* Grossesse
L'innocuité de ce médicament chez la femme enceinte n'a pas été établie par des essais cliniques contrôlés et celui-ci doit donc être administré avec précaution chez les femmes enceintes.
Il a été montré que l'imunoglobuline G administrée par voie intraveineuse franchit la barrière placentaire, et ce de façon accrue au troisième trimestre de la grossesse. L'expérience clinique avec les immunoglobulines suggère qu'aucun effet nocif n'est attendu sur le déroulement de la grossesse, ni sur le foetus et le nouveau-né.