EVIPLERA 200/25/245MG CPR
EVIPLERA 200 MG/25 MG/245 MG, COMPRIME PELLICULE
Fiche(s) d'identité interopérable
Historique des références officielles
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Cette monographie a été revue le : 16/02/2024
Mises en garde et précautions d'emploi
- Résumé des Caractéristiques du Produit (RCP)
Terrain N° 1 INFECTION VIH
  • INFECTION VIH SOUCHE MUTEE
Niveau(x)
  • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
  • UTILISATION A EVITER
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
CIM 10
  • Maladies dues au virus de l'immunodéficience humaine [VIH] B20-B24
  • Infection asymptomatique par le virus de l'immunodéficience humaine [VIH] Z21

Terrain N° 2 AUTRE TRAITEMENT EN COURS
  • TRT PAR MED PROVOQUANT TORSADES POINTE
  • TRT PAR ABACAVIR
  • TRT PAR MEDICAMENT NEPHROTOXIQUE
  • TRT PAR AMINOSIDE
  • TRT PAR AMPHOTERICINE B
  • TRT PAR FOSCARNET
  • TRT PAR GANCICLOVIR
  • TRT PAR PENTAMIDINE
  • TRT PAR VANCOMYCINE
  • TRT PAR CIDOFOVIR
  • TRT PAR INTERLEUKINE 2
  • TRT PAR MED CONTENANT DE L'ALCOOL
  • TRT PAR INTERFERON ALFA
  • TRT PAR RIBAVIRINE
  • TRT PAR AINS
Niveau(x)
  • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
  • Cf. INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
CIM 10
  • Non concerné .

Terrain N° 3 INTERACTION D'ORIGINE ALIMENTAIRE
  • INGESTION D'ALCOOL
Niveau(x)
  • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
  • UTILISER AVEC PRUDENCE
  • RISQUE D'ATTEINTE HEPATIQUE
  • Cf. INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES
Référence(s) officielle(s)
  • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
CIM 10
  • Non concerné .

Terrain N° 4 OSTEOPOROSE
    Niveau(x)
    • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
    • SURVEILLANCE CLINIQUE
    • SURVEILLANCE METABOLISME OSSEUX
    • SURVEILLANCE DE LA DENSITE OSSEUSE
    • RISQUE DE FRACTURE
    • METTRE EN BALANCE BENEFICES ET RISQUES
    • PREFERER UNE AUTRE THERAPEUTIQUE
    Référence(s) officielle(s)
    • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
    CIM 10
    • Ostéoporose avec fracture pathologique M80
    • Ostéoporose sans fracture pathologique M81

    Terrain N° 5 OSTEOMALACIE
      Niveau(x)
      • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
      • SURVEILLANCE CLINIQUE
      • SURVEILLANCE METABOLISME OSSEUX
      • SURVEILLANCE DE LA DENSITE OSSEUSE
      • RISQUE DE FRACTURE
      • METTRE EN BALANCE BENEFICES ET RISQUES
      • PREFERER UNE AUTRE THERAPEUTIQUE
      Référence(s) officielle(s)
      • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
      CIM 10
      • Ostéomalacie de l'adulte M83

      Terrain N° 6 ALCOOLISME CHRONIQUE
        Niveau(x)
        • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
        • RISQUE D'OSTEONECROSE
        Référence(s) officielle(s)
        • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
        CIM 10
        • Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool F10

        Terrain N° 7 HEPATITE
        • HEPATITE C CHRONIQUE
        • HEPATITE B CHRONIQUE ACTIVE
        • HEPATITE CHRONIQUE ACTIVE
        Niveau(x)
        • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
        • RISQUE D'ACIDOSE LACTIQUE
        • UTILISER AVEC PRUDENCE
        • SURVEILLANCE HEPATIQUE
        • SURVEILLANCE CLINIQUE
        • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
        • Cf. CONTRE INDICATIONS
        Référence(s) officielle(s)
        • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
        CIM 10
        • Hépatite virale B15-B19
        • Maladie alcoolique du foie K70
        • Maladie toxique du foie K71
        • Hépatite chronique, non classée ailleurs K73
        • Atteintes hépatiques au cours de maladies infectieuses et parasitaires classées ailleurs K770
        • Hépatite chronique active, non classée ailleurs K732
        • Hépatite virale chronique B avec agent delta B180
        • Hépatite virale chronique B sans agent delta B181
        • Hépatite virale chronique C B182

        Terrain N° 8 INFECTION VIRALE
        • HEPATITE B CHRONIQUE ACTIVE
        • HEPATITE C CHRONIQUE
        Niveau(x)
        • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
        • RISQUE D'ACIDOSE LACTIQUE
        • UTILISER AVEC PRUDENCE
        • SURVEILLANCE HEPATIQUE
        • SURVEILLANCE CLINIQUE
        • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
        Référence(s) officielle(s)
        • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
        CIM 10
        • Infections virales caractérisées par des lésions cutanéomuqueuses B00-B09
        • Hépatite virale B15-B19
        • Maladies dues au virus de l'immunodéficience humaine [VIH] B20-B24
        • Autres maladies virales B25-B34
        • Virus, cause de maladies classées dans d'autres chapitres B97
        • Hépatite virale chronique B avec agent delta B180
        • Hépatite virale chronique B sans agent delta B181
        • Hépatite virale chronique C B182

        Terrain N° 9 ATTEINTE HEPATIQUE
        • ATTEINTE HEPATIQUE LEGERE
        • ATTEINTE HEPATIQUE MODEREE
        Niveau(x)
        • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
        • RISQUE D'ACIDOSE LACTIQUE
        Référence(s) officielle(s)
        • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
        CIM 10
        • Maladies du foie K70-K77

        Terrain N° 10 INSUFFISANCE HEPATIQUE
        • INSUFFISANCE HEPATIQUE LEGERE MALADIE
        • INSUFFISANCE HEPATIQUE MODEREE MALADIE
        Niveau(x)
        • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
        • RISQUE D'ACIDOSE LACTIQUE
        Référence(s) officielle(s)
        • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
        CIM 10
        • Insuffisance hépatique, non classée ailleurs K72

        Terrain N° 11 ACIDOSE
        • ACIDOSE LACTIQUE
        • ACIDOSE METABOLIQUE
        Niveau(x)
        • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
        • SUSPENDRE LE TRAITEMENT
        • SURVEILLANCE CLINIQUE
        • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
        Référence(s) officielle(s)
        • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
        CIM 10
        • Acidose E872

        Terrain N° 12 FEMME
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE D'ACIDOSE LACTIQUE
          • UTILISER AVEC PRUDENCE
          • SURVEILLANCE HEPATIQUE
          • SURVEILLANCE CLINIQUE
          • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
          Référence(s) officielle(s)
          • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
          CIM 10
          • Non concerné .

          Terrain N° 13 OBESITE
          • INDICE DE MASSE CORPORELLE ELEVE (> 30)
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE D'ACIDOSE LACTIQUE
          • UTILISER AVEC PRUDENCE
          • SURVEILLANCE HEPATIQUE
          • SURVEILLANCE CLINIQUE
          • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
          • RISQUE D'OSTEONECROSE
          Référence(s) officielle(s)
          • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
          CIM 10
          • Obésité et surpoids E66
          • Non concerné .

          Terrain N° 14 HEPATOMEGALIE
          • HEPATOMEGALIE EVOLUTIVE
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE D'ACIDOSE LACTIQUE
          • UTILISER AVEC PRUDENCE
          • ARRETER LE TRAITEMENT
          Référence(s) officielle(s)
          • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
          CIM 10
          • Hépatomégalie, non classée ailleurs R160

          Terrain N° 15 HEPATOMEGALIE
          • HEPATOMEGALIE NON EVOLUTIVE
          Niveau(x)
          • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
          • RISQUE D'ACIDOSE LACTIQUE
          • UTILISER AVEC PRUDENCE
          • SURVEILLANCE HEPATIQUE
          • SURVEILLANCE CLINIQUE
          • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
          Référence(s) officielle(s)
          • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
          CIM 10
          • Hépatomégalie, non classée ailleurs R160

          Terrain N° 16 ATTEINTE CUTANEE
            Niveau(x)
            • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
            • SUSPENDRE LE TRAITEMENT
            Référence(s) officielle(s)
            • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
            CIM 10
            • Affections de la peau et du tissu cellulaire souscutané liées à une irradiation L55-L59

            Terrain N° 17 DYSLIPIDEMIE / ANOMALIE METAB LIPIDE
              Niveau(x)
              • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
              • SURVEILLANCE BILAN LIPIDIQUE
              • SURVEILLANCE BILAN GLUCIDIQUE
              • SURVEILLANCE CLINIQUE
              • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
              Référence(s) officielle(s)
              • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
              CIM 10
              • Anomalies du métabolisme des lipoprotéines et autres lipidémies E78

              Terrain N° 18 HYPERLIPIDEMIE
                Niveau(x)
                • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                • SURVEILLANCE BILAN LIPIDIQUE
                • SURVEILLANCE BILAN GLUCIDIQUE
                • SURVEILLANCE CLINIQUE
                • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
                Référence(s) officielle(s)
                • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
                CIM 10
                • Anomalies du métabolisme des lipoprotéines et autres lipidémies E78

                Terrain N° 19 DEFICIT IMMUNITAIRE
                • DEFICIT IMMUNITAIRE SEVERE
                Niveau(x)
                • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                • RISQUE DE REACTION INFLAMMATOIRE
                • RISQUE D'INFECTION OPPORTUNISTE
                • RISQUE D'AGGRAVATION DES SYMPTOMES
                • METTRE EN BALANCE BENEFICES ET RISQUES
                • FAIRE TRAITEMENT ADAPTE
                • RISQUE D'OSTEONECROSE
                Référence(s) officielle(s)
                • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
                CIM 10
                • Certaines anomalies du système immunitaire D80-D89

                Terrain N° 20 SUJET AGE
                • SUJET AGE DE PLUS DE 65 ANS
                Niveau(x)
                • MISE EN GARDE (SPECIALE)
                • PAS DE DONNEES POUR CE TERRAIN
                • UTILISER AVEC PRUDENCE
                • Cf. POSOLOGIE
                Référence(s) officielle(s)
                • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
                CIM 10
                • Non concerné .

                Terrain N° 21 FEMME EN AGE DE PROCREER
                  Niveau(x)
                  • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                  • UTILISER UNE CONTRACEPTION EFFICACE
                  • Cf. GROSSESSE ET ALLAITEMENT
                  • Cf. INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES
                  L'utilisation de ce médicament doit s'accompagner d'une méthode de contraception efficace.
                  Référence(s) officielle(s)
                  • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
                  CIM 10
                  • Non concerné .

                  Terrain N° 22 GROSSESSE
                    Niveau(x)
                    • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                    • UTILISATION A EVITER
                    • Cf. GROSSESSE ET ALLAITEMENT
                    • METTRE EN BALANCE BENEFICES ET RISQUES
                    • RISQUE D'INEFFICACITE
                    • SURVEILLANCE VIROLOGIQUE
                    • SURVEILLANCE CLINIQUE
                    • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
                    Référence(s) officielle(s)
                    • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
                    CIM 10
                    • Grossesse confirmée Z321

                    Terrain N° 23 QUEL QUE SOIT LE TERRAIN
                      Niveau(x)
                      • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                      • RISQUE D'ALLONGEMENT INTERVALLE QT
                      • RISQUE D'INSUFFISANCE RENALE
                      • RISQUE D'INSUFFISANCE RENALE AIGUE
                      • AUGMENTATION DE LA CREATININEMIE
                      • RISQUE D'HYPOPHOSPHATEMIE
                      • SURVEILLANCE PHOSPHOREMIE/PHOSPHATEMIE
                      • SURVEILLANCE TAUX CREATININE
                      • SURVEILLANCE RENALE
                      • RISQUE DE TOXICITE OSSEUSE
                      • RISQUE D'OSTEONECROSE
                      • RISQUE D'OSTEOMALACIE
                      • RISQUE D'ACIDOSE LACTIQUE
                      • RISQUE DE STEATOSE
                      • RISQUE DE REACTION CUTANEE
                      • RISQUE DE PRISE DE POIDS
                      • RISQUE D'HYPERTRIGLYCERIDEMIE/HYPERCHOLESTEROLEMIE
                      • RISQUE D'HYPERGLYCEMIE
                      • SURVEILLANCE BILAN LIPIDIQUE
                      • SURVEILLANCE BILAN GLUCIDIQUE
                      • RISQUE DE DYSFONCTIONNEMENT MITOCHONDRIAL
                      • RISQUE DE REACTION IMMUNITAIRE
                      • RISQUE DE REACTION INFLAMMATOIRE
                      • RISQUE D'EMERGENCE DE RESISTANCE
                      • SURVEILLANCE CLINIQUE
                      • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
                      • PRESENCE D'EXCIPIENT(S) A EFFET NOTOIRE
                      • TENIR COMPTE PRESENCE LACTOSE
                      • TENIR COMPTE PRESENCE JAUNE ORANGE S
                      Référence(s) officielle(s)
                      • Rectificatif AMM européenne 12/12/2022
                      CIM 10
                      • Non concerné .

                      Terrain N° 24 INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
                      • INSUFFISANCE RENALE LEGERE
                      Niveau(x)
                      • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                      • SURVEILLANCE TAUX CREATININE
                      • SURVEILLANCE PHOSPHOREMIE/PHOSPHATEMIE
                      • SURVEILLANCE RENALE
                      • SURVEILLANCE BILAN GLUCIDIQUE
                      • SURVEILLANCE DE LA KALIEMIE
                      • SURVEILLANCE CLINIQUE
                      • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
                      Référence(s) officielle(s)
                      CIM 10
                      • Maladie rénale chronique N18

                      Terrain N° 25 ATTEINTE RENALE
                      • ATTEINTE RENALE LEGERE
                      Niveau(x)
                      • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                      • METTRE EN BALANCE BENEFICES ET RISQUES
                      • SURVEILLANCE TAUX CREATININE
                      • SURVEILLANCE PHOSPHOREMIE/PHOSPHATEMIE
                      • SURVEILLANCE RENALE
                      • SURVEILLANCE BILAN GLUCIDIQUE
                      • SURVEILLANCE DE LA KALIEMIE
                      • SURVEILLANCE CLINIQUE
                      • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
                      Référence(s) officielle(s)
                      CIM 10
                      • Glomérulopathies N00-N08
                      • Maladies rénales tubulo-interstitielles N10-N16
                      • Insuffisance rénale N17-N19
                      • Lithiases urinaires N20-N23
                      • Autres affections du rein et de l'uretère N25-N29
                      • Autres maladies de l'appareil urinaire N30-N39
                      • Autres affections du rein et de l'uretère, non classées ailleurs N28
                      Terrain N° 26 HYPOPHOSPHATEMIE/HYPOPHOSPHOREMIE
                        Niveau(x)
                        • MISE EN GARDE ET PRECAUTION D'EMPLOI
                        • SURVEILLANCE TAUX CREATININE
                        • SURVEILLANCE PHOSPHOREMIE/PHOSPHATEMIE
                        • SURVEILLANCE BILAN GLUCIDIQUE
                        • SURVEILLANCE DE LA KALIEMIE
                        • SURVEILLANCE RENALE
                        • SURVEILLANCE CLINIQUE
                        • SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
                        • SUSPENDRE LE TRAITEMENT
                        Référence(s) officielle(s)
                        CIM 10
                        • Anomalies du métabolisme du phosphore et des phosphatases E833




                        - Commentaires du RCP :
                        - Echec virologique et développement de résistance
                        Ce médicament n'a pas été évalué chez les patients ayant présenté un échec virologique à un autre traitement antirétroviral, quel qu'il soit. Il n'existe pas de données suffisantes pour justifier l'utilisation de ce médicament chez les patients ayant présenté un échec lors d'un traitement antérieur par INNTI. Les tests de résistance et/ou les données de résistance antérieures doivent guider l'utilisation de ce médicament (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques").

                        Dans l'analyse d'efficacité groupée des deux études cliniques de phase III (C209 [ECHO]et C215 [THRIVE]) jusqu'à 96 semaines, les patients traités par emtricitabine/ténofovir disoproxil + rilpivirine avec une charge virale initiale (à l'entrée de l'étude) > 100000 copies d'ARN VIH-1/ml présentaient un risque plus élevé d'échec virologique (17,6 % avec la rilpivirine contre 7,6 % avec l'éfavirenz) par rapport aux patients avec une charge virale initiale < ou = 100000 copies d'ARN VIH-1/ml (5,9 % avec la rilpivirine contre 2,4 % avec l'éfavirenz). Les taux d'échec virologique chez les patients traités par emtricitabine/ténofovir disoproxil + rilpivirine aux semaines 48 et 96 étaient respectivement de 9,5 % et de 11,5 %, et de 4,2 % et 5,1 % dans le bras emtricitabine/ténofovir disoproxil + éfavirenz. La différence des taux de nouveaux échecs virologiques, dans les analyses de la semaine 48 à la semaine 96, entre les bras rilpivirine et éfavirenz n'était pas statistiquement significative. Les patients avec une charge virale initiale > 100000 copies d'ARN-VIH-1/ml qui ont présenté un échec virologique ont eu un risque plus élevé d'émergence de résistance associée à la classe des INNTI. Les patients en échec virologique ont été plus nombreux sous rilpivirine que sous éfavirenz à développer une résistance associée à la lamivudine/l'emtricitabine (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques").

                        - Risque cardiovasculaire
                        A des doses suprathérapeutiques (75 mg et 300 mg une fois par jour), la rilpivirine a été associée à un allongement de l'intervalle QTc sur l'électrocardiogramme (ECG) (Cf. rubriques "Interactions" et "Propriétés pharmacodynamiques"). La rilpivirine à la dose recommandée de 25 mg une fois par jour n'est pas associée à un effet cliniquement significatif sur l'intervalle QTc. Ce médicament doit être utilisé avec prudence lorsqu'il est administré en association avec des médicaments présentant un risque connu de torsades de pointes.

                        - Co-administration d'autres médicaments
                        Ce médicament ne doit pas être administré conjointement à d'autres médicaments contenant de l'emtricitabine, du ténofovir disoproxil, du ténofovir alafénamide ou d'autres analogues de la cytidine tels que la lamivudine (Cf. rubrique "Interactions"). Ce médicament ne doit pas être administré conjointement au chlorhydrate de rilpivirine à moins que cela ne soit nécessaire pour l'adaptation de la dose avec la rifabutine (Cf. rubriques "Posologie et mode d'administration" et "Interactions"). Ce médicament ne doit pas être co-administré avec l'adéfovir dipivoxil (Cf. rubrique "Interactions").

                        La co-administration de ce médicament et de didanosine n'est pas recommandée (Cf. rubrique "Interactions").

                        - Insuffisance rénale
                        Ce médicament n'est pas recommandé chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée ou sévère (ClCr < 50 mL/min). Les patients présentant une insuffisance rénale modérée ou sévère nécessitent une adaptation de l'intervalle entre les administrations d'emtricitabine et de ténofovir disoproxil qui ne peut pas être réalisée avec l'association fixe (Cf. rubriques "Posologie et mode d'administration" et "Propriétés pharmacocinétiques"). Ce médicament doit être évité en cas d'utilisation concomitante ou récente d'un médicament néphrotoxique (Cf. rubrique "Interactions"). S'il est impossible d'éviter l'utilisation concomitante de ce médicament et d'agents néphrotoxiques, la fonction rénale doit alors être surveillée chaque semaine (Cf. rubriques "Interactions" et "Effets indésirables").

                        Des cas d'insuffisance rénale aiguë faisant suite à l'instauration d'un traitement par anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) à forte dose ou associant plusieurs AINS ont été rapportés chez des patients traités par le ténofovir disoproxil et présentant des facteurs de risque d'insuffisance rénale. Si ce médicament est administré avec un AINS, il convient d'effectuer une surveillance adéquate de la fonction rénale.

                        Des cas d'atteinte rénale, d'insuffisance rénale, d'augmentation du taux de créatinine, d'hypophosphatémie et de tubulopathie proximale (y compris syndrome de Fanconi) ont été rapportés dans le cadre de l'utilisation du ténofovir disoproxil dans la pratique clinique (Cf. rubrique "Effets indésirables").

                        Il est recommandé de calculer la ClCr chez tous les patients avant l'initiation du traitement par ce médicament et également de surveiller la fonction rénale (ClCr et phosphate sérique) après deux à quatre semaines de traitement, après trois mois de traitement et tous les trois à six mois par la suite chez les patients ne présentant pas de facteurs de risque rénaux. Chez les patients présentant un risque d'insuffisance rénale, une surveillance plus fréquente de la fonction rénale est nécessaire.

                        Si le taux de phosphate sérique est < 1,5 mg/dl (0,48 mmol/litre) ou si la ClCr devient < 50 ml/min chez tout patient recevant ce médicament, l'évaluation de la fonction rénale doit être répétée dans la semaine, y compris la mesure de la glycémie, de la kaliémie, et de la glycosurie (voir rubrique "Effets indésirables, tubulopathie proximale"). Comme ce médicament est une association fixe et qu'il est impossible de modifier l'intervalle posologique de chacun des composants, le traitement par ce médicament doit donc être interrompu chez les patients avec une ClCr confirmée < 50 ml/min ou un taux de phosphate sérique < 1,0 mg/dl (0,32 mmol/litre). L'interruption du traitement par ce médicament doit aussi être envisagée en cas de dégradation progressive de la fonction rénale si aucune autre cause n'a été identifiée. Pour le cas où l'arrêt du traitement avec l'un des composants de ce médicament est indiqué ou si une modification de la posologie est nécessaire, des formulations distinctes d'emtricitabine, de chlorhydrate de rilpivirine et de ténofovir disoproxil sont disponibles.

                        - Effets osseux
                        Une sous-étude d'absorptiométrie biphotonique à rayons X (DXA) pour les deux études de phase III (C209 et C215) a évalué l'effet de la rilpivirine comparée au traitement contrôle sur les modifications de la densité minérale osseuse (DMO) et du contenu minéral osseux (CMO) du corps entier à la semaine 48 et à la semaine 96, sur la population totale et en fonction du traitement de fond. Les sous-études DXA ont montré des réductions peu importantes mais statistiquement significatives de la DMO et du CMO du corps entier, par rapport aux valeurs à l'entrée dans l'étude. Ces réductions étaient similaires pour la rilpivirine et le traitement contrôle aux semaines 48 et 96. Il n'y avait aucune différence en termes d'évolution de la DMO et du CMO du corps entier par rapport à l'entrée dans l'étude, entre la rilpivirine et le traitement contrôle dans la population totale ou chez les patients recevant un traitement de fond comprenant du ténofovir disoproxil.

                        Des anomalies osseuses telles que l'ostéomalacie pouvant se manifester par des douleurs osseuses persistantes ou qui s'aggravent et pouvant dans de rares cas favoriser la survenue de fractures, peuvent être associées à une tubulopathie rénale proximale induite par le ténofovir disoproxil (Cf. rubrique "Effets indésirables").

                        Le ténofovir disoproxil peut également entraîner une réduction de la densité minérale osseuse (DMO).
                        Au cours d'une étude clinique contrôlée de 144 semaines comparant le ténofovir disoproxil à la stavudine, en association à la lamivudine et à l'éfavirenz, chez des patients naïfs de traitement antirétroviral, de légères diminutions de la DMO au niveau de la hanche et du rachis ont été observées dans les deux groupes de traitement. A 144 semaines, les diminutions de la DMO au niveau du rachis et les modifications des marqueurs osseux par rapport à l'initiation du traitement étaient significativement plus importantes dans le groupe ténofovir disoproxil. Les diminutions de la DMO au niveau de la hanche étaient significativement plus importantes dans ce groupe jusqu'à 96 semaines. Cependant le risque de fractures n'a pas été augmenté et il n'a pas été constaté d'anomalies osseuses ayant des répercussions cliniques au cours des 144 semaines dans cette étude.

                        Dans d'autres études (prospectives et transversales), les diminutions de la DMO les plus prononcées ont été observées chez les patients traités par le ténofovir disoproxil dans le cadre d'un schéma thérapeutique contenant un inhibiteur de protéase (IP) potentialisé. Globalement, compte tenu des anomalies osseuses associées au ténofovir disoproxil et des limites des données à long terme sur l'impact du ténofovir disoproxil sur l'état osseux et le risque de fractures, il convient d'envisager d'autres schémas thérapeutiques pour les patients atteints d'ostéoporose qui présentent un risque élevé de fractures.

                        La suspicion ou la détection d'anomalies osseuses doit imposer une consultation appropriée.

                        - Patients co-infectés par le VIH et le virus de l'hépatite B ou C
                        Les patients atteints d'une hépatite chronique B ou C et traités par association d'antirétroviraux présentent un risque accru de développer des effets indésirables hépatiques sévères et potentiellement fatals.

                        Les médecins doivent se référer aux recommandations actuelles pour la prise en charge thérapeutique optimale de l'infection par le VIH chez les patients co-infectés par le VHB.

                        En cas d'administration concomitante d'un traitement antiviral de l'hépatite B ou C, veuillez consulter le Résumé des Caractéristiques du Produit de ces médicaments.

                        La sécurité et l'efficacité de ce médicament n'ont pas été établies pour le traitement de l'infection chronique à VHB. Des études pharmacodynamiques ont montré que l'emtricitabine et le ténofovir, administrés seuls et en association, étaient actifs sur le VHB (Cf. rubrique "Propriétés pharmacodynamiques").

                        L'arrêt du traitement par ce médicament chez les patients co-infectés par le VIH et le VHB peut être associé à une exacerbation aiguë sévère de l'hépatite. Les patients co-infectés par le VIH et le VHB arrêtant le traitement par ce médicament doivent être étroitement surveillés aux plans clinique et biologique pendant au moins plusieurs mois après l'arrêt du traitement. Si nécessaire, une reprise du traitement contre l'hépatite B pourra s'imposer. Chez les patients atteints d'une maladie hépatique avancée ou de cirrhose, l'arrêt du traitement n'est pas recommandé car l'exacerbation post-traitement de l'hépatite pourrait entraîner une décompensation hépatique.

                        - Maladie hépatique
                        La sécurité et l'efficacité de ce médicament n'ont pas été établies chez les patients présentant des troubles sous-jacents significatifs de la fonction hépatique. La pharmacocinétique de l'emtricitabine n'a pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique. La métabolisation de l'emtricitabine par les enzymes du foie n'étant pas significative, l'impact d'une insuffisance hépatique devrait donc être limité. Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire pour le chlorhydrate de rilpivirine chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère ou modérée (score de CPT : classe A ou B). Le chlorhydrate de rilpivirine n'a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (score de CPT : classe C). La pharmacocinétique du ténofovir a été étudiée chez les patients atteints d'insuffisance hépatique et aucune adaptation de la dose n'est apparue nécessaire chez ces patients.

                        Il est peu probable qu'une adaptation de la posologie soit nécessaire pour ce médicament chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère ou modérée (Cf. rubriques "Posologie et mode d'administration" et "Propriétés pharmacocinétiques"). Ce médicament doit être utilisé avec prudence chez les patients avec une insuffisance hépatique modérée (score de CPT : classe B) et n'est pas recommandé chez les patients avec une insuffisance hépatique sévère (score de CPT : classe C).

                        Les patients ayant des troubles préexistants de la fonction hépatique (y compris une hépatite chronique active) ont, au cours d'un traitement par association d'antirétroviraux, une fréquence plus élevée d'anomalies de la fonction hépatique et doivent faire l'objet d'une surveillance appropriée. Chez ces patients, en cas d'aggravation confirmée de l'atteinte hépatique, l'interruption ou l'arrêt du traitement devra être envisagé.

                        - Réactions cutanées sévères
                        Des cas de réactions cutanées sévères avec symptômes systémiques ont été rapportés avec ce médicament depuis sa commercialisation, notamment mais pas seulement des éruptions cutanées accompagnées de fièvre, de phlyctènes, de conjonctivite, d'angioedème, d'élévations des paramètres de la fonction hépatique et/ou d'éosinophilie. Ces symptômes se sont résolus suite à l'arrêt de ce médicament. Dès lors que des réactions cutanées et/ou affectant les muqueuses sont observées, ce médicament doit être arrêté et une prise en charge appropriée doit être instaurée.

                        - Poids corporel et paramètres métaboliques
                        Une augmentation du poids corporel ainsi que des taux de lipides et de glucose sanguins peuvent survenir au cours d'un traitement antirétroviral. De telles modifications peuvent en partie être liées au contrôle de la maladie et au mode de vie. Si pour les augmentations des taux de lipides, il est bien établi dans certains cas qu'il existe un effet du traitement, aucun lien n'est clairement établi entre une prise de poids et un quelconque traitement antirétroviral. Le suivi des taux de lipides et de glucose sanguins devra tenir compte des recommandations en vigueur encadrant les traitements contre le VIH. Les troubles lipidiques devront être pris en charge de façon appropriée.

                        - Dysfonctionnement mitochondrial à la suite d'une exposition in utero
                        Les analogues nucléos(t)idiques peuvent avoir un impact plus ou moins sévère sur la fonction mitochondriale, l'effet le plus marqué étant observé avec la stavudine, la didanosine et la zidovudine. Des cas de dysfonctionnement mitochondrial ont été rapportés chez des nourrissons non infectés par le VIH, exposés in utero et/ou en période post-natale à des analogues nucléosidiques ; il s'agissait majoritairement d'associations comportant de la zidovudine. Les effets indésirables principalement rapportés sont des atteintes hématologiques (anémie, neutropénie) et des troubles métaboliques (hyperlactatémie, hyperlipasémie). Ces effets indésirables ont souvent été transitoires. Des troubles neurologiques d'apparition tardive ont été rapportés dans de rares cas (hypertonie, convulsions, troubles du comportement). Le caractère transitoire ou permanent de ces troubles neurologiques n'est pas établi à ce jour. Ces données doivent être prises en compte chez tout enfant exposé in utero à des analogues nucléos(t)idiques qui présente des manifestations cliniques sévères d'étiologie inconnue, en particulier des manifestations neurologiques. Ces données ne modifient pas les recommandations actuelles nationales quant à l'utilisation d'un traitement antirétroviral chez la femme enceinte dans la prévention de la transmission materno-foetale du VIH.

                        - Syndrome de Restauration Immunitaire
                        Chez les patients infectés par le VIH et présentant un déficit immunitaire sévère au moment de l'instauration du traitement par association d'antirétroviraux, une réaction inflammatoire à des infections opportunistes asymptomatiques ou résiduelles peut se produire et entraîner des manifestations cliniques graves ou une aggravation des symptômes. De telles réactions ont été observées classiquement au cours des premières semaines ou des premiers mois de traitement par association d'antirétroviraux. A titre d'exemples pertinents on peut noter : les rétinites à cytomégalovirus, les infections mycobactériennes disséminées et/ou localisées, et les pneumopathies à Pneumocystis jirovecii. Tout symptôme inflammatoire doit être évalué et un traitement être instauré si nécessaire.

                        Des maladies auto-immunes (comme la maladie de Basedow et l'hépatite auto-immune) ont également été rapportées dans le cadre d'une restauration immunitaire ; cependant, le délai d'apparition décrit est plus variable et ces événements peuvent survenir plusieurs mois après l'instauration du traitement.

                        - Ostéonécrose
                        L'étiologie est considérée comme multifactorielle (incluant l'utilisation de corticoïdes, la consommation d'alcool, une immunosuppression sévère, un indice de masse corporelle élevé), cependant des cas d'ostéonécrose ont été rapportés en particulier chez des patients à un stade avancé de la maladie liée au VIH et/ou ayant un traitement par association d'antirétroviraux au long cours. Il est conseillé aux patients de solliciter un avis médical s'ils éprouvent des douleurs et des arthralgies, une raideur articulaire ou des difficultés pour se mouvoir.

                        - Personnes âgées
                        Ce médicament n'a pas été étudié chez les patients âgés de plus de 65 ans. Les patients âgés sont plus susceptibles de présenter une réduction de la fonction rénale. L'administration de ce médicament à des patients âgés devra donc se faire avec une prudence particulière (Cf. rubriques "Posologie et mode d'administration" et "Propriétés pharmacocinétiques").

                        - Grossesse
                        Des expositions plus faibles à la rilpivirine ont été observées lors de la prise quotidienne de 25 mg de rilpivirine au cours de la grossesse. Dans les études de phase III (C209 et C215), une exposition plus faible à la rilpivirine, équivalente à celle observée au cours de la grossesse, a été associée à une augmentation du risque d'échec virologique, par conséquent la charge virale doit être étroitement surveillée (Cf. rubriques "Grossesse et allaitement", "Propriétés pharmacodynamiques" et "Propriétés pharmacocinétiques"). Une autre alternative serait d'envisager un changement de traitement antirétroviral.

                        - Excipients
                        Ce médicament contient du lactose monohydraté. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.

                        Ce médicament contient un colorant, appelé laque aluminique de jaune orangé S (E110), qui peut provoquer des réactions allergiques.
                        Référence(s) officielle(s) Rectificatif AMM européenne 12/12/2022

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