaptation de dose, seul un faible pourcentage de patients (1,2%) a interrompu le traitement par Ilaris en raison d'un manque d'efficacité. - Population pédiatrique Au total, 80 patients pédiatriques âgés de 2 à 17 ans (dont la moitié environ ont été traités avec une posologie adaptée en fonction du poids) ont été inclus dans les études interventionnelles CAPS avec ce médicament. Globalement, il n'y a pas eu de différence cliniquement significative du profil d'efficacité, de sécurité d'emploi et de tolérance de ce médicament chez les patients pédiatriques comparativement à celui observé dans la population générale atteinte de CAPS. La majorité des patients pédiatriques ont obtenu une amélioration des symptômes cliniques et des marqueurs objectifs de l'inflammation (par exemple, SAA et CRP). Une étude de 56 semaines, en ouvert, a été menée pour évaluer l'efficacité, la sécurité et le profil de tolérance de ce médicament chez des enfants atteints de CAPS, âgés de 4 ans et moins. Dix-sept patients (dont 6 patients âgés de moins de 2 ans) ont été évalués, après utilisation de doses initiales en fonction de leur poids de 2-8 mg/kg. Cette étude a également évalué l'effet du canakinumab sur le développement des anticorps après des vaccinations infantiles recommandées. Aucune différence de tolérance ou d'efficacité n'a été observée entre les patients âgés de moins de 2 ans et les patients âgés de 2 ans et plus. Tous les patients ayant reçu des vaccins non vivants recommandés par le calendrier vaccinal infantile (N=7), ont développé des niveaux d'anticorps protecteurs. * TRAPS, HIDS/MKD et FMF L'efficacité et la sécurité d'emploi de canakinumab dans le traitement de TRAPS, HIDS/MKD et de FMF ont été démontrées par une seule étude pivotale de phase III en 4 parties (N2301) avec trois cohortes de maladies distinctes. - Partie I : les patients de chaque cohorte âgés de 2 ans et plus ont été admis en période de sélection de 12 semaines au cours de laquelle on pouvait vérifier l'apparition d'une poussée de la maladie. - Partie II : les patients présentant une poussée ont été randomisés pour une période de traitement de 16 semaines, en double aveugle, contrôlée contre placebo, au cours de laquelle ils ont reçu soit 150 mg de canakinumab (2 mg/kg pour les patients pesant < ou = 40 kg) par voie sous-cutanée (s.c.) soit un placebo toutes les 4 semaines. Les patients âgés de > 28 jours mais < 2 ans ont été admis à participer directement à l'étude dans un bras ouvert de la Partie II en tant que patients non randomisés (et ont été exclus de l'analyse d'efficacité primaire). - Partie III : les patients ayant reçu 16 semaines de traitement et classés comme répondeurs ont été à nouveau randomisés pendant une période en double aveugle de 24 semaines au cours de laquelle ils ont reçu canakinumab 150 mg (2 mg/kg pour les patients < ou = 40 kg) s.c. ou un placebo toutes les 8 semaines. - Partie IV : tous les patients de la Partie III traités par canakinumab étaient éligibles pour participer à un programme d'extension du traitement en ouvert pendant une période de 72 semaines. Un total de 185 patients âgés de 28 jours et plus ont été inclus et un total de 181 patients âgés de 2 ans et plus ont été randomisés dans la partie II de l'étude. Le critère principal d'efficacité de la période de traitement randomisé (Partie II) était la proportion de répondeurs avec résolution de la poussée initiale le jour 15 au sein de chaque cohorte et qui ne présentaient pas de nouvelle poussée pendant le reste de la période de traitement de 16 semaines (défini comme réponse complète). La résolution de la poussée initiale a été définie comme le fait d'avoir une évaluation globale par le médecin (EGM) du score d'activité de la maladie < 2 ("maladie minime ou absente") et un taux de protéine C réactive (CRP) dans les limites de la normale (< ou = 10 mg/l) ou une réduction > ou = 70 % par rapport à la valeur à l'inclusion. Une nouvelle poussée était définie comme étant un score EGM > ou = 2 ("maladie légère, modérée ou sévère") et un CRP > ou = 30 mg/l. Les critères d'évaluation secondaires, tous basés sur les résultats à la semaine 16 (fin de la Partie II), incluaient la proportion de patients ayant obtenu un score EGM < 2, la proportion de patients en rémission sérologique (définie comme CRP < ou = 10 mg/l), et la proportion de patients présentant un taux de protéine amyloïde sérique A (SAA) normalisé (défini comme SAA < ou = 10 mg/l). Pour le critère principal d'efficacité, ce médicament était supérieur au placebo pour les trois cohortes de maladies. Ilaris a demontré également une efficacité supérieure comparativement au placebo pour les critères d'évaluation secondaires de EGM < 2 et CRP < ou = 10 mg/l dans les trois cohortes. Une proportion plus importante de patients présentaient un taux de SAA normalisé (< ou = 10 mg/l) la semaine 16 avec le traitement par ce médicament comparativement au placebo dans les trois cohortes, avec une différence statistiquement significative observée chez les patients atteints de TRAPS (Cf.ci-dessous présentant les résultats de l'étude). Résumé de l'efficacité dans l'étude pivotale de phase III randomisée, contrôlée contre placebo (Partie II) Critère principal (poussée de maladie) - Proportion de patients qui présentaient une disparition de la poussée initiale le jour 15 et qui ne présentaient pas de nouvelle poussée pendant le reste de la période de traitement de 16 semaines - FMF . Canakinumab n/N (%) :19/31 (61,29) . Placebo n/N (%) : 2/32 (6,25) . Valeur p : < 0,0001 (*) - HIDS/MKD . Canakinumab n/N (%) : 13/37 (35,14) . Placebo n/N (%) : 2/35 (5,71) . Valeur p : 0,0020 (*) - TRAPS . Canakinumab n/N (%) : 10/22 (45,45) . Placebo n/N (%) : 2/24 (8,33) . Valeur p : 0,0050 (*) Critères d'évaluation secondaires (maladie et marqueurs inflammatoires) Évaluation globale par le médecin < 2 - FMF . Canakinumab n/N (%) : 20/31 (64,52) . Placebo n/N (%) : 3/32 (9,38) . Valeur p : < 0,0001 (**) - HIDS/MKD . Canakinumab n/N (%) : 17/37 (45,95) . Placebo n/N (%) : v . Valeur p : 0,0006 (**) - TRAPS - Protéine C réactive < ou = 10 mg/l . Canakinumab n/N (%) : 10/22 (45,45) . Placebo n/N (%) : 1/24 (4,17) . Valeur p : 0,0028 (**) - FMF . Canakinumab n/N (%) : 21/31 (67,74) . Placebo n/N (%) : 2/32 (6,25) . Valeur p : < 0,0001 (**) - HIDS/MKD . Canakinumab n/N (%) : 15/37 (40,54) . Placebo n/N (%) : 2/35 (5,71) . Valeur p : 0,0010 (**) - TRAPS - Protéine amyloïde sérique A < ou = 10 mg/l . Canakinumab n/N (%) : 8/22 (36,36) . Placebo n/N (%) : 2/24 (8,33) . Valeur p : 0,0149 (**) - FMF . Canakinumab n/N (%) : 8/31 (25,81) . Placebo n/N (%) : 0/32 (0,00) . Valeur p : 0,0286 - HIDS/MKD . Canakinumab n/N (%) : 5/37 (13,51) . Placebo n/N (%) : 1/35 (2,86) . Valeur p : 0,0778 - TRAPS . Canakinumab n/N (%) : 6/22 (27,27) . Placebo n/N (%) : 0/24 (0,00) . Valeur p : 0,0235 (**) n = nombre de répondeurs ; N = nombre de patients évaluables (*) Indique une différence statistiquement significative (unilatérale) au niveau 0,025 sur la base du test exact de Fisher (**) Indique une différence statistiquement significative (unilatérale) au niveau 0,025 sur la base du modèle de régression logistique avec le groupe traité et l'EGM, CRP ou SAA à l'inclusion, respectivement, en tant que variables explicatives pour chaque cohorte - Augmentation de la dose Dans la Partie II de l'étude, les patients traités par ce médicament qui présentaient une persistance de la maladie ont reçu une dose supplémentaire de 150 mg (ou de 2 mg/kg pour les patients < ou = 40 kg) au cours du premier mois. Cette dose supplémentaire a pu être administrée dès le 7e jour après la première dose de traitement. Tous les patients dont la dose a été augmentée ont continué de recevoir la dose augmentée de 300 mg (ou 4 mg/kg pour les patients < ou = 40 kg) toutes les 4 semaines. Dans une analyse exploratoire du critère principal, il a été observé que chez les patients présentant une réponse insuffisante après la première dose, une augmentation de la dose au cours du premier mois à une dose de 300 mg (ou 4 mg/kg) toutes les 4 semaines améliorait davantage le contrôle des poussées, réduisait l'activité de la maladie et ramenait la CRP et la SAA à des taux normaux. - Patients pédiatriques : Deux patients atteints de HIDS/MKD non randomisés âgés de > 28 jours mais de < 2 ans ont été inclus dans l'étude et ont reçu du canakinumab. Un patient présentait une résolution de la poussée initiale au jour 15 après avoir reçu une seule dose de canakinumab 2 mg/kg, mais a arrêté le traitement après cette première dose en raison d'évènements indésirables graves (pancytopénie et insuffisance hépatique). Ce patient présentait lors de l'inclusion dans l'étude un antécédent de purpura thrombocytopénique immun et une maladie associée à une fonction hépatique anormale. Le second patient a reçu une dose initiale de canakinumab de 2 mg/kg et une dose supplémentaire de 2 mg/kg la semaine 3, et a vu sa dose augmenter la semaine 5 pour recevoir une dose de 4 mg/kg administrée toutes les 4 semaines jusqu'à la fin de la Partie II de l'étude. La résolution de la poussée de la maladie a été atteinte la semaine 5 et le patient n'avait présenté aucune nouvelle poussée à la fin de la Partie II de l'étude (semaine 16). * Maladie de Still - AJIs L'efficacité de canakinumab dans le traitement de l'AJIs active a été évaluée dans deux études pivotales (G2305 et G2301). Les patients inclus étaient âgés de 2 à moins de 20 ans (âge moyen de 8,5 ans et durée moyenne de la maladie de 3,5 ans lors de l'inclusion) et étaient atteints de maladie active, définie comme au moins 2 articulations présentant une arthrite active, de la fièvre et un taux de CRP élevé. - Etude G2305 L'étude G2305 était une étude de 4 semaines, randomisée, en double aveugle, contrôlée contre placebo, évaluant l'efficacité à court terme de canakinumab chez 84 patients randomisés pour recevoir une dose unique de 4 mg/kg (jusqu'à 300 mg) de canakinumab ou un placebo. L'objectif principal était la proportion de patients ayant obtenu au jour 15 une amélioration d'au moins 30 % des critères de réponse pédiatrique de l'American College of Rheumatology (ACR) adaptés pour inclure l'absence de fièvre. Le traitement par Ilaris a amélioré tous les scores de réponse ACR pédiatrique versus placebo aux jours 15 et 29. Réponse ACR pédiatrique et statut de la maladie aux jours 15 et 29 -> Jour 15 - Canakinumab (N =43) . ACR 30 : 84% . ACR 50 : 67 % . ACR 70 : 61 % . ACR 90 : 42 % . ACR 100 : 33 % . Maladie inactive : 33 % - Placebo (N =41) . ACR 30 : 10% . ACR 50 : 5 % . ACR 70 : 2 % . ACR 90 : 0 % . ACR 100 : 0 % . Maladie inactive : 0% -> Jour 29 - Canakinumab (N =43) . ACR 30 : 81% . ACR 50 : 79 % . ACR 70 : 67 % . ACR 90 : 47 % . ACR 100 : 33 % . Maladie inactive : 30 % - Placebo (N =41) . ACR 30 : 10% . ACR 50 : 5 % . ACR 70 : 2 % . ACR 90 : 2 % . ACR 100 : 2 % . Maladie inactive : 0% La différence entre les traitements pour tous les scores ACR était significative (p < ou =0,0001) Les résultats pour les différentes composantes de la réponse ACR pédiatrique adaptée, incluant les composantes systémiques et articulaires, étaient cohérents avec les résultats de la réponse ACR globale. Au jour 15, la modification médiane du nombre d'articulations avec arthrite active et limitation de la mobilité par rapport à l'inclusion a été respectivement de -67 % et -73 % avec canakinumab (N = 43) versus une modification médiane respectivement de 0 % et 0 % avec le placebo (N = 41). La modification moyenne du score de douleur (échelle visuelle analogique de 0 à 100 mm) au jour 15 a été de -50,0 mm avec canakinumab (N = 43) versus +4,5 mm avec le placebo (N = 25). La modification moyenne du score de douleur chez les patients traités par Ilaris au jour 29 était cohérente avec les résultats précédents. - Etude G2301 L'étude G2301 était une étude randomisée, en double aveugle, contrôlée contre placebo, de prévention des poussées par canakinumab. L'étude était composée de deux parties, avec deux critères principaux d'évaluation indépendants (succès de la réduction des doses de corticoïdes et délai de survenue d'une poussée). Dans la partie I (en ouvert), 177 patients ont été inclus et ont reçu 4 mg/kg (jusqu'à 300 mg) de canakinumab administrés toutes les 4 semaines jusqu'à 32 semaines. Les patients de la partie II (en double aveugle) ont reçu soit Ilaris 4 mg/kg soit un placebo toutes les 4 semaines jusqu'à la survenue de 37 poussées. - Réduction progressive de la dose de corticoïdes : Sur les 128 patients inclus au total dans la partie I qui recevaient des corticoïdes, 92 ont tenté une réduction progressive des corticoïdes. Cinquante-sept (62 %) des 92 patients ayant tenté une réduction progressive ont réussi à réduire leur dose de corticoïdes et 42 (46 %) ont arrêté les corticoïdes. - Délai de survenue d'une poussée : Les patients traités par canakinumab dans la partie II ont obtenu une réduction de 64 % du risque de survenue d'une poussée par rapport aux patients du groupe placebo (risque relatif de 0,36 ; IC à 95 % : 0,17 à 0,75 ; p = 0,0032). Soixante-trois des 100 patients inclus dans la partie II, qu'ils aient été randomisés pour recevoir le placebo ou le canakinumab, n'ont pas présenté de poussée au cours de la période d'observation (jusqu‘à 80 semaines au maximum). - Résultats relatifs à la santé et à la qualité de vie dans les études G2305 et G2301 Le traitement par canakinumab a entraîné des améliorations cliniquement pertinentes des capacités physiques et de la qualité de vie des patients. Dans l'étude G2305, l'amélioration moyenne des scores du questionnaire d'évaluation de la santé de l'enfant (Childhood Health Assessment Questionnaire) a été de 0,69 avec Ilaris versus placebo, ce qui représente 3,6 fois la différence minimale cliniquement pertinente de 0,19 (p = 0,0002). L'amélioration médiane entre l'inclusion et la fin de la partie I de l'étude G2301 a été de 0,88 (79 %). Des améliorations statistiquement significatives des scores du questionnaire sur la santé de l'enfant (Child Health Questionnaire-PF50) ont été rapportées avec canakinumab versus placebo dans l'étude G2305 (bien-être physique, p = 0,0012 ; bien-être psychosocial, p = 0,0017). - Analyse d'efficacité poolée Les données des 12 premières semaines de traitement par canakinumab dans les études G2305, G2301 et de l'étude d'extension ont été poolées afin d'évaluer le maintien de l'efficacité. Ces données ont montré des améliorations de la réponse ACR pédiatrique adaptée et de ses composantes entre l'inclusion et la semaine 12 similaires à celles observées dans l'étude contrôlée contre placebo (G2305). A la semaine 12, les réponses ACR pédiatriques adaptées 30, 50, 70, 90 et 100 ont été de 70 %, 69 %, 61 %, 49 % et 30 % respectivement, et 28 % des patients avaient une maladie inactive (N = 178). L'efficacité observée dans les études G2305 et G2301 s'est maintenue dans l'étude d'extension à long terme en ouvert (étude en cours, données disponibles jusqu'à une durée médiane de suivi de 49 semaines). Dans cette étude, 25 patients ayant obtenu une forte réponse ACR pendant au moins 5 mois ont réduit leur dose de canakinumab à 2 mg/kg toutes les 4 semaines et ont maintenu une réponse ACR 100 pédiatrique tout au long de la période d'administration de la dose réduite (durée médiane de 32 semaines, 8-124 semaines). Bien que limitées, les données issues des essais cliniques suggèrent que les patients ne répondant pas au tocilizumab ou à l'anakinra pourraient répondre au canakinumab. * AJIs chez les jeunes adultes et MSA L'efficacité de ce médicament dans un sous-groupe de jeunes adultes atteints d'AJIs et âgés de 16 à 20 ans était concordante avec l'efficacité observée chez des patients de moins de 16 ans. Selon des données de la littérature, le profil d'efficacité chez les patients atteints de MSA devrait être similaire à celui observé chez les patients atteints d'AJIs. * Arthrite goutteuse L'efficacité de canakinumab pour le traitement des crises aiguës d'arthrite goutteuse a été démontrée par deux études multicentriques, randomisées, en double aveugle, contrôlées contre un produit actif, réalisées chez des patients présentant des crises d'arthrite goutteuse fréquentes (> ou = 3 crises au cours des 12 mois précédents) ne pouvant pas utiliser d'AINS ou de colchicine (en raison d'une contre-indication, d'une intolérance ou d'un manque d'efficacité). Les études ont duré 12 semaines, suivies d'une extension en double aveugle de 12 semaines. Au total, 225 patients ont été traités par canakinumab 150 mg en sous-cutané et 229 patients ont été traités par l'acétonide de triamcinolone (AT) 40 mg en intramusculaire lors de l'inclusion dans l'étude puis en cas de nouvelle crise. Le nombre moyen de crises d'arthrite goutteuse dans les 12 mois précédents était de 6,5. Plus de 85% des patients présentaient une comorbidité, tels que hypertension (60%), diabète (15%), maladie cardiaque ischémique (12%), et insuffisance rénale chronique de stade > ou = 3 (25%). Environ un tiers des patients (76 [33,8%] dans le groupe canakinumab et 84 [36,7%] dans le groupe acétonide de triamcinolone) présentait une incapacité documentée (intolérance, contre-indication, absence de réponse) à utiliser un AINS ou de la colchicine. Un traitement concomitant par THU a été rapporté par 42% des patients à l'entrée dans les études. Les co-critères principaux d'évaluation étaient les suivants : (i) intensité de la douleur liée à l'arthrite goutteuse (échelle visuelle analogique, EVA) 72 heures après l'administration, et (ii) délai de survenue de la première nouvelle crise d'arthrite goutteuse. Dans la population totale étudiée, l'intensité de la douleur a été statistiquement significativement plus faible avec canakinumab 150 mg qu'avec l'acétonide de triamcinolone à 72 heures. Canakinumab diminue également le risque de crises ultérieures (Cf. données ci-dessous). Les résultats d'efficacité chez les patients ne pouvant utiliser ni AINS ni colchicine et qui bénéficiaient d'un THU, étaient en échec sous THU ou présentaient une contre-indication au THU (N=101) ont été cohérents avec ceux observés dans la population totale étudiée, avec une différence statistiquement significative versus acétonide de triamcinolone dans l'intensité de la douleur à 72 heures (-10,2 mm ; p=0,0208) et dans la réduction du risque de crises ultérieures (Risque relatif 0,39 ; p=0,0047 à 24 semaines) Les résultats d'efficacité dans un sous-groupe plus restreint, limité aux utilisateurs de THU (N=62), sont présentés ci-dessous. Le traitement par canakinumab a entrainé une diminution de la douleur et a réduit le risque de crises ultérieures chez les patients traités par THU et qui ne pouvaient pas recevoir d'AINS ou de colchicine, bien que la différence observée versus acétonide de triamcinolone ait été moins prononcée que dans la population totale étudiée. Efficacité dans la population totale étudiée et chez les patients traités par THU ne pouvant pas utiliser d'AINS et de colchicine Critère d'évaluation de l'efficacité -> Population totale étudiée ; N=454 - Efficacité du traitement des crises d'arthrite goutteuse mesurée à partir de l'intensité de la douleur (EVA) à 72 h . Différence estimée des moyennes des moindres carrés par rapport à l'acétonide de triamcinolone : -10,7 . IC : (-15,4 ; -6,0) . valeur de p, unilatérale : p < 0,0001 (*) - Réduction du risque de crises ultérieures d'arthrite goutteuse mesurée à partir du délai de survenue de la première nouvelle crise (24 semaines) . Risque relatif par rapport à l'acétonide de triamcinolone : : 0,44 . IC : (0,32 ; 0,60) . valeur de p, unilatérale : p < 0,0001 (*) -> Patients sous THU ne pouvant pas utiliser d'AINS et de colchicine N=62 - Efficacité du traitement des crises d'arthrite goutteuse mesurée à partir de l'intensité de la douleur (EVA) à 72 h . Différence estimée des moyennes des moindres carrés par rapport à l'acétonide de triamcinolone : -3,8 . IC : (-16,7 ; 9,1) . valeur de p, unilatérale : p = 0,2798 - Réduction du risque de crises ultérieures d'arthrite goutteuse mesurée à partir du délai de survenue de la première nouvelle crise (24 semaines) . Risque relatif par rapport à l'acétonide de triamcinolone : : 0,71 . IC : (0,29 ; 1,77) . valeur de p, unilatérale : p = 0,2337 (*) indique une valeur de p significative < 0.025 Les résultats de sécurité ont montré une augmentation de l'incidence des évènements indésirables pour le canakinumab comparativement à l'acétonide de triamcinolone, avec 66% vs 53% de patients ayant rapporté un évènement indésirable et 20% vs 10% de patients ayant rapporté un évènement indésirable infectieux sur 24 semaines. - Population âgée Dans l'ensemble, le profil d'efficacité, de sécurité d'emploi et de tolérance de canakinumab chez les patients âgés > ou = 65 ans a été comparable à celui des patients âgés < 65 ans. - Patients sous traitement hypo-uricémiant (THU) Dans les études cliniques, canakinumab a été administré sans encombre avec un THU. Dans la population totale étudiée, les patients sous THU ont montré une différence sous traitement moins prononcée à la fois de la réduction de la douleur et du risque de crises ultérieures en comparaison aux patients qui n'étaient pas sous THU. * Immunogénicité Des anticorps contre Ilaris ont été observés chez environ 1,5 %, 3 % et 2 % des patients traités par ce médicament respectivement pour un CAPS, pour une AJIs et pour une arthrite goutteuse. Aucun anticorps neutralisant n'a été détecté. Aucune corrélation apparente entre le développement d'anticorps et la réponse clinique ou la survenue d'événements indésirables n'a été observée. Il n'a pas été détecté d'anticorps dirigés contre ce médicament chez les patients atteints de TRAPS, HIDS/MKD et de FMF et traités aux doses de 150 mg et 300 mg pendant 16 semaines. * Population pédiatrique Le titulaire de l'Autorisation de Mise sur le Marché a réalisé quatre plans d'investigation pédiatrique pour ce médicament (dans les CAPS, l'AJIs, la FMF - HIDS/MKD et les TRAPS respectivement). Les informations sur le produit ont été mises à jour pour inclure les résultats d'études réalisées avec Ilaris dans la population pédiatrique. L'Agence européenne des médicaments a accordé une dérogation à l'obligation de soumettre les résultats d'études réalisées avec ce médicament dans tous les sous-groupes de la population pédiatrique dans l'arthrite goutteuse (Cf. rubrique "Posologie" pour les informations concernant l'usage pédiatrique). |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
* CAPS - Absorption Le pic de concentration sérique (Cmax) du canakinumab a été atteint environ 7 jours après l'injection sous-cutanée d'une dose unique de 150 mg chez des patients adultes atteints de CAPS. La demi-vie terminale moyenne était de 26 jours. Les valeurs moyennes de la Cmax et de l'ASCinf après l'administration d'une dose unique de 150 mg en sous-cutané chez un patient adulte type atteint de CAPS (70 kg) ont été de 15,9 µg/ml et 708 microg x j/ml. La biodisponibilité absolue du canakinumab administré par voie sous-cutanée a été estimée à 66 %. Les paramètres d'exposition (tels que l'ASC et la Cmax) ont augmenté proportionnellement à la dose dans l'intervalle de doses compris entre 0,30 mg/kg et 10,0 mg/kg administrées en perfusion intraveineuse ou de 150 mg à 600 mg en injection sous-cutanée. Les valeurs d'exposition prédites à l'état d'équilibre (Cmin EE, Cmax,EE, AUC,EE,8s) après une administration sous-cutanée de 150 mg (ou 2 mg/kg respectivement) toutes les 8 semaines ont été légèrement plus élevées dans la catégorie de poids de 40-70 kg (6,6 microg/ml, 24,3 microg/ml, 767 microg x j/ml) que dans les catégories de poids strictement inférieures à 40 kg (4,0 microg/ml, 19,9 microg/ml, 566 microg x j/ml) et strictement supérieures à 70 kg (4,6 microg/ml, 17,8 microg/ml, 545 microg x j/ml). Le taux d'accumulation attendu était de 1,3 après 6 mois d'administration sous-cutanée de 150 mg de canakinumab toutes les 8 semaines. - Distribution Le canakinumab se lie à l'IL-1 bêta sérique. Le volume de distribution (Vss) du canakinumab varie en fonction du poids corporel. Il a été estimé à 6,2 litres chez un patient atteint de CAPS pesant 70 kg. - Elimination La clairance apparente (CL/F) du canakinumab augmente avec le poids corporel. Elle a été estimée à 0,17 l/j chez un patient atteint de CAPS pesant 70 kg et à 0,11 l/j chez un patient atteint d'AJIs pesant 33 kg. Après prise en compte des différences de poids corporel, aucune différence cliniquement significative des propriétés pharmacocinétiques du canakinumab n'a été observée entre les patients atteints de CAPS et les patients atteints d'AJIs. Après administration répétée, il n'a été mis en évidence ni une augmentation de la clairance ni une modification au cours du temps des paramètres pharmacocinétiques du canakinumab. Il n'a été observé aucune différence pharmacocinétique liée au sexe ou à l'âge lors de l'ajustement de la dose en fonction du poids. * TRAPS, HIDS/MKD et FMF La biodisponibilité chez les patients atteints de TRAPS, HIDS/MKD et de FMF n'a pas été déterminée directement. La clairance apparente (CL/F) dans la population de patients atteints de TRAPS, HIDS/MKD et de FMF avec un poids corporel de 55 kg (0,14 l/d) était comparable à la population de patients atteints de CAPS avec un poids corporel de 70 kg (0,17 l/d). Le volume de distribution apparent (V/F) était de 4,96 l avec un poids corporel de 55 kg. Après administration sous-cutanée répétée de 150 mg toutes les 4 semaines, il a été estimé que la concentration minimale de canakinumab à la semaine 16 (Cmin) était de 15,4 +/- 6,6 microgrammes/ml. L'ASCtau estimée à l'état d'équilibre était de 636,7 +/- 260,2 microgrammes x d/ml. * Population atteinte de la maladie de Still (AJIs et MSA) La biodisponibilité du canakinumab chez les patients atteints d'AJIs n'a pas été spécifiquement déterminée. La clairance apparente par kg de poids corporel (CL/F par kg) était comparable dans la population atteinte d'AJIs et la population atteinte de CAPS (0,004 l/j par kg). Le volume de distribution apparent par kg (V/F par kg) était de 0,14 l/kg. Les rares données de pharmacocinétique (PK) chez les patients atteints de MSA suggèrent que la PK de canakinumab est similaire à celle observée chez les patients atteints d'AJIs et chez les autres populations de patients. Après une administration répétée de 4 mg/kg toutes les 4 semaines, le taux d'accumulation du canakinumab était de 1,6 chez les patients atteints d'AJIs. L'état d'équilibre était atteint après 110 jours. La moyenne globale attendue (± écart-type) pour la Cmin EE, Cmax,EE, et l'ASC,EE,4s était respectivement de 14,7 +/- 8,8 microg/ml, 36,5 +/- 14,9 microg/ml et 696,1 +/- 326,5 microg x j/ml. L'ASCEE, 4s dans chaque groupe d'âge a été de 692, 615, 707 et 742 microg x j/ml pour les groupes d'âge respectifs de 2-3, 4-5, 6-11 et 12-19 ans. Après stratification en fonction du poids, une exposition médiane inférieure (30-40%) était observée avec une Cmin EE (11,4 vs 19 µg/ml) et une ASC,EE (594 vs 880 microg x j/ml) pour la catégorie de poids la plus basse (< ou = 40 kg) vs la catégorie de poids la plus haute (> 40 kg). L'analyse pharmacocinétique de population a montré que les propriétés pharmacocinétiques du canakinumab chez les jeunes adultes atteints d'AJIs âgés de 16 à 20 ans étaient similaires à celles observées chez les patients de moins de 16 ans. Les expositions au canakinumab prévues à l'état d'équilibre à une dose de 4 mg/kg (maximum 300 mg) chez des patients de plus de 20 ans étaient comparables à celle des patients AJIs de moins de 20 ans. * Population atteinte d'arthrite goutteuse La biodisponibilité du canakinumab chez les patients atteints d'arthrite goutteuse n'a pas été spécifiquement déterminée. La clairance apparente par kg de poids corporel (CL/F par kg) était comparable dans la population atteinte d'arthrite goutteuse et la population atteinte de CAPS (0,004 l/j/kg). L'exposition moyenne chez un patient type atteint d'arthrite goutteuse (93 kg) après l'administration d'une dose unique de 150 mg en sous-cutané (Cmax : 10,8 microg/ml et ASCinf : 495 microg x j/ml) a été plus faible que chez un patient type atteint de CAPS pesant 70 kg (15,9 µg/ml et 708 microg x j/ml). Cela est cohérent avec l'augmentation de la CL/F observée avec l'augmentation du poids corporel. Le taux d'accumulation attendu était de 1,1 après l'administration sous-cutanée de 150 mg de canakinumab toutes les 12 semaines. * Population pédiatrique Les concentrations maximales de canakinumab ont été atteintes 2 à 7 jours (Tmax) après l'administration sous-cutanée d'une dose unique de 150 mg ou de 2 mg/kg de canakinumab chez des patients pédiatriques âgés de 4 ans et plus. La demi-vie terminale était comprise dans l'intervalle de 22,9 jours à 25,7 jours, similaire aux paramètres pharmacocinétiques observés chez l'adulte. Etablie à partir de l'analyse modèle pharmacocinétique de population, la pharmacocinétique du canakinumab chez les enfants âgés de 2 à moins de 4 ans a été similaire à celle observée chez les patients âgés de 4 ans ou plus. Il a été estimé que le niveau d'absorption sous-cutanée diminuait avec l'âge et apparaissait être plus rapide chez les patients les plus jeunes. En conséquence, le Tmax était plus précoce (3,6 jours) chez les patients atteints d'AJIs les plus jeunes (2-3 ans) par rapports aux patients atteints d'AJIs les plus âgés (12-19 ans : Tmax de 6 jours). La biosdisponibilité (ASC,EE) n'était pas affectée. Une analyse pharmacocinétique complémentaire a démontré que la pharmacocinétique du canakinumab chez 6 patients pédiatriques atteints de CAPS âgés de moins de 2 ans était similaire à la pharmacocinétique chez les patients âgés de 2-4 ans. Sur la base de l'analyse de modélisation pharmacocinétique de population, les expositions attendues après une dose de 2 mg/kg étaient comparables au sein des groupes CAPS d'âge pédiatrique, mais étaient environ 40% plus faibles chez les patients pédiatriques de très faible poids (par exemple, 10 kg) que chez les patients adultes (dose de 150 mg). Ceci est cohérent avec les observations d'exposition plus élevée dans les groupes de poids corporel plus élevé des patients CAPS. Chez les patients atteints de TRAPS, HIDS/MKD et de FMF, les paramètres d'exposition (concentrations résiduelles) étaient comparables au sein des groupes d'âge de 2 à < 20 ans après administration sous-cutanée de canakinumab 2 mg/kg toutes les 4 semaines. Les propriétés pharmacocinétiques sont similaires dans les populations pédiatriques atteintes de CAPS, TRAPS, HIDS/MKD, FMF et d'AJIs. * Population âgée Aucune modification des paramètres pharmacocinétiques basée sur la clairance ou le volume de distribution n'a été observée entre les patients âgés et les patients adultes âgés < 65 ans. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
Les données non cliniques issues des études conventionnelles de réactivité croisée, de toxicité par administration répétée, d'immunotoxicité, de toxicité sur la reproduction et le développement n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme. Aucune étude formelle de cancérogenèse avec le canakinumab n'a été réalisée. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
Attention : il n'existe plus de médicament commercialisé correspondant à ce médicament virtuel.
Spécialité(s) génériques Thériaque | Type | Prix |
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ILARIS 150MG PDR ET SOL INJ FL NSFP | ||
Comparer prix |
Groupe générique(s) : Néant |
Spécialité(s) générique(s) ansm et date(s) d'application : Néant |
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ILARIS (EPAR) 2017 |
ILARIS SYNTHESE D'AVIS 2017 | |
PNDS 2017 - ARTHR JUVEN IDIOPAT | |
ILARIS SYNTHESE D'AVIS 2014 (2) | |
ILARIS SYNTHESE D'AVIS 2014 (1) | |
ILARIS SYNTHESE D'AVIS 2014 | |
PNDS 2013 - SYND. PER. ASSOC. CRYOPYRYNE | |
ILARIS (ANCIEN PGR) 2010 | |
PNDS 2009 - ARTHR JUVEN IDIOPAT | |
ILARIS CONDITIONS D'UTILISATION |
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* Conditions de prescription et de délivrance Liste I. Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription initiale et renouvellement réservés aux spécialistes en rhumatologie, en médecine interne, en dermatologie ou en pédiatrie. Médicament nécessitant une surveillance particulière pendant le traitement. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 | |
Code UCD13 : | 3400893781838 |
Code UCD7 : | 9378183 |
Code identifiant spécialité : | 6 141 554 1 |
Laboratoire(s) titulaire(s) AMM: |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 | |
Laboratoire(s) exploitant(s) : |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 | |
1 flacon(s) en verre - 1 flacon(s) en verre de 5 ml avec 1 seringue(s) avec 1 aiguille(s) avec 2 adaptateur avec 4 tampon(s) alcoolisé(s)
Code CIP13 | 3400921787597 |
Code CIP7 | 2178759 |
Commercialisation | Supprimé le 22/11/2018 |
Agrément collectivités/date JO | Oui le 06/12/2011 |
Présentation réservée à l'hôpital | Non |
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD) |
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1. POUDRE | |
Conditionnement primaire | 1 FLACON(S) (1) contenant 6 ML |
Matériau(x) |
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Caractéristique(s) du conditionnement primaire |
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2. SOLVANT | |
Conditionnement primaire | 1 FLACON(S) (1) de 6 ML contenant 5 ML |
Matériau(x) |
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Caractéristique(s) du conditionnement primaire |
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Caractéristique(s) de l'emballage |
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* Nature et contenu de l'emballage extérieur |
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Présentation unitaire | OUI |
Référence(s) bibliographique(s) | |
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Conditions de délivrance |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
Statut de la présentation |
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Ancien médicament orphelin : Le médicament "Anticorps monoclonal recombinant humain anti-IL1 bêta de la classe des IgG1/K" est désigné comme médicament orphelin pour l'indication : Traitement des syndromes périodiaques associés à la cryopyrine (urticaire familial au froid (FCAS), syndrome de Muckle-Wells (MWS), maladie systémique inflammatoire à début néonatal (NOMID) aussi appelé syndrome chronique infantile neurologique cutané et articulaire (CINCA). Ce médicament est inscrit au registre communautaire des médicaments orphelins sous le numéro EU/3/07/439. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
1. Prix en officine ville | |
Prix de cette présentation (CIP)/date JO | Prix libre |
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) | Non concerné |
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur) | |
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) | Non concerné |
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) | Non concerné |
1. Ville | |
Taux de remboursement/date JO |
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2. Hôpital (Rétrocession - vente au public) | |
Taux de remboursement |
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* Journal Officiel du 1er Juillet 2010 |
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Statut(s) du remboursement |
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* Arrêté du 30 octobre 2015 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques agréées à l'usage des collectivités et divers services publics La prise en charge des spécialités ci-dessous est étendue à l'indication suivante : - syndromes périodiques associés à la cryopyrine. Ce médicament est indiqué chez les adultes, les adolescents et les enfants de 2 ans et plus et pesant au moins 7,5 kg dans le traitement des syndromes périodiques associés à la cryopyrine (CAPS), incluant : - le syndrome de Muckle-Wells (MWS) ; - le syndrome chronique infantile neurologique, cutané et articulaire (CINCA)/la maladie systémique inflammatoire à début néo-natal (NOMID) ; - les formes sévères du syndrome familial auto-inflammatoire au froid (FCAS) ou urticaire familial au froid (FCU) présentant une symptomatologie ne se limitant pas à l'éruption urticarienne induite par le froid. (JO du 06/11/2015) |
SMR spécifique de cette présentation | NON |
Modalité(s) de dispensation |
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Durée(s) et condition(s) de conservation |
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* Durée de conservation |
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Conditions de conservation après reconstitution, dilution ou ouverture
* Durée et précautions particulières de conservation |
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Référence(s) officielles(s) : Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
SYNDROME PERIODIQUE ASSOCIE A LA CRYOPYRINE
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- Syndromes de fièvres périodiques Ce médicament est indiqué dans le traitement des syndromes de fièvres périodiques auto-inflammatoires suivants chez les adultes, les adolescents et les enfants de plus de 2 ans : - Syndromes périodiques associés à la cryopyrine Ce médicament est indiqué dans le traitement des syndromes périodiques associés à la cryopyrine (CAPS), incluant : . Le syndrome de Muckle-Wells (MWS) . La maladie systémique inflammatoire à début néo-natal (NOMID) / le syndrome chronique infantile neurologique, cutané et articulaire (CINCA) . Les formes sévères du syndrome familial auto-inflammatoire au froid (FCAS) ou urticaire familiale au froid (FCU), présentant une symptomatologie ne se limitant pas à l'éruption urticarienne induite par le froid. |
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Taux remboursement pour cette indication/date JO | 65 % le 04/04/2018 (Code CIP 2178759) |
SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 03/06/2015 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 Protocole national de diagnostic et de soins pour les maladies rares PNDS 2013 - SYND. PER. ASSOC. CRYOPYRYNE |
CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : Urticaire familiale au froid ; Syndrome périodique associé à la cryopyrine |
CAPS (Cryopyrin Associated Periodic Syndrom) |
MUCKLE-WELLS SYNDROME
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- Syndromes de fièvres périodiques Ce médicament est indiqué dans le traitement des syndromes de fièvres périodiques auto-inflammatoires suivants chez les adultes, les adolescents et les enfants de plus de 2 ans : - Syndromes périodiques associés à la cryopyrine Ce médicament est indiqué dans le traitement des syndromes périodiques associés à la cryopyrine (CAPS), incluant le syndrome de Muckle-Wells (MWS) |
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Taux remboursement pour cette indication/date JO | 65 % le 04/04/2018 (Code CIP 2178759) |
SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 03/06/2015 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : Syndrome de Muckle-Wells |
Urticaire - surdité - amylose rénale |
SYNDROME CHRONIQUE INFANTILE NEUROLOGIQUE CUTANE ARTICULAIRE
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- Syndromes de fièvres périodiques Ce médicament est indiqué dans le traitement des syndromes de fièvres périodiques auto-inflammatoires suivants chez les adultes, les adolescents et les enfants de plus de 2 ans : - Syndromes périodiques associés à la cryopyrine Ce médicament est indiqué dans le traitement des syndromes périodiques associés à la cryopyrine (CAPS), incluant la maladie systémique inflammatoire à début néo-natal (NOMID) / le syndrome chronique infantile neurologique, cutané et articulaire (CINCA) |
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Taux remboursement pour cette indication/date JO | 65 % le 04/04/2018 (Code CIP 2178759) |
SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 03/06/2015 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : Syndrome CINCA ; Syndrome CINCA avec mutation de NLRP3 ; Syndrome CINCA sans mutation de NLRP3 |
Maladie inflammatoire multisystémique de l'enfant Maladie inflammatoire multisystémique néonatale Syndrome Chronique-Infantile-Neurologique-Cutané-Articulaire Syndrome de Prieur-Griscelli |
URTICAIRE FAMILIAL AU FROID
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- Syndromes de fièvres périodiques Ce médicament est indiqué dans le traitement des syndromes de fièvres périodiques auto-inflammatoires suivants chez les adultes, les adolescents et les enfants de plus de 2 ans : - Syndromes périodiques associés à la cryopyrine Ce médicament est indiqué dans le traitement des syndromes périodiques associés à la cryopyrine (CAPS), incluant les formes sévères du syndrome familial auto-inflammatoire au froid (FCAS) ou urticaire familiale au froid (FCU), présentant une symptomatologie ne se limitant pas à l'éruption urticarienne induite par le froid. |
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Taux remboursement pour cette indication/date JO | 65 % le 04/04/2018 (Code CIP 2178759) |
SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 03/06/2015 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : Urticaire familiale au froid ; Dérèglement et déficit immunitaire lié à PLCG2 |
Syndrome autoinflammatoire au froid familial |
GOUTTE
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Ce médicament est indiqué dans le traitement symptomatique des patients adultes présentant des crises fréquentes d'arthrite goutteuse (au moins 3 crises au cours des 12 mois précédents) chez qui les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et la colchicine sont contre-indiqués, mal tolérés ou n'entrainent pas de réponse suffisante et chez qui des cures répétées de corticoïdes ne sont pas appropriées (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). |
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Taux remboursement pour cette indication/date JO | 65 % le 04/04/2018 (Code CIP 2178759) |
SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 03/06/2015 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
POLYARTHRITE JUVENILE CHRONIQUE
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Ce médicament est indiqué dans le traitement de la maladie de Still active comprenant l'arthrite juvénile idiopathique systémique (AJIs) chez les patients âgés de 2 ans et plus, qui ont présenté une réponse inadéquate à un précédent traitement par anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et par corticoïdes systémiques. Ce médicament peut être utilisé en monothérapie ou en association au méthotrexate. |
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Taux remboursement pour cette indication/date JO | 65 % le 04/04/2018 (Code CIP 2178759) |
SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 03/06/2015 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 Protocole national de diagnostic et de soins pour les maladies rares PNDS 2009 - ARTHR JUVEN IDIOPAT |
CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : ; Polyarthrite juvénile |
Arthrite juvénile idiopathique - Synonyme(s) Arthrite juvénile chronique Arthrite juvénile rhumatoïde - Maladie(s) incluse(s) Oligo-arthrite juvénile Polyarthrite avec facteur rhumatoïde Polyarthrite sans facteur rhumatoïde Polyarthrite systémique Rhumatisme psoriasique Spondylarthropathie |
MALADIE DE STILL DE L'ADULTE
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Ce médicament est indiqué dans le traitement de la maladie de Still active comprenant la maladie de Still de l'adulte (MSA), qui ont présenté une réponse inadéquate à un précédent traitement par anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et par corticoïdes systémiques. Ce médicament peut être utilisé en monothérapie ou en association au méthotrexate. |
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SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : Maladie de Still de l'adulte |
Wissler-Fanconi, syndrome de |
SYNDROME PERIODIQUE ASSOCIE AU RECEPTEUR 1 DU TNF
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- Syndromes de fièvres périodiques Ce médicament est indiqué dans le traitement des syndromes de fièvres périodiques auto-inflammatoires suivants chez les adultes, les adolescents et les enfants de plus de 2 ans : - Syndrome périodique associé au récepteur du facteur de nécrose tumorale (TRAPS) Ce médicament est indiqué dans le traitement du syndrome périodique associé au récepteur du facteur de nécrose tumorale (TNF) (TRAPS). |
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Taux remboursement pour cette indication/date JO | 65 % le 04/04/2018 (Code CIP 2178759) |
SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 09/11/2017 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : Syndrome périodique associé au récepteur 1 du facteur de nécrose tumorale |
Fièvre hibernienne familiale / Fièvre périodique autosomique dominante / Syndrome TRAPS / Syndrome périodique associé au récepteur 1 du TNF / Syndrome périodique associé au récepteur 1 du facteur de nécrose tumorale |
SYNDROME DE L'HYPERIMMUNOGLOBULINEMIE D
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- Syndromes de fièvres périodiques Ce médicament est indiqué dans le traitement des syndromes de fièvres périodiques auto-inflammatoires suivants chez les adultes, les adolescents et les enfants de plus de 2 ans : - Syndrome de l'hyperimmunoglobulinémie D (HIDS)/déficit en mévalonate kinase (MKD) Ce médicament est indiqué dans le traitement du syndrome de l'hyperimmunoglobulinémie D (HIDS)/déficit en mévalonate kinase (MKD). |
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Taux remboursement pour cette indication/date JO | 0 % le 06/12/2011 (Code CIP 2178759) |
SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 09/11/2017 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : Syndrome de fièvre périodique avec hyperimmunoglobulinémie D |
Déficit partiel en mévalonate kinase / Fièvre récurrente avec hyper-IgD / Fièvre récurrente avec hyperimmunoglobulinémie D / HIDS / Syndrome hyper-IgD |
MALADIE PERIODIQUE
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- Syndromes de fièvres périodiques Ce médicament est indiqué dans le traitement des syndromes de fièvres périodiques auto-inflammatoires suivants chez les adultes, les adolescents et les enfants de plus de 2 ans : - Fièvre méditerranéenne familiale (FMF) Ce médicament est indiqué dans le traitement de la fièvre méditerranéenne familiale (FMF). Ce médicament peut être utilisé en association avec la colchicine, le cas échéant. |
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Taux remboursement pour cette indication/date JO | 0 % le 06/12/2011 (Code CIP 2178759) |
SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 09/11/2017 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : Fièvre méditerranéen |
FMF Périodique, maladie |
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- Syndromes de fièvres périodiques Ce médicament est indiqué dans le traitement des syndromes de fièvres périodiques auto-inflammatoires suivants chez les adultes, les adolescents et les enfants de plus de 2 ans : - Fièvre méditerranéenne familiale (FMF) Ce médicament est indiqué dans le traitement de la fièvre méditerranéenne familiale (FMF). * Consulter la fiche d'information thérapeutique FIT 2018 : le médicament est remboursé à 65% dans l'indication restreinte remboursée suivante : Fièvre méditerranéenne familiale (FMF) : Formes résistantes à la colchicine. |
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Taux remboursement pour cette indication/date JO | 65 % le 04/04/2018 (Code CIP 2178759) | ||
SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations | ||
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
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CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : Fièvre méditerranéen | ||
FMF Périodique, maladie |
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- Syndromes de fièvres périodiques Ce médicament est indiqué dans le traitement des syndromes de fièvres périodiques auto-inflammatoires suivants chez les adultes, les adolescents et les enfants de plus de 2 ans : - Syndrome de l'hyperimmunoglobulinémie D (HIDS)/déficit en mévalonate kinase (MKD) Ce médicament est indiqué dans le traitement du syndrome de l'hyperimmunoglobulinémie D (HIDS)/déficit en mévalonate kinase (MKD). * Consulter la fiche d'information thérapeutique FIT 2018 : le médicament est remboursé à 65% dans l'indication restreinte remboursée suivante : - Syndrome de l'hyperimmunoglobulinémie D/déficit en mévalonate kinase (HIDS/MKD) : Formes sévères avec de fréquents accès fébriles auto-inflammatoires ou une persistance d'un syndrome inflammatoire biologique chronique ; |
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Taux remboursement pour cette indication/date JO | 65 % le 04/04/2018 (Code CIP 2178759) | ||
SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations | ||
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
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CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : Syndrome de fièvre périodique avec hyperimmunoglobulinémie D | ||
Déficit partiel en mévalonate kinase / Fièvre récurrente avec hyper-IgD / Fièvre récurrente avec hyperimmunoglobulinémie D / HIDS / Syndrome hyper-IgD |
Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie INITIALE | |
Dose | 150 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /8 SEMAINES |
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Durée de traitement |
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Posologie ENTRETIEN | |
Dose | de 150 MG/ADMINISTRATION à 600 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /8 SEMAINES |
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Durée de traitement |
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Posologie MAXIMALE | |
Dose | 600 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /8 SEMAINES |
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Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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* Posologie Dans les CAPS, le traitement doit être instauré et surveillé par un médecin spécialiste ayant l'expérience du diagnostic et du traitement de l'indication concernée. - CAPS : adultes, adolescents et enfants âgés de 2 ans et plus Le traitement doit être instauré et surveillé par un médecin spécialiste ayant l'expérience du diagnostic et du traitement du CAPS. Après avoir été correctement formés à la technique d'injection et si leur médecin la juge appropriée, l'administration de canakinumab peut être effectuée par les patients eux-mêmes. Le cas échéant un suivi médical peut être mis en place. Chez les patients présentant un CAPS, la dose initiale recommandée de canakinumab est la suivante : Adultes, adolescents et enfants âgés de 4 ans et plus: . 150 mg chez les patients pesant strictement plus de 40 kg La dose doit être administrée par injection sous-cutanée toutes les huit semaines en dose unique. Chez les patients recevant une dose initiale de 150 mg, l'administration d'une deuxième dose de 150 mg de canakinumab peut être envisagée 7 jours après le début du traitement, en l'absence de réponse clinique satisfaisante (résolution du rash cutané et des autres symptômes inflammatoires généralisés). Dans ce cas, s'il a été obtenu une réponse totale au traitement, le schéma posologique augmenté doit être maintenu (300 mg ou 4 mg/kg toutes les 8 semaines). En l'absence de réponse clinique satisfaisante 7 jours après cette augmentation de dose, l'administration d'une troisième dose de 300 mg de canakinumab peut être envisagée. Dans ce cas, s'il a été obtenu une réponse totale au traitement, le maintien du schéma posologique augmenté à 600 mg toutes les 8 semaines doit être envisagé, sur la base d'un jugement clinique individuel. L'expérience clinique est limitée pour des administrations à moins de 4 semaines d'intervalle ou pour des doses supérieures à 600 mg. * Populations particulières - Population pédiatrique . CAPS La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants atteints de CAPS âgés de moins de 2 ans n'ont pas été établies. Les données actuellement disponibles sont décrites dans les rubriques "Effets indésirables", "Propriétés pharmacodynamiques" et "Propriétés pharmacocinétiques" mais aucune recommandation posologique ne peut être donnée. - Sujets âgés Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. - Insuffisance hépatique Canakinumab n'a pas été étudié chez les patients atteints d'insuffisance hépatique. Aucune recommandation sur la posologie ne peut être donnée. - Insuffisance rénale Aucune adaptation posologique n'est nécessaire chez les patients atteints d'insuffisance rénale. L'expérience clinique chez ces patients est toutefois limitée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie INITIALE | |
Dose | 2 MG/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /8 SEMAINES |
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Durée de traitement |
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Posologie ENTRETIEN | |
Dose | de 2 MG/KG/ADMINISTRATION à 8 MG/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /8 SEMAINES |
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Durée de traitement |
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Posologie MAXIMALE | |
Dose | 8 MG/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /8 SEMAINES |
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Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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* Posologie Dans les CAPS, le traitement doit être instauré et surveillé par un médecin spécialiste ayant l'expérience du diagnostic et du traitement de l'indication concernée. - CAPS : adultes, adolescents et enfants âgés de 2 ans et plus Le traitement doit être instauré et surveillé par un médecin spécialiste ayant l'expérience du diagnostic et du traitement du CAPS. Après avoir été correctement formés à la technique d'injection et si leur médecin la juge appropriée, l'administration de canakinumab peut être effectuée par les patients eux-mêmes. Le cas échéant un suivi médical peut être mis en place. Chez les patients présentant un CAPS, la dose initiale recommandée de canakinumab est la suivante : Adultes, adolescents et enfants âgés de 4 ans et plus: . 2 mg/kg chez les patients pesant entre 15 kg et 40 kg La dose doit être administrée par injection sous-cutanée toutes les huit semaines en dose unique. Chez les patients recevant une dose initiale de 2 mg/kg, l'administration d'une deuxième dose de 2 mg/kg de canakinumab peut être envisagée 7 jours après le début du traitement, en l'absence de réponse clinique satisfaisante (résolution du rash cutané et des autres symptômes inflammatoires généralisés). Dans ce cas, s'il a été obtenu une réponse totale au traitement, le schéma posologique augmenté doit être maintenu (4 mg/kg toutes les 8 semaines). En l'absence de réponse clinique satisfaisante 7 jours après cette augmentation de dose, l'administration d'une troisième dose de 4 mg/kg de canakinumab peut être envisagée. Dans ce cas, s'il a été obtenu une réponse totale au traitement, le maintien du schéma posologique augmenté à 8 mg/kg toutes les 8 semaines doit être envisagé, sur la base d'un jugement clinique individuel. L'expérience clinique est limitée pour des administrations à moins de 4 semaines d'intervalle ou pour des doses supérieures à 8 mg/kg. * Populations particulières - Population pédiatrique . CAPS La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants atteints de CAPS âgés de moins de 2 ans n'ont pas été établies. Les données actuellement disponibles sont décrites dans les rubriques "Effets indésirables", "Propriétés pharmacodynamiques" et "Propriétés pharmacocinétiques" mais aucune recommandation posologique ne peut être donnée. - Sujets âgés Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. - Insuffisance hépatique Canakinumab n'a pas été étudié chez les patients atteints d'insuffisance hépatique. Aucune recommandation sur la posologie ne peut être donnée. - Insuffisance rénale Aucune adaptation posologique n'est nécessaire chez les patients atteints d'insuffisance rénale. L'expérience clinique chez ces patients est toutefois limitée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie INITIALE | |
Dose | 4 MG/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /8 SEMAINES |
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Durée de traitement |
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Posologie ENTRETIEN | |
Dose | de 4 MG/KG/ADMINISTRATION à 8 MG/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /8 SEMAINES |
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Durée de traitement |
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Posologie MAXIMALE | |
Dose | 8 MG/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /8 SEMAINES |
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Durée de traitement | |
Adaptation posologique |
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Surveillance |
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* Posologie Dans les CAPS, le traitement doit être instauré et surveillé par un médecin spécialiste ayant l'expérience du diagnostic et du traitement de l'indication concernée. - CAPS : adultes, adolescents et enfants âgés de 2 ans et plus Le traitement doit être instauré et surveillé par un médecin spécialiste ayant l'expérience du diagnostic et du traitement du CAPS. Après avoir été correctement formés à la technique d'injection et si leur médecin la juge appropriée, l'administration de canakinumab peut être effectuée par les patients eux-mêmes. Le cas échéant un suivi médical peut être mis en place. Chez les patients présentant un CAPS, la dose initiale recommandée de canakinumab est la suivante : Adultes, adolescents et enfants âgés de 4 ans et plus: 4 mg/kg chez les patients pesant entre 7,5 kg et 15 kg Enfants âgés de 2 à moins de 4 ans : 4 mg/kg chez les patients pesant au moins 7,5 kg Chez les patients recevant une dose initiale de 4 mg/kg, l'administration d'une seconde dose de 4 mg/kg de canakinumab peut être envisagée 7 jours après le début du traitement en l'absence de réponse clinique satisfaisante. Dans ce cas, s'il a été obtenu une réponse totale au traitement, le maintien du schéma posologique augmenté à 8 mg/kg toutes les 8 semaines doit être envisagé sur la base d'un jugement clinique individuel. L'expérience clinique est limitée pour des administrations à moins de 4 semaines d'intervalle ou pour des doses supérieures à 8 mg/kg. * Populations particulières - Population pédiatrique . CAPS La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants atteints de CAPS âgés de moins de 2 ans n'ont pas été établies. Les données actuellement disponibles sont décrites dans les rubriques "Effets indésirables", "Propriétés pharmacodynamiques" et "Propriétés pharmacocinétiques" mais aucune recommandation posologique ne peut être donnée. - Sujets âgés Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. - Insuffisance hépatique Canakinumab n'a pas été étudié chez les patients atteints d'insuffisance hépatique. Aucune recommandation sur la posologie ne peut être donnée. - Insuffisance rénale Aucune adaptation posologique n'est nécessaire chez les patients atteints d'insuffisance rénale. L'expérience clinique chez ces patients est toutefois limitée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | 150 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
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Durée de traitement min | 12 SEMAINE(S) ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Recommandation(s) |
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* Posologie Dans l'arthrite goutteuse, le médecin doit être expérimenté dans l'utilisation de substances biologiques et ce médicament doit être administré par un professionnel de la santé. La prise en charge de l'hyperuricémie par un traitement hypo-uricémiant (THU) approprié doit être instaurée ou optimisée. Canakinumab doit être utilisé à la demande pour traiter les crises d'arthrite goutteuse. Dans l'arthrite goutteuse, la dose recommandée de canakinumab chez les patients adultes est de 150 mg administrés par voie sous-cutanée en dose unique au cours d'une crise. Pour obtenir un effet maximum, Ilaris doit être administré dès que possible après le début d'une crise d'arthrite goutteuse. Les patients qui ne répondent pas au traitement initial ne doivent pas être retraités par canakinumab. Chez les patients qui répondent au traitement et qui ont besoin d‘être traités à nouveau, un intervalle d'au moins 12 semaines doit être respecté avant qu'une nouvelle dose de canakinumab puisse être administrée (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). * Populations particulières - Population pédiatrique . Arthrite goutteuse L'utilisation de ce médicament dans la population pédiatrique pour l'indication arthrite goutteuse n'est pas justifiée. - Sujets âgés Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. - Insuffisance hépatique Canakinumab n'a pas été étudié chez les patients atteints d'insuffisance hépatique. Aucune recommandation sur la posologie ne peut être donnée. - Insuffisance rénale Aucune adaptation posologique n'est nécessaire chez les patients atteints d'insuffisance rénale. L'expérience clinique chez ces patients est toutefois limitée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | 4 MG/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /4 SEMAINES |
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Durée de traitement |
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Posologie MAXIMALE | |
Dose | 300 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | ADAPTER |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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* Posologie Dans la maladie de Still, le traitement doit être instauré et surveillé par un médecin spécialiste ayant l'expérience du diagnostic et du traitement de l'indication concernée. Après avoir été correctement formés à la technique d'injection et si leur médecin la juge appropriée, l'administration de canakinumab peut être effectuée par les patients eux-mêmes. Le cas échéant un suivi médical peut être mis en place. - Maladie de Still (AJIs et MSA) Dans la maladie de Still, la dose recommandée de canakinumab chez les patients pesant au moins 7,5 kg est de 4 mg/kg (jusqu'à une dose maximale de 300 mg), administrée par injection sous-cutanée toutes les quatre semaines. Chez les patients ne présentant pas d'amélioration clinique l'intérêt d'une poursuite du traitement par canakinumab devra être reconsidéré par le médecin. * Populations particulières - Population pédiatrique . AJIs La sécurité et l'efficacité de canakinumab chez les enfants atteints d'AJIs âgés de moins de 2 ans n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible. - Sujets âgés Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. - Insuffisance hépatique Canakinumab n'a pas été étudié chez les patients atteints d'insuffisance hépatique. Aucune recommandation sur la posologie ne peut être donnée. - Insuffisance rénale Aucune adaptation posologique n'est nécessaire chez les patients atteints d'insuffisance rénale. L'expérience clinique chez ces patients est toutefois limitée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | 4 MG/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /4 SEMAINES |
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Durée de traitement |
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Posologie MAXIMALE | |
Dose | 300 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | ADAPTER |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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* Posologie Dans la maladie de Still, le traitement doit être instauré et surveillé par un médecin spécialiste ayant l'expérience du diagnostic et du traitement de l'indication concernée. - Maladie de Still (AJIs et MSA) Dans la maladie de Still, la dose recommandée de canakinumab chez les patients pesant au moins 7,5 kg est de 4 mg/kg (jusqu'à une dose maximale de 300 mg), administrée par injection sous-cutanée toutes les quatre semaines. Chez les patients ne présentant pas d'amélioration clinique l'intérêt d'une poursuite du traitement par canakinumab devra être reconsidéré par le médecin. * Populations particulières - Sujets âgés Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. - Insuffisance hépatique Canakinumab n'a pas été étudié chez les patients atteints d'insuffisance hépatique. Aucune recommandation sur la posologie ne peut être donnée. - Insuffisance rénale Aucune adaptation posologique n'est nécessaire chez les patients atteints d'insuffisance rénale. L'expérience clinique chez ces patients est toutefois limitée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie INITIALE | |
Dose | 2 MG/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /4 SEMAINES |
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Durée de traitement |
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Posologie ENTRETIEN | |
Dose | de 2 MG/KG/ADMINISTRATION à 4 MG/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /4 SEMAINES |
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Durée de traitement |
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Posologie MAXIMALE | |
Dose | 4 MG/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /4 SEMAINES |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Recommandation(s) |
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Dans les TRAPS, HIDS/MKD, FMF, le traitement doit être instauré et surveillé par un médecin spécialiste ayant l'expérience du diagnostic et du traitement de l'indication concernée. * TRAPS, HIDS/MKD et FMF : adultes, adolescents et enfants âgés de 2 ans et plus La dose initiale recommandée d'Ilaris chez les patients atteints de TRAPS, HIDS/MKD et de FMF est de : . 2 mg/kg chez les patients pesant > ou = 7,5 kg et < ou = 40 kg Cette dose doit être administrée toutes les quatre semaines par injection sous-cutanée en dose unique. En l'absence de réponse clinique satisfaisante 7 jours après le début du traitement, l'administration d'une seconde dose de 2 mg/kg de ce médicament peut être envisagée. Dans ce cas, s'il a été obtenu une réponse complète au traitement, le schéma posologique augmenté de 4 mg/kg pour les patients pesant < ou = 40 kg) toutes les 4 semaines doit être maintenu. Chez les patients ne présentant pas d'amélioration clinique l'intérêt d'une poursuite du traitement par ce médicament devra être reconsidéré par le médecin. * Populations particulières - Population pédiatrique TRAPS, HIDS/MKD et FMF La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants atteints de TRAPS, HIDS/MKD et FMF âgés de moins de 2 ans n'ont pas été établies. Les données actuellement disponibles sont décrites aux rubriques "Effets indésirables", "Propriétés pharmacodynamiques" et "Propriétés pharmacocinétiques" mais aucune recommandation concernant la posologie ne peut être donnée. - Sujets âgés Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. - Insuffisance hépatique Canakinumab n'a pas été étudié chez les patients atteints d'insuffisance hépatique. Aucune recommandation sur la posologie ne peut être donnée. - Insuffisance rénale Aucune adaptation posologique n'est nécessaire chez les patients atteints d'insuffisance rénale. L'expérience clinique chez ces patients est toutefois limitée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie INITIALE | |
Dose | 150 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /4 SEMAINES |
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Durée de traitement |
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Posologie ENTRETIEN | |
Dose | de 150 MG/ADMINISTRATION à 300 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /4 SEMAINES |
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Durée de traitement |
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Posologie MAXIMALE | |
Dose | 300 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /4 SEMAINES |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Recommandation(s) |
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Dans les TRAPS, HIDS/MKD, FMF, le traitement doit être instauré et surveillé par un médecin spécialiste ayant l'expérience du diagnostic et du traitement de l'indication concernée. * TRAPS, HIDS/MKD et FMF : adultes, adolescents et enfants âgés de 2 ans et plus La dose initiale recommandée d'Ilaris chez les patients atteints de TRAPS, HIDS/MKD et de FMF est de : . 150 mg chez les patients pesant > 40 kg Cette dose doit être administrée toutes les quatre semaines par injection sous-cutanée en dose unique. En l'absence de réponse clinique satisfaisante 7 jours après le début du traitement, l'administration d'une seconde dose de 150 mg de ce médicament peut être envisagée. Dans ce cas, s'il a été obtenu une réponse complète au traitement, le schéma posologique augmenté de 300 mg toutes les 4 semaines doit être maintenu. Chez les patients ne présentant pas d'amélioration clinique l'intérêt d'une poursuite du traitement par ce médicament devra être reconsidéré par le médecin. * Populations particulières - Population pédiatrique TRAPS, HIDS/MKD et FMF La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants atteints de TRAPS, HIDS/MKD et FMF âgés de moins de 2 ans n'ont pas été établies. Les données actuellement disponibles sont décrites aux rubriques "Effets indésirables", "Propriétés pharmacodynamiques" et "Propriétés pharmacocinétiques" mais aucune recommandation concernant la posologie ne peut être donnée. - Sujets âgés Aucune adaptation posologique n'est nécessaire. - Insuffisance hépatique Canakinumab n'a pas été étudié chez les patients atteints d'insuffisance hépatique. Aucune recommandation sur la posologie ne peut être donnée. - Insuffisance rénale Aucune adaptation posologique n'est nécessaire chez les patients atteints d'insuffisance rénale. L'expérience clinique chez ces patients est toutefois limitée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Modalité(s) |
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* Mode d'administration Dans les CAPS, TRAPS, HIDS/MKD, FMF et dans la maladie de Still, le traitement doit être instauré et surveillé par un médecin spécialiste ayant l'expérience du diagnostic et du traitement de l'indication concernée. Dans l'arthrite goutteuse, le médecin doit être expérimenté dans l'utilisation de substances biologiques et ce médicament doit être administré par un professionnel de la santé. Après avoir été correctement formés à la technique d'injection et si le médecin le juge approprié, l'administration de ce médicament peut être effectuée par les patients eux-mêmes ou un de leur soignant. Le cas échéant un suivi médical peut être mis en place. Voie sous-cutanée. Les sites d'injection adaptés sont les suivants: haut de la cuisse, abdomen, haut du bras ou la fesse. Il est recommandé de choisir un site d'injection différent à chaque administration afin d'éviter les douleurs. Une peau lésée ou des zones qui présentent des ecchymoses ou une éruption doivent être évitées. Éviter d'injecter dans du tissu cicatriciel car cela pourrait entraîner une exposition insuffisante à Ilaris. Chaque flacon de ce médicament est à usage unique, destiné à un seul patient, pour une seule dose. * Instructions pour l'administration (Cf. rubrique "Précautions particulières d'élimination et de manipulation) Prélever avec précaution le volume nécessaire en fonction de la dose à administrer (0,1 ml à 1,0 ml) et injecter par voie sous-cutanée à l'aide de l'aiguille de sécurité fournie dans le kit. * Mode d'emploi de ce médicament (Cf. Notice) Veuillez lire l'intégralité de ces instructions avant de commencer à préparer votre médicament. - Votre médecin ou votre infirmière devra vous former à la technique d'injection (voir rubrique : Auto-injection). - La préparation de l'injection prend environ 30 minutes. - Dans cette section, le kit d'injection sera appelé le "kit". INCLUS DANS LE KIT : a. Flacon de poudre b. Flacon de solvant c. Seringue de 1 ml pour injection d. Aiguille de sécurité e. 2 adaptateurs pour flacon f. 4 tampons imbibés d'alcool SITES D'INJECTION Les zones ombrées sur cette illustration représentent les endroits où vous pouvez effectuer l'injection. Choisissez un de ces sites : - partie inférieure droite de l'abdomen ou - partie inférieure gauche de l'abdomen ou - haut de la cuisse droite ou - haut de la cuisse gauche. Vous pouvez également effectuer l'injection dans le haut du bras ou les fesses. Choisissez un site différent pour chaque injection. Cela permettra d'éviter un endolorissement. - N'injectez jamais dans une zone où la peau présente une lésion ou une inflammation. AUTO-INJECTION Etape 19 : Préparer la peau et l'aiguille - Nettoyez la peau du site d'injection avec un nouveau tampon d'alcool. - Retirez le capuchon de l'aiguille en tirant droit. Ne touchez pas l'aiguille et ne la courbez pas. Etape 20 : Administration de l'injection - Pincez doucement la peau au site d'injection que vous avez choisi. Ce doit être une couche de graisse sous-cutanée. - Tenez la seringue comme le montre l'illustration. - Insérez complètement l'aiguille dans la peau à angle droit. - Poussez doucement sur le piston aussi loin que possible. Cela injectera la dose complète. - Attendez ensuite 10 secondes puis retirez l'aiguille. En cas de saignement : - Ne frottez pas le site d'injection. - Appliquez un tampon de coton propre et sec sur la zone. - Appuyez doucement pendant 1 à 2 minutes. Appliquez ensuite un pansement adhésif. APRES L'INJECTION Etape 21 : Remettre le système de protection sur l'aiguille Remettez immédiatement le système de protection sur l'aiguille : - N'approchez pas les doigts de la pointe de l'aiguille et du dispositif de protection. - Appuyer le dispositif de protection de l'aiguille sur une surface dure, par exemple une table. Ne poussez pas le dispositif avec les doigts. - Un "clic" indiquera que le dispositif de protection est correctement en place sur l'aiguille. * Si vous avez utilisé plus d'Ilaris que vous n'auriez dû (Cf. Notice) Si vous vous injectez accidentellement une dose de canakinumab plus élevée que la dose recommandée, bien qu'il soit peu probable que les conséquences soient graves, vous devrez informer le plus rapidement possible votre médecin, votre pharmacien ou votre infirmier/ère. * Si vous avez injecté Ilaris avant le moment prévu (Cf. Notice) - CAPS : sauf prescription contraire de votre médecin, vous devez respecter un intervalle de 8 semaines entre deux doses. - TRAPS, HIDS/MKD ou FMF : sauf prescription contraire de votre médecin, vous devez respecter un intervalle de 4 semaines entre deux doses. - Maladie de Still (MSA ou AJIs) : vous devez respecter un intervalle de 4 semaines entre deux doses. Si vous avez injecté accidentellement Ilaris avant le moment prévu, informez-en le plus rapidement possible votre médecin, votre pharmacien ou votre infirmier/ère. * Si vous oubliez d'utiliser canakinumab (Cf. Notice) Si vous êtes atteint de CAPS, TRAPS, HIDS/MKD, FMF ou de la maladie de Still (MSA ou AJIs) et que vous avez oublié de vous injecter une dose d'Ilaris, injectez la dose suivante dès que vous vous en rendez compte. Puis consultez le médecin pour savoir quand vous devez vous injecter la prochaine dose. Vous devrez ensuite continuer à effectuer les injections aux intervalles recommandés comme auparavant. Si vous avez d'autres questions sur l'utilisation de ce médicament, demandez plus d'informations à votre médecin, à votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Terrain N° 1 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | INFECTION
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | NEUTROPENIE |
Niveau(x) |
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Les patients présentant une neutropénie ne doivent pas être mis sous traitement par ce médicament. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | AGRANULOCYTOSE |
Niveau(x) |
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Les patients présentant une neutropénie ne doivent pas être mis sous traitement par ce médicament. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | VACCINATION
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Niveau(x) |
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Les vaccins vivants ne doivent pas être administrés au cours d'un traitement par ce médicament, à moins que les bénéfices ne dépassent clairement les risques. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | NOUVEAU-NE |
Niveau(x) |
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- CAPS La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants atteints de CAPS âgés de moins de 2 ans n'ont pas été établies. Les données actuellement disponibles sont décrites dans les rubriques "Effets indésirables", "Propriétés pharmacodynamiques" et "Propriétés pharmacocinétiques" mais aucune recommandation posologique ne peut être donnée. - AJIs La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants atteints d'AJIs âgés de moins de 2 ans n'ont pas été établies. - Arthrite goutteuse L'utilisation de ce médicament dans la population pédiatrique pour l'indication arthrite goutteuse n'est pas justifiée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | NOURRISSON
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Niveau(x) |
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- CAPS La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants atteints de CAPS âgés de moins de 2 ans n'ont pas été établies. Les données actuellement disponibles sont décrites dans les rubriques "Effets indésirables", "Propriétés pharmacodynamiques" et "Propriétés pharmacocinétiques" mais aucune recommandation posologique ne peut être donnée. - AJIs La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants atteints d'AJIs âgés de moins de 2 ans n'ont pas été établies. - Arthrite goutteuse L'utilisation de ce médicament dans la population pédiatrique pour l'indication arthrite goutteuse n'est pas justifiée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | NOURRISSON
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Niveau(x) |
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L'utilisation de ce médicament dans l'indication d'arthrite goutteuse dans la population pédiatrique n'est pas justifiée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | ENFANT |
Niveau(x) |
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L'utilisation de ce médicament dans l'indication d'arthrite goutteuse dans la population pédiatrique n'est pas justifiée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | ADULTE JEUNE (15-17 ANS)
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Niveau(x) |
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L'utilisation de ce médicament dans l'indication d'arthrite goutteuse dans la population pédiatrique n'est pas justifiée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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- Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients. - Infections sévères, évolutives (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
Terrain N° 1 | INFECTION
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | TOUX |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | AMAIGRISSEMENT |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | ALTERATION DE L'ETAT GENERAL |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | EXAMEN LABORATOIRE INTERFERENCE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | DRESS SYNDROME |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | INSUFFISANCE HEPATIQUE |
Niveau(x) |
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Ce médicament n'a pas été étudié chez les patients atteints d'insuffisance hépatique. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | GROSSESSE |
Niveau(x) |
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Les femmes enceintes ou désirant l'être ne doivent être traitées qu'une fois le rapport bénéfice/risque soigneusement évalué. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | ALLAITEMENT |
Niveau(x) |
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La décision d'allaiter pendant le traitement par canakinumab ne doit donc être prise qu'après une évaluation approfondie du rapport bénéfice/risque. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | FEMME EN AGE DE PROCREER |
Niveau(x) |
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En cas de traitement par canakinumab, les femmes doivent utiliser une contraception efficace pendant toute la durée du traitement et jusqu'à 3 mois après la dernière administration. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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* Traçabilité Afin d'améliorer la traçabilité des médicaments biologiques, le nom et le numéro de lot du produit administré doivent être clairement enregistrés. * Infections Canakinumab est associé à une incidence accrue d'infections graves. Par conséquent, une surveillance attentive concernant l'apparition de signes et symptômes évoquant une infection doit être effectuée chez les patients pendant et après le traitement par canakinumab. La prudence s'impose en cas d'administration de canakinumab à des patients atteints d'infections, ayant des antécédents d'infections récurrentes ou présentant des pathologies sous-jacentes qui peuvent les prédisposer au risque infectieux. - Traitement des CAPS, TRAPS, HIDS/MKD, FMF et de la maladie de Still (MSA et AJIs) Canakinumab ne doit pas être instauré ou continué chez les patients au cours d'une infection évolutive nécessitant une intervention médicale. - Traitement de l'arthrite goutteuse Canakinumab ne doit pas être administré au cours d'une infection évolutive. L'administration concomitante de canakinumab avec des antagonistes du facteur de nécrose tumorale (anti-TNF) n'est pas recommandée, le risque d'infections graves pouvant être majoré (Cf. rubrique "Interactions"). Des cas isolés d'infections inhabituelles ou opportunistes (incluant aspergilloses, infections à mycobactéries atypiques, zona) ont été rapportés au cours du traitement par ce médicament. La relation de causalité entre Ilaris et ces événements ne peut pas être exclue. * Depistage de la tuberculose Dans les études cliniques, 12% des patients atteints de CAPS ayant eu une IDR (intra dermo réaction), ont montré un résultat positif pendant le traitement par Ilaris, sans signes cliniques de tuberculose latente ou active. L'augmentation du risque de réactivation de la tuberculose avec l'utilisation d'inhibiteurs de l'interleukine-1 (IL-1) tels que canakinumab n'est pas connue. Avant de débuter le traitement, une recherche de tuberculose active ou latente doit être effectuée chez tous les patients. Cette évaluation devra inclure une recherche détaillée des antécédents médicaux, en particulier chez les patients adultes. Des tests de dépistage appropriés (par exemple, test cutané à la tuberculine, test de libération d'interféron gamma ou radiographie thoracique) doivent être réalisés chez tous les patients (les recommandations nationales peuvent être appliquées). Une surveillance attentive des patients concernant les signes et symptômes évoquant une tuberculose doit être effectuée pendant et après le traitement par Ilaris. Tous les patients doivent être informés qu'ils doivent prendre un avis médical en cas d'apparition de signes ou symptômes évoquant une tuberculose (par exemple, toux persistante, perte de poids, état subfébrile) au cours du traitement par canakinumab. En cas de conversion d'une IDR négative à une IDR positive, en particulier chez les patients à haut risque, une confirmation par d'autres méthodes de dépistage de la tuberculose doit être envisagée. * Neutropénie et leucopénie Dans le cadre de l'utilisation de médicaments inhibiteurs de l'IL-1, dont canakinumab, il a été observé des neutropénies (nombre absolu de polynucléaires neutrophiles <1,5 x 10 puissance 9/litre) et des leucopénies. Les patients présentant une neutropénie ou une leucopénie ne doivent pas être mis sous traitement par Ilaris. Une numération des globules blancs incluant les polynucléaires neutrophiles est recommandée préalablement à toute initiation de traitement puis à nouveau 1 à 2 mois après son instauration. Lors de traitements chroniques ou répétés, une évaluation régulière du nombre de globules blancs est également recommandée pendant toute la durée du traitement. L'apparition d'une neutropénie ou d'une leucopénie doit conduire à une surveillance étroite du nombre absolu de globules blancs de même que l'interruption du traitement doit être envisagée. * Pathologies malignes Des cas de pathologie maligne ont été rapportés chez des patients traités par canakinumab. Le risque de développement de pathologies malignes associé au traitement par un médicament inhibiteur de l'IL-1 est inconnu. * Réactions d'hypersensibilité Des réactions d'hypersensibilité associées au traitement par canakinumab ont été rapportées. La majorité de ces cas étaient de sévérité moyenne. Au cours du développement clinique de canakinumab chez plus de 2 600 patients, aucune réaction anaphylactoïde ou anaphylactique attribuable au traitement par canakinumab n'a été rapportée. Cependant, le risque de réaction d'hypersensibilité sévère, qui n'est pas rare avec les protéines injectables, ne peut être exclu (Cf. rubrique "Contre-indications"). * Fonction hépatique Lors des essais cliniques, des cas bénins, transitoires et asymptomatiques d'élévations des transaminases sériques ou de la bilirubinémie ont été rapportés (Cf. rubrique "Effets indésirables"). * Vaccinations Il n'existe pas de données disponibles sur le risque de transmission secondaire d'une infection par un vaccin vivant (atténué) chez les patients traités par canakinumab. Par conséquent, les vaccins vivants ne doivent pas être administrés au cours d'un traitement par Ilaris, à moins que les bénéfices ne dépassent clairement les risques (Cf. rubrique "Interactions"). Avant l'instauration du traitement par canakinumab, les patients adultes et pédiatriques doivent recevoir toutes les vaccinations recommandées appropriées, y compris le vaccin anti-pneumococcique et le vaccin inactivé contre la grippe. * Mutation sur le gène NLRP3 chez les patients atteints de CAPS L'expérience clinique chez les patients atteints de CAPS sans mutation confirmée du gène NLRP3 est limitée * Syndrome d'activation macrophagique chez les patients atteints de la maladie de Still (AJIs et MSA) Le syndrome d'activation macrophagique (SAM) est une affection connue mettant en jeu le pronostic vital, qui peut se développer chez les patients atteints de maladies rhumatismales, notamment la maladie de Still. En cas de survenue ou de suspicion d'un SAM, une évaluation et un traitement doivent être initiés dès que possible. Les médecins doivent être attentifs aux symptômes d'infection ou à l'aggravation de la maladie de Still car ce sont des facteurs déclenchants connus du SAM. Sur la base de l'expérience issue des essais cliniques, canakinumab ne semble pas augmenter l'incidence du SAM chez les patients atteints de la maladie de Still, mais aucune conclusion définitive ne peut être tirée pour le moment. * Syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse (DRESS) Un syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse (DRESS) a été rarement rapporté chez des patients traités par Ilaris, principalement chez des patients atteints d'arthrite juvénile idiopathique systémique (AJIS). Les patients atteints de DRESS peuvent nécessiter une hospitalisation, car cette affection peut être fatale. Si des signes et symptômes de DRESS sont présents et si une autre étiologie ne peut être établie, Ilaris ne doit pas être réadministré et un autre traitement doit être envisagé. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
Terrain N° 13 | EXPOSITION A UNE TEMPERATURE EXTREME |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Aucune étude formelle d'interactions entre Ilaris et d'autres médicaments n'a été réalisée. Une incidence accrue d'infections graves a été observée lors de l'administration d'un médicament inhibiteur de l'IL-1 autre que le canakinumab en association avec des médicaments inhibiteurs du TNF. En raison de la majoration du risque d'infections graves, l'administration d'Ilaris avec des médicaments inhibiteurs du TNF est déconseillée. L'expression des enzymes hépatiques CYP450 peut être inhibée par les cytokines responsables de la réponse inflammatoire, comme l'interleukine-1 bêta (IL-1 bêta). Dans le cas d'un traitement par de puissant inhibiteur de cytokines, comme le canakinumab, l'expression des enzymes CYP450 pourrait être restaurée. Ce fait revêt une importance clinique pour les substrats des enzymes CYP450 à index thérapeutique étroit, pour lesquels la dose doit être ajustée individuellement. Lors de l'initiation d'un traitement par canakinumab chez les patients traités avec ce type de médicaments, une surveillance thérapeutique des effets ou de la concentration en substance active devra être effectuée et, si nécessaire, la dose individuelle du médicament devra être ajustée. Il n'existe actuellement aucune donnée de l'impact des vaccins vivants ou de la transmission secondaire d'une infection par ceux-ci chez les patients traités par ce médicament. En conséquence, les vaccins vivants ne doivent pas être administrés pendant un traitement par ce médicament, sauf si les bénéfices l'emportent nettement sur les risques. Dans le cas où une vaccination par un vaccin vivant s'avérerait nécessaire après la mise en route du traitement par ce médicament, il est recommandé de respecter un délai minimum de 3 mois après la dernière injection d'Ilaris et avant la suivante (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Les résultats d'une étude menée chez des volontaires sains adultes ont démontré qu'une dose unique de 300 mg d'Ilaris n'affectait pas l'induction et la persistance des réponses immunitaires à anticorps après une vaccination antigrippale ou après un vaccin anti-méningococcique à base de protéines glycosylées. Les résultats d'une étude en ouvert, de 56 semaines menée chez des enfants atteints de CAPS, âgés de 4 ans et moins ont démontré que tous les patients ayant reçu des vaccins non vivants recommandés par le calendrier vaccinal infantile, ont développé des niveaux d'anticorps protecteurs. |
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Référence(s) officielle(s):  Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
Effet spécialité |
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Niveau(x) de risque |
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Les données concernant l'utilisation du canakinumab chez la femme enceinte sont limitées. Les études de toxicité sur la reproduction menées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effets délétères directs ou indirects (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). Le risque pour le foetus et/ou la mère est inconnu. Les femmes enceintes ou désirant l'être ne doivent être traitées qu'une fois le rapport bénéfice/risque soigneusement évalué. Les études chez l'animal montrent que le canakinumab traverse la barrière placentaire et a été détecté chez le foetus. Aucune donnée n'est disponible chez l'homme, cependant, le canakinumab est une immunoglobuline de classe G (IgG1), un passage transplacentaire est attendu. Les conséquences cliniques ne sont pas connues. L'administration de vaccins vivants à des nouveau-nés exposés au canakinumab in utero n'est pas recommandée pendant les 16 semaines suivant la dernière injection de ce médicament administrée à la mère pendant la grossesse. Il doit être demandé aux femmes ayant reçu du canakinumab pendant leur grossesse d'en informer le médecin de leur nouveau-né avant que celui-ci ne soit vacciné. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
Recommandations |
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En cas de traitement par ce médicament, les femmes doivent utiliser une contraception efficace pendant toute la durée du traitement et jusqu'à 3 mois après la dernière administration. Aucune étude formelle des effets potentiels de ce médicament sur la fertilité humaine n'a été réalisée. Le canakinumab n'a pas eu d'effet sur les paramètres de fertilité des singes mâles marmoset (C. jacchus). Un anticorps murin dirigé contre l'IL-1 bêta murine n'a pas eu d'effets indésirables sur la fertilité des souris mâle ou femelle (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
Passage dans le lait | Pas d'information |
Fixation protéique | Pas d'information |
Rapport concentration lait/plasma maternels | Pas d'information |
Concentration dans 100 ml de lait maternel | Pas d'information |
Recommandations |
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Le passage du canakinumab dans le lait maternel humain n'est pas connu. La décision d'allaiter pendant le traitement par ce médicament ne doit donc être prise qu'après une évaluation approfondie du rapport bénéfice/risque. Des études menées chez l'animal ont montré qu'un anticorps murin dirigé contre l'IL-1 bêta murine n'avait pas d'effets indésirables sur le développement des souriceaux allaités et que cet anticorps leur était transmis (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). |
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Référence(s) officielle(s): | Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
Recommandations |
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Canakinumab a une influence mineure sur l'aptitude à conduire et à utiliser des machines. Le traitement par Ilaris peut entrainer des étourdissements/vertiges ou une asthénie (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Les patients qui ressentent de tels symptômes durant le traitement par canakinumab doivent attendre que ceux-ci aient complètement disparu avant de conduire un véhicule ou d'utiliser une machine. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 30/07/2018 |
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
Site internet: www.ansm.sante.fr.
TROUBLES DU SYSTEME IMMUNITAIRE (2 fiches) |
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TROUBLES METABOLISME ET NUTRITION |
TROUBLES RENAUX ET GENITO-URINAIRES |
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