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Voie(s) d'administration : |
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Forme(s) pharmaceutique(s) : |
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Solution injectable. |
Référence(s) bibliographique(s) : |
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Excipient(s) |
pH de la spécialité : 6,0-8,0 |
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Précision(s) composition : |
Chaque mL de la solution contient 1100 kBq de dichlorure de radium (Ra-223) (dichlorure de radium 223), correspondant à 0,58 ng de radium-223 à la date de référence. Le radium est présent dans la solution sous forme d'ions libres. Chaque flacon contient 6 mL de solution (6,6 MBq de dichlorure de radium 223 à la date de référence). Le radium-223 est un émetteur alpha d'une période de 11,4 jours. L'activité spécifique du radium-223 est de 1,9 MBq/ng. La désintégration en six étapes du radium-223 en plomb-207 fait intervenir des produits de filiation de courte durée de vie et s'accompagne d'un certain nombre d'émissions alpha, bêta et gamma avec différents niveaux d'énergie et différentes probabilités d'émission. La proportion d'énergie émise par le radium-223 et ses descendants sous forme de particules alpha est de 95,3 % (gamme d'énergie de 5,0 - 7,5 MeV). La fraction émise sous forme de particules bêta est de 3,6 % (énergie moyenne de 0,445 MeV et 0,492 MeV), et la fraction émise sous forme de rayonnement gamma est de 1,1 % (gamme d'énergie de 0,01 - 1,27 MeV) Figure : Chaîne de désintégration du radium-223 avec périodes physiques et mode de désintégration (Cf. RCP) - Excipient à effet notoire : Chaque mL de solution contient 0,194 mmol (soit 4,5 mg) de sodium. * Liste des excipients Eau pour préparations injectables Citrate de sodium Chlorure de sodium Acide chlorhydrique, dilué |
Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM européenne 27/10/2020
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Aucune DDD attribuée |
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Classe pharmacothérapeutique : Produits radiopharmaceutiques thérapeutiques, autres produits radiopharmaceutiques thérapeutiques, produits radiopharmaceutiques divers à usage thérapeutique, Code ATC : V10XX03 * Mécanisme d'action Le radium dichlorure est un radiopharmaceutique thérapeutique émetteur de particules alpha. Sa fraction active, le radium-223 (sous forme de dichlorure de radium 223), se comporte comme le calcium et cible sélectivement l'os, et plus spécifiquement les régions touchées par des métastases osseuses, en formant des complexes avec l'hydroxyapatite minérale osseuse. Le transfert d'énergie linéaire des émetteurs alpha (80 keV/micromètre) étant élevé, il engendre une fréquence élevée de cassures double-brin de l'ADN dans les cellules tumorales adjacentes, entraînant un effet cytotoxique puissant. Des effets additionnels sur le microenvironnement tumoral y compris sur les ostéoblastes et les ostéoclastes contribuent également à l'efficacité in vivo. La portée des particules alpha issues du radium-223 est inférieure à 100 micromètres (inférieure au diamètre de 10 cellules), ce qui minimise les dommages des tissus sains environnants. * Effets pharmacodynamiques Par comparaison avec le placebo, une différence significative en faveur de ce médicament a été observée pour l'ensemble des cinq marqueurs biologiques sériques du remodelage osseux évalués dans une étude randomisée de phase II (marqueurs de la formation osseuse : phosphatases alcalines osseuses, phosphatases alcalines totales et propeptide N-terminal du collagène du type I [PINP] ; marqueurs de la résorption osseuse : télopeptide C-terminal réticulant du collagène de type I / télopeptide sérique C-terminal réticulé du collagène de type I [S-CTX-I] et télopeptide C-terminal réticulé du collagène de type I [ICTP]). - Electrophysiologie cardiaque / allongement du QT Aucun allongement significatif de l'intervalle QTc n'a été observé après l'administration intra-veineuse de ce médicament, par rapport au placebo dans un sous-groupe de 29 patients inclus dans l'étude clinique de phase III (ALSYMPCA). * Efficacité et sécurité cliniques La sécurité et l'efficacité clinique du radium dichlorure administré de façon répétée ont été évaluées dans le cadre d'une étude multicentrique de phase III, en double insu, randomisée (ALSYMPCA ; EudraCT 2007-006195-1), menée chez des patients ayant un cancer de la prostate résistant à la castration, avec des métastases osseuses symptomatiques. Les patients présentant des métastases viscérales et une lymphadénopathie maligne de plus de 3 cm ont été exclus. Le critère principal d'évaluation de l'efficacité était la survie globale. Les principaux critères secondaires comprenaient le délai de survenue d'événements symptomatiques osseux (ESO), le temps jusqu'à la progression des phosphatases alcalines (PAL) totales, le temps jusqu'à la progression de l'antigène prostatique spécifique (PSA), la réponse par rapport aux PAL totales et la normalisation des PAL totales. À la date de clôture de l'analyse intermédiaire prévue (analyse confirmatoire), 809 patients au total avaient été randomisés (selon le ratio 2:1) en vue de recevoir soit radium dichlorure à 55 kBq/kg par voie intraveineuse toutes les 4 semaines sur 6 cycles (n = 541) associé au traitement standard optimal, soit le placebo correspondant associé au traitement standard optimal (n = 268). Le traitement standard optimal comprenait par exemple de la radiothérapie externe localisée, des bisphosphonates, des corticoïdes, des anti-androgènes, des oestrogènes, de l'estramustine ou du kétoconazole. Une analyse descriptive actualisée de la sécurité et de la survie globale a été réalisée chez les 921 patients randomisés avant la phase de cross-over (c-à-d, proposant aux patients qui étaient sous placebo de recevoir radium dichlorure). Les données démographiques et les caractéristiques initiales de la maladie (population de l'analyse intermédiaire) étaient similaires entre les groupes radium dichlorure et placebo ; les données du groupe radium dichlorure sont présentées ci-dessous : - L'âge moyen des patients était de 70 ans (intervalle de 49 à 90 ans). - 87 % des patients recrutés présentaient un indice de performance ECOG de 0-1. - 41 % recevaient des bisphosphonates. - 42 % des patients n'avaient pas reçu de traitement antérieur par docétaxel car ils avaient été jugés inéligibles à ce traitement ou avaient refusé de le recevoir. - 46 % des patients ne présentaient aucune douleur ou des douleurs de niveau 1 selon la classification de l'OMS (asymptomatique ou légèrement symptomatique) et 54 % présentaient des douleurs de niveau 2-3 selon la classification de l'OMS. - 16 % des patients présentaient < 6 métastases osseuses, 44 % des patients présentaient entre 6 et 20 métastases osseuses, 40 % des patients présentaient plus de 20 métastases osseuses ou un aspect de superscan. Pendant la période de traitement, 83 % des patients ont reçu des agonistes de la LH-RH (luteinising hormone-releasing hormone) et 21 % des patients ont reçu un traitement concomitant par anti-androgènes. Les résultats de l'analyse intermédiaire et de l'analyse actualisée ont montré que la survie globale était significativement plus longue chez les patients traités par radium dichlorure associé au traitement standard optimal par rapport aux patients traités par le placebo associé au traitement standard optimal (voir le données ci-dessous). Un taux plus élevé de décès non liés au cancer de la prostate a été observé dans le groupe placebo (26/451, 4,8 % dans le bras radium dichlorure par rapport à 23/268, 8,6 % dans le bras placebo). Données de survie issues de l'étude de phase III ALSYMPCA -> Radium dichlorure - Analyse intermédiaire (n = 541) . Nombre (%) de décès : 191 (35,3 %) . Durée médiane de survie globale en mois (IC à 95 %) : 14,0 (12,1 - 15,8) . Hazard ratio (b) (IC à 95 %) : 0,695 (0,552 - 0,875) . Valeur de p (a) (test bilatéral) : 0,00185 - Analyse actualisée( n = 614) . Nombre (%) de décès : 333 (54,2 %) . Durée médiane de survie globale en mois : 14,9 (13,9 - 16,1) (IC à 95 %) . Hazard ratiob (IC à 95 %) : 0,695 (0,581 - 0,832) -> Placebo - Analyse intermédiaire (n = 268) . Nombre (%) de décès : 123 (45,9 %) . Durée médiane de survie globale en mois (IC à 95 %) : 11,2 (9,0 - 13,2) . Hazard ratio (b) (IC à 95 %) : 0,695 (0,552 - 0,875) . Valeur de p (a) (test bilatéral) : 0,00185 - Analyse actualisée( n = 307) . Nombre (%) de décès : 195 (63,5 %) . Durée médiane de survie globale en mois : 11,3 (10,4 - 12,8) (IC à 95 %) . Hazard ratiob (IC à 95 %) : 0,695 (0,581 - 0,832) IC = intervalle de confiance (a) L'étude de phase 3 ALSYMPCA a été arrêtée pour raison d'efficacité après l'analyse intermédiaire. L'analyse actualisée étant présentée uniquement à des fins descriptives, la valeur de p n'est pas fournie. (b) Un Hazard ratio (Radium dichlorure par rapport au placebo) < 1 est en faveur du radium dichlorure. Figure : Courbes de Kaplan-Meier de la survie globale (analyse actualisée) (Cf. RCP) Les résultats de l'analyse intermédiaire et de l'analyse actualisée ont également montré une amélioration significative de tous les principaux critères d'évaluation secondaires dans le groupe radium dichlorure par rapport au groupe placebo (Cf. données ci-dessous). Les données sur le délai de survenue concernant la progression des phosphatases alcalines (PAL), ont été confortées par un avantage statistiquement significatif en ce qui concerne la normalisation et la réponse des taux de PAL à la douzième semaine. Taux d'incidence [nb. (%) de patients] -> Événement symptomatique osseux (ESO) - Critère ESO composite (a) . Radium dichlorure (n = 541) : 132 (24,4%) . Placebo (n = 268) : 82 (30,6%) Critères ESO - Radiothérapie externe pour soulager la douleur . Radium dichlorure (n = 541) : 122 (22,6%) . Placebo (n = 268) : 72 (26,9%) - Compression médullaire . Radium dichlorure (n = 541) : 17 (3,1%) . Placebo (n = 268) : 16 (6,0%) - Intervention chirurgicale . Radium dichlorure (n = 541) : 9 (1,7%) . Placebo (n = 268) : 5 (1,9%) - Fractures osseuses . Radium dichlorure (n = 541) : 20 (3,7%) . Placebo (n = 268) : 18 (6,7%) -> Progression du taux des PAL totales (c) . Radium dichlorure (n = 541) : 79 (14,6%) . Placebo (n = 268) : 116 (43,3%) -> Progression du taux de PSA (d) . Radium dichlorure (n = 541) : 288 (53,2%) . Placebo (n = 268) : 141 (52,6%) Analyse du délai de survenue de l'événement (IC à 95 %) [médiane en mois] -> Événement symptomatique osseux (ESO) - Critère ESO composite (a) . Radium dichlorure (n = 541) : 13,5 (12,2-19,6) . Placebo (n = 268) : 8,4 (7,2-NE) (b) Critères ESO - Radiothérapie externe pour soulager la douleur . Radium dichlorure (n = 541) : 17,0 (12,9-NE) . Placebo (n = 268) : 10,8 (7,9-NE) - Compression médullaire . Radium dichlorure (n = 541) : NE . Placebo (n = 268) : NE - Intervention chirurgicale . Radium dichlorure (n = 541) : NE . Placebo (n = 268) : NE - Fractures osseuses . Radium dichlorure (n = 541) : NE . Placebo (n = 268) : NE -> Progression du taux des PAL totales (c) . Radium dichlorure (n = 541) : NE . Placebo (n = 268) : 3,7 (3,5-4,1) -> Progression du taux de PSA (d) . Radium dichlorure (n = 541) : 3,6 (3,5-3,7) . Placebo (n = 268) : 3,4 (3,3-3,5) Analyse du délai de survenue de l'événement (IC à 95 %) [Hazard ratio] -> Événement symptomatique osseux (ESO) - Critère ESO composite (a) . < 1 en faveur du radium dichlorure : 0,610 (0,461 - 0,807) Critères ESO - Radiothérapie externe pour soulager la douleur . < 1 en faveur de radium dichlorure : 0,649 (0,483 - 0,871) - Compression médullaire . < 1 en faveur du radium dichlorure : 0,443 (0,223 - 0,877) - Intervention chirurgicale . < 1 en faveur du radium dichlorure : 0,801 (0,267 - 2,398) - Fractures osseuses . < 1 en faveur du radium dichlorure : 0,450 (0,236 - 0,856) -> Progression du taux des PAL totales (c) . < 1 en faveur du radium dichlorure : 0,162 (0,120 - 0,220) -> Progression du taux de PSA (d) . < 1 en faveur du radium dichlorure : 0,671 (0,546 - 0,826) Analyse du délai de survenue de l'événement (IC à 95 %) [Hazard ratio] -> Événement symptomatique osseux (ESO) - Critère ESO composite (a) . Valeur de p : 0,00046 Critères ESO - Radiothérapie externe pour soulager la douleur . Valeur de p : 0,00375 - Compression médullaire . Valeur de p : 0,01647 - Intervention chirurgicale . Valeur de p : 0,69041 - Fractures osseuses . Valeur de p : 0,01255 -> Progression du taux des PAL totales (c) . Valeur de p : < 0,00001 -> Progression du taux de PSA (d) . Valeur de p : 0,00015 PAL = phosphatases alcalines ; IC = intervalle de confiance ; NE = non évaluable ; PSA = antigène prostatique spécifique ; ESO = événement symptomatique osseux (a) Défini par la survenue de l'un des événements suivants : radiothérapie externe pour soulager la douleur, ou fracture pathologique, ou compression médullaire, ou intervention chirurgicale orthopédique liée à la tumeur. (b) Non évaluable en raison du nombre insuffisant d'événements au-delà de la médiane. (c) Définie par une augmentation = 25 % par rapport au niveau initial/nadir. (d) Définie par une augmentation = 25 % et une augmentation de la valeur absolue de = 2 ng/mL par rapport au niveau initial/nadir. * Analyse de la survie dans les sous-groupes L'analyse de la survie dans les sous-groupes a montré un bénéfice cohérent en termes de survie avec ce médicament, indépendamment de l'utilisation de bisphosphonates au début de l'étude et de l'utilisation antérieure de docétaxel. Aucun bénéfice statistiquement significatif en termes de survie globale n'a pu être démontré dans les sous-groupes de patients ayant moins de 6 métastases (HR radium-223 contre placebo 0,901 ; IC à 95% [0,553 - 1,466], p = 0,674) ou avec un taux initial de phosphatases alcalines (PAL) totales < 220 U/L (HR 0,823 ; IC à 95% [0,633 - 1,068], p = 0,142) dans l'étude de phase III ALSYMPCA. Par conséquent, l'efficacité pourrait être réduite chez les patients avec faible activité ostéoblastique métastatique. * Qualité de vie La qualité de vie a été évaluée dans l'étude de phase III ALSYMPCA à l'aide de questionnaires spécifiques : le questionnaire EQ-5D (questionnaire générique) et le questionnaire FACT-P (questionnaire spécifique au cancer de la prostate). Une dégradation de la qualité de vie a été observée dans les deux groupes. Par comparaison avec le placebo, cette dégradation, telle que mesurée par le score d'utilité EQ-5D (-0,040 contre –0,109 ; p = 0,001), et le score de l'échelle visuelle analogique EQ-5D (-2,661 contre –5,860 ; p = 0,018) et le score total FACT-P (-3,880 contre –7,651 ; p = 0,006) a été plus lente dans le groupe traité par ce médicament pendant la période sous traitement. Néanmoins, la différence observée n'a pas atteint le seuil considéré comme médicalement pertinent tel que décrit dans la littérature. Il y a peu de preuves pour penser que le délai dans la dégradation de la qualité de vie se prolonge au-delà de la période de traitement. * Soulagement de la douleur Les résultats de l'étude de phase III ALSYPMCA, sur le délai avant recours à la radiothérapie externe (RTE) pour soulager la douleur et le nombre plus réduit de patients rapportant des douleurs osseuses parmi les événements indésirables dans le groupe de ce médicament, indiquent un effet positif sur les douleurs osseuses. * Traitement ultérieur par des agents cytotoxiques Au cours de l'étude ALSYMPCA avec randomisation 2:1, 93 patients (15,5 %) du groupe de ce médicament et 54 patients (17,9%) du groupe placebo ont reçu une chimiothérapie cytotoxique à des délais variables après la fin de leur traitement. Aucune différence n'a été observée entre les deux groupes en ce qui concerne les valeurs des bilans hématologiques. * Association avec l'abiratérone et la prednisone/prednisolone L'efficacité et la sécurité cliniques de la mise en place d'un traitement comportant de façon concomitante de ce médicament avec l'acétate d'abiratérone et la prednisone/prednisolone ont été évaluées dans une étude de phase III multicentrique, randomisée, contrôlée contre placebo (essai ERA-223) réalisée chez 806 patients n'ayant jamais reçu de chimiothérapie, atteints d'un cancer de la prostate résistant à la castration, avec métastases osseuses asymptomatiques ou peu symptomatiques. Conformément à la recommandation d'un comité de surveillance indépendant, l'insu a été levé de façon anticipée dans cette étude. Une analyse intermédiaire a montré une augmentation de l'incidence des fractures (28,6% contre 11,4 %) et une réduction de la durée médiane de survie globale (30,7 mois contre 33,3 mois, HR 1,195 ; IC à 95% [0,950 - 1,505], p = 0,13) chez les patients recevant ce médicament en association avec l'acétate d'abiratérone et la prednisone/prednisolone par rapport aux patients recevant le placebo en association avec l'acétate d'abiratérone et la prednisone/prednisolone. * Population pédiatrique L'Agence européenne des médicaments a accordé une dérogation à l'obligation de soumettre les résultats d'études réalisées avec ce médicament dans le traitement de toutes les affections appartenant à la catégorie des tumeurs malignes (à l'exception des tumeurs du système nerveux central, des tumeurs hématopoïétiques et des tissus lymphoïdes) et dans le traitement du myélome multiple, dans tous les sous-groupes de la population pédiatrique (Cf. rubrique "Posologie" pour les informations concernant l'usage pédiatrique). |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 27/10/2020 |
* Introduction générale Les données de pharmacocinétique, de biodistribution et de dosimétrie ont été obtenues sur la base de 3 études de phase I. Des données pharmacocinétiques ont été recueillies chez 25 patients avec des activités comprises entre 51 et 276 kBq/kg. Des données de pharmacocinétique, de biodistribution et de dosimétrie ont été recueillies chez 6 patients ayant reçu une activité de 110 kBq/kg à deux reprises à 6 semaines d'intervalle et chez 10 patients ayant reçu une activité de 55, 110 ou 221 kBq/kg. * Absorption Ce médicament est administré par injection intraveineuse et sa biodisponibilité est de 100 %. * Distribution et captation dans les organes Après injection intraveineuse, le radium-223 est rapidement éliminé du sang et incorporé principalement dans l'os et les métastases osseuses ou excrété dans l'intestin. Quinze minutes après l'injection, environ 20 % de l'activité injectée demeure dans le sang. Après 4 heures, environ 4 % de l'activité injectée est retrouvée dans le sang, diminuant jusqu'à moins de 1 %, 24 heures après l'injection. Le volume de distribution est supérieur au volume sanguin, indiquant une distribution dans des compartiments périphériques. Une activité est observée dans l'os et dans l'intestin 10 minutes après l'injection. Quatre heures après l'injection, la moyenne du pourcentage de l'activité présente dans l'os et l'intestin est d'environ 61% et 49% respectivement. Aucune accumulation significative n'a été observée dans les autres organes, tels que le coeur, le foie, les reins, la vessie et la rate, 4 heures après l'injection. * Biotransformation Le radium-223 est un isotope qui se désintègre et n'est pas métabolisé. * Élimination L'excrétion par voie fécale est la principale voie d'élimination hors de l'organisme. Environ 5 % du produit est excrété dans les urines et aucune excrétion hépatobiliaire n'a été mise en évidence. Les mesures sur le corps entier 7 jours après l'injection (après correction liée à la désintégration) indiquent que 76% (valeur médiane) de l'activité administrée a été excrétée hors de l'organisme. La vitesse d'élimination du dichlorure de radium 223 hors du tractus gastro-intestinal est influencée par la forte variabilité des vitesses de transit intestinal au sein de la population, avec une évacuation des selles comprise dans un intervalle allant d'une fois par jour à une fois par semaine. * Linéarité/non-linéarité La pharmacocinétique du dichlorure de radium 223 est linéaire dans l'intervalle d'activité évalué (51 à 276 kBq/kg). * Population pédiatrique La sécurité et l'efficacité de ce médicament n'ont pas été étudiées chez les enfants et les adolescents âgés de moins de 18 ans. |
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* Dosimétrie La dose de rayonnement absorbée a été calculée d'après les données de biodistribution clinique. Les doses absorbées ont été calculées à l'aide du logiciel OLINDA/EXM (pour "Organ Level INternal Dose Assessment/EXponential Modeling"), lequel utilise l'algorithme MIRD (Medical Internal Radiation Dose), largement utilisé pour les radionucléides émetteurs bêta et gamma établis. Pour le radium-223, qui est principalement un émetteur alpha, des hypothèses supplémentaires ont été élaborées pour l'intestin, la moelle osseuse et l'os/les cellules ostéogènes, afin d'obtenir les meilleurs calculs possibles de la dose absorbée pour ce médicament, en tenant compte de sa biodistribution observée et de ses caractéristiques spécifiques .... ~~ :|Dose absorbée par unité d'activité administrée et par nature du rayonnement |||| ~~ Organe cible : Surrénales|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,00002|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00009|Dose totale (Gy/MBq) : 0,00012|Coefficient de variation (%) : 56 ~ Organe cible : Cerveau|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,00002|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00008|Dose totale (Gy/MBq) : 0,0001|Coefficient de variation (%) : 80 ~ Organe cible : Seins|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,00002|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00003|Dose totale (Gy/MBq) : 0,00005|Coefficient de variation (%) : 120 ~ Organe cible : Paroi de la vésicule biliaire|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,00002|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00021|Dose totale (Gy/MBq) : 0,00023|Coefficient de variation (%) : 14 ~ Organe cible : Paroi du colon distal|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,04561|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00085|Dose totale (Gy/MBq) : 0,04645|Coefficient de variation (%) : 83 ~ Organe cible : Paroi de l'intestin grêle|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0,00319|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,0036|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00047|Dose totale (Gy/MBq) : 0,00726|Coefficient de variation (%) : 45 ~ Organe cible : Paroi de l'estomac|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,00002|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00011|Dose totale (Gy/MBq) : 0,00014|Coefficient de variation (%) : 22 ~ Organe cible : Paroi du colon proximal|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,03149|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00082|Dose totale (Gy/MBq) : 0,03232|Coefficient de variation (%) : 50 ~ Organe cible : Paroi du cœur|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0,00161|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,00007|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00005|Dose totale (Gy/MBq) : 0,00173|Coefficient de variation (%) : 42 ~ Organe cible : Reins|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0,00299|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,00011|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00011|Dose totale (Gy/MBq) : 0,00321|Coefficient de variation (%) : 36 ~ Organe cible : Foie|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0,00279|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,0001|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00008|Dose totale (Gy/MBq) : 0,00298|Coefficient de variation (%) : 36 ~ Organe cible : Poumons|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0,00109|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,00007|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00005|Dose totale (Gy/MBq) : 0,00121|Coefficient de variation (%) : (2) ~ Organe cible : Muscle|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,00002|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,0001|Dose totale (Gy/MBq) : 0,00012|Coefficient de variation (%) : 41 ~ Organe cible : Ovaires|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,00002|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00046|Dose totale (Gy/MBq) : 0,00049|Coefficient de variation (%) : 40 ~ Organe cible : Pancréas|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,00002|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00009|Dose totale (Gy/MBq) : 0,00011|Coefficient de variation (%) : 43 ~ Organe cible : Moelle osseuse |Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0,13217|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,00642|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,0002|Dose totale (Gy/MBq) : 0,13879|Coefficient de variation (%) : 41 ~ Organe cible : Cellules ostéogènes|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 1,13689|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,01487|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,0003|Dose totale (Gy/MBq) : 1,15206|Coefficient de variation (%) : 41 ~ Organe cible : Peau|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,00002|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00005|Dose totale (Gy/MBq) : 0,00007|Coefficient de variation (%) : 79 ~ Organe cible : Rate|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,00002|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00007|Dose totale (Gy/MBq) : 0,00009|Coefficient de variation (%) : 54 ~ Organe cible : Testicules|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,00002|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00006|Dose totale (Gy/MBq) : 0,00008|Coefficient de variation (%) : 59 ~ Organe cible : Thymus|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,00002|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00003|Dose totale (Gy/MBq) : 0,00006|Coefficient de variation (%) : 109 ~ Organe cible : Thyroïde|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,00002|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00005|Dose totale (Gy/MBq) : 0,00007|Coefficient de variation (%) : 96 ~ Organe cible : Paroi de la vessie|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0,00371|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,00016|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00016|Dose totale (Gy/MBq) : 0,00403|Coefficient de variation (%) : 63 ~ Organe cible : Utérus|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,00002|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00023|Dose totale (Gy/MBq) : 0,00026|Coefficient de variation (%) : 28 ~ Organe cible : Corps entier|Émission alpha (1) (Gy/MBq) : 0,0222|Émission bêta (Gy/MBq) : 0,00081|Émission gamma (Gy/MBq) : 0,00012|Dose totale (Gy/MBq) : 0,02312|Coefficient de variation (%) : 16 ..... (1) Aucune captation du radium-223 n'ayant été observée dans la plupart des tissus mous, la contribution de l'émission alpha à la dose totale pour l'organe a été fixée à zéro pour ces organes. (2) Les données sur la dose absorbée par les poumons sont issues d'un modèle de calcul utilisant des données poolées dans le sang de l'activité en fonction du temps, de tous les sujets. La fréquence et la sévérité des effets indésirables hématologiques observés dans les études cliniques menées avec ce médicament sont bien inférieures à celles qui auraient été attendues au vu des calculs de doses absorbées dans la moelle osseuse. Ceci pourrait être lié à la distribution spatiale des rayonnements de particules alpha, entraînant une non uniformité spatiale de l'irradiation reçue par la moelle osseuse. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 27/10/2020 |
* Toxicité systémique Les principales observations des études de toxicologie à dose unique et en administrations répétées chez le rat ont été une réduction du gain de masse corporelle, des modifications hématologiques, une réduction du taux sérique des phosphatases alcalines et des modifications en microscopie de la moelle osseuse (déplétion des cellules hématopoïétiques, fibrose), de la rate (hématopoïèse extra-médullaire secondaire) et de l'os (déplétion des ostéocytes, ostéoblastes, ostéoclastes, lésions fibro-osseuses, rupture/désorganisation du cartilage de croissance ou physe). Ces observations ont été reliées à une altération de l'hématopoïèse induite par les rayonnements et à une réduction de l'ostéogenèse ; elles ont été décrites dès l'administration de l'activité la plus faible qui était de 22 kBq par kg de masse corporelle (soit 0,4 fois l'activité clinique recommandée). Chez le chien, des altérations hématologiques ont été observées dès l'activité la plus faible de 55 kBq/kg, qui correspond à l'activité recommandée en clinique. Une myélotoxicité dose-limitante a été observée chez le chien après administration d'une dose unique de 497 kBq de dichlorure de radium 223 par kg de masse corporelle (9 fois l'activité recommandée en clinique). Après administrations répétées de l'activité recommandée en clinique soit 55 kBq par kg de masse corporelle toutes les 4 semaines pendant 6 mois, deux chiens ont présenté des fractures du bassin non déplacées. Etant donné la présence d'une ostéolyse de degré variable au niveau de l'os trabéculaire à d'autres endroits du squelette des animaux traités, on ne peut exclure la survenue d'une fracture spontanée dans le contexte d'une ostéolyse. La pertinence clinique de ces observations est inconnue. Un décollement de la rétine a été observé chez le chien après injection unique d'activités de 166 et 497 kBq par kg de masse corporelle (3 et 9 fois la dose recommandée en clinique), mais pas après administrations répétées de l'activité recommandée en clinique de 55 kBq par kg de masse corporelle toutes les 4 semaines pendant 6 mois. Le mécanisme exact d'induction du décollement de la rétine n'est pas connu, mais des données de la littérature suggèrent que le radium est spécifiquement absorbé par le tapetum lucidum de l'oeil canin. L'être humain étant dépourvu de tapetum lucidum, la pertinence clinique de ces observations est incertaine. Aucun cas de décollement de la rétine n'a été rapporté dans les essais cliniques. Aucune modification histologique n'a été observée au niveau des organes impliqués dans l'excrétion du dichlorure de radium 223. L'apparition d'ostéosarcomes, effet connu des radionucléides à tropisme osseux, a été observée à des doses cliniquement pertinentes chez le rat 7 à 12 mois après le début du traitement. Les ostéosarcomes n'ont pas été observés dans les études chez le chien. Aucun cas d'ostéosarcome n'a été rapporté dans les études cliniques effectuées avec radium dichlorure. Le risque d'apparition d'un ostéosarcome chez les patients exposés au radium-223 n'est pas connu à ce jour. Les études de toxicologie à long terme (12 à 15 mois) effectuées chez le rat ont également rapporté la présence d'altérations néoplasiques, autres que l'ostéosarcome (Cf. rubrique "Effets indésirables"). * Toxicité sur l'embryon/les fonctions de la reproduction Aucune étude n'a été réalisée concernant la toxicité sur les fonctions de la reproduction et le développement. De façon générale, les radionucléides induisent des effets sur la reproduction et le développement. Un nombre minime de spermatocytes anormaux a été observé dans quelques tubes séminifères des testicules de rats après une administration unique de > ou = 2270 kBq/kg de masse corporelle de dichlorure de radium 223 (> ou = 41 fois l'activité recommandée en clinique). Les testicules semblaient fonctionner normalement par ailleurs et les épididymes ont présenté un nombre normal de spermatocytes. Des polypes utérins (stroma endométrial) ont été observés chez des rates après administrations unique ou répétées de > ou = 359 kBq/kg de masse corporelle de dichlorure de radium 223 (> ou = 6,5 fois l'activité recommandée en clinique). Le radium-223 étant distribué essentiellement dans l'os, le risque potentiel d'effets indésirables affectant les gonades masculines des patients atteints de cancer de la prostate résistant à la castration est très faible, mais ne peut être exclu (Cf. rubrique "Grossesse et allaitement"). * Génotoxicité/cancérogénicité Aucune étude n'a été réalisée concernant le potentiel mutagène et cancérogène de radium dichlorure. De façon générale, les radionucléides sont considérés comme génotoxiques et cancérogènes. * Pharmacologie de sécurité Aucun effet significatif n'a été observé au niveau des organes vitaux, c.-à-d. du système cardiovasculaire (chien), de l'appareil respiratoire ou du système nerveux central (rat), après administration de doses uniques d'activité allant de 497 à 1100 kBq par kg de masse corporelle (9 [chien] à 20 [rat] fois l'activité recommandée en clinique). |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 27/10/2020 |
Ce médicament est un médicament radiopharmaceutique et ne peut donc pas être prescrit en dénomination commune.
Spécialité(s) génériques Thériaque | Type | Prix |
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XOFIGO 1100 kBq/ML SOL INJ FL 6ML | ||
Comparer prix |
Groupe générique(s) : Néant |
Spécialité(s) générique(s) ansm et date(s) d'application : Néant |
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XOFIGO (EPAR) 2018 |
MEDICAMENT SOUS SURVEILLANCE RENFORCEE | |
XOFIGO RISQUE DECES ET FRACTURES 2018 | |
XOFIGO CI AVEC ABIRATER ET PREDNISO 2018 | |
XOFIGO RISQUE DECES ET FRACTURES 2017 | |
XOFIGO LETTRE INFO ETALON REFERENCE 2015 | |
XOFIGO RUPTURE STOCK 2014 | |
XOFIGO SYNTHESE D'AVIS 2014 |
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* Conditions de prescription et de délivrance Liste I. Médicament nécessitant une surveillance particulière pendant le traitement. Réservé à l'usage hospitalier. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 27/10/2020 | |
Code UCD13 : | 3400893975428 |
Code UCD7 : | 9397542 |
Code identifiant spécialité : | 6 630 238 7 |
Laboratoire(s) titulaire(s) AMM: |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 27/10/2020 | |
Laboratoire(s) exploitant(s) : |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 27/10/2020 | |
Code CIP13 | 3400958576270 |
Code CIP7 | 5857627 |
Commercialisation | Disponible : OUI depuis le 06/02/2014 |
Agrément collectivités/date JO | Oui le 14/10/2014 |
Radiation collectivités/date JO | Non |
Présentation réservée à l'hôpital | Oui |
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD) |
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Conditionnement primaire | 1 FLACON(S) contenant 6 ML (1) |
Matériau(x) |
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Caractéristique(s) du conditionnement primaire |
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Caractéristique(s) de l'emballage |
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* Nature et contenu de l'emballage extérieur |
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Présentation unitaire | OUI |
Référence(s) bibliographique(s) | |
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Conditions de délivrance |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 27/10/2020 |
Statut de la présentation |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 27/10/2020 |
1. Prix en officine ville | |
Prix de cette présentation (CIP)/date JO | non concerné |
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) | Non concerné |
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur) | |
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) | Non concerné |
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) | 3825 euros HT le 20/10/2022 |
1. Ville | |
Taux de remboursement |
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2. Hôpital (Rétrocession - vente au public) | |
Taux de remboursement |
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Statut(s) du remboursement |
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* Arrêté du 14 octobre 2022 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge en sus des prestations d'hospitalisation mentionnée à l'article L. 162-22-7 du code de la sécurité sociale (JO du 19/10/2022) Abrogation du libellé publié au JO du 07/102020 et nouveau libellé: La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge en sus par l'assurance maladie est : - en monothérapie ou en association avec un analogue de l'hormone de libération des gonadotrophines hypophysaires (LH-RH pour Luteinising Hormone-Releasing Hormone), chez les patients adultes dans le traitement du cancer de la prostate métastatique résistant à la castration (CPmRC), avec métastases osseuses symptomatiques et sans métastases viscérales connues, en progression après au moins deux lignes antérieures de traitement systémique du CPmRC (autres que les analogues de la LH-RH) ou inéligibles à tous les traitements systémiques du CPmRC disponibles. * Arrêté du 23 septembre 2020 fixant la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge au titre de l'arrêté du 28 août 2019 relatif à l'expérimentation faisant évoluer les modalités de la connaissance de l'utilisation et de la prise en charge des médicaments onéreux administrés par les établissements de santé (JO du 07/10/2020) Prises en charge au titre de l'arrêté du 28 août 2019 [...]. La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge en sus par l'assurance maladie est : - en monothérapie ou en association avec un analogue de l'hormone de libération des gonadotrophines hypophysaires (LH-RH pour Luteinising Hormone-Releasing Hormone), est indiqué chez les patients adultes dans le traitement du cancer de la prostate métastatique résistant à la castration (CPmRC), avec métastases osseuses symptomatiques et sans métastases viscérales connues, en progression après au moins deux lignes antérieures de traitement systémique du CPmRC (autres que les analogues de la LH-RH) ou inéligibles à tous les traitements systémiques du CPmRC disponibles. *Arrêté du 10 octobre 2014 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques agréées à l'usage des collectivités et divers services publics Le médicament est inscrit sur la liste des médicaments agréés à l'usage des collectivités et divers services publics. Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge par l'assurance maladie sont, celles qui figurent à l'autorisation de mise sur le marché à la date de publication du présent arrêté. JO du 14/10/2014 |
SMR spécifique de cette présentation | NON |
Modalité(s) de dispensation |
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Durée(s) et condition(s) de conservation |
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* Durée de conservation |
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Référence(s) officielles(s) : Rectificatif AMM européenne 27/10/2020 |
CANCER PROSTATE
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Ce médicament, en monothérapie ou en association avec un analogue de l'hormone de libération des gonadotrophines hypophysaires (LH-RH pour Luteinising Hormone-Releasing Hormone), est indiqué chez les patients adultes dans le traitement du cancer de la prostate métastatique résistant à la castration (CPmRC), avec métastases osseuses symptomatiques et sans métastases viscérales connues, en progression après au moins deux lignes antérieures de traitement systémique du CPmRC (autres que les analogues de la LH-RH) ou inéligibles à tous les traitements systémiques du CPmRC disponibles (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). |
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SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 17/07/2019 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 27/10/2020 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | 55 kBq/KG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /4 SEMAINES |
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Durée de traitement max | 6 FOIS ADAPTER SELON RAPPORT BENEFICE/RISQUE |
Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Recommandation(s) |
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Ce médicament doit être administré uniquement par du personnel habilité à manipuler des radiopharmaceutiques dans des services cliniques agréés (Cf. rubrique "Précautions particulières d'élimination et manipulation"), et après une évaluation du patient par un médecin expérimenté. * Posologie La posologie de ce médicament correspond à une activité de 55 kBq par kg de masse corporelle. Les injections sont répétées à intervalle de 4 semaines jusqu'à un maximum de 6 injections. La sécurité d'emploi et l'efficacité de ce médicament n'ont pas été étudiées au-delà de 6 injections. Pour plus de précisions sur le calcul du volume à administrer, Cf. rubrique "Instructions pour la préparation des radiopharmaceutiques". * Populations particulières - Sujets âgés L'étude de phase III n'a révélé aucune différence globale sur la sécurité ou l'efficacité entre les patients âgés (= 65 ans) et les patients plus jeunes (< 65 ans). Aucun ajustement posologique n'est jugé nécessaire chez les patients âgés. - Insuffisance hépatique La sécurité et l'efficacité de ce médicament n'ont pas été étudiées chez les patients atteints d'insuffisance hépatique. Dans la mesure où le radium-223 n'est ni métabolisé par le foie ni éliminé par voie biliaire, l'insuffisance hépatique ne devrait pas altérer la pharmacocinétique du dichlorure de radium 223. Aucun ajustement posologique n'est jugé nécessaire chez les patients atteints d'insuffisance hépatique. - Insuffisance rénale Au cours de l'étude clinique de phase III, aucune différence pertinente n'a été observée en termes de sécurité ou d'efficacité entre les patients atteints d'insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine [ClCr] : 50 à 80 mL/min) et ceux présentant une fonction rénale normale. Les données disponibles chez les patients atteints d'insuffisance rénale modérée (ClCr : 30 à 50 mL/min) sont limitées. Aucune donnée n'est disponible chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère (ClCr < 30 mL/min) ou d'insuffisance rénale terminale. Cependant, dans la mesure où l'excrétion urinaire est minime et où l'élimination se fait principalement par voie fécale, l'insuffisance rénale ne devrait pas altérer la pharmacocinétique du dichlorure de radium 223. Aucun ajustement posologique n'est jugé nécessaire chez les patients atteints d'insuffisance rénale. - Population pédiatrique Il n'existe pas d'utilisation justifiée de ce médicament dans la population pédiatrique dans l'indication du cancer de la prostate. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Modalité(s) |
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* Mode d'administration Ce médicament doit être administré par injection intraveineuse lente (sur une durée allant généralement jusqu'à 1 minute). La voie d'accès intraveineuse ou le cathéter doit être purgé et rincé à l'aide d'une solution isotonique injectable de chlorure de sodium à 9 mg/mL (0,9 %) avant et après l'injection de ce médicament. * Après l'administration de radium chlorure : (Cf. Notice) Il faut faire attention lors de la manipulation des équipements, tels que le linge de lit, qui entrent en contact avec les fluides corporels (tels que les urines, les selles, les vomissements, etc). Radium chlorure est éliminé principalement dans les selles. Le médecin vous indiquera si vous devez respecter des précautions particulières après avoir reçu ce médicament. Contactez votre médecin si vous avez la moindre question. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Terrain N° 1 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | NOUVEAU-NE |
Niveau(x) |
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Il n'existe pas d'utilisation justifiée de ce médicament dans la population pédiatrique dans l'indication du cancer de la prostate. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | NOURRISSON |
Niveau(x) |
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Il n'existe pas d'utilisation justifiée de ce médicament dans la population pédiatrique dans l'indication du cancer de la prostate. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | ENFANT |
Niveau(x) |
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Il n'existe pas d'utilisation justifiée de ce médicament dans la population pédiatrique dans l'indication du cancer de la prostate. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | ADULTE JEUNE (15-17 ANS)
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Niveau(x) |
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Il n'existe pas d'utilisation justifiée de ce médicament dans la population pédiatrique dans l'indication du cancer de la prostate. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | GROSSESSE |
Niveau(x) |
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Ce médicament n'est pas indiqué chez la femme. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | ALLAITEMENT |
Niveau(x) |
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Ce médicament n'est pas indiqué chez la femme. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | FEMME |
Niveau(x) |
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Ce médicament n'est pas indiqué chez la femme. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | HOMME
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Niveau(x) |
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En raison des effets potentiels sur la spermatogenèse associés aux rayonnements, il doit être conseillé aux hommes d'utiliser des méthodes de contraception efficaces pendant et jusqu'à 6 mois après le traitement par ce médicament. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Ce médicament est contre-indiqué en association avec l'acétate d'abiratérone et la prednisone/prednisolone (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 27/10/2020 |
Terrain N° 10 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 1 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | NEUTROPENIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | THROMBOPENIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | ANEMIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | APLASIE MEDULLAIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | INSUFFISANCE MEDULLAIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | AGRANULOCYTOSE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | TRAITEMENT ANTERIEUR
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Niveau(x) |
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Les patients présentant une déplétion de leur réserve médullaire, par exemple consécutive à une chimiothérapie cytotoxique et/ou une radiothérapie externe (RTE) devront être traités avec précautions. Une augmentation de l'incidence des effets indésirables hématologiques tels que des neutropénies et des thrombopénies a été observée chez ces patients lors de l'étude de phase III. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | RADIOTHERAPIE
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Niveau(x) |
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Les patients présentant une déplétion de leur réserve médullaire, par exemple consécutive à une chimiothérapie cytotoxique et/ou une radiothérapie externe (RTE) devront être traités avec précautions. Une augmentation de l'incidence des effets indésirables hématologiques tels que des neutropénies et des thrombopénies a été observée chez ces patients lors de l'étude de phase III. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | CROHN MALADIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | RECTOCOLITE HEMORRAGIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | MALADIE INFLAMMATOIRE INTESTINALE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | COMPRESSION MEDULLAIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | OSTEOPOROSE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | FRACTURE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 16 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 17 | AMAIGRISSEMENT
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 18 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 19 | DIARRHEE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 20 | NAUSEES VOMISSEMENTS |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 21 | DESHYDRATATION |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 22 | HYPOVOLEMIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 23 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 24 | HOMME
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En raison des effets potentiels sur la spermatogenèse associés aux rayonnements, il doit être conseillé aux hommes d'utiliser des méthodes de contraception efficaces pendant et jusqu'à 6 mois après le traitement par ce médicament. Les patients doivent se faire conseiller sur les possibilités de conservation du sperme avant le traitement. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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* Association avec l'abiratérone et la prednisone/prednisolone ou avec des traitements anticancéreux systémiques autres que les analogues de la LH-RH L'analyse intermédiaire d'une étude clinique réalisée chez des patients atteints d'un cancer de la prostate résistant à la castration, asymptomatiques ou peu symptomatiques, n'ayant jamais reçu de chimiothérapie et en progression avec métastases osseuses, a montré une augmentation du risque de fractures et une tendance à l'augmentation de la mortalité chez les patients recevant ce médicament en association avec l'acétate d'abiratérone et la prednisone/prednisolone par rapport aux patients recevant le placebo en association avec l'acétate d'abiratérone et la prednisone/prednisolone (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). Par conséquent, l'association de ce médicament avec l'acétate d'abiratérone et la prednisone/prednisolone est contre-indiquée (Cf. rubrique "Contre-indications"). La sécurité et l'efficacité de ce médicament en association avec les traitements anticancéreux autres que les analogues de la LH-RH n'ont pas été établies. Un risque accru de mortalité et de fractures est possible. L'association du radium-223 avec des traitements anticancéreux systémiques autres que les analogues de la LH-RH n'est donc pas recommandée. Les informations concernant les délais de sécurité à respecter entre les administrations de ce médicament et d'acétate d'abiratérone en association avec prednisone/prednisolone sont limitées. Compte tenu des demi-vies d'élimination de ce médicament et d'abiratérone, il est recommandé de ne pas initier de traitement par ce médicament moins de 5 jours après la dernière administration d'acétate d'abiratérone en association avec prednisone/prednisolone. Inversement, un délai d'au moins 30 jours doit être respecté entre la dernière administration de ce médicament et un traitement par acétate d'abiratérone associé à prednisone/prednisolone ou tout autre traitement anticancéreux systémique. * Traitement des patients présentant des métastases osseuses asymptomatiques ou peu symptomatiques Un risque accru de décès et de fractures a été observé lors d'une étude clinique dans laquelle ce médicament a été ajouté à l'acétate d'abiratérone et à la prednisone/prednisolone chez des patients atteints d'un cancer de la prostate résistant à la castration, asymptomatique ou peu symptomatique. Le bénéfice thérapeutique de ce médicament chez les adultes atteints d'un cancer de la prostate résistant à la castration, avec seulement des métastases osseuses asymptomatiques, n'a pas été établi. L'utilisation de ce médicament n'est donc pas recommandée dans le traitement de ces patients. Chez les adultes atteints d'un cancer de la prostate résistant à la castration avec métastases osseuses peu symptomatiques, le bénéfice thérapeutique doit être soigneusement évalué afin de compenser les risques, en considérant qu'une forte activité ostéoblastique est probablement nécessaire pour obtenir un bénéfice thérapeutique (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). * Patients ayant un faible nombre de métastases osseuses ostéoblastiques Lors des études cliniques, les patients ayant moins de 6 métastases osseuses ont présenté un risque accru de fractures et n'ont pas montré de bénéfice statistiquement significatif en termes de survie. Une analyse en sous-groupe prédéfinie a également montré que la survie globale n'était pas significativement améliorée chez les patients ayant une concentration sérique de phosphatases alcalines (PAL) totales < 220 U/L. Par conséquent, chez les patients présentant un faible nombre de métastases osseuses ostéoblastiques, le traitement par radium-223 n'est pas recommandé (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). * Myélosuppression Des cas de myélosuppression, en particulier des cas de thrombopénie, neutropénie, leucopénie et pancytopénie, ont été rapportés chez des patients traités par ce médicament (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Par conséquent, un bilan hématologique des patients doit être réalisé initialement et avant chaque dose de ce médicament. Avant la première administration, la numération absolue des polynucléaires neutrophiles doit être > ou = 1,5 x 10 puissance 9/L, la numération plaquettaire > ou = 100 x 10 puissance 9/L et le taux d'hémoglobine > ou = 10,0 g/dL. Avant les administrations suivantes, la numération absolue des polynucléaires neutrophiles doit être > ou = 1,0 x 10 puissance 9/L et la numération plaquettaire > ou = 50 x 10 puissance 9/L. Si ces valeurs ne reviennent pas à un niveau acceptable dans les 6 semaines suivant la dernière administration de ce médicament en dépit de soins standards, le traitement par ce médicament ne devra être poursuivi qu'après une évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque. Les patients présentant une déplétion de leur réserve médullaire, par exemple consécutive à une chimiothérapie cytotoxique et/ou une radiothérapie externe (RTE) ou les patients présentant un cancer de la prostate avec infiltration osseuse diffuse (extension de la maladie de grade 4 ; diffusion massive avec aspect de "superscan"), devront être traités avec précautions. Une augmentation de l'incidence des effets indésirables hématologiques tels que des neutropénies et des thrombopénies a été observée chez ces patients lors de l'étude de phase III (Cf. rubrique "Effets indésirables"). L'efficacité et la sécurité d'une chimiothérapie cytotoxique administrée après un traitement par ce médicament n'ont pas été établies. Les données disponibles sont limitées et indiquent que les patients recevant une chimiothérapie après ce médicament avaient un profil hématologique similaire à celui des patients recevant une chimiothérapie après le placebo (Cf. aussi rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). * Maladie de Crohn et rectocolite hémorragique La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les patients atteints d'une maladie de Crohn ou d'une rectocolite hémorragique n'ont pas été étudiées. En raison de l'élimination de ce médicament par voie fécale, les rayonnements pourraient aggraver une maladie inflammatoire de l'intestin en phase aiguë. Ce médicament doit être administré uniquement après une évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque chez les patients atteints d'une maladie inflammatoire de l'intestin en phase aiguë. * Compression médullaire Chez les patients présentant un risque immédiat de compression médullaire ou une compression confirmée non traitée, un traitement adapté, conformément aux recommandations cliniques, doit être mené à terme avant de débuter ou de reprendre le traitement par ce médicament. * Fractures osseuses Ce médicament augmente le risque de fractures osseuses. Lors d'une étude clinique, l'ajout de ce médicament à l'acétate d'abiratérone et à la prednisone/prednisolone a approximativement triplé l'incidence des fractures dans le groupe de ce médicament (Cf. rubriques "Effets indésirables" et "Propriétés pharmacodynamiques"). Un risque accru de fractures a été observé tout particulièrement chez les patients ayant des antécédents d'ostéoporose et chez ceux ayant moins de 6 métastases osseuses. Ce médicament s'accumule probablement dans les foyers à fort remodelage osseux tels que les foyers de maladie osseuse dégénérative (ostéoporose) ou de (micro-)fractures récentes, augmentant ainsi le risque de fractures. D'autres facteurs, notamment l'utilisation concomitante de stéroïdes, pourraient augmenter davantage le risque de fractures. Avant d'initier le traitement par le radium-223, l'état osseux des patients doit être soigneusement évalué (par ex., par scintigraphie, mesure de la densité minérale osseuse), de même que leur risque initial de fractures (par ex., ostéoporose, moins de 6 métastases osseuses, médicaments augmentant le risque de fractures, faible indice de masse corporelle), puis ces paramètres doivent être étroitement surveillés pendant au moins 24 mois. Des mesures préventives telles que l'utilisation de bisphosphonates ou de dénosumab doivent être envisagées avant l'initiation ou la reprise du traitement par ce médicament (Cf. rubrique "Effets indésirables") . Chez les patients présentant un risque initial de fractures élevé, le bénéfice thérapeutique doit être soigneusement évalué afin de compenser les risques. Chez les patients présentant des fractures osseuses, les fractures doivent faire l'objet d'une stabilisation orthopédique avant de débuter ou de reprendre le traitement par ce médicament. * Ostéonécrose de la mâchoire Une augmentation du risque de développement d'une ostéonécrose de la mâchoire (ONM) ne peut pas être exclue chez les patients traités par des bisphosphonates et ce médicament. Lors de l'étude de phase III, des cas d'ONM ont été rapportés chez 0,67 % des patients (4/600) du groupe de ce médicament et chez 0,33% des patients (1/301) du groupe placebo. Cependant, tous les patients ayant une ONM avaient également été exposés préalablement ou de façon concomitante à un traitement par bisphosphonates (par exemple, acide zolédronique) et à une chimiothérapie préalable (par exemple, docétaxel). * Tumeurs malignes secondaires L'administration de ce médicament contribue à l'exposition globale cumulée du patient aux radiations ionisantes sur le long terme. L'exposition cumulée aux rayonnements sur le long terme peut être associée à un risque accru de cancer et d'anomalies héréditaires. En particulier, le risque d'ostéosarcome, de syndrome myélodysplasique et de leucémies pourrait être accru. Aucun cas de cancer induit par ce médicament n'a été rapporté dans les essais cliniques sur une durée de suivi allant jusqu'à trois ans. * Toxicité gastro-intestinale Ce médicament augmente l'incidence des diarrhées, nausées et vomissements (Cf. rubrique "Effets indésirables") pouvant entraîner une déshydratation. L'apport hydrique par voie orale et l'état d'hydratation des patients doivent être surveillés attentivement. Il doit être conseillé aux patients de consulter un médecin en cas de diarrhées, nausées, vomissements sévères ou persistants. Les patients présentant des signes ou symptômes de déshydratation ou d'hypovolémie doivent être traités rapidement. * Excipient à effet notoire En fonction du volume administré, ce médicament peut contenir jusqu'à 2,35 mmol (54 mg) de sodium par dose, ce qui équivaut à 2,7% de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium par adulte. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 27/10/2020 |
Terrain N° 25 | REGIME HYPOSODE STRICT |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient du sodium comme excipient. * Voie d'administration : Orale et parentérale - Seuil : > ou = 1 mmol (23 mg) par "dose administrée" - Information pour la notice Ce médicament contient x mg de sodium (composant principal du sel de cuisine/table) par <dose><volume unitaire>. Cela équivaut à y% de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé de sodium pour un adulte. - Commentaires En cas d'administration parentérale à dosage variable (par exemple, en fonction du poids), la teneur en sodium peut être exprimée en mg par flacon. Libellé proposé pour le RCP : "Ce médicament contient x mg de sodium par <dose>, ce qui équivaut à y% de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium par adulte." * Voie d'administration : Orale et parentérale - Seuil : 17 mmol (391 mg) à la dose quotidienne maximale - Information pour la notice Parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien si vous avez besoin de <Z> ou de plus de <dose> quotidiennement pendant une période prolongée, surtout si vous devez suivre un régime à faible teneur en sel (sodium). - Commentaires Ceci s'applique uniquement aux produits pour lesquels la posologie indiquée permet une prise quotidienne pendant plus d'un mois ou une utilisation répétée de plus de deux jours par semaine. 17 mmol (391 mg) représente environ 20% de l'apport alimentaire quotidien maximal adulte recommandé par l'OMS de 2 g de sodium et est considéré comme un dosage "élevé". Ceci vaut également pour les enfants, pour lesquels l'apport quotidien maximal est censé être proportionnel à celui des adultes et calculé selon les besoins énergétiques. <Doses Z> reflète le nombre minimum de doses pour lesquelles le seuil de 17 mmol (391 mg) de sodium est atteint/dépassé. Arrondir au nombre entier le plus proche. Pour le libellé du RCP, veuillez vous reporter à la recommandation du PRAC: "1.3. Sodium-containing effervescent, dispersible and soluble medicines – Cardiovascular events" (EMA/PRAC/234960/2015). Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Aucune étude clinique d'interaction n'a été réalisée. Des interactions avec le calcium et le phosphate ne pouvant être exclues, il doit être envisagé de suspendre une supplémentation à base de ces traitements et/ou la prise de Vitamine D quelques jours avant le début du traitement par radium dichlorure. L'administration concomitante d'une chimiothérapie et de radium dichlorure peut produire des effets additifs en ce qui concerne la myélosuppression (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). La sécurité d'emploi et l'efficacité de l'administration concomitante d'une chimiothérapie et de radium dichlorure n'ont pas été établies. |
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Référence(s) officielle(s):  Rectificatif AMM européenne 27/10/2020 |
Effet spécialité |
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Niveau(x) de risque |
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Ce médicament n'est pas indiqué chez la femme. Ce médicament ne doit pas être utilisé chez les femmes qui sont ou pourraient être enceintes. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 27/10/2020 |
Recommandations |
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* Contraception chez l'homme Aucune étude chez l'animal des effets de ce médicament sur la reproduction n'a été réalisée. En raison des effets potentiels sur la spermatogenèse associés aux rayonnements, il doit être conseillé aux hommes d'utiliser des méthodes de contraception efficaces pendant et jusqu'à 6 mois après le traitement par ce médicament. * Fertilité Aucune donnée n'est disponible concernant les effets de ce médicament sur la fertilité chez l'être humain. D'après les études menées chez l'animal, il existe un risque potentiel d'effets indésirables sur la fertilité dus aux rayonnements issus de ce médicament (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). Les patients doivent se faire conseiller sur les possibilités de conservation du sperme avant le traitement. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 27/10/2020 |
Passage dans le lait | Pas d'information |
Fixation protéique | Pas d'information |
Rapport concentration lait/plasma maternels | Pas d'information |
Concentration dans 100 ml de lait maternel | Pas d'information |
Recommandations |
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Ce médicament n'est pas indiqué chez la femme. Ce médicament ne doit pas être utilisé chez les femmes en cours d'allaitement. |
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Référence(s) officielle(s): | Rectificatif AMM européenne 27/10/2020 |
Recommandations |
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Ce médicament n'a aucun effet ou un effet négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 27/10/2020 |
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
Site internet: www.ansm.sante.fr.
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