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Voie(s) d'administration : |
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Forme(s) pharmaceutique(s) : |
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Gélule blanche, opaque, de taille zéro portant 2 bandes imprimées à l'encre noire (1 sur la tête et 1 sur le corps de la gélule) ou portant la mention “OLAPARIB 50 mg” et le logo AstraZeneca imprimés à l'encre noire |
Référence(s) bibliographique(s) : |
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Substance(s) active(s)
Excipient(s)
ENVELOPPE DE LA GELULE Excipient(s)
ENCRE D'IMPRESSION Excipient(s) |
Précision(s) composition : |
Chaque gélule contient 50 mg d'olaparib. |
Référence(s) officielle(s) : Ampliation ATU 04/08/2014
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Aucune DDD attribuée |
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Classe pharmacothérapeutique : Autres agents antinéoplasiques, code ATC : non encore attribué * Mécanisme d'action et effets pharmacodynamiques Olaparib est un puissant inhibiteur des enzymes poly (ADP-ribose) polymérase humaines (PARP) et il a été montré qu'il inhibait la croissance de certaines lignées de cellules tumorales in vitro et la croissance tumorale in vivo soit en monothérapie soit en association avec des chimiothérapies de référence. Les PARP sont nécessaires à la réparation efficace des cassures simple brin de l'ADN ; un aspect important de la réparation induite par le PARP est qu'après la modification de la chromatine, le PARP s'automodifie et se dissocie de l'ADN pour faciliter l'accès aux enzymes nécessaires à la réparation par excision de base (BER). Quand Olaparib est lié au site actif du PARP associé à l'ADN, il empêche la dissociation du PARP et le piège sur l'ADN, bloquant ainsi la réparation. Dans les cellules en réplication, cela conduit à des cassures double brin de l'ADN (CDBs) quand les fourches de réplication rencontrent l'adduit PARP-ADN. Dans les cellules normales, la réparation par recombinaison homologue (HRR) qui requiert les gènes BRCA-1 et 2 fonctionnels, est efficace pour réparer ces cassures double brin de l'ADN. En l'absence de gènes BRCA-1 et BRCA-2 fonctionnels, ces cassures double brin de l'ADN ne peuvent pas être réparées par recombinaison homologue. A la place de cela, des voies alternatives et sujettes à l'erreur sont activées, comme la jonction précise ou imprécise des extrémités (NHEJ :Non-Homologous End Joining) conduisant à une augmentation de l'instabilité génomique. Après un certain nombre de cycles de réplication, l'instabilité génomique peut atteindre des niveaux trop importants et entraîner la mort des cellules cancéreuses, étant donné que les cellules cancéreuses ont une quantité élevée d'ADN endommagé par rapport aux cellules normales. Chez les modèles in vivo ayant un déficit en BRCA, olaparib donné après un traitement par platine a entraîné un retard dans la progression tumorale et une augmentation de la survie globale en comparaison au traitement par platine seul. * Détection de la mutation BRCA Les patientes sont éligibles au traitement par olaparib si elles ont une mutation délétère confirmée ou suspectée de BRCA (c'est-à-dire une mutation qui perturbe le fonctionnement normal du gène) soit dans la lignée germinale soit dans la tumeur (détectée au moyen d'un test validé approprié). * Efficacité clinique La sécurité d'emploi et l'efficacité d'olaparib en traitement d'entretien chez des patientes sensibles au platine (Platinum Sensitive Relapsed PSR) atteintes d'un cancer de l'ovaire récidivant, des trompes de Fallope ou primitif du péritoine après au moins deux lignes de chimiothérapie contenant du platine ont été étudiées dans le cadre d'un essai de phase II, randomisé, en double aveugle, contrôlé versus placebo (étude 19). L'étude a comparé l'efficacité du traitement d'entretien par olaparib administré jusqu' à la progression de la maladie versus l'absence de traitement d'entretien chez 265 patientes PSR atteintes d'un cancer de l'ovaire séreux (136 olaparib et 129 placebo) en réponse (RC [réponse complète] ou RP [réponse partielle] confirmée par RECIST et/ou CA-125 Gynecologic Cancer InterGroup (GCIG) (au moins 50% de réduction des taux de CA-125 par rapport au dernier échantillon pré-traitement confirmé 28 jours plus tard)) après les deux précédentes chimiothérapie à base de platine ou plus. Le critère principal d'évaluation était la survie sans progression (SSP) évaluée par l'investigateur selon les critères RECIST 1.0. Les critères secondaires d'évaluation étaient la SG (survie globale), le TCM (taux de contrôle de la maladie) défini comme RC/RP + SD, le critère de qualité de vie liée à la santé HRQoL (Health related quality of life) et les symptômes liés à la maladie. Des analyses exploratoires du temps jusqu'au premier traitement suivant ou du décès (TFST) et du temps jusqu'au second traitement ou jusqu'au décès (TSST- une approximation de la SSP2) ont également été réalisées. Seules les patientes sensibles au platine (PSR) en réponse suite à la dernière ligne de chimiothérapie à base de platine et dont la rechute après la fin de l'avant-dernière chimiothérapie à base de platine était survenue dans un délai > 6 mois ont été incluses dans l'étude. Les patientes ne pouvaient pas avoir reçu auparavant de traitement par olaparib ou par un autre inhibiteur de PARP. Les patientes pouvaient avoir reçu précédemment un traitement par bevacizumab, sauf dans le cadre de la ligne administrée immédiatement avant la randomisation. Les patientes ont été randomisées dans l'étude une médiane de 40 jours après avoir terminé leur dernière chimiothérapie à base de platine. Elles ont reçu en moyenne 3 (intervalle 2 et 11) traitements antérieurs de chimiothérapie et 2.6 (intervalle 2-8) traitements antérieurs de chimiothérapie contenant du platine. Les patientes du groupe olaparib ont eu une durée de traitement plus longue que celles du groupe placebo. Un total de 54 (39,7%) patientes ont reçu le traitement pendant > 12 mois dans le groupe olaparib contre 14 (10,9%) patientes dans le groupe placebo. L'étude a atteint son objectif principal, à savoir une amélioration statistiquement significative de la SSP avec le traitement d'entretien en monothérapie par olaparib en comparaison au placebo dans la population générale (HR 0,35 ; IC à 95 % 0,25-0,49 ; p < 0,00001), de plus, une analyse en sous-groupe programmée en fonction du statut de mutation BRCA a identifié les patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire avec mutation de BRCA (n = 136, 51,3 %) comme le sous-groupe tirant le bénéfice clinique maximal du traitement d'entretien par olaparib en monothérapie. Les patientes avec mutation de BRCA (n = 136) ont obtenu une amélioration statistiquement significative de la SSP, TFST et TSST. L'amélioration de la SSP médiane a été de 6,9 mois pour les patientes traitées par olaparib versus placebo (HR 0,18 ; IC à 95 % 0,10-0,31 ; p < 0,00001 ; médiane 11,2 mois versus 4,3 mois). L'évaluation par l'investigateur de la survie sans progression (SSP) était conforme à l'analyse en aveugle par un centre radiologique indépendant. Le temps entre la randomisation et le début du second traitement suivant ou le décès (TSST) a été plus long de 8,6 mois pour les patientes traitées par olaparib (HR 0,44 ; IC à 95% 0,29-0,67 ; p = 0,00013 ; médiane de 23,8 mois versus 15,2 mois). Il n'y avait pas de différence statistiquement significative pour la survie globale (HR 0,73 ; IC à 95 % 0,45-1,17 ; p = 0,19 ; médiane 34,9 mois versus 31,9 mois). Au sein de la population mutée pour le gène BRCA, le taux de contrôle de la maladie à 24 semaines était de 57% et 24% pour les patientes des groupes olaparib et placebo respectivement. Aucune différence statistiquement significative n'a été observée entre olaparib et placebo concernant les symptômes déclarés par les patientes ou la qualité de vie liée à la santé HRQoL mesurée par les taux d'amélioration ou d'aggravation de la FACT / NCCN Ovarian Symptom Index (FOSI), l'indice de résultat de l'essai (Trial Outcome Index : TOI) et l'évaluation fonctionnelle dans le traitement du cancer de l'ovaire (FACT-O total). Les principaux résultats d'efficacité de l'étude 19 pour les patientes avec mutation de BRCA sont présentés ci-dessous. Résumé des principaux résultats d'efficacité pour les patientes sensibles au platine avec mutation BRCA en rechute du cancer de l'ovaire (étude 19) -> SSP : Olaparib 400 mg - N (événements/ patientes) (%) : 26/74 (35 %) - SSP médiane (mois) : 11,2 - HR (a) : 0,18 - IC à 95 % : 0,10-0,31 - Valeur de p : < 0,0001 -> SSP : Placebo - N (événements/ patientes) (%) : 42/62 (74 %) - SSP médiane (mois) : 4,3 - HR (a) : 0,18 - IC à 95 % : 0,10-0,31 - Valeur de p : < 0,0001 -> TSST- une approximation de la SSP2 : Olaparib 400 mg - N : 42/74 (57%) - TSST médiane (mois) : 23,8 - HR (a) : 0,44 - IC à 95 % : 0,29-0,67 - Valeur de p : 0,00013 -> TSST- une approximation de la SSP2 : Placebo - N : 49/62 (79%) - TSST médiane (mois) : 15,2 - HR (a) : 0,44 - IC à 95 % : 0,29-0,67 - Valeur de p : 0,00013 -> SG intermédiaire (maturité 52 %) : Olaparib 400 mg - N : 37/74 (50 %) - SG médiane (mois) : 34,9 - HR (a) : 0,73 - IC à 95 % : 0,45-1,17 - Valeur de p : 0,19 -> SG intermédiaire (maturité 52 %) : Placebo (b) - N : 34/62 (55 %) - SG médiane (mois) : 31,9 - HR (a) : 0,73 - IC à 95 % : 0,45-1,17 - Valeur de p : 0,19 (a) HR = Hazard Ratio. Une valeur < 1 est en faveur de l'olaparib. L'analyse a été réalisée au moyen d'un modèle des risques proportionnels de Cox avec comme facteurs le traitement, le temps jusqu'à progression de la maladie avec l'avant-dernier traitement par platine, la réponse objective au dernier traitement par platine et l'origine juive. (b) Environ un quart des patientes sous placebo du sous-groupe avec mutation de BRCA (14/62 ; 22,6 %) ont reçu un traitement ultérieur par inhibiteur de PARP. (N) Nombre d'événements/nombre de patientes randomisées ; SG, survie globale ; SSP, survie sans progression ; IC, intervalle de confiance, TSST Temps entre la randomisation et le début du second traitement ultérieur ou du décès. Figure: Etude 19 : courbe de Kaplan-Meier de la SSP chez les patientes avec mutation de BRCA (maturité 52 %-évaluation de l'investigateur) (Cf. RCP) Figure : Etude 19 : courbe de Kaplan-Meier de la SG chez les patientes avec mutation de BRCA (maturité 52 %) (Cf. RCP) |
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Référence(s) officielle(s): Ampliation ATU 04/08/2014 |
La pharmacocinétique de l'olaparib à la dose de 400 mg deux fois par jour en gélules est caractérisée par une clairance plasmatique apparente de environ 8,6 l/h, un volume de distribution apparent de environ 167 l et une demi-vie terminale de 11,9 heures. * Absorption Après administration orale d'olaparib sous forme de gélules, l'absorption est rapide, les concentrations plasmatiques maximales étant typiquement atteintes au bout de 1 à 3 heures. En cas d'administration répétée, il n'y a pas d'accumulation marquée, l'état d'équilibre étant atteint en environ 3 à 4 jours. La co-administration avec de la nourriture ralentit le taux (t max retardé de 2 heures) et augmente marginalement l'étendue de l'absorption de l'olaparib (ASC augmentée d'approximativement 20 %). Par conséquent il est recommandé que les patientes prennent ce médicament au moins une heure après une prise de nourriture et s'abstiennent de manger pendant de préférence au moins les deux heures suivantes (Cf. rubrique "Posologie"). * Distribution La liaison in vitro aux protéines est approximativement de 82 % aux concentrations cliniquement pertinentes de 10 microg/ml. In vitro, la liaison de l'olaparib aux protéines plasmatiques humaines a été dose-dépendante ; la fraction liée a été approximativement de 91 % à 1 microg/ml, diminuant à 82 % à 10 microg/ml et à 70 % à 40 microg/ml. Dans les solutions de protéines purifiées, la fraction de l'olaparib liée à l'albumine a été approximativement de 56 %, quelles que soient les concentrations de l'olaparib. En utilisant la même méthode de dosage, la fraction liée à l'alpha-1 glycoprotéine acide a été de 29 % à 10 microg/ml, avec une tendance à une liaison plus faible aux concentrations plus élevées. * Biotransformation In vitro, les CYP3A4/5 se sont révélés être les enzymes principalement responsables du métabolisme de l'olaparib (Cf. rubrique "Interactions"). Après administration orale de 14C-olaparib à des femmes, l'olaparib inchangé a représenté la majorité de la radioactivité circulante dans le plasma (70 %) et a été le composant majeur retrouvé à la fois dans l'urine et dans les fèces (respectivement 15 % et 6 % de la dose). Le métabolisme de l'olaparib est important. La majeure partie du métabolisme a été attribuée à des réactions d'oxydation, un certain nombre des composants produits subissant par la suite une glucuroconjugaison ou une sulfoconjugaison. Jusqu'à 20, 37 et 20 métabolites ont été détectés respectivement dans le plasma, l'urine et les fèces, la majorité d'entre eux représentant <1 % de la substance dosée. Un groupe pipérazine-3-ol à cycle ouvert et deux métabolites mono-oxygénés (chacun environ 10 %) ont été les principaux composants circulants, l'un des métabolites mono-oxygénés étant également le métabolite majeur dans les excrétas (6 % et 5 % de la radioactivité respectivement urinaire et fécale). In vitro, l'olaparib produit une légère, voire aucune inhibition de l'UGT1A4, UGT1A9, UGT2B7 ou des CYP 1A2, 2A6, 2B6, 2C8, 2C9, 2C19, 2D6 ou 2E1 et il n'est pas attendu d'inhibition dépendante du temps cliniquement significative d'une de ces enzymes CYP. L'olaparib a inhibé l'UGT1A1 in vitro, toutefois, les simulations PBPK suggèrent que cette inhibition n'est pas cliniquement importante. In vitro, l'olaparib est un substrat du transporteur d'efflux P-gp, mais cela ne devrait toutefois pas être cliniquement significatif (Cf. rubrique "Interactions"). Les données in vitro ont également montré que l'olaparib n'est pas un substrat de l'OATP1B1, de l'OATP1B3, de l'OCT1, de la BCRP ou du MRP2, et qu'il n'est pas un inhibiteur de l'OATP1B3, de l'OAT1 ou du MRP2. * Élimination Sur une période de recueil de 7 jours après l'administration d'une dose unique de 14C-olaparib, environ 86 % de la radioactivité administrée ont été récupérés : environ 44 % dans l'urine et environ 42 % dans les fèces. La majeure partie a été excrétée sous forme de métabolites. * Populations particulières Dans les analyses PK de la population, l'âge des patientes, le poids corporel ou l'origine ethnique (y compris les patientes caucasiennes et japonaises) n'ont pas été des covariables significatives. - Insuffisance rénale Chez les patientes ayant une insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine comprise entre 51 et 80 ml/min), l'ASC a augmenté de 24 % et la Cmax de 15 % par rapport aux patientes ayant une fonction rénale normale. Aucun ajustement de dose de ce médicament n'est nécessaire chez les patientes ayant une insuffisance rénale légère. Chez les patientes ayant une insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine comprise entre 31 et 50 ml/min), l'ASC a augmenté de 44 % et la Cmax de 26 % par rapport aux patientes ayant une fonction rénale normale. Un ajustement de dose de ce médicament est recommandé chez les patientes ayant une insuffisance rénale modérée (Cf. rubrique "Posologie"). Aucune donnée n'est disponible chez les patientes ayant une insuffisance rénale sévère ou ayant une pathologie rénale au stade terminal (clairance de la créatinine <30 ml/min). - Insuffisance hépatique Chez les patientes ayant une insuffisance hépatique légère (classification de Child-Pugh A), l'ASC a augmenté de 15 % et la Cmax de 13 % et chez les patientes ayant une insuffisance hépatique modérée (classification de Child-Pugh B), l'ASC a augmenté de 8 % et la Cmax a diminué de 13 % comparativement aux patientes ayant une fonction hépatique normale. Aucun ajustement de dose de ce médicament n'est nécessaire chez les patientes ayant une insuffisance hépatique légère ou modérée (Cf. rubrique "Posologie"). Il n'existe pas de données chez les patientes ayant une insuffisance hépatique sévère (classification de Child-Pugh C). - Population pédiatrique Aucune étude de pharmacocinétique avec l'olaparib n'a été menée chez les patients pédiatriques. |
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Référence(s) officielle(s): Ampliation ATU 04/08/2014 |
* Toxicité de doses répétées Dans les études de toxicité à doses répétées d'une durée maximale de 6 mois conduites chez les rats et les chiens, des doses orales quotidiennes d'olaparib ont été bien tolérées. Le principal organe cible de la toxicité dans les deux espèces a été la moelle osseuse, avec des modifications associées à des paramètres hématologiques périphériques. Ces modifications étaient réversibles dans les 4 semaines suivant l'arrêt du traitement. Chez les rats, des effets dégénératifs minimes sur le tractus gastrointestinal ont également été observés. Ces événements sont survenus à des expositions inférieures à celles observées en clinique. Des études utilisant des cellules médullaires humaines ont également montré qu'une exposition directe à l'olaparib peut induire une toxicité sur les cellules médullaires lors de tests ex vivo. * Génotoxicité L'olaparib n'a montré aucun potentiel mutagène, mais s'est montré clastogène dans des cellules de mammifère in vitro. Lors d'une administration orale chez des rats, l'olaparib a induit la formation de micronoyaux au niveau de la moelle osseuse. Cette clastogénicité est cohérente avec la pharmacologie connue de l'olaparib et elle indique un potentiel génotoxique chez l'être humain. * Carcinogénicité Aucune étude de carcinogénicité n'a été conduite avec l'olaparib. * Toxicologie sur la reproduction Dans une étude de fertilité menée chez des rats femelles traitées jusqu'à l'implantation, bien qu'un allongement du cycle ait été observé chez certains animaux, les performances d'accouplement et le taux de gestation n'ont pas été affectés. Il a néanmoins été observé une légère réduction de la survie embryo-foetale. Dans les études de développement embryo-foetal chez le rat, et à des doses n'induisant pas de toxicité maternelle significative, l'olaparib a réduit la survie embryo-foetale, diminué le poids des foetus et entraîné des anomalies du développement foetal, y compris des malformations majeures au niveau des yeux (par exemple anophtalmie, microphtalmie), une malformation des vertèbres/côtes et des anomalies viscérales et squelettiques. |
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Référence(s) officielle(s): Ampliation ATU 04/08/2014 |
Attention : il n'existe plus de médicament commercialisé correspondant à ce médicament virtuel.
Spécialité(s) génériques Thériaque | Type | Prix |
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LYNPARZA 50MG GELULE NSFP | ||
OLAPARIB ASZ 50MG GELULE NSFP | ||
Comparer prix |
Groupe générique(s) : Néant |
Spécialité(s) générique(s) ansm et date(s) d'application : Néant |
LYNPARZA RISQUE ERREUR 2019 | |
LYNPARZA INFO PATIENT 2019 | |
AUTORISATION TEMPORAIRE D'UTILISATION | |
OLAPARIB ANCIEN PUT 2014 | |
CANCER DE L'OVAIRE - GUIDE PATIENT | |
CANCER DE L'OVAIRE - GUIDE MEDECIN |
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* Conditions de prescription et de délivrance Médicament soumis à prescription hospitalière réservée aux spécialistes en oncologie ou aux médecins compétents en cancérologie. * Rétrocession - Arrêté du 20 août 2014 modifiant l'arrêté du 17 décembre 2004 modifié fixant la liste prévue à l'article L. 5126-4 du code de la santé publique (JO du 29/08/2014). * ATU Sont soumises à ATU, toutes les utilisations réalisées en dehors du cadre des essais cliniques, de spécialité pharmaceutique sans AMM en France, qu'ils bénéficient ou non d'une AMM à l'étranger. Les poursuites de traitement en fin d'essai clinique doivent faire l'objet d'un amendement au protocole initial et ne relèvent généralement pas d'ATU. L'utilisation d'un médicament dans une indication autre que celle de son AMM relève de la responsabilité du prescripteur et ne peut faire l'objet d'ATU. En raison de leur statut sans AMM, les médicaments bénéficiant d'ATU ne sont pas disponibles en officine et ne peuvent être dispensés que par les pharmacies d'établissement de santé. Leur prescription peut être restreinte à une catégorie de prescripteurs. |
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Référence(s) officielle(s): Ampliation ATU 04/08/2014 | |
Code UCD13 : | 3400894013440 |
Code UCD7 : | 9401344 |
Code identifiant spécialité : | Non renseigné |
Laboratoire(s) titulaire(s) ATU: |
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Référence(s) officielle(s): Ampliation ATU 04/08/2014 | |
Laboratoire(s) exploitant(s) : |
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Référence(s) officielle(s): Ampliation ATU 04/08/2014 | |
Code CIP13 | 3400958935633 |
Code CIP7 | 5893563 |
Commercialisation | Supprimé le 11/03/2015 |
Agrément collectivités/date JO | En cours |
Présentation réservée à l'hôpital | Oui |
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD) |
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Conditionnement primaire | 4 FLACON(S) (1) |
Nb unités de prise par conditionnement primaire | 120 GELULE(S) par FLACON(S) |
Matériau(x) |
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Caractéristique(s) du conditionnement primaire |
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* Nature et contenu de l'emballage extérieur |
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Présentation unitaire | |
Référence(s) bibliographique(s) | |
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Conditions de délivrance |
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Référence(s) officielle(s): Ampliation ATU 04/08/2014 |
Statut de la présentation |
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ATU de cohorte : 01/08/2014 |
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Référence(s) officielle(s): Ampliation ATU 04/08/2014 |
1. Prix en officine ville | |
Prix de cette présentation (CIP)/date JO | non concerné |
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) | Non concerné |
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur) | |
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) | Non concerné |
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) | Non concerné |
1. Ville | |
Taux de remboursement |
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2. Hôpital (Rétrocession - vente au public) | |
Taux de remboursement |
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Statut(s) du remboursement |
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SMR spécifique de cette présentation | NON |
Modalité(s) de dispensation |
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* Rétrocession |
Code CIP13 | 3400959096203 |
Code CIP7 | 5909620 |
Commercialisation | Supprimé le 04/08/2014 |
Agrément collectivités/date JO | Non |
Présentation réservée à l'hôpital | Oui |
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD) |
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Conditionnement primaire | 1 BOITE (1) |
Nb unités de prise par conditionnement primaire | 120 GELULE(S) par BOITE |
Présentation unitaire | PAS DE RENSEIGNEMENT |
Référence(s) bibliographique(s) | |
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Conditions de délivrance |
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Référence(s) officielle(s): Ampliation ATU 04/08/2014 |
Statut de la présentation |
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Référence(s) officielle(s): Ampliation ATU 04/08/2014 |
1. Prix en officine ville | |
Prix de cette présentation (CIP)/date JO | non concerné |
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) | Non concerné |
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur) | |
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) | Non concerné |
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) | Non concerné |
1. Ville | |
Taux de remboursement |
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2. Hôpital (Rétrocession - vente au public) | |
Taux de remboursement |
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Statut(s) du remboursement |
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SMR spécifique de cette présentation | NON |
Modalité(s) de dispensation |
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Durée(s) et condition(s) de conservation |
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* Durée de conservation |
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Référence(s) officielles(s) : Ampliation ATU 04/08/2014 |
Durée(s) et condition(s) de conservation |
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Référence(s) officielles(s) : Ampliation ATU 04/08/2014 |
CANCER OVAIRE
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Olaparib est indiqué en monothérapie pour le traitement d'entretien des patientes adultes atteintes d'un cancer épithélial séreux de haut grade de l'ovaire, récidivant et sensible au platine avec une mutation du gène BRCA (germinale et / ou somatique) et qui sont en réponse (réponse complète ou réponse partielle) à une chimiothérapie à base de platine. |
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SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations |
Référence(s) officielle(s) | Guide affection longue durée (ALD) Médecin CANCER DE L'OVAIRE - GUIDE MEDECIN Guide affection longue durée (ALD) Patient CANCER DE L'OVAIRE - GUIDE PATIENT |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
CANCER TROMPE FALLOPE
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Olaparib est indiqué en monothérapie pour le traitement d'entretien des patientes adultes atteintes d'un cancer des trompes de Fallope, récidivant et sensible au platine avec une mutation du gène BRCA (germinale et / ou somatique) et qui sont en réponse (réponse complète ou réponse partielle) à une chimiothérapie à base de platine. |
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SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations |
CIM10 |
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CANCER PERITONEAL
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Olaparib est indiqué en monothérapie pour le traitement d'entretien des patientes adultes atteintes d'un cancer péritonéal primitif, récidivant et sensible au platine avec une mutation du gène BRCA (germinale et / ou somatique) et qui sont en réponse (réponse complète ou réponse partielle) à une chimiothérapie à base de platine. |
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SMR de l'indication | Cf. Critères de choix : ASMR/SMR, RAPPE, EPAR, FIT, RMO, Recommandations |
Maladie rare | Non |
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Olaparib est indiqué en monothérapie dans le traitement d'entretien des patientes adultes, atteintes d'un cancer de l'ovaire récidivant, ayant une mutation BRCA, en réponse (complète ou partielle) à une chimiothérapie à base de platine et qui, par ailleurs : - sont sensibles à la chimiothérapie à base de platine (la sensibilité au platine est déterminée par l'absence de progression de la maladie après une période de 6 mois (183 jours minimum) suivant la dernière cure de platine) - ne peuvent pas être incluses dans un essai clinique en cours - pour lesquelles il n'existe pas d'alternative thérapeutique appropriée. |
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Référence(s) officielle(s) | Ampliation ATU 04/08/2014 Guide affection longue durée (ALD) Médecin CANCER DE L'OVAIRE - GUIDE MEDECIN Guide affection longue durée (ALD) Patient CANCER DE L'OVAIRE - GUIDE PATIENT |
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CIM10 |
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Maladie rare | Non |
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Olaparib est indiqué en monothérapie dans le traitement d'entretien des patientes adultes, atteintes d'un cancer des trompes de Fallope, ayant une mutation BRCA, en réponse (complète ou partielle) à une chimiothérapie à base de platine et qui, par ailleurs : - sont sensibles à la chimiothérapie à base de platine (la sensibilité au platine est déterminée par l'absence de progression de la maladie après une période de 6 mois (183 jours minimum) suivant la dernière cure de platine) - ne peuvent pas être incluses dans un essai clinique en cours - pour lesquelles il n'existe pas d'alternative thérapeutique appropriée. |
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Référence(s) officielle(s) | Ampliation ATU 04/08/2014 |
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CIM10 |
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Olaparib est indiqué en monothérapie dans le traitement d'entretien des patientes adultes, atteintes d'un cancer péritonéal primitif, ayant une mutation BRCA, en réponse (complète ou partielle) à une chimiothérapie à base de platine et qui, par ailleurs : - sont sensibles à la chimiothérapie à base de platine (la sensibilité au platine est déterminée par l'absence de progression de la maladie après une période de 6 mois (183 jours minimum) suivant la dernière cure de platine) - ne peuvent pas être incluses dans un essai clinique en cours - pour lesquelles il n'existe pas d'alternative thérapeutique appropriée. |
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Référence(s) officielle(s) | Ampliation ATU 04/08/2014 |
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Maladie rare | Non |
Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
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Dose | 400 MG/PRISE |
Fréquence maximale | 2 /JOUR |
Durée de traitement |
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Posologie USUELLE | |
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Dose | de 100 MG/PRISE à 200 MG/PRISE |
Fréquence maximale | 2 /JOUR |
Durée de traitement |
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Posologie USUELLE | |
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Dose | 150 MG/PRISE |
Fréquence maximale | 2 /JOUR |
Durée de traitement |
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Posologie USUELLE | |
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Dose | 200 MG/PRISE |
Fréquence maximale | 2 /JOUR |
Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Recommandation(s) |
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Le traitement par olaparib doit être instauré et supervisé par un médecin expérimenté dans l'utilisation des médicaments anticancéreux. Les patientes doivent avoir une confirmation de mutation délétère suspectée ou confirmée (germinale ou somatique) du gène de prédisposition au cancer du sein (BRCA) avant que le traitement par olaparib soit initié. Le statut mutationnel BRCA doit être déterminé par un laboratoire expérimenté utilisant une méthode de test validée (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). Une consultation génétique pour les patientes porteuses de mutations du gène BRCA1/2 doit être effectuée conformément aux réglementations locales. * Posologie La dose recommandée d'olaparib est de 400 mg (huit gélules) prise deux fois par jour, soit une dose quotidienne totale de 800 mg. Les patientes doivent commencer le traitement avec olaparib au plus tard 8 semaines après la fin de leur schéma posologique à base de platine. Il est recommandé de poursuivre le traitement jusqu'à progression de la maladie sous-jacente ou jusqu'à toxicité inacceptable. Il n'existe pas de données sur un re-traitement par ce médicament après une nouvelle rechute(Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). * Différences importantes de posologie entre olaparib gélules et comprimés Olaparib gélules (50 mg) ne doit pas être substitué par olaparib comprimés (100 mg et 150 mg) sur une base de milligramme à milligramme en raison des différences de posologie et de biodisponibilité de chaque formulation. Par conséquent, les recommandations posologiques spécifiques à chaque formulation doivent donc être suivies. * Oubli d'une dose Si une patiente oublie une dose d'olaparib, elle doit prendre la prochaine dose normale au moment prévu. * Adaptations de la dose lors d'effets indésirables Le traitement peut être interrompu pour prendre en charge des effets indésirables tels que des nausées, des vomissements, des diarrhées et une anémie, et une diminution de la dose peut être envisagée (Cf. rubrique "Effets indésirables"). La réduction de dose recommandée est de 200 mg deux fois par jour (soit une dose quotidienne totale de 400 mg). Si une nouvelle réduction finale de la dose est nécessaire, une diminution de la dose à 100 mg deux fois par jour (soit une dose quotidienne totale de 200 mg) peut être alors envisagée. * Adaptations de la dose lors de la co-administration avec des inhibiteurs du CYP3A L'utilisation concomitante d'inhibiteurs puissants ou modérés du CYP3A n'est pas recommandée et l'utilisation d'alternatives thérapeutiques doit être envisagée. Si un inhibiteur puissant du CYP3A doit être co-administré, la réduction de dose recommandée de ce médicament est de 150 mg deux fois par jour (soit une dose quotidienne totale de 300 mg). Si un inhibiteur modéré du CYP3A doit être coadministré, la réduction de dose recommandée de ce médicament est de 200 mg deux fois par jour (soit une dose quotidienne totale de 400 mg) (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Interactions"). * Populations particulières - Patientes âgées Aucune adaptation de la dose initiale n'est nécessaire chez les patientes âgées. - Insuffisance rénale Olaparib peut être administré sans ajustement de dose chez les patientes ayant une insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine comprise entre 51 et 80 ml/min). - Insuffisance hépatique Olaparib peut être administré chez les patientes ayant une insuffisance hépatique légère ou modérée (classification de Child-Pugh A ou B) sans ajustement de dose (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). Olaparib n'est pas recommandé chez les patientes ayant une insuffisance hépatique sévère (classification de Child-Pugh C), car la sécurité et la pharmacocinétique n'ont pas été étudiées chez ces patientes. - Patientes non-caucasiennes Les données cliniques disponibles chez les patientes non-caucasiennes sont limitées. Cependant, aucune adaptation de la dose n'est nécessaire sur la base de l'appartenance ethnique (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). - Population pédiatrique La sécurité et l'efficacité d'olaparib chez les enfants et les adolescentes n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Recommandation(s) |
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* Précautions particulières d'élimination et manipulation Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur. * Incompatibilités Sans objet. |
Voie(s) d'administration |
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Modalité(s) |
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* Mode d'administration Ce médicament est utilisé par voie orale. Compte tenu de l'effet de la nourriture sur l'absorption de l'olaparib, les patientes doivent prendre olaparib au moins une heure après la prise de nourriture et s'abstenir de manger pendant de préférence au moins les deux heures suivantes. - Comment prendre ce médicament (Cf. Notice) . Prenez une dose (8 gélules) d'olaparib par voie orale avec de l'eau, une fois le matin et une fois le soir. . Prenez olaparib au moins une heure après la prise de nourriture. Ne mangez pas pendant de préférence au moins les deux heures suivant la prise d'olaparib. * Oubli d'une dose Si une patiente oublie une dose d'olaparib, elle doit prendre la prochaine dose normale au moment prévu. * Adaptations de la dose Le traitement peut être interrompu pour prendre en charge des effets indésirables tels que des nausées, des vomissements, des diarrhées et une anémie, et une diminution de la dose peut être envisagée (Cf. rubrique "Effets indésirables"). La réduction de dose recommandée est de 200 mg deux fois par jour (soit une dose quotidienne totale de 400 mg). Si une nouvelle réduction finale de la dose est nécessaire, une diminution de la dose à 100 mg deux fois par jour (soit une dose quotidienne totale de 200 mg) peut être alors envisagée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Terrain N° 1 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | ALLAITEMENT |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | GROSSESSE |
Niveau(x) |
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Olaparib ne doit pas être pris pendant la grossesse. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | NOUVEAU-NE |
Niveau(x) |
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La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants présentant un psoriasis en plaques âgés de moins de 6 ans n'ont pas été établies. La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants âgés de moins de 18 ans dans d'autres indications n'ont pas encore été établies. Aucune donnée n'est disponible. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | NOURRISSON |
Niveau(x) |
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La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants présentant un psoriasis en plaques âgés de moins de 6 ans n'ont pas été établies. La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants âgés de moins de 18 ans dans d'autres indications n'ont pas encore été établies. Aucune donnée n'est disponible. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | ENFANT |
Niveau(x) |
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La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants et les adolescentes n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | ADULTE JEUNE (15-17 ANS)
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Niveau(x) |
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La sécurité et l'efficacité de ce médicament chez les enfants et les adolescentes n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | FEMME EN AGE DE PROCREER
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Niveau(x) |
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Les femmes en âge de procréer doivent utiliser deux méthodes de contraception efficaces avant de commencer le traitement par ce médicament, pendant le traitement et pendant 1 mois après avoir reçu la dernière dose de ce médicament, à moins que l'abstinence ne soit la méthode de contraception choisie (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Deux méthodes de contraception très efficaces et complémentaires sont recommandées. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | HOMME
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Niveau(x) |
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Le passage de l'olaparib ou ses métabolites dans le liquide séminal n'est pas connu. Les patients de sexe masculin ayant des rapports sexuels avec une femme enceinte ou avec une femme en âge de procréer doivent utiliser un préservatif pendant le traitement et pendant 3 mois après avoir reçu la dernière dose de ce médicament. Les partenaires de sexe féminin des patients de sexe masculin doivent également utiliser une méthode de contraception très efficace si elles sont en âge de procréer (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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- Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients - Allaitement pendant le traitement et pendant un mois après la dernière prise (Cf. rubrique "Grossesse et allaitement") |
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Référence(s) officielle(s) | Ampliation ATU 04/08/2014 |
Terrain N° 1 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | TRAITEMENT ANTERIEUR
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | TROUBLE HEMATOLOGIQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | RADIOTHERAPIE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | SYNDROME MYELODYSPLASIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | LEUCEMIE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | THROMBOSE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | EMBOLIE PULMONAIRE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | ATTEINTE RESPIRATOIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | DYSPNEE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | TOUX |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | FIEVRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | FEMME EN AGE DE PROCREER
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Niveau(x) |
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Les femmes en âge de procréer doivent utiliser deux méthodes de contraception efficaces avant de commencer le traitement par olaparib, pendant toute la durée du traitement et pendant un mois après avoir reçu la dernière prise d'olaparib |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 16 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
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Niveau(x) |
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Ce médicament n'est pas recommandé chez les patientes ayant une insuffisance rénale sévère ou ayant une pathologie rénale au stade terminal (clairance de la créatinine < ou = 30 ml/min) du fait de l'absence de données chez ces patientes. Lynparza peut être utilisé chez les patientes ayant une insuffisance rénale sévère seulement si le bénéfice l'emporte sur le risque potentiel. Chez ces patientes, la fonction rénale et les événements indésirables devront être surveillés étroitement. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 17 | INSUFFISANCE HEPATIQUE
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Niveau(x) |
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Ce médicament n'est pas recommandé chez les patientes ayant une insuffisance hépatique sévère (classification de Child-Pugh C), car la sécurité et la pharmacocinétique n'ont pas été étudiées chez ces patientes. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 18 | HOMME
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Niveau(x) |
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Les patients de sexe masculin doivent utiliser un préservatif pendant le traitement et pendant 3 mois après avoir reçu la dernière prise d'olaparib lorsqu'ils ont des rapports sexuels avec une femme enceinte ou avec une femme en âge de procréer. Les patients de sexe masculin ne doivent pas faire de don de sperme pendant le traitement et pendant 3 mois après avoir reçu la dernière prise d'olaparib. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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* Toxicité hématologique Une toxicité hématologique a été rapportée chez des patientes traitées par olaparib, incluant des diagnostics cliniques et/ou des résultats biologiques d'anémie, de neutropénie, de thrombocytopénie et de lymphopénie généralement légère ou modérée (grade 1 ou 2, selon les critères du CTCAE : Common Terminology Criteria for Adverse Events). Les patientes ne doivent pas débuter le traitement par olaparib tant que la toxicité hématologique induite par une thérapie anticancéreuse antérieure n'est pas résolue (les taux d'hémoglobine, de plaquettes et de neutrophiles doivent être de grade CTCAE < ou =1). La détermination initiale de la numération formule sanguine complète, suivie par une surveillance mensuelle est recommandée au cours des 12 premiers mois de traitement puis de façon périodique ensuite afin de rechercher des modifications cliniquement significatives de ces paramètres au cours du traitement (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Si une patiente développe une toxicité hématologique sévère ou un besoin répété de transfusions sanguines, le traitement par olaparib doit être interrompu et des examens hématologiques appropriés doivent être initiés. Si les paramètres sanguins restent cliniquement anormaux après 4 semaines d'interruption du traitement par olaparib, il est recommandé de pratiquer un myélogramme et/ou une analyse cytogénétique du sang. * Syndrome myélodysplasique/leucémie aiguë myéloïde L'incidence globale des syndromes myélodysplasiques/leucémies aiguës myéloïdes (SMD/LAM) chez les patientes traitées par olaparib en monothérapie dans les études cliniques, incluant un suivi de la survie à long terme, était < 1,5 % et la majorité des événements ont eu une évolution fatale. La durée du traitement par l'olaparib chez les patientes ayant développé un SMD/une LAM allait de < 6 mois à > 2 ans. Toutes les patientes présentaient des facteurs potentiels favorisant le développement de SMD/LAM, et avaient reçu auparavant une chimiothérapie à base de sels de platine. Beaucoup avaient également reçu d'autres agents endommageant l'ADN et une radiothérapie. La majorité des cas rapportés concernait des patientes porteuses d'une mutation germinale du gène de prédisposition au cancer du sein 1 ou 2 (gBRCA1/2). L'incidence des cas de SMD/LAM était semblable chez les patientes portant la mutation gBRCA1 et gBRCA2 (1,6 % et 1,0 %, respectivement). Certaines de ces patientes avaient des antécédents de cancers ou de dysplasie de la moelle osseuse. Si le SMD et/ou la LAM sont confirmés pendant le traitement par olaparib il est recommandé d'interrompre le traitement par olaparib et de traiter la patiente de façon appropriée. * Pneumopathie Des cas de pneumopathie, y compris d'issue fatale, ont été rapportés chez < 1,0 % des patientes traitées par olaparib dans les études cliniques. Les cas rapportés de pneumopathie ne présentaient pas de profil clinique cohérent et leur interprétation était rendue difficile par la présence d'un certain nombre de facteurs de prédisposition (cancer et/ou métastases pulmonaires, maladie pulmonaire sous jacente, antécédents tabagiques et/ou traitement antérieur par chimiothérapie et radiothérapie). En cas d'apparition ou d'aggravation de symptômes respiratoires tels que dyspnée, toux et fièvre ou d'apparition d'une anomalie à la radiographie thoracique, le traitement par olaparib doit être interrompu et des examens doivent rapidement être initiés. Si la pneumopathie est confirmée, le traitement par olaparib doit être arrêté et la patiente traitée de manière appropriée. * Toxicité embryo-foetale En raison de son mécanisme d'action (inhibition de PARP), olaparib pourrait nuire au foetus en cas d'administration chez la femme enceinte. Des études non cliniques chez le rat ont montré que l'olaparib induit des effets indésirables sur la survie embryo-foetale et des malformations foetales majeures lors d'expositions à des doses inférieures à la dose recommandée chez l'Homme de 400 mg deux fois par jour. * Grossesse/contraception Olaparib ne doit pas être pris pendant la grossesse. Les femmes en âge de procréer doivent utiliser deux méthodes de contraception efficaces avant de commencer le traitement par olaparib, pendant toute la durée du traitement et pendant un mois après avoir reçu la dernière prise de olaparib (Cf. rubrique "Grossesse et allaitement").. Deux méthodes de contraception très efficaces et complémentaires sont recommandées. * Interactions L'administration concomitante d'olaparib avec des inhibiteurs puissants ou modérés du CYP3A n'est pas recommandée (Cf. rubrique "Interactions"). Si un inhibiteur puissant ou modéré du CYP3A doit être co-administré, la dose d'olaparib doit être réduite (Cf. rubriques "Posologie" et "Interactions"). L'administration concomitante d'olaparib avec des inducteurs puissants ou modérés du CYP3A n'est pas recommandée. Si une patiente recevant déjà olaparib nécessite un traitement par un inducteur puissant ou modéré du CYP3A, le prescripteur doit prendre en compte le fait que l'efficacité d'olaparib peut être considérablement réduite (Cf. rubrique "Interactions"). |
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Référence(s) officielle(s) | Ampliation ATU 04/08/2014 |
* Interactions pharmacodynamiques Les études cliniques de l'olaparib en association avec d'autres médicaments anticancéreux, y compris les agents endommageant l'ADN, indiquent une potentialisation et une prolongation de la toxicité myélosuppressive. La dose recommandée de ce médicament en monothérapie n'est pas adaptée pour une association avec des médicaments anticancéreux myélosuppresseurs. L'association de l'olaparib avec des vaccins ou des agents immunosuppresseurs n'a pas été étudiée. Par conséquent, la prudence est de mise si ces médicaments sont co-administrés avec ce médicament et les patientes doivent être étroitement surveillées. * Interactions pharmacocinétiques - Effet des autres médicaments sur l'olaparib Les CYP3A4/5 sont les isoenzymes principalement responsables de la clairance métabolique de l'olaparib. Une étude clinique évaluant l'impact de l'itraconazole, un inhibiteur connu du CYP3A a montré que la co-administration avec l'olaparib augmentait la Cmax moyenne de l'olaparib de 42 % (IC à 90 % : 33- 52 %) et l'ASC moyenne de 170 % (IC à 90 % : 144-197 %). Par conséquent, les inhibiteurs puissants connus de cette isoenzyme (par exemple itraconazole, télithromycine, clarithromycine, inhibiteurs de protéase boostés par le ritonavir ou le cobicistat, bocéprévir et télaprévir) ou les inhibiteurs modérés (par exemple érythromycine, diltiazem, fluconazole, vérapamil) ne sont pas recommandés avec ce médicament (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Si des inhibiteurs puissants ou modérés du CYP3A doivent être coadministrés, la dose de ce médicament devra être réduite. La réduction de dose recommandée de ce médicament est de 150 mg pris deux fois par jour (soit une dose quotidienne totale de 300 mg) avec un inhibiteur puissant du CYP3A ou 200 mg pris deux fois par jour (soit une dose quotidienne totale de 400 mg) avec un inhibiteur modéré du CYP3A (Cf. rubriques "Posologie" et "Mises en garde et précautions d'emploi"). Il est également recommandé de ne pas consommer de jus de pamplemousse lors d'un traitement par ce médicament car c'est un inhibiteur du CYP3A. Une étude clinique évaluant l'impact de la rifampicine, un inducteur connu du CYP3A, a montré que la co-administration avec l'olaparib diminuait la Cmax moyenne de l'olaparib de 71 % (IC à 90 % : 76- 67 %) et l'ASC moyenne de 87 % (IC à 90 % : 89-84 %). Par conséquent, les inducteurs puissants connus de cette isoenzyme (par exemple phénytoïne, rifampicine, rifapentine, carbamazépine, névirapine, phénobarbital et millepertuis) ne sont pas recommandés avec ce médicament car il est possible que l'efficacité de ce médicament soit considérablement réduite. L'amplitude de l'effet des inducteurs modérés à puissants (par exemple l'éfavirenz, la rifabutine) sur l'exposition à l'olaparib n'a pas été établie, par conséquent, la co-administration de ce médicament avec ces médicaments n'est également pas recommandée (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). - Effet de l'olaparib sur les autres médicaments L'olaparib inhibe le CYP3A4 in vitro et devrait inhiber faiblement le CYP3A in vivo. Par conséquent, une attention particulière est requise lorsque des substrats sensibles du CYP3A ou des substrats à marge thérapeutique étroite (par exemple simvastatine, cisapride, ciclosporine, alcaloïdes de l'ergot de seigle, fentanyl, pimozide, sirolimus, tacrolimus et quétiapine) sont utilisés avec l'olaparib. Une surveillance clinique appropriée est recommandée pour les patientes recevant des substrats du CYP3A avec une marge thérapeutique étroite de façon concomitante avec l'olaparib. L'induction des CYP1A2, 2B6 et 3A4 a été montrée in vitro, le CYP2B6 étant le plus susceptible d'être induit de façon cliniquement significative. Le potentiel d'induction du CYP2C9, du CYP2C19 et de la P-gp par l'olaparib ne peut également pas être exclu. Par conséquent, l'olaparib peut réduire l'exposition aux substrats de ces enzymes du métabolisme et de cette protéine de transport en cas de co-administration. L'efficacité de certains contraceptifs hormonaux peut être réduite en cas de coadministration avec l'olaparib (Cf. aussi rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Grossesse et allaitement"). In vitro, l'olaparib inhibe le transporteur d'efflux P-gp (CI50 = 76 µM). Par conséquent, il ne peut pas être exclu que l'olaparib puisse causer des interactions médicamenteuses cliniquement pertinentes avec les substrats de la P-gp (par exemple simvastatine, pravastatine, dabigatran, digoxine et colchicine). Une surveillance clinique appropriée est recommandée pour les patientes recevant ce type de médicaments de façon concomitante. In vitro, il a été montré que l'olaparib est un inhibiteur de la BCRP, de l'OATP1B1, de l'OCT1, de l'OCT2, de l'OAT3, du MATE1 et du MATE2K. Il ne peut pas être exclu que l'olaparib puisse augmenter l'exposition aux substrats de la BCRP (par exemple méthotrexate, rosuvastatine), de l'OATP1B1 (par exemple bosentan, glibenclamide, répaglinide, statines et valsartan), de l'OTC1 (par exemple metformine), de l'OTC2 (par exemple la créatinine sérique), de l'OAT3 (par exemple furosémide et méthotrexate), du MATE1 (par exemple metformine) et du MATE2K (par exemple metformine). En particulier, des précautions sont à prendre lorsque l'olaparib est administré en association avec une statine. * Association avec l'anastrozole, le létrozole et le tamoxifène Une étude clinique a été conduite afin d'évaluer l'association de l'olaparib avec l'anastrozole, le létrozole ou le tamoxifène. Aucune interaction significative n'a été observée avec l'anastrozole ni avec le létrozole, mais le tamoxifène a diminué l'exposition à l'olaparib de 27 %. La pertinence clinique de cet effet est inconnue. L'olaparib n'affecte pas la pharmacocinétique du tamoxifène. |
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Référence(s) officielle(s):  Ampliation ATU 04/08/2014 |
Effet spécialité |
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Niveau(x) de risque |
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Des études chez l'animal ont démontré une toxicité sur la reproduction dont des effets tératogènes graves et des effets sur la survie embryo-foetale chez le rat à des doses d'exposition maternelle systémique plus faibles que la dose thérapeutique utilisée chez l'Homme (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). Il n'y a pas de données sur l'utilisation de l'olaparib chez les femmes enceintes, cependant, sur la base du mécanisme d'action de l'olaparib, ce médicament ne doit pas être utilisé pendant la grossesse. |
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Référence(s) officielle(s) : | Ampliation ATU 04/08/2014 |
Recommandations |
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- Grossesse Il n'y a pas de données sur l'utilisation de l'olaparib chez les femmes enceintes, cependant, sur la base du mécanisme d'action de l'olaparib, ce médicament ne doit pas être utilisé chez les femmes en âge de procréer n'utilisant pas de contraception efficace au cours du traitement et pendant 1 mois après avoir reçu la dernière dose de ce médicament. (Cf. paragraphe précédent "Femmes en âge de procréer / contraception chez les femmes" pour plus d'informations sur l'utilisation des méthodes de contraception et les tests de grossesse). - Femmes en âge de procréer / contraception chez les femmes Les femmes en âge de procréer doivent éviter toute grossesse au cours du traitement par ce médicament et ne doivent pas être enceintes au début du traitement. Un test de grossesse doit être effectué chez toutes les femmes en âge de procréer avant le traitement et doit être régulièrement envisagé pendant toute la durée du traitement. Les femmes en âge de procréer doivent utiliser deux méthodes de contraception efficaces avant de commencer le traitement par ce médicament, pendant le traitement et pendant 1 mois après avoir reçu la dernière dose de ce médicament, à moins que l'abstinence ne soit la méthode de contraception choisie (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Deux méthodes de contraception très efficaces et complémentaires sont recommandées. Il est possible que l'olaparib réduise l'exposition aux substrats du CYP2C9 par induction enzymatique, l'efficacité de certains contraceptifs hormonaux peut donc être réduite en cas de co-administration avec l'olaparib. Par conséquent, l'ajout d'une méthode contraceptive non hormonale doit être envisagé pendant le traitement (Cf. rubrique "Interactions"). Pour les femmes atteintes d'un cancer hormono-dépendant, deux méthodes contraceptives non hormonales doivent être envisagées. - Contraception chez les hommes Le passage de l'olaparib ou ses métabolites dans le liquide séminal n'est pas connu. Les patients de sexe masculin ayant des rapports sexuels avec une femme enceinte ou avec une femme en âge de procréer doivent utiliser un préservatif pendant le traitement et pendant 3 mois après avoir reçu la dernière dose de ce médicament. Les partenaires de sexe féminin des patients de sexe masculin doivent également utiliser une méthode de contraception très efficace si elles sont en âge de procréer (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Les patients de sexe masculin ne doivent pas faire de don de sperme pendant le traitement et pendant 3 mois après avoir reçu la dernière dose de ce médicament. - Fertilité Il n'existe pas de données cliniques concernant la fertilité. Dans les études animales, aucun effet sur la conception n'a été observé mais il existe des effets indésirables sur la survie embryo-foetale (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). |
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Référence(s) officielle(s) : | Ampliation ATU 04/08/2014 |
Passage dans le lait | Pas d'information |
Fixation protéique | Pas d'information |
Rapport concentration lait/plasma maternels | Pas d'information |
Concentration dans 100 ml de lait maternel | Pas d'information |
Recommandations |
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Il n'y a pas d'études chez l'animal sur l'excrétion de l'olaparib dans le lait maternel. L'excrétion de l'olaparib ou ses métabolites dans le lait maternel n'est pas connue. Ce médicament est contre-indiqué pendant l'allaitement et pendant 1 mois après avoir reçu la dernière prise, compte tenu des propriétés pharmacologiques du produit (Cf. rubrique "Contre-indications"). |
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Référence(s) officielle(s): | Ampliation ATU 04/08/2014 |
Recommandations |
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Olaparib a une influence modérée sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. Les patientes prenant olaparib peuvent ressentir de la fatigue, une asthénie ou des sensations vertigineuses. Les patientes qui présentent ces symptômes doivent être prudentes lors de la conduite de véhicules ou de l'utilisation de machines. |
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Référence(s) officielle(s): Ampliation ATU 04/08/2014 |
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
Site internet: www.ansm.sante.fr.
TROUBLES DU SYSTEME IMMUNITAIRE |
TROUBLES SYSTEMES SANGUIN ET LYMPHATIQUE |
TROUBLES RENAUX ET GENITO-URINAIRES |
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