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Voie(s) d'administration : |
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Forme(s) pharmaceutique(s) : |
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Comprimé pelliculé. |
Référence(s) bibliographique(s) : |
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Substance(s) active(s)
Excipient(s)
PELLICULAGE Excipient(s)
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Précision(s) composition : |
Chaque comprimé pelliculé contient 40 mg de régorafénib. Ce médicament contient 2,427 mmol (ou 55,8 mg) de sodium par dose (160 mg) (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Ce médicament contient 1,68 mg de lécithine (soja) par dose journalière (160 mg) (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). |
Référence(s) officielle(s) : Ampliation ATU 29/12/2012
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Classe pharmaco-thérapeutique : agents antinéoplasiques, inhibiteur de protéine kinase ; Code ATC : L01XE21 * Mécanisme d'action et effets pharmacodynamiques Le régorafénib est un inhibiteur des protéines kinases, y compris des kinases impliquées dans l'angiogénèse tumorale (VEGFR1, 2, 3, TIE2), l'oncogénèse (KIT, RET, RAF-1, BRAF, BRAFV600E) et le microenvironnement tumoral (PDGFR, FGFR). Dans les études précliniques, le régorafénib a fait preuve d'une activité anti-tumorale sur un large spectre de modèles tumoraux, notamment des modèles de tumeur colorectale, activité due à ses effets à la fois anti-angiogéniques et antiprolifératifs. En outre, le régorafénib a présenté des effets anti-métastatiques in vivo. Les principaux métabolites humains (M-2 et M-5) ont fait preuve d'efficacités similaires à celle du régorafénib chez les modèles in vitro aussi bien qu'in vivo. * Efficacité et sécurité clinique L'efficacité et la sécurité cliniques de régorafénib ont été évaluées dans une étude internationale de phase 3, multicentrique, randomisée, en double aveugle, contrôlée versus placebo (CORRECT), chez des patients atteints de cancer colorectal métastatique ayant présenté une progression de la maladie après l'échec de traitements standards. Le principal critère d'évaluation de l'efficacité était la survie globale (SG). Les critères d'évaluation secondaires étaient la survie sans progression (SSP), le taux de réponse tumorale objective et le taux de contrôle de la maladie. Au total, 760 patients ont été randomisés selon un ratio de 2/1 pour recevoir soit 160 mg de régorafénib (4 comprimés contenant chacun 40 mg de régorafénib) par voie orale une fois par jour (N = 505) associé aux soins de support, soit le placebo correspondant associé aux soins de support (N = 255), pendant 3 semaines suivies d'une semaine de pause sans traitement. La dose quotidienne moyenne de régorafénib reçue a été de 147 mg. Les patients ont poursuivi le traitement jusqu'à progression de la maladie ou apparition d'une toxicité inacceptable. Une analyse intermédiaire planifiée de l'efficacité a été réalisée une fois que 432 décès s'étaient produits. L'aveugle a été levé dans cette étude une fois que le seuil d'efficacité prédéfini a été franchi dans cette analyse intermédiaire planifiée de la SG, montrant des signes d'allongement de la survie avec régorafénib associé aux soins de support par rapport au placebo associé aux soins de support. Parmi les 760 patients randomisés, l'âge médian était de 61 ans, 61 % étaient de sexe masculin, 78 % étaient caucasiens et tous les patients présentaient en début d'étude un indice de performance ECOG de 0 ou 1. La localisation primitive de la maladie était le côlon (65 %), le rectum (29 %) ou les deux (6 %). Une mutation KRAS a été rapportée chez 57 % des patients lors de l'inclusion dans l'étude. La plupart des patients avaient déjà été traités en 3e intention ou moins pour leur maladie métastatique. Les traitements antérieurs comprenaient une chimiothérapie à base de fluoropyrimidine, des anti-VEGF et, en cas de gène KRAS de type sauvage, des anti-EGFR. L'ajout de régorafénib aux soins de support a été associé à une survie significativement plus longue par rapport au placebo plus les soins de support, avec un hazard ratio de 0,774 (p = 0,005178 pour le test du log-rank stratifié) et une SG médiane de 6,4 mois vs. 5,0 mois [IC à 95 % : 0,636-0,942] (voir données ci-dessous). La SSP a été significativement plus longue chez les patients traités par régorafénib associé aux soins de support (HR : 0,494 ; p < 0,000001 ; voir le tableau 5 et la figure 2). Le bénéfice en termes de SG et de SSP a été considéré comme indépendant de l'âge, de la présence ou non d'une mutation KRAS et du nombre de traitements antérieurs. Données d'efficacité issues de l'étude CORRECT - Paramètre d'efficacité : Survie globale médiane . Hazard Ratio (*) (IC à 95 %) : 0,774 (0,636 ; 0,942) . Valeur de p (unilatérale) : 0,005178 . Médiane (IC à 95 %) .. Régorafénib plus soins de support (N = 505) : 6,4 mois (5,9 ; 7,3) .. Placebo plus soins de support (N = 255) : 5,0 mois (4,4 ; 5,8) - Paramètre d'efficacité : Survie sans progression médiane . Hazard Ratio (*) (IC à 95 %) : 0,494 (0,419 ; 0,582) . Valeur de p (unilatérale) : < 0,000001 . Médiane (IC à 95 %) .. Régorafénib plus soins de support (N = 505) : 1,9 mois (1,9 ; 2,1) .. Placebo plus soins de support (N = 255) : 1,7 mois (1,7 ; 1,7) (*) Un Hazard Ratio < 1 est en faveur de régorafénib Figure : Survie globale (courbe de Kaplan-Meier) (Cf. RCP) Figure : Survie sans progression (courbe de Kaplan-Meier) (Cf. RCP) |
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Référence(s) officielle(s): Ampliation ATU 29/12/2012 |
* Absorption Des pics moyens de concentration plasmatique du régorafénib de 2,5 mg/l sont atteints en 3 à 4 heures environ suite à l'administration d'une dose orale unique de 160 mg de régorafénib sous la forme de 4 comprimés contenant chacun 40 mg. La biodisponibilité relative moyenne des comprimés par comparaison à une solution buvable est de 69-83 %. Les concentrations du régorafénib et de ses principaux métabolites ont été maximales lorsque le médicament a été administré suite à un petit-déjeuner à faible teneur lipidique (léger), par comparaison à un petit-déjeuner à forte teneur lipidique ou à une administration à jeun. L'exposition au régorafénib et aux deux métabolites actifs, suite à un petit-déjeuner à faible teneur lipidique, a été de 20-40 % plus élevée que celle observée à jeun. * Distribution Le profil des concentrations plasmatiques en fonction du temps, pour le régorafénib ainsi que pour les principaux métabolites en circulation, ont fait apparaître de multiples pics au cours de l'intervalle de 24 heures entre les doses, lesquels ont été attribués au cycle entéro-hépatique. Le taux de liaison du régorafénib aux protéines plasmatiques humaines est élevé (99,5 %). * Métabolisme/biotransformation Le régorafénib est principalement métabolisé dans le foie par métabolisation oxydative, par l'intermédiaire du CYP3A4, ainsi que par glucuroconjugaison par l'intermédiaire de l'UGT1A9. Deux métabolites majeurs et six métabolites mineurs du régorafénib ont été identifiés dans le plasma. Les principaux métabolites circulants du régorafénib dans le plasma humain sont le M-2 (N-oxyde) et le M-5 (N-oxyde et N-déméthyl), qui sont pharmacologiquement actifs et dont les concentrations sont similaires à celle du régorafénib à l'état d'équilibre. Le taux de liaison des métabolites M-2 et M-5 aux protéines plasmatiques est plus élevé (99,8 % et 99,95 %, respectivement) que celui du régorafénib. Les métabolites primaires peuvent être réduits ou hydrolysés par la flore microbienne dans le tractus gastrointestinal, ce qui permet une réabsorption du médicament et des métabolites non conjugués (cycle entérohépatique). * Élimination Après administration orale, la demi-vie d'élimination moyenne du régorafénib et de son métabolite M-2 dans le plasma est comprise entre 20 et 30 heures d'après les différentes études. La demi-vie d'élimination moyenne du métabolite M-5 est d'environ 60 heures (comprise entre 40 et 100 heures). Environ 90 % de la dose radioactive ont été récupérés dans un délai de 12 jours après administration, dont environ 71 % excrétés dans les selles (47 % sous forme de substance mère, 24 % sous forme de métabolites) et environ 19 % dans les urines sous forme glucuroconjuguée. La substance mère retrouvée dans les selles peut provenir de la décomposition intestinale des métabolites conjugués, ainsi que du médicament non absorbé. * Linéarité/non-linéarité L'exposition systémique au régorafénib à l'état d'équilibre augmente proportionnellement à la dose jusqu'à 60 mg et de façon moins que proportionnelle aux doses supérieures à 60 mg. L'accumulation du régorafénib à l'état d'équilibre aboutit à une augmentation d'un facteur 2 des concentrations plasmatiques, ce qui est cohérent avec la demi-vie d'élimination et la fréquence d'administration. À l'état d'équilibre, le régorafénib atteint un pic de concentration plasmatique moyen d'environ 3,9 mg/l (8,1 micromoles) après administration orale de 160 mg de régorafénib et le rapport entre pic et nadir des concentrations plasmatiques moyennes est inférieur à 2. * Insuffisance hépatique L'exposition au régorafénib et à ses métabolites M-2 et M-5 est comparable chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légère (Child-Pugh A) et chez les patients dont la fonction hépatique est normale. Les données limitées disponibles concernant les patients atteints d'insuffisance hépatique modérée (Child-Pugh B) indiquent une exposition similaire à celle observée chez les patients dont la fonction hépatique est normale suite à l'administration d'une dose unique de 100 mg de régorafénib. * Insuffisance rénale L'exposition au régorafénib à l'état d'équilibre est comparable chez les patients atteints d'insuffisance rénale légère et chez les patients dont la fonction rénale est normale. Les données limitées issues des études de phase 1 et 2 indiquent que l'intervalle d'exposition, chez les patients atteints d'insuffisance rénale modérée, est comparable à celui observé chez les patients dont la fonction rénale est normale. Les paramètres pharmacocinétiques du régorafénib n'ont pas été étudiés chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère ou au stade terminal. * Personnes âgées L'âge n'a pas eu d'effet sur les paramètres pharmacocinétiques du régorafénib dans l'intervalle des âges étudiés (29-85 ans). * Sexe : Les paramètres pharmacocinétiques du régorafénib ne sont pas influencés par le sexe. * Différences ethniques L'exposition au régorafénib observée dans plusieurs études de phase1I et 2 chez diverses populations asiatiques (Chinoise, Japonaise, Coréenne) a été comprise dans le même intervalle que celle observée chez les sujets caucasiens. * Électrophysiologie cardiaque/allongement de l'intervalle QT Aucun effet d'allongement de l'intervalle QTc n'a été observé après administration de 160 mg de régorafénib à l'état d'équilibre dans le cadre d'une étude dédiée à l'intervalle QT chez des patients cancéreux de sexe masculin et féminin. |
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Référence(s) officielle(s): Ampliation ATU 29/12/2012 |
* Toxicité systémique Après administration répétée chez des souris, des rats et des chiens, des effets indésirables ont été observés au niveau de nombreux organes, principalement les reins, le foie, le tube digestif, la glande thyroïde, le système lympho/hématopoïétique, le système endocrinien, le système reproducteur et la peau. Une légère augmentation de l'incidence des épaississements des valves auriculo-ventriculaires du coeur a été observée dans l'étude de toxicologie en administration répétée sur 26 semaines chez le rat. Ceci pourrait être dû à l'accélération d'un processus physiologique lié à l'âge. Ces effets sont survenus à des expositions systémiques comprises dans l'intervalle des expositions attendues chez l'être humain ou inférieures (d'après la comparaison de l'ASC). Les altérations des dents et des os et les effets indésirables sur le système reproducteur ont été plus marqués chez les animaux jeunes et en cours de croissance, ainsi que chez les rats juvéniles, indiquant un risque potentiel pour les enfants et les adolescents. * Toxicité sur la reproduction et le développement Aucune étude spécifique n'a été réalisée sur la fertilité. Cependant, la possibilité d'effets indésirables du régorafénib sur la reproduction masculine et féminine doit être envisagée dans la mesure où des altérations morphologiques ont été observées au niveau des testicules, des ovaires et de l'utérus après administrations répétées du médicament chez des rats et des chiens à des niveaux d'exposition inférieurs à l'exposition attendue chez l'être humain (d'après la comparaison de l'ASC). Les altérations observées n'ont été que partiellement réversibles. Un effet du régorafénib sur le développement intra-utérin a été mis en évidence chez le lapin à des niveaux d'exposition inférieurs à l'exposition attendue chez l'être humain (d'après la comparaison de l'ASC). Les principaux effets observés ont été des malformations du système urinaire, du coeur et des principaux vaisseaux, et du squelette. * Génotoxicité et cancérogénicité Les tests standards réalisés in vitro et in vivo chez la souris n'ont fait apparaître aucun signe d'un potentiel génotoxique du régorafénib. Aucune étude n'a été réalisée concernant le potentiel cancérogène du régorafénib. * Évaluation du risque environnemental Les études d'évaluation du risque environnemental ont montré que le régorafénib est susceptible de persister, présenter une bioaccumulation et une toxicité pour l'environnement. Le régorafénib peut présenter un risque pour les eaux de surface et les couches sédimentaires (Cf. rubrique "Précautions particulières d'élimination et manipulation"). |
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Référence(s) officielle(s): Ampliation ATU 29/12/2012 |
Groupe générique(s) : Néant |
Spécialité(s) générique(s) ansm et date(s) d'application : Néant |
AUTORISATION TEMPORAIRE D'UTILISATION | |
REGORAFENIB PUT 2012 | |
CANCER COLORECTAL - GUIDE MEDECIN | |
CANCER COLORECTAL - GUIDE PATIENT |
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* Conditions de prescription et de délivrance Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière Prescription réservée aux spécialistes en oncologie ou aux médecins compétents en cancérologie * ATU Sont soumises à ATU, toutes les utilisations réalisées en dehors du cadre des essais cliniques, de spécialité pharmaceutique sans AMM en France, qu'ils bénéficient ou non d'une AMM à l'étranger. Les poursuites de traitement en fin d'essai clinique doivent faire l'objet d'un amendement au protocole initial et ne relèvent généralement pas d'ATU. L'utilisation d'un médicament dans une indication autre que celle de son AMM relève de la responsabilité du prescripteur et ne peut faire l'objet d'ATU. En raison de leur statut sans AMM, les médicaments bénéficiant d'ATU ne sont pas disponibles en officine et ne peuvent être dispensés que par les pharmacies d'établissement de santé. Leur prescription peut être restreinte à une catégorie de prescripteurs. * Rétrocession - Arrêté du 14 avril 2006 modifiant l'arrêté du 17 décembre 2004 fixant la liste des spécialités pharmaceutiques autorisées à la rétrocession (JO du 05/05/2006). - Arrêté du 22 juillet 2005 modifiant l'arrêté du 17 décembre 2004 fixant la liste des spécialités pharmaceutiques autorisées à la rétrocession (JO du 06/09/2005). * Arrêté du 23 mai 2014 portant classement sur la liste des substances vénéneuses (JO du 31/05/2014) : Liste 1 |
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Référence(s) officielle(s): Journal Officiel 31/05/2014 | |
Code UCD13 : | 3400893896143 |
Code UCD7 : | 9389614 |
Code identifiant spécialité : | Non renseigné |
Laboratoire(s) titulaire(s) ATU: |
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Référence(s) officielle(s): Ampliation ATU 29/12/2012 | |
Laboratoire(s) exploitant(s) : |
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Référence(s) officielle(s): Ampliation ATU 29/12/2012 | |
Code CIP13 | 3400958932670 |
Code CIP7 | 5893267 |
Commercialisation | Supprimé le 15/10/2013 |
Agrément collectivités/date JO | Non |
Présentation réservée à l'hôpital | Oui |
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD) |
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Conditionnement primaire | 3 FLACON(S) (1) |
Nb unités de prise par conditionnement primaire | 28 COMPRIME(S) par FLACON(S) |
Caractéristique(s) du conditionnement primaire |
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* Nature et contenu de l'emballage extérieur |
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Présentation unitaire | NON |
Référence(s) bibliographique(s) | |
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Conditions de délivrance |
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Référence(s) officielle(s): Journal Officiel 31/05/2014 |
Statut de la présentation |
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Référence(s) officielle(s): Ampliation ATU 29/12/2012 |
1. Prix en officine ville | |
Prix de cette présentation (CIP)/date JO | non concerné |
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) | Non concerné |
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur) | |
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) | Non concerné |
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) | Non concerné |
1. Ville | |
Taux de remboursement |
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2. Hôpital (Rétrocession - vente au public) | |
Taux de remboursement |
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Statut(s) du remboursement |
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SMR spécifique de cette présentation | NON |
Modalité(s) de dispensation |
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Durée(s) et condition(s) de conservation |
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* Durée de conservation |
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Conditions de conservation après reconstitution, dilution ou ouverture
* Durée de conservation |
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Référence(s) officielles(s) : Ampliation ATU 29/12/2012 |
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Régorafénib est indiqué dans le traitement des patients adultes atteints d'un cancer colorectal métastatique (CCRm), en échec de chimiothérapie à base de fluoropyrimidine, d'un traitement par anti-VEGF ou, par une anti-EGFR (si le cancer exprime le gène KRAS non muté [type sauvage]), ou en cas de contre indication à ces traitements. Les données cliniques reposent sur une étude de phase III dans laquelle n'étaient inclus que des patients ayant un ECOG < ou = 1. |
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Référence(s) officielle(s) | Ampliation ATU 29/12/2012 Guide affection longue durée (ALD) Patient CANCER COLORECTAL - GUIDE PATIENT Guide affection longue durée (ALD) Médecin CANCER COLORECTAL - GUIDE MEDECIN |
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CIM10 |
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Maladie rare | Non |
Recommandation(s) |
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* Précautions particulières d'élimination et de manipulation Conserver le dessicant dans le flacon. Ce médicament peut présenter un risque pour l'environnement (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur. * Incompatibilités Sans objet. |
Voie(s) d'administration |
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Modalité(s) |
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* Mode d'administration Ce médicament est administré par voie orale. Ce médicament doit être pris à heure fixe chaque jour. Les comprimés doivent être avalés entiers avec de l'eau après un repas léger contenant moins de 30 % de lipides. Un repas léger (à faible teneur lipidique) pourra être composé par exemple d'une portion de céréales (environ 30 g), d'un verre de lait écrémé, d'une tranche de pain avec de la confiture, d'un verre de jus de pomme et d'une tasse de café ou de thé (520 calories, 2 g de lipides). Si une dose est oubliée, elle doit être prise le jour-même dès que le patient s'aperçoit de l'oubli. Le patient ne doit pas prendre deux doses le même jour pour compenser une dose oubliée. En cas de vomissements après l'administration du régorafénib, le patient ne doit pas prendre de comprimés supplémentaires. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Terrain N° 1 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | INSUFFISANCE HEPATIQUE
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Niveau(x) |
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Le régorafénib n'ayant pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (Child- Pugh C), son utilisation n'est pas recommandée dans cette population |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | GROSSESSE |
Niveau(x) |
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Régorafénib ne doit pas être utilisé pendant la grossesse. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | ALLAITEMENT |
Niveau(x) |
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L'allaitement doit être interrompu au cours du traitement avec régorafénib. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | ADULTE JEUNE (15-17 ANS)
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Niveau(x) |
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Il n'y a pas d'utilisation justifiée de ce médicament dans la population pédiatrique pour l'indication cancer colorectal métastatique. La sécurité et l'efficacité du régorafénib chez les patients âgés de moins de 18 ans dans l'indication de tumeurs stromales gastro-intestinales (GIST) n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | ENFANT |
Niveau(x) |
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Il n'y a pas d'utilisation justifiée de ce médicament dans la population pédiatrique pour l'indication cancer colorectal métastatique. La sécurité et l'efficacité du régorafénib chez les patients âgés de moins de 18 ans dans l'indication de tumeurs stromales gastro-intestinales (GIST) n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | NOURRISSON |
Niveau(x) |
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Il n'y a pas d'utilisation justifiée de ce médicament dans la population pédiatrique pour l'indication cancer colorectal métastatique. La sécurité et l'efficacité du régorafénib chez les patients âgés de moins de 18 ans dans l'indication de tumeurs stromales gastro-intestinales (GIST) n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | NOUVEAU-NE |
Niveau(x) |
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Il n'y a pas d'utilisation justifiée de ce médicament dans la population pédiatrique pour l'indication cancer colorectal métastatique. La sécurité et l'efficacité du régorafénib chez les patients âgés de moins de 18 ans dans l'indication de tumeurs stromales gastro-intestinales (GIST) n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | FEMME EN AGE DE PROCREER
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Niveau(x) |
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Les femmes en âge de procréer et les hommes doivent utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement et jusqu'à 8 semaines après l'arrêt du traitement. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | HOMME
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Niveau(x) |
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Les femmes en âge de procréer et les hommes doivent utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement et jusqu'à 8 semaines après l'arrêt du traitement. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Hypersensibilité au régorafenib ou à l'un des excipients. |
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Référence(s) officielle(s) | Ampliation ATU 29/12/2012 |
Terrain N° 11 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Ce médicament contient de l'huile de soja ou de l'huile de soja hydrogénée comme excipient. - Voie d'administration : Toutes - Seuil : Zéro - Informations Ce médicament contient de l'huile de soja. Si vous êtes allergique à l'arachide ou au soja, ne pas utiliser ce médicament. - Commentaires Conforme à Huile d'arachide. RCP : mention en contre-indication. Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 1 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | GROUPE ETHNIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | SYNDROME DE GILBERT |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | ATTEINTE HEPATIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | INSUFFISANCE HEPATIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | INFECTION |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | TROUBLE DE L'HEMOSTASE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | TROUBLE DE LA COAGULATION |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | HEMOPHILIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | VON WILLEBRAND MALADIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | MALADIE HEMORRAGIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | TERRAIN HEMORRAGIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | CIRRHOSE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | VARICE OESOPHAGIENNE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 16 | PERFORATION DIGESTIVE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 17 | FISTULE DIGESTIVE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 18 | CARDIOPATHIE ISCHEMIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 19 | INFARCTUS DU MYOCARDE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 20 | CARDIOPATHIE ISCHEMIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 21 | INFARCTUS DU MYOCARDE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 22 | PATHOLOGIE CORONARIENNE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 23 | INSUFFISANCE CORONARIENNE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 24 | CONVULSIONS |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 25 | CEPHALEE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 26 | CONFUSION MENTALE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 27 | TROUBLE COMPORTEMENTAL |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 28 | TROUBLE DE LA VISION |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 29 | CHAMP VISUEL ANOMALIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 30 | LEUCOENCEPHALOPATHIE MULTIFOCALE (LEMP) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 31 | HYPERTENSION ARTERIELLE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 32 | HYPERTENSION ARTERIELLE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 33 | ANEVRISME ARTERIEL
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 34 | ANEMIE HEMOLYTIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 35 | THROMBOPENIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 36 | CYTOPENIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 37 | ASTHENIE |
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CIM 10 |
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Terrain N° 38 | TROUBLE NEUROLOGIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 39 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 40 | FIEVRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 41 | MICROANGIOPATHIE THROMBOTIQUE (MAT) |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 42 | INTERVENTION CHIRURGICALE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 43 | ATTEINTE CUTANEE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 44 | LESION CUTANEE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 45 | HYPOPHOSPHATEMIE/HYPOPHOSPHOREMIE |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 46 | HYPOCALCEMIE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 47 | HYPONATREMIE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 48 | HYPOKALIEMIE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 49 | FEMME EN AGE DE PROCREER
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Niveau(x) |
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Les femmes susceptibles de procréer et les hommes doivent être informés que le régorafénib peut avoir des effets délétères sur le foetus et doivent utiliser une méthode efficace de contraception pendant le traitement et jusqu'à 8 semaines après l'arrêt du traitement. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 50 | HOMME
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Niveau(x) |
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Les femmes susceptibles de procréer et les hommes doivent être informés que le régorafénib peut avoir des effets délétères sur le foetus et doivent utiliser une méthode efficace de contraception pendant le traitement et jusqu'à 8 semaines après l'arrêt du traitement. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 51 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 52 | INTERACTION D'ORIGINE ALIMENTAIRE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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- Effets hépatiques Des cas d'insuffisance hépatique d'issue fatale ont été rapportés chez 0,3% des 1 100 patients traités par régorafénib au cours des essais cliniques. Les biopsies hépatiques réalisées chez ces patients ont montré une nécrose hépatocytaire avec infiltration lymphocytaire. Dans l'étude de phase 3, une insuffisance hépatique fatale a été rapportée chez 1.6% des patients traités par régorafénib et 0,4% des patients du bras placébo. Il est recommandé d'effectuer un contrôle du bilan hépatique (ALAT, ASAT et bilirubine) avant l'instauration du traitement, toutes les deux semaines pendant les 2 premiers mois du traitement puis au moins une fois par mois ou plus fréquemment si cliniquement indiqué. Le régorafénib est un inhibiteur de l'UGT1A1 (Cf. rubrique "Interactions"). Une hyperbilirubinémie légère, indirecte (non conjuguée), peut survenir chez les patients atteints du syndrome de Gilbert. En cas d'altération du bilan hépatique considérée comme liée au traitement, une modification de la posologie, un arrêt temporaire voire définitif du traitement, peuvent être nécessaires (Cf. rubrique "Posologie : Ajustements posologiques"). Une surveillance étroite de la tolérance globale est recommandée chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légère ou modérée (Cf. rubriques "Posologie" et "Propriétés pharmacocinétiques"). Le régorafénib n'ayant pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (Child- Pugh C), son utilisation n'est pas recommandée dans cette population (Cf. rubrique "Posologie"). - Hémorragie Régorafénib a été associé à une incidence accrue des événements hémorragiques, dont certains ont été fatals (Cf. rubrique "Effets indésirables") L'incidence des hémorragies (tout grade) était de 21% dans le bras régorafénib et 8% dans le bras placébo de l'étude de phase 3. Des hémorragies fatales ont été observées chez 0,8% des patients traités par régorafénib. Il s'agissait d'hémorragies respiratoires, gastro intestinales ou urogénitales. Les numérations sanguines et les paramètres de coagulation doivent être surveillés chez les patients à risque et chez ceux qui sont traités par des anticoagulants ou d'autres traitements augmentant le risque hémorragique. En cas d'hémorragie sévère nécessitant une intervention médicale en urgence, régorafénib devra être arrêté définitivement. - Ischémie cardiaque et infarctus du myocarde Régorafénib a été associé à une incidence accrue des ischémies myocardiques et des infarctus (1,2% chez les patients traités par régorafénib versus 0,4% dans le bras placebo) (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Les signes et symptômes cliniques d'ischémie myocardique doivent être surveillés, chez les patients présentant des antécédents de cardiopathie ischémique. En cas d'apparition d'une ischémie cardiaque et/ou d'un infarctus, il est recommandé d'interrompre le traitement par régorafénib jusqu'à la résolution des troubles. La décision de réinstaurer le traitement devra être prise après évaluation du bénéfice et des risques potentiels pour le patient. En l'absence de résolution des symptômes, le traitement par régorafénib sera définitivement arrêté. Les patients ayant des antécédents d'ischémies myocardiques et d'infarctus ou ayant une maladie coronaire instable récents n'ont pas été inclus dans les essais cliniques. - Syndrome de leuco-encéphalopathie postérieure réversible Des syndromes de leuco-encéphalopathie postérieure réversible (LEPR) ont été décrits en association avec le traitement par régorafénib (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Les signes et symptômes de la LEPR comprennent des crises convulsives, des céphalées, des altérations de l'état mental, des troubles de la vision ou une cécité corticale, avec ou sans hypertension associée. Le diagnostic de la LEPR doit être confirmé par l'imagerie cérébrale. En cas d'apparition d'une LEPR, il est recommandé d'arrêter le traitement par régorafénib, ainsi que de prendre des mesures pour contrôler l'hypertension et d'assurer une prise en charge médicale des autres symptômes. - Hypertension artérielle Régorafénib a été associé à une augmentation de l'incidence de l'hypertension artérielle (30% chez les patients traités par régorafénib versus 8% dans le bras placebo dans l'étude de phase 3) (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Des crises hypertensives ont été rapportées chez 0,18% des 1 100 patients traités par régorafénib. La pression artérielle doit être contrôlée avant l'instauration du traitement par régorafénib puis au moins toutes les semaines pendant les 6 premières semaines de traitement. En cas d'hypertension sévère ou persistante en dépit d'une prise en charge médicale adéquate, le traitement par régorafénib doit être temporairement interrompu et/ou la dose doit être réduite (Cf. rubrique "Posologie : Ajustements posologiques"). En cas de crise hypertensive, le traitement par régorafénib doit être définitivement arrêté. - Perforation et fistule gastro-intestinales Des cas de perforation et de fistules gastro-intestinales ont été rapportés chez 0,6% des 1 100 patients traités par régorafénib (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Ces événements sont également connus pour être des complications fréquentes liées à la maladie chez les patients atteints de tumeurs intra-abdominales. En cas d'apparition d'une perforation ou d'une fistule gastro-intestinale, le traitement par régorafénib doit être arrêté. - Troubles de la cicatrisation Les médicaments anti-angiogéniques peuvent inhiber la cicatrisation ou interférer avec cette dernière, il est donc recommandé d'interrompre temporairement le traitement par régorafénib par mesure de précaution chez les patients devant subir une intervention chirurgicale majeure. La décision de réinstaurer le traitement par régorafénib après une intervention chirurgicale majeure devra s'appuyer sur le jugement clinique du médecin concernant l'avancée de la cicatrisation. - Toxicité dermatologique Le syndrome main-pied (SMP/érythrodysesthésie palmo-plantaire) et les éruptions cutanées sont les effets indésirables dermatologiques les plus fréquemment observés avec régorafénib (Cf. rubrique "Effets indésirables"). L'incidence des syndromes main-pied était de 45 % dans le bras régorafénib versus 7% dans le bras placebo et l'incidence des SMP de grade 3 était de 17 % dans le bras régorafénib versus 0% dans le bras placebo, dans l'essai de phase3. L'incidence des rashs était de 26 % dans le bras régorafénib versus 4% dans le bras placebo et l'incidence des rashs de grade 3 était de 6 % dans le bras régorafénib versus <1 % dans le bras placebo, dans l'essai de phase 3. Les mesures préventives contre le SMP comprennent le contrôle des callosités et l'utilisation de semelles intérieures molletonnées et de gants afin de protéger la plante des pieds et la paume des mains contre le stress des pressions. La prise en charge du SMP pourra inclure l'utilisation de crèmes kératolytiques (par exemple, à base d'urée, d'acide salicylique ou d'alpha-hydroxy-acide appliquées avec parcimonie sur les régions affectées uniquement), de crèmes crèmes hydratantes (appliquées à volonté) pour soulager les symptômes. Une réduction de la dose et/ou une interruption temporaire du traitement par régorafénib, ou un arrêt définitif en cas de réaction sévère ou persistante, devront être envisagés (Cf. rubrique "Posologie :Ajustements posologiques"). - Anomalies biochimiques et métaboliques Régorafénib a été associé à une incidence accrue d'anomalies électrolytiques (y compris des cas d'hypophosphatémie, d'hypocalcémie, d'hyponatrémie et d'hypokaliémie) et d'anomalies métaboliques (y compris des élévations de la thyréostimuline [TSH], de la lipase et de l'amylase). Ces anomalies sont généralement de sévérité légère à modérée, sans manifestations cliniques, et ne nécessitent habituellement pas d'interruption du traitement ou de réduction de la posologie. Il est recommandé de surveiller les paramètres biochimiques et métaboliques une fois par mois pendant le traitement par régorafénib et de mettre en place un traitement de substitution approprié conformément à la pratique clinique, si cela est nécessaire. Une interruption du traitement, une réduction de la posologie ou un arrêt définitif de régorafénib devront être envisagés en cas d'anomalies significatives persistantes ou récurrentes (Cf. rubrique "Posologie : Ajustements posologiques"). Ce médicament contient 2,427 mmol (ou 55,8 mg) de sodium par dose (160 mg). À prendre en compte chez les patients contrôlant leur apport alimentaire en sodium. |
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Référence(s) officielle(s) | Ampliation ATU 29/12/2012 |
Terrain N° 53 | REGIME HYPOSODE STRICT |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient du sodium comme excipient. * Voie d'administration : Orale et parentérale - Seuil : > ou = 1 mmol (23 mg) par "dose administrée" - Information pour la notice Ce médicament contient x mg de sodium (composant principal du sel de cuisine/table) par <dose><volume unitaire>. Cela équivaut à y% de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé de sodium pour un adulte. - Commentaires En cas d'administration parentérale à dosage variable (par exemple, en fonction du poids), la teneur en sodium peut être exprimée en mg par flacon. Libellé proposé pour le RCP : "Ce médicament contient x mg de sodium par <dose>, ce qui équivaut à y% de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium par adulte." * Voie d'administration : Orale et parentérale - Seuil : 17 mmol (391 mg) à la dose quotidienne maximale - Information pour la notice Parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien si vous avez besoin de <Z> ou de plus de <dose> quotidiennement pendant une période prolongée, surtout si vous devez suivre un régime à faible teneur en sel (sodium). - Commentaires Ceci s'applique uniquement aux produits pour lesquels la posologie indiquée permet une prise quotidienne pendant plus d'un mois ou une utilisation répétée de plus de deux jours par semaine. 17 mmol (391 mg) représente environ 20% de l'apport alimentaire quotidien maximal adulte recommandé par l'OMS de 2 g de sodium et est considéré comme un dosage "élevé". Ceci vaut également pour les enfants, pour lesquels l'apport quotidien maximal est censé être proportionnel à celui des adultes et calculé selon les besoins énergétiques. <Doses Z> reflète le nombre minimum de doses pour lesquelles le seuil de 17 mmol (391 mg) de sodium est atteint/dépassé. Arrondir au nombre entier le plus proche. Pour le libellé du RCP, veuillez vous reporter à la recommandation du PRAC: "1.3. Sodium-containing effervescent, dispersible and soluble medicines – Cardiovascular events" (EMA/PRAC/234960/2015). Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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- CYP3A4 Les données in vitro indiquent que le régorafénib est métabolisé par le cytochrome CYP3A4 et par l'uridine diphosphate glucuronosyl-transférase UGT1A9. . Inhibiteur puissant du CYP3A4 L'administration de kétoconazole (400 mg pendant 18 jours), un puissant inhibiteur du CYP3A4, avec une dose unique de régorafénib (160 mg au Jour 5) a entraîné une augmentation de l'exposition moyenne (ASC) au régorafénib d'environ 33 % et une réduction de l'exposition moyenne aux métabolites actifs, M-2 (N-oxyde) et M-5 (N-oxyde et N-déméthyl), d'environ 90 %. L'administration concomitante de régorafénib avec des inducteurs puissants du CYP3A4 (tel que clarithromycine, jus de pamplemousse, itraconazole, kétoconazole, posaconazole, télithromycine et voriconazole) doit être évitée. . Inducteur puissant du CYP3A4 L'administration de rifampicine (600 mg pendant 9 jours), un puissant inducteur du CYP3A4, avec une dose unique de régorafénib (160 mg au Jour 7) a entraîné une réduction de l'exposition moyenne (ASC) au régorafénib d'environ 50 %, une augmentation d'un facteur 3 à 4 de l'exposition moyenne au métabolite actif M-5, mais aucune modification de l'exposition au métabolite actif M-2. L'administration concomitante de régorafénib avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4 (tel que rifampicine, phénytoïne, carbamazépine, phénobarbital ou millepertuis) doit être évitée. - Substrats de l'UGT1A1 et de l'UGT1A9 Les données in vitro indiquent que le régorafénib et ses métabolites actifs M-2 et M-5 inhibent la glucuroconjugaison faisant intervenir les uridine diphosphate glucuronosyl-transférases UGT1A1 et UGT1A9 à des concentrations qui sont atteintes in vivo à l'état d'équilibre. L'administration de régorafénib, suivie d'une pause de 5 jours avant l'administration d'irinotécan a entraîné une augmentation d'environ 44 % de l'exposition moyenne (ASC) au SN-38, un substrat de l'UGT1A1 et un métabolite actif de l'irinotécan. Une augmentation d'environ 28 % de l'exposition moyenne à l'irinotécan a également été observée. Ceci indique que l'administration concomitante de régorafénib peut augmenter l'exposition systémique aux substrats de l'UGT1A1 et de l'UGT1A9. - Substrats de la BCRP et de la glycoprotéine P Les données in vitro indiquent que le régorafénib est un inhibiteur de la protéine de résistance au cancer du sein (BCRP, Breast Cancer Resistance Protein) et de la glycoprotéine P. L'administration de régorafénib peut donc augmenter les concentrations plasmatiques des médicaments concomitants qui sont des substrats de la BCRP, tels que le méthotrexate, ou des substrats de la glycoprotéine P, tels que la digoxine. - Substrats sélectifs des isoformes du CYP Les données in vitro indiquent que le régorafénib est un inhibiteur compétitif des cytochromes CYP2C8 (Ki de 0,6 micromole), CYP2C9 (Ki de 4,7 micromoles), CYP2B6 (Ki de 5,2 micromoles) aux concentrations atteintes in vivo à l'état d'équilibre (pic de concentration plasmatique de 8,1 micromoles). La puissance inhibitrice in vitro vis-à-vis du CYP3A4 (Ki de 11,1 micromoles) et du CYP2C19 (Ki de 16,4 micromoles) est moins marquée. Une étude sur substrats-sondes, destinée à évaluer les effets de 14 jours d'administration de 160 mg de régorafénib sur les paramètres pharmacocinétiques des substrats-sondes du CYP2C8 (rosiglitazone), CYP2C9 (S-warfarine), CYP2C19 (oméprazole) et CYP3A4 (midazolam), a été réalisée. Les données de pharmacocinétiques montrent que le régorafénib peut être administré de façon concomitante aux substrats du CYP2C8, CYP2C9, CYP3A4 et CYP2C19 sans interaction médicamenteuse cliniquement significative. - Antibiotiques Le profil de concentration en fonction du temps indique que le régorafénib et ses métabolites pourraient être soumis au cycle entéro-hépatique (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). L'administration concomitante d'antibiotiques altérant la flore gastro-intestinale pourrait interférer avec la circulation entéro-hépatique du régorafénib, ce qui pourrait entraîner une réduction de l'exposition au régorafénib. |
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Référence(s) officielle(s):  Ampliation ATU 29/12/2012 |
Observations |
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Effet spécialité |
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Niveau(x) de risque |
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Il n'existe pas de données sur l'utilisation du régorafénib chez la femme enceinte. Compte tenu de son mécanisme d'action, le régorafénib est susceptible de provoquer des effets délétères chez le foetus en cas d'administration pendant la grossesse. Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence une toxicité sur la reproduction (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). Régorafénib ne doit pas être utilisé pendant la grossesse sauf nécessité absolue et, dans ce cas, après évaluation attentive des bénéfices pour la mère et des risques pour le foetus. |
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Référence(s) officielle(s) : | Ampliation ATU 29/12/2012 |
Recommandations |
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- Contraception Les femmes en âge de procréer doivent être informées que le régorafénib peut avoir des effets délétères sur le foetus. Les femmes en âge de procréer et les hommes doivent utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement et jusqu'à 8 semaines après l'arrêt du traitement. - Fertilité Aucune donnée n'est disponible concernant les effets de régorafénib sur la fertilité chez l'être humain. Les résultats des études effectuées chez l'animal indiquent que le régorafénib peut altérer la fertilité des mâles et des femelles (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). |
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Référence(s) officielle(s) : | Ampliation ATU 29/12/2012 |
Passage dans le lait | Pas d'information |
Fixation protéique | Pas d'information |
Rapport concentration lait/plasma maternels | Pas d'information |
Concentration dans 100 ml de lait maternel | Pas d'information |
Recommandations |
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Aucune donnée n'est disponible chez l'être humain sur l'excrétion du régorafénib ou de ses métabolites dans le lait maternel. Chez le rat, le régorafénib ou ses métabolites sont excrétés dans le lait. Un risque pour les enfants allaités ne peut être exclu. Le régorafénib pourrait avoir des effets délétères sur la croissance et le développement des nourrissons (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). L'allaitement doit être interrompu au cours du traitement par régorafénib. |
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Référence(s) officielle(s): | Ampliation ATU 29/12/2012 |
Recommandations |
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Les effets de régorafénib sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n'ont pas été étudiés. Si le patient présente des symptômes affectant sa capacité de concentration et de réaction pendant le traitement par régorafénib, il lui est recommandé de ne pas conduire ni d'utiliser de machine jusqu'à disparition des effets. |
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Référence(s) officielle(s): Ampliation ATU 29/12/2012 |
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
Site internet: www.ansm.sante.fr.
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