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Voie(s) d'administration : |
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Forme(s) pharmaceutique(s) : |
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Solution injectable en seringue préremplie (injection). |
Référence(s) bibliographique(s) : |
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Excipient(s) |
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Précision(s) composition : |
Une seringue préremplie de 1 ml contient 100 mg de golimumab (*). (*) Anticorps monoclonal humain de type IgG1kappa produit sur une lignée cellulaire d'hybridome de souris par la technique de l'ADN recombinant. - Excipient à effet notoire : Chaque seringue préremplie contient 41 mg de sorbitol par dose de 100 mg. |
Référence(s) officielle(s) : Rectificatif AMM européenne 22/03/2021
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Classe pharmacothérapeutique : Inhibiteurs du Facteur Nécrosant des Tumeurs alpha (TNF-alpha), code ATC : L04AB06 * Mécanisme d'action Golimumab est un anticorps monoclonal humain qui forme des complexes stables à forte affinité avec les deux formes bioactives transmembranaire et soluble du TNF-alpha humain, ce qui empêche la liaison du TNF-alpha à ses récepteurs. * Effets pharmacodynamiques Il a été montré que la liaison du TNF humain au golimumab neutralisait l'expression à la surface des cellules, induite par le TNF-alpha, des molécules d'adhésion sélectine E, des molécules d'adhérence des cellules vasculaires-1 (VCAM-1) et des molécules d'adhésion intercellulaire-1 (ICAM-1) par les cellules endothéliales humaines. In vitro, la sécrétion induite par le TNF d'interleukine (IL-6), IL-8 et du facteur de croissance GM-CSF (granulocyte-macrophage colony stimulating factor) par les cellules endothéliales humaines était également inhibée par le golimumab. Une amélioration des taux de protéine C-réactive (CRP) a été observée comparativement aux groupes placebo et le traitement par golimumab a permis d'obtenir des réductions significatives des taux sériques d'IL-6, d'ICAM-1, de métalloprotéinase matricielle-3 (MMP-3) et du facteur de croissance de l'endothélium vasculaire (VEGF) par rapport au traitement de référence. De plus, les taux de TNF-alpha ont été réduits chez les patients atteints de PR et de SA et les taux d'IL-8 ont été réduits chez les patients atteints de RP. Ces modifications ont été rapportées lors de la première évaluation (semaine 4) après l'administration initiale de golimumab et se sont généralement maintenues jusqu'à la semaine 24. * Efficacité clinique - Polyarthrite rhumatoïde L'efficacité de golimumab a été démontrée lors de trois études multicentriques, randomisées, en double-aveugle, contrôlées versus placebo chez plus de 1 500 patients âgés de > ou = 18 ans et atteints de PR active modérée à sévère selon les critères de l'American College of Rheumatology (ACR) depuis au moins 3 mois avant la visite de sélection. Les patients présentaient au moins 4 articulations gonflées et 4 articulations douloureuses. Ce médicament ou le placebo étaient administrés par voie sous-cutanée toutes les 4 semaines. L'étude GO-FORWARD a évalué 444 patients atteints de PR active malgré une dose stable d'au moins 15 mg/semaine de MTX et n'ayant encore jamais été traités par un anti-TNF. Les patients ont été randomisés pour recevoir l'association placebo + MTX, golimumab 50 mg + MTX, golimumab 100 mg + MTX ou golimumab 100 mg + placebo. Après la semaine 24, les patients recevant l'association placebo + MTX sont passés dans le bras golimumab 50 mg + MTX. A la semaine 52, les patients sont rentrés dans la phase d'extension en ouvert à long terme. L'étude GO-AFTER a évalué 445 patients ayant été précédemment traités avec un ou plusieurs anti-TNF, l'adalimumab, l'étanercept ou l'infliximab. Les patients randomisés ont reçu soit le placebo, golimumab 50 mg ou golimumab 100 mg. Les patients étaient autorisés à poursuivre en association un traitement par DMARD avec le MTX, la sulfasalazine (SSZ), et/ou l'hydroxychloroquine (HCQ) au cours de l'étude. Les raisons d'arrêt des précédents traitements par anti-TNF étaient un manque d'efficacité (58 %), un problème de tolérance (13 %) et/ou des raisons autres que la tolérance ou l'efficacité (29 %, principalement pour des raisons financières). L'étude GO-BEFORE a évalué 637 patients atteints de PR active, naïfs de MTX et n'ayant pas été traités auparavant par un anti-TNF. Les patients randomisés ont reçu soit le placebo + MTX, golimumab 50 mg + MTX, golimumab 100 mg + MTX ou golimumab 100 mg + placebo. À la semaine 52, les patients sont rentrés dans une phase d'extension en ouvert à long terme, ceux qui recevaient du placebo + MTX et qui avaient au moins une articulation douloureuse ou enflée sont passés à golimumab 50 mg + MTX. Dans l'étude GO-FORWARD, les critères (co-)principaux étaient le pourcentage de patients ayant une réponse à l'ACR 20 à la semaine 14 et l'amélioration du score du Health Assessment Questionnaire (HAQ, Questionnaire de Qualité de vie) à la semaine 24. Dans l'étude GO-AFTER, le critère principal était le pourcentage de patients ayant une réponse ACR 20 à la semaine 14. Dans l'étude GO-BEFORE, les critères (co-)principaux étaient le pourcentage de patients ayant une réponse ACR 50 à la semaine 24 et l'évolution par rapport aux valeurs initiales du score de Sharp modifié par van der Heijde (vdH-S) à la semaine 52. En plus du/des critère(s) principal(aux), d'autres évaluations de l'impact du traitement par ce médicament sur les signes et symptômes de l'arthrite, la réponse radiographique, la fonction physique et la qualité de vie liée à l'état de santé ont été effectuées. En général, aucune différence significative d'un point de vue clinique dans les mesures de l'efficacité n'a été observée entre les schémas golimumab 50 mg et 100 mg associés au MTX, jusqu'à la semaine 104 dans les études GO-FORWARD ET GO-BEFORE et jusqu'à la semaine 24 dans l'étude GO-AFTER. Dans chacune des études réalisées dans la PR, suivant la méthodologie de l'étude, les patients entrés dans les phases d'extension à long terme ont pu passer de golimumab 50 mg à 100 mg à l'appréciation de l'investigateur. - Signes et symptômes Les résultats clés basés sur l'ACR pour golimumab 50 mg aux semaines 14, 24 et 52 pour GO-FORWARD, GO-AFTER et GO-BEFORE sont décrits ci-dessous. Des résultats ont été observés lors de la première évaluation (semaine 4) après la première administration de golimumab. Dans l'étude GO-FORWARD, parmi les 89 sujets randomisés dans le bras golimumab 50 mg + MTX, 48 étaient toujours sous ce traitement à la semaine 104. Parmi ces sujets, 40, 33 et 24 patients avaient respectivement une réponse ACR 20/50/70 à la semaine 104. Parmi les patients restant dans l'étude et traités par golimumab, des taux de réponse ACR 20/50/70 similaires ont été observés de la semaine 104 à la semaine 256. Dans l'étude GO-AFTER, le pourcentage de patients ayant une réponse ACR 20 chez les patients traités par golimumab était supérieur à celui chez les patients sous placebo, quelle que soit la raison invoquée pour l'arrêt du traitement du ou des précédents traitements anti-TNF. Résultats clés d'efficacité obtenus des parties contrôlées des études GO-FORWARD, GO-AFTER et GO-BEFORE. * GO-FORWARD PR active malgré le MTX -> Placebo + MTX - n (a) : 133 Répondeurs, % de patients - ACR 20 . Semaine 14 : 33% . Semaine 24 : 28 % . Semaine 52 : NA - ACR 50 . Semaine 14 : 10% . Semaine 24 : 14% . Semaine 52 : NA - ACR 70 . Semaine 14 : 4% . Semaine 24 : 5% . Semaine 52 : NA -> Golimumab 50 mg + MTX - n (a) : 89 Répondeurs, % de patients - ACR 20 . Semaine 14 : 55% (*) . Semaine 24 : 60 % (*) . Semaine 52 : NA - ACR 50 . Semaine 14 : 35% (*) . Semaine 24 : 37% (*) . Semaine 52 : NA - ACR 70 . Semaine 14 : 14% p=0,008 . Semaine 24 : 20 (*)% . Semaine 52 : NA * GO-AFTER PR active, traitée précédemment par un ou plusieurs anti-TNF GO-BEFORE PR active, naïve de MTX -> Placebo - n (a) : 150 Répondeurs, % de patients - ACR 20 . Semaine 14 : 18% . Semaine 24 : 16 % . Semaine 52 : NA - ACR 50 . Semaine 14 : 7% . Semaine 24 : 4% . Semaine 52 : NA - ACR 70 . Semaine 14 : 2% . Semaine 24 : 2% . Semaine 52 : NA -> Golimumab 50 mg - n (a) : 147 Répondeurs, % de patients - ACR 20 . Semaine 14 : 35% (*) . Semaine 24 : 31 % p = 0,02 . Semaine 52 : NA - ACR 50 . Semaine 14 : 15% p = 0,021 . Semaine 24 : 16% (*) . Semaine 52 : NA - ACR 70 . Semaine 14 : 10% p=0,005 . Semaine 24 : 9 % p = 0,009 . Semaine 52 : NA * GO-BEFORE PR active, naïve de MTX -> Placebo + MTX - n (a) : 160 Répondeurs, % de patients - ACR 20 . Semaine 14 : NA . Semaine 24 : 49% . Semaine 52 : 52% - ACR 50 . Semaine 14 : NA . Semaine 24 : 29% . Semaine 52 : 36% - ACR 70 . Semaine 14 : NA . Semaine 24 : 16% . Semaine 52 : 22% -> Golimumab 50 mg + MTX - n (a) : 159 Répondeurs, % de patients - ACR 20 . Semaine 14 : NA . Semaine 24 : 62 % . Semaine 52 : 60% - ACR 50 . Semaine 14 : NA . Semaine 24 : 40% . Semaine 52 : 42% - ACR 70 . Semaine 14 : NA . Semaine 24 : 24% . Semaine 52 : 28% (a) n indique le nombre de patients randomisés ; le nombre réel de patients évalués pour chaque critère principal peut varier selon le moment. (*) p < ou = 0,001 NA : Non Applicable Dans l'étude GO-BEFORE, chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde modérée à sévère (combinaison des bras golimumab 50 mg et golimumab 100 mg + MTX vs MTX seul), l'évaluation principale de l'ACR 50 n'était pas statistiquement significative à la semaine 24 (p=0,053). À la semaine 52, dans l'ensemble de la population, le pourcentage de patients du bras golimumab 50 mg + MTX ayant une réponse ACR était généralement plus élevé mais pas significativement différent par rapport au bras MTX seul (Cf. Données ci-dessus). Des analyses supplémentaires ont été effectuées dans des sous-populations représentatives de la population indiquée de patients atteints de PR active, sévère et évolutive. Généralement, un effet plus important du bras golimumab 50 mg + MTX versus MTX seul a été démontré dans la population indiquée comparé à l'ensemble de la population. Dans les études GO-FORWARD et GO-AFTER, des résultats significatifs d'un point de vue clinique et statistique du Disease Activity Scale (DAS) 28 ont été observés à chaque point d'évaluation prédéfini, à la semaine 14 et à la semaine 24 (p < ou = 0,001). Parmi les patients restant dans le bras de traitement par ce médicament dans lequel ils ont été randomisés à l'inclusion, la réponse DAS 28 était maintenue jusqu'à la semaine 104. Parmi les patients restant dans l'étude et traités par golimumab, les réponses DAS 28 étaient similaires de la semaine 104 à la semaine 256. Dans l'étude GO-BEFORE, la réponse clinique majeure, définie par le maintien d'une réponse ACR 70 pendant 6 mois consécutifs, a été mesurée. À la semaine 52, 15 % des patients du bras golimumab 50 mg + MTX ont atteint la réponse clinique majeure versus 7 % des patients du bras placebo + MTX (p=0,018). Parmi les 159 sujets randomisés dans le bras golimumab 50 mg + MTX, 96 étaient toujours traités à la semaine 104. Parmi ces derniers, 85, 66 et 53 patients avaient une réponse ACR 20/50/70 respectivement, à la semaine 104. Parmi les patients restant dans l'étude et traités par golimumab, des taux de réponse ACR 20/50/70 similaires ont été observés de la semaine 104 à la semaine 256. - Réponse radiographique Dans l'étude GO-BEFORE, l'évolution par rapport aux valeurs initiales du score vdH-S, score composite des lésions structurelles qui mesure à la radiographie le nombre et la taille des érosions articulaires et le degré de pincement de l'interligne articulaire des mains/poignets et des pieds, a été utilisé pour évaluer le degré des lésions structurelles. Les résultats clés de golimumab 50 mg, à la semaine 52, sont présentés ci-dessous. Le nombre de patients sans nouvelle érosion ou avec une modification par rapport aux valeurs initiales du score total vdH-S < ou = 0 était significativement plus élevé dans le bras golimumab comparé au bras témoin (p=0,003). Les effets radiographiques observés à la semaine 52 ont été maintenus jusqu'à la semaine 104. Parmi les patients restant dans l'étude et traités par golimumab, les effets radiographiques ont été similaires de la semaine 104 à la semaine 256. * Variations moyennes (DS) radiographiques par rapport aux valeurs initiales du score total vdHS à la semaine 52 dans l'ensemble de la population de l'étude GO-BEFORE -> Placebo + MTX - n (a) : 160 - Score total . État initial : 19,7 (35,4) . Modification par rapport à l'état initial : 1,4 (4,6) - Score d'érosion . État initial : 11,3 (18,6) . Modification par rapport à l'état initial : 0,7 (2,8) - Score JSN . État initial : 8,4 (17,8) . Modification par rapport à l'état initial : 0,6 (2,3) -> Golimumab 50 mg + MTX - n (a) : 159 - Score total . État initial : 18,7 (32,4) . Modification par rapport à l'état initial : 0,7 (5,2) (*) - Score d'érosion . État initial : 10,8 (17,4) . Modification par rapport à l'état initial : 0,5 (2,1) - Score JSN . État initial : 7,9 (16,1) . Modification par rapport à l'état initial : 0,2 (2,0) (**) (a) n indique le nombre de patients randomisés (*) p=0,015 (**) p =0,044 - Fonction physique et qualité de vie associée à l'état de santé La fonction physique et le handicap lié à la maladie ont été évalués par un critère principal distinct basé sur la composante handicap lié à la maladie du questionnaire de qualité de vie (HAQ -DI) dans les études GO-FORWARD et GO-AFTER. Lors de ces études, golimumab a démontré une amélioration significative d'un point de vue clinique et statistique du score HAQ -DI entre l'inclusion et la semaine 24 comparé aux patients du groupe contrôle. Parmi les patients restant dans le bras de traitement golimumab dans lequel ils ont été randomisés à l'inclusion, l'amélioration du score HAQ -DI était maintenue jusqu'à la semaine 104. Parmi les patients restant dans l'étude et traités par golimumab, l'amélioration du score HAQ DI était similaire de la semaine 104 à la semaine 256. Dans l'étude GO-FORWARD, des améliorations significatives d'un point de vue clinique et statistique ont été démontrées à la semaine 24 concernant la qualité de vie associée à l'état de santé mesurée par la composante physique du score SF-36 chez les patients traités par golimumab versus placebo. Parmi les patients restant dans le bras de traitement golimumab dans lequel ils ont été randomisés à l'inclusion, l'amélioration de la composante physique du score SF-36 était maintenue jusqu'à la semaine 104. Parmi les patients restant dans l'étude et traités par Simponi, l'amélioration de la composante physique du score SF-36 était similaire de la semaine 104 à la semaine 256. Dans les études GO-FORWARD et GO-AFTER, il a été observé une amélioration statistiquement significative de la fatigue mesurée par l'indice d'évaluation fonctionnelle de la fatigue (FACIT-F, Functional assessment of chronic illness therapy-fatigue). * Rhumatisme psoriasique La tolérance et l'efficacité de golimumab ont été évaluées dans une étude multicentrique, randomisée, en double-aveugle, contrôlée versus placebo (GO-REVEAL) auprès de 405 adultes atteints de RP actif (> ou = 3 articulations gonflées et > ou = 3 articulations douloureuses) malgré un traitement anti-inflammatoire non-stéroïdien (AINS) ou DMARD. Un RP avait été diagnostiqué chez les patients de cette étude depuis au moins 6 mois et ceux-ci avaient un psoriasis de degré au moins léger. Des patients de chacun des sous-types de rhumatisme psoriasique ont été inclus, y compris l'arthrite polyarticulaire sans nodule rhumatoïde (43 %), l'arthrite périphérique asymétrique (30 %), l'arthrite digitale interphalangienne distale - IPD (15 %), la spondylite avec arthrite périphérique (11 %) et l'arthrite mutilante (1 %). Un précédent traitement par anti-TNF n'était pas admis. Golimumab ou le placebo étaient administrés par voie sous-cutanée toutes les 4 semaines. Les patients ont été assignés par randomisation au placebo, golimumab 50 mg ou golimumab 100 mg. A partir de la semaine 24, les patients recevant le placebo sont passés dans le bras golimumab 50 mg. A la semaine 52, les patients sont rentrés dans la phase d'extension en ouvert à long-terme. Environ quarante-huit pour cent des patients ont continué à prendre des doses stables de méthotrexate (< ou = 25 mg/semaine). Les critères co-principaux étaient le pourcentage de patients ayant une réponse ACR 20 à la semaine 14 et l'évolution par rapport aux valeurs initiales du score total vdH-S modifié dans le RP à la semaine 24. En général, aucune différence cliniquement significative dans les résultats d'efficacité n'a été observée entre les dosages de golimumab 50 mg et 100 mg jusqu'à la semaine 104. Suivant la méthodologie de l'étude, les patients entrés dans les phases d'extension à long terme ont pu passer de golimumab 50 mg à golimumab 100 mg à l'appréciation de l'investigateur. - Signes et symptômes Les résultats clés pour le dosage de 50 mg aux semaines 14 et 24 sont décrits ci-dessous. * Résultats clés d'efficacité obtenus dans l'étude GO-REVEAL ->Placebo - n (a) : 113 Répondeurs, % de patients - ACR 20 . Semaine 14 : 9 % . Semaine 24 : 12 % - ACR 50 . Semaine 14 : 2 % . Semaine 24 : 4 % - ACR 70 . Semaine 14 : 1 % . Semaine 24 : 1 % - PASI (b) 75 (c) . Semaine 14 : 3 % . Semaine 24 : 1 % ->Golimumab 50mg (*) - n (a) : 146 Répondeurs, % de patients - ACR 20 . Semaine 14 : 51 % . Semaine 24 : 52 % - ACR 50 . Semaine 14 : 30 % . Semaine 24 : 32 % - ACR 70 . Semaine 14 : 12 % . Semaine 24 : 19 % - PASI (b) 75 (c) . Semaine 14 : 40 % . Semaine 24 : 56 % (*) p < 0,05 pour toutes les comparaisons ; (a) n indique le nombre de patients randomisés ; le nombre réel de patients évalués pour chaque critère principal peut varier selon le moment. (b) Score PASI (Psoriasis Area and Severity Index) (c) D'après le sous-groupe de patients avec > ou = 3 % de BSA, 79 patients (69,9 %) dans le groupe placebo et 109 (74,3 %) dans le groupe golimumab 50 mg. Des réponses ont été observées lors de la première évaluation (semaine 4) après la première administration de golimumab. Des réponses ACR 20 comparables à la semaine 14 ont été observées chez des patients atteints d'arthrite polyarticulaire sans nodule rhumatoïde et d'arthrite périphérique asymétrique, sous-types de RP. Le nombre de patients atteints d'autres sous-types de RP était trop faible pour permettre une évaluation significative. Les réponses observées dans les groupes traités par golimumab étaient comparables chez les patients recevant du MTX de manière concomitante et ceux n'en recevant pas. Parmi les 146 patients randomisés dans le bras golimumab 50 mg, 70 étaient toujours sous traitement à la semaine 104. Parmi ces 70 patients, 64, 46 et 31 patients avaient respectivement une réponse ACR 20/50/70. Parmi les patients restant dans l'étude et traités par golimumab, des taux de réponse ACR 20/50/70 similaires ont été observés de la semaine 104 à la semaine 256. Des réponses DAS28 statistiquement significatives ont également été observées aux semaines 14 et 24 (p < 0,05). A la semaine 24, des améliorations des paramètres caractéristiques de l'activité périphérique du rhumatisme psoriasique (telles que le nombre d'articulations gonflées, nombre d'articulations douloureuses, dactylite et enthésite) ont été observées chez les patients traités par golimumab. Le traitement par golimumab a permis d'obtenir des améliorations significatives de la fonction physique évaluée par le HAQ, ainsi que des améliorations significatives de la qualité de vie mesurée par les scores globaux des composantes physiques et mentales du SF-36. Parmi les patients restants dans le bras de traitement golimumab dans lequel ils ont été randomisés à l'inclusion, les réponses DAS28 et HAQ étaient maintenues jusqu'à la semaine 104. - Réponse radiographique La destruction articulaire à la fois des mains et des pieds a été évaluée radiographiquement par l'évolution par rapport aux valeurs initiales du score vdH-S modifié dans le RP par addition des articulations digitales interphalangiennes distales de la main (IPD). A la semaine 24, le traitement par golimumab 50 mg a réduit la vitesse de progression de la destruction articulaire périphérique mesurée par l'évolution par rapport aux valeurs initiales du score total vdH-S modifié comparé au traitement par placebo (le score moyen + l'écart-type était de 0,27 + 1,3 dans le groupe placebo versus -0,16 + 1,3 dans le groupe golimumab ; p = 0,001). Les données radiographiques des 52 semaines étaient disponibles pour 126 patients, sur les 146 randomisés dans le bras golimumab 50 mg, et 77 % indiquaient l'absence de progression par rapport aux valeurs initiales. A la semaine 104, les données radiographiques étaient disponibles pour 114 patients, et 77 % indiquaient l'absence de progression par rapport aux valeurs initiales. Parmi les patients restant dans l'étude et traités par golimumab, les réponses DAS 28 et HAQ DI ont été similaires de la semaine 104 à la semaine 256. Parmi les patients restant dans l'étude et traités par golimumab, des taux de patients similaires indiquaient l'absence de progression, par rapport aux valeurs initiales, de la semaine 104 à la semaine 256. * Spondylarthrite axiale -> Spondylarthrite ankylosante La tolérance et l'efficacité de golimumab ont été évaluées lors d'une étude multicentrique, randomisée, en double-aveugle, contrôlée versus placebo (GO-RAISE) chez 356 patients adultes atteints de spondylarthrite ankylosante active (définie par le score BASDAI (Bath Ankylosing Spondylitis Disease Activity Index [BASDAI] score > ou = 4 et une EVA pour des douleurs dorsales totales > ou = 4, sur une échelle de 0 à 10 cm). Les patients inclus dans cette étude étaient atteints d'une maladie active malgré un précédent traitement ou un traitement courant par AINS ou DMARD et n'avaient encore jamais été traités par anti-TNF. Golimumab ou le placebo étaient administrés par voie sous-cutanée toutes les 4 semaines. Les patients étaient randomisés pour recevoir soit du placebo, golimumab 50 mg ou golimumab 100 mg et étaient autorisés à poursuivre leur traitement DMARD de façon concomitante (MTX, SSZ et/ou HCQ). Le critère principal était le pourcentage de patients ayant une réponse ASAS 20 (Ankylosing Spondylitis Assessment Study Group) à la semaine 14. Les données d'efficacité contrôlées contre placebo ont été recueillies et analysées jusqu'à la semaine 24. Les résultats clés pour le dosage de 50 mg sont décrits ci-dessous. En général, aucune différence cliniquement significative dans les résultats d'efficacité n'a été observée entre les dosages de golimumab 50 mg et 100 mg jusqu'à la semaine 24. Suivant la méthodologie de l'étude, les patients entrés dans les phases d'extension à long terme ont pu passer de golimumab 50 mg à 100 mg à l'appréciation de l'investigateur. Résultats clés d'efficacité obtenus lors de l'essai GO-RAISE ->Placebo - n (a) : 78 Répondeurs, % de patients - ACR 20 . Semaine 14 : 22 % . Semaine 24 : 23 % - ACR 40 . Semaine 14 : 15 % . Semaine 24 : 15 % - ACR 5/6 . Semaine 14 : 8 % . Semaine 24 : 13 % ->Golimumab 50mg (*) - n (a) : 138 Répondeurs, % de patients - ACR 20 . Semaine 14 : 59 % . Semaine 24 : 56 % - ACR 40 . Semaine 14 : 45 % . Semaine 24 : 44 % - ACR 5/6 . Semaine 14 : 50 % . Semaine 24 : 49 % (*) p < ou = 0,001 pour toutes les comparaisons (a) n indique le nombre de patients randomisés ; le nombre réel de patients évalués pour chaque critère principal peut varier selon le moment Parmi les patients restant dans l'étude et traités par golimumab, la proportion de patients avec une réponse ASAS 20 et ASAS 40 a été similaire de la semaine 24 à la semaine 256. Des réponses BASDAI 50, 70 et 90 statistiquement significatives (p < ou = 0,017) ont également été observées aux semaines 14 et 24. Des améliorations des mesures clés de l'activité de la maladie ont été observées lors de la première évaluation (semaine 4) après la première administration de golimumab et se sont maintenues jusqu'à la semaine 24. Parmi les patients restant dans l'étude et traités par golimumab, des taux de variation du BASDAI similaires, par rapport à la valeur initiale, ont été observés de la semaine 24 à la semaine 256. Une efficacité comparable a été observée chez les patients, indépendamment de l'utilisation de DMARD (MTX, sulfasalazine et/ou hydroxychloroquine), de l'antigène HLA-B27 ou du taux initial de CRP évalués par les réponses ASAS 20 à la semaine 14. Il résulte du traitement par golimumab une amélioration significative de la fonction physique évaluée par les variations du BASFI entre la semaine 0 et les semaines 14 et 24. La qualité de vie mesurée selon la composante physique du score SF-36 a été également améliorée significativement aux semaines 14 et 24. Parmi les patients restant dans l'étude et traités par golimumab, les améliorations de la fonction physique et de la qualité de vie ont été similaires de la semaine 24 à la semaine 256. -> Spondylarthrite axiale non radiographique La tolérance et l'efficacité de golimumab ont été évaluées lors d'une étude multicentrique, randomisée, en double-aveugle, contrôlée versus placebo (GO-AHEAD) chez 197 patients adultes atteints de SpA axiale NR sévère, active (définis comme les patients répondant aux critères de la classification ASAS pour la spondyloarthrite axiale mais ne répondant pas aux critères de New York modifiés pour la SA). Les patients inclus dans cette étude avaient une maladie active (définie par un BASDAI > ou = 4 et une Echelle Visuelle Analogique (EVA) pour des douleurs dorsales totales > ou = 4, chaque score étant sur une échelle de 0 à 10 cm) malgré un précédent traitement ou un traitement courant par AINS et n'avaient encore jamais été traités par des agents biologiques, y compris un anti-TNF. Les patients étaient randomisés pour recevoir soit du placebo soit golimumab 50 mg administrés par voie sous-cutanée toutes les 4 semaines. A la semaine 16, les patients sont rentrés dans une phase en ouvert dans laquelle tous les patients ont reçu golimumab 50 mg administrés par voie sous-cutanée toutes les 4 semaines jusqu'à la semaine 48. Les analyses ont été effectuées sur la population totale de patients traités (N = 197) et sur la population de patients avec des signes objectifs d'inflammation (N = 158, défini par une CRP élevée et/ou des signes de sacroiliite à l'IRM à l'inclusion). Les données d'efficacité contrôlées contre placebo ont été recueillies et analysées jusqu'à la semaine 16. Le critère principal était la proportion de patients ayant une réponse ASAS 20 à la semaine 16. Les résultats clés sont présentés ci-dessous. Résultats clés d'efficacité obtenus dans l'étude GO-AHEAD à la semaine 16 -> Améliorations des signes et des symptômes : Population totale de patients traités - n (a) . Placebo : 100 . Golimumab 50 mg : 97 - Répondeurs, % de patients . ASAS 20 .. Placebo : 40 % .. Golimumab 50 mg : 71 % (**) . ASAS 40 .. Placebo : 23 % .. Golimumab 50 mg : 57 % (**) . ASAS 5/6 .. Placebo : 23 % .. Golimumab 50 mg : 54 % (**) . Rémission partielle ASAS .. Placebo : 18 % .. Golimumab 50 mg : 33 % (*) . ASDAS-C (b) < 1,3 .. Placebo : 13 % .. Golimumab 50 mg : 33 % (*) . BASDAI 50 .. Placebo : 30 % .. Golimumab 50 mg : 58 % (**) -> Améliorations des signes et des symptômes : Population de patients avec des signes objectifs d'inflammation - n (a) . Placebo : 80 . Golimumab 50 mg : 78 - Répondeurs, % de patients . ASAS 20 .. Placebo : 38 % .. Golimumab 50 mg : 77 % (**) . ASAS 40 .. Placebo : 23 % .. Golimumab 50 mg : 60 % (**) . ASAS 5/6 .. Placebo : 23 % .. Golimumab 50 mg : 63 % (**) . Rémission partielle ASAS .. Placebo : 19 % .. Golimumab 50 mg : 35 % (*) . ASDAS-C (b) < 1,3 .. Placebo : 16 % .. Golimumab 50 mg : 35 % (*) . BASDAI 50 .. Placebo : 29 % .. Golimumab 50 mg : 59 % (**) -> Inhibition de l'inflammation dans l'articulation sacro-iliaque mesurée par IRM : Population totale de patients traités - n (c) . Placebo : 87 . Golimumab 50 mg : 74 - Changement moyen du score SPARCC (d) dans l'articulation sacroiliaque mesuré par IRM . Placebo : -0,9 . Golimumab 50 mg : -5,3 (**) -> Inhibition de l'inflammation dans l'articulation sacro-iliaque mesurée par IRM : Population de patients avec des signes objectifs d'inflammation - n (c) . Placebo : 69 . Golimumab 50 mg : 61 - Changement moyen du score SPARCC (d) dans l'articulation sacroiliaque mesuré par IRM . Placebo : -1,2 . Golimumab 50 mg : -6,4 (**) (a) n indique le nombre de patients randomisés et traités (b) Ankylosing Spondylitis Disease Activity Score C-Reactive Protein (Population totale de patients traités-Placebo, N = 90; Population totale de patients traités-golimumab 50 mg, N = 88; Population de patients avec des signes objectifs d'inflammation-Placebo, N = 71; Population de patients avec des signes objectifs d'inflammation-golimumab 50 mg, N = 71) (c) n indique le nombre de patients à l'inclusion et à la semaine 16 avec des données d'IRM (d) Score SPARCC (Spondyloarthritis Research Consortium of Canada) (**) p < 0,0001 pour les comparaisons golimumab vs placebo (*) p < 0,05 pour les comparaisons golimumab vs placebo Des améliorations statistiquement significatives des signes et des symptomes sévère de SpA axiale NR ont été démontrées chez les patients traités par Simponi 50 mg comparé au placebo, à la semaine 16 (Cf.données ci-dessus). Des améliorations ont été observées lors de la première évaluation (semaine 4) après l'administration initiale de Simponi. Le score SPARCC mesuré par IRM a montré une réduction statistiquement significative de l'inflammation des articulations sacro-iliaque à la semaine 16 chez les patients traités par golimumab 50 mg par rapport au placebo (Cf. données ci-dessus). La douleur évaluée par EVA pour les douleurs dorsales totales et pour les douleurs dorsales nocturnes, et l'activité de la maladie mesurée par l'ASDAS-C ont également montré une amélioration statistiquement significative de l'inclusion jusqu'à la semaine 16 chez les patients traités par golimumab 50 mg par rapport au placebo (p < 0,0001). Des améliorations statistiquement significatives de la mobilité rachidienne évaluée par le BASMI (Bath Ankylosing Metrology Index) et de la capacité fonctionnelle évaluée par le BASFI (Bath Ankylosing Functional Index) ont été démontrées chez les patients traités par golimumab 50 mg par rapport aux patients traités par placebo (p < 0,0001). Les patients traités par golimumab ont présenté une amélioration significativement plus importante de la qualité de vie liée à l'état de santé évaluée par ASQoL, EQ-5D, et les composantes physiques et mentales du score SF-36, et ont présenté une amélioration significativement plus importante sur la productivité évaluée par des réductions plus importantes de la détérioration du travail et de l'activité évalué par le questionnaire WPAI, par rapport aux patients recevant le placebo. Pour tous les critères décrits ci-dessus, des résultats statistiquement significatifs ont également été démontrées dans la population de patients avec des signes objectifs d'inflammation à la semaine 16. Dans les deux populations ; population totale de patients traités et population de patients avec des signes objectifs d'inflammation, les améliorations des signes et des symptômes, de la mobilité rachidienne, de la capacité fonctionnelle, de la qualité de vie, et de productivité observés à la semaine 16 chez les patients traités par golimumab 50 mg ont continué chez ceux restant dans l'étude à la semaine 52. * Rectocolite hémorragique L'efficacité de golimumab a été évaluée lors de deux études cliniques randomisées,en double-aveugle, controlées versus placebo, réalisées chez des patients adultes. L'étude d'induction (PURSUIT-Induction) a évalué des patients atteints de rectocolite hémorragique active, modérée à sévère (score Mayo de 6 à 12 ; sous- score endoscopique > ou = 2), qui n'ont pas répondu de manière adéquate, ou ont mal toléré un traitement conventionnel ou qui sont cortico-dépendants. Dans la partie de l'étude dédiée à la confirmation de dose, 761 patients ont été randomisés pour recevoir soit 400 mg de golimumab SC à la semaine 0 et 200 mg à la semaine 2, soit 200 mg de golimumab SC à la semaine 0 et 100 mg à la semaine 2, ou un placebo SC aux semaines 0 et 2. Des doses stables concomitantes d'aminosalicylés, de corticoïdes et/ou d'immunomodulateurs par voie orale étaient autorisées. L'efficacité de golimumab a été évaluée dans cette étude jusqu'à la semaine 6. Les résultats de l'étude d'entretien (PURSUIT-Maintenance) sont basés sur l'évaluation de 456 patients qui ont obtenu une réponse clinique après le traitement d'induction par golimumab. Les patients ont été randomisés pour recevoir golimumab 50 mg, golimumab 100 mg ou un placebo administrés par voie sous-cutanée toutes les 4 semaines. Des doses stables concomitantes d'aminosalicylés oraux, de corticoïdes et/ou d' immunomodulateurs étaient autorisées. Les doses de corticoïdes devaient être diminuées au début de l'étude d'entretien. L'efficacité de Simponi a été évaluée dans cette étude jusqu'à la semaine 54. Les patients ayant terminé l'étude d'entretien jusqu'à la semaine 54 ont poursuivi le traitement dans une étude d'extension, avec une efficacité évaluée jusqu'à la semaine 216. L'évaluation de l'efficacité dans l'étude d'extension a été basée sur les modifications dans l'utilisation des corticoïdes, l'évaluation globale de la maladie par le médecin (PGA), et l'amélioration de la qualité de vie telle que mesurée par l'IBDQ (questionnaire sur les maladies inflammatoires de l'intestin). Principaux résultats d'efficacité des études PURSUIT - Induction et PURSUIT - Maintenance -> PURSUIT-Induction - Placebo (N = 251) (Pourcentage de patients) . Patients en réponse clinique à la semaine 6 (a) : 30 % . Patients en rémission clinique à la semaine 6 (b) : 6 % . Patients avec une cicatrisation des muqueuses à la semaine 6 (c) : 29 % - Golimumab 200/100 mg (N = 253) (Pourcentage de patients) . Patients en réponse clinique à la semaine 6 (a) : 51 % (**) . Patients en rémission clinique à la semaine 6 (b) : 18 % (**) . Patients avec une cicatrisation des muqueuses à la semaine 6 (c) : 42 % (**) -> PURSUIT-Maintenance - Placebo (N = 154) (d) (Pourcentage de patients) . Maintien de la réponse (patients en réponse clinique jusqu'à la semaine 54) (e) : 31 % . Rémission maintenue (patients en rémission clinique à la semaine 30 et à la semaine 54) (f) : 16 % - Golimumab 50 mg (N = 151) (Pourcentage de patients) . Maintien de la réponse (patients en réponse clinique jusqu'à la semaine 54) (e) : 47 % (*) . Rémission maintenue (patients en rémission clinique à la semaine 30 et à la semaine 54) (f) : 23 % (g) - Golimumab 100 mg (N = 151) (Pourcentage de patients) . Maintien de la réponse (patients en réponse clinique jusqu'à la semaine 54) (e) : 50 % (**) . Rémission maintenue (patients en rémission clinique à la semaine 30 et à la semaine 54) (f) : 28 % (*) (N) = nombre de patients (**) p < ou = 0,001 (*) p < ou = 0,01 (a) Définie comme une diminution du score Mayo > ou = 30 % et > ou = 3 points par rapport au score initial, accompagnée d'une diminution du sous-score de saignement rectal > ou = 1 ou un sous-score de saignement rectal de 0 ou de 1. (b) Définie comme un score Mayo < ou = 2 points, avec aucun sous-score individuel > 1 (c) Définie par un sous-score endoscopique du score Mayo de 0 ou de 1. (d) Induction par golimumab uniquement. (e) L'activité de la RCH a été évaluée chez les patients par un score Mayo partiel toutes les 4 semaines (la perte de la réponse a été confirmée par endoscopie). Par conséquent, un patient ayant maintenu la réponse jusqu'à la semaine 54 était en réponse clinique continue lors de chaque évaluation. (f) Un patient devait être en rémission aux semaines 30 et 54 (sans signe d'une diminution de la réponse à aucun moment jusqu'à la semaine 54) pour obtenir une rémission durable. (g) Chez les patients pesant moins de 80 kg, la proportion de patients ayant montré une rémission clinique était plus importante avec un traitement d'entretien à 50 mg a par rapport à ceux ayant reçu le placebo. Une cicatrisation maintenue des muqueuses (patients avec une cicatrisation des muqueuses à la semaine 30 et à la semaine 54) a été montrée chez plus de patients traités par golimumab dans le groupe 50 mg (42 %, valeur nominale de p < 0,05) et dans le groupe 100 mg (42 %, p < 0,005) par rapport aux patients du groupe placebo (27 %). Parmi les 54 % de patients (247/456) qui ont reçu un traitement concomitant par corticoïdes au début de l'étude PURSUIT-Maintenance, la proportion de patients qui ont maintenu une réponse clinique jusqu'à la semaine 54 et qui ne recevaient plus de traitement concomitant par corticoïdes à la semaine 54 a été plus importante dans le groupe 50 mg (38 %, 30/78) et dans le groupe 100 mg (30 %, 25/82) par rapport au groupe placebo (21 %, 18/87). La proportion de patients chez qui les corticoïdes ont été supprimés à la semaine 54 a été plus importante dans le groupe 50 mg (41 %, 32/78) et dans le groupe 100 mg (33 %, 27/82) par rapport au groupe placebo (22 %, 19/87). Parmi les patients qui sont entrés dans l'étude d'extension, la proportion de sujets restant sans traitement corticoïde a été généralement maintenue jusqu'à la semaine 216. Les patients qui n'ont pas obtenu de réponse clinique à la semaine 6 dans les études PURSUITInduction ont reçu golimumab 100 mg toutes les 4 semaines dans l'étude PURSUIT-Maintenance. À la semaine 14, 28 % de ces patients ont obtenu une réponse définie par un score Mayo partiel (diminution > ou = à 3 points par rapport au début de l'induction). À la semaine 54, les résultats cliniques observés chez ces patients étaient similaires aux résultats cliniques rapportés pour les patients ayant obtenu une réponse clinique à la semaine 6. A la semaine 6, golimumab avait amélioré de manière significative la qualité de vie mesurée par la variation par rapport à l'inclusion à l'aide d'un outil de mesure spécifique à la maladie, l'IBDQ (questionnaire sur les maladies inflammatoires de l'intestin). Parmi les patients ayant reçu un traitement d'entretien par golimumab, l'amélioration de la qualité de vie mesurée par l'IBDQ a été maintenue jusqu'à la semaine 54. Environ 63 % des patients qui ont reçu golimumab au début de l'étude d'extension (semaine 56), sont restés traités jusqu'à la fin de l'étude (dernière administration de golimumab à la semaine 212). * Immunogénicité Au cours des études de phase III dans la PR, le RP et la SA jusqu'à la semaine 52, des anticorps anti-golimumab ont été détectés chez 5 % (105/2 062) des patients traités par golimumab et, pour ceux testés, presque tous les anticorps étaient neutralisants in vitro. Des taux comparables ont été constatés pour les indications rhumatologiques. Il résulte de l'association du MTX au traitement une proportion moindre de patients présentant des anticorps anti-golimumab par rapport aux patients recevant du golimumab sans MTX (environ 3 % [41/1 235] versus 8 % [64/827], respectivement). Dans la SpA axiale NR, les anticorps anti-golimumab ont été détectés chez 7 % (14/193) des patients traités par golimumab jusqu'à la semaine 52. Dans les études de phase II et III dans la RCH jusqu'à la semaine 54, des anticorps anti-golimumab ont été détectés chez 3 % (26/946) des patients traités par golimumab. Soixante-huit pour cent (21/31) des patients positif aux anticorps avaient des anticorps neutralisants in vitro. Il résulte de l'association avec des immunomodulateurs (azathioprine, 6 mercaptopurine et MTX) une proportion moindre de patients présentant des anticorps anti-golimumab par rapport aux patients recevant du golimumab sans immunomodulateurs (1 % [4/308] contre 3 % [22/638], respectivement). Parmi les patients qui ont continué dans l'étude d'extension et qui avaient des échantillons évaluables jusqu'à la semaine 228, des anticorps anti-golimumab ont été détectés chez 4 % (23/604) des patients traités par golimumab. Quatre-vingt-deux pour cent (18/22) des patients positif aux anticorps avaient des anticorps neutralisants in vitro. La présence d'anticorps anti-golimumab peut augmenter le risque de réactions au site d'injection, cependant, le faible nombre de patients positifs aux anticorps anti-golimumab limite la capacité à tirer des conclusions définitives concernant la relation entre les anticorps anti-golimumab et l'efficacité clinique ou la tolérance (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). Étant donné que les analyses d'immunogenicité sont spécifiques du produit et du test utilisé, la comparaison des taux d'anticorps avec ceux issus d'autres produits est inappropriée. * Population pédiatrique L'Agence européenne des médicaments a différé l'obligation de soumettre les résultats d'études réalisées avec ce médicament dans un ou plusieurs sous-groupes de la population pédiatrique dans la rectocolite hémorragique (Cf. rubrique "Posologie" pour les informations concernant l'usage pédiatrique). |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 |
* Absorption À la suite d'une administration unique par voie sous-cutanée de golimumab à des sujets sains ou des patients atteints de PR, le délai médian pour atteindre les concentrations sériques maximum (Tmax) variait de 2 à 6 jours. Une injection sous-cutanée de 50 mg de golimumab à des sujets sains a permis d'obtenir une concentration sérique maximum moyenne (Cmax) +/- écart-type de 3,1 +/- 1,4 microgrammes/mL. À la suite d'une injection unique sous-cutanée de 100 mg, l'absorption de golimumab était comparable dans la partie haute du bras, l'abdomen et les cuisses, avec une biodisponibilité absolue moyenne de 51 %. Étant donné que le golimumab a présenté un PK quasi-proportionnel à la dose suite à une administration par voie sous-cutanée, la biodisponibilité absolue d'une dose de golimumab 50 mg ou 200 mg devrait être comparable. * Distribution A la suite d'une administration unique intraveineuse, le volume moyen de distribution était 115 +/- 19 mL/kg. * Elimination La clairance systémique du golimumab était estimée à 6,9 +/- 2,0 mL/jour/kg. La demi-vie terminale était estimée à environ 12 +/- 3 jours chez des sujets sains et des valeurs comparables ont été observées chez des patients atteints de PR, de RP, de SA ou de RCH. Lorsque 50 mg de golimumab est administré par voie sous-cutanée à des patients atteints de PR, de RP ou de SA toutes les 4 semaines, les concentrations sériques atteignent un état d'équilibre à la semaine 12. L'association du MTX à 50 mg de golimumab par voie sous-cutanée toutes les 4 semaines a permis d'obtenir une moyenne des concentrations sériques résiduelles stables (+/- écart-type) d'environ 0,6 +/- 0,4 microgrammes/mL chez des patients atteints de PR active malgré un traitement par MTX, et environ 0,5 +/- 0,4 microgrammes/mL chez des patients atteints de RP actif et environ 0,8 +/- 0,4 microgramems/mL chez des patients atteints de SA. Une moyenne des concentrations sériques résiduelles stables de golimumab chez les patients atteints de SpA axiale NR étaient similaires à celles observées chez les patients avec une SA après une administration sous-cutanée de 50 mg de golimumab toutes les 4 semaines. Les patients atteints de PR, de RP ou de SA n'ayant pas reçu de MTX de manière concomitante ont obtenu des concentrations résiduelles stables de golimumab environ 30 % inférieures à celles des patients ayant reçu golimumab avec du MTX. Chez un nombre limité de patients atteints de PR traités par golimumab sous-cutané sur une période de 6 mois, l'utilisation concomitante du MTX a réduit la clairance apparente du golimumab d'approximativement 36 %. Toutefois, l'analyse pharmacocinétique de population a révélé que l'utilisation concomitante d'AINS, de corticostéroïdes oraux ou de sulfasalazine n'a pas influencé la clairance apparente du golimumab. Après l'administration de doses d'induction de 200 mg et 100 mg de golimumab respectivement aux semaines 0 et 2 et de doses d'entretien de 50 mg ou 100 mg de golimumab par voie sous-cutanée toutes les 4 semaines à des patients atteints de RCH, les concentrations sériques du golimumab atteignent un état d'équilibre approximativement 14 semaines après le début du traitement. Le traitement par 50 mg ou 100 mg de golimumab par voie sous-cutanée toutes les 4 semaines pendant la période d'entretien a permis d'obtenir des concentrations sériques moyennes résiduelles stables, respectivement d'environ 0,9 +/- 0,5 microgrammes/mL et 1,8 +- 1,1 microgrammes/mL. Chez les patients atteints de RCH traités par 50 mg ou 100 mg de golimumab par voie sous-cutanée toutes les 4 semaines, l'utilisation concomitante d'immunomodulateurs n'a pas eu d'effet substantiel sur le niveau des concentrations résiduelles stables du golimumab. Les patients ayant développé des anticorps anti-golimumab présentaient généralement de faibles concentrations sériques résiduelles stables de golimumab (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). * Linéarité Le golimumab a permis d'obtenir des données pharmacocinétiques quasi-proportionnelles à la dose chez les patients atteints de PR avec des dosages allant de 0,1 à 10,0 mg/kg à la suite d'une dose unique administrée par voie intraveineuse. Après une dose unique administrée par voie SC chez des sujets sains, des doses pharmacocinétiques approximativement proportionnelles ont été observées avecdes dosages de 50 mg à 400 mg. * Effet du poids sur la pharmacocinétique Il y avait une tendance à une augmentation de la clairance apparente du golimumab corrélée à l'augmentation du poids (Cf. rubrique "Posologie"). |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 |
Les données non cliniques issues des études conventionnelles de pharmacologie de sécurité, toxicologie en administration répétée et des fonctions de reproduction et de développement n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme. Aucune étude sur la mutagénicité, la fertilité chez l'animal ni sur la cancérogenèse à long-terme n'a été réalisée sur golimumab. Dans une étude sur la fertilité et la fonction reproductive en général chez la souris, l'utilisation d'un anticorps analogue qui inhibe de manière sélective l'activité fonctionnelle du TNFalpha de la souris, le nombre de souris gestantes avait été réduit. On ne sait pas encore si ce résultat était dû à des effets sur les mâles et/ou les femelles. Dans une étude de toxicité pour le développement menée sur des souris après l'administration du même anticorps analogue et chez des singes cynomolgus prenant du golimumab, aucun signe de toxicité maternelle, embryotoxicité ou tératogénicité n'a été décelé. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 |
Ce médicament est d'origine recombinante et ne peut donc pas être prescrit en dénomination commune.
Spécialité(s) génériques Thériaque | Type | Prix |
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SIMPONI 100MG/1ML SOL INJ SER | ||
Comparer prix |
Groupe générique(s) : Néant |
Spécialité(s) générique(s) ansm et date(s) d'application : Néant |
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SIMPONI (EPAR) 2019 |
MODIF CONDITION PRESCRIPT/DELIV 2024 | |
MOLECULES ONEREUSES HAD 2024 | |
SIMPONI 100MG REMISE A DISPO 2023 | |
SIMPONI SYNTHESE D'AVIS 2021 | |
MODIF CONDITION PRESCRIPT/DELIV 2019 | |
ANTI TNF ALFA ET LYMPHOME 2017 | |
SIMPONI SYNTHESE D'AVIS 2016 |
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* Conditions de prescription et de délivrance Liste I. Prescription et renouvellement réservés aux spécialistes en hépato-gastro-entérologie, rhumatologie et médecine interne. |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 | |
Code UCD13 : | 3400893987483 |
Code UCD7 : | 9398748 |
Code identifiant spécialité : | 6 770 042 6 |
Laboratoire(s) titulaire(s) AMM: |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 | |
Laboratoire(s) exploitant(s) : |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 | |
Code CIP13 | 3400927568480 |
Code CIP7 | 2756848 |
Commercialisation | Disponible : OUI depuis le 25/06/2014 |
Agrément collectivités/date JO | Oui le 20/06/2014 |
Radiation collectivités/date JO | Non |
Présentation réservée à l'hôpital | Non |
Dose totale contenue dans l'unité commune de dispensation (UCD) |
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Conditionnement primaire | 1 SERINGUE(S) PREREMPLIE(S) de 1 ML contenant 1 ML (1) |
Matériau(x) |
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Caractéristique(s) du conditionnement primaire |
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* Nature et contenu de l'emballage extérieur |
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Présentation unitaire | OUI |
Référence(s) bibliographique(s) | |
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Conditions de délivrance |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 |
Statut de la présentation |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 |
1. Prix en officine ville | |
Prix de cette présentation (CIP)/date JO | 699,67 euros TTC le 15/07/2022 |
Tarif forfaitaire de responsabilité/date JO (génériques) | Non concerné |
2. Prix à l'hôpital (Pharmacie à usage intérieur) | |
Prix de vente aux établissements de santé par UCD/date JO (rétrocession - vente au public) | Non concerné |
Tarif de responsabilité par UCD (tarification à l'activité) | 666,67 euros HT le 01/02/2020 |
1. Ville | |
Taux de remboursement/date JO |
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2. Hôpital (Rétrocession - vente au public) | |
Taux de remboursement |
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* Remboursement |
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Statut(s) du remboursement |
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* Agrément aux collectivités - Arrêté du 6 novembre 2017 modifiant la liste des médicaments agréés à l'usage des collectivités et divers services publics mentionnée à l'article L. 5123-2 du code de la santé publique (JO du 10/11/2017) L'indication suivante n'est plus prise en charge par l'assurance maladie au titre de la liste des médicaments agréés à l'usage des collectivités et divers services publics prévue à l'article L. 5123-2 du code de la santé publique : . polyarthrite rhumatoïde : traitement de la polyarthrite rhumatoïde sévère, active et évolutive de l'adulte non précédemment traité par le méthotrexate. * Arrêté du 10 mars 2017 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques agréées à l'usage des collectivités et divers services publics (JO du 14/03/2017) La prise en charge des spécialités ci-dessous est étendue à l'indication suivante : - traitement de la spondyloarthrite axiale active non radiographique sévère de l'adulte avec des signes objectifs d'inflammation, se traduisant par un taux élevé de protéine C réactive (CRP) et/ou de signes visibles à l'imagerie par résonance magnétique (IRM), en cas de réponse inadéquate ou d'intolérance aux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). * Médicament facturable hors GHS - Arrêté du 15 janvier 2021 portant radiation de la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge en sus des prestations d'hospitalisation mentionnée à l'article L. 162-22-7 du code de la sécurité sociale (JO du 22/01/2021) : radiation pour l'ensemble des indications - Arrêté du 17 janvier 2018 portant radiation de la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge en sus des prestations d'hospitalisation mentionnée à l'article L. 162-22-7 du code de la sécurité sociale (JO du 23/01/2018) A compter du 1er mars 2018, les indications considérées des spécialités ci-dessous sont radiées de la liste des spécialités pharmaceutiques facturables en sus des prestations d'hospitalisation visée à l'article L. 162-22-7 du code de la sécurité sociale. - Traitement de la polyarthrite rhumatoïde sévère, active et évolutive chez les adultes non précédemment traités par le méthotrexate - Arrêté du 16 février 2018 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge en sus des prestations d'hospitalisation mentionnée à l'article L. 162-22-7 du code de la sécurité sociale (JO du 20/02/2018) La prise en charge en sus des prestations d'hospitalisation mentionnée à l'article L. 162-22-7 du code de la sécurité sociale est étendue à l'indication suivante : . Spondyloarthrite axiale non radiographique (SpA axiale NR) : Traitement de la spondyloarthrite axiale active non radiographique sévère de l'adulte avec des signes objectifs d'inflammation, se traduisant par un taux élevé de protéine C réactive (CRP) et/ou de signes visibles à l'imagerie par résonance magnétique (IRM), en cas de réponse inadéquate ou d'intolérance aux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). - Arrêté du 16 juin 2014 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge en sus des prestations d'hospitalisation mentionnée à l'article L.162-22-7 du code de la sécurité sociale (JO du 20/06/2014) * La prescription doit être effectuée sur une ordonnance de médicament d'exception. Elle doit être conforme aux indications mentionnées dans la Fiche d'Information Thérapeutique. |
SMR spécifique de cette présentation | NON |
Modalité(s) de dispensation |
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Durée(s) et condition(s) de conservation |
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* Durée de conservation |
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Référence(s) officielles(s) : Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 |
POLYARTHRITE RHUMATOIDE
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Polyarthrite rhumatoïde (PR) Gomalimumab, en association avec le méthotrexate (MTX), est indiqué dans : - le traitement de la polyarthrite rhumatoïde active, modérée à sévère chez les adultes, lorsque la réponse aux traitements de fond antirhumatismaux (DMARD), y compris le MTX, a été inadéquate. Il a été démontré que gomalimumab, en association avec le MTX, ralentit la vitesse de progression de la destruction articulaire, mesurée par radiographie et améliore la fonction physique. |
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Taux remboursement pour cette indication/date JO | 65 % le 20/06/2014 (Code CIP 2756848) |
SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 06/10/2021 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 |
CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : ; Polyarthrite rhumatoïde ; Polyarthrite juvénile avec facteur rhumatoïde |
Arthrite juvénile idiopathique - Synonyme(s) Arthrite juvénile chronique Arthrite juvénile rhumatoïde - Maladie(s) incluse(s) Oligo-arthrite juvénile Polyarthrite avec facteur rhumatoïde Polyarthrite sans facteur rhumatoïde Polyarthrite systémique Rhumatisme psoriasique Spondylarthropathie |
POLYARTHRITE RHUMATOIDE
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Polyarthrite rhumatoïde (PR) Gomalimumab, en association avec le méthotrexate (MTX), est indiqué dans : - le traitement de la polyarthrite rhumatoïde active, sévère et évolutive chez les adultes non traités auparavant par le MTX. Il a été démontré que gomalimumab, en association avec le MTX, ralentit la vitesse de progression de la destruction articulaire, mesurée par radiographie et améliore la fonction physique. |
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Taux remboursement pour cette indication/date JO | 0 % le 10/11/2017 (Code CIP 2756848) |
SMR de l'indication | NIVEAU INSUFFISANT 09/11/2016 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 |
CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : ; Polyarthrite rhumatoïde ; Polyarthrite juvénile avec facteur rhumatoïde |
Arthrite juvénile idiopathique - Synonyme(s) Arthrite juvénile chronique Arthrite juvénile rhumatoïde - Maladie(s) incluse(s) Oligo-arthrite juvénile Polyarthrite avec facteur rhumatoïde Polyarthrite sans facteur rhumatoïde Polyarthrite systémique Rhumatisme psoriasique Spondylarthropathie |
RHUMATISME PSORIASIQUE
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Rhumatisme psoriasique (RP) Gomalimumab, seul ou en association avec le MTX, est indiqué dans le traitement du rhumatisme psoriasique actif et évolutif chez les adultes, lorsque la réponse à un précédent traitement de fond antirhumatismal (DMARD) a été inadéquate. Il a été démontré que gomalimumab ralentit la vitesse de progression de la destruction articulaire périphérique, mesurée par radiographie chez les patients présentant des formes polyarticulaires symétriques de la maladie (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques") et améliore la fonction physique. |
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Taux remboursement pour cette indication/date JO | 65 % le 20/06/2014 (Code CIP 2756848) |
SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 06/10/2021 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 |
CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : |
SPONDYLARTHRITE ANKYLOSANTE
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Spondylarthrite ankylosante (SA) Gomalimumab est indiqué dans le traitement de la spondylarthrite ankylosante active sévère chez les adultes qui n'ont pas répondu de manière adéquate à un traitement conventionnel. |
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Taux remboursement pour cette indication/date JO | 65 % le 20/06/2014 (Code CIP 2756848) |
SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 06/10/2021 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 |
CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : Spondylarthrite ankylosante |
Syndrome de Bechterew |
RECTOCOLITE HEMORRAGIQUE
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Ce médicament est indiqué dans le traitement de la rectocolite hémorragique active, modérée à sévère, chez les patients adultes qui n'ont pas répondu de manière adéquate à un traitement conventionnel comprenant les corticoïdes et la 6-mercaptopurine (6-MP) ou l'azathioprine (AZA), ou chez lesquels ce traitement est mal toléré ou contre-indiqué. |
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Taux remboursement pour cette indication/date JO | 65 % le 20/06/2014 (Code CIP 2756848) |
SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 19/02/2014 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 |
CIM10 |
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Maladie rare | Oui - Lien Orphanet : Recto-colite hémorragique |
SPONDYLARTHRITE AXIALE NON RADIOLOGIQUE
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Ce médicament est indiqué dans le traitement de la spondyloarthrite axiale active non radiographique sévère de l'adulte avec des signes objectifs d'inflammation, se traduisant par un taux élevé de protéine C réactive (CRP) et/ou de signes visibles à l'imagerie par résonance magnétique (IRM), en cas de réponse inadéquate ou d'intolérance aux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). |
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Taux remboursement pour cette indication/date JO | 65 % le 14/03/2017 (Code CIP 2756848) |
SMR de l'indication | NIVEAU IMPORTANT 06/10/2021 |
Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 |
CIM10 |
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Maladie rare | Non |
Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
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Dose | 50 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /MOIS |
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Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Recommandation(s) |
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* Posologie Le traitement doit être initié et supervisé par des médecins qualifiés expérimentés dans le diagnostic et le traitement de la polyarthrite rhumatoïde. Les patients traités par ce médicament devront recevoir la carte de rappel patient. - Polyarthrite rhumatoïde Golimumab 50 mg administré une fois par mois, à la même date chaque mois. Ce médicament doit être administré de manière concomitante avec le MTX. Les données disponibles suggèrent que la réponse clinique est habituellement obtenue dans les 12 à 14 semaines de traitement (après 3 à 4 doses). La poursuite du traitement doit être reconsidérée chez les patients pour lesquels aucun bénéfice thérapeutique n'a été démontré au cours de cette période. - Patients dont le poids corporel est supérieur à 100 kg Chez les patients ayant une PR avec un poids corporel de plus de 100 kg qui n'obtiennent pas de réponse clinique satisfaisante après 3 ou 4 doses, une augmentation de la dose de golimumab à 100 mg une fois par mois peut être envisagée, en tenant compte du risque accru de certains effets indésirables graves survenant avec une dose de 100 mg par rapport à 50 mg (Cf. rubrique "Effets indésirables"). La poursuite du traitement doit être reconsidérée chez les patients pour lesquels aucun bénéfice thérapeutique n'a été démontré après 3 à 4 doses supplémentaires de 100 mg. - En cas d'oubli d'une prise de ce médicament Si un patient oublie une injection de golimumab le jour prévu, elle doit être effectuée dès que le patient s'en souvient. Les patients doivent recevoir comme instruction de ne pas injecter une double dose pour compenser la dose oubliée. La dose suivante devra être administrée d'après le principe suivant : - si la dose est administrée avec moins de 2 semaines de retard, le patient devra s'injecter la dose oubliée et poursuivre le traitement selon le calendrier mensuel initial. - si la dose est administrée avec plus de 2 semaines de retard, le patient devra s'injecter la dose oubliée et un nouveau calendrier mensuel devra être établi à partir de la date de cette injection. - Sujets âgés (> ou = 65 ans) Aucun ajustement de dose n'est nécessaire chez les personnes âgées. - Insuffisance rénale et hépatique Ce médicament n'a pas été étudié chez cette population de patients. Aucune recommandation de doses ne peut être faite. - Population pédiatrique La sécurité et l'efficacité de golimumab chez les patients âgés de moins de 18 ans pour tout autre indication que l'AJIp n'ont pas été établies. Golimumab 100 mg n'est pas recommandé chez les enfants âgés de moins de 18 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | 50 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /MOIS |
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Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Recommandation(s) |
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* Posologie Le traitement doit être initié et supervisé par des médecins qualifiés expérimentés dans le diagnostic et le traitement du rhumatisme psoriasique. Les patients traités par ce médicament devront recevoir la carte de rappel patient. - Rhumatisme psoriasique Golimumab 50 mg administré une fois par mois, à la même date chaque mois. Les données disponibles suggèrent que la réponse clinique est habituellement obtenue dans les 12 à 14 semaines de traitement (après 3 à 4 doses). La poursuite du traitement doit être reconsidérée chez les patients pour lesquels aucun bénéfice thérapeutique n'a été démontré au cours de cette période. - Patients dont le poids corporel est supérieur à 100 kg Chez les patients ayant un RP avec un poids corporel de plus de 100 kg qui n'obtiennent pas de réponse clinique satisfaisante après 3 ou 4 doses, une augmentation de la dose de golimumab à 100 mg une fois par mois peut être envisagée, en tenant compte du risque accru de certains effets indésirables graves survenant avec une dose de 100 mg par rapport à 50 mg (Cf. rubrique "Effets indésirables"). La poursuite du traitement doit être reconsidérée chez les patients pour lesquels aucun bénéfice thérapeutique n'a été démontré après 3 à 4 doses supplémentaires de 100 mg. - En cas d'oubli d'une prise de ce médicament Si un patient oublie une injection de golimumab le jour prévu, elle doit être effectuée dès que le patient s'en souvient. Les patients doivent recevoir comme instruction de ne pas injecter une double dose pour compenser la dose oubliée. La dose suivante devra être administrée d'après le principe suivant : - si la dose est administrée avec moins de 2 semaines de retard, le patient devra s'injecter la dose oubliée et poursuivre le traitement selon le calendrier mensuel initial. - si la dose est administrée avec plus de 2 semaines de retard, le patient devra s'injecter la dose oubliée et un nouveau calendrier mensuel devra être établi à partir de la date de cette injection. - Sujets âgés (> ou = 65 ans) Aucun ajustement de dose n'est nécessaire chez les personnes âgées. - Insuffisance rénale et hépatique Ce médicament n'a pas été étudié chez cette population de patients. Aucune recommandation de doses ne peut être faite. - Population pédiatrique La sécurité et l'efficacité de golimumab chez les patients âgés de moins de 18 ans pour tout autre indication que l'AJIp n'ont pas été établies. Golimumab 100 mg n'est pas recommandé chez les enfants âgés de moins de 18 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie USUELLE | |
Dose | 50 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /MOIS |
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Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Recommandation(s) |
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* Posologie Le traitement doit être initié et supervisé par des médecins qualifiés expérimentés dans le diagnostic et le traitement de la spondylarthrite ankylosante, de la spondyloarthrite axiale non radiographique. Les patients traités par ce médicament devront recevoir la carte de rappel patient. - Spondylarthrite ankylosante ou spondyloarthrite axiale non radiographique Golimumab 50 mg administré une fois par mois, à la même date chaque mois. Les données disponibles suggèrent que la réponse clinique est habituellement obtenue dans les 12 à 14 semaines de traitement (après 3 à 4 doses). La poursuite du traitement doit être reconsidérée chez les patients pour lesquels aucun bénéfice thérapeutique n'a été démontré au cours de cette période. - Patients dont le poids corporel est supérieur à 100 kg Chez les patients ayant une SA ou une spA axiale NR avec un poids corporel de plus de 100 kg qui n'obtiennent pas de réponse clinique satisfaisante après 3 ou 4 doses, une augmentation de la dose de golimumab à 100 mg une fois par mois peut être envisagée, en tenant compte du risque accru de certains effets indésirables graves survenant avec une dose de 100 mg par rapport à 50 mg (Cf. rubrique "Effets indésirables"). La poursuite du traitement doit être reconsidérée chez les patients pour lesquels aucun bénéfice thérapeutique n'a été démontré après 3 à 4 doses supplémentaires de 100 mg. - En cas d'oubli d'une prise de ce médicament Si un patient oublie une injection de golimumab le jour prévu, elle doit être effectuée dès que le patient s'en souvient. Les patients doivent recevoir comme instruction de ne pas injecter une double dose pour compenser la dose oubliée. La dose suivante devra être administrée d'après le principe suivant : - si la dose est administrée avec moins de 2 semaines de retard, le patient devra s'injecter la dose oubliée et poursuivre le traitement selon le calendrier mensuel initial. - si la dose est administrée avec plus de 2 semaines de retard, le patient devra s'injecter la dose oubliée et un nouveau calendrier mensuel devra être établi à partir de la date de cette injection. - Sujets âgés (> ou = 65 ans) Aucun ajustement de dose n'est nécessaire chez les personnes âgées. - Insuffisance rénale et hépatique Ce médicament n'a pas été étudié chez cette population de patients. Aucune recommandation de doses ne peut être faite. - Population pédiatrique La sécurité et l'efficacité de golimumab chez les patients âgés de moins de 18 ans pour tout autre indication que l'AJIp n'ont pas été établies. Golimumab 100 mg n'est pas recommandé chez les enfants âgés de moins de 18 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie INITIALE | |
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Dose | 200 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement max | 1 FOIS LE 1ER JOUR DU TRAITEMENT ADMINISTRER UNE SEULE FOIS |
Posologie INITIALE | |
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Dose | 100 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement max | 1 FOIS LA 2EME SEMAINE DU TRAITEMENT ADMINISTRER UNE SEULE FOIS |
Posologie ENTRETIEN | |
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Dose | 50 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /4 SEMAINES |
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Durée de traitement |
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Posologie ENTRETIEN | |
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Dose | 100 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /4 SEMAINES |
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Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Recommandation(s) |
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* Posologie Le traitement doit être initié et supervisé par des médecins qualifiés expérimentés dans le diagnostic et le traitement de la rectocolite hémorragique. Les patients traités par ce médicament devront recevoir la carte de rappel patient. - Rectocolite hémorragique : Patients pesant moins de 80 kg Golimumab est administré à la dose initiale de 200 mg, suivie de 100 mg à la semaine 2. Les patients qui ont répondu de manière adéquate doivent recevoir 50 mg à la semaine 6 puis toutes les 4 semaines par la suite. Les patients qui n'ont pas répondu de manière adéquate peuvent continuer de recevoir 100 mgà la semaine 6 puis toutes les 4 semaines par la suite (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). Pendant le traitement d'entretien, les corticoïdes pourront être progressivement diminués conformément aux recommandations de pratique clinique. Les données disponibles suggèrent que la réponse clinique est habituellement obtenue dans les 12 à 14 semaines de traitement (après 4 doses). La poursuite du traitement doit être reconsidérée chez les patients pour lesquels aucun bénéfice thérapeutique n'a été démontré au cours de cette période. - En cas d'oubli d'une prise de golimumab Si un patient oublie une injection de golimumab le jour prévu, elle doit être effectuée dès que le patient s'en souvient. Les patients doivent recevoir comme instruction de ne pas injecter une double dose pour compenser la dose oubliée. - La dose suivante devra être administrée d'après le principe suivant : . si la dose est administrée avec moins de 2 semaines de retard, le patient devra s'injecter la dose oubliée et poursuivre le traitement selon le calendrier initial. . si la dose est administrée avec plus de 2 semaines de retard, le patient devra s'injecter la dose oubliée et un nouveau calendrier devra être établi à partir de la date de cette injection. - Sujets âgés (> ou = 65 ans) Aucun ajustement de dose n'est nécessaire chez les personnes âgées. - Insuffisance rénale et hépatique Golimumab n'a pas été étudié chez ces populations de patients. Aucune recommandation de doses ne peut être faite. - Population pédiatrique La sécurité et l'efficacité de golimumab chez les patients âgés de moins de 18 ans pour tout autre indication que l'AJIp n'ont pas été établies. Golimumab 100 mg n'est pas recommandé chez les enfants âgés de moins de 18 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Terrain(s) physio-pathologique(s) |
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Indication(s) |
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Posologie INITIALE | |
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Dose | 200 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement max | 1 FOIS LE 1ER JOUR DU TRAITEMENT ADMINISTRER UNE SEULE FOIS |
Posologie INITIALE | |
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Dose | 100 MG/ADMINISTRATION |
Fréquence maximale | 1 /JOUR |
Durée de traitement max | 1 FOIS LA 2EME SEMAINE DU TRAITEMENT ADMINISTRER UNE SEULE FOIS |
Posologie ENTRETIEN | |
Dose | 100 MG/PRISE |
Fréquence maximale | 1 /4 SEMAINES |
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Durée de traitement |
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Adaptation posologique |
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Surveillance |
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Recommandation(s) |
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* Posologie Le traitement doit être initié et supervisé par des médecins qualifiés expérimentés dans le diagnostic et le traitement de la rectocolite hémorragique. Les patients traités par ce médicament devront recevoir la carte de rappel patient. - Rectocolite hémorragique : Patients pesant 80 kg ou plus Golimumab est administré à la dose initiale de 200 mg, suivie de 100 mg à la semaine 2, puis par la suite 100 mg toutes les 4 semaines (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques"). Pendant le traitement d'entretien, les corticoïdes pourront être progressivement diminués conformément aux recommandations de pratique clinique. Les données disponibles suggèrent que la réponse clinique est habituellement obtenue dans les 12 à 14 semaines de traitement (après 4 doses). La poursuite du traitement doit être reconsidérée chez les patients pour lesquels aucun bénéfice thérapeutique n'a été démontré au cours de cette période. - En cas d'oubli d'une prise de golimumab Si un patient oublie une injection de golimumab le jour prévu, elle doit être effectuée dès que le patient s'en souvient. Les patients doivent recevoir comme instruction de ne pas injecter une double dose pour compenser la dose oubliée. - La dose suivante devra être administrée d'après le principe suivant : . si la dose est administrée avec moins de 2 semaines de retard, le patient devra s'injecter la dose oubliée et poursuivre le traitement selon le calendrier initial. . si la dose est administrée avec plus de 2 semaines de retard, le patient devra s'injecter la dose oubliée et un nouveau calendrier devra être établi à partir de la date de cette injection. - Sujets âgés (> ou = 65 ans) Aucun ajustement de dose n'est nécessaire chez les personnes âgées. - Insuffisance rénale et hépatique Golimumab n'a pas été étudié chez ces populations de patients. Aucune recommandation de doses ne peut être faite. - Population pédiatrique La sécurité et l'efficacité de golimumab chez les patients âgés de moins de 18 ans pour tout autre indication que l'AJIp n'ont pas été établies. Golimumab 100 mg n'est pas recommandé chez les enfants âgés de moins de 18 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Voie(s) d'administration |
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Modalité(s) |
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* Mode d'administration Ce médicament est destiné à un usage sous-cutanée. Après avoir été formés de manière appropriée à la technique d'injection sous-cutanée, les patients peuvent s'injecter eux-mêmes ce médicament si leur médecin considère que cela est approprié, avec un suivi médical si nécessaire. Les patients doivent recevoir comme instruction d'injecter la quantité totale de ce médicament selon les instructions complètes d'utilisation fournies dans la notice. Si plusieurs injections sont nécessaires, les injections doivent être administrées à différents endroits du corps. * INSTRUCTIONS D'ADMINISTRATION (Cf. Notice) Vérifier le nombre de seringues préremplies Vérifier les seringues préremplies pour s'assurer : - du nombre de seringues préremplies et de l'exactitude du dosage . Si votre dose est de 50 mg, vous recevrez une seringue préremplie de 50 mg . Si votre dose est de 100 mg, vous recevrez deux seringues préremplies de 50 mg et vous devrez vous administrer deux injections. Choisissez deux endroits différents pour ces injections (par exemple, une injection dans la cuisse droite et l'autre injection dans la cuisse gauche) et administrez les injections l'une après l'autre. . Si votre dose est de 200 mg, vous recevrez quatre seringues préremplies de 50 mg et vous devrez vous administrer quatre injections. Choisissez des endroits différents pour ces injections et administrez les injections l'une après l'autre. 1. Choisir le site d'injection Le médicament s'injecte généralement sur le devant du milieu des cuisses. . Vous pouvez également l'injecter en-dessous de l'estomac (abdomen) sous le nombril, sauf dans la zone d'environ 5 cm directement en-dessous du nombril. . N'injectez pas dans des zones où la peau présente un hématome ou est sensible, rouge, squameuse, rigide ou au niveau d'une cicatrice ou de vergetures. . Si plusieurs injections sont nécessaires, les injections doivent être administrées à différents endroits du corps. 2. Choix du site d'injection pour la personne soignante - Si l'injection est faite par une personne soignante, elle peut également injecter le produit sur la partie extérieure du bras. - Encore une fois, tout endroit mentionné peut être utilisé, quelle que soit votre morphologie. 3. Préparer le site d'injection - Lavez-vous bien les mains au savon et à l'eau chaude. - Nettoyez le site d'injection avec un tampon imbibé d'alcool. - Laissez sécher la peau avant d'injecter. Ne pas éventer ou souffler sur la zone nettoyée. Ne touchez plus cette zone avant d'effectuer l'injection. Injecter le médicament Ne retirez pas le protège aiguille avant d'être prêt à injecter. Le médicament doit être injecté dans les 5 minutes suivant le retrait du protège aiguille. Ne touchez pas le piston lors du retrait du protège aiguille. 1. Retirer le protège aiguille - Lorsque vous êtes prêt à effectuer l'injection, tenez le corps de la seringue avec une main. - Retirez selon une ligne droite le protège aiguille et jetez-le. Ne touchez pas le piston lors du retrait du protège aiguille. - Vous pouvez observer une bulle d'air dans la seringue préremplie ou une goutte de liquide à l'extrémité de l'aiguille. La présence de la bulle d'air ou goutte de liquide est normale et aucune d'entre elles ne nécessite d'être retirée. - Injectez la dose immédiatement après avoir retiré le protège aiguille. Ne touchez pas l'aiguille ou évitez qu'elle n'entre en contact avec une surface. N'utilisez pas la seringue si elle est tombée alors que le protège aiguille était retiré. Si cela se produit, veuillez contacter votre médecin ou votre pharmacien. 2. Position de la seringue lors de l'injection - Tenez le corps de la seringue avec une main entre le majeur et l'index et placez le pouce audessus de la tête du piston et utilisez l'autre main pour pincer légèrement la surface de la peau que vous avez préalablement nettoyée. Maintenez fermement. Ne tirez pas sur le piston. 3. Injecter le médicament - Réalisez un angle d'environ 45° entre l'aiguille et la peau pincée. En un seul mouvement rapide, insérez l'aiguille dans la peau autant que possible. - Injectez la totalité du médicament en enfonçant le piston jusqu'à ce que la tête du piston se trouve entièrement entre les ailettes de protection de l'aiguille. - Lorsque le piston est poussé aussi loin que possible, maintenez appuyé votre pouce sur la tête du piston, retirez l'aiguille et relâchez la peau. - Retirez doucement votre pouce de la tête du piston pour permettre à la seringue vide de se déplacer jusqu'à ce que la totalité de l'aiguille rentre dans le protège aiguille. * INSTRUCTIONS D'ADMINISTRATION (Cf. Notice) Vérifier le nombre de stylos préremplis Vérifier les stylos préremplis pour s'assurer : - du nombre de stylos préremplis et de l'exactitude du dosage . Si votre dose est de 50 mg, vous recevrez un stylo prérempli de 50 mg . Si votre dose est de 100 mg, vous recevrez deux stylos préremplis de 50 mg et vous devrez vous administrer deux injections. Choisissez deux endroits différents pour ces injections (par exemple, une injection dans la cuisse droite et l'autre injection dans la cuisse gauche) et administrez les injections l'une après l'autre. . Si votre dose est de 200 mg, vous recevrez quatre stylos préremplis de 50 mg et vous devrez vous administrer quatre injections. Choisissez des endroits différents pour ces injections et administrez les injections l'une après l'autre. Choisir et préparer le site d'injection 1. Choisir le site d'injection . Le médicament s'injecte généralement sur le devant du milieu des cuisses. . Vous pouvez également l'injecter au niveau de l'estomac (abdomen) sous le nombril, sauf dans la zone d'environ 5 cm directement en-dessous du nombril. . N'injectez pas dans des zones où la peau présente un hématome ou est sensible, rouge, squameuse, rigide ou au niveau d'une cicatrice ou de vergetures. . Si plusieurs injections sont nécessaires, les injections doivent être administrées à différents endroits du corps. 2. Choix du site d'injection pour la personne soignante . Si l'injection est faite par une personne soignante, elle peut également injecter le produit sur la partie extérieure du bras. . Encore une fois, tout endroit mentionné peut être utilisé, quel que soit votre morphologie. 3. Préparer le site d'injection . Lavez-vous bien les mains au savon et à l'eau chaude. . Nettoyez le site d'injection avec un tampon imbibé d'alcool. . Laissez sécher la peau avant d'injecter. Ne pas éventer ou souffler sur la zone nettoyée. . Ne touchez plus cette zone avant d'effectuer l'injection. - Injecter le médicament Ne retirez pas le protège aiguille avant d'être prêt à injecter. Le médicament doit être injecté dans les 5 minutes suivant le retrait du protège aiguille. 1. Retirer le protège aiguille . Lorsque vous êtes prêt à effectuer l'injection, tordez légèrement le protège aiguille pour briser le cachet de sécurité. . Retirez le protège aiguille et jetez-le. Ne remettez pas le protège aiguille en place car cela peut endommager l'aiguille dans le stylo. N'utilisez pas le stylo s'il est tombé alors que le protège aiguille était retiré. Si cela se produit, veuillez contacter votre médecin ou votre pharmacien. 2. Appuyer le stylo contre la peau . Tenez le stylo confortablement dans la main. . Sans appuyer sur le bouton, tenez l'extrémité ouverte du stylo à angle droit (90 degrés) contre votre peau puis poussez le stylo fermement vers le bas. Certaines personnes trouvent qu'il est plus facile d'injecter le produit si elles pincent et tiennent la peau au niveau du site d'injection avec leur main libre pendant l'administration du produit. Ce qui rend le site d'injection plus ferme avec une surface d'injection plus stable. 3. Appuyer sur le bouton pour injecter. . Maintenez le stylo appuyé fermement contre votre peau et appuyez sur la partie la plus élevée du bouton. Lorsque vous avez appuyé sur le bouton, il restera enfoncé, vous n'avez donc pas besoin de continuer à appuyer dessus. . Le premier "clic" indique que l'aiguille a été insérée et que l'injection a démarré. Vous pouvez ou pas sentir une aiguille vous piquer à ce moment-là. Ne levez pas le stylo de votre peau. Si vous retirez le stylo de votre peau, vous risquez de ne pas avoir votre dose complète de médicament. Vous ne pourrez plus appuyer sur le bouton à moins que le stylo ne soit appuyé fermement contre la peau. 4. Maintenir appuyé jusqu'au second "clic" . Maintenez le stylo fermement vers le bas contre votre peau jusqu'à ce que vous entendiez un second "clic". Il faut généralement attendre 3 à 6 secondes, mais parfois il faudra attendre jusqu'à 15 secondes. . Le second "clic" indique que l'injection est terminée et que l'aiguille est rentrée dans le stylo. . Enlevez le stylo du site d'injection. Si vous avez des problèmes d'audition, comptez 15 secondes à partir du moment où vous appuyez la première fois sur le bouton, puis levez le stylo du site d'injection. * Si vous avez pris plus de ce médicament que vous n'auriez dû (Cf. Notice) Si vous avez utilisé ou si l'on vous a administré plus de ce médicament que vous n'auriez dû en recevoir (soit en injectant une dose trop importante en une fois, soit en faisant des injections trop fréquentes), veuillez informer immédiatement votre médecin ou votre pharmacien. Gardez toujours avec vous le carton d'emballage, même s'il est vide. * Si vous oubliez de prendre ce médicament (Cf. Notice) Si vous oubliez de prendre ce médicament à la date prévue, injectez la dose oubliée dès que vous vous en souvenez. Ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oubliée de prendre. À quel moment injecter la dose suivante : - Si vous avez moins de 2 semaines de retard, injectez la dose oubliée dès que vous vous en souvenez et poursuivez selon votre calendrier initial. - Si vous avez plus de 2 semaines de retard, injectez la dose oubliée dès que vous vous en souvenez et demandez conseil à votre médecin ou votre pharmacien pour savoir quand prendre la dose suivante. |
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Référence(s) officielle(s) |
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Terrain N° 1 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | TUBERCULOSE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | SEPTICEMIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | INFECTION
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | INSUFFISANCE CARDIAQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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L'association de golimumab et d'anakinra n'est pas recommandée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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L'association de golimumab et d'abatacept n'est pas recommandée. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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L'administration concomitante de ce médiacment avec ces biothérapies n'est pas recommandée en raison de l'augmentation possible du risque d'infections, et d'autres interactions pharmacologiques potentielles. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | VACCINATION
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Niveau(x) |
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Il est recommandé de ne pas administrer d'agents infectieux thérapeutiques de façon concomitante avec ce médicament. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | GROSSESSE |
Niveau(x) |
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L'utilisation de golimumab chez la femme enceinte n'est pas recommandée ; golimumab doit être donné à une femme enceinte uniquement en cas de réelle nécessité. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | ALLAITEMENT |
Niveau(x) |
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Les femmes ne doivent pas allaiter pendant au moins 6 mois après le traitement par golimumab. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | NOUVEAU-NE |
Niveau(x) |
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Golimumab 100 mg n'est pas recommandé chez les enfants âgés de moins de 18 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | NOURRISSON |
Niveau(x) |
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Golimumab 100 mg n'est pas recommandé chez les enfants âgés de moins de 18 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | ENFANT |
Niveau(x) |
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Golimumab 100 mg n'est pas recommandé chez les enfants âgés de moins de 18 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | ADULTE JEUNE (15-17 ANS)
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Niveau(x) |
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Golimumab 100 mg n'est pas recommandé chez les enfants âgés de moins de 18 ans. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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- Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients. - Tuberculose (TB) active ou autres infections sévères, telles que sepsis, et infections opportunistes (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). - Insuffisance cardiaque modérée ou sévère (de classe III/IV dans la classification NYHA) (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 |
Terrain N° 16 | INTOLERANCE GENETIQUE AU FRUCTOSE |
Niveau(x) |
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Ce médicament contient du sorbitol E 420 comme excipient. * Voie d'administration : Orale, parentérale - Seuil : Zéro - Information pour la notice Ce médicament contient x mg de sorbitol par <dose><volume unitaire> <équivalent à x mg/<poids><volume >>. - Commentaires L'effet additif des produits administrés concomitamment contenant du sorbitol (ou du fructose) et l'apport alimentaire de sorbitol (ou de fructose) doit être pris en compte. La teneur en sorbitol dans les médicaments à usage oral peut affecter la biodisponibilité d'autres médicaments à usage oral administrés de façon concomitante. * Voie d'administration : Intraveineuse (IV) - Seuil : Zéro - Information pour la notice Le sorbitol est une source de fructose. Si vous (ou votre enfant) présentez une intolérance héréditaire au fructose (IHF), une maladie génétique rare, vous (ou votre enfant) ne devez pas recevoir ce médicament. Les patients atteints d'IHF ne peuvent pas décomposer le fructose, et ne doivent pas recevoir ce médicament en raison de risque d'effets indésirables graves. Vous devez en informer votre médecin avant de recevoir ce médicament si vous (ou votre enfant) présentez une IHF ou si votre enfant ne peut plus prendre d'aliments ou de boissons sucrées du fait de nausées, de vomissements ou d'effets désagréables tels que des ballonnements, des crampes d'estomac ou la diarrhée. - Commentaires Les patients présentant une intolérance héréditaire au fructose (IHF) ne doivent pas recevoir ce médicament, sauf en cas de nécessité uniquement. Les bébés et les jeunes enfants (moins de 2 ans) peuvent ne pas avoir été diagnostiqués avec une intolérance héréditaire au fructose (IHF). Les médicaments (contenant du sorbitol/fructose) administrés par voie intraveineuse peuvent être mortels et doivent être contreindiqués dans cette population, sauf nécessité clinique impérieuse et en l'absence de solution alternative. L'historique détaillé des symptômes d'IHF doit être obtenu pour chaque patient avant de prescrire ce médicament. * Voie d'administration : Orale, parentérale (autre que IV) - Seuil : 5 mg/kg/jour - Information pour la notice Le sorbitol est une source de fructose. Si votre médecin vous a informé(e) que vous (ou votre enfant) présentiez une intolérance à certains sucres ou si vous avez été diagnostiqué(e) avec une intolérance héréditaire au fructose (IHF), un trouble génétique rare caractérisé par l'incapacité à décomposer le fructose, parlez-en à votre médecin avant que vous (ou votre enfant) ne preniez ou ne receviez ce médicament. - Commentaires Les patients présentant une intolérance héréditaire au fructose (IHF) ne doivent pas prendre/recevoir ce médicament. Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 17 | SYNDROME DE MALABSORPTION / INTOLERANCE DIGESTIVE
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Niveau(x) |
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Ce médicament contient du sorbitol E 420 comme excipient. * Voie d'administration : Orale, parentérale - Seuil : Zéro - Information pour la notice Ce médicament contient x mg de sorbitol par <dose><volume unitaire> <équivalent à x mg/<poids><volume >>. - Commentaires L'effet additif des produits administrés concomitamment contenant du sorbitol (ou du fructose) et l'apport alimentaire de sorbitol (ou de fructose) doit être pris en compte. La teneur en sorbitol dans les médicaments à usage oral peut affecter la biodisponibilité d'autres médicaments à usage oral administrés de façon concomitante. * Voie d'administration : Intraveineuse (IV) - Seuil : Zéro - Information pour la notice Le sorbitol est une source de fructose. Si vous (ou votre enfant) présentez une intolérance héréditaire au fructose (IHF), une maladie génétique rare, vous (ou votre enfant) ne devez pas recevoir ce médicament. Les patients atteints d'IHF ne peuvent pas décomposer le fructose, et ne doivent pas recevoir ce médicament en raison de risque d'effets indésirables graves. Vous devez en informer votre médecin avant de recevoir ce médicament si vous (ou votre enfant) présentez une IHF ou si votre enfant ne peut plus prendre d'aliments ou de boissons sucrées du fait de nausées, de vomissements ou d'effets désagréables tels que des ballonnements, des crampes d'estomac ou la diarrhée. - Commentaires Les patients présentant une intolérance héréditaire au fructose (IHF) ne doivent pas recevoir ce médicament, sauf en cas de nécessité uniquement. Les bébés et les jeunes enfants (moins de 2 ans) peuvent ne pas avoir été diagnostiqués avec une intolérance héréditaire au fructose (IHF). Les médicaments (contenant du sorbitol/fructose) administrés par voie intraveineuse peuvent être mortels et doivent être contreindiqués dans cette population, sauf nécessité clinique impérieuse et en l'absence de solution alternative. L'historique détaillé des symptômes d'IHF doit être obtenu pour chaque patient avant de prescrire ce médicament. * Voie d'administration : Orale, parentérale (autre que IV) - Seuil : 5 mg/kg/jour - Information pour la notice Le sorbitol est une source de fructose. Si votre médecin vous a informé(e) que vous (ou votre enfant) présentiez une intolérance à certains sucres ou si vous avez été diagnostiqué(e) avec une intolérance héréditaire au fructose (IHF), un trouble génétique rare caractérisé par l'incapacité à décomposer le fructose, parlez-en à votre médecin avant que vous (ou votre enfant) ne preniez ou ne receviez ce médicament. - Commentaires Les patients présentant une intolérance héréditaire au fructose (IHF) ne doivent pas prendre/recevoir ce médicament. Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 18 | HYPERSENSIBILITE
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Niveau(x) |
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Ce médicament contient du sorbitol E 420 comme excipient. * Voie d'administration : Orale, parentérale - Seuil : Zéro - Information pour la notice Ce médicament contient x mg de sorbitol par <dose><volume unitaire> <équivalent à x mg/<poids><volume >>. - Commentaires L'effet additif des produits administrés concomitamment contenant du sorbitol (ou du fructose) et l'apport alimentaire de sorbitol (ou de fructose) doit être pris en compte. La teneur en sorbitol dans les médicaments à usage oral peut affecter la biodisponibilité d'autres médicaments à usage oral administrés de façon concomitante. * Voie d'administration : Intraveineuse (IV) - Seuil : Zéro - Information pour la notice Le sorbitol est une source de fructose. Si vous (ou votre enfant) présentez une intolérance héréditaire au fructose (IHF), une maladie génétique rare, vous (ou votre enfant) ne devez pas recevoir ce médicament. Les patients atteints d'IHF ne peuvent pas décomposer le fructose, et ne doivent pas recevoir ce médicament en raison de risque d'effets indésirables graves. Vous devez en informer votre médecin avant de recevoir ce médicament si vous (ou votre enfant) présentez une IHF ou si votre enfant ne peut plus prendre d'aliments ou de boissons sucrées du fait de nausées, de vomissements ou d'effets désagréables tels que des ballonnements, des crampes d'estomac ou la diarrhée. - Commentaires Les patients présentant une intolérance héréditaire au fructose (IHF) ne doivent pas recevoir ce médicament, sauf en cas de nécessité uniquement. Les bébés et les jeunes enfants (moins de 2 ans) peuvent ne pas avoir été diagnostiqués avec une intolérance héréditaire au fructose (IHF). Les médicaments (contenant du sorbitol/fructose) administrés par voie intraveineuse peuvent être mortels et doivent être contreindiqués dans cette population, sauf nécessité clinique impérieuse et en l'absence de solution alternative. L'historique détaillé des symptômes d'IHF doit être obtenu pour chaque patient avant de prescrire ce médicament. * Voie d'administration : Orale, parentérale (autre que IV) - Seuil : 5 mg/kg/jour - Information pour la notice Le sorbitol est une source de fructose. Si votre médecin vous a informé(e) que vous (ou votre enfant) présentiez une intolérance à certains sucres ou si vous avez été diagnostiqué(e) avec une intolérance héréditaire au fructose (IHF), un trouble génétique rare caractérisé par l'incapacité à décomposer le fructose, parlez-en à votre médecin avant que vous (ou votre enfant) ne preniez ou ne receviez ce médicament. - Commentaires Les patients présentant une intolérance héréditaire au fructose (IHF) ne doivent pas prendre/recevoir ce médicament. Réf. : ansm/EMA liste EEN 06/02/2020 |
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CIM 10 |
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Terrain N° 1 | QUEL QUE SOIT LE TERRAIN |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 2 | INFECTION
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 3 | PATIENT A RISQUE/FRAGILISE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 4 | TUBERCULOSE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 5 | VOYAGEUR
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Niveau(x) |
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Pour les patients ayant séjourné ou voyagé dans des régions endémiques pour les infections fongiques invasives telles que histoplasmose, coccidioïdomycose ou blastomycose, le rapport bénéfice/risque du traitement par golimumab doit être soigneusement pris en compte avant l'initiation du traitement. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 6 | TOUX |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 7 | AMAIGRISSEMENT |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 8 | FIEVRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 9 | HEPATITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 10 | HEPATITE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 11 | TUMEUR
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 12 | AFFECTION MALIGNE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 13 | AUTRE TRAITEMENT EN COURS
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 14 | RECTOCOLITE HEMORRAGIQUE |
Niveau(x) |
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Tous les patients atteints de rectocolite hémorragique ayant un risque accru de développer une dysplasie ou un carcinome colique (par exemple, les patients avec une rectocolite hémorragique de longue date), ou ayant des antécédents de dysplasie ou de carcinome colique doivent être dépistés régulièrement pour dysplasie avant la mise sous traitement et au cours de l'évolution de leur maladie. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 15 | CHOLECYSTITE-ANGIOCHOLITE |
Niveau(x) |
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Tous les patients atteints de rectocolite hémorragique ayant un risque accru de développer une dysplasie ou un carcinome colique (par exemple, les patients avec une cholangite sclérosante primitive), ou ayant des antécédents de dysplasie ou de carcinome colique doivent être dépistés régulièrement pour dysplasie avant la mise sous traitement et au cours de l'évolution de leur maladie. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 16 | BRONCHOPNEUMOPATHIE CHRONIQUE OBSTRUCT |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 17 | TABAGISME |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 18 | INSUFFISANCE CARDIAQUE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 19 | MALADIE DEMYELINISANTE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 20 | SCLEROSE EN PLAQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 21 | INTERVENTION CHIRURGICALE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 22 | LUPUS |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 23 | IMMUNISATION
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 24 | PANCYTOPENIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 25 | LEUCOPENIE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 26 | NEUTROPENIE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 27 | THROMBOPENIE
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Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 28 | CYTOPENIE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 29 | AGRANULOCYTOSE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 30 | APLASIE MEDULLAIRE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 31 | ECCHYMOSES |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 32 | TROUBLE DE L'HEMOSTASE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 33 | PALEUR |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 34 | CHOC ANAPHYLACTIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 35 | SUJET AGE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 36 | INSUFFISANCE HEPATIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 37 | ATTEINTE HEPATIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 38 | INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE |
Niveau(x) |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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Terrain N° 39 | FEMME EN AGE DE PROCREER |
Niveau(x) |
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Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception appropriée afin de prévenir toute grossesse et poursuivre son utilisation pendant au moins 6 mois après le dernier traitement par golimumab. |
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Référence(s) officielle(s) |
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CIM 10 |
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* Traçabilité Afin d'améliorer la traçabilité des médicaments biologiques, le nom et le numéro de lot du produit administré doivent être clairement enregistrés. * Infections Les patients doivent faire l'objet d'une surveillance attentive au regard des infections y compris la tuberculose avant, pendant et après le traitement par golimumab. L'élimination du golimumab pouvant prendre jusqu'à 5 mois, la surveillance doit être maintenue pendant toute cette période. Le traitement par golimumab ne doit pas être ré-administré si le patient développe une infection grave ou un sepsis (Cf. rubrique "Contre-indications"). Ce médicament ne doit pas être administré à des patients atteints d'une infection active cliniquement importante. Des précautions doivent être prises lorsque l'utilisation de golimumab est envisagée chez des patients présentant une infection chronique ou des antécédents d'infection récurrente. Les patients doivent être avertis du risque infectieux et éviter l'exposition à tout facteur de risque potentiel d'infection. Les patients traités par anti-TNF présentent un risque plus important de développer une infection grave. Des infections bactériennes (notamment sepsis et pneumonie), mycobactériennes (notamment TB), fongiques invasives ou opportunistes, dont certaines d'évolution fatale, ont été rapportées chez des patients traités par golimumab. Certaines de ces infections graves ont été observées chez des patients sous traitement immunosuppresseur concomitant, ce qui, en plus de leur maladie sous-jacente, pourrait les prédisposer aux infections. Les patients qui développent une nouvelle infection au cours d'un traitement par golimumab doivent être étroitement surveillés et bénéficier d'une évaluation diagnostique complète. L'administration de golimumab doit être arrêtée si un patient développe une nouvelle infection grave ou un sepsis, et un traitement antimicrobien ou antifongique approprié doit être initié jusqu'à ce que l'infection soit contrôlée. Pour les patients ayant séjourné ou voyagé dans des régions endémiques pour les infections fongiques invasives telles que histoplasmose, coccidioïdomycose ou blastomycose, le rapport bénéfice/risque du traitement par golimumab doit être soigneusement pris en compte avant l'initiation du traitement. Chez les patients à risque traités par golimumab, une infection fongique invasive doit être suspectée s'ils développent une maladie systémique grave. Le diagnostic et la mise en place d'un traitement antifongique empirique chez ces patients doivent être effectués en accord avec un médecin ayant l'expérience de la prise en charge des patients atteints d'infections fongiques invasives, si possible. * Tuberculose Des cas de tuberculose ont été rapportés chez des patients traités par ce médicament. On a pu constater que dans la majorité des cas, la tuberculose était de type extrapulmonaire, localisée ou disséminée. Avant l'instauration du traitement par ce médicament, tous les patients doivent faire l'objet d'une recherche de tuberculose active ou inactive ("latente"). Cette recherche doit comprendre un entretien médical détaillé précisant les antécédents personnels de tuberculose ou d'éventuels contacts antérieurs avec un patient atteint de tuberculose et les traitements immunosuppresseurs anciens et/ou en cours. Des tests appropriés, tels que l'intradermo-réaction ou l'analyse de sang et une radiographie thoracique, doivent être réalisés chez tous les patients (conformément aux recommandations locales). Il est recommandé de consigner les dates de ces examens sur la carte de signalement patient. Il est rappelé aux prescripteurs qu'une intradermo-réaction peut s'avérer faussement négative, surtout chez les patients gravement malades ou immunodéprimés. Si une tuberculose active est diagnostiquée, le traitement par ce médicament ne doit pas être initié (Cf. rubrique "Contre-indications"). En cas de suspicion de tuberculose latente, il est conseillé de consulter un médecin spécialisé dans le traitement de la tuberculose. Dans tous les cas décrits ci-dessous, le rapport bénéfice/risque du traitement par ce médicament doit être soigneusement pris en compte. Si une tuberculose inactive ("latente") est diagnostiquée, un traitement antituberculeux adapté à une tuberculose latente doit être démarré avant d'instaurer un traitement par ce médicament et ce, conformément aux recommandations locales. Chez les patients présentant des facteurs de risque multiples ou significatifs de tuberculose, et présentant un résultat négatif au test de dépistage d'une tuberculose latente, un traitement antituberculeux doit être envisagé avant d'initier un traitement par ce médicament. La prise d'un traitement antituberculeux doit également être envisagée avant d'instaurer un traitement par ce médicament chez des patients présentant des antécédents de tuberculose latente ou active pour qui le bon déroulement du traitement ne peut pas être confirmé. Des cas de tuberculose active ont été rapporté chez des patients traités par golimumab pendant et après le traitement de la tuberculose latente. Les patients traités par golimumab doivent être surveillés étroitement pour déceler des signes et des symptômes de tuberculose active, y compris les patients présentants un résultat négatif au test de dépistage d'une tuberculose latente, les patients qui suivent un traitement pour une tuberculose latente, ou les patients ayant été précédemment traités pour une infection tuberculeuse. Tous les patients doivent être informés de la nécessité de consulter un médecin si des signes/symptômes évoquant une tuberculose (par exemple, toux persistante, amaigrissement/perte de poids, fébricule) apparaissent pendant ou après le traitement par golimumab. * Réactivation du virus de l'hépatite B Une réactivation de l'hépatite B est survenue chez des patients porteurs chroniques de ce virus (c'est-à-dire, positifs pour l'antigène de surface) qui ont reçu un anti-TNF, y compris golimumab. Pour certains de ces cas, l'évolution a été fatale. La recherche d'une infection par VHB doit être effectuée avant d'initier un traitement par golimumab. Pour les patients dont le test d'infection au VHB est positif, il est recommandé de consulter un médecin spécialisé dans le traitement de l'hépatite B. Il faut surveiller étroitement les patients porteurs de VHB nécessitant un traitement par golimumab pour déceler les signes ou symptômes révélateurs d'une infection active de VHB tout au long du traitement par ce médicament et plusieurs mois après la fin de celui-ci. Aucune donnée pertinente pour traiter les patients porteurs de VHB par un traitement antiviral conjointement avec un anti-TNF n'est disponible afin de prévenir une réactivation du VHB. Chez les patients qui développent une réactivation du VHB, le traitement par ce médicament doit être interrompu et un traitement antiviral efficace avec un traitement complémentaire approprié, doit être instauré. * Tumeurs malignes et troubles lymphoprolifératifs Le rôle potentiel d'un traitement anti-TNF dans le développement des tumeurs malignes est inconnu. Au vu des connaissances actuelles, on ne peut exclure le risque de développer des lymphomes, une leucémie ou d'autres tumeurs malignes chez des patients traités par anti-TNF. Des précautions doivent être prises lors de l'utilisation d'un traitement par anti-TNF chez des patients présentant des antécédents de tumeur maligne ou lors de la poursuite du traitement chez des patients qui développent une tumeur maligne. - Tumeur maligne pédiatrique Des tumeurs malignes, dont certaines d'évolution fatale, ont été rapportées après la commercialisation chez des enfants, des adolescents et des jeunes adultes (jusqu'à 22 ans) traités par des agents anti-TNF (initiation du traitement < ou = 18 ans). Environ la moitié des cas étaient des lymphomes. Les autres cas correspondaient à d'autres types de tumeurs malignes, incluant des tumeurs malignes rares habituellement associées à une immunosuppression. Le risque de développer des tumeurs malignes chez les enfants et les adolescents traités par anti-TNF ne peut être exclu. - Lymphome et leucémie Dans les phases contrôlées des études cliniques menées avec tous les anti-TNF, y compris golimumab, le nombre de cas de lymphomes observés était plus important chez les patients recevant un traitement anti-TNF que chez les patients du groupe contrôle. Au cours des études cliniques de golimumab de phase IIb et de phase III dans la PR, le RP et la SA, l'incidence des lymphomes chez les patients traités par golimumab était plus élevée que celle attendue dans la population générale. Des cas de leucémie ont été rapportés chez des patients traités par golimumab. Il existe un risque accru de développer un lymphome ou une leucémie chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde de longue date, hautement active et inflammatoire, ce qui complique l'évaluation du risque. Depuis la commercialisation de golimumab, de rares cas de lymphomes T hépatospléniques ont été rapportés chez des patients traités par d'autres anti-TNF (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Ce type de lymphome T, de survenue rare, se caractérise par une évolution très agressive et une issue habituellement fatale. La majorité des cas sont survenus chez des adolescents et de jeunes adultes de sexe masculin qui recevaient presque tous un traitement concomitant par l'azathioprine (AZA) ou par la 6-mercaptopurine (6–MP) pour une maladie inflammatoire de l'intestin. Le risque potentiel de l'association de l'AZA ou 6-MP et de golimumab doit être soigneusement évalué. Le risque de développer un lymphome T hépatosplénique chez les patients traités par des anti-TNF ne peut pas être exclu. - Tumeurs malignes autres que le lymphome Dans les phases contrôlées des études cliniques de golimumab de phase IIb et de phase III dans le traitement de la PR, du RP, de la SA et de la RCH, l'incidence des tumeurs malignes autres que le lymphome (excepté les cancers de la peau autres que le mélanome) était comparable dans le groupe golimumab et le groupe contrôle. - Dysplasie/carcinome colique L'influence du traitement par golimumab sur le risque de développement d'une dysplasie ou d'un cancer du côlon n'est pas connue. Tous les patients atteints de rectocolite hémorragique ayant un risque accru de développer une dysplasie ou un carcinome colique (par exemple, les patients avec une rectocolite hémorragique de longue date ou une cholangite sclérosante primitive), ou ayant des antécédents de dysplasie ou de carcinome colique doivent être dépistés régulièrement pour dysplasie avant la mise sous traitement et au cours de l'évolution de leur maladie. Cette évaluation doit comprendre une coloscopie et des biopsies conformément aux recommandations locales. Chez les patients traités par Simponi avec une dysplasie récemment diagnostiquée, les risques et bénéfices doivent être soigneusement évalués pour chaque patient afin d'envisager individuellement l'arrêt ou la poursuite du traitement. Lors d'une étude clinique exploratoire évaluant l'utilisation de golimumab chez des patients atteints d'asthme sévère persistant, plus de tumeurs malignes ont été rapportées chez les patients traités par golimumab que chez les patients du groupe contrôle (Cf. rubrique "Effets indésirables"). La signification de ce résultat est inconnue. Lors d'une étude clinique exploratoire évaluant l'utilisation d'un autre agent anti-TNF, l'infliximab, chez des patients atteints de broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) modérée à sévère, plus de tumeurs malignes ont été observées, principalement dans les poumons ou la tête et le cou, chez les patients traités par infliximab que chez les patients du groupe contrôle. Tous les patients avaient des antécédents de tabagisme important. Ainsi, des précautions doivent être prises lors de l'utilisation d'un traitement anti-TNF chez des patients atteints de BPCO ainsi que chez des patients présentant un risque accru de tumeur du fait d'un tabagisme important. - Cancers cutanés Des mélanomes et des carcinomes à cellules de Merkel ont été rapportés chez des patients traités par des agents anti-TNF, dont golimumab (Cf. rubrique "Effets indésirables"). Des examens périodiques de la peau sont recommandés, en particulier chez les patients qui ont des facteurs de risque de cancer cutané. * Insuffisance cardiaque congestive (ICC) Des cas d'aggravation d'insuffisance cardiaque congestive (ICC) et de nouvelle survenue d'ICC ont été rapportés avec les anti-TNF, y compris golimumab. Pour certains de ces cas, l'évolution a été fatale. Lors d'une étude clinique sur un autre anti-TNF, une aggravation de l'insuffisance cardiaque congestive et une augmentation de la mortalité due à l'ICC ont été observées. Golimumab n'a pas été étudié chez des patients atteints d'ICC. Golimumab doit être utilisé avec précaution chez les patients atteints d'insuffisance cardiaque légère (classe I/II de la NYHA). Les patients doivent être étroitement surveillés et golimumab doit être interrompu chez les patients qui développent de nouveaux symptômes ou une aggravation de leur insuffisance cardiaque (Cf. rubrique "Contre-indications"). * Atteintes neurologiques L'utilisation d'anti-TNF, y compris golimumab, a été associée à des cas d'exacerbation ou d'apparition de nouveaux symptômes cliniques et/ou de signes radiographiques de troubles démyélinisants du système nerveux central, y compris la sclérose en plaques et les troubles démyélinisants périphériques. Chez les patients atteints de troubles démyélinisants pré-existants ou récents, le rapport bénéfice/risque d'un traitement anti-TNF doit être pris en compte avant d'initier un traitement par ce médicament. L'arrêt de golimumab devra être envisagé si ces troubles se produisent (Cf. rubrique "Effets indésirables"). * Chirurgie Il n'existe que peu de données de tolérance d'un traitement par ce médicament chez des patients qui ont subi une intervention chirurgicale, y compris une arthroplastie. Il faut tenir compte de la longue demi-vie de golimumab si une intervention chirurgicale est prévue. Un patient dont l'état requiert une intervention chirurgicale au cours d'un traitement par ce médicament doit être étroitement surveillé afin de détecter toute infection, et les mesures appropriées doivent être prises. * Immunosuppression Il est possible que les anti-TNF, y compris ce médicament, affectent les défenses immunitaires du patient à l'encontre des infections et des tumeurs malignes d'autant que le TNF est un médiateur de l'inflammation et qu'il module la réponse immunitaire cellulaire. * Réactions auto-immunes La déficience relative en TNF-alpha due au traitement anti-TNF peut déclencher une réaction auto-immune. Si un patient développe des symptômes évocateurs d'un syndrome type lupus à la suite d'un traitement par golimumab et qu'il présente des anticorps anti-ADN double brin, le traitement par ce médicament doit alors être interrompu (Cf. rubrique "Effets indésirables"). * Réactions hématologiques Des cas de pancytopénie, leucopénie, neutropénie, agranulocytose, anémie aplasique et thrombocytopénie ont été rapportés chez des patients traités par anti-TNF, y compris golimumab. Il doit être conseillé à tous les patients de demander immédiatement un avis médical s'ils présentent des signes ou des symptômes suggérant des troubles sanguins (tels que fièvre persistante, ecchymoses, saignements, pâleur). L'arrêt de golimumab devra être envisagé pour les patients chez qui des anomalies hématologiques significatives seront confirmées. * Administration concomitante d'anti-TNF et d'anakinra Des infections graves et une neutropénie ont été observées dans des études cliniques lors de l'administration simultanée d'anakinra et d'un autre anti-TNF, l'étanercept, sans bénéfice clinique supplémentaire. En raison de la nature des effets indésirables observés avec cette combinaison thérapeutique, des effets néfastes similaires peuvent également résulter de l'association d'anakinra et d'autres anti-TNF. L'association de golimumab et d'anakinra n'est pas recommandée. * Administration concomitante d'anti-TNF et d'abatacept Dans des études cliniques, l'administration concomitante d'anti-TNF et d'abatacept a été associée à une augmentation du risque d'infections y compris d'infections sévères comparativement aux anti- TNF utilisés seuls, sans augmentation du bénéfice clinique. L'association de golimumab et d'abatacept n'est pas recommandée. * Administration concomitante avec d'autres biothérapies Les informations sont insuffisantes concernant l'utilisation concomitante de golimumab avec d'autres biothérapies utilisées pour traiter les mêmes affections que golimumab. L'administration concomitante de golimumab avec ces biothérapies n'est pas recommandée en raison de l'augmentation possible du risque d'infections, et d'autres interactions pharmacologiques potentielles. * Changement de traitements de fonds (DMARD) biologiques Des précautions doivent être prises lors du changement d'un agent biologique par un autre, et les patients doivent rester sous surveillance puisque le risque d'effets indésirables dont les infections, peut être augmenté.. * Vaccination / Agents infectieux thérapeutiques Les patients traités par golimumab pourront être vaccinés de manière concomitante, sauf en cas de vaccins vivants (Cf. rubriques "Interactions" et "Grossesse et allaitement"). Chez les patients recevant un traitement par anti-TNF, des données limitées sont disponibles sur la réponse à la vaccination avec des vaccins vivants ou sur la transmission secondaire de l'infection par des vaccins vivants. L'utilisation de vaccins vivants peut entraîner des infections cliniques, y compris des infections disséminées. D'autres utilisations d'agents infectieux thérapeutiques tels que des bactéries vivantes atténuées (par exemple, l'instillation vésicale de BCG pour le traitement d'un cancer) pourraient entraîner des infections cliniques, y compris des infections disséminées. Il est recommandé de ne pas administrer d'agents infectieux thérapeutiques de façon concomitante avec golimumab. * Réactions allergiques Depuis la commercialisation, des réactions graves d'hypersensibilité systémique (y compris réaction anaphylactique) ont été rapportées suite à l'administration de ce médicament. Certaines de ces réactions sont survenues après la première administration de golimumab. Si une réaction anaphylactique ou d'autres réactions allergiques graves surviennent, l'administration de golimumab doit être interrompue immédiatement et un traitement adapté doit être initié. * Hypersensibilité au latex Le protège aiguille du stylo prérempli ou de la seringue préremplie est fabriqué à partir de caoutchouc naturel contenant du latex, ce qui peut provoquer des réactions allergiques chez des personnes allergiques au latex. * Populations spéciales - Sujets âgés (> ou = 65 ans) Au cours des études de phase III dans le traitement de la PR, du RP, de la SA et de la RCH, aucune différence globale n'a été observée concernant les effets indésirables (EI), les effets indésirables graves (EIG) et les infections graves chez des sujets âgés de 65 ans ou plus traités par ce médicament par rapport aux patients plus jeunes. Toutefois, des précautions et une attention particulière à l'égard de la survenue d'infections doivent être prises lors du traitement des sujets âgés. Il n'y avait pas de patients âgés de 45 ans et plus dans l'étude SpA axiale NR. - Insuffisance rénale et hépatique Aucune étude spécifique de ce médicament n'a été menée sur des patients atteints d'insuffisance rénale ou hépatique. Ce médicament doit être utilisé avec précaution chez des sujets atteints de troubles de la fonction hépatique (Cf. rubrique "Posologie"). * Population pédiatrique - Vaccinations Si possible, il est recommandé qu'avant d'initier un traitement par golimumab, les enfants aient leurs vaccinations à jour conformément au calendrier de vaccination en vigueur (Cf. "Vaccination / Agents infectieux thérapeutiques" ci-dessus). * Excipients Simponi contient du sorbitol (E420). Chez les patients souffrant de pathologies héréditaires rares d'intolérance au fructose, l'effet additif d'une administration concomitante de produits contenant du sorbitol (ou du fructose) et de l'apport alimentaire en sorbitol (ou fructose) doit être pris en compte (Cf. rubrique "Composition"). * Risque potentiel d'erreurs médicamenteuses Golimumab est enregistré aux dosages de 50 mg et de 100mg pour une administration sous-cutanée. Il est important que le bon dosage soit utilisé afin d'administrer la dose correcte, comme indiqué dans la rubrique posologie (Cf. rubrique "Posologie"). Des précautions doivent être prises pour administrer le bon dosage afin de s'assurer que les patients ne sont pas sous-dosés ou surdosés. |
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Référence(s) officielle(s) | Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 |
Aucune étude d'interaction n'a été réalisée. * L'administration concomitante avec d'autres biothérapies L'association de golimumab avec d'autres biothérapies utilisées pour traiter les même affections que golimumab, dont l'anakinra et l'abatacept n'est pas recommandée (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). * Vaccins vivants / autres agents infectieux thérapeutiques Les vaccins vivants ne doivent pas être administrés de façon concomitante avec golimumab (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Grossesse et allaitement"). Les agents infectieux thérapeutiques ne doivent pas être administrés de façon concomitante avec golimumab (Cf. rubrique "Mises en garde et précautions d'emploi"). * Méthotrexate Bien que l'administration concomitante de MTX permette d'obtenir des concentrations résiduelles stabilisées supérieures de golimumab chez les patients atteints de PR, RP ou de SA, les données ne suggèrent pas la nécessité d'ajuster ni la dose de golimumab, ni celle du MTX (Cf. rubrique "Propriétés pharmacocinétiques"). |
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Référence(s) officielle(s):  Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 |
Effet spécialité |
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Niveau(x) de risque |
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Il n'existe pas de données suffisamment pertinentes concernant l'utilisation de golimumab chez la femme enceinte. En raison de l'inhibition du TNF, golimumab administré pendant la grossesse pourrait affecter les réponses immunitaires normales du nouveau-né. Des études réalisées sur l'animal n'indiquent pas d'effets délétères directs ou indirects sur la gestation, le développement embryonnaire ou foetal, l'accouchement ou le développement post-natal (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). L'utilisation de golimumab chez la femme enceinte n'est pas recommandée ; golimumab doit être donné à une femme enceinte uniquement en cas de réelle nécessité. Golimumab traverse la barrière placentaire. Des anticorps ont été détectés jusqu'à 6 mois dans le sérum de nourrissons dont la mère avait été traitée par un anticorps monoclonal anti-TNF au cours de la grossesse. Par conséquent, ces nourrissons peuvent présenter un risque accru d'infections. Il n'est pas recommandé d'administrer de vaccins vivants aux nourrissons exposés in utero au golimumab dans les 6 mois suivant la dernière injection de golimumab à la mère au cours de la grossesse (Cf. rubriques "Mises en garde et précautions d'emploi" et "Interactions"). |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 |
Recommandations |
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- Fécondité Aucune étude de fécondité chez l'animal n'a été réalisée avec golimumab. Une étude de fécondité chez la souris, utilisant un anticorps analogue qui inhibe sélectivement l'activité fonctionnelle du TNF alpha de la souris, n'a montré aucun effet pertinent sur la reproduction (Cf. rubrique "Sécurité préclinique"). - Femmes en âge de procréer Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception appropriée afin de prévenir toute grossesse et poursuivre son utilisation pendant au moins 6 mois après le dernier traitement par golimumab. |
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Référence(s) officielle(s) : | Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 |
Passage dans le lait | Pas d'information |
Fixation protéique | Pas d'information |
Rapport concentration lait/plasma maternels | Pas d'information |
Concentration dans 100 ml de lait maternel | Pas d'information |
Recommandations |
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On ignore si golimumab est excrété dans le lait maternel ou absorbé systématiquement après ingestion. Il a été montré que golimumab passait dans le lait maternel des singes et, comme de nombreuses immunoglobulines humaines sont excrétées dans le lait maternel, les femmes ne doivent pas allaiter pendant au moins 6 mois après le traitement par golimumab. |
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Référence(s) officielle(s): | Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 |
Recommandations |
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Golimumab a une influence mineure sur l'aptitude à faire du vélo, à conduire des véhicules et à utiliser des machines. Des vertiges peuvent toutefois survenir après l'administration de de ce médicament (Cf. rubrique "Effets indésirables"). |
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Référence(s) officielle(s): Rectificatif AMM européenne 22/03/2021 |
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
Site internet: www.ansm.sante.fr.
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